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Dissertations / Theses on the topic 'Tocqueville, Alexis de, 1805-1859 – Et l'individualisme'

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Michaud, Olivier. "Tocqueville et la question de l'autorité." Thesis, Université Laval, 2007. http://www.theses.ulaval.ca/2007/24339/24339.pdf.

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Bouchard, Éric, and Éric Bouchard. "Démocratie et grandeur humaine chez Tocqueville." Master's thesis, Université Laval, 2019. http://hdl.handle.net/20.500.11794/37033.

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Abstract:
En 1831, l’aristocrate français Alexis de Tocqueville (1805-1859) traverse l’Atlantique afin d’aller rencontrer l’avenir au coeur des États-Unis d’Amérique. Avant de s’embarquer pour cette aventure, il a déjà la certitude du caractère inévitable de l’égalisation des conditions. Bien que l’avènement de l’état social démocratique soit un «fait providentiel» aux yeux du jeune homme, il s’inquiète en constatant une certaine ambivalence quant à sa tournure politique. La république libérale n’est pas la conséquence politique nécessaire de l’état social démocratique; son contraire, le despotisme, doit aussi être sérieusement envisagé. L’Amérique devient donc une destination de choix afin d’y observer tout le potentiel démocratique, et livrer ensuite ses découvertes dans ce chef-d’oeuvre que constitue La Démocratie en Amérique (1835-1840). Ce «fait générateur» qu’est l’égalité des conditions, alors même qu’il ouvre un champ des possibles immense pour l’épanouissement humain, présente aussi un risque de déshumanisation. Afin de tirer le meilleur de la démocratie, l’homme doit éviter de sombrer dans l’apathie vis-à-vis la chose politique. Renoncer à ses devoirs de citoyen revient à abdiquer sa liberté, et donc tout espoir de grandeur. Tocqueville fournit dans son ouvrage un véritable éclaircissement de la démocratie dans ses tendances les plus secrètes, et il envisage certains contrepoids permettant de maintenir le fragile équilibre. Tocqueville se porte ainsi à la défense de la liberté et de la dignité humaines qu’il croit réellement menacées. L’état social démocratique constitue-t-il une terre fertile à la grandeur humaine? Quelles sont les conditions de possibilité du déploiement de cette grandeur? Et pour nous, presque deux siècles plus tard, les mots de Tocqueville ont-ils encore une certaine pertinence? À la lumière des réflexions de Tocqueville nourries par ses découvertes en sol américain, le présent mémoire essaie de montrer que démocratie et grandeur humaine ne sont pas incompatibles.
En 1831, l’aristocrate français Alexis de Tocqueville (1805-1859) traverse l’Atlantique afin d’aller rencontrer l’avenir au coeur des États-Unis d’Amérique. Avant de s’embarquer pour cette aventure, il a déjà la certitude du caractère inévitable de l’égalisation des conditions. Bien que l’avènement de l’état social démocratique soit un «fait providentiel» aux yeux du jeune homme, il s’inquiète en constatant une certaine ambivalence quant à sa tournure politique. La république libérale n’est pas la conséquence politique nécessaire de l’état social démocratique; son contraire, le despotisme, doit aussi être sérieusement envisagé. L’Amérique devient donc une destination de choix afin d’y observer tout le potentiel démocratique, et livrer ensuite ses découvertes dans ce chef-d’oeuvre que constitue La Démocratie en Amérique (1835-1840). Ce «fait générateur» qu’est l’égalité des conditions, alors même qu’il ouvre un champ des possibles immense pour l’épanouissement humain, présente aussi un risque de déshumanisation. Afin de tirer le meilleur de la démocratie, l’homme doit éviter de sombrer dans l’apathie vis-à-vis la chose politique. Renoncer à ses devoirs de citoyen revient à abdiquer sa liberté, et donc tout espoir de grandeur. Tocqueville fournit dans son ouvrage un véritable éclaircissement de la démocratie dans ses tendances les plus secrètes, et il envisage certains contrepoids permettant de maintenir le fragile équilibre. Tocqueville se porte ainsi à la défense de la liberté et de la dignité humaines qu’il croit réellement menacées. L’état social démocratique constitue-t-il une terre fertile à la grandeur humaine? Quelles sont les conditions de possibilité du déploiement de cette grandeur? Et pour nous, presque deux siècles plus tard, les mots de Tocqueville ont-ils encore une certaine pertinence? À la lumière des réflexions de Tocqueville nourries par ses découvertes en sol américain, le présent mémoire essaie de montrer que démocratie et grandeur humaine ne sont pas incompatibles.
In 1831, the French aristocrat Alexis de Tocqueville (1805-1859) sailed across the Atlantic Ocean to the heart of the United States of America in order to shed light upon the future of democracy. Before starting out on this adventure, he was already certain that social equality was inevitable. Even though, in his young eyes, the progression of the democratic social state was a “providential fact”, he became worried when he realized that there was a certain ambivalence concerning the political direction that the movement was taking. A democratic social state does not necessary lead to a liberal movement; its opposite, despotism, must seriously be taken into consideration. As such, America became his choice destination for observing all the democratic potential it had to offer, leading him to write his masterpiece Democracy in America (1835-1840), in which he shares his discoveries. Social equality opens an immense breadth of possibilities for human growth, but, at the same time, also presents a risk of dehumanization. In order to get the best out of democracy, humankind must avoid falling into apathy towards politics. Giving up one’s political responsibility is like abdicating one’s freedom and, as such, all hope for greatness. In his work, Tocqueville provides a true explanation of democracy, with all of its most secret orientations. He also provides measures that counterweight this nature, allowing for the fragile equilibrium to be maintained. In this manner, Tocqueville presents himself as the defender of human freedom and dignity, which he believes to be truly threatened. Does social equality allow for human greatness? If so, what conditions are required to deploy such greatness? Nearly two centuries later, are Tocqueville’s words still pertinent? In light of Tocqueville’s thoughts, which were fed by his discoveries on American soil, this dissertation attempts to demonstrate that democracy and human greatness are not incompatible.
In 1831, the French aristocrat Alexis de Tocqueville (1805-1859) sailed across the Atlantic Ocean to the heart of the United States of America in order to shed light upon the future of democracy. Before starting out on this adventure, he was already certain that social equality was inevitable. Even though, in his young eyes, the progression of the democratic social state was a “providential fact”, he became worried when he realized that there was a certain ambivalence concerning the political direction that the movement was taking. A democratic social state does not necessary lead to a liberal movement; its opposite, despotism, must seriously be taken into consideration. As such, America became his choice destination for observing all the democratic potential it had to offer, leading him to write his masterpiece Democracy in America (1835-1840), in which he shares his discoveries. Social equality opens an immense breadth of possibilities for human growth, but, at the same time, also presents a risk of dehumanization. In order to get the best out of democracy, humankind must avoid falling into apathy towards politics. Giving up one’s political responsibility is like abdicating one’s freedom and, as such, all hope for greatness. In his work, Tocqueville provides a true explanation of democracy, with all of its most secret orientations. He also provides measures that counterweight this nature, allowing for the fragile equilibrium to be maintained. In this manner, Tocqueville presents himself as the defender of human freedom and dignity, which he believes to be truly threatened. Does social equality allow for human greatness? If so, what conditions are required to deploy such greatness? Nearly two centuries later, are Tocqueville’s words still pertinent? In light of Tocqueville’s thoughts, which were fed by his discoveries on American soil, this dissertation attempts to demonstrate that democracy and human greatness are not incompatible.
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Keslassy, Éric. "Question sociale et démocratie dans l'oeuvre de Tocqueville." Paris 9, 2005. https://portail.bu.dauphine.fr/fileviewer/index.php?doc=2005PA090050.

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Abstract:
En dépit de nombreux commentaires et interprétations, l'œuvre d'Alexis de Tocqueville (1805-1859) peut encore s'envisager d'une façon originale. En effet, les réflexions économiques et sociales de l'auteur de La Démocratie en Amérique (1835 et 1840) n'ont pas encore donné lieu à une étude systématique. Pourtant, en utilisant à la fois les ouvrages très célèbres et les textes méconnus (rapports, discours, notes de voyage, correspondance), il est possible de présenter une nouvelle lecture de la pensée tocquevillienne. En s'interrogeant sur les réponses qu'il convient d'apporter à la question sociale qui se formule explicitement dans la première moitié du XIXème siècle, Tocqueville cherche les moyens d'assurer la pérennité de la " société démocratique ". Il propose alors une pensée économique et sociale qui se situe à égale distance du libéralisme économique et du socialisme étatique et qui, dès lors, définit de nouvelles conditions de l'intervention de l'État
Despite various commentaries and interpretations, one can still understand the masterpiece of Alexis de Tocqueville (1805-1859) in an original way. Indeed, economical ans sociological thoughts of La Démocratie en Amérique (1835 and 1840) have not been leading to systematic studies yet. Nevertheless, by using both very famous works and underrated texts – such as reports, speeches, notes from his trips and correspondences –, it is possible to present a new manner of reading Tocqueville's thought. By standing up to conventionnal answers given to the social issues that explicitly existed in the first half of the 19th century, Tocqueville was looking for the means to ensure the durability of “the democratic society”. Therefore he suggested an economical and social thought which was just in between the economical liberalism and state of socialism. From then on this position set up new conditions in terms of the state's intervention
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Nouri, Mohamed. "Etat et mobilité sociale : le modèle tocquevillien." Paris 1, 1988. http://www.theses.fr/1988PA010286.

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Abstract:
La problématique centrale de l'œuvre de Tocqueville est de comprendre pourquoi le développement politique de la France l'amène vers la centralisation et la bureaucratisation. Tocqueville s'est posé cette question dès son voyage aux Etats-Unis. A partir d'une comparaison entre plusieurs sociétés, il établit une méthodologie et certaines conclusions générales relatives au développement des différentes sociétés. Sur le plan méthodologique, tout en se rapprochant de l'individualisme méthodologique, il établit une hiérarchisation entre plusieurs facteurs qui orientent les comportements sociaux. Un des axes de la thèse est la confrontation de l'analyse Tocquevillienne avec des données actuelles. Sur le plan des conclusions, Tocqueville indique les conditions d'émergence du conservatisme et de la contestation dans différentes structures sociales à travers l'analyse de certains concepts comme l'individualisme, la frustration etc. . . Enfin, c'est à partir de cette première analyse qu'il met en évidence sa théorie sur l'apparition du despotisme dans les sociétés démocratiques
The central theme of Tocqueville's work is about the political development in France. Using comparative analysis between different societies, he tried to show that each particularism depends on a several elements, that he puted hierarchically. Methodologically his analysis is closed to the methodological individualism, and one of the purposes of this work is to compare this analysis with recent researches. This leads him to establish the conditions of emergence of conservatism and revolution in different societies, through a reflexion on the concepts of individualism, frustration. . . Going from this points, Tocqueville makes clear his theory on the despotism in the democratic societies
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Couture, Yves. "Philosophie politique et modernité : l'exemple de Tocqueville." Paris 1, 1998. http://www.theses.fr/1998PA010324.

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Abstract:
La modernité pose un double défi à la philosophie politique. Il lui faut d'abord cerner la nature et les possibilités d'un monde inédit. Mais cela exige une réflexion théorique capable à la fois de mettre à distance le fait moderne et de tenir compte de ce qu'il révèle de la nature de l'homme. À cette fin, la philosophie politique semble pouvoir s'appuyer sur les médiations anciennes et modernes que lui fournit sa propre tradition. Mais pour Léo Strauss, qui joua un rôle capital dans son renouveau au XXe siècle, seule la médiation classique serait valable. La pensée ancienne conservait une vue de la totalité par sa conscience des deux grandes solutions possibles du problème politique, et son choix de la solution hiérarchique, reflet de la hiérarchie affirmée par la vie philosophique, préservait l'horizon de sens permettant de juger adéquatement le réel. En abaissant les critères du juste, ou en les définissant d'un point de vue unilatéral, la pensée moderne aurait à l'inverse favorisé l'épuisement ultérieur de la philosophie politique. Mais la critique de Strauss est elle-même unilatérale, ne tenant compte ni de la vérité des conceptions modernes de la liberté et de l’égalité, ni de la tension persistante, dans une part de la pensée moderne, entre les deux perspectives fondamentales sur le politique. Notre objectif est précisément de montrer la valeur de l'œuvre de Tocqueville, et de la tradition dont elle constitue l'aboutissement, pour penser la nature et les conditions de la philosophie politique. Dans ce but, nous considérons d'abord le maintien des enjeux constitutifs de la philosophie politique dans l'œuvre de ses principaux interlocuteurs : Pascal, Montesquieu, Rousseau, Constant et Guizot. Nous tachons ensuite de retrouver la complexité propre à sa réflexion en la replaçant face à l'énigme première de la différence moderne, puis en montrant sa réappropriation, dès la 1ere démocratie, de la pluralité des perspectives héritée de la pensée antérieure
Modernity constitutes a double challenge for political philosophy. First, it must determine the nature and the possibilities of an unprecedented world. But this task requires a theorical reflexion that is at the same time independant from the modern perspective and able to take into account what it reveals of human nature. To this end, it seems that political philosophy may rely upon its own ancient and modern tradition. But according to Léo Strauss, who played a crucial role in its 20th century renewal, only the classical tradition can serve as an useful mediation. Ancient philosophy kept a view of totality by its full conciousness of the two great possible solutions of the political problem. Its choice in favor of the hierarchical solution, which itself reflects the implicit hierarchy of the philosophical life, preserved the conditions of a comprehensive evaluation of reality. By lowering down the criterias of justice, or by defining them only from an unilateral modern perspective, modern thought finally favored, according to Strauss, the exhaustion of political philosophy. But strauss' criticism itself is unilateral, since it takes into account neither the truth of the modern conceptions of liberty and equality, nor the persistant tension, in a part of modern thought, berween the two fundamental perspectives of political life. Our goal is precisely to demonstrate the value of Tocqueville's work, and of the tradition to which it belongs, for a serious reflexion on the nature and on the condi, tions of political philosophy. In this purpose, will first be considered the preservation of the essential perspectives of political philosophy in the works of his main intel, lectual interlocutors: Pascal, Montesquieu, Rousseau, Constant and Guizot. We will then try to recover the complexity of his own thought, first by confronting it to the fundamental interrogation on the specificity of the modern world, and then by showing his own reappropriation, as soon as the first democracy in America, of the plurality of perspectives inherited from earlier thought
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Mavoungou-Pemba, Pénélope-Natacha. "Alexis De Tocqueville et le problème de l'égalité démocratique." Doctoral thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/30191.

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Abstract:
Thèse en cotutelle : Université Laval, Québec, Canada, Philosophiae Doctor (Ph. D.) et Institut Catholique de Toulouse, Toulouse, France, Docteur (Dr).
Cette présente étude vise à analyser la principale préoccupation de Tocqueville dans De la Démocratie en Amérique : Celle de la possibilité de l’existence d’une société égalitaire qui prend en compte les problèmes susceptibles de la miner. Nous mettons en avant les prérequis pour l’existence d’une société égalitaire et libérale dépassionnée. Ces prérequis se concentrent sur l’exercice de la liberté politique, la participation politique, la citoyenneté active, le rôle des associations et la nécessité du religieux. Comme nous le démontrons dans le développement de notre thèse, si la modernité démocratique autour de Tocqueville s’est focalisée sur l’exaltation du sujet, son objectif à lui c’est d’instruire l’avenir. Il cherche à prévenir les sociétés démocratiques des dangers que la passion de l’égalité fait naître. L’égalité a rapproché les hommes certes, mais elle a entrainé une atrophie de la liberté ainsi qu’une dévaluation du vivre ensemble démocratique. Nous réfléchissons donc sur la manière de concevoir les limites de l’égalité démocratique en tenant compte de la liberté.
The aim of this study is to analyse the main issue in Alexis de Tocqueville’s essay, De la Démocratie en Amérique. That is, the possibility to see arise an egalitarian society being able to deal with the issues that might affect it. We state that they are unbiased prerequisites that enable the existence of a liberal and an egalitarian society. Those prerequisites are as followed : (1) concentrated on the exercise of political freedom, (2) the political participation, (3) the active acting of citizenship, (4) the role of civil society through associations or organizations and (5) the religious neccesity. We argue that if democratic modernity around de Tocqueville was focused on elating the subject, his main purpose is to instruct the future. He is seeking to prevent democratic societies from the dangers that the passion of equality enables. So far, it is true that the notion of equality has helped human beings to be closer to each others, yet it has also triggered an atrophy of freedom, as well as a devaluation of the democratic togetherness (in the sense of living together in an era of democraty). We are therefore addressing in this thesis a way of conceiving the limitations of democratic equality in a context of freedom.
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Leca, Antoine. "Lecture critique d'Alexis de Tocqueville." Aix-Marseille 3, 1987. http://www.theses.fr/1987AIX32011.

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Abstract:
Alexis de tocqueville, qui est volontiers presente comme le prophete de l'age democratique et un des maitres-penseurs de la litterature politique, est essentiellement un auteur representatif de son epoque et des limites de celles-ci. Il a moins innove qu'admirablement repris des idees, qui etaient dans l'air du temps. L'importance de son apport ne tient donc pas a l'originalite de sa pensee, ni d'ailleurs a l'intensite de son engagement democratique ou a la pertinence de ses analyses scientifiques. L'adhesion a la democratie est chez lui un choix d'opportunite, qui n'est jamais parvenu a etouffer ses preferences conservatrices. Ses ecrits scientifiques, notamment en histoire des institutions, a propos de l'amerique coloniale, de la democratie americaine et de l'ancien regime francais, fourmillent d'emprunts exterieurs, d'erreurs et d'imprecisions, malgre quelques remarquables developpements. Le retour aux idees du xixe siecle liberal et la volonte de ressourcer un courant politique fortement eprouve depuis 1945 eclairent largement la resurrection de tocqueville operee depuis trente ans
Alexis de tocqueville, readily presented as the democratic age's prophet and as one of the political litterature's intellectual leaders is basically an author representative of his time, and of its limits. He has less innovated than admirably taken up ideas wich were in the air at that time. Therefor, the extend of his contribution does not lie in the novelty of his thought, nor besides in the intensity of his democratic commitment, or in the discerning of his scientific analysis. His adhesion to democracy is an opportuneness choice, which never reached to supress his conservative preferences. His scientific written works, particularly in history of institutions on the precolonial america, the american democracy and the french ancien regime are teeming with outside borrowings, mistakes and imprecisions, in spite of some outstanding developments. The return to the ideas of the liberal nineteenth century and the wish of bringing out new roots to a political movement strongly afflicted from 1945 shed light on tocqueville's revival from thirty yaers
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Elliot, Natalie J. "Letters, Liberty, and the Democratic Age in the Thought of Alexis de Tocqueville." Thesis, University of North Texas, 2009. https://digital.library.unt.edu/ark:/67531/metadc12120/.

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Abstract:
When Alexis de Tocqueville observed the spread of modern democracy across France, England, and the United States, he saw that democracy would give rise to a new state of letters, and that this new state of letters would influence how democratic citizens and statesmen would understand the new political world. As he reflected on this new intellectual sphere, Tocqueville became concerned that democracy would foster changes in language and thought that would stifle concepts and ideas essential to the preservation of intellectual and political liberty. In an effort to direct, refine, and reshape political thought in democracy, Tocqueville undertook a critique of the democratic state of letters, assessing intellectual life and contributing his own ideas and concepts to help citizens and statesmen think more coherently about democratic politics. Here, I analyze Tocqueville's critique and offer an account of his effort to reshape democratic political thought. I show that through his analyses of the role of intellectuals in democratic regimes, the influence of modern science on democratic public life, the intellectual habits that democracy fosters, and the power of literary works for shaping democratic self-understanding, Tocqueville succeeds in reshaping democratic language and thought in a manner that contributes to the preservation of intellectual and political liberty within the modern democratic world.
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Ganyanad, Ndzimba. "Anthropologie historique d'Alexis de Tocqueville." Amiens, 1998. http://www.theses.fr/1998AMIE0008.

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Abstract:
Alexis de Tocqueville est un penseur de la démocratie au sens le plus large du terme : le monde de l'égalité entre les hommes, et l'inquiétude, l'angoisse même qui traverse ses livres tient particulièrement à ce que la démocratie ouvre la voie soit à des sociétés où l'état est tout puissant. Mais il n'est pas un penseur de totalitarisme. En plus, Alexis de Tocqueville est un auteur comparatiste dont la pensée procède constamment par une mise en parallèle de plusieurs histoires nationales ou de plusieurs sociétés : Etats-Unis, Angleterre, France, Allemagne aussi à la fin de sa vie. Historien et sociologue, il utilise une méthode essentielle qu'il a préférée : observation directe des faits et phénomènes sociaux par une enquête sociologique sur une communauté existante. La pensée d'Alexis de Tocqueville était liée à ses origines familiales aristocratiques et à sa condition sociale. L'idée dominante est qu'Alexis de Tocqueville est l'un des "maîtres-penseurs" de notre époque. Car, selon Raymond Aron, Tocqueville était un "pionnier" de la pensée sociologique. Sa prescience se serait le plus profondément exprimée dans l'annonce de l'avènement irrésistible de la démocratie, mais l'idée était dans "l'air des temps" depuis 1821. Ses origines familiales aristocratiques et sa formation intellectuelle ont façonné sa pensée progressivement au fil des expériences humaines qu'a connu l'homme. Globalement, on peut distinguer trois moments importants dans la vie et la pensée d'Alexis de Tocqueville : sa jeunesse durant laquelle il adhère, puis peu à peu, il se dégage intellectuellement des idées du milieu familial aristocratique dont il est issu, pour se rallier à la démocratie, sa période de maturité au cours de laquelle il développa des idées avancées et mena de front une importante carrière publique et, enfin un temps de désillusions qui correspond à un recul sensible en matière idéologique et à son retrait de la politique sous l'empire d'un pessimisme croissant. On trouve cette philosophie de l'Histoire et cette pensée politique de l'auteur dans ses deux grands ouvrages : "L'Ancien Régime et la Révolution" qui est la contrepartie de son ouvrage "De la démocratie en Amérique" ; les deux ouvrages se complètent simultanément "De la démocratie en Amérique" est une analyse sociologique de l'état démocratique tandis que "L'Ancien Régime et la Révolution" est une enquête historique sur la manière dont les français sont passés de la monarchie à la démocratie
Alexis de Tocqueville is a thinker of democracy in the most liberal sense of the word: the world of equality between humans, and the worry, even the anguish which goes through his books, holds particularly to the fact that the democracy opens the road to the societies in which the state is almighty. But he is not a thinker of totalitarism. Furthermore, Alexis de Tocqueville is a comparatist author whose the thought constantly proceeds by putting into parallel several national histories or several societies: United States of America, England, France, and also Germany at the end of his life. Historian and sociologist, he uses a necessary method which he preferred: a direct observation of facts and social phenomenons, through a sociological survey in an existing community. The thought of Alexis de Tocqueville was linked to his aristocratic-family origins and his social conditions. The dominating idea is that Alexis de Tocqueville is one of " headmastered thinkers" of our age. Because, according to Raymond Aron, Tocqueville was a "pioneer" of the sociological thought. His prescience would deeply be expressed in the announcement of the irresistible advent of the democracy, but the idea was in the "air of time" since 1821. His aristocratic family origins and his intellectual education have progressively shaped his thought through his human experiences that he knew. Globally we can distinguish three important moments in his life and his thought: his youth during which he joins on the aristocratic family opinions, he gets clear intellectually of the family environment aristocratic ideas from where he is come, for coming round to the democracy, his mature period during which he developed advanced ideas and undertook an important public career and, finally a period of disillusions which corresponds to a tender reverse in ideology and his retirement from politics under a growing pessimism. This philosophy of history and political thought of the author is found in his two great books: "The Ancien Regime and the Revolution" that is the opposite of "Democracy in America"; the two books complete each other simultaneously. "Democracy in America" is a sociological analysis of the democratic state, whereas the "The Old Regime and the revolution" is a historical investigation on the manner of which french pass from the monarchy to democracy
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Vyzas, Théodoros. "Traduire en grec "L'Ancien régime et la Révolution" d'Alexis de Toqueville : étude terminologique." Montpellier 3, 2008. http://www.theses.fr/2008MON30003.

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Abstract:
La composante administrative de l’Ancien Régime est, dans son ensemble, peu étudiée et mal connue en Grèce. Les textes originaux en grec ainsi que les traductions concernant cette période étant rares, les termes qui y sont employés sont peu nombreux. Les termes de droit administratif de l’Ancien Régime présentent des particularités quant à leur traduction en grec. Ces particularités sont dues à des raisons pragmatiques, à savoir la complexité des institutions et les chevauchements des leurs compétences lors de la période en question. Ces caractéristiques sont englobées dans le sémantisme des termes, ce qui entraîne des cas de polysémie. Cette étude cherche à savoir si et dans quel degré les caractéristiques de ces réalités étrangères à l’histoire de Grèce peuvent être rendus par des termes grecs. Pour recenser des équivalents grecs, des sources littéraires et lexicographiques ont été dépouillées. Les équivalents grecs répertoriés, puisés dans des sources des XIXe et XXe siècles, proviennent de la diachronie de la langue grecque, de l’Antiquité au XXe siècle. Les termes français ainsi que les équivalents grecs sont examinés au moyen d’une analyse étymologique et sémantique. Bon nombre parmi les équivalents, jugés inadéquats, ont été réfutés, d’autres, considérés comme plus aptes, ont été retenus. Pour proposer des équivalents valides et afin d’éviter la polysémie dans la mesure du possible, il y a eu recours à la néologie pour la plupart sémantique. Il est ainsi constaté que la diachronie de la langue grecque fournit tous les moyens pour la vérification des termes déjà existants et la création de termes nouveaux
The administrative aspect of the Old Regime of France is little studied thus hardly known in Greece. As original literature in Greek as well as translations concerning this period are rare, the terms used in these texts are few. The translation of the terms of administrative legislation of the Old Regime presents some particularities. These are due to pragmatic reasons, that is the complexity of institutions and the overlapping of their competences during that period. These characteristics are embraced in the meaning of the terms, something that engenders polysemy cases. This study researches whether and to what extent the characteristics of these entities, foreign to the history of Greece, can be rendered by Greek terms. In order to gather Greek equivalents, literary as well as lexicographic sources were scrutinized. The Greek equivalents assembled, found in sources of the 19th and 20th centuries, come from the diachrony of the Greek language, that is from ancient times to the 20th century. The French terms and their Greek equivalents are examined by means of an etymologic and semantic analysis. Many equivalents considered inadequate have been refuted, while others, regarded as appropriate, have been adopted. In order to propose valid equivalents and to avoid polysemy as much as possible, we had recourse to neology mostly semantic. In conclusion, the diachrony of the Greek language provides all means for verifying existing terms and creating new ones
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Miyashiro, Yasutake. "La philosophie libérale-républicaine de la démocratie chez Alexis de Tocqueville." Thesis, Paris 4, 2010. http://www.theses.fr/2010PA040216.

Full text
Abstract:
L’objectif de notre étude est d’examiner la philosophie tocquevillienne de la démocratie par rapport au libéralisme et au républicanisme. Dans la première partie, nous essayons de déterminer les principes de l’aristocratie et de la démocratie dans la philosophie politique de Tocqueville. Nous tâchons également d’éclaircir l’idéal de la démocratie et sa conception de la liberté. Dans la deuxième partie, nous examinons les difficultés que Tocqueville repère dans les conceptions libérale et républicaine de la démocratie. Dans la troisième partie, nous cherchons à approfondir les solutions qu’il propose pour remédier aux défauts de la démocratie. Pour ce faire, nous retenons en particulier les trois solutions suivantes : associations, décentralisation et représentation. En même temps, nous analysons en profondeur les réflexions de Tocqueville sur la doctrine de l’intérêt bien entendu pour mieux éclaircir sa position par rapport à la problématisation républicaine du libéralisme. Selon nous, l’analyse des trois solutions permet de penser que la philosophie tocquevillienne de la démocratie peut être appréhendée comme une tentative de suppléer à des défauts de la démocratie libérale en la corrigeant par des remèdes républicains, mais qu’elle est simultanément une critique libérale du républicanisme : Tocqueville applique certains correctifs républicains au niveau local, mais il maintient fermement les principes libéraux au niveau national
The objective of our study is to examine Tocqueville’s philosophy of democracy with regard to liberalism and to republicanism. In the first part, we try to determine the principles of aristocracy and democracy in his political philosophy. We also endeavour to clarify what is for him the ideal democracy and his conception of freedom. In the second part, we analyze the difficulties spotted by him in the liberal and republican conceptions of democracy. In the third part, we try to go deeper into the solutions which he proposes to overcome the defects of democracy. In particular, we pay attention to the three following solutions: associations, decentralization and representation. At the same time, we analyze in depth Tocqueville’s reflections on the “doctrine of the enlightened self-interest” in order to better explain his position concerning a republican problematization of liberalism. In our view, the analysis of the three solutions allows to think that Tocqueville’s philosophy of democracy can be considered as an attempt to compensate some weaknesses of the liberal democracy by correcting them with republican remedies. However, this philosophy is simultaneously a liberal criticism of the republicanism: Tocqueville applies some republican correctives at a local level, but he claims the liberal principles at a national level
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Sec̨kin, Sertdemir Ozdemir. "Recherches sur la liberté politique chez H. Arendt et A. De Tocqueville." Paris 7, 2011. http://www.theses.fr/2011PA070134.

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Abstract:
Dans ce travail, nous nous efforçons de comparer les compréhensions de la liberté politique chez H. Arendt et A. De Tocqueville en tant que penseurs du politique à partir de ces trois types de relations : d'abord la distinction entre le libre arbitre et la liberté politique, ce qui correspond avec la distinction entre la philosophie traditionnelle et la tradition de la pensée politique, ensuite la relation ambiguë entre l'égalité et la liberté qui est apparue à la naissance de la modernité politique et enfin la distinction entre le social et le politique ce qui est problématique depuis l'avènement de la société. Chaque type de relations nous aide à mieux comprendre la pensée d'Arendt et celle de Tocqueville et contribue à la fois à nous donner également le cadre conceptuel pour réfléchir sur la priorité du politique chez ces deux penseurs et montrer clairement la distinction de ces deux penseurs avec la tradition philosophique selon laquelle la politique est une occupation professionnelle qui concerne spécifiquement les membres du gouvernement et de l'État
In this study, we compare political thinkers H. Arendt and A. De Tocqueville's perceptions of political freedom, based on the following three relations: Firstly, the distinction between free will and political freedom, which corresponds with the distinction between traditional philosophy and the tradition of the political thought. Secondly, the ambiguous relation between equality and freedom which appeared with the birth of political modernity. Finally, the distinction between the social and the political which has been problematic since the birth of the concept of society. Each type of relation helps us to better understand the thoughts of Arendt and that of Tocqueville. They also give us the conceptual framework for reflecting on the superiority of the political, and show the distinction between the traditional political philosophy and the tradition of political thinking
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Vernazza, Diego. "« Le monde inquiet : Machiavel, Montesquieu et Tocqueville »." Paris, EHESS, 2011. http://www.theses.fr/2011EHES0070.

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Abstract:
Cette thèse propose une interprétation des œuvres de Machiavel, de Montesquieu et de Tocqueville à partir de la mise en place d'une conversation entre elles. Son enjeu principal est interprétatif: il s'agit de jeter un peu plus de lumière sur trois œuvres classiques de la philosophie politique occidentale. Comme fil directeur, on suivra ici l'histoire de la notion à la fois anthropologique, politique et sociale d'« inquiétude ». L'autre grand enjeu de cette thèse est de contribuer à mettre en valeur cette « science politique nouvelle », comme l'appellera Tocqueville, qui se caractérise par la recherche d'une articulation singulière entre l'analyse du fait, de la vie sociale telle qu'elle est, et la critique politique, la mise en question de ce qui est. Ce que Machiavel, Montesquieu et Tocqueville ont en commun, c'est le fait de penser à partir d'une expérience, tout en se donnant les moyens du jugement et de la critique. Dégager ces différents rapports entre l'analyse et la critique sociale et politique, chercher des critères capables d'informer le jugement politique là où il n'y a plus de repères objectifs communément acceptés, est sans doute l'ambition la plus générale de cette thèse
This dissertation offers an interpretation of the works of Machiavelli, Montesquieu and Tocqueville by establishing a conversation between them. Hs main objective is to shed some more light on three cIassic works of Western political philosophy by following the history of the anthropological, sociological and political concept of "inquiétude" (restlessness). The other major purpose of this work is to further develop what Tocqueville has called the "new science of politics", which is characterized by the pursuit of a singular link between the analysis of facts, social life as it is, and the questioning of what it is l argue that the theories of MachiaveIli, Montesquieu and Tocqueville are ail founded in a singular social and political experience, and, at the same time, provide the means of applying judgment and criticism. The fundamental goal of this work is to elucidate this particular relationship between analysis and criticism, and to uncover some criteria that might inform political judgement where there is no commonly accepted objective standard
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Feder, Glen. "Une analyse comparée de Alexis de Tocqueville et Friedrich Nietzsche sur la démocratie." Thesis, Paris 4, 2013. http://www.theses.fr/2013PA040052.

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Abstract:
Cette étude compare la pensée de Tocqueville et celle de Nietzsche sur la vie morale dans la démocratie libérale moderne à travers leur analyse de l’individu, de la famille et de l’État, ainsi que sur la vie intellectuelle à travers la philosophie, la science et l’art. En retraçant dans leur pensée le rôle de la liberté démocratique, par opposition à la liberté romaine, nous démontrons comment Tocqueville chercha à modérer la démocratie au nom de la justice, alors que Nietzsche prôna l’ « aristocratie radicale » afin de cultiver la grandeur. Nous soutenons l’opinion de Tocqueville selon laquelle non seulement la démocratie est inévitable et fondée sur la nature, mais la justice qui la caractérise est une forme de grandeur en soi. En outre, en mettant en relief un aspect de la pensée de Nietzsche similaire à celle de Tocqueville, ainsi que le concept d’ « individualisme », inspiré de Tocqueville lui-même, nous constatons également les tensions que Nietzsche ressentait vis-à-vis du monde d'inspiration romaine que son projet prônait. Nous rendons justice à la justesse et à la prescience de Tocqueville et nous utilisons la méthode de sa « science politique nouvelle » afin de révéler sous quelle forme une philosophie appliquée tocquevillienne peut se présenter aujourd'hui, à travers les phénomènes moraux et intellectuels dont nous traitons, tout en nous inscrivant dans le cadre des efforts néo-tocquevilliens actuels. Enfin, en combinant les prédictions de Tocqueville et l'influence de Nietzsche, nous montrons de quelle façon leur œuvre constitue un cadre de réflexion pour comprendre la modernité dans sa globalité et la direction dans laquelle nous nous dirigeons
This study compares Tocqueville and Nietzsche's thought on moral life in modern liberal democracy through their treatment of the individual, the family, and the state, and intellectual life through philosophy, science, and art. By tracing the role of democratic versus roman liberty througout their thought, we demonstrate how Tocqueville sought to moderate democracy in the name of justice, as opposed to the "radical aristocracy" that Nietzsche promoted in order to cultivate greatness. We argue alongside Tocqueville that not only is democracy inevitable and grounded in nature, but that its very justice is a form of greatness in itself. Furthermore, by emphasizing a side of Nietzsche's thought which was similar to Tocqueville's, and on the concept of "individualism" even inspired by Tocqueville, we also see Nietzsche's own divisions vis a vis the opposing Roman-inspired world that his project promoted. Vindicating the accuracy and prescience of Tocqueville's thought, we use the method of his “new political science” in order to reveal what form a Tocquevillian applied philosophy may take today throughout the moral and intellectual phenomena we treat, while positioning ourselves among the current neo-Tocquevillian scholarship. Finally, by interweaving Tocqueville’s predictions and Nietzsche’s influence, we show how together they constitute a strikingly revealing framework for understanding modernity as a whole and where we are heading
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Hueber, Bruno. "La démocratie et la question de la guerre dans l'oeuvre d'A. de Tocqueville." Thesis, Tours, 2013. http://www.theses.fr/2013TOUR2007/document.

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Abstract:
Deux évidences traversent le discours politique d'aujourd'hui. D'une part, la « démocratie » représenterait le forme de société la plus légitime ou la plus émancipatrice possible, et d'autre part, la guerre serait désormais le signe patent d’un échec dans le traitement des différends entres États souverains. La thèse s'efforce d'extraire de l'œuvre de Tocqueville, des éléments de réponse à une triple interrogation. Quels sont les éléments culturels et institutionnels qui permettent d'appuyer l'idée, et que ratifie l'auteur, selon laquelle, une société démocratique serait pacifique ? Quels sont ensuite les facteurs, les tendances, les intérêts qui, à l'intérieur de ce type de société, peuvent perturber ou annuler ce pacifisme de départ ? Enfin, peut-on être sûr que la paix que proposent les démocraties ne dissimulerait-elle pas un potentiel d'aliénation bien pire que celle que la guerre génère évidemment ?
Two obvious ideas cross the political speech of today. On one hand, the « democracy » would represent shape of the most justifiable society or most possible emancipator, and on the other hand, the war would be from now on the obvious sign of a failure in the treatment of the disputes enter sovereign States. The thesis tries hard to extract from the work of Tocqueville, from elements of answer to a triple interrogation. What are the cultural and institutional elements which allow to support the idea, and which ratifies the author, according to which, a democratic society would be paceful ? What are the factors, the trends, the interests chich, inside thos social structure, can disrupt or cancel this pacifism of departure ? Finally, we can be sure that the peace which propose the democracies it would note hide a potential of alienation much worse than the one that the war generates obvioulsy ?
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Antoine, Agnès. "L' impensé de la démocratie : citoyenneté, morale et religion chez Tocqueville." Paris, EHESS, 2002. http://www.theses.fr/2002EHESA091.

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Abstract:
Cette thèse de philosophie politique s'attache à dégager la réflexion de Tocqueville sur la nécessité d'une éducation à la démocratie, et tout particulièrement, sur le rôle que peut jouer la religion en matière de citoyenneté. La première partie présente l'analyse de la condition démocratique que Tocqueville a exposée dans La démocratie en Amérique et met l'accent, avec lui, sur les facteurs de risque liés au régime d'existence égalitaire : individualisme, rationalisme et matérialisme conduisent à l'affaiblissement du lien social, au déficit de sens et à l'effacement du politique. Les deuxième et troisième parties examinent les remèdes que Tocqueville préconise pour éviter ces maux, et qui constituent les deux piliers de sa " science politique nouvelle " : la citoyenneté, d'une part, et la religion, d'autre part, dont il s'efforce de penser les conditions de possibilité pour les Modernes, ainsi que la neuve articulation. La dernière partie met en évidence les perspectives anthropologiques auxquelles cette " science nouvelle " conduit, ainsi que la philosophie de l'histoire de Tocqueville, avec son appel pressant à choisir entre civilisation et barbarie
This dissertation in political philosophy attempts to define Tocqueville's thinking on the necessity of an education for democracy, with particular attention to the role that religion may play in respect to citizenship. The first part presents an analysis of the democratic condition as exposed by Tocqueville in his essay on Democracy in America. It emphasizes the risks linked to a regime of egalitarian existence : individualism, rationalism and materialism lead to the weakening of social relationships, to a deficit in meaning, and to the erasure of politics as such. The second and third parts look into the remedies that Tocqueville offers to cure these ills : citizenship, on one hand, and relogion on the other, which form the two pillars of his “new political science”, and whose conditions of possibility and new articulation for the Moderns he attempts to map. The last part emphasizes the anthropological perspectives to which this “new science” leads, as well as Tocqueville's philosophy of history, and its urgent appeal to choose between barbary and civilisation
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Coutant, Arnaud. "La Constitution de 1848 et le peuple : le regard tocquevillien." Reims, 2004. http://www.theses.fr/2004REIMD005.

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Abstract:
Cette thèse visait à démontrer que la Constitution de 1848 a été influencée dans sa théorie et dans sa pratique par la prise en compte puis la participation d'un corps électoral opposé au régime qu'elle instituait. Pour ce faire, les travaux comme le témoignage et les jugements d'Alexis de Tocqueville ont été utilisés dans un but : mettre en exergue par comparaison et analyse systématique le rapport au peuple en tant que corps électoral que ce régime français établissait. Imposée par des révolutionnaires socialistes minoritaires, la République n'a été acceptée par l'électorat que pour limiter ceux-ci. Poursuivant initialement le même dessein, les constituants républicains ont pris conscience de l'anti-républicanisme des électeurs censés soutenir le régime. Pour autant, ils n'ont pu se résoudre à modifier leur Constitution. Les limites qu'ils ont intégrées sont demeurées dans le cadre de la conception formelle de la souveraineté, impuissantes face aux conséquences néfastes des votes opposants. L'évolution de la Constitution a alors conduit à sa remise en cause matérielle et institutionnelle. La souveraineté du peuple a ainsi paradoxalement été consacrée par les actions de l'électorat contre le régime
This thesis aimed at demonstrate that the Constitution of 1848 has been influenced in its theory and in its application by the participation of an electorate who was opposed to the regime which the text created. To prove this, the Works like the testimony and the judgements of Alexis of Tocqueville has been utilized in an aim : to emphasize by simile and systematic analysis the approach of people as electorate that this regime established. Imposed by socialist and minority revolutionaries, the Republic has been accepted by electorate just to limit them. Pursuing initially the same aim, the Republican members of Constituent Assembly have discovered the anti-republicanism of the citizens who must support the regime. Nevertheless, they couldn't agree to modify their Constitution. The bounds which they integrated remained in the formal conception of sovereignty, revealing their incapacity to avoid the disastrous consequences of opposed votes. The evolution of the Constitution resulted in its material and institutional demolition. In this point of view, the proclaimed sovereignty of people resulted in acceptation of anti-republican electorate, against the regime
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Karmis, Dimitrios. "La tradition fédérale moderne et le dilemme unité-diversité : contribution à une théorie de la citoyenneté fédérale et interculturelle." Thesis, McGill University, 1998. http://digitool.Library.McGill.CA:80/R/?func=dbin-jump-full&object_id=34984.

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Abstract:
Can states formally recognize cultural diversity and, at the same time, preserve their political and social unity and provide the main public goods of modern citizenship? Is such conciliation feasible? Is it morally desirable? In the current context of unprecedented expression and politicization of cultural identities, especially in democratic countries, such questions are more and more crucial. To answer these questions, the present study considers the contribution of the modern federal tradition. Within this tradition, I analyze four federal responses to the unity-diversity dilemma. The first two---the Belgian and Canadian federations---are practical. Each embodies one of the two dominant contemporary models of federalism: classical liberal individualist, and multinational. I study the experience of each country over the past thirty years to compare the effects of the two models on citizenship. The potential of the modern federal tradition is further assessed through an examination of two theoretical and normative reflections, those of Tocqueville and Proudhon.
The central thesis is twofold. First, I contend that in a context of increasing cultural diversity, unity and diversity have an equal value and are both essential to citizenship. This is true both from a moral and from a practical point of view. Second, I argue that the dominant conceptions of federalism are unable to satisfactorily conciliate unity and diversity. Such task requires the development of what I call an intercultural federalism, one centered on the good of identity pluralization or complexitication. From a strictly practical point of view, only an intercultural federalism can prevent identity fragmentation and the political and social fragmentation which come with it. From a moral perspective, intercultural federalism promises not only to protect, but also to maximize the primary goods which are the most affected by identity fragmentation---political liberty and social solidarity---while also promoting individual liberty. Intercultural federalism rests on three principles which summarize the teachings of the modern federal tradition with regard to the establishment of just citizenship institutions in a context of diversity. Such institutions are just in that they protect and maximize the primary goods of citizenship for all citizens. The three principles are: (1) mutual recognition; (2) intercultural dialogue; (3) multi-varied asymmetrical institutionalization.
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Gaboriau, Patrick. "Modes de pensée et savoirs psychiatriques : essai d'anthropologie sociale." Paris 5, 1988. http://www.theses.fr/1988PA05H098.

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Abstract:
Un certain type d'individualisme marque-t-il la configuration actuelle des sociétes industrielles? Norbert Elias, dans la civilisation des moeurs, insiste sur le contrôle croissant des comportements sous l'effet de la "civilisation"; cette thèse peut-elle s'associer au point de vue tocquevillien développe dans la démocratie en Amérique? La "démocratie" s'inscrit-elle dans le prolongement d'une "domestication" accrue des conduites? L'individualisme" permet-il de mieux appréhender ce phènomène d'intériorisation supposée? A partir de deux travaux de terrain, effectués, l'un dans la Silicon Valley (aux Etats-Unis), et l'autre dans le choletais (en France), il s'est agi de comparer les façons dont la personne se pense et pense les autres. Le rapport de soi à soi et de soi aux autres, les croyances et les expériences de la "pathologie mentale", comme objets révélateurs, font ressortir le "devoir normal" que chacun s'assigne dans les deux sociétés étudiées. En californie, le "mode de pensée démocratique" domine, caractérisé par l'unité des représentations, le renvoi du collectif et de l'individuel à la volonté et au choix singulier, la maladie mentale se pense comme "problème", "endogène", une "pensée officielle" domine, qui implique une forte exigence du soi. En france, il y a un dualisme; d'un côté, la "pensée cultivée", marquée par le sérieux, ressemble au modèle démocratique; mais elle se situe dans un rapport avec une "pensée populaire", ou la maladie est vue comme "symptôme" exogène, ambivalent et comique, qui en donne une dimension particulière. En conclusion, les rapports, entre le mode de pensée dit démocratique et les modes de pensée dits civilisée et populaire, sont recherchés
Does a kind of individualism marks the present configuration of industrial societies? Nobert Elias emphasizes the control of behavior under the effect of "civilization"; can this thesis be associated with Tocqueville's viewpoint developed in democracy in America? Is "democracy" an extension of an increased "domestication" of conduct? Does "individualism" give us a better understanding of the supposed phenomena of internalization? From fieldwork done in the Silicon Valley (United States), and the Cholet area (France), we compare the ways the individual thinks about him or herself and about others. The relation from the self to the self and the self to others, the beliefs and experiences of "mental pathology", seen as revealing objects, bring out the "normal duty" that everyone ascribes to himself or herself in the two societies considered, in the californian study, the "democratic mode of thought" dominates, characterized by a unity of representations, the discharge of the collective and the individual to personal will and choice, mental illness is seen as a "problem", "from within", a "public thought" dominates implicating a strong demand on the self. In the french study, there is a dualism; from one side, the "cultivated thought", caracterized by the serious, resembles the democratic model, but exists in relation to a "popular thought" in which illness is seen as a "symptom" coming "from outside", ambivalent and comic
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Chollet, Antoine. "Les temps de la démocratie : incertitude et autonomie du présent." Paris, Institut d'études politiques, 2009. http://buadistant.univ-angers.fr/login?url=https://www.dalloz-bibliotheque.fr/pvurl.php?r=http%3A%2F%2Fdallozbndpro-pvgpsla.dalloz-bibliotheque.fr%2Ffr%2Fpvpage2.asp%3Fpuc%3D5442%26nu%3D69.

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Abstract:
Cette thèse commente tout d’abord les travaux sociologiques, historiographiques et anthropologiques qui se sont penchés sur la question du temps. Ces derniers conduisent à une définition du temps comme ressaisie et coordination des changements, à un triple niveau théorique (discours), social (institutions) et politique (conflits), et de la temporalité comme ensemble des rapports aux passés, aux présents et aux futurs. Un long détour historico-théorique sert de “terrain” d’étude à cette thèse. Il en représente le travail principal et cherche, pour chacun des cinq auteurs retenus — Machiavel, Tocqueville, Arendt, Merleau-Ponty et Benjamin —, à reconstruire le plus précisément possible leurs conceptions du temps. Ce détour accompli, les conclusions principales en sont les suivantes. Il y a tout d’abord altérité du passé et du futur par rapport au présent. Cette altérité fait apparaître la nécessité de penser l’autonomie du présent, par rapport au passé, au futur et à lui-même. Le temps démocratique repose ensuite sur le caractère incertain des changements, il est ainsi incomplet, en cela qu’il reconnaît l’existence d’autres temps d’une part, et parce qu’il est irréductiblement ouvert à l’apparition de l’imprévu d’autre part. Il est notamment ouvert à cette forme particulière d’imprévu qu’est le temps révolutionnaire décrit par Benjamin et qui forme, d’une certain manière, l’autre temps de la démocratie. Celle-ci fonctionne selon un temps ordinaire parcouru d’événements extraordinaires, qui nécessitent une autre conception du temps. Finalement, nous montrons que c’est la praxis, conçue comme ensemble d’actions orientées par un projet commun, qui crée le temps démocratique
This thesis discusses various researches on time in sociology, historiography and anthropology. These lead to a definition of time as recollection and coordination of changes, on a theoretical (the discourses), social (the institutions) and political (the conflicts between the former) level, and of temporality as the different relations to pasts, presents and futures. A lengthy historical and theoretical “detour” works as a research field for this thesis. It represents its major contribution, and aims to show as precisely as possible the authors’ (Machiavelli, de Tocqueville, Arendt, Merleau-Ponty, and Benjamin) conceptions of time. The conclusions we were able to draw from this detour are the following. First past and future, related to the present, are in a position of “otherness”, whereas the present must itself be thought of as autonomous (both regarding itself, and past or future). Democratic time is built upon uncertainty of changes. It is thus incomplete, first recognizing other conceptions of time, and then open to the apparition of unforeseeable events. Among them we find this specific kind of unforeseeable events that Benjamin describes under the concept of revolutionary time, which forms in a way the other time of democracy. Therefore democracy has an ordinary time interrupted by extraordinary events that need another conception of time. Finally, we show that it is the praxis (set of actions orientated by a common project) that creates democratic time
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Eggenspiller, Martine. "Famille, lien éthique et reconnaissance." Thesis, Bourgogne Franche-Comté, 2019. http://www.theses.fr/2019UBFCC017.

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Abstract:
La famille n'est pas seulement le lieu de la vie privée mais aussi un lieu hautement politique. Dans cette mesure, elle concerne la vie publique de l'État. Nous montrons que notre vie familiale nous engage en tant que citoyens. De plus, et comme lieu de l'intime et du privé, la famille est aussi le lieu d'expression de nombreux sentiments qui ont leur importance dans la vie sociale et politique de tout un chacun et de la société politique. Ainsi, les sentiments que nous ressentons comme membre de notre famille sont normés socialement. Ce sont eux qui font de la famille une communauté éthique régie par un contrat civil
Family is not only a private place but a political place too. This is why it concerns public life of state. We demonstrate that our familal life makes us sitizens. Furthermore, like inner and private, family is too the place of existence of severalfeelings wich are important in social and political life of us and of the potical society. Then our feelings of member of family answer to social norms. They make family an ethic community well-ordered by a civil contract
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Pasteur, Julien. "Généalogie du spirituel républicain français dans la philosophie sociale, morale et politique du XIXème siècle." Thesis, Paris 10, 2015. http://www.theses.fr/2015PA100098.

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Abstract:
L’idée d’un « spirituel républicain » est, en France, plus intuitivement sentie que rationnellement conçue. Si le syntagme dénote quelque densité conceptuelle, historiens et philosophes s’accordent d’ordinaire à la chercher dans les doctrines politiques et sociales de la IIIème République – celles du solidarisme, de la laïcité ou des lois sur l’éducation. Ce travail voudrait montrer que le spirituel républicain est irréductible à un supplément d’âme, comme à toute forme de caution morale destinée à pallier les derniers scrupules d’une politique désenchantée. En ce sens, sa généalogie demande à être singulièrement élargie à l’aval. Elle trouve son origine dans le sillage de la Révolution Française, où 1789 commande tout autant une interprétation politique qu’une reconfiguration anthropologique de la croyance. Le point commun des auteurs mobilisés ici (Joseph de Maistre, Auguste Comte, Jules Michelet, Alexis de Tocqueville, Émile Durkheim) est en effet d’assumer une position symétriquement opposée à la nôtre. Partant du principe que la question spirituelle est la seule qui n’ait pas été réglée, ils s’efforcent d’interroger le statut, problématique dans les démocraties modernes, d’un gouvernement des esprits. C’est donc en partant de ce qui, au sein de ce corpus, est réputé le plus anachronique – soit la rémanence du religieux au cœur d’un siècle censément scientifique – que la notion de spirituel républicain trouve à se constituer. Guettée par le risque d’un syncrétisme philanthropique inchoatif, comme par la confrontation à trois des idéologies majeures du XIXème siècle (traditionalisme, libéralisme, socialisme), cette tradition intellectuelle ne conserve son identité qu’en justifiant son qualificatif de républicain
The idea of the spiritual as it relates to republicanism – the “republican spiritual” – is, in France, more intuitively felt than it is rationally conceived. While the phrase carries a certain conceptual density, historians and philosophers normally agree that this idea is to be sought in the political and social doctrines of the Third Republic – for example, in the doctrines of solidarity and secularism and in the laws on education. This work shows that the “republican spiritual” cannot be reduced to a touch of soul, or to any form of moral guarantee intended to overcome the last scrupules of a disenchanted politics. In this way, its genealogy needs to be particularly enlarged. It has its origin in the wake of the French Revolution, as the events of 1789 required both a political interpretation of belief as well as its anthropological reconfiguration. The common point among the authors studied here (Joseph de Maistre, Auguste Comte, Jules Michelet, Alexis de Tocqueville, Émile Durkheim) is that the position they took on this issue is diametrically opposed to ours today. These authors, starting from the standpoint that the spiritual question is the only one that has not been resolved, struggle to understand the status – problematic in modern democracy – of a spiritual regime. It is thus within the most anachronistic elements of the body of work studied here – that is, the endurance of the religious in a supposedly scientific century – that the notion of the “republican spiritual” finds its origin. At risk of a formless philanthropic syncretism, menaced by its confrontation with three of the main ideologies of the 19th century (traditionalism, liberalism, and socialism), this intellectual tradition only preserves its identity by justifying its qualification as republican
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Laval, Christian. "Les sociologies classiques et l'utilitarisme : du lien humain dans les sociétés d'Occident." Paris 10, 2000. http://www.theses.fr/2000PA100008.

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Abstract:
Les grandes sociologies fondatrices, celles de Saint-Simon, de Comte, de Tocqueville, de Durkheim, de Marx et de Weber, dans leur travail d'intelligence des sociétés modernes, rencontrent et questionnent la représentation utilitariste du lien humain fondée sur l'intérêt et centrée sur l'activité économique. Chacune de ces sociologies problématise d'une façon originale le fait social de l'utilité, ce qui oblige à suivre patiemment la pensée de chacun des auteurs. Cette originalité se conçoit mieux si l'on distingue les trois modes de relation de ces théories avec l'utilitarisme : l'acquiescement, conscient ou non, à certaines propositions fondamentales ; l'objection faite à d'autres aspects cruciaux de la représentation ; et, dans tous les cas, l'objectivation de l'utilitarisme comme représentation propre aux sociétés occidentales. Outre la façon dont se nouent ces trois regards dans chacune des théories sociologiques, la présente lecture entend mettre en évidence le legs théorique dont une société moderne de l'utilitarisme pourrait tirer profit. Les différentes problématisations sociologiques ont toutes posé à leur manière, une question centrale, celle de la médiation symbolique indispensable au rapport humain. L'axiome de l'utilité peut-il constituer le principe qui préside aux échanges sociaux en lieu et place de la représentation religieuse déclinante? Les réponses à cette question divergent, allant de la nécessaire fondation d'une nouvelle religion à l'anticipation d'une humanité changée, quelle soit émancipée des anciennes oppressions ou, qu'au contraire, elle soit définitivement emprisonnée dans la cage de fer du capitalisme. Cette question est encore la nôtre. L'actuelle mutation "néolibérale" des sociétés occidentales peut être éclairée, jusque dans ses effets les plus profonds, par des sociologies qui ont su en leur temps interroger les fondements du lien huamin et du mode de vie.
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Celotto, Emanuela. "Albert Camus : démocratie et totalitarisme." Thesis, Paris 3, 2014. http://www.theses.fr/2014PA030038.

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Abstract:
Cette thèse propose une lecture de la création de Camus sous l’angle démocratique et antitotalitaire pour démontrer l’aspect innovant de sa pensée qui est plus que jamais d’actualité. Cent ans après la naissance de l’écrivain prix Nobel de littérature, son œuvre ouvre de nouveaux axes de réflexion à mi-chemin entre la philosophie, la science-politique et la littérature. Après une introduction générale aux concepts de totalitarisme et de démocratie, nous passerons plus spécifiquement à l’étude de l’auteur. Nous esquisserons un portrait de Camus en tant que journaliste engagé dans les batailles de son temps et nous aborderons une analyse comparative entre Camus et les intellectuels ou penseurs qui ont influencé sa pensée démocratique et inspiré sa réflexion sur les totalitarismes. Ensuite, nous focaliserons l’analyse sur certaines œuvres : les essais journalistiques (Actuelles I, II, III) et philosophiques (L’Homme révolté) ; les œuvres de fiction, comme La Peste, ainsi que trois pièces de théâtre Caligula, Les Justes et L’État de siège. En nous basant sur ce choix d’œuvres, nous examineront la technique adoptée par Camus pour transférer dans la fiction le débat démocratique contre les totalitarismes de son époque. Enfin, nous étudierons du point de vue lexicologique les termes de totalitarisme et démocratie, ainsi que tous leurs synonymes entrant dans le champ sémantique du débat antitotalitaire
This thesis proposes a reading of Camus’ creation from the democratic and antitotalitarian perspective in order to demonstrate the innovative aspect of his thought, which is more actual than ever. One hundred years after the birth of the writer, Nobel Prize for literature, his work opens up new lines of thought halfway between philosophy, science, politics and literature. After a general introduction to the concepts of totalitarianism and democracy, we will proceed to the more specifically study of the author. We sketch a portrait of Camus as a committed journalist in the battles of his time and we will discuss a comparative analysis between Camus and intellectuals and thinkers who influenced his democratic thought and inspired his thinking on totalitarianism. Then, we will focus the analysis on certain works : journalistic (Actuelles I, II, III ) and philosophical essays (The Rebel), fictional works, such as The Plague, and three plays Caligula, The Just Assassins and The State of siege. Based on this selection of works, we will examine the technique adopted by Camus to transfer into the fictional the democratic debate against the totalitarianism of his era. Finally, we will study from a lexicological point of view the terms of totalitarianism and democracy, and all their synonyms within the semantic field of anti-totalitarian debate
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