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Journal articles on the topic 'Tourteau de soja'

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DUMONT, R., M. ROUX, C. TOURAILLE, J. AGABRIEL, D. MICOL, D. CONTOUR, and M. C. BAYLE. "Engraissement des vaches de réforme de race Charolaise. Effet d’un apport de tourteau de lin sur les performances d’engraissement et les propriétés physico-chimiques et sensorielles de la viande." INRAE Productions Animales 10, no. 2 (April 7, 1997): 163–74. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.2.3992.

Full text
Abstract:
L’utilisation du tourteau de lin comme complément protéique des rations de finition des vaches de réforme de race Charolaise a été étudiée au cours de deux essais successifs. L’objectif était d’évaluer, par comparaison au tourteau de soja, l’effet d’un tourteau de lin dosant 2,5 % de matières grasses, à deux niveaux d’apport, sur la reprise de poids, l’efficacité alimentaire, les dépôts de muscle et de tissu adipeux et les propriétés sensorielles et physico-chimiques des viandes. Pour chaque essai, 45 vaches d’un âge moyen de 5 ans et demi ont été réparties en 5 lots homogènes sur des critères d’âge, de poids vif et d’état d’engraissement : un lot de 5 vaches a été abattu au début de la période d’engraissement comme témoin initial maigre et 4 lots de 10 vaches (soja 90, lin 90, soja 160, lin 110) ont été engraissés avec des régimes isoénergétiques et à proportion constante d’aliments concentrés, composés d’ensilage de maïs, de pulpes de betteraves déshydratées et de tourteaux de soja ou de lin. Les lots soja 90 et lin 90 ont reçu respectivement 0,65 kg de MS de tourteau de soja et 1,4 kg de MS de tourteau de lin par vache et par jour, soit un niveau de 90 g de PDI par UFL pour l’ensemble de la ration. Les lots soja 160 et lin 110 ont reçu respectivement 3,5 et 4 kg de MS de tourteau de soja et de tourteau de lin soit 160 et 110 g de PDI par UFL. Toutes les vaches ont été abattues à même durée moyenne d’engraissement, soit 80 jours pour l’essai 1 et 58 jours pour l’essai 2. La reprise de poids obtenue avec le tourteau de lin est d’un niveau élevé, en moyenne 1500 g par jour, et au minimum égale à celle observée avec le tourteau de soja. Elle ne varie pas significativement avec le niveau protéique des rations et s’explique par un niveau d’ingestion également important, de 14,1 à 14,5 kg de MS par vache et par jour respectivement pour les essais 1 et 2. Les vaches, abattues à un poids vif moyen de 710 kg, produisent des carcasses pesant 392 kg ce qui correspond à un rendement vrai de 65,1 % et à un rendement commercial de 54,2 %. La source protéique comme le niveau azoté des rations n’ont pas d’effet significatif sur les poids vifs vides et de carcasse, sur les rendements à l’abattage ou la conformation des carcasses. A même poids de carcasse et à même durée d’engraissement, l’apport de tourteau de lin favorise l’engraissement des animaux. Ainsi lorsqu’il est distribué à raison de 1,4 kg de MS par vache et par jour, les dépôts adipeux sous-cutanés ont tendance à s’accroître (+ 13 %). A un niveau d’apport de 4 kg, cet engraissement s’accentue au niveau sous-cutané (+ 25 %), du gras du 5ème quartier (+ 12 %), du tissu adipeux de la carcasse (+ 10 %) et des lipides intramusculaires (+ 7 et + 19 % selon le muscle). Pour le niveau protéique de 90 g de PDI par UFL, le poids de muscle déposé au cours de la finition se situe entre 22 et 24 kg quelle que soit la nature du tourteau. La suralimentation protéique réalisée avec le tourteau de lin se traduit par un dépôt supplémentaire de gras (de + 6 à + 9 kg) alors qu’avec le tourteau de soja, c’est la synthèse musculaire qui a tendance à s’accroître. Les analyses sensorielles et physico-chimiques montrent que l’apport de tourteau de lin en remplacement du tourteau de soja n’améliore ni ne détériore la qualité organoleptique des viandes.
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LACASSAGNE, L. "Alimentation des volailles : substituts au tourteau de soja. 2. Le tourteau de colza." INRAE Productions Animales 1, no. 2 (May 11, 1988): 123–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.2.4443.

Full text
Abstract:
L’incorporation de tourteau de colza "00" (sans acide érucique et à faible taux de glucosinolates) dans l’alimentation du jeune poulet de chair (0 à 3 semaines) se traduit dans 3 cas sur 4 par une baisse de croissance, quelle que soit la dose testée (entre 5 et 20 %). Cette réponse est plus nette lorsque l’aliment est granulé qu’avec une présentation en farine. Pour des animaux de 3 semaines et plus, des taux de 20 % semblent pouvoir être tolérés mais les réponses demeurent assez hétérogènes quel que soit le niveau d’incorporation utilisé. La poulette en croissance (jusqu’à 18 semaines) supporte bien des taux de tourteaux de colza allant jusqu’à 10 % mais il en résulte parfois des réductions de poids de l’oeuf et une augmentation de la mortalité légère. Les nouveaux tourteaux de colza pourraient être distribués aux poules pondeuses jusqu’à des taux de 8 à 9 % sans affecter l’intensité de ponte ni le poids de l’oeuf. Malheureusement, les goûts de poisson induits par la sinapine dès le taux d’utilisation de 5 % freine considérablement l’usage de ces tourteaux pour les poules produisant des oeufs colorés.
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3

Meffeja, F., T. Dongmo, N. Njifutie, J. Djoukam, and J. M. Fosto. "Influence comparée d’une alimentation à base de graines de soja cuites ou grillées sur les performances des porcs en croissance finition." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 56, no. 1-2 (January 1, 2003): 103. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9867.

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Abstract:
Une expérience a été menée pour évaluer l’efficacité des traitements thermiques par grillade (chaleur sèche) et par cuisson (chaleur humide) des graines de soja sur les performances zootechniques des porcs en croissance finition. Vingt porcelets hybrides mâles, de poids moyen initial de 15,4 ± 0,8 kg, ont été répartis en quatre lots (cinq répétitions par lot) et soumis à des rations alimentaires à base des tourteaux de soja, de coton et de graines de soja cuites ou grillées pendant une période de 98 jours. Les rations à base de tourteaux de soja et de coton couramment utilisées ont servi de rations témoins. Les résultats ont montré que le gain pondéral et l’indice de consommation obtenus à partir des rations des graines cuites et grillées ont été significativement supérieurs (p < 0,05) à ceux de la ration du tourteau de coton, mais ils n’ont pas montré de différence significative (p > 0,05) par rapport à la ration du tourteau de soja. Une comparaison des deux méthodes de traitements n’a présenté aucune différence significative sur les performances zootechniques des animaux. Les coûts alimentaires de production d’un kilogramme de poids vif, pondérés sur les deux phases de croissance – bien qu’ils n’aient pas été significativement différents – ont montré une légère baisse numérique pour le traitement par grillade. Ceci permet d’affirmer que cette méthode de traitement peut être utilisée aussi avantageusement que le traitement par la chaleur humide.
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Kouakou, N'Goran David Vincent, Cho Euphrasie Monique Angbo-Kouakou, Gningnini Alain Koné, Kouadio Bertin Kouame, François de Paul Yéboué, and Maryline Kouba. "Valorisation des tourteaux d’amandes d’hévéa et d’anacarde chez le porc en postsevrage et en croissance." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 71, no. 1-2 (September 12, 2018): 81. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31256.

Full text
Abstract:
La valorisation du tourteau détoxiqué d’amandes d’hévéa (Hevea brasiliensis) (TH) et du tourteau d’amandes déclassées de cajou (Anacardium occidentale) (TA) dans l’alimentation animale a été étudiée chez les porcs croisés de 28 jours (sevrage) à 180 jours. Ces animaux, répartis au sevrage en cinq lots, ont reçu soit un régime témoin (RT), soit un des quatre régimes expérimentaux contenant 7,5 % ou 15 % de TH (TH7,5 et TH15) ou de TA (TA7,5 et TA15). Les croissances journalières ont été de 246 ± 26, 198 ± 41, 191 ± 31, 154 ± 20 et 153 ± 31 g.j-1 de 29 à 89 jours d’âge, et de 511 ± 84, 456 ± 74, 463 ± 140, 460 ± 53 et 504 ± 48 g.j-1 de 90 à 180 jours d’âge, respectivement pour les régimes TH7,5, TH15, TA7,5, TA15 et RT. Les poids vifs à 180 jours ont été de 74 ± 6, 71 ± 10, 65 ± 12, 61 ± 5 et 65 ± 5 kg respectivement pour les mêmes régimes. Les résultats suggèrent que le TH et le TA peuvent être incorporés à 15 % sans effet néfaste dans la ration alimentaire des porcs locaux en postsevrage et en croissance en milieu tropical. Aussi, l’utilisation de ces tourteaux dans l’alimentation des porcs permettrait à la Côte d’Ivoire de réduire sa dépendance vis-à-vis de certaines matières premières importées comme le tourteau de soja.
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RECOULES, E., N. BREVAULT, P. Le CADRE, C. PEYRONNET, I. BOUVAREL, and M. LESSIRE. "L’autonomie protéique : état des lieux et voies d’amélioration pour l’alimentation des volailles." INRA Productions Animales 29, no. 2 (July 9, 2019): 129–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2016.29.1.2522.

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Abstract:
L’apport protéique dans les aliments pour volailles est principalement réalisé avec du tourteau de soja essentiellement importé d’Amérique du Sud. Cependant, cette dépendance protéique pose plusieurs problèmes d’ordre économique (concurrence et volatilité des prix), environnemental (transport, déforestation) et sociétal (soja OGM mal accepté par les consommateurs). Dans un objectif de développement durable, la dépendance protéique vis-à-vis du soja pose question. L’utilisation de matières premières locales riches en protéines (tourteaux de colza, tournesol, pois…) a été étudiée. Plusieurs voies permettant de réduire leur teneur en facteurs antinutritionnels (génétique, procédés technologiques) ou d’améliorer la disponibilité des nutriments (utilisation d’enzymes exogènes, traitements technologiques) pour augmenter leur incorporation dans les aliments volailles ont déjà été explorées. Cependant, d’autres voies existent et nécessitent des approfondissements. Au niveau agronomique, un enjeu important est de mettre au point des itinéraires techniques innovants impliquant de nouvelles variétés de soja adaptées aux différentes conditions pédoclimatiques françaises. Des progrès peuvent être escomptés en termes de process technologiques avec notamment un décorticage plus poussé du tournesol afin d’augmenter sa teneur en protéines. Des travaux sont initiés afin de mieux comprendre les mécanismes de digestion et de mieux appréhender le rôle de la sélection génétique pour aller vers une meilleure valorisation des matières premières par les animaux. Il semble nécessaire de poursuivre les recherches à travers des actions conjointes des acteurs de l’amont et l’aval de la filière afin de proposer des solutions permettant une meilleure utilisation des matières premières locales et de tendre vers des systèmes d’alimentation plus durables.
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LACASSAGNE, L. "Alimentation des volailles : substituts au tourteau de soja. 1. Les protéagineux." INRAE Productions Animales 1, no. 1 (February 10, 1988): 47–57. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.1.4434.

Full text
Abstract:
L’utilisation des protéagineux dans l’alimentation du poulet de chair ne pose pas de problèmes particuliers une fois corrigée leur déficience en acides aminés soufrés. Incorporés dans des proportions allant de 20 à 35 %, ils constituent d’ores et déjà une bonne source de protéines en remplacement du tourteau de soja. Le contenu en énergie métabolisable et la digestibilité des protéines du pois et de la féverole sont accrus par les traitements thermiques et mécaniques. il en est autrement pour l’alimentation des poules pondeuses où seul le pois peut être largement utilisé et apporter jusqu’à 30 % de la matière azotée totale. Le pois est en outre favorable à la qualité organoleptique de l’œuf. La féverole, au contraire, du fait de l’action défavorable de la vicine et de la convicine sur le poids de l’œuf, ne peut être utilisée à des taux supérieurs à 7 %. Elle accroît légèrement la qualité de l’albumen mesurée en unités Haugh mais tend à augmenter la fréquence des taches de sang dans les oeufs. La limite d’utilisation du lupin dans l’alimentation des pondeuses se situe autour de 10 %, taux au-dessus duquel peut apparaître une insuffisance en tryptophane. Des trois protéagineux envisagés, le lupin, du fait de sa richesse en protéines, est celui dont l’emploi se trouve le plus nettement limité par sa faible teneur en cet acide aminé.
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Onunkwo, D. N., G. Daniel-Igwe, V. Odoemelam, C. A. Agida, and B. N. Ezenyilimba. "Growth performance and feed cost benefit of broiler chickens fed Acha grain-based diet supplemented with different plant protein sources." Nigerian Journal of Animal Production 47, no. 6 (February 28, 2021): 113–19. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v47i6.2916.

Full text
Abstract:
Conventional energy sources for poultry feed are scarce, expensive and highly competed for by man and industry in Nigeria which has resulted to subsequent high cost of feed and at times, poor quality of feed sold to farmers. Therefore, this study was carried out to evaluate the growth performance and feed cost benefit of broiler chickens fed various plant protein sources in acha grain based diet. A total of 120, one day-old Abor acre broiler chicks were procured and assigned in a Completely Randomized Design to four dietary treatments of three replicates and ten chicks per replicate. The four diets comprise soybean meal (full fat), soybean cake, groundnut cake and cashew nut meal at 28% inclusion level each in an acha based diet. Data on growth parameters (Daily feed intake, Final Weight Gain, Total Weight Gain, Feed-to-gain ratio and mortality) were collected daily and weekly. The results showed that the birds fed diet 3 having soyabean meal as the main plant protein source with 2700 Kcal/kg ME gave the best growth performance. It is also important to note that, the growth performance of birds fed diet 4 which had 28% cashew nut (full fat) had the poorest feed-togain ratio. The findings from this study further showed that using cashew nut (T4) as plant protein source in poultry (broiler chicken) ration is rather too expensive and production of cashew nut may have to increase so as to bring down the cost of production of broiler chicken. There was significant difference (P<0.05) in all the variables of feed cost benefit analysis. It is concluded that soyabean, whether used as meal/cake or full-fat confirmed its superiority over groundnut cake and cashew nut meal in this study. It is therefore recommended that farmers or poultry feed producers should use acha based diet with either soyabean meal or full-fat soyabean Les sources d'énergie conventionnelles pour l'alimentation de la volaille sont rares, coûteuses et très concurrencées par l'homme et l'industrie au Nigéria, ce qui a résulté en un coût élevé des aliments et parfois, une mauvaise qualité des aliments vendus aux agriculteurs. Par conséquent, cette étude a été réalisée pour évaluer les performances de croissance et les avantages en termes de coûts d'alimentation des poulets de chair nourris avec diverses sources de protéines végétales dans un régime à base de céréales acha. Un total de 120 poussins de chair Abor acre d'un jour ont été achetés et assignés dans une conception complètement aléatoire à quatre traitements diététiques de trois répétitions et dix poussins par répétition. Les quatre régimes comprennent la farine de soja (pleine matière grasse), le tourteau de soja, le tourteau d'arachide et la farine de noix de cajou à un taux d'inclusion de 28% chacun dans un régime alimentaire classique. Les données sur les paramètres de croissance (ingestion journalière, gain de poids final, gain de poids total, rapport alimentation / gain et mortalité) ont été collectées quotidiennement et hebdomadairement. Les résultats ont montré que les oiseaux nourris avec le régime 3 contenant de la farine de soja comme principale source de protéines végétales avec 2700 Kcal / kg ME ont donné les meilleures performances de croissance. Il est également important de noter que les performances de croissance des oiseaux nourris avec un régime alimentaire 4 contenant 28% de noix de cajou (gras) présentaient le rapport alimentation / gain le plus faible. Les résultats de cette étude ont en outre montré que l'utilisation de la noix de cajou (T4) comme source de protéines végétales dans la ration de volaille (poulet à griller) est plutôt trop coûteuse et que la production de noix de cajou peut devoir augmenter afin de réduire le coût de production du poulet à griller. . Il y avait une différence significative (P <0,05) dans toutes les variables de l'analyse coûts-avantages des aliments. Il est conclu que le soja, qu'il soit utilisé comme farine / tourteau ou gras entier, a confirmé sa supériorité sur le tourteau d'arachide et la farine de noix de cajou dans cette étude. Il est donc recommandé que les agriculteurs ou les producteurs d'aliments pour volaille utilisent un régime à base d'acha avec du tourteau de soja ou du soja entier.
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DRONNE, Yves. "Les matières premières agricoles pour l’alimentation humaine et animale : le monde." INRA Productions Animales 31, no. 3 (January 18, 2019): 165–80. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.0.31.0.2345.

Full text
Abstract:
Les produits agricoles cultivés et utilisés dans le monde servent traditionnellement à nourrir les Hommes et les animaux et aussi à certains usages non-alimentaires. Compte tenu de l’importance du débat sur la complémentarité et/ou la concurrence entre l’Homme et l’animal et de l’importance de celles-ci en nutrition humaine et animale, les tonnages de tous les produits végétaux et animaux qui ont des compositions extrêmement diverses ont été exprimés en protéines brutes. Cet article analyse successivement la production mondiale de protéines végétales, la répartition de leurs utilisations sous forme de produits non transformés et de produits et coproduits issus des industries agricoles et alimentaires, la répartition des consommations par grandes espèces animales, les évolutions structurelles en termes de consommation humaine et animale, le poids croissant du « système maïs/soja », les aspects de concurrence et/ou de complémentarité entre usages humains et animaux et enfin les aspects liés à l’instabilité croissante des prix du soja et du maïs et les systèmes de régulation de ces marchés. La production mondiale de protéines végétales (environ 800 millions de tonnes (mt)) est utilisée pour environ 630 millions par l’alimentation animale (400 de fourrages, 230 de concentrés, produits utilisés en l’état comme les céréales, et surtout coproduits des industries agricoles et alimentaires comme les tourteaux, dont plus de 80 pour le seul soja) et permet la production d’environ 68 millions de tonnes de protéines animales. L’industrie des aliments composés a connu un développement considérable depuis trente ans et apporte actuellement les deux tiers des protéines de concentrés utilisés par l’ensemble des animaux, mais seulement 18 % du total fourrages inclus. Au cours des dernières décennies un modèle d’alimentation animale maïs/soja s’est fortement développé dans le monde, mais à un moindre degré en Europe. Les prix de la graine et du tourteau de soja comme ceux des autres grands produits agricoles tels que les céréales ont fortement augmenté par paliers au cours des dernières décennies et font preuve d’instabilité croissante, mais le rapport de prix soja/maïs est resté sur longue période très stable ce qui tend à contredire l’idée d’une pénurie croissante sur le marché des protéines.
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Mebirouk-Boudechiche, L., M. Makhlouf, K. Chaker-Houd, and R. Boukhris. "Effet de différents niveaux d’incorporation de la fève dans les rations alimentaires sur les performances zootechniques et rendement en carcasse des poulets de chair." Archivos de Zootecnia 68, no. 261 (January 15, 2019): 60–65. http://dx.doi.org/10.21071/az.v68i261.3940.

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Abstract:
L’objectif de cette étude a consisté à déterminer les effets de l’incorporation de la fève fumée et décortiquée dans la ration alimentaire sur les performances zootechniques et le rendement en carcasse du poulet de chair. Ainsi, 250 poussins de souche Hubbard S15 âgés de 1 jour ont été répartis équitablement en quatre lots en fonction du taux de substitution de la fève par le tourteau de soja (0, 20, 40, 60 et 96 %) pendant 48 jours. Durant les phases de démarrage et de croissance, les performances pondérales et les quantités d’aliment ingérées ont diminué proportionnellement avec l’incorporation croissante en fève. Le remplacement des protéines du tourteau de soja (à 44,76% de MAT) par de la fève (à 25,06 % de MAT) a entraîné une chute des performances durant le démarrage et la croissance, tandis qu’en phase de finition, le poids vif des poulets ayant reçu 20% de fève a été statistiquement similaire à celui du lot témoin. Pour des taux de substitution de 20 et 40% de fève, les indices de consommation ont été statistiquement similaires à ceux du lot témoin, tandis que le rendement en carcasse s’est amélioré avec l’accroissement du taux de fève dans la ration. Ces résultats montrent que la fève fumée et décortiquée incorporée dans la ration à raison de 20 % donne de bonnes performances pondérales à moindre coût, il serait néanmoins intéressant de l’incorporer à des niveaux plus élevés tout en y associant une autre source protéique durant les premières phases d’élevage.
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LECLERCQ, B. "Le besoin en thréonine des volailles de chair." INRAE Productions Animales 11, no. 4 (September 3, 1998): 263–72. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1998.11.4.3953.

Full text
Abstract:
La thréonine est fréquemment le troisième acide aminé limitant la croissance des volailles quand on fait appel au maïs et au tourteau de soja pour leur alimentation. Les données sur son besoin sont assez nombreuses et récentes chez le poulet de chair. Elles sont beaucoup plus rares chez le dindonneau et le caneton de Barbarie, surtout en période de finition. La thréonine ne semble pas exercer d’effets très prononcés sur la composition corporelle des carcasses. D’une manière générale les situations de carences ne s’observent que lorsqu’on réduit notablement la teneur en protéines des régimes.
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THÉNARD, V., M. MAURIÈS, and J. M. TROMMENSCHLAGER. "Intérêt de la luzerne déshydratée dans des rations complètes pour vaches laitières en début de lactation." INRAE Productions Animales 15, no. 2 (April 12, 2002): 119–24. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.2.3692.

Full text
Abstract:
Deux essais ont été conduits afin d’étudier l’intérêt de l’incorporation de 3 kg de luzerne déshydratée (18 % de MAT) dans des régimes à base d’ensilage de maïs et d’ensilage d’herbe complétés par du tourteau de soja. Des vaches laitières multipares (27 Montbéliardes et 27 Holstein) ont reçu des rations complètes durant les 15 premières semaines de lactation. En moyenne les apports énergétiques ont été de 0,91 UFL et de 90 g PDI par kg de matière sèche distribuée. L’utilisation de 3 kg de luzerne déshydratée a permis de diminuer les quantités de tourteau de soja tout en maintenant les mêmes niveaux d’apports énergétiques et azotés. La ration luzerne a entraîné une plus forte ingestion (+ 2,3 kg MS) sans modification de la production laitière (31,1 kg /j) ni du taux butyreux du lait (43,0 g/kg). En revanche, le taux protéique a augmenté (32,3 vs 31,2 g/kg ; P<0,05), sans modification du taux de caséines. La consommation de la luzerne a été très variable selon les vaches et en fonction du temps. L’azote excrété a été plus important dans le lot consommant de la luzerne (372 vs 321 g N/j ; P<0,001) en liaison avec l’ingestion plus importante du régime Luzerne. Au cours du début de lactation, les variations de poids et d’état corporel n’ont pas été influencées par le type de ration. Bien que le faible nombre d’animaux ne permette pas de conclure, il semble que l’apport de luzerne limite les risques de mammite.
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LECLERCQ, B., M. LESSIRE, G. GUY, J. M. HALLOUIS, and L. CONAN. "Utilisation de la graine de colza en aviculture. Revue bibliographique et résultats de deux essais." INRAE Productions Animales 2, no. 2 (May 10, 1989): 129–36. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.2.4407.

Full text
Abstract:
La graine de colza peut être introduite dans les aliments destinés aux volailles à un taux d’incorporation maximum de 10 %. Il est toutefois indispensable de lui faire subir un traitement mécanique et/ou thermique qui en modifie l’intégrité physique de façon à la rendre parfaitement digestible. Parmi ces traitements technologiques figurent : le broyage, la granulation de l’aliment composé ou l’extrusion en mélange avec une autre matière première. Ils augmentent tous la digestibilité des lipides et la valeur énergétique de la graine. Au cours de deux expériences on a évalué la valeur nutritionnelle d’un mélange de colza et de blé chez la poule pondeuse et d’un mélange de colza et de pois chez le poulet de chair. Les résultats sont présentés et confirment la possibilité d’incorporer jusqu’à 10 % de graine de colza dans les aliments destinés aux volailles. En formulation le colza entre en compétition beaucoup plus avec les céréales ou les sources d’énergie (manioc, matières grasses) qu’avec les sources de protéines (tourteau de soja).
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SAUVEUR, B. "Phosphore phytique et phytases dans l’alimentation des volailles." INRAE Productions Animales 2, no. 5 (December 10, 1989): 343–51. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.5.4428.

Full text
Abstract:
L’acide phytique et ses sels sont les phosphoglucides les plus répandus dans les graines. Leur digestibilité dépend à la fois de leur solubilité et de l’activité des phytases présentes, particulièrement élevée pour le blé, le seigle et l’orge. La disponibilité du phosphore de ces trois graines pour la minéralisation osseuse des volailles est toujours supérieure à 50 % alors qu’elle est inférieure à 20 % dans le cas du maïs et du tourteau de soja. La prise en compte de ces valeurs réelles (en substitution de la valeur moyenne de 30 % jadis retenue) permet de réduire considérablement l’incorporation de phosphates minéraux dans les aliments pour volailles et même de la supprimer totalement pour les poules pondeuses. Il est cependant possible que le phosphore phytique ait une efficacité un peu plus faible pour l’accrétion osseuse que pour le gain de poids des animaux. Des phytases exogènes (fongiques notamment) ajoutées à l’aliment composé, permettent une hydrolyse intestinale des phytates chez le poulet. La fermentation des graines augmente également la disponibilité du phosphore phytique alors que l’effet de la granulation à la vapeur n’est pas encore clairement établi.
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Geoffroy, F., Michel Naves, G. Saminadin, H. Borel, and G. Alexandre. "Utilisation des ressources alimentaires non conventionnelles par les petits ruminants." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 44, special (May 1, 1991): 105–12. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9227.

Full text
Abstract:
L'utilisation des ressources alimentaires non conventionnelles (RANC) par les petits ruminants est une solution originale. Leurs conditions d'utilisation sont passées en revue. L'utilisation des sous-produits de la canne (peu consommés) et celle du manioc (toxique) peuvent difficilement être envisagées. Les feuilles de bananier, du fait de leur composition chimique (MS, MAT, ADF et NDF) se rapprochent d'un bon fourrage tropical. Mais leur utilisation digestive est faible. Les stipes ont des caractéristiques inverses. Ces deux organes sont des substituts fourragers et ont donné satisfaction dans les essais où ils ont été testés. La banane se caractérise par une teneur élevée en glucides cytoplasmiques, sous forme d'amidon lorsqu'elle est verte et de sucres solubles dans le fruit mûr, mais par des teneurs en composants membranaires, en protéines et en minéraux faibles. Ces caractéristiques en font un produit intéressant de substitution des céréales et concentrés énergétiques. Les résidus d'ananas pressés conservés de manière satisfaisante sous forme d'ensilage et complémentés par du tourteau de soja et de l'urée donnent des résultats probants avec des agneaux en croissance. Sont présentés deux exemples d'utilisation, dans de petits élevages, de patate douce et de pâturage de sous-bois.
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GUY, Christine, and J. P. JOUANY. "Influence de l'actaplanine sur la digestion d'un ensilage de maïs, de ray-grass vert et de tourteau de soja, mesurée en Rusitec." Reproduction Nutrition Développement 28, Suppl. 1 (1988): 99–100. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19881124.

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Aufrère, J., D. Graviou, and P. Cerneau. "Utilisation de l'électrophorèse sur gel de polyacrylamide pour caractériser la dégradation in sacco et enzymatique des fractions protéiques du tourteau de soja." CrossRef Listing Of Deleted DOIs 41, no. 1 (1992): 29–30. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19920112.

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Aufrère, J., D. Graviou, and P. Cerneau. "Utilisation de l'électrophorèse sur gel de polyacrylamide pour caractériser la dégradation in sacco et enzymatique des fractions protéiques du tourteau de soja." Annales de Zootechnie 41, no. 1 (1992): 29–30. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19920112.

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BRELURUT, A. "Utilisation des pulpes de betteraves sèches par les faons (Cervus Elaphus) après sevrage." INRAE Productions Animales 5, no. 3 (July 29, 1992): 223–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.3.4236.

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Abstract:
Cette étude compare les performances hivernales réalisées par des faons mâles et femelles sevrés, recevant à volonté une ration à base de pulpes déshydratées de betterave à celles obtenues avec une ration à base de concentré complet du commerce. Les pulpes étaient complémentées par du tourteau de soja (24 % du total) et par un complément minéral et vitaminique (1 %). Ces trois composants étaient présentés sous forme de mélange fermier ou sous forme agglomérée. Les faons recevaient en outre un foin de prairie permanente de bonne qualité à volonté. Sur l’ensemble de la période, les faons alimentés avec la pulpe ont eu un gain de poids vif total supérieur de 15 % à celui des faons recevant l’aliment complet (34,5 kg contre 31,1 kg), mais les bois des mâles étaient un peu moins développés. Les différences ne sont toutefois pas significatives. Les quantités ingérées d’aliments concentrés ont été plus élevées dans le cas des lots recevant la pulpe (1460 contre 1295 g MS/faon/j). Les pulpes déshydratées de betterave correctement complémentées en azote et en minéraux permettent donc à des faons de réaliser des performances au moins équivalentes à celles obtenues avec un aliment complet plus coûteux. Dans nos conditions expérimentales, le mode de présentation de la pulpe (mélange fermier ou aggloméré) n’a pas eu d’effet sur les performances.
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ARCHIMEDE, Harry, Denis BASTIANELLI, Audrey FANCHONE, Jean-Luc GOURDINE, and Louis FAHRASMANE. "Aliments protéiques dans les systèmes mixtes intégrés polyculture-élevage en régions tropicales." INRA Productions Animales 31, no. 3 (January 18, 2019): 221–36. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2018.31.3.2338.

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Abstract:
Dans les régions tropicales, où les rations de base sont souvent déficitaires en protéines, la complémentation est cruciale. Des alternatives à l’utilisation de tourteau de soja sont potentiellement disponibles dans les systèmes agroforestiers et les systèmes mixtes polyculture-élevage intégrés, bien que l’offre soit plus importante pour les ruminants que les monogastriques non herbivores. La valeur nutritionnelle des ressources n’est pas la seule règle de décision : l’évaluation des stratégies alimentaires, dans une approche multicritère, doit considérer les différents services productifs et non productifs. Elle doit en outre prendre en compte la compétition possible entre l’utilisation des ressources par l’Homme et l’animal. Dans le cadre des systèmes mixtes polyculture-élevage intégrés, les ressources duales, dont la valorisation intégrale concilie les besoins de l’Homme et de l’animal, occupent une place stratégique : graines et fanes de légumineuses, feuilles et tubercules de manioc ou de patate douce etc. Les légumineuses annuelles, pérennes ou arbustives présentent des atouts agronomiques et environnementaux importants dans les systèmes intégrés par leur capacité à fixer l’azote. Le rôle de recyclage et la faible emprise sur le foncier agricole des nouvelles sources d’aliments (plantes aquatiques, microorganismes, insectes, vers de terre) sont aussi un atout pour leur développement. La mise au point de technologies adaptées pour lever les verrous (facteurs antinutritionnels, conservation…) permettra de valoriser pleinement le potentiel de nombreuses ressources protéiques.
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CHENOST, M., D. LAFAYE, J. M. BOISSAU, J. P. CHAISE, and L. L’HOTELIER. "Les cannes de maïs dans l’alimentation des ruminants. Utilisation des cannes traitées à l’ammoniac et à l’urée par des bovins à besoins modérés." INRAE Productions Animales 4, no. 3 (July 31, 1991): 241–46. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.3.4338.

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Abstract:
Les cannes de maïs récoltées en balles rondes derrière la moissonneuse-batteuse et conservées par injection de 3 kg d’ammoniac pour 100 kg de matière sèche de canne peuvent constituer l’essentiel (80 %) de la ration hivernale de génisses laitières à viande en croissance modérée et de vaches à viande en gestation-lactation. Distribuées à volonté en l’état (elles sont déjà grossièrement hachées à la récolte), les quantités qui en sont ingérées, toutefois moins élevées que les spathes traitées (UEB de 1,60 contre 1,30), permettent :- à des génisses laitières et à viande, recevant 1,5 kg de céréales et 100 g de CMV (15-15) soufré par jour, de réaliser des croîts de l’ordre de 400 g/j lorsqu’elles ont 2 ans et de 500 à 600 g/j lorsqu’elles ont un an. Si l’objectif de croissance est plus élevé, il conviendra d’ajouter une source d’azote peu fermentescible (300 à 500 g/j de tourteau de soja) ;- à des vaches à viande en fin de gestation - début lactation recevant 1,5 puis 2 kg de céréales à partir du vêlage et 180 g du même CMV de limiter leur perte de poids entre le vêlage et la mise à l’herbe à 30 kg, perte tout à fait acceptable dans le cas de vêlages précoces. Les performances de reproduction enregistrées sur 3 années d’observation, les condition de vêlage, le poids des veaux à la naissance et leur vitalité ne sont pas affectés.
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Okandza, Yves, Paul Mopoundza, Silvère Dimi Ngatse, Miloud Halbouche, and Parisse Akouango. "Influence de la substitution graduelle de tourteau de soja par la féverole sur la croissance et la conformation de la carcasse chez les poulets de chair." Journal of Applied Biosciences 110, no. 1 (May 16, 2017): 10714. http://dx.doi.org/10.4314/jab.v110i1.2.

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BEAUMONT, C., F. CALENGE, H. CHAPUIS, J. FABLET, F. MINVIELLE, and M. TIXIER-BOICHARD. "Génétique de la qualité de l’œuf." INRAE Productions Animales 23, no. 2 (April 10, 2011): 123–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.2.3294.

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Abstract:
La sélection des pondeuses commerciales repose sur un ensemble de critères où les paramètres de qualité de l’œuf prennent une importance croissante. Les caractères tels que le poids de l’œuf, la solidité de coquille (mesurée directement ou indirectement) la proportion de jaune et la qualité du blanc (unités Haugh) présentent une assez forte variabilité génétique (héritabilité de 0,30 à 0,60). Malgré une corrélation négative entre le poids d’œuf et le nombre d’œufs, la combinaison de la sélection en lignée pure et du croisement a permis d’améliorer le nombre d’œufs tout en stabilisant le poids d’œuf à un niveau élevé (62 g en moyenne). La variabilité génétique de la couleur de coquille, de la proportion de jaune et de la composition en lipides du jaune a été explorée, chez la poule comme chez la caille, par la sélection expérimentale et l’étude de races locales. Cependant, les gènes contrôlant les caractères de ponte et de la qualité technologique de l’œuf sont encore mal connus. Quelques protocoles de détection de QTL ont permis d’identifier des régions chromosomiques contrôlant une part significative de la variabilité de ces caractères, chez la poule et la caille. Récemment des gènes majeurs ont été identifiés comme l’enzyme FMO3 responsable de l’odeur de poisson d’œufs de poule nourries au tourteau de soja. De nombreuses études portent sur la la qualité bactériologique des oeufs, avec une priorité donnée au portage de salmonelles, pour laquelle plusieurs gènes ont été identifiés (SLC11A1, TLR4). Ces perspectives sont encourageantes pour répondre aux demandes croissantes du consommateur en matière de qualité des produits.
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PEREZ, J. M., G. BORIES, A. AUMAITRE, B. BARRIER-GUILLOT, A. DELAVEAU, L. GUEGUEN, M. LARBIER, and D. SAUVANT. "Conséquences en élevage et pour le consommateur du remplacement des farines et des graisses animales." INRAE Productions Animales 15, no. 2 (April 12, 2002): 87–96. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.2.3689.

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Abstract:
Différents points d’impact des mesures de suspension des farines et graisses animales ont été identifiés. En matière de technologie des aliments, les répercussions prévisibles sont liées au retrait des graisses animales avec un risque de plus grande friabilité des granulés et des difficultés d’incorporation de quantités importantes de graisses. Au plan nutritionnel, s’il existe des solutions techniques pour remplacer les farines et les graisses animales, on peut cependant prévoir des difficultés d’utilisation de certaines matières premières (tourteau de soja à taux plus élevés, huile de palme, huiles de récupération…), des perturbations de la consommation d’aliments, voire des baisses de performances (volailles surtout) et une surexcrétion d’eau (dinde, poule pondeuse) avec ses conséquences sanitaires. L’impact sur la qualité des produits animaux provient essentiellement du remplacement des graisses animales par des matières grasses d’origine végétale le plus souvent insaturées qui peut se traduire par des défauts de présentation des carcasses et une moins bonne conservation des produits animaux plus sensibles à l’oxydation. Concernant la sécurité alimentaire pour le consommateur, on peut s’attendre à un accroissement des risques potentiels d’ordre chimique (contaminants, mycotoxines et autres substances toxiques produites par les plantes) et biologique (bactéries pathogènes) associés à l’importation de matières premières de provenances multiples, souvent mal contrôlées et dépourvues de traçabilité. Certains de ces risques sont cependant encadrés par des réglementations spécifiques de l’Union Européenne. On peut s’attendre également à des difficultés de traçabilité pour les filières fonctionnant avec des signes officiels de qualité ou des certifications, en regard de l’importation de matières premières standard et OGM non différenciées. En revanche, il n’y a pas de risques identifiés associés aux plantes OGM ayant à ce jour reçu une autorisation de commercialisation. Enfin en matière d’environnement, il faut prévoir un arrêt du recyclage (phosphates " cachés " des farines de viande et d’os) et des prélèvements accrus sur des ressources non renouvelables (phosphates minéraux), ainsi que des risques de rejets plus importants de phosphore (biodisponibilité plus faible du phosphore végétal) et d’éléments traces métalliques (absents des farines animales) provenant des phosphates minéraux.
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ROUX, M., R. DUMONT, J. AGABRIEL, J. BONNEMAIRE, and D. MICOL. "Engraissement des vaches de réforme de race Charolaise. Effet d’une suralimentation protéique sur les performances d’engraissement et les caractéristiques physico-chimiques musculaires." INRAE Productions Animales 6, no. 3 (June 28, 1993): 237–48. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.3.4204.

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Abstract:
L’influence du niveau azoté de la ration pour la finition de la vache de réforme de race Charolaise a été étudiée au cours de deux essais successifs portant sur un effectif total de 82 animaux. L’objectif était d’évaluer l’effet strict d’un apport d’azote excédentaire sur la reprise de poids, l’efficacité alimentaire, la proportion de muscle dans le gain de poids de carcasse et les caractéristiques physico-chimiques des deux muscles longissimus du thorax et rhomboïde thoracique. Pour chaque essai, 41 vaches de réforme âgées en moyenne de 5 ans, maigres et taries ont été réparties en 5 lots homologues pour l’âge, le poids et l’état d’engraissement : 4 lots ont été engraissés avec un régime à base d’ensilage de maïs plante entière et de tourteau de soja et un lot de 5 vaches a été abattu au début de la période expérimentale comme témoin initial. Les lots N, M et H1 ont reçu des rations isoénergétiques apportant respectivement 90, 120 ou 160 g de PDI/UFL. Le lot H2 a reçu 160 g de PDI/UFL avec ensilage de maïs ad libitum pour évaluer l’effet du niveau azoté de la ration sur l’ingestion. Le lot N a été abattu à un état d’engraissement optimum (note 3,5 sur 5) et les 3 autres lots à même durée moyenne d’engraissement que le lot N (81 j pour l’essai 1 et 75 j pour l’essai 2). A même quantité d’énergie ingérée, l’élévation du niveau azoté de la ration (lots N, M et H1) n’améliore pas significativement la reprise de poids vif (1320 g/j pour le lot H1 vs 1070 g/j pour le lot N). Les poids de carcasse sont pratiquement identiques (respectivement 376 kg et 382 kg pour les lots N et H1). L’état d’engraissement, apprécié par les proportions de tissu adipeux du 5ème quartier et de la carcasse, a tendance à diminuer avec l’augmentation du niveau azoté. La suralimentation protéique ne modifie pas significativement les teneurs intramusculaires en lipides et collagène ainsi que les caractéristiques de cisaillement, de couleur et de rétention d’eau de la viande. A niveau azoté élevé, lorsque l’ensilage de maïs est distribué à volonté (comparaison lots N et H2), la quantité de matière sèche ingérée augmente de 0,7 kg/j, soit 0,6 UFL. Cette ingestion supplémentaire d’énergie a tendance à améliorer la reprise de poids mais accroît significativement les dépôts adipeux de la carcasse et du 5ème quartier.
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PICARD, M., B. SAUVEUR, F. FENARDJI, and I. ANGULO. "Ajustements technico-économiques possibles de l’alimentation des volailles dans les pays chauds." INRAE Productions Animales 6, no. 2 (April 28, 1993): 87–103. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1993.6.2.4191.

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Abstract:
L’aviculture des régions chaudes doit tenir compte de deux facteurs limitants majeurs : le climat qui freine la consommation énergétique des volailles et modifie l’habitat et les cycles de productions (croissance ralentie, oeufs plus petits...) et l’importation, pour beaucoup de pays chauds, des céréales et du tourteau de soja avec des devises de plus en plus rares. Les solutions nutritionnelles viables à moyen terme, pour les volailles, sont celles qui tiennent compte de ces deux types de contraintes dans le choix des normes de formulation et qui intégreront l’aviculture dans le développement agro-industriel global de ces pays. Sept exemples expérimentaux illustrent la recherche de solutions adaptées, en collaboration entre l’INRA et plusieurs pays chauds. Pour être efficacement appliquées ces solutions requièrent une adaptation pratique par les professionnels de l’aviculture dans chaque situation. La distribution ad libitum d’un régime complet laisse peu d’espoir de pouvoir compenser les effets négatifs de la chaleur sur les performances par des ajustements de sa composition. Par contre, certaines erreurs comme l’augmentation de la teneur de l’aliment en protéines de mauvaise "qualité", c’est-à-dire avec des concentrations relativement basses d’acides aminés indispensables digestibles, peuvent aggraver les effets du climat. Le niveau d’ingestion énergétique faible des poules pondeuses permet d’envisager l’utilisation de régimes dilués, granulés, contenant des quantités plus importantes de sous-produits disponibles localement et ayant une valeur nutritionnelle, comme les issues de céréales. La combinaison de rythmes lumineux et de systèmes d’alimentation discontinue en supprimant l’accès à la mangeoire quelques heures avant et pendant le pic thermique quotidien permet de maîtriser les mortalités excessives des poulets de chair en période de finition. Le fractionnement du régime complet ouvre des voies de recherches stimulantes dont deux ont déjà prouvé un intérêt :- technico-économique, dans le cas de l’alimentation calcique séparée des poules pondeuses qui induit une augmentation de l’ingéré énergétique du matin et une amélioration de la ponte ;- économique par l’utilisation d’un aliment complémentaire unique pour le poulet et la pondeuse distribué en libre choix avec des céréales graines entières pouvant être produites par l’aviculteur ou acquises à moindre coût (et des coquilles d’huîtres pour la ponte). Cette solution permet de limiter les transports et les gaspillages de matières premières en concentrant l’effort technique sur un seul produit. La mise au point de modèles d’alimentation alternatifs prenant en compte les rythmes de températures et de lumière existant dans les poulaillers ouverts des pays tropicaux est un domaine d’avenir qui devrait stimuler les échanges scientifiques Sud-Nord.
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Le Cadre, Patricia, Frédéric Pressenda, Françoise Labalette, and Corinne Peyronnet. "Valorisation de tourteaux de soja issus d’une production locale non OGM chez les fabricants d’aliments." OCL 22, no. 5 (September 2015): D507. http://dx.doi.org/10.1051/ocl/2015034.

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Andres, S., and J. Gonzalez. "Relations entre la dégradabilité in sacco des matières azotées des tourteaux de soja et leur composition chimique." Annales de Zootechnie 41, no. 1 (1992): 19. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19920105.

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Agbede, J. O., O. D. Aboyewa, A. O. Ayeni, and O. D. Oloruntola. "Evaluation of simple and adaptable feed ingredient mix for broiler chickens Production." Nigerian Journal of Animal Production 47, no. 5 (December 31, 2020): 120–26. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v47i5.1266.

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Abstract:
A 42-day feeding trial was conducted to evaluate the simple and adaptable feed ingredient mix for broiler chickens' production. The four formulated diets were used as a straight diet with the fish meal (FM), groundnut cake (GNC) and soya bean meal (SBM) having the varying ratio of inclusion as in diet 1 (1:4.5:2.5), diet 2 (1:3.5:3.5), diet 3 (1:2.5:4.5) and diet 4 (1:3:4), respectively. These were compared with two primary commercial feeds which were coded as AF and TF and used for starter and finisher phases. Three hundred, one-day old Marshall breed chicks were randomly assigned to six dietary treatments (50 birds/treatment; 5 replicate/treatment) in a Completely Randomized Design. Parameters such as feed intake, weight gain, carcass traits, and relative weight of the internal organs and economic analysis of the chicks' production were measured. The daily weight gain of the broiler chickens fed diet 3 was significantly (P<0.05) higher than those fed other diets, while the least daily feed intake was recorded in chicks fed diet 1. The broiler chickens fed with diet 5, a commercial diet consumed higher (P<0.05) quantity of feed, compared to those fed rest experimental diets; while the bird fed diet 1 recorded the least (P<0.05) quantity of feed consumed. The broiler chickens fed diet 3 had better (P<0.05) feed conversion to weight, when compared to those fed the rest diets. All the carcass traits and relative organs measured varied significantly (P<0.05) with diets except the dressed weight. The test diets 3 and 4 had better cost/weight gain (N239 and N228.9) compared to the two commercial diets 5 (N269.4) and 6 (N296.8). It is therefore concluded that the simple mix ratio with FM:GNC: SBM ratios of 1:2.5:4.5 and 1:3:4 could be measured using local measuring items such as congos, milk tin, and tablespoon by peri-urban and backyard poultry farmers. Un essai d'alimentation de 42 jours a été mené pour évaluer le mélange d'ingrédients alimentaires simple et adaptable pour la production de poulets de chair. Les quatre régimes formulés ont été utilisés comme un simple diététique avec la farine de poisson (le 'FM'), le tourteau d'arachide (le 'GNC') et la farine de soja (le 'SBM') ayant le rapport variable d'inclusion comme 1 : 4.5 : 2.5), régime2 (1: 3.5: 3.5), régime3 (1: 2.5: 4.5) et régime4 (1: 3: 4), respectivement.Ceux-ci ont été comparés aux aliments commerciaux primaires qui ont été codés comme AF et TF et utilisés pour les phases de commencement et de terminaison. Trois cents poussins de race Marshall, âgés d'un jour a été assignés au hasard à six traitements diététiques (50 oiseaux / traitement ; 5 répétitions / traitement) dans une conception complètement aléatoire. Des paramètres tels que la consommation alimentaire, le gain de poids, les caractéristiques de la carcasse et le poids relatif des organes internes et économiques l'analyse de la production des poussins a été mesurée. Le gain de poids quotidien des poulets de chair nourris avec le régime 3 était significativement (P <0.05) plus élevé que ceux nourris avec d'autres régimes, tandis que la moindre prise alimentaire quotidienne a été enregistrée chez les poussins nourris au régime 1. Les poulets de chair nourris avec le régime 5, un régime commercial consommé une quantité d'aliments plus élevée (P <0.05), par rapport aux régimes expérimentaux de repos nourris; tandis que le régime alimentaire pour oiseaux 1 enregistrait la moindre (P <0.05) quantité d'aliments consommée. Les poulets de chair nourris avec le régime 3 avaient une meilleure conversion alimentaire (P <0.05) en poids, par rapport à ceux nourris avec le reste. Tous les traits de carcasse et organes relatifs mesurés variaient significativement (P <0.05) avec les régimes sauf le poids habillé. Les régimes de test 3 et 4 avaient un meilleur gain de coût / poids (₦239 et ₦228.9) par rapport aux deux régimes commerciaux 5 (₦269.4) et 6 (₦296.8). Il a donc conclu que le rapport de mélange simplifié avec FM :GNC : SB 1 :3 : 4 pourrait être mesuré en utilisant des éléments de mesure locaux, comme les 'congos', le 'milkcup' et les cuillères à soupe par les éleveurs de volailles en milieu urbain et de basse-cour.
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DRONNE, Yves. "Les matières premières agricoles pour l’alimentation humaine et animale : l'UE et la France." INRA Productions Animales 31, no. 3 (January 18, 2019): 181–200. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2018.31.3.2347.

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Abstract:
L’UE qui produit environ 80 millions de tonnes de protéines végétales (dont la moitié de fourrages) en importe près de 15 millions sous forme de produits en l’état (céréales, graines oléagineuses) ou coproduits des industries agricoles et alimentaires (en particulier tourteaux) non consommables par l’Homme. Environ 87 % de la consommation intérieure de ces protéines est destinée à l’alimentation animale et permet la production de 11 millions de tonnes de protéines animales sous forme de lait, de viandes et d’œufs. L’industrie des aliments composés particulièrement développée apporte 67 % des protéines hors fourrages et fait apparaître une forte diversification dans ses matières premières consommées. Le soja, dont les importations européennes ont sensiblement baissé au cours des 10 dernières années, ne représente plus que 18 % des protéines végétales utilisées par les animaux. La part de l’UE dans les importations mondiales est passée de 60 % au début des années 1970 à moins de 19 % actuellement. La France consomme 12 millions de tonnes de protéines végétales en alimentation animale (dont la moitié de fourrages) et présente de nombreuses similitudes avec l’UE, mais une différence essentielle, celle d’être globalement exportatrice nette de 1,5 million de tonnes de protéines, largement sous forme de céréales. Alors que l’UE est importatrice nette de « surface agricole », la France peut in fine exporter à la fois des protéines animales et des protéines végétales grâce à l’importance de sa surface agricole et à la diversité de ses agricultures (spécialisation animale du Grand Ouest et végétale de certaines autres régions qui permettent d’atteindre des rendements élevés).
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JOUVEN, Magali, Laurence PUILLET, Christophe PERROT, Thomas POMEON, João-Pedro DOMINGUEZ, Thierry BONAUDO, and Muriel TICHIT. "Quels équilibres végétal/animal en France métropolitaine, aux échelles nationale et « petite région agricole » ?" INRA Productions Animales 31, no. 4 (January 24, 2019): 353–64. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2018.31.4.2374.

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Abstract:
L’ajustement des activités d’élevage aux ressources localement présentes est un des leviers de la transition écologique, permettant une autonomie des territoires et une moindre consommation d’intrants nécessitant un transport. Le travail présenté ici a été réalisé dans le cadre de l’étude INRA EFESE-écosystèmes agricoles. Il propose une méthode simple basée sur la statistique agricole et plusieurs sources complémentaires pour calculer sur une base annuelle l’équilibre végétal/animal d’un territoire. La capacité d’un territoire à nourrir sa population d’animaux d’élevage (CAPA) est définie comme le rapport entre les ressources végétales disponibles pour l’alimentation animale et la consommation par le cheptel localement présent. Elle peut être calculée en Matière Sèche (MS) ou azotée (MAT), à l’échelle nationale ou des Petites Régions Agricoles (PRA). Les PRA comportant des populations animales trop faibles sont exclues de l’analyse ; de même, l’incertitude sur les données d’effectifs et de consommation des chevaux n’a pas permis de les comptabiliser. Au niveau national, la CAPA globale est bonne (0,98 en MS ; 0,81 en MAT) mais cache un déficit en protéines, avec une CAPA en MAT de 0,42 pour les concentrés, à associer à la dépendance aux tourteaux de soja importés. Au niveau PRA, une typologie fait apparaître cinq groupes distincts en termes d’équilibre végétal/animal. La cartographie de ces groupes permet de distinguer des zones homogènes, et d’autres présentant plusieurs groupes donc des synergies potentielles au niveau supra. Ces résultats originaux mériteront d’être affinés en précisant certains calculs, puis mobilisés pour accompagner la transition écologique des territoires.
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HUNEAU, J. F., J. M. WAL, Lionelle NUGON-BAUDON, and Odette SZYLIT. "Effets comparés de régimes à base de tourteaux de soja ou de colza sur la teneur en histamine de la paroi du tube digestif de rat : rôle de la flore totale." Reproduction Nutrition Développement 28, no. 3A (1988): 655. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19880437.

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Meffeja, F., T. Dongmo, and N. Jifutie. "Effets de la substitution du tourteau de soja par les graines entières de soja brutes ou grillées dans les rations alimentaires des porcs en milieu paysan." Bulletin of Animal Health and Production in Africa 52, no. 4 (April 27, 2005). http://dx.doi.org/10.4314/bahpa.v52i4.32676.

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Cunha Luisa F. and Freire J.P.B. "EFFECT DE LA SUBSTITUTION TOTALE OU PARTIELLE DU TOURTEAU DE SOJA PAR VICIA BENGHALENSIS SUR LA DIGESTIBILITÉ, LA CÆCOTROPHIE ET LE BILAN AZOTÉ CHEZ LE LAPIN ADULTE." World Rabbit Science 1, no. 1 (June 30, 2010). http://dx.doi.org/10.4995/wrs.1993.193.

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Leyo, Idriss Hamidou, Zakari Moussa Ousman, Fréderic Francis, and Rudy Caparros Megido. "Techniques de production d’asticots de mouches domestiques (Musca domestica L. 1758) pour l’alimentation des volailles, synthèse bibliographique." Tropicultura, no. 2 (2021). http://dx.doi.org/10.25518/2295-8010.1813.

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Abstract:
L’alimentation de la volaille nécessite un apport essentiel en protéine. Ces protéines sont introduites aux animaux à travers des ingrédients alimentaires comme les légumes à graines et leurs tourteaux (arachide, soja, etc.), les farines de poisson, etc. Ces sources protéiques bien qu’étant indispensables en alimentation de la volaille, sont assujetties à une flambée de prix et sont peu ou pratiquement non durables. Les asticots des mouches constituent une solution durable en alimentation animale mais sont classées dans les sources méconnues de protéines animales en Afrique de manière générale et au Niger en particulier. La production de ces asticots n’est pas onéreuse et n'implique pas pour le moment une compétition alimentaire avec l’alimentation humaine. Les asticots des mouches domestiques (Musca domestica L. 1758) et des mouches soldats noires (Hermetia illucens L. 1758) sont privilégiés en raison de la facilité de leur production et de l’importance de leur biomasse. Les larves de ces deux types de mouches sont souvent produites avec des déchets de toute nature (substrats) disponibles gratuitement ou cédés dans le cas marchand à un prix dérisoire. Les compositions chimiques de ces asticots sont similaires voire meilleures que celles des ingrédients alimentaires conventionnels utilisés en alimentation avicole, et leur utilisation dans l’alimentation de ces volailles induit de bonnes performances zootechniques aux animaux. En plus de la protéine, le processus de production d’asticots permet d’un coté de recycler les déchets organiques qui constituent un véritable problème environnemental et de l’autre côté il permet de générer un résidu biofertilisant riche en nutriment qui peut être valorisé en agriculture. Plusieurs études ont montré qu’il n’a pas de dans danger sanitaire lié à l’utilisation des asticots en alimentation animale en général et celle de la volaille en particulier. En effet l’évaluation de plusieurs éléments-traces métalliques (ETM) au niveau des asticots avait révélé ces ETM sont à des seuils inferieur à ceux recommandés par les organismes internationaux (Union Européenne, organisation mondiale de la santé). Quelques rares études ont affirmé qu’une transmission de Salmonelles est possible aux consommateurs. Toutefois il est admis à l’unanimité que les asticots peuvent être introduits en alimentation animal sans induire des effets néfaste sur leur santé et que les contaminations éventuelles sur toute la chaine alimentaire peuvent être contrôlées.
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