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Journal articles on the topic 'Traduction liturgique de la Bible'

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1

Delisle, Jean. "Les nouvelles règles de traduction du Vatican1." Meta 50, no. 3 (2005): 831–50. http://dx.doi.org/10.7202/011599ar.

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Abstract:
Résumé Après avoir rappelé brièvement l’attitude de l’Église catholique à l’égard des traductions et des traducteurs au cours de son histoire et en particulier aux ive et xvie siècles, nous examinons les principaux documents émanant du Vatican depuis 1943 afin de dégager la conception de l’Église à l’égard de la traduction. Nous analysons en détail la cinquième instruction post-conciliaire, Liturgiam authenticam (2001), véritable « traité de traduction » dans lequel Rome édicte des règles précises et contraignantes pour la traduction de la Bible et des textes liturgiques. En conclusion, nous portons un jugement critique sur la vision de la traduction qui se dégage de ce traité.
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Dupont-Fauville, Denis. "Sur la nouvelle traduction liturgique du Notre Père." Communio N° 256, no. 2 (2018): 107–10. http://dx.doi.org/10.3917/commun.256.0107.

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3

Doppelt, Suzanne. "traduction de la Bible, enquête." Vacarme 17, no. 4 (2001): 96. http://dx.doi.org/10.3917/vaca.017.0096.

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4

Testard, Maurice. "Observations sur la traduction liturgique de deux textes de l'Évangile." Bulletin de l'Association Guillaume Budé : Lettres d'humanité 60, no. 4 (2001): 410–22. http://dx.doi.org/10.3406/bude.2001.2466.

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5

Van Hoof, Henri. "Traduction biblique et genèse linguistique." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 36, no. 1 (1990): 38–43. http://dx.doi.org/10.1075/babel.36.1.05van.

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Abstract:
The article describes a number of situations where Bible translation resulted in the birth of new or the expansion of existing languages. Examples of the first category are the Gothic, Armenian and Russian languages, for which even specific alphabets had to be invented. To illustrate the second category reference is made to English and German, which, although they had already emerged as vulgar competitors of Latin as early as the XlVth century, were given a boost by the many Bible translations generated by the Reformation. Both in England and in Germany these translations helped to unify and shape the English and German tongues and to develop their literary qualities.
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6

Kaufmann, Francine. "Traditions et principes de la traduction biblique dans l’Antiquité juive." Thème 15, no. 2 (2008): 15–45. http://dx.doi.org/10.7202/017771ar.

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Abstract:
Résumé Un préjugé répandu voudrait qu’un tabou juif interdise de traduire la Bible ou n’autorise qu’une traduction servile, littérale. Cette étude s’appuie sur la littérature rabbinique (Talmud, Midrach, exégèse) pour montrer qu’une traduction orale à usage interne a été prescrite dès l’Antiquité, quand la majorité des Juifs ont perdu l’usage de l’hébreu. Sa fonction était d’accompagner — non de remplacer — l’original hébraïque, dans la lecture synagogale et dans l’étude. Elle a été mise plus tard par écrit puis imprimée en regard de l’original. La traduction qui s’enracine dans la tradition exégétique juive est légitime puisqu’elle contribue à clarifier et expliquer et le sens de la Bible hébraïque.
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Radó, Győrgy. "A Proposal in the Field of Bible Translation." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 38, no. 4 (1992): 236–40. http://dx.doi.org/10.1075/babel.38.4.06rad.

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Abstract:
Une proposition, concernant la traduction de la Bible Est-ce qu'une traduction, acceptée valable à travers de longs siècles, peut-elle, doit-elle être révisée? Question théorique, ma réponse est: Oui. La traduction des textes hébreux et grecs de la Bible en Latin, faite en 400 apr. J.-C. par St. Jérome a servi comme texte source des traductions en beaucoup de langues modernes, néanmoins des traducteurs contemporains greffent sur les originaux. Par ex. le texte moderne "J'ai encore d'autres brebis qui ne sont pas de cette bergerie; celles-là, il faut que je les amène; elles entendront ma voix, et il y aura un seul troupeau, un seul berger" (Jean 10,16) contient deux mots différents, "bergerie" et "troupeau", comme le grec "aoulé" et "poimné", tandis que Jérome n'y use que le seul "ovile", ce qui change le sens de la phrase. Je propose que le mot Logos (Jean 1,1: ...kai Theos én ho Logos) qui est polysémique (voir: logomachie = querelle sur les mots; logique = science des normes de la vérité), traduit jadis avec Verbe ou Parole à juste titre, devrait être traduit aujourd'hui par Loi: correspond à la mentalité de l'homme moderne. Au commencement était la Loi, et la Loi était avec Dieu, et la Loi était Dieu.
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8

Burgevin, Maurice. "Au sujet de la nouvelle traduction de la Bible." Horizons philosophiques 13, no. 1 (2002): 91. http://dx.doi.org/10.7202/801226ar.

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9

Savart, Claude. "Une tentative de traduction œcuménique de la Bible en 1866." Revue d'histoire de l'Église de France 79, no. 202 (1993): 95–114. http://dx.doi.org/10.3406/rhef.1993.1096.

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Genest, Olivette. "Langage religieux chrétien et différenciation sexuelle. De quelques évidences." Articles 3, no. 2 (2005): 11–30. http://dx.doi.org/10.7202/057604ar.

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Abstract:
Qu'en est-il de la représentation de la différenciation sexuelle dans le langage religieux de la tradition chrétienne, qu'il s'agisse du discours sur un Dieu dit asexué, sur Jésus, Marie, les personnages de la Bible, ou de l'expression doctrinale et liturgique? L'auteure remonte de la langue française vers les langues bibliques originelles. Certaines récurrences constantes soulèvent la question des effets, sur le christianisme, de son inscription langagière dans la catégorie du genre. Une problématique élargie souligne la difficulté d'établir dans sa logique propre un discours féministe critique avec un instrument linguistique calibré par et pour des sociétés patriarcales.
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de Vries, Anneke, and Arian Verheij. "The Same or not the Same." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 39, no. 1 (1993): 21–29. http://dx.doi.org/10.1075/babel.39.1.04vri.

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Abstract:
L'article aborde la question de savoir comment mesurer l'équivalence lexicale d'une traduction et du texte d'origine. Cette équivalence est particulièrement importante lorsqu'il s'agit de traduire la Bible. Le niveau d'équivalence lexicale est défini en premier lieu par des termes empruntés au domaine de la statistique, tels que la probabilité que deux rendus, choisis au hasard, d'un lexème de la langue d'origine, également choisi au hasard, soient identiques au niveau lexical. C'est pourquoi on exprime cette probabilité par une valeur située entre 0 (ou 0% de probabilité, absence totale d'équivalence) et 1 (ou 100% de probabilité, équivalence totale). On élabore ensuite une méthode qui permet de calculer cette valeur sur base d'un échantillonnage de lexèmes de la langue d'origine. La méthode est démontrée à partir d'une traduction de la Bible en néerlandais.
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Michel, Alain. "Dire la beauté de Dieu : rhétorique et poétique dans le latin médiéval." Études littéraires 24, no. 3 (2005): 25–36. http://dx.doi.org/10.7202/500983ar.

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Abstract:
La rhétorique peut-elle aider à exprimer l'ineffable? L'antiquité païenne apporte deux leçons opposées. Pour Platon (Phèdre) , la vérité ne peut être atteinte que par la dialectique et le mythe. Pour les poètes, comme Homère, le sublime s'atteint par la simplicité. Quant à la Bible, elle unit toutes les nuances du sublime et de l'humilité. Leçons qui ne seront pas oubliées au Moyen Âge où l'on accordera les traditions antiques et bibliques. Saint Augustin et le Pseudo-Denys, l'un latin, l'autre grec, sont à la source de cette tradition littéraire de la conciliation qui vivra durablement en Europe, et se réalisera d'abord dans la poésie liturgique et religieuse.
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Dumas, Felicia. "La liturgie eucharistique de l’Église orthodoxe et l’histoire de sa traduction en langue française." Meta 58, no. 3 (2014): 542–55. http://dx.doi.org/10.7202/1025050ar.

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Abstract:
Nous nous proposons d’étudier l’histoire des différentes versions françaises du texte de la liturgie eucharistique de saint Jean Chrysostome, l’office central de l’Église orthodoxe. En principe, on peut parler de deux types de traductions qui ont circulé dans les différentes communautés orthodoxes qui sont établies en France et s’y sont développées. Nous ferons exclusivement référence à ce pays. D’une part, il y a eu des versions françaises qui accompagnaient le texte slavon surtout (mais aussi grec), qui était célébré dans des paroisses de tradition slave (ou grecque). Elles circulaient sous forme de brochures reliées, le plus souvent de façon artisanale. Leur rôle fondamental était d’accueillir linguistiquement les fidèles français qui ne parlaient pas les langues des communautés traditionnellement orthodoxes et qui participaient aux offices. D’autre part, il y a eu des versions françaises faites par des personnalités ecclésiastiques remarquables pour servir lors des célébrations dans des paroisses majoritairement francophones ou dans certaines communautés monastiques (toujours francophones). Dans ce cas, on peut parler d’un rôle liturgique-rituel par excellence de ces traductions, le texte de la divine liturgie ayant été traduit explicitement pour permettre sa célébration en français.
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Lamy, Laurent. "De la traduction comme vecteur clandestin de la rédemption : Franz Rosenzweig ou l’utopie messianique en l’absence de Dieu." TTR : traduction, terminologie, rédaction 16, no. 1 (2004): 185–214. http://dx.doi.org/10.7202/008562ar.

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Abstract:
Résumé Cette étude se propose d’examiner les multiples facettes de la théorie de la traduction élaborée par Franz Rosenzweig, à la lumière notamment de son postulat paradoxal selon lequel il n’existe qu’une seule et unique langue qui cependant se réalise et se peut retracer dans chacune des langues, quel que soit le stade ou le degré de leur évolution. Ce postulat est mis à l’épreuve au gré des diverses remarques, observations et notes critiques jalonnant le travail de traduction auquel Rosenzweig s’est lui-même livré, tout spécialement sa traduction d’hymnes et de poèmes de Jehuda Halévi ainsi que sa collaboration avec Martin Buber à une Verdeutschung de la Bible hébraïque. Ce labeur reçoit enfin un éclairage sans doute plus étonnant, mais néanmoins convaincant, en le replaçant dans l’horizon de l’eschatologie messianique qui sous-tend le propos de Rosenzweig, qui fait de la traduction un vecteur de la rédemption.
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Gignac, Alain. "Traduction et expérience de lecture." Thème 15, no. 2 (2008): 67–88. http://dx.doi.org/10.7202/017773ar.

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Abstract:
Résumé En dialogue avec l’article d’Alexis Nouss dans ce numéro, l’auteur réfléchit sur les balises herméneutiques et théologiques qui peuvent guider la traduction du Nouveau Testament, en christianisme, balises qu’il retrouve à l’oeuvre, rétrospectivement, dans la dynamique qui a présidé à La Bible, nouvelle traduction (à laquelle il a participé). D’une part, lire c’est traduire, — c’est-à-dire comprendre le texte tel quel en vue de se comprendre — et traduire, c’est interpréter. La théorie herméneutique pose donc l’aporie de toute traduction, à la fois opaque et transparente. D’autre part, le texte du Nouveau Testament lui-même n’est pas Parole de Dieu, mais témoignage qui porte les traces de la rencontre du Christ ressuscité, Parole de Dieu qui s’articule dans une existence humaine corporelle. La théologie assigne donc à la traduction la tâche de ne pas nuire à la réitération de cette rencontre, pour le lecteur. Ainsi, le critère d’évaluation d’une traduction devient sa capacité à provoquer chez le lecteur une expérience de lecture, susceptible de faire émerger une Parole. Une « traductologie théologique chrétienne » n’occulte pas le texte source ni ne privilégie le texte cible. L’expérience de rencontre du Ressuscité dont le texte source porte la trace doit pouvoir se manifester dans l’expérience de lecture dont le texte cible devient le support.
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Quereuil, Michel. "La traduction du parfait latin dans la Bible française du 13ème siècle." L Information Grammaticale 30, no. 1 (1986): 33–36. http://dx.doi.org/10.3406/igram.1986.2125.

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Gugelot, Frédéric. "Pierre Lassave, Bible : La traduction des alliances. Enquête sur un événement littéraire." Archives de sciences sociales des religions, no. 134 (May 1, 2006): 147–299. http://dx.doi.org/10.4000/assr.3556.

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Jerzy Brzozowski. "Représentation de la réalité et la post-vérité en traduction." Między Oryginałem a Przekładem 25, no. 46 (2019): 13–24. http://dx.doi.org/10.12797/moap.25.2019.46.01.

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Abstract:
Translation in the Post-truth Era
 The paper discusses six examples of “indulgence with the truth” in some recent translations in the fields of literature (Lewis Carrol, Jose Carlos Somoza), film (the “Fawlty Towers” series translated into Spanish), mass communication (« Eurodiagnostic »), Bible “inclusive” translation and a case of legal translation. The author aims to show that, perhaps, such translator’s inventions, manipulations or distortions of the original texts are currently more frequent in the so called Post-truth era than they used to be in the past.
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Froeliger, Nicolas. "Le facteur local comme levier d’une traductologie pragmatique." Meta 55, no. 4 (2011): 642–60. http://dx.doi.org/10.7202/045683ar.

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Abstract:
Où se manifeste le facteur local en traduction pragmatique, avec quels enjeux et quels horizons théoriques ? Abordée à partir d’exemples empruntés à la technique, à l’économie et à la presse, cette question débouche sur un paradoxe traductologique : celui de réunir artificiellement, sur l’importance de traduire non pas ce que le texte dit, mais ce qu’il fait, des auteurs en totale contradiction, et dont les seuls points communs semblent être une prise de distance par rapport à la linguistique et une réflexion fondée sur la traduction de la Bible. Tenter de surmonter ce paradoxe afin de produire, à partir du même facteur local, une recherche pertinente en pragmatique conduit à se demander si le problème n’est pas dans le choix des textes de référence, ainsi que sur la possibilité et l’intérêt d’une émancipation de la traductologie pragmatique par rapport aux théories plus littéraires ou se voulant généralisantes. Cette démarche permetin fined’isoler un trait que nous pensons décisif en traduction pragmatique : c’est lorsqu’il y a défaut (inaperçu) d’identité entre source et cible que l’on peut dire qu’il y a véritablement traduction.
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Von Tippelskirch, Xenia. "Casimir, comte de Sayn-Wittgenstein et la réception des éditions de Pierre Poiret à Berleburg." Revue de Théologie et de Philosophie 153, no. 1 (2021): 99–113. http://dx.doi.org/10.47421/rthph153_1_99-113.

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Abstract:
Cet article aborde la réception des éditions de Pierre Poiret dans les milieux piétistes séparatistes de Berleburg. Grâce aux manuscrits conservés aux archives du château de Berleburg, il est possible de reconstruire l’expérience spirituelle du comte Casimir von Sayn-Wittgenstein, auteur d’une traduction des vingt volumes de la Sainte Bible de Mme Guyon éditée par Poiret en 1713-1715.
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Ez-Zouaine, Younès. "Proust, traducteur de Ruskin. De la traduction de Ruskin à la création d’À la recherche du temps perdu." Partie 2 – Les dessous de la créativité 62, no. 3 (2018): 585–98. http://dx.doi.org/10.7202/1043950ar.

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Abstract:
La rédaction de Contre Sainte-Beuve et d’À la recherche du temps perdu de Marcel Proust a été précédée par la traduction de The Bible of Amiens (1884) et de Sesame and Lilies (1865) de John Ruskin. L’examen de ces deux traductions montre que le traducteur s’en est inspiré pour échafauder le socle esthétique de son oeuvre à venir. En effet, la traduction des essais ruskiniens fait partie intégrante du processus d’apprentissage et de maturation qui devance et prépare la rédaction définitive de À la recherche du temps perdu. Cette traduction a consisté en une activité de transfert des contenus esthétiques de l’oeuvre de l’esthète anglais à la sienne propre. Nous essaierons dans cet article de montrer que le cadre esthétique d’À la recherche du temps perdu provient directement, avec quelques modifications que nécessite toute transformation créatrice, de sa confrontation avec les livres de Ruskin.
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Romashkina, Tatiana. "La Bible anglo-normande : traduction et adaptation à la croisée de facteurs socioculturels." Questes, no. 38 (July 1, 2018): 43–62. http://dx.doi.org/10.4000/questes.4846.

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Mary, André. "L'anthropologie au risque des religions mondiales." Anthropologie et Sociétés 24, no. 1 (2003): 117–35. http://dx.doi.org/10.7202/015639ar.

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Abstract:
Résumé RÉSUMÉ L'anthropologie au risque des religions mondiales Les entreprises religieuses transnationales qui investissent l'Afrique d'aujourd'hui substituent à la tradition orale des mythes la lettre de la Bible, au pragmatisme des rites une liturgie de la prière, aux secrets de l'initiation les témoignages de conversion, à l'éradication des sorciers la diabolisation des génies païens. L'ethnographe doit suivre des fidèles évoluant sur de multiples scènes, conjuguant l'ancrage communautaire local et les ressources d'un réseau international. Comment appréhender à la fois les campagnes d'évangélisation, les pèlerinages suscités par le prosélytisme missionnaire et la multiplication de petites églises ouvertes au bricolage liturgique et à la théologie narrative des témoignages ? Le temps est venu où les ethnologues, vieux habitués des missions et complices des grands initiés, entrent dans les églises et affrontent les risques d'une immersion dans le milieu des convertis.
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Goeury, Julien. "Laurent Drelincourt, Élie Bouhéreau et l’« illustre ami »." Revue d'histoire du protestantisme 5, no. 2-3 (2020): 413–37. http://dx.doi.org/10.47421/rhp5_2-3_413-437.

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Abstract:
L’histoire du Psautier de Genève comporte encore des zones d’ombre, en particulier à l’âge classique, où durant les décennies 1660-1680 s’est joué un épisode pourtant essentiel, celui de sa révision linguistique, engagée sous la responsabilité de Valentin Conrart avec la collaboration d’un certain nombre de pasteurs et de lettrés protestants acquis à la cause. Ce qui pourrait apparaître comme une intervention supplémentaire sur le texte de la Bible en français, dans sa composante en vers, sans grand enjeu ni sur le plan textuel ni sur le plan liturgique, s’est pourtant trouvé au centre de tensions internes (au sein des Églises réformées de France) et externes (vis-à-vis de Genève), qui ont fait de cette entreprise, menée par un petit groupe aux intentions militantes, un événement sous-estimé. À partir de la correspondance inédite échangée entre Élie Bouhéreau et Laurent Drelincourt, on se propose d’éclairer d’un jour nouveau cet épisode.
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Léger, Benoit. "Soumission et assujettissement : la fidélité chez les traducteurs et « théoriciens » de la traduction française dans la première moitié du XVIIIe siècle." TTR : traduction, terminologie, rédaction 9, no. 2 (2007): 75–101. http://dx.doi.org/10.7202/037259ar.

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Résumé Soumission et assujettissement : la fidélité chez les traducteurs et « théoriciens » de la traduction française dans la première moitié du XVIIIe siècle — Cet article porte sur le concept de fidélité en traduction en France au XVIIIe siècle. À partir des définitions des dictionnaires de la fin du XVIIe et du début du XVIIIe siècle, on cherche à définir la visée de la fidélité à l'époque : fidélité au texte de départ ou à la culture d'arrivée? Les dictionnaires définissent d'abord le terme par rapport à l'exactitude, à la foi et à la soumission. Les débats sur la fidélité dans la traduction des Anciens entre Houdar de La Motte et Anne Dacier au début du XVIIIe siècle se reflètent dans la traduction de la littérature anglaise. L'assujettissement du traducteur devient avec Silhouette celui du copiste. La fidélité est associée par Desfontaines à l'exactitude, mais en tant qu'idéal elle ne peut être selon lui que soumise aux contingences de la traduction et de la langue française. La fidélité devient alors synonyme de littéralité et Desfontaines, comme d'autres traducteurs, choisit plutôt d'être fidèle au goût français. L'exigence même de fidélité se module selon le type de texte à traduire : la Bible exigera une version littérale, les Anciens une imitation cherchant même à rendre justice à l'auteur en l'« améliorant », et les auteurs contemporains dont la « gloire » n'est pas assez importante, n'auront droit qu'à une adaptation libre.
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Adegboye Gbadegesin, Olusegun. "L’équivalence dynamique dans la traduction française des romans de Fagunwa." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 65, no. 5 (2019): 662–77. http://dx.doi.org/10.1075/babel.00119.ade.

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Abstract:
Résumé La traduction de la littérature fait l’objet de nombreux débats depuis plusieurs décennies et, sur la base de ces débats, des approches ont été formulées en fonction des points de vue des précurseurs en ce qui concerne les défis de leur tâche. L’auteur d’une œuvre littéraire est influencé par son expérience de la vie, sa culture, son imagination, sa société, l’idéologie de son peuple, etc. Une œuvre littéraire, fortement imprégnée de nuances culturelles, est toujours en opposition avec la langue du récepteur. Les romans yorubas de Daniel Olorunfemi Fagunwa en sont un bon exemple. Pour amener le lecteur de la version française à réagir au message du texte original de manière identique ou pratiquement identique, Olaoye Abioye, le traducteur de ces romans, confère une valeur secondaire au style de Fagunwa. Par cette approche, l’équivalence dynamique, une idée avancée par le traducteur de la bible, Eugene Nida, est inconsciemment mise en jeu. La compréhension du lecteur récepteur lui est imposée dans le cadre de son contexte culturel pour éviter toute trahison ou contre-sens dans les versions françaises. Dans cet article, nous abordons la dichotomie entre l’imposition et la trahison en traduction, l’imposition et la trahison dans l’optique de l’équivalence dynamique et l’imposition ou la trahison dans la traduction française de deux romans de Fagunwa. Il conclut que l’imposition est une exigence en traduction littéraire.
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Azeroual, Sigrid-Arielle. "La traduction de la Bible en anglais par William Tyndale, ou la réorganisation du pouvoir." Hypothèses 20, no. 1 (2017): 325. http://dx.doi.org/10.3917/hyp.161.0325.

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Forman, Charles W. "Book Review: Au Pied de L'Ecriture: Histoire de la Traduction de la Bible in Tahitien." International Bulletin of Missionary Research 16, no. 3 (1992): 134. http://dx.doi.org/10.1177/239693939201600310.

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Rochette, Bruno. "Le prologue du livre de Ben Sirach le Sage et la traduction des écrits sacrés." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 44, no. 2 (1998): 139–49. http://dx.doi.org/10.1075/babel.44.2.05roc.

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Abstract:
Abstract Examining the prologue to the Greek Ben Sirach, this article tries to describe how the Greek translators of religious texts perceive the difficulties and the limits of their task. Conscious of the changes resulting from the passage of one language to another, they conceive their work as inspired by God. Therefore the work translated does not appear as a simple translation mechanically done, but as a new text reflecting the conception of the inspired translator whose faith is the warrant for the quality and accuracy of the translation. Two other comments on translation are taken into account : Corpus Hermeticum XVI and the Letter of Pseudo-Aristeas on the translation of the Septuagint. The examination of these texts leads to the conclusion that ancient translators of religious writings strove to show the vision of truth as they saw it in the original text to the new audience using another language. This conception of translating will be followed by Latin translators adopting, like Hieronymus, the principle of literality for the translation of the Bible, since in the Holy Scripture even the word order is mystery, as the Father says. A comparison with the modern theory and practice of translation of religious texts is also instructive for the modern translator. It can incite him to be careful of the likelihood of changing the sense of the original he is translating. Résumé En examinant le prologue de la version grecque du livre de Ben Sirach le Sage, cet article décrit comment les traducteurs grecs de textes religieux perçoivent les difficultés et les limites de leur tâche. Conscients des changements consécutifs au passage d'une langue à l'autre, ils conçoivent leur travail comme inspiré par Dieu. Par conséquent, l'oeuvre traduite n'apparaît pas comme une simple traduction, réalisée mécaniquement, mais comme un nouveau texte reflétant la conception du traducteur inspiré. Sa foi est le garant de la qualité et de l'exactitude de la traduction. Deux autres commentaires sur la traduction sont pris en compte : Corpus Hermeticum XVI et la Lettre du Pseudo-Aristée sur la Septante. L'examen de ces textes conduit à la conclusion que les traducteurs anciencs de textes religieux se sont efforcés de montrer à un public nouveau parlant une autre langue la vision de la vérité telle qu'ils la perçoivent dans le texte original. Cette manière de concevoir la traduction sera suivie par les traducteurs latins qui adoptent, comme Jérôme, le principe de littéralité pour la traduction de la Bible, car, dans l'Écriture Sainte, meme l'ordre des mots est mystère, comme le dit le Père. Une comparaison avec la théorie et la pratique moderne de la traduction de textes sacrés peut aussi etre instructive pour le traducteur d'aujourd'hui. Elle devrait l'inciter à etre attentif à la probabilité de changer le sens de l'original qu'il traduit.
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Kaufmann, Francine. "Contribution à l’histoire de l’interprétation consécutive : le metourguemane dans les synagogues de l’Antiquité." Meta 50, no. 3 (2005): 972–86. http://dx.doi.org/10.7202/011608ar.

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Abstract:
Résumé La littérature rabbinique de l’Antiquité (les deux Talmuds et le Midrach) atteste de l’existence d’une profession bien définie, celle du metourguemane, interprète attitré ou occasionnel d’un rabbin, d’un maître, d’un prédicateur, d’un tribunal ou d’une synagogue. Bien que composite et non dépourvu d’éléments légendaires, ce corpus de plusieurs milliers de pages permet à l’historien de la traduction de se faire une idée relativement détaillée de la fonction et de la pratique de la traduction qui n’a cessé d’évoluer durant plus d’un millénaire. L’étude présentée ici évoque d’abord les précurseurs du metourguemane : le mélits (celui qui parle bien, et « en bien ») et le balchane (maître du langage et polyglotte). Elle se concentre alors plus particulièrement sur les règles et les anecdotes qui illustrent les modalités de l’interprétation consécutive qui accompagne la lecture publique de la Bible hébraïque dans le rituel synagogal et les évalue à la lumière des normes contemporaines.
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de Vries, Anneke, and Arian Verheij. "The Same or not the Same 2." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 40, no. 4 (1994): 222–31. http://dx.doi.org/10.1075/babel.40.4.05vri.

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Abstract:
L'article aborde le mesurage de la correspondence lexicale entre traductions d'un seul texte d'origine. Notamment, en comparant les mesures de conformité entre plusieurs traductions d'un côté et une particulière traduction de l'autre, on peut faire une hypothèse en ce qui concerne l'influence que celle-ci ait subi de celles-là. La méthode d'enregistrement des analogies lexicales a été empruntée à la stemmatologie. Les données d'un échantillonnage sont élaborées statistiquement à l'aide du concept de la distribution binomiale de probabilités. La méthode est démontrée à partir de cinq traductions de la Bible en néerlandais.
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Buzzetti, Carlo. "La Bibbia Come Testo Letterario da Tradurre." Meta 32, no. 1 (2002): 55–63. http://dx.doi.org/10.7202/002181ar.

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Abstract:
Résumé L'auteur se propose de mettre en évidence certains traits caractéristiques des textes littéraires et de montrer dans quelle mesure de tels textes sont traduisibles. Il envisage en particulier le cas de la traduction biblique. - Dans les deux premiers paragraphes, il analyse, d'une part, les principales fonctions du langage (fonctions descriptive, expressive et suggestive) et, d'autre part, la connotation par rapport à la dénotation. Or, ce qui confère à un texte sa valeur typiquement littéraire, c'est le rôle prédominant qu'y jouent les fonctions expressive et suggestive, alliées à la présence essentielle des connotations. Mais, affirmer cela, n'est-ce pas amener de l'eau au moulin de ceux qui prétendent que la traduction littéraire serait impossible ? En effet, comment rendre dans une traduction les caractéristiques esthétiques d'un texte, qui sont loin d'être saisies même par ceux qui le lisent dans sa version originale ? L'auteur répond à cette objection en affirmant que s'il est exact que la communication absolue est un objectif inatteignable, il n'en reste pas moins qu'une réflexion linguistique sérieuse nous garde de tout scepticisme radical à cet égard. Si l'on prend le cas des connotations, il est vrai qu'on ne peut pas les rendre mot pour mot, ou même phrase par phrase. Toutefois, il convient de considérer les valeurs connotatives par rapport à un contexte plus général, ou à des unités de texte dépassant celles du mot ou de la phrase : à cet égard, le bon traducteur prouve sa compétence en étant capable de rendre le ton général du texte. De plus, il convient d'évaluer les divers aspects d'un texte littéraire cas pour cas, car les caractéristiques formelles n'ont pas toutes la même importance quant à l'impact général du message. C'est ce que l'auteur montre par quelques exemples bibliques (poèmes alphabétiques de l'Ancien Testament, épîtrespauliniennes, style johan-nique...). L'essentiel consiste à ne pas se lancer dans la traduction sans une réflexion théorique préalable, aussi bien linguistique qu'herméneutique. -En conclusion, l'auteur affirme : 1°) que la Bible appartient véritablement au domaine littéraire ; par conséquent, il serait illégitime de la traduire en négligeant sans cesse tous ses traits typiquement littéraires pour ne se préoccuper que des dénotations ; 2°) que la Bible n'est pas avant tout littérature ; par conséquent, il serait illégitime de la traduire en ne portant son attention que sur ses aspects esthétiques, sans se soucier de leur valeur par rapport à la foi, point central des récits bibliques.
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Sabourin, Paul. "Pierre Lassave, Bible : la traduction des alliances. Enquête sur un événement littéraire, Paris, L’Harmattan, 2007, 267 p." Recherches sociographiques 50, no. 1 (2009): 208. http://dx.doi.org/10.7202/000673ar.

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Rengdong, Xiang. "First Translation and Retranslation in the Historical, Social and Cultural Context: A case study of two Chinese versions of Tess of the D'Urbervilles." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 58, no. 4 (2012): 457–70. http://dx.doi.org/10.1075/babel.58.4.06xia.

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Abstract:
The case study examined in depth is a comparison analysis of the classical English novel Tess of the D’Urbervilles by Thomas Hardy, which has been translated into Chinese seven times, with seven versions preserving the novel form of the original. The present study will elaborate on the differences between two Chinese versions of Tess of the D’Urbervilles, one is Zhang Guruo’s version translated in 1934, and the other is Sun Zhili’s version translated in 1999, with regard to language style, literature, concept, acceptance of context, as well as the different translation strategies translators adopted in different historical, social and cultural contexts. The study also examines the special role played in the process by the two translations. The present paper thus contributes both to translation studies and to literary theory. The comparison is carried out by answering the following questions: – What are the social cultural impacts on the first translation and the retranslation? – What kind of selection tendencies do the two translators have? – What are the specific translation strategies adopted by the translators in the field of social customs, history and religion, literature and art, Bible and other allusions, literature and historical figures? Why? Résumé L’etude de cas examinee en detail est une analyse comparative du roman anglais classique Tess of the D’Ubervilles de Thomas Hardy, qui a ete traduit sept fois en chinois, avec sept versions preservant la forme originale du roman. Cette etude exposera dans le detail les differences entre deux versions chinoises de Tess of the D’ Ubervilles, l’une etant la version de Zhang Guro traduite en 1934 et l’autre celle de Sun Zhili traduite en 1999, en ce qui concerne le style de la langue, la litterature, le concept, l’acceptation du contexte, ainsi que les differentes strategies de traduction que les traducteurs ont adoptees dans differents contextes historiques, sociaux et culturels. L’etude examine egalement le role special joue dans le processus par les deux traductions. Par consequent, cet article contribue tant a la traductologie qu’ a la theorie litteraire. La comparaison est effectuee en repondant aux questions suivantes : – Quels sont les impacts socio-culturels sur la premiere traduction et la retraduction ? – Quel type de tendances de selection les deux traducteurs ont-ils ? – Quelles sont les strategies de traduction specifiques, adoptees par les traducteurs dans le domaine des coutumes sociales, de l’histoire et de la religion, de la litterature et de l’art, de la bible et d’autres allusions, des personnages litteraires et historiques ? Pourquoi ?
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Kassühlke, Rudolph. "Gedanken zur Übersetzung poetischer Bibeltexte." Meta 32, no. 1 (2002): 76–84. http://dx.doi.org/10.7202/003284ar.

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Abstract:
Résumé Depuis une vingtaine d'années, la science de la traduction s'est certes développée, mais, jusqu'à maintenant, elle n'a traité que de façon marginale les problèmes relatifs à la traduction poétique. Cela tient en partie au fait que l'on manque d'une définition généralement valable (non seulement dans le monde occidental, mais aussi dans les autres parties du monde) de ce qui donne à un texte son caractère poétique. Ainsi, dans le cas de l'Ancien Testament, les études concernant les passages poétiques sont contradictoires (les unes mettant l'accent sur le rythme, mais avec des conceptions qui divergent selon les spécialistes, d'autres le mettant sur le parallélisme). Le traducteur ne peut évidemment pas consulter les auteurs ou les premiers lecteurs de ces textes pour en savoir plus. Il se trouve seul face à ce qui lui apparaît comme un puzzle dont certaines pièces feraient défaut. Il en est réduit à prendre lui-même des décisions de trois ordres, en répondant aux questions suivantes : 1. quelle était la fonction de la forme poétique du texte à traduire ? 2. quel type de traduction va-t-on adopter d'une façon générale ? 3. comment va-t-on rendre adéquatement la fonction du texte source en tenant compte du type de traduction choisi ? Par des exemples empruntés à la récente version allemande Die Gute Nachricht , dont il fut l'un des principaux traducteurs, l'auteur nous montre comment il est possible de résoudre ces questions. Dans une version mettant l'accent sur l'équivalence fonctionnelle, destinée à un usage général et non spécifiquement liturgique, il ne convenait pas de recourir à un mètre régulier, avec des rimes, comme dans la plupart des chants, pour rendre Psaumes et prières bibliques (ce qui leur aurait conféré un caractère figé et artificiel). En allemand, on a opté pour des lignes pouvant être dites d'une seule respiration (8 à 11 syllabes, au maximum 13), avec des accentuations rythmiques bien marquées. À propos du livre de Job, on s'est souvenu du caractère mnémotechnique de la poésie didactique, mais en étant conscient du fait qu 'une forme trop rigide lasserait rapidement le lecteur de trente-huit chapitres de poésie. On a donc choisi des vers blancs, sans rimes, on a recherché des métaphores et expressions idiomatiques équivalentes (mais non identiques) par rapport à celles de l'hébreu, on a usé d'allitérations et d'assonances. Pour les Proverbes, on s'est inspiré de la forme des aphorismes modernes. Dans le Cantique, les formes métriques ont varié selon les circonstances rapportées. Quant aux passages poétiques des prophètes, il ne suffit pas de les disposer en stiques pour conserver ce caractère poétique (illusion partagée par la plupart des versions modernes). Il est préférable, en raison de leur fonction particulière, de les imprimer comme de la prose, mais en donnant un caractère rythmé à cette prose et en préservant ses métaphores, jeux de mots, etc. Certains de ces passages ont la forme de la complainte, mais la fonction de l'accusation, et il ne faudra pas l'oublier dans la traduction. Un bon exemple d'emploi d'assonances, évoquant le bruit de la mer, nous est présenté à propos d'Esaïe 17.12-14. Dans une dernière remarque, l'auteur avertit ses lecteurs que les solutions valables en allemand ne sauraient être copiées servilement dans d'autres langues. Elles visent essentiellement à stimuler la réflexion, afin que chacun puisse trouver ses propres solutions, valables dans sa langue.
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Itzhaki, Masha. "La maqāma – circulation d'un genre : d'al-Harīrī à al-Harizi, de l'arabe à l'hébreu, de l'Est à l'Ouest." Arabica 56, no. 2 (2009): 170–78. http://dx.doi.org/10.1163/157005809x438442.

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Abstract:
AbstractLa poésie hébraïque en Espagne, et la poésie profane en particulier, est le produit conjugué de deux sources culturelles extrêmement fortes : la poésie arabe classique d'une part, et, de l'autre, la langue de la Bible. Dans ce contexte particulier d'une ouverture culturelle sans équivoque, on trouve aussi la maqāma. Yehuda Al-Harizi (né en Espagne vers 1165) a ainsi produit un chef-d'œuvre en traduisant les Maqāmāt d'al-Harīrī, sous le titre hébreu de Mahbarot Ittiel (Les cahiers d'Ittiel). Poète, l'essentiel de son oeuvre littéraire se concentre dans le livre de maqāmāt hébraïques originales, intitulé Tahkemoni. L'article traite des questions liées au passage d'une langue à l'autre, d'une culture à l'autre, selon la conception médiévale de l'art de la traduction mais également à travers l'écriture « originale », directement en hébreu.
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Waldinger, Albert. "A Prophecy for the Jews." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 44, no. 4 (1998): 316–35. http://dx.doi.org/10.1075/babel.44.4.04wal.

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Abstract:
Abstract The above article deals with the Yiddish translation of the book of Isaiah by the Yiddish poet and 'nationally minded' Biblical scholar Yehoash (Solomon Bloomgarden) and the extremely important, even revolutionary rendering of Isaiah into German by Martin Buber (with some help from Franz Rosenzweig). Scrupulous attention has been given to the relation of both translations to their Hebrew original and to the elucidation effected by the act of translation. In addition, both are discussed in the context of their respective languages, both diachronically and synchronically, their times, and the need to maintain and defend Jewish cultural morale by reproducing the biblical past and the ancient Near East. Résumé L'article ci-dessus traite de la traduction en yiddish du livre d'Isaïe par le poète nationaliste yiddish Yehoash (Solomon Bloomgarden), un théologien spécialisé dans l'étude de la Bible, et la traduction d'une importance extrême et même révolutionnaire d'Isaïe en langue allemande par Martin Buber (avec l'aide de Franz Rosenzweig). Une attention scrupuleuse a été portée à la relation entre les deux traductions par rapport à l'original hébreux et aux élucidations découlant de l'acte de traduire. En outre, les deux traductions sont analysées dans le contexte de leur langue respective, tant du point de vue diachroni-que que synchronique, leurs époques, et le besoin de sauvegarder et de défendre le moral culturel juif en reproduisant le passé biblique et l'ancien Proche-Orient.
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Nouss, Alexis. "De la possibilité aléatoire mais promise d’une critique des traductions bibliques." Thème 15, no. 2 (2008): 47–66. http://dx.doi.org/10.7202/017772ar.

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Abstract:
Résumé Le religieux et le sacré sont des notions qui réclament inévitablement leur rattachement à la sphère du transcendant dont la nature rend pour le moins complexe l’élaboration de critères d’évaluation quant aux pratiques inhérentes. Cet article analyse ainsi les obstacles qui se posent devant l’essai d’évaluation critique des traductions bibliques. Outre le niveau textuel et linguistique, toute évaluation doit d’emblée prendre en compte les dimensions théologiques latentes. Il importe de cerner le substrat théologique à l’oeuvre dans les positions traductologiques, en ce qui concerne le domaine biblique, de même que ce substrat agit dans les cultures sécularisées sous la forme d’un impensé ou d’un investissement de substitution. Les grandes lignes d’une étude de ce type sont ici d’abord suggérées en envisageant les difficultés que pose l’examen des Bibles confessionnelles et militantes. Puis est abordée la divergence, dans les trois monothéismes, des attitudes traductionnelles en regard de la textualité révélée : judaïsme et islam se rejoignent dans la reconnaissance de la dimension interprétative, tandis que le christianisme vise à l’efficacité dans la transmission du message. Il est enfin fait état de la question du messianisme et de sa compréhension, qui pèse avec la même pertinence dans les orientations traductologiques. La dernière partie procède à un retour sur la « nouvelle traduction » de la Bible parue chez Bayard/Médiaspaul, avant de conclure sur une défense du concept de « traduction athée » qui articulerait un principe d’altérité dont le texte biblique est le premier véhicule.
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Fabre, Gérard. "Pierre Lassave. Bible: la traduction des alliances. Enquête sur un événement littéraire. Paris, L’Harmattan, « Logiques sociales. Littératures et société », 2005, 267 p." Annales. Histoire, Sciences Sociales 62, no. 4 (2007): 949–52. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900029243.

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Fernández Gallardo, Luis. "Tradición clásica, politica y humanismo en la Castilla del Cuatrocientos. Las Glosas de Alonso de Cartagena a "De Providentia"." Anuario de Estudios Medievales 24, no. 1 (2020): 967. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1994.v24.1007.

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Abstract:
La formation de l'État Moderne modifie les valeurs de l'Ordre de la Chevalerie: l'ethos guerrier incorpore une dimension savante. Clercs et lettrés facilitèrent aux laiques l'accès aux textes antiques leur donnant une direction moralisante. Les traductions sénéquistes de Alonso de Cartagena sont un témoin éloquent de ce phénomène. Son appréciation sur Sénèque révèle la subordination de l'eloquence à la morale. Les gloses dirigent la lecture dans une stricte orthodoxie: on distingue trois types: 1) Celles qui informent sur des personnages historiques et mytholo­giques, ses sources (Platon, Orose, Valerio Máximo, Cicéron, Ovide, Bible et un ouvrage intitulé Romulion) révèlent une vaste culture classique. Ce qui l'interesse n'est pas la precision historique, mais la morale exemplaire. Face à la mythologie, il manifeste une méfiance avertie. 2) Celles qui discutent des aspects doctrinaux: suicide et libre arbi­tre. Pleine profession d'orthodoxie qui ne cache pas certaines tensions. 3) Celles qui font allusion aux problèmes de traduction justifient la version offerte. Parfois, on fait allusion à l'actualité: la glose prend une pleine valeur historique et -étant adressée au roi-, politique.
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Evdokimova, Ludmilla. "Deux traductions du Physiologus." Reinardus / Yearbook of the International Reynard Society 11 (November 15, 1998): 53–66. http://dx.doi.org/10.1075/rein.11.05evd.

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Abstract:
Résumé Je compare le "Bestiaire" de Pierre de Beauvais (version courte) et le "Bestiaire" de Guillaume le Clerc afin de comprendre quelle dépendance existe entre la forme-vers ou la forme-prose du bestiaire et son contenu au début du XIIIe s. A mon avis, ce sont deux textes différents par leur niveau de difficulté. Ils s'opposent par une quantité plus ou moins grande de mots et de noms propres difficiles, de citations de la Bible. En suivant le texte latin, la traduction en prose recrée les allégories complexes et hiérarchisées; le poète n'en conserve que les éléments séparés. Ces bestiaires divergent dans leurs visées: d'une part, spécialement didactique et, peut-être, directement pédagogique, d'autre part, didactique et distrayante en même temps. Ils s'opposent aussi par la manière d'utiliser les descriptions, le vocabulaire abstrait ou concret. Les caractéristiques mentionnées forment des ensembles cohérents dans l'un et l'autre cas. Elles sont liées à la nature même du vers ou de la prose, choisis par des traducteurs, ou bien à la fonction sociale de leurs oeuvres.
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Haelewyck, Jean-Claude. "La Bible d’Alexandrie. 12, Esther, traduction du texte grec de la Septante, introduction et notes par Claudine Cavalier (LXX), Paris, Cerf, 2012, 288 p." Semitica et Classica 6 (January 2013): 320–21. http://dx.doi.org/10.1484/j.sec.1.103751.

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Hilhorst, A. "Marguerite HARL, La Genèse. Traduction du texte grec de la Septante, Introduction et Notes (La Bible d'Alexandrie 1), Paris, Éditions du Cerf 1986, 336 pp., n.pr." Journal for the Study of Judaism 18, no. 2 (1987): 235–37. http://dx.doi.org/10.1163/157006387x00201.

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Leonas, Alexis. "La Bible d’Alexandrie, 11.2: Deuxième Livre d’Esdras, traduction du texte grec de la Septante, introduction et notes de Timothy JANZ, Paris, Les Éditions du Cerf, 2010, 347 p." Semitica et Classica 4 (January 2011): 237–40. http://dx.doi.org/10.1484/j.sec.1.102521.

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Lalleman, Pieter J. "Does the Septuagint Contain Inspired Revelation for Christians?" European Journal of Theology 30, no. 1 (2021): 37–59. http://dx.doi.org/10.5117/ejt2021.1.004.lalle.

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Abstract:
Summary This article introduces the Septuagint as a complex Bible version which deserves more attention from evangelical biblical scholars. The author asks if differences between the Septuagint and the Hebrew text of the canonical books can occasionally be considered as the result of inspiration, and if so, whether the wording of the Septuagint should in certain specific places form the basis for modern translations of the Old Testament. The article pays particular attention to some scholars who have pleaded for the place of the Septuagint in the Church, such as Edward Grinfield, Georg Bertram, Mogens Müller and Benjamin Giffone, as well as to the handling of the Septuagint by the authors of the New Testament and by the Early Church. With Ross Wagner, the article concludes that some elements of the Septuagint represent God’s continuing revelation to his Church. Zusammenfassung Dieser Artikel stellt die Septuaginta als eine vielschichtige Bibelausgabe vor, die mehr Aufmerksamkeit seitens evangelikaler Theologen verdient. Der Autor stellt die Frage, ob Unterschiede zwischen der Septuaginta und dem hebräischen Text der kanonischen Bücher zuweilen als das Ergebnis von Inspiration angesehen werden können. Und wenn ja, ob der Wortlaut der Septuaginta an gewissen Stellen die Grundlage für moderne Übersetzungen des Alten Testaments darstellen sollte. Der Artikel legt besonderes Augenmerk auf Theologen wie Edward Grinfield, Georg Bertram, Mogens Müller und Benjamin Giffone, die für die Bedeutung der Septuaginta für die Kirche plädiert haben, sowie auch auf die Verwendung der Septuaginta durch die Autoren des Neuen Testaments und die alte Kirche. Zusammen mit Ross Wagner zieht der Artikel die Schlussfolgerung, dass einige Elemente der Septuaginta Gottes fortwährende Offenbarung an seine Gemeinde darstellen. Résumé Cet article présente la Septante comme une version complexe de la Bible qui mériterait plus d’attention de la part d’exégètes évangéliques. L’auteur demande si les différences entre la Septante et le texte hébreu des livres canoniques peuvent parfois être considérées comme le fruit de l’inspiration divine; et dans l’affirmative, si la formulation de la Septante ne devrait pas, en certains endroits, servir de base pour les traductions modernes de l’Ancien Testament. L’article porte une attention particulière à certains exégètes qui ont plaidé pour que la Septante ait sa place dans l’Église, comme Edward Grinfield, Georg Bertram, Mogens Müller et Benjamin Giffone, ainsi qu’à la manière dont les auteurs du Nouveau Testament et l’Église primitive traitèrent cette traduction. Avec Ross Wagner, l’article conclut que certains éléments de la Septante illustrent la manière dont Dieu s’est progressivement révélé à son Église.
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Hilhorst, A. "A. LE BOULLUEC-P. SANDEVOIR, L'Exode. Traduction du texte grec de la Septante, Introduction et Notes (La Bible d'Alexandrie 2), Paris, Editions du Cerf 1989, 394 pp., paper. ISBN 2-204-03066-X." Journal for the Study of Judaism 21, no. 1 (1990): 123–26. http://dx.doi.org/10.1163/157006390x00207.

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Smeesters, Aline. "C. Skupien Dekens, Traduire pour le peuple de Dieu : La syntaxe française dans la traduction de la Bible par Sébastien Castellion, Bâle, 1555, Genève, Droz, 2009 (Travaux d’Humanisme et Renaissance, CDLVI), 388 p." Le Moyen Français 65 (January 2009): 92–94. http://dx.doi.org/10.1484/j.lmfr.1.100544.

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Vinck, Honoré. "Le microfilmage des Archives Aequatoria." History in Africa 20 (1993): 423–27. http://dx.doi.org/10.2307/3171990.

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Abstract:
History in Africa a publié une note sur les Archives des Missionnaires du S. Coeur à Bamanya, Zaire. De fait il s'agissait des archives du Centre Aequatoria: “A little known yet important source of historical and ethnographic material.” Depuis lors (1984) beaucoup a changé au Centre Aequatoria. L'auteur de l'article, S. Nelson, a donné un bon résumé et une assez exacte évaluation de nos archives. Mais entretemps, elles se sont encore enrichies et contre son attente, elles ont été microfilmées sur place: “Microfilming may be done with prior permission, but film processing should not be attempted in Zaire.”L'évolution et l'enrichissement des archives Aequatoria se situe dans les matières suivantes et ils proviennent principalement du transfert des documents que le Père Hulstaert conservait dans sa chambre.[1] Documentation linguistique. Originaux et copies dactylographiées et corrigées des enquêtes linguistiques mongo y sont intégrées. Il s'agit de la notation sur base des formulaires de l'IAI-Londres et de formulaires de sa propre composition (120 phrases) d'environ 300 dialectes. Seuls 32 en ont été publiés. A compléter par plus de 1500 pages de vocabulaires comparés dans les mêmes dialectes. 5 études, dont une de 750 pages, de dialectologie mongo comparée, inédites en font partie. Une série de récoltes de morceaux de littérature orale est présentée par environ 1500 pages. J'estime que seule la moitié en a été utilisée pour publication. Les plus anciens documents datent de 1927. Les exemplaires imprimés mais annotés et corrigés par Hulstaert de ses dictionnaires et grammaires ont été intégrés dans nos archives. La préparation de la traduction de la Bible à trois reprises est d'une importance certaine pour l'étude de l'évolution de la langue (1936-45; 1950-1960; 1975; 1987).
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Hilhorst, A. "P. HARLÉ-D. PRALON, Le Lévitique. Traduction du texte grec de la Septante, Introduction et Notes (La Bible d'Alexandrie 3), Paris, Editions du Cerf 1988, 224 pp., paper FF 224. ISBN 2-204-02972-6." Journal for the Study of Judaism 20, no. 1 (1989): 90–91. http://dx.doi.org/10.1163/157006389x00100.

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Hilhorst, A. "G. DOGNIEZ-M. HARL, La Bible d'Alexandrie 5, Le Deutéronome. Traduction du texte grec de la Septante, Introduction et Notes, Les Éditions du Cerf, Paris 1992, 364 pp. paper, n.pr. ISBN 2-204-04562-4." Journal for the Study of Judaism 24, no. 1 (1993): 89–91. http://dx.doi.org/10.1163/157006393x00169.

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