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Journal articles on the topic 'Trafic transnational de drogues'

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Perras, Chantal. "Les drogues et le continent africain dans le contexte de la mondialisation." Drogues, santé et société 15, no. 1 (October 31, 2016): 50–65. http://dx.doi.org/10.7202/1037783ar.

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Abstract:
De prime abord, le continent africain semble avoir peu de liens avec les substances psychoactives illégales. Or, les efforts transnationaux pour lutter contre les divers trafics dans le monde de même que les innovations et échanges de contacts et de procédés expérimentés par différents groupes de trafiquants ont eu un impact sur la place qu’occupent désormais les pays africains, devenus point de transit. Des groupes criminels internationaux ont compris l’avantage du continent comme plaque tournante pour le trafic illégal. La mondialisation permet la circulation plus facile des biens et des personnes. La notion de déplacement de la criminalité dans un lieu moins policé et davantage corrompu est importante. Par ricochet, l’intensification du trafic a fait augmenter la consommation. Une diversification de ces phénomènes s’est également opérée à tel point qu’en Afrique de l’Ouest, les questions de polytoxicomanie et de trafic transnationaux sont devenues préoccupantes pour la communauté internationale. L’échange de cocaïne et d’héroïne en Afrique de l’Ouest et ailleurs a été réalisé par différents groupes prédominants sur la scène internationale. De plus, un déplacement des trafics de l’Afrique de l’Ouest vers l’Afrique de l’Est s’est récemment produit. Nous détaillons l’histoire et la situation de trois régions d’Afrique de façon à mieux comprendre l’ensemble de la problématique récente dans la région. Nous nous penchons sur les cas de l’Afrique du Nord, de l’Afrique orientale et de l’Afrique de l’Ouest.
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Youf, Dominique. "Consommation de drogues et trafic." Les Cahiers Dynamiques 56, no. 3 (2012): 4. http://dx.doi.org/10.3917/lcd.056.0004.

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3

Geffray, Christian. "Introduction : trafic de drogues et État." Revue internationale des sciences sociales 169, no. 3 (2001): 463. http://dx.doi.org/10.3917/riss.169.0463.

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4

Mingardi, Guaracy. "L'argent et le trafic de drogues à São Paulo." Revue internationale des sciences sociales 169, no. 3 (2001): 419. http://dx.doi.org/10.3917/riss.169.0419.

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5

Geffray, Christian. "Brésil : le trafic de drogues dans l'État fédéré du Rondônia." Revue internationale des sciences sociales 169, no. 3 (2001): 485. http://dx.doi.org/10.3917/riss.169.0485.

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6

Araújo, Roberto. "Trafic de drogues, économies illicites et société en Amazonie occidentale." Revue internationale des sciences sociales 169, no. 3 (2001): 493. http://dx.doi.org/10.3917/riss.169.0493.

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7

Schiray, Michel. "Introduction : trafic de drogues, organisations criminelles et politiques publiques de contrôle." Revue internationale des sciences sociales 169, no. 3 (2001): 389. http://dx.doi.org/10.3917/riss.169.0389.

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8

Zhenlai, Deng. "Trafic et consommation de drogues en Chine : deux études de cas." Revue internationale des sciences sociales 169, no. 3 (2001): 457. http://dx.doi.org/10.3917/riss.169.0457.

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9

Roche, Pierre. "Prévenir l'implication des jeunes dans le trafic des drogues - L'intérêt des espaces interqualifiants." Journal du droit des jeunes 325, no. 5 (2013): 9. http://dx.doi.org/10.3917/jdj.325.0009.

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Roche, Pierre. "Espaces interqualifiants et prévention de l'implication des jeunes dans le trafic de drogues." Nouvelle revue de psychosociologie 15, no. 1 (2013): 207. http://dx.doi.org/10.3917/nrp.015.0207.

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Sproule, D. W., and Paul St-Denis. "The UN Drug Trafficking Convention: An Ambitious Step." Canadian Yearbook of international Law/Annuaire canadien de droit international 27 (1990): 263–93. http://dx.doi.org/10.1017/s0069005800003830.

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Abstract:
SommaireLa Convention des Nations unies contre le trafic illicite de stupéfiants et de substances psychotropes a été adoptée le 19 décembre 1988. L’adoption de cette Convention marquait l’aboutissement de plus de deux années de négociation. Les conventions internationales sur les drogues qui sont présentement en vigueur, notamment la Convention unique sur les stupéfiants de 1961 telle que modifiée par le Protocole de 1972 et la Convention de 1971 sur les substances psychotropes, sont reconnues comme étant insuffisantes pour contrôler un trafic illicite de drogue devenu de plus en plus complexe et sophistiqué. La nouvelle Convention contre le trafic illicite comporte plusieurs éléments essentiels à l’exercice d’un contrôle efficace sur le trafic illicite de la drogue à l’échelon international. La Convention comprend trois parties, la première, soit les articles 1 à 19, traite des questions de fond. La deuxième partie, soit les articles 20 à 25, traite de la mise en œuvre de la Convention. La dernière partie, soit les articles 26 à 34, comporte les dispositions finales de la Convention et traite notamment de l’adhésion, de la ratification, de l’entrée en vigueur et du règlement des différends. Les articles les plus importants de cette Convention traitent de l’établissement des infractions en matière de drogue et des sanctions, des questions de compétence, du gel et de la confiscation des produits, de l’extradition, de l’entraide judiciaire et des livraisons surveillées. La Convention contient les éléments nécessaires pour constituer un instrument efficace dans la lutte contre le trafic international de la drogue. L’avenir seul nous dira combien de pays y accéderont et dans quelle mesure divers pays sont disposés à voir ces dispositions s’appliquer chez eux.
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Vargas, Joana Domingues, and Michel Misse. "L'évolution de la consommation et du trafic de drogues illicites à Rio de Janeiro." Déviance et Société 32, no. 3 (2008): 377. http://dx.doi.org/10.3917/ds.323.0377.

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Gandilhon, Michel. "La cocaïne, une marchandise mondialisée." Drogues, santé et société 15, no. 1 (October 31, 2016): 35–49. http://dx.doi.org/10.7202/1037782ar.

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Abstract:
Si le cannabis et les drogues de synthèse sont consommés aujourd’hui sur tous les continents, nulle substance n’incarne mieux la mondialisation de l’usage de drogues, et la mondialisation tout court, que la cocaïne. Elle symbolise en effet, du fait de son statut de drogue de la performance et de l’insertion, un certain esprit du temps marqué par le culte de la compétition. Le développement de sa consommation à l’échelle de la planète à partir des États-Unis est d’ailleurs contemporain de la fantastique accélération des échanges commerciaux provoquée notamment par l’émergence de la Chine et l’intégration de l’ex-Empire soviétique au marché capitaliste mondial. Dès lors, les flux de son trafic épousent les grandes voies commerciales maritimes par l’entremise notamment des porte-conteneurs, tandis que l’usage, autrefois apanage des « élites » occidentales, se démocratise et touche de plus en plus les consommateurs des pays de l’ex-Tiers-Monde. Comme le téléphone portable, la cocaïne est aujourd’hui un des marqueurs de l’entrée dans le monde de la consommation de masse.
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Sturma, Pavel. "Aspects récents du contrôle international des drogues et de la lutte contre leur trafic illicite." Annuaire français de droit international 41, no. 1 (1995): 633–50. http://dx.doi.org/10.3406/afdi.1995.3347.

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Jakob, Fabien. "L’Union européenne et la lutte contre le financement du terrorisme." Études internationales 37, no. 3 (February 20, 2007): 423–37. http://dx.doi.org/10.7202/014240ar.

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Abstract:
Résumé Lutter contre le financement du terrorisme, qu’il provienne d’activités « légales » (commerciales, industrielles, ou caritatives), ou « illégales » (racket, trafic de drogues, proxénétisme, hold-up, etc.), constitue un objectif prioritaire pour les services engagés dans la lutte opérationnelle contre le terrorisme. C’est en effet en fonction de leurs sources de financement que les groupes terroristes tirent leur capacité de projection, la possibilité de se fournir en armement puissant, et leur possibilité de se faire connaître, de recruter, et d’entraîner leurs membres. Lutter contre le terrorisme constitue un moyen irremplaçable pour remonter les réseaux depuis les cellules d’exécution jusqu’à d’éventuels donneurs d’ordre. Dans la lutte contre le financement du terrorisme, l’Union européenne s’est dotée de moyens réglementaires et judiciaires que cette étude propose de présenter.
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Mireault, Caroline, Vincent Ouellette, David Décary-Hétu, Frank Crispino, and Julian Broséus. "Potentiel criminalistique de l'étude du trafic de drogues au Canada à partir des données collectées sur les cryptomarchés." Canadian Society of Forensic Science Journal 49, no. 4 (July 8, 2016): 161–75. http://dx.doi.org/10.1080/00085030.2016.1189229.

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RODRIGUES, THIAGO, and BEATRIZ CAIUBY LABATE. "PROHIBICIÓN Y LA ”GUERRA A LAS DROGAS” EN LAS AMÉRICAS." Outros Tempos: Pesquisa em Foco - História 14, no. 24 (December 21, 2017): 84–109. http://dx.doi.org/10.18817/ot.v14i24.602.

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Abstract:
Resumen: Desde el comienzo del siglo XX hasta los dá­as actuales, la prohibición de un conjunto de drogas psicoactivas ha propiciado el surgimiento de la más potente economá­a ilá­cita del mundo, con graves consecuencias polá­ticas y sociales en América Latina. El texto busca presentar un breve análisis del prohibicionismo en las Américas, para que se pueda comprender el proceso histórico-polá­tico de construcción del tema de las ”drogas” como una cuestión de salud pública, de seguridad pública y también ”“ desde 1970, tras la declaración de ”guerra a las drogas” por los Estados Unidos ”“ como un problema de seguridad nacional y regional que moviliza ejércitos, policá­as y proyectos económicos y sociales de gran impacto en el continente.Palabras clave: América Latina. Polá­tica de Drogas. Salud. Seguridad. Tráfico de Drogas.PROIBIÇÃO E A ”GUERRA á€S DROGAS” NAS AMÉRICAS Resumo: Desde o iná­cio do século XX até os dias de hoje, a proibição de um conjunto de drogas psicoativas tem propiciado o surgimento da mais potente economia ilá­cita do mundo, com graves consequências polá­ticas e sociais na América Latina. O artigo busca apresentar uma breve análise do proibicionismo nas Américas, para que se possa compreender o processo histórico-polá­tico de construção do tema das ”drogas” como uma questão de saúde pública, de segurança pública e também ”“ desde os anos 1970, após a declaração da ”guerra á s drogas” pelos Estados Unidos ”“ como um problema de segurança nacional e regional que mobiliza exércitos, polá­cias e projetos econômicos e sociais de grande impacto no continente.Palavras-chave: América Latina. Polá­tica de drogas. Saúde. Segurança. Tráfico de drogas.PROHIBITION AND THE "DRUG WAR” IN THE AMERICAS Abstract: Since the early twentieth century to the present day, the prohibition of a collection of psychoactive drugs has allowed the emergence of a powerful illicit economy in the world, occasioning serious political and social consequences in Latin America. This article seeks to present a brief analysis of prohibitionism in the Americas, in order to understand the historical-political process of creating the topic of "drugs" as a matter of public health, public security and also - since the 1970s, after declaration of the "war on drugs" by the United States - as a national and regional security issue that mobilizes armies, police and economic and social projects of great impact on the continent.Keywords: Latin America. Drug Policy. Health. Safety. Drug Trafficking. PROHIBITION ET LA ”GUERRE AUX DROGUES” DANS LES AMÉRIQUESRésumé: Du début du XXá¨me siá¨cle jusqu”™á aujourd”™hui, la prohibition d”™un ensemble de drogues psychoactives a favorisé l”™émergence de la plus puissante économie illicite du monde et a produit de graves conséquences politiques et sociales en Amérique Latine. L”™article vise á proposer une brá¨ve analyse du prohibitionnisme dans les Amériques, afin de restituer le processus historico-politique qui a conduit á la constitution de la thématique des « drogues » comme une question de santé publique, de sécurité publique et aussi ”“ depuis les années 1970, suite á la déclaration de la « guerre aux drogues » par les Etats-Unis ”“ comme un problá¨me de sécurité nationale et régionale, qui mobilise armées, polices et projets économiques et sociaux de grande importance dans le continent. Mots clefs: Amérique Latine. Politique des Drogues. Santé. Sécurité. Trafic de Drogues.
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Sandoval Palacios, Juan Manuel. "The emergence of a Global Space for the expansion of transnational capital at the US-Mexico Border States since the 1980s and 1990s, and its links with the US Military-Industry Complex." Regions and Cohesion 7, no. 1 (March 1, 2017): 87–121. http://dx.doi.org/10.3167/reco.2017.070107.

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Abstract:
[full article is in English]EnglishAt the beginning of the 1980s a new Global Space for the expansion of transnational capital emerged in the US–Mexico Border States. The militarization and securitization of that border were justified by government policies aimed at stopping irregular immigration, drug traffic, and terrorism. In 1991 the US Congress approved the creation of a new Defense Industrial and Technology Base (DITB), which would benefit the Gun Belt linked to the Military-Industrial Complex; and in 1992 the Department of Defense (DoD) proposed to establish a Defense Reserve Industrial Base Program (DRIB), the location for which would be within the existing production-sharing centers along the US–Mexico Border. Both, the DITB and the DRIB, would take advantage of the North American Free Trade Agreement (NAFTA), and transnational arms corporations established or expanded their facilities in the Global Space that has been created along the Mexico–US Border. This article examines this process. SpanishA principios de los años ochenta surgió un nuevo Espacio Global para la expansión del capital transnacional en los estados fronterizos de Estados Unidos y México. La militarización y la securitización de esta frontera ha sido justifi cada por estrategias para detener la inmigración irregular, el narcotráfi co y el terrorismo. En 1991 el Congreso de los Estados Unidos aprobó la creación de una nueva Base de Tecnología y Defensa Industrial (DITB) que benefi ciaría al llamado Cinturón de Armas ligado al Complejo Militar-Industrial; y en 1992 el Departamento de Defensa (DoD) propuso la creación del Programa de Base Industrial de la Reserva de Defensa (DRIB), cuya ubicación estaría dentro de los centros de producción compartida a lo largo de la frontera México–Estados Unidos. Tanto el DITB como el DRIB aprovecharían el Tratado de Libre Comercio de América del Norte (TLCAN), y las corporaciones transnacionales de armamentos establecerían o expanderían sus instalaciones en el Espacio Global creado a lo largo de la frontera México-Estados Unidos. Este artículo examina este proceso.FrenchAu début des annéesquatre-vingt, un nouvel Espace Global pour l’expansion du capital transnational surgit à la frontière entre les États-Unis et le Mexique. Depuis, la militarisation et la sécuritisation de cett e frontière a été justifi ée par des stratégies pour contenir la migration clandestine, le traffi c de drogue et le terrorisme. Cependant, ces processus protègent et supportent également cet espace global, qui est lié au “ceinturon armé” qui a surgit durant l’administration Reagan. Depuis cett e époque, des propositions ont été présentées au Congrès des États- Unis pour établir une nouvelle Base de Technologie et de Défense Industrielle (DITB selon ses sigles en anglais), qui serait bénéfi que pour la ceinturon armé ainsi qu’un Programme de Base Industrielle de la Réserve de Défense (DRIB en anglais) dont la localisation a été proposée tout au long de la frontière entre le Mexique et les États-Unis. Cet article étudie comment le DITB et le DRIB ont évolué dans le contexte de l’Accord de Libre Échange Nord-Américain (ALÉNA) et ont permis à des corporations transnationales d’armes d’établir ou de renforcer des installations dans l’Espace Global qui a été créé tout au long de la frontière entre le Mexique et les États-Unis. Cett e article examine ce processus.
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Cárdenas Muñoz, Karen Juliana, and Bayron Leonardo Escárrega Riveros. "Narrativas de vida de extrabajadores de José Gonzalo Rodríguez Gacha, “El Mexicano”." Clivajes. Revista de Ciencias Sociales, no. 13 (September 21, 2020): 181. http://dx.doi.org/10.25009/clivajes-rcs.v0i13.2656.

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Abstract:
En el presente artículo, se analizan las dinámicas laborales asociadas al poder estructurado por José Gonzalo Rodríguez Gacha “El Mexicano”, en el contexto del narcotráfico en Colombia, a partir de una metodología biográfico-narrativa dirigida a ocho extrabajadores de dicho narcotraficante, que refieren su vinculación con ese entorno como una oportunidad laboral que transformó su vida en diversos ámbitos, principalmente el social y el cultural. El texto está organizado en tres momentos que responden a un orden secuencial, de acuerdo con las narraciones de los extrabajadores, quienes dan cuenta de cómo en el imaginario colectivo de una parte de la población colombiana, como sucede en otros países latinoamericanos, el narcotraficante es visto como "un amigo de la comunidad, que sólo busca su bienestar", razón por la cual en un número significativo de casos justifican su actuar y proceder.Palabras clave: Narcotráfico, Narrativa, Sociedad, CulturaNarratives of life of former workers of José Gonzalo Rodríguez Gacha, "El Mexicano"AbstractIn this article, the labor dynamics associated with the power structured by José Gonzalo Rodríguez Gacha "El Mexicano" are analyzed, in the context of drug trafficking in Colombia, from a biographical-narrative methodology addressed to eight former workers of said drug trafficker, who refer to their connection with that environment as a labor opportunity that transformed their lives in diverse environments, mainly the social and cultural ones. The text is organized in three moments that respond to a sequential order, according to the narratives of the ex-workers, who give an account of how in the collective imagination of a part of the Colombian population, as happens in other Latin American countries, the drug trafficker is seen as "a friend of the community, who only seeks its welfare", which is why in a significant number of cases they justify their actions and behavior.Keywords: Drug trafficking, Narrative, Society, Culture Récit de vie d’anciens travailleurs de José Gonzalo Rodríguez Gacha, “El Mexicano”RésuméDans cet article, on analyse les dynamiques de travail associées au pouvoir structuré par José Gonzalo Rodríguez Gacha, “El Mexicano”, dans le contexte du trafic de drogues en Colombie, à partir d’une méthodologie biographique-narrative dirigée à huit anciens travailleurs de ce trafiquant de drogue, ils réfèrent leur lien avec cet entourage comme une opportunité de travail qui a transformé leurs vies en plusieurs domaines, principalement le social et le culturel. Le texte est organisé en trois moments qui répondent à un ordre séquentiel selon les récits des anciens travailleurs qui témoignent comment dans l’imaginaire collectif d’une partie de la population colombienne, comme dans beaucoup de pays latino-américains, le trafiquant de drogue est considéré comme « un ami de la communauté qui cherche uniquement leur bien-être » , raison pour laquelle dans un grand nombre de cas les personnes justifient son comportement et sa façon d’agir.Mots clé : Trafic de drogue, Récit, Société, Culture
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Ailane, Sofiane. "Hip-hop." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.014.

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Abstract:
Le hip-hop englobe quatre expressions artistiques qui sont constitutives de la culture hip-hop : le dj’ing, le rap, le breakdance et le graffiti. Le rap est une forme de « parler-chanter » exécuté sur des rythmes de bases produits par le Disc Jockey (DJ). Le breakdance est l’expression corporelle du hip-hop, c’est une danse à dimension athlétique, dont l’esthétique se base sur la rupture du flux dans des mouvements amples et fluides. Le graffiti correspond à l’art graphique du hip-hop, ces peintures se donnent à voir généralement sur le mobilier urbain au travers de fresques colorées, mais bien souvent le graffiti reprend sous une forme quasi hiéroglyphique le pseudonyme de l’auteur. Il se distingue du tag par l’usage des techniques de spray, la superposition des couleurs ainsi que par des effets d’ombrage (Bazin 1998). Étymologiquement, « hip-hop », serait la composante de deux termes en anglais hip, qui est issu de l'argot de la rue, le jive talk, qui signifie « être dans le vent, être branché » et to hop qui se traduit littéralement par le verbe danser. Il existe aussi la possibilité que le terme hip-hop soit repris des onomatopées dans la langue anglaise et qui sont présentes dans le langage rap, ainsi on retrouve « hip » qui consiste à encourager et « hop » qui est l'onomatopée qui désigne l'action de sauter. Ces termes étaient utilisés et scandés par les DJ’s habitués à prendre le microphone afin d’encourager les danseurs et haranguer la foule lors des block parties (Toop 1984). D’un point de vue historique et compte tenu de l’hétérogénéité des éléments constitutifs de la culture hip-hop, il est complexe d’indiquer avec précision le moment fondateur de cette expression culturelle même si les années 1970 font consensus dans la communauté des chercheurs. Cependant, d’un point de vue géographique, le ghetto du Bronx apparaît comme le lieu de naissance de la culture hip-hop, d’ailleurs la Smithsonian Institution et le National Museum of American History ont reconnu le « 1520 Sedgwick Avenue » dans le Bronx comme « lieu d’invention » de la culture hip-hop. En effet, les différents éléments de la culture hip-hop se donnaient à voir de façon simultanée dans les block parties du Bronx. Ces fêtes improvisées prenaient place dans les écoles, les centres communautaires, les maisons abandonnées ou bien encore dans les jardins publics. Elles constituaient le moment de loisir privilégié d’une jeunesse délaissée voulant s’épanouir dans un New York en pleine mutation et qui n’offrait alors que peu d’opportunité, de joie et de plaisir (Chang 2005). Pour la jeunesse afro-américaine et caribéenne, habitant le ghetto et victimes collatérales des coupes budgétaires et de la rénovation urbaine, le hip-hop et notamment ces block parties constituaient un moyen d’exprimer une autre façon de vivre le ghetto par la création d’un exutoire salvateur qui leur permist d’appréhender de façon plus ludique les problèmes quotidiens auxquels ils étaient confrontés. Véritable remix urbain des cultures vernaculaires afro-américaines et caribéennes, le hip-hop se nourrit autant de son hybridité que des objets que pouvait lui fournir l’environnement urbain en matières de décors et de lieux d'inspiration, mais également en matières de technologie (spray, sonorisation, hifi) (Gilroy 2003 ; Rose 1994). De plus, l’influence au niveau musical, plastique et rhétorique ne se limite pas à l’Amérique du Nord et la Caraïbe, les civilisations asiatiques, par exemple font également figure de ressources dans lesquels puisent les hip-hoppers. Aujourd’hui en tant qu’objet culturel transnational, on constate la capacité du hip-hop à s’adapter au contexte culturel et social dans chaque partie du globe où il s’exprime (Mitchell 2001). Ces transformations et ces aspects hybrides reflètent l’ « état d’esprit » du hip-hop qui se veut être un espace expérimental non exclusif où les problèmes contemporains et les forces ancestrales fonctionnent ensemble, simultanément, devenant dès lors une figure du métissage (Laplantine et Nous 2001) Néanmoins, malgré l’extraordinaire pluralité des acteurs et des expressions que mobilise la culture hip-hop, il est intéressant d’observer que les hip-hoppers représentent bien souvent des secteurs marginalisés dans leur propre société et qu’ils sont au centre de revendications sociales et égalitaires (Osumare 2007). Bien souvent, le hip-hop constitue la bande sonore d’activistes et il accompagne et/ou porte des pédagogies alternatives en direction des jeunesses de rue (Ailane 2011). Il n’existe pas a priori un cadre d’analyse spécifique de la culture hip-hop en sciences humaines et sociales. Il est un objet d’étude complexe et plurivoque, sans cesse en train de se reformuler, il intègre de nouvelles modalités autant au niveau musical, corporel que dansé. Les causes de cette dynamique seraient à comprendre par sa distribution géographique qui le diversifie d’autant plus. Mais encore, en y regardant de plus près, le hip-hop occupe une place relative dans la vie de ses adeptes, certains le considèrent comme un simple loisir (écouter de la musique par exemple) voire l’identifient à un sport (pour certains pratiquants de breakdance), ou bien l’embrassent tel un mode de vie (les activistes du mouvement hip-hop). Selon les acteurs, le lieu d’expression et le contexte, le hip-hop se donne donc à voir de manière non-monolithique ; il présente inévitablement des variations qui rendent difficile son étude de façon trop généraliste. Il est, compte-tenu de cette hétérogénéité dans la pratique, difficile de se saisir du hip-hop, a fortiori, lorsqu’il s’agit de le mobiliser dans une recherche en sciences sociales. L’approche ethnographique et l’immersion dans l’univers micro-cosmique des hip-hoppers est ainsi souvent privilégiée (Condry 2006 ; Forman 2002 ; Pardue 2008 ; Perullo 2011). Toutefois, l’anthropologie et la sociologie urbaine sont souvent mobilisées pour aborder le hip-hop car en tant que culture urbaine, il permet d’accéder à une lecture de l’univers urbain par le récit que font les hip-hoppers de leur quotidien et l’usage qu’ils font des espaces publics. Le hip-hop peut être considéré comme une ressource fertile pour les chercheurs s’intéressant aux « marges urbaines ». Cette approche n’est pas dénuée de biais car bien souvent, le logiciel utilisé pour analyser les pratiques hip-hop est associé aux problématiques liées aux « pathologies urbaines », violence, trafic, délinquance, exclusion/inclusion, stigmatisation, marginalisation, mettant dès lors de côté, ou du moins minimisant, l’innovation culturelle et sociale dont font preuve les groupes juvéniles. Par ailleurs, les théoriciens des « cultures juvéniles » ont trouvé dans le hip-hop un terrain fertile pour mettre en mouvement leurs pensées. Dans la lignée des cultural studies, les chercheurs ont privilégié les approches qui analysent les rapports entre le hip-hop, considéré sous sa dimension de « subculture résistante » et la culture dite dominante. Cette perspective se concentre notamment autour de problématiques liées à l’authenticité. Bennet (1999) les oppose selon deux points de vue. Le premier consiste à penser l’authenticité dans le hip-hop à travers la préservation de ses origines en tant que culture de rue afro-américaine. Le second point de vue se développe sur une autre conception du hip-hop, considéré comme la construction d’un « lien » qui permettrait le « dialogue » entre les populations afro-diasporiques liées par l’expérience de l’esclavage. Ces deux tendances bien qu’opposées, ont toutefois le large défaut de considérer le hip-hop comme une expression essentiellement afro-centrée et elles évacuent un pan important de hip-hoppers qui ne sont pas noirs et/ou qui ne se revendiquent pas d’une communauté afro-diasporique. L’enjeu des recherches actuelles sur le hip-hop serait donc d’interroger également la dynamique culturelle provoquée par la relocalisation de ces musiques noires dans un contexte global, marqué par le capitalisme occidental et la circulation rapide d’images culturelles dans des lieux dans lesquels elles ont trouvé un nouvel écho
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