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1

Martín‑Hernández, Manuel J. "Vers une théorie et une critique de l’architecture." Les Cahiers de la recherche architecturale et urbaine, no. 24/25 (December 1, 2009): 99–112. http://dx.doi.org/10.4000/crau.306.

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2

Lamoureux, Johanne. "La théorie des ruines d’Albert Speer ou l’architecture « futuriste » selon Hitler." RACAR : Revue d'art canadienne 18, no. 1-2 (1991): 57. http://dx.doi.org/10.7202/1072984ar.

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3

Lagasse de Locht, Jean-Yves. "La médiation judiciaire au Québec, un exemple de droit en réseau ?" Cahiers d'histoire 31, no. 1 (August 15, 2012): 11–19. http://dx.doi.org/10.7202/1011674ar.

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Abstract:
La production et l’application des normes juridiques ont subi de multiples transformations qui peuvent être lues à la lumière de l’émergence de nouveaux modes de gouvernance étatique. Ces mutations ont fait constater à plusieurs théoriciens du droit que l’image de la pyramide associée à l’architecture de la théorie générale du droit ne tenait plus tout à fait debout et perdait de sa pertinence, au point que certains aient proposé un nouveau paradigme pour la construction architecturale du droit : le réseau. L’auteur interroge ces déplacements avec l’émergence de la médiation judiciaire au Québec et sa potentielle transformation de la fonction de juger.
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4

Buydens, Mireille. "La transparence : obsession et métamorphose." Devenir-Bergson, no. 3 (August 9, 2011): 51–77. http://dx.doi.org/10.7202/1005468ar.

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Abstract:
Chaque époque est habitée par des métaphores caractéristiques qui en expriment les lignes de force. La transparence est incontestablement l’une d’elles aujourd’hui. On la retrouve en effet aussi bien en esthétique industrielle (« coquilles » transparentes des ordinateurs et autres objets technologiques) qu’en droit (obsession de la transparence des machines abstraites, suspicion du secret), et elle traverse tout autant l’architecture (utilisation du verre, expulsion des organes internes du bâtiment à l’extérieur) que l’économie (théorie de la transparence des marchés), voire la philosophie (éthique de la communication, chez Habermas par exemple). Cet article entend rechercher ce que signifie cette métaphore de la transparence au travers de ses multiples occurrences et de souligner quelques points de rencontre possible avec la pensée d’Henri Bergson.
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5

Courrént, Mireille. "Illusion du réel et esthétique de la correction : mimesis et phantasia dans la théorie vitruvienne de l’architecture." Pallas, no. 92 (April 1, 2013): 103–13. http://dx.doi.org/10.4000/pallas.163.

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6

Bilge, Sirma. "La pertinence de Hall pour l’étude de l’intersectionnalité1." Nouvelles pratiques sociales 26, no. 2 (March 23, 2015): 62–81. http://dx.doi.org/10.7202/1029262ar.

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Abstract:
La recherche intersectionnelle expose avec force les limites des approches additives et multiplicatives pour appréhender l’architecture complexe du pouvoir. Cependant, au chapitre de la théorisation des liens entre divers éléments formant cette architecture, la réflexion gagnerait à être poursuivie et complexifiée. À cette fin, l’article mobilise l’oeuvre de Stuart Hall et identifie et discute deux voies fécondes pour l’approfondissement et le renouvellement des problématiques théoriques intersectionnelles. Il propose : 1. de combiner la théorie hallienne de l’articulation entre différentes instances (économique / juridico-politique / idéologique) à la prémisse intersectionnelle de co-constitution de différents opérateurs de pouvoir (race / classe / genre) pour une théorisation plus complexe du pouvoir; et 2. de s’inspirer de la théorisation hallienne de la conjoncture pour éviter l’écueil d’une intersectionnalité à application universelle et saisir les conditions géohistoriques spécifiques sous lesquelles articulations (économique / juridico-politique / idéologique) et intersections (race / classe / genre) se forment et forment une unité complexe différenciée, une « structure articulée à dominante », quoique contingente.
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7

Guénette, Dave. "La Cour suprême du Canada et la pluralité démotique de l’État canadien. Des traces de consociationalisme dans la jurisprudence constitutionnelle." Revue générale de droit 46, no. 1 (June 8, 2016): 215–52. http://dx.doi.org/10.7202/1036578ar.

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Abstract:
Le rôle d’arbitre constitutionnel ultime de la Cour suprême du Canada fait de cette institution un pilier de la fédération canadienne. Par ses décisions, la Cour modèle et précise les traits de l’architecture constitutionnelle du pays, faisant de sa jurisprudence un mode privilégié d’évolution du fédéralisme canadien. Or, dans sa jurisprudence récente, la Cour semble se montrer particulièrement ouverte aux questions démotiques qui transcendent l’ordre constitutionnel canadien. En effet, dans les décisions rendues dans le cadre du Renvoi relatif à la Loi sur la Cour suprême, art 5 et 6, du Renvoi relatif à la réforme du Sénat et dans celle relative au registre des armes à feu, la Cour élabore une jurisprudence où le caractère asymétrique et consociatif du fédéralisme canadien a une place singulière. Ainsi, faisant usage de la théorie du consociationalisme, nous proposons ici une analyse de ces trois jugements, avec comme objectif de faire ressortir en quoi ceux-ci contribuent à une jurisprudence constitutionnelle plus adaptée à la nature plurinationale du pays. Plus globalement, cette démonstration sera aussi l’occasion de constater les limites de la jurisprudence comme principal véhicule d’évolution de la Constitution canadienne.
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8

Very, Françoise. "Forcément théorique, l’architecture." Les Cahiers de la recherche architecturale et urbaine, no. 26/27 (November 1, 2012): 168–71. http://dx.doi.org/10.4000/crau.572.

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9

Boutinet, Jean-Pierre, and Jean-Pierre Bréchet. "Choix, décision et projet dans l’action : préséance du projet dans une perspective pluridisciplinaire." Natures Sciences Sociétés 26, no. 4 (October 2018): 434–45. http://dx.doi.org/10.1051/nss/2018055.

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Abstract:
Partant des fondements multidimensionnels de l’action, choix, décision et projet sont présentés comme trois grands modes de détermination des personnes et des groupes dans l’action. Ces trois modes n’ont pas la même importance ni la même place dans les grandes théories de l’action. Une explication majeure réside dans le traitement de la temporalité. L’action sociale comprise comme processus engage à poser la préséance du projet, porteur d’une temporalité englobante, au regard du choix et de la décision qui s’inscrivent dans des temporalités plus ponctuelles. Le concept de projet, qui trouve ses origines dans les sphères de l’architecture, de la philosophie, de la politique comme des sciences et techniques, témoigne aussi aisément de sa nature fondamentalement transdisciplinaire. Il semble à même de jouer un rôle important pour fonder une perspective pluridisciplinaire sur le plan paradigmatique et théorique comme sur celui des postures de recherche.
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10

Barrette, Jacques. "Architecture de ressources humaines." Articles 60, no. 2 (December 6, 2005): 213–43. http://dx.doi.org/10.7202/011720ar.

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Abstract:
Le domaine de la gestion stratégique des ressources humaines manque d’encadrement théorique en ce qui concerne le caractère unique de l’architecture de ressources humaines (RH). L’article propose une réflexion théorique sur cette notion et ses deux dimensions principales : l’alignement vertical et la cohérence horizontale. L’exposé explique comment et pourquoi les organisations de même type possèdent sensiblement la même architecture RH. L’importance du rôle des contingences internes et des conditions de réalisation des objectifs RH est abordée. L’auteur explore le caractère unique de la GRH au niveau de la cohérence des pratiques et la complexité des liens avec l’alignement vertical. Un modèle combinant les deux dimensions de l’architecture RH propose des pistes de réflexion quant à leur effet interactif sur la performance organisationnelle. Des hypothèses et stratégies de recherche pour mesurer la présence et l’impact de la cohérence horizontale sur la performance organisationnelle sont suggérées.
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Siret, Daniel. "Une utopie artistique solaire urbaine des années 1960." Environnement urbain 8 (December 9, 2014): 48–64. http://dx.doi.org/10.7202/1027737ar.

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Abstract:
Cet article présente la théorie hélioplastique de l’architecte polonais Mieczyslaw Twarowski publiée en 1962. À travers cette théorie, notre objectif est de mettre en évidence la double dimension historique et utopique des relations entre arts, environnement et ville : historique, parce que les propositions de Twarowski prennent sens dans le contexte de la modernité « radieuse »; utopique, parce qu’à travers ses expérimentations, Twarowski exprime sa croyance en un véritable enchantement solaire urbain. Par contraste, nous esquissons ce que pourrait être une esthétique urbaine contemporaine des flux solaires, susceptible de renouer avec les valeurs sensibles fondamentales de l’ensoleillement urbain.
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Gaussuin, Bérénice. "Eugène Viollet-le-Duc : une oeuvre entre restauration et création." Apuntes. Revista de estudios sobre patrimonio cultural 30, no. 2 (December 20, 2017): 60–71. http://dx.doi.org/10.11144/javeriana.apc30-2.evld.

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Abstract:
L’architecte Eugène Viollet-le-Duc a été un créateur bâtisseur dont le terrain d’expérimentation principal était le mo­nument historique. De son premier chantier à la Madeleine de Vézelay – qu’il prend en charge à 26 ans – jusqu’à la publication en 1866 de son article « Restauration », en passant par la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris, il a élaboré grâce à la pratique, une méthodologie parallèlement à sa théorie rationaliste et à sa théorie de la restauration. La progression de cette théorie passe de la prudence, de la modestie de l’artiste face à l’histoire, à un éloignement des archéologues pour faire entrer le projet d’architecture dans le monument historique. Viollet-le-Duc a étudié sans relâche la matière du bâti historique, dans le but de la fait plier à ses objectifs théoriques et doctrin­aux. Dans son approche du projet, Viollet-le-Duc s’est positionné en praticien maîtrisant son chantier quel qu’en soit l’objet : monuments historiques ou créations ex-nihilo, il a transfèré les méthodes, les équipes, les formes pour que la création participait de la restauration.
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Bélanger, André, and Anne Bordeleau. "L’architecture d’Auschwitz, le droit et l’art." Les Cahiers de droit 58, no. 1-2 (May 17, 2017): 107–35. http://dx.doi.org/10.7202/1039834ar.

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Abstract:
Dans l’optique de lier un discours théorique entre le droit, l’architecture et l’art, les auteurs centrent leur analyse sur la notion d’artéfact social, c’est-à-dire la création de l’être humain déterminée par son environnement sociétal. L’accent est mis sur trois éléments principaux de nature à la fois juridique, architecturale et artistique : premièrement, la question du dicible et de l’indicible par rapport à ce qui peut être « admis » sur le plan tant juridique qu’historique ; deuxièmement, l’opposition entre ce qui témoigne (au présent) et ce qui laisse une forme de trace (du passé) ; troisièmement, l’opposition entre présence et absence par rapport au tangible, immédiatement vérifiable, ou par rapport à ce qui est absent, mais dont nous devons admettre l’existence passée. Pour exemplifier ces trois éléments, une installation artistique élaborée à la suite d’une affaire juridique d’importance et intitulée The Evidence Room est présentée. Cette oeuvre réunit des moulages en plâtre de documents qui ont fait l’objet d’une expertise légale dans le contexte de l’affaire Irving v. Penguin Books Limited, Deborah E. Lipstadt et qui fournissent la preuve tangible que le camp de concentration Auschwitz a été conçu par des architectes comme système efficace d’extermination massive. L’analyse de cette oeuvre met en avant la proposition selon laquelle l’art permet de rendre visible la souffrance invisible ou de dire l’indicible, qui, autrement, peuvent demeurer dans l’ombre tant du droit que de l’architecture.
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Cucuzzella, Carmela. "Is Sustainability Reorienting the Visual Expression of Architecture?" RACAR : Revue d'art canadienne 40, no. 2 (March 3, 2016): 86–100. http://dx.doi.org/10.7202/1035398ar.

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Abstract:
Bien que la durabilité soit aujourd’hui devenue un impératif et un concept clef motivant les réorientations que connaissent les pratiques et théories de la conception, peu de recherches se consacrent à la compréhension de son impact sur le « design thinking » et sur la culture. Cet article enquête sur le design durable entendu comme culture visuelle émergente en architecture. Nous explorons la façon dont les concepteurs vont au-delà des normes environnementales afin de conserver dans leurs projets un équilibre créatif entre forme et contenu, entre éthique et esthétique. Nous analysons un corpus de concours organisés récemment dans les champs de l’architecture, du paysage et de l’urbanisme et avançons que les concours sont à la fois des « laboratoires » pour les concepteurs et des dispositifs épistémologiques pour les chercheurs, à même de révéler les transformations majeures des pratiques et valeurs de design.
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Rabatel, Alain. "Des images d’utopie(s) aux stylèmes de la pensée utopique." Hors dossier 32, no. 1 (July 25, 2005): 68–79. http://dx.doi.org/10.7202/011027ar.

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Abstract:
Résumé Les images d’utopie qui accompagnent L’Utopie de More et L’architecture considérée sous le rapport de l’art, des moeurs et de la législation, que Ledoux consacre au plan de la saline d’Arc-et-Senans, fonctionnent, au-delà de leurs singularités, comme des analogons (indices, icônes, symboles) de tensions internes au projet utopique. Ces tensions, qui font système, correspondent à des stylèmes de la pensée utopique : clôture/coupure d’avec le monde réel versus ouverture sur le monde extérieur ; ordonnancement totalisant/totalitaire versus pensée de la liberté par le fonctionnalisme ; monde fini versus monde ouvert. Seule la saisie de l’ensemble de ces tensions peut faire émerger un usage théorique et pratique anti-dogmatique de l’utopie, fidèle à la visée émancipatrice originelle.
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Papy, Jacques. "L’échange de droits d’émission de gaz à effet de serre sous la loupe de l’analyse économique du droit." Les Cahiers de droit 54, no. 4 (December 2, 2013): 851–907. http://dx.doi.org/10.7202/1020654ar.

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Abstract:
Le Québec a jeté, en 2012, les bases du système de plafonnement et d’échange de droits d’émission de gaz à effet de serre. Le système pourrait, à terme, constituer l’un des maillons d’un marché commun du carbone à l’échelle de l’Amérique du Nord. Celui-ci appartient cependant à une catégorie d’instruments économiques de protection de l’environnement encore peu connue des juristes. L’exploration de l’architecture de cet instrument et l’examen des enjeux qui le traversent sont donc d’actualité. Pour ce faire, l’auteur propose une ébauche de modélisation, à la lumière de l’analyse économique du droit, de l’architecture de ce type de régime, en s’attardant plus particulièrement aux problèmes posés par l’organisation de l’échange de droits d’émission. La modélisation permet d’éclairer le rapport théorique étroit que le droit entretient avec l’efficacité économique lorsque le régulateur recourt au marché afin d’assurer la protection de l’environnement. Le modèle proposé met ainsi en lumière, de manière générale, les points de friction qui sont susceptibles de survenir aux différentes étapes de l’échange de droits d’émission et qui peuvent faire obstacle à son efficacité économique. Le modèle permet également de tirer quatre recommandations préliminaires qui pourraient être pertinentes pour le régulateur, à l’occasion de l’élaboration de la mise en oeuvre du système québécois de plafonnement et d’échange de droits d’émission de gaz à effet de serre.
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Lima, Humberto. "Espaço e Desamparo em “A obscena Senhora D” – uma reflexão interdisciplinar por meio da Arquitetura e da Psicanálise a partir da novela de Hilda Hilst." Revista Investigações 31, no. 1 (December 29, 2018): 54. http://dx.doi.org/10.51359/2175-294x.2018.237470.

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Abstract:
Resumo: Este texto consiste numa interpretação intersemiótica. Justapondo teorias que versam sobre o espaço arquitetônico e a psicanálise, o ensaio aborda questões subjetivas da arquitetura, a partir da novela “A obscena Senhora D”, de Hilda Hilst (2001). Partindo do pressuposto que a arquitetura se faz para além da sua materialidade, discute-se a conexão do humano com o espaço construído, explorando o conceito do Desamparo freudiano como possível elemento estruturante de tal relação. Teoria e ficção, espaço literário e arquitetônico, personagens e sujeito humano, se fundem na tentativa de explorar e explicar os processos inconscientes e de ordem simbólica que a permeiam.Palavras-chave: Espaço arquitetônico. Desamparo. Psicanálise. Espaço literário. Abstract: This text consists of an intersemiotic interpretation. By juxtaposing theories on architectural space and psychoanalysis, the essay approaches subjective questions of architecture, through Hilda Hilst's novel "A obscena Senhora D" (2001). Based on the assumption that architecture is done beyond its materiality, the relationship between the human and the constructed space is discussed, exploring the concept of Freudian Helplessness as a possible structuring element of such a relation. Theory and fiction, literary and architectural space, characters and human being, are merged in the attempt to explore and explain the unconscious and symbolic processes that permeate it.Keywords: Architectural space. Helplessness. Psychoanalysis. Literary space. Resumé: Ce texte est une interprétation intersémiotique. En juxtaposant des théories sur l'espace architectural et la psychanalyse, l'essai aborde des questions subjectives d'architecture, tirées du roman "A obscena Senhora D", de Hilda Hilst (2001). Basé sur l'hypothèse que l'architecture est faite au-delà de sa matérialité, la connexion entre l’être humain et l'espace construit est discutée, en explorant le concept du Détresse freudien comme un élément possible pour structurer cette relation. La théorie et la fiction, l'espace littéraire et l’architectural, les personnages et le sujet humain se fondent dans la tentative d'explorer et d'expliquer les processus inconscients et symboliques qui la traversent.Mots-clès: Espace architectural. Détresse. Psychanalyse. Espace littéraire.
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Bardelmann, Claire. "Une anatomie du désordre : métaphores musicales du corps dans le théâtre élisabéthain." Moreana 43 & 44 (Number, no. 4 & 1-2 (March 2007): 132–49. http://dx.doi.org/10.3366/more.2007.43-44.4_1-2.8.

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Abstract:
Résumé La conception arithmético-musicale de l’univers à la Renaissance, connue sous le nom de musique des sphères, informe par analogie les représentations du corps. Par analogie encore, la musique instrumentale est une expression symbolique privilégiée du corps harmonieux, reproduisant dans le microcosme les proportions parfaites de l’architecture du monde. Les métaphores musicales sont donc, dans la littérature théorique, des codifications fréquentes de la dialectique de l’ordre et du désordre, reflétée par les images du corps harmonieux ou, au contraire, «dissonant». Cette métaphore du corps instrumentalisé est importante au théâtre, où elle traduit particulièrement l’idée de désordre, dans le microcosme, mais aussi le corps politique, comme le montre notamment l’étude de la métaphore des cloches. Les métaphores musicales du corps sont également intégrées à la structure dramatique, comme le montre l’exemple de Péricles et de Richard II.
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Liquète, Vincent. "Préserver la durabilité des pratiques informationnelles des acteurs de l’architecture éco-constructive : des pratiques informationnelles à une mémoire collective de travail." Articles 44, no. 1 (March 31, 2015): 67–86. http://dx.doi.org/10.7202/1029303ar.

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Abstract:
L’objectif de cette contribution sera de poser les prémisses d’une organisation de la durabilité des pratiques informationnelles en contexte professionnel. Nous tenterons de dégager quelques éléments clefs à prendre en considération pour concevoir l’accompagnement de la durabilité des pratiques informationnelles en contexte professionnel. Pour ce faire, cette contribution croisera un travail d’analyse d’un corpus sur la question fondamentale de la durabilité, avec un ensemble d’éléments que nous avons recueillis lors d’entretiens et d’analyses des systèmes d’information chez les architectes aquitains spécialisés en éco-construction. En effet, les acteurs aquitains du secteur de l’architecture éco-constructive (architectes, ingénieurs, fournisseurs, constructeurs, etc.), bien qu’ayant des pratiques informationnelles affirmées, organisent et conservent l’information de manière encore rare, sporadique, parfois même hasardeuse et fragmentée. Nous serons alors amenés à suggérer dans cette double approche pragmatique et théorique, un schéma de durabilité pour faciliter l’émergence puis le maintien de pratiques informationnelles durables. La question notamment de la constitution d’une mémoire numérique de travail, inscrivant leurs pratiques informationnelles autour des principes de durabilité, de stabilité et de transférabilité, sera évoquée.
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Domenech, P. "La décision, cette inconnue…" European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S51. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.145.

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Abstract:
Qu’avons nous appris de l’architecture fonctionnelle des processus de prise de décision dans le cerveau humain grâce aux neurosciences computationnelles ? Dans un premier temps, nous verrons comment les modèles de diffusion ont permis de proposer des algorithmes de décision capable d’expliquer les relations complexes entre proportion de choix et temps de décision observés lors de décision simple, et de faire des prédictions testables sur l’activité cérébrale des régions impliquées dans ces processus cognitifs. En prenant l’exemple de choix économiques simples, nous illustrerons l’intérêt de ce cadre mathématique pour comprendre comment différentes régions cérébrales peuvent interagir pour produire des décisions reflétant nos préférences subjectives. Finalement, nous discuterons autour d’un modèle mathématique capable de détecter les changements d’environnements pour interrompre les tâches en cours et déclencher des phases actives d’exploration afin d’illustrer la façon dont les modèles computationnels permettent de détecter des transitions brutales dans les stratégies comportementales et de prédire avec précision l’activité cérébrale dans le cortex préfrontal humain. Nous conclurons sur l’importance du cadre théorique de l’inférence Bayesienne et, en particulier, des notions de confiance et d’incertitude pour caractériser les algorithmes utilisés par le cerveau humain pour choisir.
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Babatoundé, Alain Latoundji. "Part relative des institutions de microfinance dans l’architecture financière des pays de l’Union économique et monétaire ouest africaine : modèle théorique et évidences empiriques." Mondes en développement 173, no. 1 (2016): 93. http://dx.doi.org/10.3917/med.173.0093.

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Koana, Akiko. "Le rôle de la notion de caractère dans les pensées esthétiques françaises au XVIII siècle par comparaison avec les théories de la musique et de l’architecture." Horizons philosophiques 4, no. 1 (1993): 15. http://dx.doi.org/10.7202/800931ar.

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Dournel, Sylvain, and Bertrand Sajaloli. "Les milieux fluviaux et humides en ville, du déni à la reconnaissance de paysages urbains historiques." Articles 41, no. 1 (January 31, 2013): 5–21. http://dx.doi.org/10.7202/1013761ar.

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Abstract:
En moins de quatre décennies, les milieux fluviaux et humides des villes occidentales sont passés du statut d’espace répulsif et marginal à celui d’élément patrimonial, convoité par les sociétés urbaines. Les nombreux dispositifs réglementaires français attachés à leurs qualités écologiques, paysagères et culturelles en témoignent : la vallée de l’Erdre en région nantaise et les marais de Bourges sont classés au titre de la loi de 1930 quand les rives du Loiret à Orléans et le vieux-centre de Châlons-en-Champagne forment des aires de mise en valeur de l’architecture et du patrimoine. En outre, les quais de la Seine à Paris, ceux de la Garonne à Bordeaux, les cités historiques de Lyon et d’Albi, le Val de Loire sont autant de sites d’eau inscrits au patrimoine de l’UNESCO. Notre article cherche à comprendre l’actuel engouement patrimonial des citadins pour les milieux d’eau, relayé aujourd’hui par le développement de projets urbains attachés à leur requalification esthétique et fonctionnelle. Dans cette perspective, nous focalisons notre étude sur plusieurs cités d’eau du Bassin parisien (Amiens, Bourges, Châlons-en-Champagne, Évreux, Orléans, Tours, Troyes) pour y entreprendre une étude géohistorique, diachronique et dynamique, dans un double objectif. D’un côté, il s’agit d’y repérer et de théoriser les types de rapports à l’eau qui se sont développés dans le temps et dans l’espace, afin de souligner le caractère historique et socioculturel des milieux et les conditions de leur patrimonialisation. De l’autre, notre but est de décrypter la formation des paysages d’eau singuliers des villes étudiées, héritage d’une histoire et de façonnements spécifiques. Étroitement associés à la ville, les milieux fluviaux et humides participent à la constitution de la notion de patrimoine urbain.
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Gélinas, Fabien, Clément Camion, Karine Bates, and Emily Grant. "ARCHITECTURE, RITUALS, AND NORMS IN CIVIL PROCEDURE." Windsor Yearbook of Access to Justice 32, no. 2 (October 1, 2015): 213. http://dx.doi.org/10.22329/wyaj.v32i2.4711.

Full text
Abstract:
In this article, the authors identify two important gaps in the literature on civil justice reform, both of which relate to the concept of stability in the law as an added value of public adjudication. The article aims to suggest avenues for future research on civil justice reform, especially in light of increasing recourse to private modes of dispute resolution. First, the article draws attention to the role played by judicial rituals and architecture in court-based, public adjudication, as a means of generating stability in the law and enhancing the legitimacy of dispute resolution. Second, from a more theoretical perspective, the article brings out the added value of formulating and formalizing legal norms through a public adjudicative process. Stability in the law encourages human agency and dignity by permitting individuals to form expectations and make decisions about their lives, acting in reliance on the law and the values that the law promotes. The value of stability must be taken into account in future research and policy work on civil justice reform, particularly as private justice, which lacks many of the characteristics that encourage stability in public adjudication, is increasingly explored as a potential solution to problems of access to justice. Dans cet article, les auteurs analysent deux lacunes importantes qu’ils ont relevées dans la littérature concernant la réforme de la justice civile et qui gravitent autour du concept de la stabilité du droit en tant qu’avantage découlant du processus public de règlement des différends. Les auteurs proposent des sujets à explorer lors de futures recherches sur la réforme de la justice civile, eu égard, notamment, au recours croissant aux modes privés de règlement des différends. Dans un premier temps, ils soulignent que les rituels et l’architecture du système judiciaire public favorisent la stabilité du droit et rehaussent la légitimité du règlement des différends. Examinant ensuite la question sous un angle plus théorique, ils s’attardent aux avantages découlant de la formulation et de l’officialisation des normes juridiques dans le cadre du processus public de règlement des différends. La stabilité du droit favorise l’intervention et la dignité humaines, car elle permet aux personnes d’avoir des attentes et de prendre des décisions au sujet de leurs vies en se fondant sur les règles de droit et sur les valeurs qui les sous-tendent. L’atout que représente la stabilité doit être pris en compte dans les futurs travaux de recherche et d’orientation sur la réforme de la justice civile, surtout à l’heure où la justice privée, qui est dépourvue de bon nombre des caractéristiques qui engendrent la stabilité dans le processus public de règlement des différends, est de plus en plus explorée comme solution possible aux problèmes d’accès à la justice.
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Maldavsky, Aliocha. "Financiar la cristiandad hispanoamericana. Inversiones laicas en las instituciones religiosas en los Andes (s. XVI y XVII)." Vínculos de Historia. Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no. 8 (June 20, 2019): 114. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2019.08.06.

Full text
Abstract:
RESUMENEl objetivo de este artículo es reflexionar sobre los mecanismos de financiación y de control de las instituciones religiosas por los laicos en las primeras décadas de la conquista y colonización de Hispanoamérica. Investigar sobre la inversión laica en lo sagrado supone en un primer lugar aclarar la historiografía sobre laicos, religión y dinero en las sociedades de Antiguo Régimen y su trasposición en América, planteando una mirada desde el punto de vista de las motivaciones múltiples de los actores seglares. A través del ejemplo de restituciones, donaciones y legados en losAndes, se explora el papel de los laicos españoles, y también de las poblaciones indígenas, en el establecimiento de la densa red de instituciones católicas que se construye entonces. La propuesta postula el protagonismo de actores laicos en la construcción de un espacio cristiano en los Andes peruanos en el siglo XVI y principios del XVII, donde la inversión económica permite contribuir a la transición de una sociedad de guerra y conquista a una sociedad corporativa pacificada.PALABRAS CLAVE: Hispanoamérica-Andes, religión, economía, encomienda, siglos XVI y XVII.ABSTRACTThis article aims to reflect on the mechanisms of financing and control of religious institutions by the laity in the first decades of the conquest and colonization of Spanish America. Investigating lay investment in the sacred sphere means first of all to clarifying historiography on laity, religion and money within Ancien Régime societies and their transposition to America, taking into account the multiple motivations of secular actors. The example of restitutions, donations and legacies inthe Andes enables us to explore the role of the Spanish laity and indigenous populations in the establishment of the dense network of Catholic institutions that was established during this period. The proposal postulates the role of lay actors in the construction of a Christian space in the Peruvian Andes in the sixteenth and early seventeenth centuries, when economic investment contributed to the transition from a society of war and conquest to a pacified, corporate society.KEY WORDS: Hispanic America-Andes, religion, economics, encomienda, 16th and 17th centuries. BIBLIOGRAFIAAbercrombie, T., “Tributes to Bad Conscience: Charity, Restitution, and Inheritance in Cacique and Encomendero Testaments of 16th-Century Charcas”, en Kellogg, S. y Restall, M. 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Stillemans, Jean. "Théorie de l'architecture ou architecture théorique ?" lieuxdits, October 10, 2019, 25–30. http://dx.doi.org/10.14428/ld.vi16.23493.

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Abstract:
La tradition, depuis sa souche antique, a considéré que l’architecture exigeait d’être pensée, pour se soustraire à la contingence du moment qui, le plus souvent, est la résultante de rapports de force. La théorie, à bien comprendre cette exigence, se doit d’accompagner l’architecture, saisie comme pratique logique commandée par la collectivité pour assurer son destin.
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Amalvi, Gilles. "Auguste Perret, Contribution à une théorie de l’architecture." Critique d’art, December 11, 2017. http://dx.doi.org/10.4000/critiquedart.27383.

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Milićević, Jasmina, and Marie-Josée Hamel. "Un dictionnaire de reformulation pour les apprenants du français langue seconde." Aspects linguistiques, March 6, 2008, 145–67. http://dx.doi.org/10.7202/017713ar.

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Abstract:
Résumé Nous présentons une recherche en lexicologie appliquée à l’enseignement du français langue seconde qui vise le développement d’un dictionnaire électronique de type particulier, appelé dictionnaire de reformulation. Ce dictionnaire devrait permettre aux étudiants de niveau intermédiaire à ceux de niveau avancé de surmonter des difficultés que présente une utilisation souple et idiomatique du lexique du français dans la production langagière. Les questions abordées sont les suivantes : les fondements théoriques et la méthodologie pour l’élaboration d’un tel dictionnaire, le concept d’erreur lexicale et la description des erreurs lexicales à l’aide d’outils formels que nous proposons, l’architecture du dictionnaire de reformulation et l’implémentation de ce dernier. Le cadre théorique dans lequel se situe notre recherche est celui de la théorie linguistique Sens-Texte.
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Noukpakou, Fabrice, and Renaud Pleitinx. "Le paysage Otammari." lieuxdits, December 16, 2019, 21–24. http://dx.doi.org/10.14428/ld.vi17.52463.

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Abstract:
La recherche doctorale que nous conduisons en Loci, sous la direction des professeurs Renaud Pleitinx et Quentin Wilbaux, est née de la rencontre de notre propre intérêt pour le patrimoine architectural du Bénin et, en particulier, l’habitat otammari, avec les exigences et les compétences des cellules de recherche auxquelles appartiennent nos deux promoteurs : le laboratoire analyse architecture (laa) et LoCiLoCaL.Le laa coordonné par les professeurs Cécile Chanvillard, Pierre Cloquette, Renaud Pleitinx et Jean Stillemans est spécialisé dans le domaine de la théorie de l’architecture. Il se donne pour tâche de définir et de comprendre l’architecture en vue de fournir aux chercheurs dans les domaines de l’architecture des critères d’observation et des principes d’explication utiles à l’étude de toute espèce d’habitat.Coordonné, par le professeur Quentin Wilbaux, le LoCiLoCaL conduit des recherches dans les domaines de l’architecture, de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire avec comme souci de tirer le meilleur parti des ressources locales. Dans le cadre de ses recherches, le LoCiLoCal met au point et met en oeuvre des techniques de relevé qui font appel à la photographie aérienne (par avion ou par drone) et à la photogrammétrie.Notre recherche exploite, d’une part, les outils d’analyse et les schèmes explicatifs proposés par le laa et met en oeuvre, d’autre part, les techniques de relevé développées et utilisées au sein de LoCiLoCaL. Pour présenter l’état de cette recherche en cours, nous en préciserons successivement l’objet, la problématique et la méthode.
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Bertaccini, Franco, and Alessandra Matteucci. "L’approche variationniste à la pratique terminologique d’entreprise." Recherches terminologiques (cédérom) 50, no. 4 (February 4, 2009). http://dx.doi.org/10.7202/019910ar.

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Abstract:
Résumé Cet article présente un projet de recherche sur la terminologie des composants structurels de la motocyclette Aprilia, axé sur une enquête de « sociolinguistique en milieu de travail » et qui a pour but de décrire le rapport réel entre terminologie et variétés de la langue, tout en considérant les études de Rita Temmerman sur la « théorie de la terminologie sociocognitive ». La présence et l’utilisation de la variété vénète en milieu de travail a été vérifié à l’aide d’un questionnaire de sociolinguistique, distribué à 10% des actifs chez Aprilia S.p.A. L’examen des données, a finalement mené à une analyse contrastive entre la « stratification linguistique en milieu de travail » et l’architecture de la langue italienne standard proposée par Berruto.
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Roussel, Marion. "De la cybernétique à l’architecture numérique: retour sur un demi-siècle de théories, pratiques, et projets expérimentaux." Canadian Journal of Communication 42, no. 3 (July 28, 2017). http://dx.doi.org/10.22230/cjc.2017v42n3a3178.

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Abstract:
Background Little is said about the influence of cybernetics on the architectural practices and theories of the past fifty years. Yet, from the discourses of the experimental architecture of the 1960s and 1970s, to those of the most advanced advocates of digital design, the terms and key themes of cybernetics keep coming back.Analysis Focusing on the first attempts to apply cybernetics to architecture, then to the themes of the network, cyborg and cyberspace, and finally to the biological turn of the architecture of the 2000s, this article shows the prevalence of notions of the interactivity, adaptability, reflexivity, sensitivity and intelligence of architecture and the city in architects’ discourses.Conclusion and Implications Architects have never stopped working on these cybernetics notions. Moreover, the latter are culminating today in the theme of the smart city.RÉSUMÉContexte L’on parle peu de l’influence de la cybernétique sur les pratiques et théories architecturales de ces cinquante dernières années. Pourtant, depuis les discours de l’architecture expérimentale des années 1960-1970 jusqu’à ceux de la conception numérique la plus avant-gardiste, les termes et thèmes phares de la cybernétique sont bien présents.Analyse À travers l’étude des premières tentatives d’application de la cybernétique à l’architecture, des thèmes du réseau, du cyborg et du cyberespace et enfin du tournant biologique de l’architecture des années 2000, cet article montre la prégnance des notions d’interactivité, d’adaptabilité, de réflexivité, de sensibilité et d’intelligence de l’architecture et de la ville dans les discours des architectes.Conclusion et implications Ces notions, issues de la cybernétique, ont ainsi beaucoup nourri les architectes. Plus encore, elles atteignent aujourd’hui un point d’orgue à travers le thème de la smart city.
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Vincent, Johan. "Éric Alonzo, L’architecture de la voie. Histoire et théories." Lectures, December 17, 2018. http://dx.doi.org/10.4000/lectures.29729.

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Papapetros, Spyros, and Alex Raiffé. "« L’âme est l’architecte de son propre corps »." animer, no. 22 (April 2, 2014). http://dx.doi.org/10.7202/1024115ar.

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Abstract:
À une époque où l’on s’est efforcé de redéfinir la nature de la vie et de faire de l’âme (anima ou psyché) une autorité centrale dans l’organisation de tout processus matériel et immatériel, l’architecture sert non seulement de métaphore structurelle, mais aussi de schéma épistémologique capable de recadrer la formation tectonique de tout être vivant. Cet article retrace les manifestations externes et les processus méthodologiques internes de cette « âme architectonique » à travers les théories épistémologiques du philosophe Albert Lemoine et sa lecture des principes vitalistes et animistes de Georg Ernst Stahl; également dans les récits ethnographiques des forêts animées écrits par des anthropologues comparatistes tels Edward Burnett Tylor et James George Frazer; ou encore dans les rudiments du culte animiste des arbres que l’on trouve dans les écrits d’historiens et théoriciens de l’architecture tels James Fergusson, Karl Bötticher et Gottfried Semper; ou enfin dans les mémoires ethnographiques sur les rituels animistes contemporains de l’historien culturel Aby Warburg.
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Cortado, Thomas Jacques. "Maison." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.131.

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Abstract:
Le champ sémantique de la maison imprègne nos perceptions individuelles et collectives du monde comme peu d’autres. Il suffit de songer à la distinction très marquée entre house et home en anglais, si difficile à retranscrire dans nos langues latines, ou encore aux usages politiques de l’expression « chez nous » en français. Ce champ renvoie à des lieux souvent riches d’affects, de mémoires et de désirs, qui nous définissent en propre et orientent nos perceptions du temps et de l’espace. Ils font d’ailleurs la matière des poètes, peintres et autres artistes. À cet égard, lorsque nous perdons notre maison, nous ne nous retrouvons pas seulement privés d’un bien utile et échangeable, d’un « logement », nous voyons aussi s’effacer une partie de nous-mêmes et le centre à partir duquel s’organise notre existence quotidienne. En dépit de sa densité, les anthropologues ont d’abord rabattu le thème de la maison sur ceux de la famille et de la culture matérielle. Pour Lewis H. Morgan, la forme de l’espace domestique ne fait qu’épouser un certain type d’organisation familiale; elle en est, pour ainsi dire, le révélateur (1877). À la « hutte » des « sauvages » correspond donc la famille consanguine, qui autorise le mariage entre cousins, alors qu’à la « maison commune » des « barbares » correspond la famille patriarcale, autoritaire et polygame. Les « maisons unifamiliales » de l’Occident contemporain renvoient à la famille nucléaire, fondement de la « civilisation ». Quant aux anthropologues davantage intéressés par l’architecture et les artefacts domestiques, leurs analyses consistent souvent à expliquer leur genèse en accord avec une vision évolutionniste du progrès technique ou par des facteurs géographiques. On aurait pu s’attendre à ce que l’invention de l’ethnographie par Bronislaw Malinowski ouvre de nouvelles perspectives. Avec elle, c’est en effet un certain rapport à la maison qui se met à définir le métier d’anthropologue, celui-là même qu’exemplifie la célèbre représentation de ce dernier sous sa tente, immortalisée dans la première planche photographique des Argonautes du Pacifique occidental. Pour autant, la maison reste un objet secondaire par rapport à l’organisation de la vie familiale, le vrai principe de la société. Elle est avant tout le lieu où le couple choisit de résider après le mariage et ce choix se plie à certaines « règles », dont on peut assez facilement faire l’inventaire, grâce aux liens de filiation entre les membres du couple et les autres résidents (Murdock 1949). On parlera, par exemple, de résidence « matrilocale » quand le couple emménage chez les parents de l’épouse, « patrilocale » dans le cas inverse. Quant aux sociétés occidentales, où le couple forme habituellement un nouveau ménage, on parlera de résidence « néolocale ». La critique de ces règles permet, dans les années 1950 et 1960, d’étendre la réflexion sur la maison. Face aux difficultés concrètes que pose leur identification, Ward Goodenough suggère d’abandonner les taxinomies qui « n’existent que dans la tête des anthropologues » et de « déterminer quels sont, de fait, les choix résidentiels que les membres de la société étudiée peuvent faire au sein de leur milieu socioculturel particulier » (1956 : 29). Autrement dit, plutôt que de partir d’un inventaire théorique, il faut commencer par l’étude des catégories natives impliquées dans les choix résidentiels. La seconde critique est de Meyer Fortes, qui formule le concept de « groupe domestique », « unité qui contrôle et assure l’entretien de la maison (householding and housekeeping unit), organisée de façon à offrir à ses membres les ressources matérielles et culturelles nécessaires à leur conservation et à leur éducation » (1962 : 8). Le groupe domestique, à l’instar des organismes vivants, connaît un « cycle de développement ». En Europe du sud, par exemple, les enfants quittent le domicile parental lorsqu’ils se marient, mais y reviennent en cas de rupture conjugale ou de chômage prolongé ; âgés, les parents souvent cherchent à habiter près de leurs enfants. En conséquence, « les modèles de résidence sont la cristallisation, à un moment donné, d’un processus de développement » (Fortes 1962 : 5), et non l’application statique de règles abstraites. La maison n’est donc pas seulement le lieu où réside la famille, elle est nécessaire à l’accomplissement de tâches indispensables à la reproduction physique et morale des individus, telles que manger, dormir ou assurer l’éducation des nouvelles générations (Bender 1967). Cette conception du groupe domestique rejoint celle qu’avait formulée Frédéric Le Play un siècle auparavant : pour l’ingénieur français, il fallait placer la maison au centre de l’organisation familiale, par la défense de l’autorité paternelle et la transmission de la propriété à un héritier unique, de façon à garantir la stabilité de l’ordre social (1864). Elle exerce de fait une influence considérable sur les historiens de la famille, en particulier ceux du Cambridge Group for the History of Population and Social Structure, dirigé par Peter Laslett (1972), et sur les anthropologues (Netting, Wilk & Arnould 1984), notamment les marxistes (Sahlins 1976). En Amérique latine, de nombreuses enquêtes menées dans les années 1960 et 1970 mettent en évidence l’importance des réseaux d’entraide, attirant ainsi l’attention sur le rôle essentiel du voisinage (Lewis 1959, Lomnitz 1975). La recherche féministe explore quant à elle le caractère genré de la répartition des tâches au sein du groupe domestique, que recoupe souvent la distinction entre le public et le privé : à la « maîtresse de maison » en charge des tâches ménagères s’oppose le « chef de famille » qui apporte le pain quotidien (Yanagisako 1979). Un tel découpage contribue à invisibiliser le travail féminin (di Leonardo 1987). On remarquera néanmoins que la théorie du groupe domestique pense la maison à partir de fonctions établies par avance : ce sont elles qui orientent l’intérêt des anthropologues, plus que la maison en elle-même. C’est à Claude Lévi-Strauss que l’on doit la tentative la plus systématique de penser la maison comme un principe producteur de la société (1984 ; 2004). Celui-ci prend pour point de départ l’organisation sociale de l’aristocratie kwakiutl (Amérique du Nord), telle qu’elle avait été étudiée par Franz Boas : parce qu’elle présentait des traits à la fois matrilinéaires et patrilinéaires, parce qu’elle ne respectait pas toujours le principe d’exogamie, celle-ci défiait les théories classiques de la parenté. Lévi-Strauss propose de résoudre le problème en substituant le groupe d’unifiliation, tenu pour être au fondement des sociétés dites traditionnelles, par celui de « maison », au sens où l’on parlait de « maison noble » au Moyen Âge. La maison désigne ainsi une « personne morale détentrice d’un domaine, qui se perpétue par transmission de son nom, de sa fortune et de ses titres en ligne réelle ou fictive » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Plus que les règles de parenté, ce sont les « rapports de pouvoir » entre ces « personnes morales » qui déterminent les formes du mariage et de la filiation : celles-ci peuvent donc varier en accord avec les équilibres politiques. Lévi-Strauss va ensuite généraliser son analyse à un vaste ensemble de sociétés apparemment cognatiques, qu’il baptise « sociétés à maison ». Celles-ci se situeraient dans une phase intermédiaire de l’évolution historique, « dans un état de la structure où les intérêts politiques et économiques tend[ent] à envahir le champ social » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Très discuté par les spécialistes des sociétés concernées, ce modèle a eu la grande vertu de libérer l’imagination des anthropologues. Critiquant son évolutionnisme sous-jacent, Janet Carsten et Stephen Hugh-Jones (1995) proposent toutefois d’approfondir la démarche de Lévi-Strauss, en considérant la maison comme un véritable « fait social total ». L’architecture, par exemple, ne relève pas que d’une anthropologie des techniques : celle de la maison kabyle, analysée par Pierre Bourdieu, met en évidence un « microcosme organisé selon les mêmes oppositions et mêmes homologies qui ordonnent tout l’univers » (1972 : 71), un parallélisme que l’on retrouve dans de nombreux autres contextes socioculturels (Hamberger 2010). Fondamentalement, la maison relève d’une anthropologie du corps. Dans son enquête sur la parenté en Malaisie, Carsten souligne le rôle joué par la cuisine ou le foyer, en permettant la circulation des substances qui assurent la production et la reproduction des corps (alimentation, lait maternel, sang) et leur mise en relation, ce que Carsten appelle la « relationalité » (relatedness) (1995). Fait dynamique plutôt que statique, la maison nous met directement au contact des processus qui forment et reforment nos relations et notre personne : son étude permet donc de dépasser la critique culturaliste des travaux sur la parenté; elle nous montre la parenté en train de se faire. Il convient aussi de ne pas réduire la maison à ses murs : celle-ci le plus souvent existe au sein d’un réseau. Les enquêtes menées par Émile Lebris et ses collègues sur l’organisation de l’espace dans les villes d’Afrique francophone proposent ainsi le concept de « système résidentiel » pour désigner « un ensemble articulé de lieux de résidences (unités d’habitation) des membres d’une famille étendue ou élargie » (Le Bris 1985 : 25). Ils distinguent notamment entre les systèmes « centripètes », « de concentration en un même lieu d’un segment de lignage, d’une famille élargie ou composée » et les systèmes « centrifuges », de « segmentation d’un groupe familial dont les fragments s’installent en plusieurs unités résidentielles plus ou moins proches les unes des autres, mais qui tissent entre elles des liens étroits » (Le Bris 1985 : 25). Examinant les projets et réseaux que mobilise la construction d’une maison dans les quartiers noirs de la Bahia au Brésil, les circulations quotidiennes de personnes et d’objets entre unités domestiques ainsi que les rituels et fêtes de famille, Louis Marcelin en déduit lui aussi que la maison « n’est pas une entité isolée, repliée sur elle-même. La maison n’existe que dans le contexte d’un réseau d’unités domestiques. Elle est pensée et vécue en interrelation avec d’autres maisons qui participent à sa construction – au sens symbolique et concret. Elle fait partie d’une configuration » (Marcelin 1999 : 37). À la différence de Lebris, toutefois, Marcelin part des expériences individuelles et des catégories socioculturelles propres à la société étudiée : une « maison », c’est avant tout ce que les personnes identifient comme tel, et qui ne correspond pas nécessairement à l’image idéale que l’on se fait de cette dernière en Occident. « La configuration de maisons rend compte d’un espace aux frontières paradoxalement floues (pour l'observateur) et nettes (pour les agents) dans lequel se déroule un processus perpétuel de création et de recréation de liens (réseaux) de coopération et d'échange entre des entités autonomes (les maisons) » (Marcelin 1996 : 133). La découverte de ces configurations a ouvert un champ de recherche actuellement des plus dynamiques, « la nouvelle anthropologie de la maison » (Cortado à paraître). Cette « nouvelle anthropologie » montre notamment que les configurations de maisons ne sont pas l’apanage des pauvres, puisqu’elles organisent aussi le quotidien des élites, que ce soit dans les quartiers bourgeois de Porto au Portugal (Pina-Cabral 2014) ou ceux de Santiago au Chili (Araos 2016) – elles ne sont donc pas réductibles à de simples « stratégies de survie ». Quoiqu’elles se construisent souvent à l’échelle d’une parcelle ou d’un quartier (Cortado 2019), ces configurations peuvent très bien se déployer à un niveau transnational, comme c’est le cas au sein de la diaspora haïtienne (Handerson à paraître) ou parmi les noirs marrons qui habitent à la frontière entre la Guyane et le Suriname (Léobal 2019). Ces configurations prennent toutefois des formes très différentes, en accord avec les règles de filiation, bien sûr (Pina-Cabral 2014), mais aussi les pratiques religieuses (Dalmaso 2018), le droit à la propriété (Márquez 2014) ou l’organisation politique locale – la fidélité au chef, par exemple, est au fondement de ce que David Webster appelle les « vicinalités » (vicinality), ces regroupements de maisons qu’il a pu observer chez les Chopes au sud du Mozambique (Webster 2009). Des configurations surgissent même en l’absence de liens familiaux, sur la base de l’entraide locale, par exemple (Motta 2013). Enfin, il convient de souligner que de telles configurations ne sont pas, loin de là, harmonieuses, mais qu’elles sont généralement traversées de conflits plus ou moins ouverts. Dans la Bahia, les configurations de maisons, dit Marcelin, mettent en jeu une « structure de tension entre hiérarchie et autonomie, entre collectivisme et individualisme » (Marcelin 1999 : 38). En tant que « fait social total », dynamique et relationnel, l’anthropologie de la maison ne saurait pourtant se restreindre à celle de l’organisation familiale. L’étude des matérialités domestiques (architecture, mobilier, décoration) nous permet par exemple d’accéder aux dimensions esthétiques, narratives et politiques de grands processus historiques, que ce soit la formation de la classe moyenne en Occident (Miller 2001) ou la consolidation des bidonvilles dans le Sud global (Cavalcanti 2012). Elle nous invite à penser différents degrés de la maison, de la tente dans les camps de réfugiés ou de travailleurs immigrés à la maison en dur (Abourahme 2014, Guedes 2017), en passant par la maison mobile (Leivestad 2018) : pas tout à fait des maisons, ces formes d’habitat n’en continuent pas moins de se définir par rapport à une certaine « idée de la maison » (Douglas 1991). La maison relève aussi d’une anthropologie de la politique. En effet, la maison est une construction idéologique, l’objet de discours politiquement orientés qui visent, par exemple, à assoir l’autorité du père sur la famille (Sabbean 1990) ou à « moraliser » les classes laborieuses (Rabinow 1995). Elle est également la cible et le socle des nombreuses technologiques politiques qui organisent notre quotidien : la « gouvernementalisation » des sociétés contemporaines se confond en partie avec la pénétration du foyer par les appareils de pouvoir (Foucault 2004); la « pacification » des populations indigènes passe bien souvent par leur sédentarisation (Comaroff & Comaroff 1992). Enfin, la maison relève d’une anthropologie de l’économie. La production domestique constitue bien sûr un objet de première importance, qui bénéficie aujourd’hui d’un regain d’intérêt. Florence Weber et Sybille Gollac parlent ainsi de « maisonnée » pour désigner les collectifs de travail domestique fondés sur l’attachement à une maison – par exemple, un groupe de frères et sœurs qui s’occupent ensemble d’un parent âgé ou qui œuvrent à la préservation de la maison familiale (Weber 2002, Gollac 2003). Dans la tradition du substantialisme, d’autres anthropologues partent aujourd’hui de la maison pour analyser notre rapport concret à l’économie, la circulation des flux monétaires, par exemple, et ainsi critiquer les représentations dominantes, notamment celles qui conçoivent l’économie comme un champ autonome et séparé (Gudeman et Riviera 1990; Motta 2013) – il ne faut pas oublier que le grec oikonomia désignait à l’origine le bon gouvernement de la maison, une conception qui aujourd’hui encore organise les pratiques quotidiennes (De l’Estoile 2014). Cycles de vie, organisation du travail domestique, formes de domination, identités de genre, solidarités locales, rituels et cosmovisions, techniques et production du corps, circulation des objets et des personnes, droits de propriété, appropriations de l’espace, perceptions du temps, idéologies, technologies politiques, flux monétaires… Le thème de la maison s’avère d’une formidable richesse empirique et théorique, et par-là même une porte d’entrée privilégiée à de nombreuses questions qui préoccupent l’anthropologie contemporaine.
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Desveaux, Emmanuel. "Parenté." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.102.

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Abstract:
Au milieu du XIXe siècle, Henry L. Morgan, un avocat américain puritain, fait une découverte considérable : dans toutes les langues humaines, il existe un ensemble de termes servant à désigner les différents types de parents. Si ces mots appartiennent à la langue, la façon dont se répartit leur usage répond à des principes logiques qui la dépassent dans la mesure où ils se retrouvent dans des langues voisines — ou éloignées — qui n’ont rien de commun. La somme des termes de parenté d’une langue forme ainsi une nomenclature, et celle-ci est, de façon universelle, égocentrée. Le fait qui illustre le mieux le caractère métalinguistique du fait nomenclatural réside dans la dichotomie qui prévaut dans de très nombreuses langues — en Amérique, en Australie ou encore en Océanie — entre cousins-parallèles(ceux qui sont issus du frère du père ou de la sœur de la mère), assimilés à des frères et sœurs, et les cousins-croisés(issus de la sœur du père ou du frère de la mère) parmi lesquels il est très souvent possible, voire parfois même obligatoire, de choisir un partenaire matrimonial. Ainsi une règle abstraite engendre les cousins-croisés, à savoir l’inversion de sexe au sein des fratries respectives de mes parents. D’autres règles d’ordre logique prévalent, bien qu’elles soient moins à même de retenir l’attention de la pensée occidentale car elles lui sont coutumières, telles que la différence entre les générations (grands-parents, parents, enfants, petits-enfants) ou la collatéralité (oncles, tantes, neveux et nièces). Surgissent enfin çà et là, notamment en Amérique, mais également en Afrique, d’autres règles qui paraissent encore plus déroutantes que la catégorie de cousins-croisés, telle que l’inclinaison générationnelle. Les Indiens des Plaines nord-américaines en offrent des beaux exemples, d’où l’appellation de systèmes Crow-Omaha, noms de deux tribus de cette région. Dans ce cas, l’individu a des parents appartenant à la même génération biologique que lui, mais qu’il désigne par des termes tels « grand-père », « grand-mère » ou « petit-fils, petite-fille ». Que signifie ce dispositif langagier et son universalité ? Notons alors qu’il s’oppose à un autre dispositif, tout aussi universel, de désignation des individus : celui des noms propres. Ces derniers sont conférés à l’individu, par exemple en vertu du baptême ou d’un autre rite de passage. Ils relèvent toujours d’une métaphore, puisque les noms propres possèdent toujours une signification commune préalable. Le dispositif de la nomenclature de parenté procède, quant à lui, par métonymie; il permet à l’individu, lors de son apprentissage de la langue, de s’approprier cognitivement la relation qu’il entretient avec les personnes qui l’entourent, puis de proche en proche de désigner par lui-mêmeceux qui sont liés à lui. Les deux dispositifs de désignation, l’un passif, l’autre actif, se révèlent universels, bien qu’ils connaissent respectivement de grandes variations, notamment d’étiquette, selon les cultures (Désveaux 2013 : 254). Le fait que les termes de parenté doivent être compris comme les compléments inverses des noms propres nous permet d’affirmer que la parenté en tant que telle renvoie en priorité à l’inscription de l’individu dans l’ordre social par le biais du langage. Ce point a été largement occulté par les parentalistes, car ils sont restés dans leur grande majorité fidèles au moule théorique hérité de Morgan, qui fait de la nomenclature tantôt le marqueur d’une évolution cognitive en quête d’une vérité biologique, tantôt l’expression de principes d’organisation sociale extérieurs à elle. L’inventeur de la parenté avait en effet tiré deux grandes conclusions de ses recherches comparées sur les nomenclatures. Primo, les longs progrès de l’humanité la conduisent à identifier et à isoler la famille nucléaire, dont la famille occidentale offre le modèle accompli. Nos langues ne distinguent-elles l’oncle du père, la tante de la mère, les frères des cousins, etc. ? Selon Morgan (1871), ces nomenclatures seraient descriptivescar elles attesteraient de la réalité des relations biologiques qui relient les individus. Il oppose la lucidité inhérente à nos nomenclatures au caractère aveugle des nomenclatures de la majorité des peuples exotiques primitifs qui, dites classificatoires, rangent dans une même catégorie, ou même classe, des frères et des cousins. Secundo, les termes de parenté reflètent des manières de cohabiter. Ainsi, là où des cousins s’appellent « frère », c’est parce que la société vit encore dans un état de promiscuité qui fait que des enfants issus de couples de géniteurs différents partagent la même maison, autrement dit vivent dans une « famille élargie ». Un premier courant des études de parenté, très présent aux États-Unis, va s’attacher à montrer que les systèmes de parenté, dans toutes les sociétés, même les plus « primitives », visent à certifier le lien « biologique » entre un homme et ses enfants (Sheffler 1973, pour une critique de ce courant, voir Schneider 1968). L’accent est alors mis sur l’étude des comportements plutôt que sur celle des termes et le dialogue avec l’éthologie animale très étroit. La capacité de déceler des ressemblances entre individus serait également tenue pour universelle. Un deuxième courant est plus proprement sociologique. Il cherche à montrer que l’architecture logique d’une nomenclature reflète des règles de filiation et surtout de mariage. L'initiateur de ce courant est Rivers (1913). Délaissant l’heuristique morganienne de la cohabitation, ce dernier montre que le phénomène des cousins-croisés résulte ou reflète une règle particulière d’alliance. Si de génération en génération se reproduit le même type de mariage avec sa cousine issue de l’oncle maternel ou de la tante paternelle, l’ensemble du champ de la parenté se déploie autour de deux lignées qui s’échangent leurs enfants. La démonstration était facilitée par la présence d’une idéologie de l’échange matrimonial chez les Dravidiens, population de l’Inde méridionale, où Rivers enquêtait. Or, Lévi-Strauss amplifie sa démonstration (1949). Le père du structuralisme y montre qu’une altération simple de la règle du mariage avec la cousine-croisée transforme profondément le système. L’interdiction du mariage avec la cousine patrilatérale a en effet pour conséquence de créer une structure d’échange non à deux termes, mais à trois unités échangistes en brisant une réciprocité immédiate au bénéfice d’une réciprocité plus englobante, à trois unités échangistes, voire plus : si les femmes circulent toujours dans le même sens, des donneurs aux preneurs, le système finit par se boucler sur lui-même. Cette nouvelle structure d’échange est dite généralisée et non plus restreinte puisque, à la différence de la première, elle se définit par sa faculté d’intégration d’un assez grand nombre d’unités échangistes, sans que soit altéré son fonctionnement. Toutefois, l’échange matrimonial se métamorphose : il n’est plus une pratique consciente pour les protagonistes, mais s’enfouit dans l’inconscient collectif. Lévi-Strauss va plus loin encore, inspiré à la fois par Le contrat socialde Rousseau et L’essai sur le donde Mauss, en disant que ce principe d’échange matrimonial est commun à toutes les sociétés humaines et se situe à l’origine de l’ordre social. La prohibition de l’inceste, universelle, en serait en quelque sorte la contrepartie négative, puisque afin de marier ma sœur à l’extérieur, je dois renoncer à elle. De ce renoncement, je peux m’attendre à recevoir à mon tour une épouse de celui qui sera mon beau-frère. L’échange des femmes sert la procréation comme il renforce la solidarité sociale. La puissance de ce modèle théorique, ainsi que sa compatibilité avec le freudisme, lui a longtemps garanti une audience considérable. Cette hégémonie s’est surtout exercée en France et en Grande-Bretagne, avant de subir, plus récemment, une certaine désaffection sous l’effet d’un double mouvement critique. D’un point de vue externe à la discipline, l’engouement féministe contemporain rend de plus en plus incongrue l’idée que les femmes soient à la fois des personnes, en tant qu’elles sont sujettes au langage, et des valeurs, en tant qu’objets d’échange. D’un point de vue interne à la discipline, la critique s’avère plus technique. Elle revient à dire que les nomenclatures à cousins-croisés peuvent autant s’expliquer par un impératif dualiste d’ordre cognitif que par des préceptes échangistes et que si leur prévalence n’est pas confirmée par l’ethnographie — comme c’est le cas en Amérique —, elle relève peut-être finalement d’une illusion de la théorie. Il existe une troisième voie dans les études de parenté, ouverte par Kroeber (1909) lorsqu’il disait que les opérateurs sémantiques inhérents à toute nomenclature ne se limitaient pas à la fascinante question des cousins-croisés. Les anthropologues culturalistes américains, peu sensibles au philosophisme lévi-straussien, ont développé ainsi l’approche componentielle, proposant de décomposer les termes de parenté en éléments (en composants) logiques (Goodenough 1956). Si ces recherches n’ont pas débouché sur des résultats spectaculaires, ils ont permis de comprendre que, dans l’ordre de la parenté, la parole abolit la différence des sexes, pourtant très saillante, dans la procréation elle-même, où la femme et l’homme ont des fonctions physiologiques et donc des rôles sociaux très différenciés. Car l'homme et la femme sont à égalité par rapport au langage, qu’ils maîtrisent pareillement. Leurs positions sont interchangeables dès lors qu’il s’agit de socialiser l’enfant en lui apprenant les relations de parenté qui lient tous ceux qui l’entourent. Nous sommes alors loin de l’obsession biologique d’un Morgan, qui pensait devoir fonder la parenté sur l’opposition, traditionnelle en Occident, de la consanguinitéet de l’affinité (Désveaux 2002).
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Lapierre, Nicole. "Étranger." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.127.

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Dans un texte de 1908 intitulé « Digressions sur l’Étranger » (1999), le sociologue Georg Simmel définit ce dernier comme l’homme venu d’ailleurs et installé à demeure, même s’il reste un voyageur potentiel. Membre du groupe dans lequel il s’est fixé, il y occupe une position distincte, en raison de son origine et se trouve renvoyé à une altérité plus ou moins bien acceptée. Souvent pénible, cette situation peut s’avérer positive dans la mesure où elle favorise un questionnement sur le monde social : « parce qu’il n’a pas de racines dans les particularismes et les partialités du groupe, il s’en tient à l’écart avec l’attitude spécifique de l’objectivité, qui n’indique pas le détachement ou le désintérêt, mais résulte plutôt de la combinaison particulière de la distance et de la proximité, de l’attention et de l’indifférence.» (Simmel, 1999, 55) A cette analyse répond, plus de trente ans après, celle du sociologue autrichien Alfred Schutz. Dans un article intitulé « L’étranger », publié initialement en 1944 aux États-Unis où il avait fui la menace nazie, Schutz s’attache à son tour, en phénoménologue du social, à décrire les difficultés et les capacités de l’étranger (Schutz, 2003). Celui-ci ne dispose pas de cette connaissance immédiate venue de la pensée d’habitude (thinking as usual). Pour lui, le modèle culturel du groupe d’accueil, dépourvu de l’évidence d’un sens commun, s’avère problématique. Schutz insiste sur son désarroi, mais il souligne, comme Simmel, son potentiel heuristique, lié à la nécessité d’examiner ce qui, pour d’autres, va de soi. Ainsi, note-t-il : « l’étranger discerne, souvent avec une douloureuse clairvoyance, l’émergence d’une crise susceptible de menacer toutes les fondations d’une “conception relativement naturelle du monde” » (Schutz, 2003, 17). Le modèle explicite de Simmel est la position des Juifs, intermédiaires jugés nécessaires, donc tolérés mais stigmatisés, dans la société précapitaliste. Mais au delà, il vise la condition de minoritaire qu’il connaît lui-même en tant que Juif assimilé et converti qui n’a jamais été accueilli par l’université allemande. Le modèle de Schutz est le nouveau venu, l’immigrant de fraîche date, dont on ne sait pas encore s'il va rester marginalisé ou s'il va s’intégrer. Schutz, lui aussi, parle d’expérience : quand il publie ce texte, cela fait six ans qu’il est arrivé aux États Unis. C’est un exilé qui a dû changer de code, de langue et d’environnement et qui regarde, intrigué, la société américaine. Ces deux formes d’expérience de l’étrangéité ont été vécues et théorisées par de nombreux intellectuels juifs allemands, contraints de fuir après l’arrivée au pouvoir d’Hitler. C’est le cas de Siegfried Kracauer qui a étudié l’architecture, la philosophie, la sociologie et a suivi le séminaire privé de Simmel, dans les années 1910 à Berlin. Il a participé activement à l’effervescence culturelle et politique de la gauche de Weimar avant de connaître les chemins de l’exil, en France puis aux États Unis. Comme son maître Simmel, il déchiffrait dans le quotidien urbain, la culture de masse ou l’esthétique ordinaire les signes révélateurs d’une mutation de la société. Selon Theodor Adorno, « Le comportement [de Kracauer] à l’égard de l’expérience était toujours celui de l’étranger, transposé dans le domaine de l’esprit. » (1984, 273) Dans son dernier ouvrage, L’Histoire Des avant-dernières choses, il compare l’historien à l’étranger, entrant dans un monde auquel il n’appartient pas. Et il écrit aussi à propos de l’exilé : « il a cessé d“appartenir” » (he has ceased to belong), (Kracauer, 2006, 146). Pour Kracauer, cette non appartenance, qu’il définit également comme une « exterritorialité », rapproche la situation de l’étranger ou de l’exilé d’un côté et la position du sociologue ou de l’historien de l’autre. A son tour, Edward Saïd donne de nombreux exemples des affinités entre expérience du déplacement, renouvellement du regard et pensée critique (2008). Parmi ceux-ci, il évoque les travaux d’Adorno dans son exil new-yorkais. Il est devenu, dit-il, un chasseur d’illusions et la situation pénible et précaire dans laquelle il se trouvait, en lui donnant une vision à la fois proche et distanciée, a sans nul doute favorisé la lucidité de ses analyses sur le caractère administré d’une modernité dépourvue d’humanité. Pour lui, ajoute-t-il, le refus de cet état des choses est la mission de l’intellectuel en exil. Une mission que Saïd, Américain d’origine palestinienne, se fixe à son tour dans sa théorie nomade (traveling theory) de l’analyse littéraire, qui opère un décentrement radical par rapport à la culture hégémonique occidentale. Si une expérience de minoritaire ou d’exilé peut inciter à se défaire des évidences familières, à se détacher des représentations communes et ainsi à développer une pensée critique, on peut aussi, par méthode ou par principe épistémologique « jouer l’étranger », selon l’expression de deux historiens des sciences anglais Steven Shapin et Simon Schaffer (1993, 12). Ils cherchaient à expliquer pourquoi la méthode expérimentale fait scientifiquement preuve. Pour répondre à cette question, il leur fallait, disaient-ils, citant Schutz, suspendre leur perception routinière sur l’évidence de l’expérience et aborder « leur » culture de l’expérimentation à la manière dont un étranger percevait une culture autre que la sienne. Ce qu’ils ont fait en étudiant les controverses sur le sujet au XVIIe siècle (entre Thomas Hobbes et Robert Boyle). Ils ont pratiqué ce que l’historien Carlo Ginzburg nomme l’« estrangement » (straniamento). (2001) L’estrangement est un procédé littéraire provoquant une défamiliarisation afin de donner une perception plus exacte de ce qui est raconté (notons ici que c'était déjà l'appréhension de Montaigne, notamment dans le chapitre "Des Cannibales" des Essais). Ginzburg, qui rappelle la longue histoire de ce procédé, de Marc Aurèle à Tolstoï, montre que son objectif a toujours été critique : l’estrangement permet de se défaire des « représentations fallacieuses », des « postulats qu’on croyait évidents » et des « modes d’identification rebattus et usés par les habitudes perceptives » (2001, 21). C’est « un instrument de délégitimation à tous les niveaux, politique, social, religieux » (2001, 29). Il libère le regard en lui ôtant les lunettes des normes ou des traditions culturelles. En cela, il intéresse l’historien mais a une portée cognitive et épistémologique plus générale. Pour le sociologue, qui étudie la société dans laquelle il est lui-même immergé, la position de l’étranger (et la réflexivité qu’elle implique), est une nécessité méthodologique. Il faut « penser ailleurs » pour aiguiser les interrogations et stimuler les interprétations (Lapierre, 2006), en prenant notamment de la distancepar rapport aux évidences des institutions et des sens communs en cours dans la société. L’ethnologue travaillant de façon classique sur des terrains lointains, lui, occupait de fait une position d’étranger, bien qu’un peu particulière. Ni touriste de passage en quête d’exotisme, ni résident installé à demeure, il était « l’intrus familier ». Le défi étant d’être de moins en moins intrus et de plus en plus familier, tout en considérant, d’un « regard éloigné », les observés comme des objets. Cette façon de travailler au loin, sur des terrains circonscrits, avec des systèmes interprétatifs puissants et exclusivement forgés en Occident, est désormais remise en question. Car les sociétés sont mondialisées et les « aires culturelles » reconfigurées par les migrations. Il n’y a plus centre et périphérie, sujet sachant et objet du savoir. Enfin, l’exercice de l’anthropologie n’est plus une exclusivité occidentale. Tandis que les mondes se rapprochent, deux options s’offrent désormais à l’anthropologue. Il peut user de ses propres outils pour « jouer à l’étranger chez lui ». Le détour par l’ailleurs qui permet en retour sur les us et manières de sa propre société n’est certes pas une nouveauté, Montaigne le pratiquait déjà ("Je ne dis les autres que pour d'autant plus me dire"), mais il reste fructueux, comme l’ont montré, par exemple, les travaux de Georges Balandier (1985) ou de Marc Abélès (2000). Il peut également, et cette voie est plus engageante (dans tous les sens du terme), coproduire un savoir où chacun est l’étranger familier de l’autre.
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