Academic literature on the topic 'Tournois (Chevalerie)'

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Journal articles on the topic "Tournois (Chevalerie)"

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Baldwin, John W. "Jean Renart et le Tournoi de Saint-Trond : Une Conjonction de L'Histoire et de la Littérature." Annales. Histoire, Sciences Sociales 45, no. 3 (June 1990): 565–88. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1990.278858.

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Abstract:
La fin du XIIe siècle constitue un point culminant dans le développement du tournoi, véritable mise en scène des exploits de la chevalerie. Depuis le XIe siècle, date de son « invention » supposée dans le Maine par un certain Geoffroy de Preuilly, il s'était répandu dans la France septentrionale puis dans tout l'Occident chrétien. Autour de 1200, un ensemble exceptionnellement riche de sources éclaire son déroulement. Comme les tournois avaient été proscrits dès 1130 par les autorités ecclésiastiques, les clercs étaient peu disposés à en décrire tout le déroulement dans leurs chroniques. Ainsi Gislebert de Mons, chancelier du comte Baudouin V de Hainaut, énumère treize tournois auxquels Baudouin participa. Depuis son adoubement en 1168 jusqu'à la grande assemblée de Mayence en 1184, il participa activement à des tournois dans la vallée du Rhin et dans le nord-est de la France, mais le chroniqueur est avare en détails sur leur déroulement. Les comptes rendus les plus complets furent écrits en langue vernaculaire, et non en latin, pour le plaisir des classes aristocratiques qui parrainaient ces pratiques.
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Viallon, Marina. "Théâtres de chevalerie : tournois et politique à la cour de France au XVIe siècle." Études Épistémè, no. 39 (April 27, 2021). http://dx.doi.org/10.4000/episteme.12908.

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Dissertations / Theses on the topic "Tournois (Chevalerie)"

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Nadot, Sébastien. "Joutes, emprises et pas d'armes en Castille, Bourgogne et France, 1428-1470." Paris, EHESS, 2009. https://eu03.alma.exlibrisgroup.com/view/uresolver/33UFC_INST/openurl?u.ignore_date_coverage=true&portfolio_pid=53180296390006657&Force_direct=true.

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Abstract:
Les historiens du sport considèrent qu'il n'y a pas de filiation directe entre les pratiques physiques médiévales et le sport moderne, apparu au 19ème siècle sur des bases antiques. Les pas d'armes (exercices de joute consistant à défendre un pas ou passage contre quiconque relève le défi) et les emprises d'armes (combats courtois que va livrer un chevalier en terres étrangères) sont deux formes de combats de la fin du Moyen Âge, particulièrement nobles, prestigieuses et théâtralisées. Emprises et pas d'armes peuvent se définir comme des« pratiques physiques» ludiques. La dépense physique, la gestion de l'effort, la prise de risque, les accidents corporels, l'esprit compétitif, les tricheries et le chauvinisme y sont présents dans un cadre réglementé. Emprises et pas d'armes sont également des spectacles. Une organisation minutieuse permet à un public nombreux d'assister aux combats. La mise en scène d'une œuvre, d'un thème ou d'un héros littéraire dans des décors somptueux et un cadre courtois fait écho à une culture chevaleresque européenne. Emprises et pas d'armes ont aussi des finalités financières et politiques. L'efficacité de ces rassemblements pour contrôler la violence n'est pas démontrée, pas plus qu'une réelle « civilisation des mœurs» au moyen des joutes. Toutefois, lieux de rencontres et d'intense activité diplomatique, ils permettent aux organisateurs et aux participants de gagner de l'argent ou d'asseoir leur prestige politique. Une comparaison systématique de ces joutes élaborées et des sports contemporains permet donc de conclure que les emprises et pas d'armes constituent un véritable sport qui allie exercice physique et amour du jeu
Sport historians consider that there is no direct link between sport practiced in medieval times and modern sport that appeared in the 1 9th century on ancient sport practices. The pas d'armes Goust exercises whereby the jouster defends his passage against whoever meets the challenge) and the emprises d'armes (courteous fights that a knight will carry out in foreign lands) are two forms of battles which were at the end of the Middle Ages, particularly noble, prestigious and theatralized. Pas and emprises can be defined as «physical playful practices ". The physical energy exercised, the effort control, the risk-taking, the bodily accidents, the competitive spirit, the tricking and nationalism are present in a controlled framework. Pas and emprises are also performances. By having a meticulous organization more people can attend the fights. The stage setting of the fights based on literary works and a luxurious framework revives the era of the European knightly culture Pas and emprises have a150 served financial and politic al purposes. The efficiency of these gatherings to check the violence is not demonstrated, not more than a real “civilization of customs” by means of jousting. However, these gatherings acted as meeting places where intensive diplomatic activity could be carried out and allowed both the organizers and the participants to make some money or to reinforce their political prestige. A systematic comparison of these elaborated jousts with contemporary sports thus allows one to conclude that the pas d'armes and emprises d'armes constituted a real sport which allies both physical exercise and love of the game
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Bureaux, Guillaume. "Union et désunion de la noblesse en parade. Le rôle des Pas d'armes dans l'entretien des rivalités chevaleresques entre cours princières occidentales, XVe-XVIe siècles (Anjou, Bourgogne, France, Saint-Empire)." Thesis, Normandie, 2018. http://www.theses.fr/2018NORMR142/document.

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Abstract:
Apparus en 1428 en Espagne, le Pas d’armes est un parfait exemple de l’indéniable intérêt porté par la noblesse, de la fin du Moyen Âge et du début de la Renaissance, aux arts martiaux, littéraires et théâtraux. Il s’agit, en réalité, d’une évolution de la joute et du tournoi au cours duquel un ou plusieurs chevaliers est volontaire pour garder un carrefour, une porte ou tout autre lieux symbolique. Pour différencier ces exercices des joutes, les organisateurs publient des chapitres, ou lettres d’armes, plusieurs mois en avance. Ils sont souvent constitués de deux parties, la première venant placer les chevaliers assaillants et défenseurs dans un univers magique et fantastique, le seconde présentant les règles du jeu. Notons également que la majeure partie des Pas plonge les chevaliers dans un monde fictionnel, en particulier inspire de la légende arthurienne, grâce aux chapitres, aux décors et, naturellement, aux costumes. Témoignages des contacts transculturels existent entre les cours d’Anjou et de Bourgogne avec celles d’Espagne, les Pas d’armes sont organisés à des moments décisifs pour les cours, qu’il s’agisse de mariages, de traités de paix ou d’un temps d’après-guerre ; et tous remplissent un rôle commun : mettre en lumière l’unité chevaleresque autour du Prince et de son pouvoir. Invariablement, c’est le Prince qui sort vainqueur des événements qui ont lieux au sein de sa cour. Il s’agit essentiellement pour le prince de mettre en scène son pouvoir dans ce « jeu-mimique » où l’important n’est pas tant le combat que le spectacle et la mise en lumière du pouvoir princier, tant culturel, financier que militaire
Appearing in 1428 in Spain, the Pas d’Armes are a real example of the undeniable interest held by the nobility of the end of the Middle Ages and the beginning of the Renaissance in the arts of warfare, in literature, and theater. It is in reality an evolution of the joust and tournament in which one or several knights volunteer to keep a crossroad, a door or another symbolic place. To differ from the joust, the organizers publish chapters, or letters of weapons, several months in advance. They consisted of two parts, the first one coming to place the knights defenders and aggressors in a magic and fantastic universe, the second containing rules to be followed. It is also necessary to note that the great majority of Pas place the knights in a fictional world, in particular regarding Arthurian legend, by means of chapters, present scenery around the lists and, naturally, costumes. Testimonies of transcultural contacts between the Valois ‘courts of Anjou and Burgundy and Spanish courts, the Pas d’armes are organized at courtly decisive moments like marriages, treaties of peace or just after a war, all the Pas d’armes had a common role : to highlight the unity of knighthood around the Prince and his power. On each occasion is the Prince who emerges victorious from all the entertainment organized at his court. Essentially, it is a way for the prince to dramatize his power in this “game – mimicry” where the important thing was not so much the fighting but the scenery and the highlighting of cultural, financial and military power of the court
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Forster, Lois. "Chevaliers et hommes d'armes dans l'espace bourguignon au XVe siècle." Thesis, Lille 3, 2018. http://www.theses.fr/2018LIL3H030/document.

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Abstract:
Chacun de leur côté, les phénomènes de la guerre et des tournois au Moyen Âge ont déjà bénéficié d’études nombreuses et approfondies. En revanche, on a négligé d’analyser en profondeur le lien entre ces deux mondes, accusé pourtant de s’étioler au XVe siècle au profit de spectacles grandioses n’ayant plus rien à voir avec la réalité d’un champ de bataille. Par ailleurs, dans le domaine militaire, les gentilshommes imprégnés d’un idéal chevaleresque obsolète se débattraient pour essayer de faire encore croire au maintien de leur suprématie guerrière.La réalité est bien plus complexe et les interactions entre le domaine de la guerre et celui des lices sont multiples. Ce sont d’abord les mêmes personnes qu’on peut retrouver à combattre dans tous les contextes, des hommes censés être nobles, adoubés ou non, qui possèdent un équipement caractéristique, armes et armures, ainsi qu’un cheval entraîné au combat. Les adaptations de leur matériel aux rencontres normées, prévues pour augmenter leur sécurité, ne changent fondamentalement rien à leur façon de combattre. Leurs techniques martiales se révèlent riches et variées, tout comme leurs tactiques collectives, qui savent s’adapter aux différentes configurations rencontrées à la guerre grâce à une surprenante polyvalence. Enfin, la mentalité avec laquelle les hommes d’armes abordent les rencontres armées montrent d’importantes similitudes dans tous les contextes : on attend d’eux qu’ils donnent le meilleur d’eux-mêmes, en démontrant leur prouesse, sans renoncer face à l’adversité. Ainsi, à tous les niveaux, la frontière entre les lices et le champ de bataille s’avère finalement assez floue
The phenomena of war and tournaments in the Middle Ages have already benefitted from several individual in-depth studies. However, a detailed analysis of the link between the two themes has always been lacking, even though we often accusingly claim that this link declined during the 15th century to be replaced by spectacular shows which had nothing to do with the reality of battlefields anymore. Moreover, some people would argue that, in the military field, noblemen – immersed in an obsolete chivalrous model – would have desperately tried to maintain a semblance of belligerent dominion.But the truth is far more complex and the interactions between the world of war and the world of lists are numerous. First, the same persons could be found in each context: men supposed to be noble – knighted or not – with characteristic pieces of equipment – arms and armours – and horses trained for combat. Adjusting their equipment for formal combats to improve their safety did not fundamentally change the way they fought. Their martial techniques were, in fact, rich and diverse – and so was their group tactic, which could adapt to different configurations encountered at war thanks to their surprising versatility. Lastly, the ways of men-at-arms in martial encounters reveals important similarities in every context: we expected them to give their best and achieve feats with no sign of renouncement while facing the enemy. Thus, the boundary between lists and battlefields actually turns out to be quite vague at every level
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Books on the topic "Tournois (Chevalerie)"

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Bill, Basso, ed. Le tournoi des Supercracks. [Paris]: Gallimard jeunesse, 2005.

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Bergeron, Alain M. Le tournoi des princes charmants: Miniroman. Québec: Éditions FouLire, 2008.

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Beaumont, Émilie. Le chevalier. Paris: Fleurus, 2008.

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4

Doris, Barrette, ed. Le tournoi des petits rois. Saint-Lambert, Québec: Dominique et compagnie, 1999.

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5

Tremblay, Annie. Chevalier Fredoux. Boucherville, Québec: Éditions de Mortagne, 2008.

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6

Rouy, Maryse. Le chevalier Jordan. Montreal: Hurtubise HMH, 2006.

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Book chapters on the topic "Tournois (Chevalerie)"

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Barthélemy, Dominique. "L’Église et les premiers tournois (XIe et XIIe siècles)." In Chevalerie et christianisme aux XIIe et XIIIe siècles, 139–48. Presses universitaires de Rennes, 2011. http://dx.doi.org/10.4000/books.pur.112976.

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