Academic literature on the topic 'Tolérance religieuse – Dans la littérature – 16e siècle'

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Dissertations / Theses on the topic "Tolérance religieuse – Dans la littérature – 16e siècle"

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Al-Bazaz, Fares. "La tolérance religieuse chez les hommes de lettres au XVIIIe siècle : différence, interférence, archaïsme." Thesis, Tours, 2011. http://www.theses.fr/2011TOUR2007/document.

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Abstract:
Au cours du dix-huitième siècle, la question de la tolérance religieuse est posée avec force par de nombreux hommes de lettres, notamment, à la suite des écrits philosophiques de Spinoza, de Bayle et de Locke. Voltaire, Montesquieu, Rousseau et Diderot, à partir de problématiques qui étaient propres à chacun d’entre eux, ont développé leur réflexion sur une notion qui est à l’origine du principe de la liberté de conscience. Les fictions, notamment romanesques ont permis à ces auteurs, d’amplifier la diffusion de la notion de tolérance. Même si l’anti-fanatisme a été l’objet d’un consensus entre les écrivains philosophes des Lumières, il faut admettre que leur conception de la tolérance impliquait bien des divergences. Dans son "Dictionnaire philosophique", Voltaire apparaît comme le champion le plus intrépide ; mais qu’en est-il vraiment dans le "Traité sur la tolérance" ? L’indifférence de Diderot à toute religion était-elle favorable à la proclamation de la tolérance ? Dans leurs confrontations avec leurs adversaires, surtout avec Voltaire et Rousseau, les écrivains philosophes des Lumières n’ont pas toujours fait preuve de la même exigence. Il importe de préciser, à partir des textes, ces prises de positions.Toutefois il ne faut pas projeter sur les périodes antérieures des idéaux actuels. Il y a là un risque d’anachronisme. Les hommes de lettres des Lumières étaient en effet confrontés à des situations historiques, à des contextes culturels et idéologiques très différents des nôtres
During the 18th Century, following Spinoza, Bayle and Locke’s writing, the question of a religious tolerance is in the centre of the debates. Voltaire, Montesquieu, Rousseau and Diderot, according to their visions of the problem, developed a theory around a notion which would give birth later to the freedom of conscience principle. Fictions, and especially the novels, allowed these authors to increase the spreading of a tolerance notion. Even if anti-Fanaticism has been an object of consensus between enlightenment Philosophers, it is necessary to admit that their conception of tolerance implied many differences of opinion. In his "Dictionnaire Philosophique", Voltaire appeared as the most dauntless champion; but what about the "Traité sur la tolerance"? Was Diderot’s indifference to all religion favorable to the proclamation of a tolerance? In their confrontations, especially against Voltaire and Rousseau, Enlightenment writers did not all the time observe the same demand. It is important to define, according to our corpus, these takings of position.Nevertheless, it should not be appropriate to cast on pervious periods modern ideals. This would lead to the danger of anachronism. Enlightenment writer were indeed, confronted to historical situations as well as cultural and ideological backgrounds completely different from ours
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Wierciochin, Grzegorz. "La construction de la notion de tolérance chez Sébastien Castellion : approche lexicale et sémantique (écrits français et latins autour de 1550)." Thesis, Le Mans, 2016. http://www.theses.fr/2016LEMA3002.

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Abstract:
Au XVIe siècle en Europe, les divisions religieuses au sein de la Chrétienté se répercutent au niveau littéraire dans des débats polémiques extrêmement vifs où les thèmes du blasphème, de l'hérésie, de l'hétérodoxie et de la déviance occupent une place majeure. Dans ce climat d'intolérance, se construit, difficilement, sous des plumes isolées comme celle du calviniste dissident Castellion (1515-1563), exilé à Genève, puis réfugié à Bâle, une tolérance pré-moderne qui n'est pas celle des Lumières. Les ouvrages polémiques de Sébastien Castellion ont eu tendance à être occultés par ses traductions de la Bible qui le firent reconnaître comme l'un des pionniers de la critique biblique (traduction intégrale de la Bible du grec en latin, 1551, puis du grec en français, 1555). Or dans ces mêmes années, Castellion a subi les attaquesdes calvinistes pour avoir pris la défense de Michel Servet (1553), ce qui se traduisit par la rédaction de l'Historia de morte Serveti, du De Haereticis / Traité des Hérétiques (1554) et d'autres traités publiés à titre posthume (Contra libellum Calvini). Ces textes publiés parfois sous d'autres noms (Martin Bellie / Georges Kleinberg / Basile Montfort) sont plus que des réponses circonstancielles à des opuscules de Calvin ou à des conceptions portées par Bèze. La conception de latolérance qu'ils expriment (sur fond de scepticisme doctrinal, aux dires de ses adversaires) est représentative d'un courant de pensée particulier. La recherche récente a montré que la structure argumentative, grammaticale et lexicale des écritsfrançais et latins de Sébastien Castellion révèle des propriétés originales dont l'analyse aide à mieux comprendre l'outillage mental des contemporains face aux enjeux théologiques et éthiques que posait le pluralisme confessionnel et doctrinal. Une étude lexicologique et sémantique de ces textes de combat réalisée avec l'aide d'outils nouveaux comme un logiciel de textométrie permet de renouveler nos connaissances sur une histoire de la tolérance qui reste très instructivepour l'époque contemporaine
In the 16th century in Europe, religious divisions of christianity erupt in vigorous polemic debates which are fought in literature. The themes of blasphemy, heresy, heterodoxy and deviance become paradigmatic for the political and social changes of the century. In this very special context, a pre-modern idea of tolerance arises in the writings of a few thinkers, like Sebastian Castellio, a former calvinist who veered away from the orthodoxy in Geneva and who took refuge in Basle.The polemical writings of Castellio vanish behind his tranlations of the Bible in latin (1551) and in french (1555), who made of him one of the first critics of the holy scripture. But in the same years, Castellio is violently attacked by the calvinists party for having defended Michael Servetus (1553): a polemic debate on the impunity of heretics breaks out between John Calvinand Sebastian Castellio, who writes his Historia de Morte Serveti and De haereticis / Traité des hérétiques (1554), and other texts which are edited after his death (Contra libellum Calvini) in order to defend his conviction of freedom of conscience. These writings, partly published under pseudonym (Martin Bellius / Georges Kleinberg / Basile Montford) are more then simple answers of circumstance to the texts of Calvin and Théodore de Bèze. They express an idea oftolerance (based on a doctrinal scepticism, as say his adverseries) which is representative for a particular thinking. Recent research has shown that the grammatical, linguistical and logical structure of Castellio's french and latin writings presents a number of original properties. Their analysis can contribute to understand the contemporary mental tools for dealingwith ethical and theological challanges of confesional and doctrinal pluralism. A semantical and lexicological study with a recent texometrical software tool (TXM) allows us to discover new aspects of the history of tolerance, which are revealing for our own century
Im 16. Jahrhundert zeigen sich die religiösen Spaltungen des Christentums in lebhaften polemischen Debatten in der Literatur. Die Themen der Abweichung, der Blasphemie, der Ketzerei und der Heterodoxie werden paradigmatisch für die politischen und sozialen Spannungen der Epoche. In diesem Klima der Unversöhnlichkeit entsteht allmählich der Gedanke vormoderner Toleranz. Die polemischen Schriften des calvinistischen Abweichlers Sebastian Castellio, der in Basel im Exil lebt, werden von seinen beiden Bibelübersetzungen (1551 lateinisch, 1555 französisch) überschattet, die den Nonkonformisten zu einem der ersten kritischen Bibelübersetzer gemacht haben. Nichtsdestoweniger ist Castellio 1553 heftigsten Angriffen der Calvinisten ausgesetzt, da er in seinen Schriften Michael Servetus verteidigt, der kurz zuvor in Genf als Ketzer verbrannt worden ist. Die heftige Polemik zwischen Johannes Calvin und Sebastian Castellio äussert sich in seinen Schriften Historia de Morte Serveti und De haereticis / Traité des hérétiques (1554), sowie in anderen Texten, die posthum veröffentlicht werden (Contra libellum Calvini). Diese Texte, die teilweise unter einem Pseudonym erscheinen (Martinus Bellius / Georges Kleinberg / Basilius Montfort), sind mehr als nur anlassbezogene Antworten auf die doktrinären Schriften Calvins und Theodor Bezas. Die Konzeption der Toleranz, die Castellio darin entwickelt, und die sich laut seinenGegnern auf einen Skeptizismus gegenüber den konfessionellen Lehren gründet, ist repräsentativ für ein besonderes Menschen- und Weltbild. Die jüngste Forschung hat aufgezeigt, dass die grammatikalische, argumentative und lexikalische Struktur des Texte Sebastian Castellios einzigartige Eigenheiten besitzt, deren Analyse zu einem besseren Verständnis der „geistigen Werkzeuge“ der Zeitgenossen angesichts der theologischen und ethischen Umwälzungen der konfessionellen Epoche beitragen kann. Die semantische und lexikologische Untersuchung der Kampfschriften Castellios anhand einer neuen Software für Textometrie (TXM) wirft ein neues Licht auf die Geschichte der Toleranz, die für unsere Epoche wegweisend ist
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Cernogora, Nadia. "La pensée et l'écriture de la métaphore dans la poésie religieuse de l'âge baroque." Saint-Étienne, 2005. http://www.theses.fr/2005STET2086.

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Abstract:
La pensée de la métaphore hérite à la Renaissance et à l’âge baroque d’une riche tradition théorique : tradition rhétorique et spirituelle, qui, d’Aristote à Tesauro, en passant par les Pères de l’Eglise, tend à considérer ce trope non seulement comme un ornement insigne, mais également comme un outil de pensée débouchant sur un « plus haut sens ». Loin de la cantonner au cadre strict de l’ornatus, les poètes religieux de l’âge baroque, pétris de culture biblique, utilisent la métaphore comme un instrument privilégié de déchiffrement de la Bible et des mystères chrétiens, mais également comme un support d'enseignement et d’émotion, susceptible d’aider le lecteur « dévot » dans sa méditation. Cette écriture particulière de la métaphore ne va pas sans contradictions : à la fois médiévale et baroque dans son inspiration, excessive et contrôlée, didactique et ingénieuse, ténue et « copieuse », elle illustre le statut paradoxal de l’image dans un contexte spirituel. Cette étude entend croiser diverses approches, tant théoriques que pratiques, afin de définir les contours d’une poétique de la métaphore religieuse baroque
The Renaissance and Baroque ages inherited a rich theoretical tradition of metaphoric thought : a tradition both rethorical and spiritual which, from Aristotle to Tesauro, taking in the Church Fathers, tends to consider the trope not only as an distinguished embellishment, but also as a tool for freeing thought to a ‘’ higher meaning ‘’. Far from confining it within the strict use of ornatus, the religious poets of the Baroque age, puffed up with biblical culture, use the metaphor as a favourite instrument for deciphering the Bible and christian mysteries but also as an aid for teaching and emotion, capable of assisting the « devout » reader in his meditation. This peculiar metaphoric writing does not exist without some contradictory aspects : both medieval and baroque in its inspiration, excessive and controlled, educational and ingenious, weak and substantial, it illustrates the contradictory status of image in a spiritual context. This study intends to take in various approaches, both theoretical and practical, in order to define the outlines of the poetic in baroque religious metaphors, through a large corpus of religious poets (Jean Baptiste Chassignet, Jean de La Ceppède, Jean de Sponde, Jean Auvray, Antoine Favre, Pierre Poupo)
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Kammerer, Elsa. "Le creuset lyonnais : littérature humaniste et pensée religieuse au cœur des échanges entre Lyon, la cour de France, l'Italie et l'Allemagne dans la première moitié du XVIe siècle." Lille 3, 2005. http://www.theses.fr/2005LIL30030.

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Abstract:
Au croisement d'importants réseaux d'imprimeurs, de graveurs et de poètes qui la relient à l'Italie et aux pays germaniques, Lyon apparaît dans la première moitié du XVIe siècle comme un centre de réformation humaniste catholique relativement indépendant et puissant, et le creuset d'expériences philologiques, iconographiques, symboliques et politiques qui innervent de façon décisive la lecture des textes bibliques. Figure centrale de cette étude, Jean de Vauzelles incarne précisément la conciliation religieuse et humaniste qui a été tentée à Lyon. En relation étroite avec la cour de France, traducteur d'un personnage majeur de la réformation catholique allemande, Ottmar Nachtgall, ainsi que des adaptations que l'Arétin avait faites de la Bible à partir de tableaux contemporains, Vauzelles participe aussi, avec Sante Pagnini, au renouveau des études hébraïques. Il est enfin le premier traducteur français du Songe de Poliphile dont il a, avant Rabelais, adapté les motifs littéraires
Crossroad of significant networks of printers, engravers and poets that link her to both Italy and Germany, the city of Lyons in the first half of the 16th century is a relatively independent and powerful center of a catholic and humanist reformation, and the place for philological, iconographic, symbolic and political experimentations that have decisively nurtured biblical exegesis. The central figure of this study, Jean de Vauzelles, is the incarnation of that conciliation of religion and humanism experimented in Lyons. Closely linked to the royal court of France, translator of Ottmar Nachtgall, a major figure of the German catholic reformation, as well as of Aretino's adaptations of the Bible based on contemporary paintings, Vauzelles is, with Sante Pagnini, active in the renewal of hebraic studies. He is also the first French translator of Colonna's Poliphile's Dream whose literary temes he has adapated in France even before Rabelais
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Lombart, Nicolas. "Réinventer un "genre" : l'Hymne dans la poésie française de la Renaissance." Montpellier 3, 2004. http://www.theses.fr/2004MON30072.

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Abstract:
L'hymne, spécialement consacré à la louange divine dans la poésie païenne antique ou chrétienne ecclésiastique, constitue avec l'ode ou le cantique l'un des grands genres lyriques de l'éloge dans la poésie française du XVIe siècle. Mais par son abondance et son hétérogénéité, le corpus hymnique présente deux difficultés : l'hymne français peut adopter toutes les formes possibles (strophiques ou non, longues ou courtes. . . ) et célébrer une grande diversité d'objets, religieux (divinité olympienne, occasion liturgique, notion chrétienne. . . ) ou non (lieu, abstraction profane, événement. . . ). Si le définition historique de l'hymne ne pose aucun problème -"les hymnes sont des louanges chantées de dieu" affirme sainr Augustin, une définition reprise par les humanistes à propos des hymnes grecs -, c'est bien l'extension problématique du champ de la louange divine qu'il faut interroger à propos du corpus français. Loin de définir une "essence" du genre, la thèse propose l'étude pragmatique d'un large corpus de pièces françaises dans le but d'élargir une typologie de l'hymnographie française renaissante, considérée comme l'acclimatation originale d'un double héritage poétique, païen et chrétien. Trois parties étudient cette 'réinvention" de l'hymne : sa lente émergence entre 1500 et 1549 dans ses formes traditionnelles ecclésiastiques ; sa réappropriation par la Brigade entre 1550 et 1556 (depuis ses espèces pagano-antiques jusqu'aux hymnes "naturels" ronsardiens) ; ses multiples récupérations militantes (politiques et religieuses) entre les années 1560 et la fin du règne de Henri IV
The hymn, specially devoted to singing the praises of Gods in ancient pagan poetry or in ecclesiastical Christian poetry, is with the ode or the canticle one of the great lyric genres of eulogy in the XVIth century French poetry. But because of its abundance and heterogeneousness, the hymnary corpus presents two difficulties : the French hymn can take any possible shape (stanzaic or not, long or short. . . ), and it can sing the praises of a great diversity of subjects, either religious ones (Olympian deities, liturgical occasions, Christian notions. . . )or not (places, individuals, profane abstractions, events. . . ). There is no problem in giving the historical definition of the hymn : "It is a song with praise of God" wrote Saint Augustine whose definition has been taken up by the classical scholars about Greek hymns. However, when dealing with the French corpus, the problematic extension of the field covered by the praise of gods needs questioning. Far from defining an essence of the genre, the thesis proposes a pragmatical study of a large corpus of French pieces so as to set up a typology of the French hymn of the Renaissance which is regarded as the original acclimatization of both a pagan and Christian poetic inheritance. Three parts are devoted to the re-invention of the hymn : its slow emergence between 1500 and 1549 in its traditional ecclesiastical form ; its taken-up by the Brigade between 1550 and 1556 (from the ancient pagan species to the natural ronsardian hymns) ; its multiple militant takovers (both political and religious) between the 1560's and the end of the reign of Henry IV
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Serra, Georges. "Le mythe littéraire de Barcelone." Toulon, 2000. http://www.theses.fr/2000TOUL3001.

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Abstract:
La thèse se propose d'analyser l’image de Barcelone façonnée par les écrivains et artistes étrangers, espagnols et catalans (photographes, plasticiens. . . ) durant la période 1909-1992, dates qui représentent pour la Catalogne deux moments historiques majeurs : la révolte dite de "La Semaine Tragique" et les Jeux Olympiques. Ce travail s'inscrit dans la démarche de comparatistes comme Daniel-Henri Pageaux qui a montré comment l'image littéraire révèle la culture "regardante". Cette approche permet l'utilisation d'outils critiques variés ["sociologie de la littérature" (Lukacs), symbolique de l'espace (Bachelard), "mythocritique" (Pierre Brune!)]. Dans le livre I, on s'attache à montrer comment le mythe de Barcelone est lié à la topographie de la ville (vieille ville souterraine et labyrinthique et ville moderne voulue comme cité-jardin) et comment les écrivains, étrangers principalement, y ont poursuivi leur quête d'orient, suivant la tradition du XIXème siècle, dans un parcours souvent odysséen. En privilégiant les bas-fonds de la ville, -le Barrio chino-, les écrivains font de Barcelone une ville maudite telle Babylone ou Ninive. Dans le livre II, on souligne comment, simultanément, Barcelone devient ville des origines pour les narrateurs ou protagonistes, mais aussi, celle de la décadence dans la tradition de Huysmans et de Lorrain : la ville de toutes les libertés. Le statut du héros est en effet celui d'un fugitif en quête de reruge dans un "ailleurs" rêvé. Dans ce même livre, on montre comment les écrivains ou artistes catalans approchent cet univers. Enfin, dans le livre III, on étudie l'impact de l'histoire sur la ville. Barcelone, ville libertaire pour les écrivains étrangers (premier tiers du XXème siècle), ville dépossédée de sa mémoire pour les écrivains barcelonais après la Guerre civile, et ville postmoderne, uniforme (années 80), démythifiée par le roman policier à l'approche des Jeux Olympiques mais qui conserve son identité, sa catalan-éité
This thesis intends to analyse the picture of Barcelona as it was drawn by foreign writers and artists, but also by Spanish and Catalan ones (photographers, plastic-artists) between 1909 and 1992; those two dates refer to two major historic events in Catalonia : the rebellion of the so called "Tragic week" and the Olympic Games. This work is in keeping with that of such specialists in comparative literature as Daniel-Henri Pageaux who showed how the image can reveal the "witnessing" culture. That approach enables one to use a variety of criticism tools : Sociological Approach of Literature (Lukacs), Symbolism of space (Bachelard), mythological criticism (Pierre Brunei). In book 1, our purpose is to show how the myth of Barcelona is linked with the topography (both an old underground city with its labyrinths and a modern one designed to be a Garden-City) and how writers, mainly foreign ones, pursued their search of Orient, according the XTXth century tradition, on a truly epic journey. By referring to the worst parts of the city (Barrio chino) and thence putting them forward, writers turned Barcelona into a damned city like Babylon or Ninive. In book II, we underline how Barcelona became the original city for narrators and protagonists and in the meantime the city of decay in the tradition of both Huysmans and Lorrain : the city of full freedom. The status of the hero is indeed that of a runaway in search of a shelter in a fancied « somewhere else». In that book we also understand how Catalan writers and artists approach that world. Eventually, in book IIT, we can study the impact of history on the city. Barcelona seen as a libertarian city by foreign writers (first third of the XXth century) or as a city that was deprived of its own memory by Barcefonian writers after the Civil War; it is also perceived as a post-modern, uniform city (during the 80's) deprived of its myths by detective novels as the Olympic Games approached, but it keeps its identity, its way of being Catalan
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Mathieu, Jeanne-Mathilda. "La dispute religieuse dans le théâtre élisabéthain (1580-1625)." Thesis, Montpellier 3, 2018. http://www.theses.fr/2018MON30060.

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Abstract:
Le présent travail s’intéresse à dix pièces écrites et jouées entre 1580 et 1625. Le corpus retenu inclut des pièces rédigées par Robert Daborne, Thomas Dekker, Thomas Heywood, Christopher Marlowe, Philip Massinger, Thomas Middleton, Samuel Rowley et William Shakespeare et Nathaniel Woodes. Cette étude tâche principalement de révéler en quoi les dramaturges de la Renaissance se sont appropriés et ont transformé des codes appartenant à la tradition de la disputatio médiévale afin de mettre en scène les dissensions religieuses de leur époque. Nous avons pris en compte deux acceptions du terme « dispute ». Il peut en effet être défini comme un débat formel et dialectique et comme la manifestation d’un désaccord violent entre deux personnes ou plus.La première partie étudie les éléments conflictuels que l’on trouve dans les scènes de dispute, observant comment les dramaturges mettent en scène les différents aspects du conflit théologique et se sont emparés de l’idée d’hybridité religieuse qui caractérise la période. Cette partie s’interroge sur la mesure dans laquelle la scène de dispute reflète mais aussi nourrit le conflit religieux. Toutefois, une seconde partie analyse ces dialogues et rencontres conflictuelles, souvent violents, comme une manière paradoxale de négocier une certaine forme de coexistence et de décréter une trêve. Une troisième partie se concentre enfin sur les procédés dramatiques mis en œuvre par les auteurs pour proposer une résolution du conflit et atteindre un compromis littéraire entre une forme artistique élitiste et populaire. Ce travail souligne également le lien entre une célébration de l’art du théâtre comme un art fondamentalement hybride et la représentation du conflit religieux à travers les scènes de dispute
This study focuses on ten plays written and performed between 1580 and 1625. The corpus includes plays by Robert Daborne, Thomas Dekker, Thomas Heywood, Christopher Marlowe, Philip Massinger, Thomas Middleton, Samuel Rowley, William Shakespeare and Nathaniel Woodes. The primary aim of this work is to determine the extent to which Renaissance dramatists appropriated and transformed the old tradition of the medieval disputatio in order to stage the religious dissensions of their time. Two definitions of the word ‘dispute’ were considered. Indeed, it can be defined both as a formal dialectical debate and as a violent disagreement between two or more people.The first part explores the conflictual elements to be found in a scene of dispute, looking at how the playwrights staged the different aspects of the conflict and dealt with the idea of religious hybridity which characterises the period. This part questions the extent to which the scene of dispute reflects but also fuels the religious feuds. Nevertheless, the second part analyses these conflictual, and sometimes violent, encounters and dialogues as a paradoxical way to negotiate a certain form of coexistence and to call a truce. Finally, a third part focuses on the way the playwrights used drama to suggest a solution to the conflict and to reach a compromise between an elitist and a popular form of art. This study also explores the link between the vindication of the art of theatre as something fundamentally hybrid and the representation of the religious conflict through scenes of dispute
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Fliege, Daniel. "L'évangélisme poétique. La codification de la poésie spirituelle de Marguerite de Navarre et de Vittoria Colonna." Thesis, Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL050.

Full text
Abstract:
La thèse porte sur la poésie de Marguerite de Navarre et Vittoria Colonna. Elle se concentre sur la codification de leurs poésies spirituelles et examine comment des formes littéraires traditionnelles sont combinées avec des idées religieuses nouvelles et transformées. Pour ce faire, la partie théorique de cette thèse développe une conception du code qui est ensuite appliquée aux poèmes des deux poètes. Dans une partie historique, la thèse explore l’évangélisme en Italie. Elle examine s’il existe en Italie un code évangélique comparable au code évangélique français. La thèse examine ensuite les sonnets spirituels de Vittoria Colonna. Ces poèmes sont édités et traduits en annexe. L’étude analyse également le poème "Le Balladin" de Clément Marot. Le corpus des textes analysés de Marguerite de Navarre comprend les rondeaux, les dizains ainsi que les chansons spirituelles. La thèse se focalise sur l’analyse de la codification et de l’interdépendance de la forme littéraire et de la pensée religieuse
The thesis deals with the poetry of Marguerite of Navarre and Vittoria Colonna. It focuses on the codification of their spiritual poetry and examines how traditional literary forms are combined with new religious ideas and how they are transformed. To do this, the theoretical part of this thesis develops a conception of code that is then applied to the poems of the two poets. In a historical part, the thesis explores evangelism in Italy. It examines whether there is an evangelical code in Italy comparable to the French evangelical code. The thesis then examines the spiritual sonnets of Vittoria Colonna. These poems are edited and translated in an appendix. The study also analyses Clément Marot's poem "Le Balladin". The corpus of texts by Marguerite of Navarre includes the rondeaux, the dizains and the chansons spirituelles. The thesis focuses on the analysis of the codification and of the interdependence of literary form and religious thought
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Rioux-Couillard, Benoît. "Volontés de respect et respect accordé dans la réforme française pré calviniste : l'articulation des arguments de tolérance dans le Summaire de Guillaume Farel (1534)." Mémoire, 2008. http://www.archipel.uqam.ca/1061/1/M10264.pdf.

Full text
Abstract:
Ce mémoire de maîtrise a pour but de définir l'expression des idées de tolérance et de non-violence telles qu'exprimées dans le Summaire et briefve declaration d'aucuns lieux fort necessaires à ung chascun Chrestien, pour mettre sa confiance en Dieu, et ayder son prochain, rédigé par le réformateur français Guillaume Farel en 1529 et édité à Neuchâtel en Suisse en 1534, L'objectif de la recherche est de définir la forme que prenaient ces notions dans les premières années de la Réforme francophone, en étudiant l'oeuvre majeure de son principal acteur pour cette période. Les sujets traités couvrent une étude du vocabulaire de la tolérance dans le texte, et une étude des thèmes abordés par le réformateur selon deux volets, soit l'idée de tolérance telle que demandée par les Réformés, et la tolérance consentie par ceux-ci envers leurs rivaux. À l'intérieur des deux volets de l'étude des thèmes, les sujets suivants sont abordés: Examen et Liberté chrétienne sous l'angle de la tolérance demandée, et Correction ainsi que charité, coeur et utopie sous l'angle de la tolérance accordée. La principale hypothèse de travail consistait en la supposition d'une opposition de valeur entre les notions de toleration et de permission, ainsi qu'un recours à l'autorité temporelle pour les demandes de tolérance. Les résultats obtenus infirment toutefois cette hypothèse et montrent que le réformateur basait beaucoup plus sa vision de la tolérance sur «l'Église invisible» et l'action charitable individuelle que sur des recours à l'autorité temporelle, considérée illégitime en matière spirituelle. L'étude du vocabulaire comme celle de la Correction révèlent que l'expression des idées de tolérance et de non-violence passait pour Farel par la conception d'une pseudo utopie basée sur la charité fraternelle. Quant aux demandes de tolérance, elles sont pratiquement absentes, et sont remplacées par des proclamations de droit divin accordés par les Écritures, ce qui constitue une transposition de la notion de permission dans la sphère spirituelle, émanant de la seule autorité légitime en la matière: Dieu. Les conclusions qui ressortent de cette étude sont que l'évangélisme et l'humanisme encore très influents chez les Réformés à cette époque, combinés avec les succès de la Réforme dans les territoires de l'ouest de la Suisse actuelle, contribuaient à un certain dédain du recours au politique pour l'obtention du consensus religieux et social-ou concorde-qui était souhaité de part et d'autre. Ce contexte historique intellectuel apparaît donc comme très différent de celui de la seconde moitié du XVIe siècle où catholiques et protestants commencèrent à délaisser les idéaux d'oecuménisme et d'humanisme érasmien pour tenter plutôt de trouver des solutions politiques à leurs différends. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Tolérance, Non-violence, Réforme protestante, Suisse, France, XVIe siècle, Histoire, Religion, Guillaume Farel, Summaire.
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