Academic literature on the topic 'Toronto (Ont.) – Langues'

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Journal articles on the topic "Toronto (Ont.) – Langues"

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Babayants, Art, and Nicole Nolette. "Présentation / Introduction Bousculer la scène unilingue / Defying the Monolingual Stage." Theatre Research in Canada 38, no. 2 (2017): 148–52. http://dx.doi.org/10.3138/tric.38.2.148.

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Abstract:
Au début avril 2017, la compagnie de théâtre Modern Times de Toronto a invité un groupe hétérogène d’artistes, de chercheurs et de critiques à échanger sur le thème de la diversité en lien avec les pratiques théâtrales au Canada. Une des tables rondes, animée par Marjorie Chan, directrice artistique de Cahoots Theatre, portait sur les langues et les accents représentés sur la scène. Chacun des intervenants a proposé une série de questions. Comment représenter une langue minoritaire sur les planches? Doit-elle être traduite? Quel est le rôle des sous-titres? Quels types de sous/surtitres doit-on utiliser? Qui a le droit de s’exprimer en telle ou telle langue? Une personne entendante peut-elle s’exprimer sur scène en langue des signes? Faut-il plutôt laisser aux comédiens malentendants le soin d’interpréter des person-nages qui communiquent en ASL? Peut-on s’attendre à ce qu’un comédien immigré ayant appris l’anglais à l’âge adulte puisse s’exprimer sans accent dans cette langue? Pourquoi le public et la critique, au Canada, ont-ils du mal à accepter qu’un comédien dont l’accent n’est pas d’ici joue un personnage dont on pourrait s’attendre qu’ils aient un accent « non marqué »? Pourquoi s’attendrait-on à ce qu’il adopte un accent « non marqué »? S’il est vrai que les intervenants n’étaient pas toujours d’accord entre eux, ils étaient manifestement tous d’avis qu’au Canada, les compagnies de théâtre professionnelles et les écoles de théâtre s’en tirent plutôt mal lorsqu’il s’agit d’encourager la diversité linguistique et phonétique sur la scène. De plus, il est devenu évident que le recours à diverses langues au théâtre est intimement lié aux questions d’accents et de dialectes, à notre perception des langues et des accents, à la race, à notre perception de la race, au problème de la répartition du pouvoir et, dernier point mais non le moindre, aux choix d’ordre esthétique de chacune des productions.
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2

Brousseau, Anne-Marie. "Identités linguistiques, langues identitaires : synthèse." Arborescences, no. 1 (April 11, 2011): 0. http://dx.doi.org/10.7202/1001938ar.

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Abstract:
Cet article propose une synthèse des huit articles de ce numéro, qui sont issus du colloque « Prescriptivism(e) & Patriotism(e): du nationalisme à la mondialisation » tenu à Toronto les 17-19 août 2009. Pour faire bon accueil à une diversité de lectrices et lecteurs intéressés par les études françaises, cette synthèse situe les articles dans la grande conversation sociolinguistique qui porte sur les rapports entre langue et identité. Elle définit d’abord les deux concepts qui ont inspiré ce numéro : 1) le prescriptivisme, en rapport à une série de notions qui y sont reliées (norme, surnorme, bon usage, variation linguistique, marché linguistique) ; et 2) le patriotisme, en fonction de son lien essentiel avec l’identité (construction identitaire, rapport à l’autre, attitudes linguistiques, prestige manifeste, prestige latent). Elle résume ensuite chacun des articles, regroupés en trois parties, abordant chacune une facette de la dynamique patriotisme-prescriptivisme. La première partie traite du décalage entre les normes et les usages linguistiques et la perception de ces normes et de ces usages. La deuxième partie aborde la question de la vitalité linguistique, de l’érosion linguistique, de l’aménagement des langues et de leur revitalisation. La troisième partie montre les relations intestines, parfois même symbiotiques, entre le prescriptivisme et le patriotisme.
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3

Galante, Angelica, Kerstin Okubo, Christina Cole, et al. "Plurilingualism in Higher Education: A Collaborative Initiative for the Implementation of Plurilingual Pedagogy in an English for Academic Purposes Program at a Canadian University." TESL Canada Journal 36, no. 1 (2019): 121–33. http://dx.doi.org/10.18806/tesl.v36i1.1305.

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Abstract:
Previous literature on higher education suggests the inclusion of pedagogy that is linguistically and culturally inclusive in settings with increasing multilingualism, which is the case in Canada. Yet, little is known as to how the implementation of such pedagogy can take place, particularly in language programs. This article reports a researcher-instructor collaboration that aimed at implementing plurilingual practices, such as translanguaging, plurilingual identity, comparons nos langues, and intercomprehension over 4 months in an English for Academic Purposes (EAP) program at a university in Toronto, Canada. Seven EAP instructors collaborated with a researcher to implement weekly plurilingual tasks: They conducted an environment analysis, examined the logistics of implementation, and collaboratively examined the tasks. The article presents the process of implementation of the plurilingual tasks and proposes a framework for collaboration with four key elements: administrative support, openness to the use of languages other than English in class, weekly collaborative checks with the researcher, and the learner-centered nature of the tasks. Implications for the implementation of plurilingualism in English language programs in higher education are discussed. La littérature existante sur l’enseignement supérieur suggère l’inclusion d’une pédagogie linguistiquement et culturellement inclusive là où le multilinguisme est en hausse, ce qui est le cas au Canada. On sait toutefois peu de choses sur la façon dont la mise en œuvre d’une telle pédagogie pourrait s’effectuer, particulièrement dans les programmes de langue. Le présent article rend compte d’une collaboration entre une chercheuse et plusieurs professeurs qui portait sur la mise en œuvre de pratiques plurilingues comme le translangagisme, l’identité plurilingue, Comparons nos langues, et l’intercompréhension sur une période de 4 mois dans le cadre d’un cours d’anglais académique (EAP) offert dans une université de Toronto, au Canada. Sept professeurs d’anglais académique ont collaboré avec une chercheuse à la mise en œuvre de tâches plurilingues hebdomadaires, et ce, en réalisant une analyse de l’environnement, en examinant la logistique de la mise en œuvre et en collaborant à l’examen des tâches. L’article présente le processus de mise en œuvre des tâches plurilingues et propose un cadre de collaboration comportant quatre éléments clés : soutien administratif, ouverture à l’utilisation de langues autres que l’anglais en classe, contrôles collaboratifs hebdomadaires avec la chercheuse et choix de tâches centrées sur l’apprenante ou l’apprenant. Les implications de la mise en œuvre du plurilinguisme à l’intérieur des programmes de langue anglaise dans l’enseignement supérieur font l’objet d’une discussion.
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4

Godard, Barbara. "La traduction comme réception : les écrivaines québécoises au Canada anglais." TTR : traduction, terminologie, rédaction 15, no. 1 (2003): 65–101. http://dx.doi.org/10.7202/006801ar.

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Abstract:
Résumé S'inspirant de la théorie de Pierre Bourdieu de la stratification violente du « champ de production culturelle » et de la théorie d'André Lefevere de la médiation hégémonique du patronage dans la survivance des oeuvres littéraires, cet essai analyse la ré-écriture de la littérature québécoise au Canada anglais par le biais des pratiques de traduction. Toronto (et New York) contribuent à la légitimation de la littérature québécoise : les maisons d'éditions anglophones choisissent ce que l'on traduit et qui le traduit — des processus de séléction qui ont féminisé la culture québécoise comme alternative au matérialisme américain. Les romans de Gabrielle Roy, Anne Hébert, et Marie-Claire Blais ont été intégrés pleinement au système littéraire anglo-Canadien où, ré-écrits comme « réalistes » et présentant une image d'un Québec unilingue anglais, ils ne circulent que dans le champ de grande production ou le champ de la production restreinte, addressés à la bourgeoisie. En dépit de l'hypothèse de Carolyn Perkes, cependant, l'écriture d'une génération féministe plus jeune (Nicole Brossard, France Théoret, etc.) n'a pas transformé les normes du champ littéraire cannadien-anglais. Un nouveau genre de « fiction/théorie» s'est développé au Canada anglais, mais il ne circule que dans le champ de production marginale (les presses féministe et d'avant-garde) sans la reconnaissance d'autres positions dans le champ culturel. En effet, dans cette fiction/théorie, la thématique du langage, qui met en relief l'asymétrie du pouvoir entre l'anglais et le français, a été fortement critiquée parce qu'elle enfreint les normes de la purété linguistique et du sens transparent qui structurent le champ de la production restreinte. Un dialogue entre féministes à travers les langues a influencé l'écriture des écrivaines québécoises pour qui le motif de la traduction informe quelques romans récents. Répondant par un jeux de variations à la violence d'une subordination symbolique, ces romans entreprennent le travail du deuil pour l'objet perdu (la mère absente, la langue unique) en employant la traduction comme une figure de perlaboration. La traduction n'implique pas la tragédie d'une perte de la langue, mais un excès carnavalesque de la répétition dans beaucoup de langues potentielles. La traduction constitue alors un accès privilégié à une créativité autre.
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Hyman, I., D. Patychuk, Q. Zaidi, et al. "Traitement du diabète : auto-traitement, utilisation des services de santé et recherche d'information chez les immigrants récents de Toronto." Maladies chroniques et blessures au Canada 33, no. 1 (2012): 13–20. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.33.1.02f.

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Abstract:
Introduction Notre objectif était d'explorer les pratiques d'auto-traitement, l'utilisation des services de santé et la recherche d'information sur le diabète de type 2 chez les adultes des deux sexes issus de quatre communautés d'immigrants récents de Toronto. Méthodologie Un questionnaire structuré a été adapté au contexte canadien et traduit en 4 langues. En tout, 184 participants atteints du diabète de type 2 (130 immigrants récents et 54 sujets nés au Canada) ont été recrutés tant en milieu communautaire qu'en milieu hospitalier. Résultats Les immigrants récents étaient significativement moins nombreux que les sujets nés au Canada àvérifier régulièrement leur glycémie et l'état de leurs pieds et significativement plus nombreux que les sujets nés au Canada à être non-fumeurs, à faire régulièrement de l'activité physique et à réduire leur apport alimentaire en graisses. Les immigrants récents avaient significativement moins souvent recours à un spécialiste, à un autre dispensateur de soins et à un diététiste et déclaraient en moins grand nombre consulter des diététistes, des infirmières et des organisations pour diabétiques comme sources d'information sur le diabète. Des différences importantes ont été observées selon le sexe et le pays d'origine. Conclusion Les observations semblent indiquer que les stratégies de prévention et de prise en charge du diabète destinées aux immigrants récents doivent tenir compte des barrières linguistiques, financières, informationnelles et systémiques qui nuisent à l'accès à l'information et aux soins.
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Cohen, Yolande. "Enclaves ethniques et stratégies résidentielles des Juifs à Toronto et Montréal." Canadian Jewish Studies / Études juives canadiennes 30 (November 30, 2020): 83–114. http://dx.doi.org/10.25071/1916-0925.40185.

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Abstract:
This paper explores the residential strategies developed by different waves of Jewish migrants in Toronto and Montreal since their early establishment in Canada. Tracking the creation of synagogues and centres of worship, as well as Jewish schools, allows us to evaluate their impact on the urban landscape. Where and how were these enclaves built? What were the strategies that have prevailed with each new wave of immigrants to incorporate their culture within these particular landscapes? Whereas religious and ethnic affiliations were essential expressions of identity in those enclaves, French language became the dominant factor of integration for Moroccan Jews in Quebec during the 1960s and 1970s. The paradox of their establishment in the 1960s is that even though most of them spoke French and founded their schools and main institutions in that language, they chose to live within established Jewish enclaves, which were multi-ethnic and anglophone. Did religion trump language?Cet article explore les stratégies résidentielles développées par différentes vagues de migrants juifs à Toronto et à Montréal depuis leur établissement initial au Canada. Suivre la création de synagogues et de centres de culte, ainsi que les écoles juives, nous permet d’évaluer leur impact sur le paysage urbain. Où et comment ces enclaves ont-elles été construites ? Quelles ont été les stratégies qui ont prévalu à chaque nouvelle vague d’immigrants pour intégrer leur culture dans ces paysages particuliers ? Alors que les affiliations religieuses et ethniques étaient des expressions essentielles de l’identité dans ces enclaves, la langue française est devenue le premier facteur de l’intégration des Juifs marocains au Québec dans les années 1960 et 1970. Le paradoxe de leur établissement dans les années 1960 est que, même si la plupart d’entre eux parlaient français et ont fondé leurs écoles et leurs principales institutions dans cette langue, ils ont choisi de vivre au sein des enclaves juives, qui étaient multiethniques et anglophones. La religion a-t-elle pris le pas sur la langue ?
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Jean-Pierre, Johanne. "Le rêve inachevé d’étudier et de socialiser en français en toute sécurité linguistique : les perspectives d’étudiants franco-ontariens." Articles 47, no. 3 (2017): 120–35. http://dx.doi.org/10.7202/1043241ar.

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Abstract:
Suivant une démarche interprétative, cet article examine les perspectives d’étudiants franco-ontariens rapportées lors d’une étude qualitative exploratoire. Des entretiens semi-structurés séquentiels menés en profondeur ont été effectués à Ottawa et à Toronto entre janvier et juin 2014 auprès de 18 étudiants franco-ontariens. Les résultats indiquent que les participants franco-ontariens qui fréquentent des établissements postsecondaires à vocation bilingue souhaitent à la fois une amélioration de l’accès aux études en français et de la qualité de la langue d’instruction ainsi que de meilleures possibilités de socialiser en français. Les participants qui fréquentent des établissements à vocation française ont affirmé être satisfaits de leur expérience d’apprentissage, tandis que ceux inscrits dans des établissements à vocation anglaise ont déploré un sentiment d’isolement linguistique. De plus, le manque d’occasions pour socialiser en français et inclure des réalités franco-ontariennes dans les curriculums, ainsi que les incidents d’intimidation linguistique alimentent l’insécurité linguistique.
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Jean-Pierre, Johanne. "Le rêve inachevé d’étudier et de socialiser en français en toute sécurité linguistique : les perspectives d’étudiants franco-ontariens." Canadian Journal of Higher Education 47, no. 3 (2017): 120–35. http://dx.doi.org/10.47678/cjhe.v47i3.188062.

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Abstract:
Suivant une démarche interprétative, cet article examine les perspectives d’étudiants franco-ontariens rapportées lors d’une étude qualitative exploratoire. Des entretiens semi-structurés séquentiels menés en profondeur ont été effectués à Ottawa et à Toronto entre janvier et juin 2014 auprès de 18 étudiants franco-ontariens. Les résultats indiquent que les participants franco-ontariens qui fréquentent des établissements postsecondaires à vocation bilingue souhaitent à la fois une amélioration de l’accès aux études en français et de la qualité de la langue d’instruction ainsi que de meilleures possibilités de socialiser en français. Les participants qui fréquentent des établissements à vocation française ont affirmé être satisfaits de leur expérience d’apprentissage, tandis que ceux inscrits dans des établissements à vocation anglaise ont déploré un sentiment d’isolement linguistique. De plus, le manque d’occasions pour socialiser en français et inclure des réalités franco-ontariennes dans les curriculums, ainsi que les incidents d’intimidation linguistique alimentent l’insécurité linguistique.
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Lebrec, Caroline. "Modalités d’écriture collaborative et didactique ludique : Les applications pédagogiques des « 24 heures du roman » dans les programmes du Français Langue Seconde." Voix Plurielles 13, no. 2 (2016): 163–76. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v13i2.1444.

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Abstract:
À l’occasion du quatre-centenaire de la présence francophone en Ontario, de nombreuses manifestations culturelles ont eu lieu au cours de l’année 2015. De ces événements sont restées des traces, notamment un livre « Sur les traces de Champlain : Un voyage extraordinaire en 24 tableaux », co-publié par la maison d’édition franco-ontarienne Prise de parole (2015) et l’association franco-ontarienne « L’Écriture en mouvement » ; cette dernière ayant également publié un jeu de cartes « Canada 1615 ». Cette étude présente le projet des « 24 heures du roman », propose une analyse des modalités d'écriture collaborative dans le livre « Sur les traces de Champlain : Un voyage extraordinaire en 24 tableaux » et propose enfin une application pédagogique expérientielle des modalités d'écriture collaborative de « Canada 1615 », dans un cadre de didactique ludique. Cette séquence pédagogique a été mise en place dans le cadre des cafés-rencontre de la section française du Département d'études langagières à l’Université de Toronto à Mississauga.
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Maxwell, Thomas R. "La population d'origine française de l'agglomération métropolitaine de Toronto. Une étude sur la participation et l'identité ethnique." Articles 12, no. 3 (2005): 319–44. http://dx.doi.org/10.7202/055539ar.

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Abstract:
Dans toute agglomération polyethnique, l'impact de la participation sociale sur l'identité du groupe s'avère être un facteur critique dans la survivance d'une minorité ethnique. Puisque l'identité est formée et maintenue par un processus d'interaction, la participation sociale, qu'elle se situe à l'intérieur ou à l'extérieur des limites ethniques, peut favoriser la conservation ou la dissolution de l'identité ethnique. L'image du Soi est façonnée par ces personnes et ces groupes avec lesquels les membres d'une minorité ethnique « participent fréquemment et partagent d'étroites similitudes de comportement ». D'autres ont déjà appelé ce processus, « l'identification participationnelle ». L'appartenance à un groupe qui s'identifie lui-même comme tel et qui est identifié de la même façon par les autres caractérise le groupe ethnique. Une telle identité ethnique comprend non seulement la conscience de la communauté d'origine, de tradition, de langue et de culture, mais aussi une conception de ce qu'on représente aux yeux de la population environnante. Quoiqu’éprouvée d'une manière subjective, la conscience d'une identité ethnique ne se développe que par l'interaction sociale à l'intérieur des structures institutionnelles et des organisations communautaires de la société d'origine. La conscience d'une identité commence au sein de la famille ; elle est ensuite renforcée par l'interaction sociale à l'intérieur du contexte plus vaste de la communauté et se maintient grâce à une participation soutenue dans les structures sociales communautaires. Les modèles de participation traduisent l'ensemble des croyances, des valeurs et des buts communs aux membres de la communauté ou de la société et se manifestent extérieurement dans les rôles et statuts sociaux qui constituent le genre de vie particulier de la société. Une telle participation est un phénomène social essentiel à la formation et au maintien de l'identité ethnique.
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Dissertations / Theses on the topic "Toronto (Ont.) – Langues"

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Shafiefar, Simin. "Language profile of Iranian immigrants in Montréal compared to Toronto." Master's thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/32985.

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Abstract:
Comme le nombre d'immigrants Iraniens a augmenté au Canada au cours des dernières décennies, les nouvelles recherches sont nécessaires sur cette population. Étant donné que la transmission des langues immigrantes est une composante du processus d'établissement des immigrants et que les immigrants iraniens ont rarement fait l'objet d'études canadiennes, le but de cette recherche est d'étudier le profil linguistique des immigrants Iraniens à Montréal par rapport à Toronto. En utilisant les données du questionnaire long du recensement canadien de 2001, 2006 et 2011, nous avons étudié l'influence des facteurs sociodémographiques, familiaux et migratoires sur la langue que les immigrants Iraniens parlent le plus souvent à la maison à Montréal et à Toronto. Pour ce faire, nous avons procédé à différentes analyses descriptives pour déterminer si les immigrants Iraniens sont plus susceptibles de parler en langue non officielle (langue ancestrale) à la maison ou en langues officielles. Dans le but d'approfondir le profil linguistique des immigrants Iraniens à la maison, j'étends mes recherches en effectuant des régressions logistiques. Les résultats montrent que les immigrantes iraniennes par rapport à leurs homologues masculins, immigrants légalement mariés, les iraniens qui ont immigré au Canada à l'âge de 15 ans et plus ainsi que les immigrants iraniens arrivés au Canada après 1980 parlaient dans une langue non officielle à la maison plus que les langues officielles à Montréal ainsi qu’à Toronto.
As the number of Iranian immigrants has increased in Canada in recent decades, more research is necessary on this population. Given that immigrant-language transmission is one component of immigrant settlement process and also, Iranian immigrants have rarely been the subject of Canadian studies, thus, the purpose of this research is to study the home language profile of Iranian immigrants in Montreal compared to Toronto. Using the data of long form census questionnaire 2001, 2006 and 2011, we have studied the influence of socio-demographic, familial and migratory factors on language Iranian immigrants spoke most often at home in Montreal and Toronto. In doing so, we have carried out various descriptive analyzes to discover if Iranian immigrants are more likely to speak in nonofficial language (heritage language) at home or in official languages. For the purpose of further investigation of home language profile of Iranian immigrants I expand my research by running logistic regressions. The results show that Iranian female immigrants compared to their male counterparts, legally married immigrants, those Iranians who have immigrated to Canada at the age of 15 years old and over as well as Iranian immigrants who have arrived in Canada after 1980 spoke in non-official language at home more than official languages in both Montreal and Toronto.
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Books on the topic "Toronto (Ont.) – Langues"

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Center, Langley Research. Thirteenth International Laser Radar Conference: abstracts of papers presented at the conference sponsored by the Atmospheric Environment Service and York University, Toronto, Ont., Canada, and by NASA Langley Research Center, Hampton, Va., U.S.A., and held in Toronto, Ont., Canada, Aug. 11-15, 1986. Langley Research Center, 1986.

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Book chapters on the topic "Toronto (Ont.) – Langues"

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Beinart, William, and Lotte Hughes. "The Post-Imperial Urban Environment." In Environment and Empire. Oxford University Press, 2007. http://dx.doi.org/10.1093/oso/9780199260317.003.0023.

Full text
Abstract:
In this chapter we turn to themes of race, space, environmental justice, and indigenous reassertions in the post-colonial city. We will use as examples: services and urban planning in Singapore; riots in Sydney; and a comparative discussion of parks and public symbols. Although the location of cities had largely been fixed in the colonial period, they were undergoing rapid change by the mid-twentieth century as communities from the surrounding countryside poured into the urban areas. At the beginning of the twentieth century, one tenth of the world’s population lived in cities; by its end more than half did so. In 1900 the ten largest cities were located in Europe and the US, with the exception of Tokyo at seventh. By the early twenty-first century no European urban agglomerations were in this league. The balance shifted from the West to the rest, especially after 1950. Of former colonial cities, Greater Mumbai with about 16 million people, Kolkata (13 million), and Delhi (13 million) were in this group. Mumbai had housed around one million people in 1911. Cities in non-settler states became increasingly dominated, demographically, by the descendants of rural communities from their hinterlands. While English often served as a common medium of communication, regional languages also urbanized with their speakers. Overall, urbanization was linked with rising living standards. But, especially in mega-cities, the gap increased between the rich and overwhelming numbers of urban poor, most of whom were not able to make it into formal employment. Rates of growth in former settler cities were usually less sudden, but they also became increasingly culturally diverse. Canadian cities are one example. The small migrations of indigenous people were only one reason for this. Their increasing multi-ethnicity resulted largely from new sources of global migration: for example, the movement of people from non-British parts of Europe, from the Caribbean, as well as African Americans, Indians, and East Asians. Post-colonial conflict created new diasporas: some of the 80,000 Ugandan Asians expelled by Idi Amin in 1972 went to Canada, and Toronto became home to the single largest population of expatriate Somalis.
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Dasgupta, Subrata. "An Explosion of Subparadigms." In It Began with Babbage. Oxford University Press, 2014. http://dx.doi.org/10.1093/oso/9780199309412.003.0019.

Full text
Abstract:
In 1962, purdue University in West Lafayette, Indiana, in the United States opened a department of computer science with the mandate to offer master’s and doctoral degrees in computer science. Two years later, the University of Manchester in England and the University of Toronto in Canada also established departments of computer science. These were the first universities in America, Britain, and Canada, respectively, to recognize a new academic reality formally—that there was a distinct discipline with a domain that was the computer and the phenomenon of automatic computation. There after, by the late 1960s—much as universities had sprung up all over Europe during the 12th and 13th centuries after the founding of the University of Bologna (circa 1150) and the University of Paris (circa 1200)—independent departments of computer science sprouted across the academic maps on North America, Britain, and Europe. Not all the departments used computer science in their names; some preferred computing, some computing science, some computation. In Europe non-English terms such as informatique and informatik were used. But what was recognized was that the time had come to wean the phenomenon of computing away from mathematics and electrical engineering, the two most common academic “parents” of the field; and also from computer centers, which were in the business of offering computing services to university communities. A scientific identity of its very own was thus established. Practitioners of the field could call themselves computer scientists. This identity was shaped around a paradigm. As we have seen, the epicenter of this paradigm was the concept of the stored-program computer as theorized originally in von Neumann’s EDVAC report of 1945 and realized physically in 1949 by the EDSAC and the Manchester Mark I machines (see Chapter 8 ). We have also seen the directions in which this paradigm radiated out in the next decade. Most prominent among the refinements were the emergence of the historically and utterly original, Janus-faced, liminal artifacts called computer programs, and the languages—themselves abstract artifacts—invented to describe and communicate programs to both computers and other human beings.
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