Academic literature on the topic 'Transfert de technologie – Cameroun – Études de cas'

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Journal articles on the topic "Transfert de technologie – Cameroun – Études de cas"

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Ba, Amadou, and David Alis. "Insatisfaction des salariés et des clients en réaction à l’automatisation des caisses d’un hypermarché : de la prise de parole à la défection et à la négligence." Articles 71, no. 2 (June 9, 2016): 323–49. http://dx.doi.org/10.7202/1036612ar.

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Abstract:
La grande distribution fait l’objet d’innovations technologiques fortes. Le développement des caisses libre-service (CLS) vise à réduire les dépenses de personnel et faciliter la gestion des effectifs en caisse, tout en répondant aux attentes de nombreux consommateurs autonomes et pressés. Nous analysons les réactions des clients et des salariés à l’automatisation des caisses dans un hypermarché à l’aide du modèle « Défection, Prise de parole, Loyauté, Négligence » connu sous l’acronyme anglo-saxon EVLN (Exit, Voice, Loyalty, Neglect) initié par les travaux fondateurs de Hirschmann, en utilisant également le modèle d’acceptation de la technologie développé par Venkatesh et Davis. Nous nous appuyons sur une étude de cas unique portant sur l’un des hypermarchés français les plus avancés en matière d’automatisation des caisses. La méthodologie qualitative repose sur une observation participante d’une durée de trois ans, sur 29 entretiens semi-directifs avec les salariés et sur une analyse du contenu de 184 réclamations émises par la clientèle. La recherche permet de mettre en évidence les manifestations concrètes de la prise de parole, de la défection et de la négligence. Les réticences vis-à-vis de l’automatisation exprimées à la fois par la clientèle et le personnel sont ainsi expliquées à l’aide du modèle d’acceptation de la technologie. L’intérêt de comparer les perceptions de salariés et de clients est mis en évidence. Les sources d’insatisfaction vis-à-vis de l’automatisation ne sont pas identiques, ce qui nécessite des analyses croisées des convergences et divergences de perceptions. L’analyse des mécanismes de co-production du service et du transfert de rôle de l’organisation vers les clients dans la distribution apparait ainsi riche, avec de nouvelles formes d’intensification du travail des caissiers. Dans ce contexte de changement technologique, l’importance des mécanismes d’écoute des salariés et des clients est soulignée. La recherche contribue ainsi au renouveau des études sur l’importance de la prise de parole en relations industrielles dans une économie de plus en plus tertiaire, caractérisée par une forte évolution technologique.
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De Briey, Valérie. "Numéro 28 - mars 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15993.

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Abstract:
Les Nations Unies ont proclamé l’année 2005 "Année Internationale du Microcrédit". A cette occasion, la Plate-forme belge de la microfinance et la Coopération belge au développement (DGCD) organisent les 3 et 4 mars un séminaire de réflexion sur la microfinance. Dans le dernier numéro de Regards économiques, Valérie de Briey, qui est responsable de recherches au Cerisis, membre de la plate-forme belge de microfinance et du GRAP-OSC (CUD-DGCD), dresse un large panorama du rôle et des missions de la microfinance dans les pays en développement. Elle présente également les questions importantes qui seront débattues lors du séminaire des 3 et 4 mars. Ce communiqué résume les principaux points de son étude. De tous temps, de nombreuses activités de taille très réduite (qualifiées habituellement de micro-entreprises) se sont développées dans les pays du Sud, bien souvent partiellement ou totalement en marge des règles législatives et administratives, pour permettre aux populations pauvres de subsister. Celles-ci regroupent des activités aussi diverses que marchands ambulants, petits artisans, kiosques à journaux, taxis, vendeurs de rue, bazars, etc. Parmi les multiples contraintes auxquelles sont confrontées les micro-entreprises, la difficulté d’accès à des sources de financement extérieures représente encore aujourd’hui une entrave principale à leur bon développement. Elles ont en effet besoin d'un capital suffisant pour financer leurs équipements, leurs achats de fournitures, de matières premières, etc. Or, ce capital leur a longtemps fait défaut car les petites sommes demandées par ces micro-entrepreneurs, l’absence de garantir à offrir et bien souvent la nature risquée du projet rebutaient les banques commerciales traditionnelles. C’est pourquoi différents intermédiaires financiers spécialisés dans l’attention à ce type de clientèle ont vu le jour. Ces intermédiaires sont souvent qualifiés d’ «institutions de microfinance» (IMF). Leur rôle consiste à offrir des services financiers de base (épargne, crédit, assurance, transfert de fonds, etc.), aux montants réduits, à des populations pauvres afin de leur donner la possibilité d’investir et de se prémunir en cas de coups durs (conditions climatiques défavorables à la production, dépenses imprévues liées à une maladie ou à la perte de biens, etc.). Par ailleurs, la microfinance favorise également des retombées positives sur la famille en général : amélioration des conditions de vie, valorisation de l’auto-estime, financement de la scolarisation, des soins de santé, etc.). Il a cependant fallu attendre les années quatre-vingt pour que ce secteur soit véritablement reconnu comme générateur de revenus et créateur d’emplois. Depuis lors, il fait l’objet d’une attention toute particulière de la part tant des praticiens du développement, des politiciens que des chercheurs universitaires. Aujourd’hui, la micro-finance fait partie intégrante des politiques de développement des pays pauvres. En 1998 déjà, l’Assemblée Générale des Nations Unies avait proclamé l’année 2005 l’Année Internationale du micro-crédit pour marquer l’importance de cet instrument pour éradiquer la pauvreté. Son objectif à l’époque était de réduire de moitié les populations pauvres qui vivent sous le seuil de pauvreté d’ici 2015 (Objectifs de Développement pour le Millénaire). Depuis les expériences pionnières jusqu’à sa forte médiatisation de nos jours, le champ de la microfinance a fortement évolué. Il existe une pluralité d’institutions de microfinance faisant appel à des statuts juridiques différents (fondations, coopératives d’épargne et de crédit, institutions publiques, sociétés anonymes, etc.) dont les modes de fonctionnement et les objectifs diffèrent fortement. Les IMF sont aujourd’hui largement tributaires d’un discours néo-libéral prônant l’absolutisation du marché et l’adoption d’une démarche commerciale. Pour des institutions telles que Banque Mondiale ou les Nations Unies, il faut en effet parvenir à la construction de «marchés financiers intégrants» afin de mettre en place des systèmes de microfinance pérennes et qui touchent un grand nombre de populations pauvres. Elles préconisent dès lors l’institutionnalisation des programmes de microfinance, autrement dit, la mise en place d’institutions de microfinance rentables, répondant aux lois des marchés financiers concurrentiels et faisant appel à un mode de gouvernance efficace. Pour ces organismes en effet, les institutions à vocation sociale (de type ONG) sont la plupart du temps fragiles, tributaires des subsides en provenance des bailleurs de fonds et disposent d’une capacité limitée à faire face à la demande massive de microcrédits. D’autres personnes au contraire, principalement des acteurs de terrain soucieux de rester au service des plus démunis, s’interrogent sur les dérives potentielles de l’adoption d’une telle démarche et craignent que la poursuite de but de lucre conduise à l’écartement d’une clientèle plus défavorisée afin de satisfaire les critères de rentabilité propres aux marchés financiers. Elles réclament notamment le maintien de subsides. Cette opposition entre ces deux visions de la microfinance constitue ce que Morduch (1998) a qualifié de "microfinance schism". Ce schisme est également marqué par les méthodes d’évaluation auxquelles recourent les partisans de chacune des deux approches (études d’impact, instruments de rating, etc.). Plus qu’antagonistes, ces deux visions de la microfinance sont, selon Valérie de Briey, complémentaires. La pertinence de l’une ou l’autre doit s’évaluer au regard des acteurs en présence, de la cible poursuivie, de la densité de population, de la technologie disponible, du contexte économique, institutionnel, etc. La pérennité d’une IMF ne pourra en effet être atteinte que dans la mesure où l’institution peut opérer à grande échelle et avoir un volume d’activité tel que le point d’équilibre puisse être atteint. Il est donc par exemple nécessaire que la densité de la population soit suffisamment importante pour toucher un grand nombre d’emprunteurs. Par ailleurs, l’IMF doit également disposer d’une technologie appropriée pour évaluer rapidement les demandes de crédit et maintenir à jour l’information commerciale et financière. Sans ces conditions, la productivité des membres internes à l’IMF ne pourra pas être suffisante et la croissance du portefeuille assurée. Par ailleurs, dans le choix de l’approche dans laquelle doit s’inscrire l’IMF, il importe également selon Valérie de Briey de se pencher sur le degré de précarité de la cible visée. Certaines institutions, soucieuses de veiller à la rentabilité de leurs opérations de prêts, excluent en effet de leurs clients, certains secteurs d’activité jugés comme trop risqués (citons en autres les conducteurs de taxi) et mettent des conditions d’accès telles que de nombreux micro-entrepreneurs se trouvent hors des conditions d’accès (comme par exemple l’ancienneté minimale exigée ou le degré de formalisation de la micro-entreprise). Il y a donc place dans certaines zones géographiques pour la coexistence d’IMF différenciées (par exemple des sociétés anonymes adoptant une logique de rentabilité et des ONG adoptant une logique de développement de populations pauvres). Il est donc nécessaire, conclut l’auteur, que les limites du discours dominant orienté sur une approche de marchés soient reconnues et que les bailleurs de fonds adoptent une attitude différenciée selon les intermédiaires financiers considérés, et le contexte économique, social et institutionnel du pays dans lequel ces intermédiaires opèrent. Il faudrait en outre que les bailleurs de fonds adoptent des critères d’évaluation des IMF en cohérence avec la mission poursuivie par l’institution d’appui et ses valeurs fondatrices. Plus qu’antagonistes, les différentes méthodes d’évaluation proposées dans le champ de la microfinance sont, de l’avis de Valérie de Briey, elles aussi complémentaires. Leur utilité dépend tout à la fois de la mission de l’IMF (à vocation sociale ou financière), de la ou des personnes qui évaluent (bailleurs de fonds, membres internes, etc.), de la perspective adoptée (du point de vue des clients, des bailleurs de fonds, de l’institution, etc.) et des moyens dont disposent les évaluateurs. L’important est que les personnes en présence s’accordent sur l’objet de l’évaluation. L’auteur anticipe ainsi sur certaines questions qui seront débattues lors d’un séminaire de réflexion organisé par la plate-forme belge de Microfinance et la DGCD les 3 et 4 mars au Palais d’Egmont à Bruxelles à l’occasion de l’année 2005 proclamée «Année Internationale du Microcrédit» par les Nations Unies.
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De Briey, Valérie. "Numéro 28 - mars 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2005.03.01.

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Abstract:
Les Nations Unies ont proclamé l’année 2005 "Année Internationale du Microcrédit". A cette occasion, la Plate-forme belge de la microfinance et la Coopération belge au développement (DGCD) organisent les 3 et 4 mars un séminaire de réflexion sur la microfinance. Dans le dernier numéro de Regards économiques, Valérie de Briey, qui est responsable de recherches au Cerisis, membre de la plate-forme belge de microfinance et du GRAP-OSC (CUD-DGCD), dresse un large panorama du rôle et des missions de la microfinance dans les pays en développement. Elle présente également les questions importantes qui seront débattues lors du séminaire des 3 et 4 mars. Ce communiqué résume les principaux points de son étude. De tous temps, de nombreuses activités de taille très réduite (qualifiées habituellement de micro-entreprises) se sont développées dans les pays du Sud, bien souvent partiellement ou totalement en marge des règles législatives et administratives, pour permettre aux populations pauvres de subsister. Celles-ci regroupent des activités aussi diverses que marchands ambulants, petits artisans, kiosques à journaux, taxis, vendeurs de rue, bazars, etc. Parmi les multiples contraintes auxquelles sont confrontées les micro-entreprises, la difficulté d’accès à des sources de financement extérieures représente encore aujourd’hui une entrave principale à leur bon développement. Elles ont en effet besoin d'un capital suffisant pour financer leurs équipements, leurs achats de fournitures, de matières premières, etc. Or, ce capital leur a longtemps fait défaut car les petites sommes demandées par ces micro-entrepreneurs, l’absence de garantir à offrir et bien souvent la nature risquée du projet rebutaient les banques commerciales traditionnelles. C’est pourquoi différents intermédiaires financiers spécialisés dans l’attention à ce type de clientèle ont vu le jour. Ces intermédiaires sont souvent qualifiés d’ «institutions de microfinance» (IMF). Leur rôle consiste à offrir des services financiers de base (épargne, crédit, assurance, transfert de fonds, etc.), aux montants réduits, à des populations pauvres afin de leur donner la possibilité d’investir et de se prémunir en cas de coups durs (conditions climatiques défavorables à la production, dépenses imprévues liées à une maladie ou à la perte de biens, etc.). Par ailleurs, la microfinance favorise également des retombées positives sur la famille en général : amélioration des conditions de vie, valorisation de l’auto-estime, financement de la scolarisation, des soins de santé, etc.). Il a cependant fallu attendre les années quatre-vingt pour que ce secteur soit véritablement reconnu comme générateur de revenus et créateur d’emplois. Depuis lors, il fait l’objet d’une attention toute particulière de la part tant des praticiens du développement, des politiciens que des chercheurs universitaires. Aujourd’hui, la micro-finance fait partie intégrante des politiques de développement des pays pauvres. En 1998 déjà, l’Assemblée Générale des Nations Unies avait proclamé l’année 2005 l’Année Internationale du micro-crédit pour marquer l’importance de cet instrument pour éradiquer la pauvreté. Son objectif à l’époque était de réduire de moitié les populations pauvres qui vivent sous le seuil de pauvreté d’ici 2015 (Objectifs de Développement pour le Millénaire). Depuis les expériences pionnières jusqu’à sa forte médiatisation de nos jours, le champ de la microfinance a fortement évolué. Il existe une pluralité d’institutions de microfinance faisant appel à des statuts juridiques différents (fondations, coopératives d’épargne et de crédit, institutions publiques, sociétés anonymes, etc.) dont les modes de fonctionnement et les objectifs diffèrent fortement. Les IMF sont aujourd’hui largement tributaires d’un discours néo-libéral prônant l’absolutisation du marché et l’adoption d’une démarche commerciale. Pour des institutions telles que Banque Mondiale ou les Nations Unies, il faut en effet parvenir à la construction de «marchés financiers intégrants» afin de mettre en place des systèmes de microfinance pérennes et qui touchent un grand nombre de populations pauvres. Elles préconisent dès lors l’institutionnalisation des programmes de microfinance, autrement dit, la mise en place d’institutions de microfinance rentables, répondant aux lois des marchés financiers concurrentiels et faisant appel à un mode de gouvernance efficace. Pour ces organismes en effet, les institutions à vocation sociale (de type ONG) sont la plupart du temps fragiles, tributaires des subsides en provenance des bailleurs de fonds et disposent d’une capacité limitée à faire face à la demande massive de microcrédits. D’autres personnes au contraire, principalement des acteurs de terrain soucieux de rester au service des plus démunis, s’interrogent sur les dérives potentielles de l’adoption d’une telle démarche et craignent que la poursuite de but de lucre conduise à l’écartement d’une clientèle plus défavorisée afin de satisfaire les critères de rentabilité propres aux marchés financiers. Elles réclament notamment le maintien de subsides. Cette opposition entre ces deux visions de la microfinance constitue ce que Morduch (1998) a qualifié de "microfinance schism". Ce schisme est également marqué par les méthodes d’évaluation auxquelles recourent les partisans de chacune des deux approches (études d’impact, instruments de rating, etc.). Plus qu’antagonistes, ces deux visions de la microfinance sont, selon Valérie de Briey, complémentaires. La pertinence de l’une ou l’autre doit s’évaluer au regard des acteurs en présence, de la cible poursuivie, de la densité de population, de la technologie disponible, du contexte économique, institutionnel, etc. La pérennité d’une IMF ne pourra en effet être atteinte que dans la mesure où l’institution peut opérer à grande échelle et avoir un volume d’activité tel que le point d’équilibre puisse être atteint. Il est donc par exemple nécessaire que la densité de la population soit suffisamment importante pour toucher un grand nombre d’emprunteurs. Par ailleurs, l’IMF doit également disposer d’une technologie appropriée pour évaluer rapidement les demandes de crédit et maintenir à jour l’information commerciale et financière. Sans ces conditions, la productivité des membres internes à l’IMF ne pourra pas être suffisante et la croissance du portefeuille assurée. Par ailleurs, dans le choix de l’approche dans laquelle doit s’inscrire l’IMF, il importe également selon Valérie de Briey de se pencher sur le degré de précarité de la cible visée. Certaines institutions, soucieuses de veiller à la rentabilité de leurs opérations de prêts, excluent en effet de leurs clients, certains secteurs d’activité jugés comme trop risqués (citons en autres les conducteurs de taxi) et mettent des conditions d’accès telles que de nombreux micro-entrepreneurs se trouvent hors des conditions d’accès (comme par exemple l’ancienneté minimale exigée ou le degré de formalisation de la micro-entreprise). Il y a donc place dans certaines zones géographiques pour la coexistence d’IMF différenciées (par exemple des sociétés anonymes adoptant une logique de rentabilité et des ONG adoptant une logique de développement de populations pauvres). Il est donc nécessaire, conclut l’auteur, que les limites du discours dominant orienté sur une approche de marchés soient reconnues et que les bailleurs de fonds adoptent une attitude différenciée selon les intermédiaires financiers considérés, et le contexte économique, social et institutionnel du pays dans lequel ces intermédiaires opèrent. Il faudrait en outre que les bailleurs de fonds adoptent des critères d’évaluation des IMF en cohérence avec la mission poursuivie par l’institution d’appui et ses valeurs fondatrices. Plus qu’antagonistes, les différentes méthodes d’évaluation proposées dans le champ de la microfinance sont, de l’avis de Valérie de Briey, elles aussi complémentaires. Leur utilité dépend tout à la fois de la mission de l’IMF (à vocation sociale ou financière), de la ou des personnes qui évaluent (bailleurs de fonds, membres internes, etc.), de la perspective adoptée (du point de vue des clients, des bailleurs de fonds, de l’institution, etc.) et des moyens dont disposent les évaluateurs. L’important est que les personnes en présence s’accordent sur l’objet de l’évaluation. L’auteur anticipe ainsi sur certaines questions qui seront débattues lors d’un séminaire de réflexion organisé par la plate-forme belge de Microfinance et la DGCD les 3 et 4 mars au Palais d’Egmont à Bruxelles à l’occasion de l’année 2005 proclamée «Année Internationale du Microcrédit» par les Nations Unies.
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Dissertations / Theses on the topic "Transfert de technologie – Cameroun – Études de cas"

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Affa'a, Félix-Marie. "Les facteurs d'émergence d'une stratégie de gestion de la recherche appliquée : une étude de cas au Cameroun." Doctoral thesis, Université Laval, 2007. http://hdl.handle.net/20.500.11794/19359.

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Cuillerat, Annie. "Le contexte du transfert des technologies de l'industrie vers le patrimoine : l'impact médiatique de l'opération "Titanic"." Bordeaux 3, 2003. http://www.theses.fr/2003BOR30052.

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Abstract:
Le transfert des technologies de l'industrie vers le patrimoine s'effectue par le Mécénat Technologique et Scientifique (M. T. S) puis le "mécénat de compétences". Le savoir-faire des entreprises passe, soit de façon formelle par des structures de mécénat, soit par des membres du personnel de manière informelle d'après la hiérarchie et la culture de l'entreprise. L'Etat promulgue des lois sur le mécénat des entreprises, qui permettent des déductions fiscales et d'une communication événementielle des opérations de mécénat effectuées par les entreprises. Pour la passation de ces technologies, certaines entreprises se regroupent pour réaliser les opérations tandis que d'autres l'effectuent individuellement. La communication événementielle due au mécénat des entreprises, qui découle des actions de M. T. S, est une des stratégies de l'entreprise. Cette communication définit les enjeux identitaires, territoriaux, relationnels et d'influences qui permettent de construire et différencier l'image de marque de l'entreprise à travers un filtre culturel. Pour que l'entreprise inscrive son identité sociale face à la concurrence dans l'environnement global, elle inclut la notion d'éthique et de respect du droit des affaires pour un développement durable. Le traitement par électrochimie des objets du Titanic par le M. T. S d'E. D. F donne une communication événementielle, dont la mémorisation lexicale à court terme, par le sigle E. D. F et la mémorisation sémantique a long terme par le sens de l'information. Le titre et la rubrique traitent en priorité du scoop de l'opération Titanic et en plus, dans le corps de texte, du traitement des objets de façon conséquente
The conveyance of the technologies coming from the world of industry to the field of heritage is carried out through the Technological and Scientific Patronage (T. S. P), and then thanks to the "Patronage of Abilities". The know-how of firms is used either in a formal way through official structures of patronage or in an unofficial way through some members of the staff, in relationship to the hierarchy and the culture of the company. The state authorities issue some regulations about the Patronage of Firms, which enable them to get an allowance as regards taxes and to inform about the events and operations of patronage carried out by the companies. As concerns the transfer of such technologies, some firms merge to perform some operations, whereas others achieve this transfer individually. The communication of informations about the events linked to the patronage of firms which proceed from the activities performed by the T. S. P, is one of the strategies of the firm. This communication gives a meaning to the stakes, whether of identity, areas, relationships and influences, which enable to build up and differentiate the image of the company through a cultural filter. In order to impose its social identity, facing the competition in a global environment, the firm includes the values of ethics and respect of business rights into its economical policy for a lasting development. The processing through electrochemistry of the artefacts coming from the Titanic, thanks to the T. S. P of E. D. F, conveys a communication about this event, whose lexical memorisation is carried about, on the short run, by the initials of E. D. F, and the semantic memorisation on the long run, by the meaning of the informations. The title as well as the heading deals above all with the scoop about the operation "Titanic", moreover, inside the essay, it also deals with the processing of the artefacts in a substantial way
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Tavares, Ferreira Marta. "L'adoption industrielle de résultats de la recherche publique : les enseignements de dix études de cas dans les télécommunications françaises : contribution à l'étude de la dynamique des technologies." Châtenay-Malabry, Ecole centrale de Paris, 1992. http://www.theses.fr/1992ECAP0224.

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Abstract:
Cette thèse se propose d'étudier l'interaction entre la recherche publique et l'industrie au sein du système forme par les acteurs du développement technologique. Un modèle théorique pour l'étude des transferts de technologie est bâti à partir de contributions de différentes disciplines des sciences humaines. Il est structuré en trois niveaux : l'interaction évolution technique/développement socio-économique, les rapports recherche/production à l'intérieur du processus de formation de technologies, le transfert de nouvelles connaissances techniques à travers les frontières organisationnelles. Dix cas de transfert entre la recherche publique française en télécommunications et l'industrie électronique sont alors étudiés afin de détecter les facteurs facilitant ce processus ainsi que la contribution spécifique de la recherche publique au développement de technologie industrielle
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Ngono, Marie. "Intégration des technologies de l'information et de la communication dans l'enseignement secondaire au Cameroun : point de vue des enseignantes et enseignants des collèges et lycées de la ville de Yaoundé." Thesis, Université Laval, 2012. http://www.theses.ulaval.ca/2012/28326/28326.pdf.

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Abstract:
Dans la société de l’information grandissante, les technologies de l’information et de la communication sont considérées comme un facteur homogénéisant et l’investissement par excellence pour une amélioration du rendement scolaire et pour assurer l’égalité des chances. Aussi, peu importe leur appartenance sociale, les personnes appelées à évoluer dans cette société devront composer avec ces technologies. Au-delà de cette assertion plus ou moins contestée, la plupart des études reconnaissent que les enseignants rencontrent encore différents obstacles pour les intégrer convenablement comme des outils pédagogiques dans la pratique quotidienne. La conséquence est une utilisation pédagogique faible. La présente étude, fondée sur une double approche constructiviste et systémique explore une voie d’explicitation de cette faiblesse dans l’enseignement secondaire au Cameroun en vue de stimuler la progression de l’apprentissage. À travers la méthodologie des systèmes souples, l’étude suppose que les interactions entre les dispositions prises jusque-là et les exigences pour réaliser l’intégration pédagogique des TIC dans le secteur désigné constituent le point de départ de la situation problématique perçue. Autrement dit, la complexité de ces interactions déteint sur l’évolution dudit processus. Cette situation est examinée à partir de l’expérience de 58 enseignants des collèges et lycées de la ville de Yaoundé au Cameroun. Les résultats de l’investigation montrent que, « le projet d’intégration » des TIC est, non seulement obstrué par l’insuffisance des dispositifs mis en place, mais aussi qu’effectivement, la complexité des interactions entre les structures et les processus y a une influence certaine. Les résultats font voir, en outre, certains principes qui faciliteraient l'évolution du processus.
In the company of growing information, communication and information technologies are regarded as a homogenizing factor and the best investment for an improvement of the school output and to ensure the equal opportunity. Also, it does not matter their social membership, the people called to move ahead in this company will have to compose with these technologies. Beyond this more or less disputed assertion, the majority of the studies recognize that the teachers still meet various obstacles in daily practice to integrate them suitably like teaching aids daily. The consequence is a weak teaching use. The present study, founded on a both constructivist and systemic approach explores a way of clarification of this learning weakness in order to stimulate the use of ICT in secondary education in Cameroun. Through the methodology of the flexible systems, the study supposes that the interactions between the provisions taken up to that point and the requirements to carry out the teaching integration of the ICT in the indicated sector constitute the starting point of the perceived problematic situation. In other words, the complexity of these interactions fades on the evolution of the aforesaid process. This situation is examined starting from the experiment of 58 teachers of the colleges and colleges of the town of Yaounde in Cameroun. The results of the investigation show that, “the project of integration” of the ICT, is not only blocked by the insufficiency of the devices set up, but also that indeed, the complexity of the interactions between the structures and the processes has an unquestionable influence there. The results show, moreover, certain principles which would facilitate the evolution of the process.
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Chebbi, Hela. "Le pilotage du processus intégré d'innovation de service au sein des multinationales : le cas France Télécom." Lyon 3, 2008. http://www.theses.fr/2008LYO33004.

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Abstract:
Un consensus semble se dégager autour de l'importance de l'intégration des connaissances des filiales pour proposer des services à forte composante technologique (SAFCT) simultanément sur plusieurs marchés étrangers (Subramaniam, 2006). La thèse soutenue est que cette démarche s'inscrit dans le cadre d'une stratégie transnationale basée sur un processus intégré d'innovation. Nous avons mené une investigation empirique longitudinale (deux ans) au sein du groupe de télécommunications France Télécom. La discussion des résultats, par rapport au cadre conceptuel mobilisé, montre que le pilotage du processus intégré d'innovation requière la prise en compte de trois dimensions : la stratégie organisationnelle, la stratégie d'innovation de service et la stratégie internationale. Pour la première, une configuration organisationnelle hybride, de type « adhocratie à produits liés » semble être plus adaptée pour les multinationales. Pour la stratégie d'innovation, l'implication des filiales dès le début du processus est indispensable. Afin de proposer des services multi-pays, les activités de mobilisation et d'opérationnalisation méritent d'être menées conjointement par la maison mère et ses filiales. Dans ce cadre, quatre types de connaissances locales sont à intégrer : les besoins, les contraintes, les résultats et les connaissances commerciales. Les deux premiers s'inscrivent dans un contexte d'échange (complémentarité additive). Le troisième type est essentiellement transféré dans un cadre de collaboration (complémentarité séquentielle). Finalement, l'analyse témoigne de l'utilité de mettre en œuvre une stratégie internationale différente selon que le transfert de connaissances s'inscrive dans un contexte d'échange ou de collaboration. Cette étape descriptive a été complétée par une analyse croisée des résultats obtenus. Un « framework », composé d'un ensemble de propositions (six épistémiques, treize conceptuelles et vingt opératoires), guidera les stratèges et les managers des multinationales dans le pilotage des processus d'innovation
A consensus exist around the importance of the integration of subsidiarie's knowledge to propose services with elevated technological components (SWETC) simultaneously on several overseas markets (Subramaniam, 2006). The steady thesis is that this iniative joins within a transnational strategy based on an integrated process of innovation. We led a longitudinal empirical investigation ( two years) within the multinational France Telecom. The discussion of the results shows that the conduction of such process requires taking into account three different factors : the organizational strategy, the strategy of service innovation and the international strategy. For the first one, a hybrid organizational configuration, such as the " adhocratic with linked products” seems to be more adapted for multinationals. For the innovation strategy, the involvement of subsidiaries from the beginning of the process is necessary. To propose multi-country services, the mobilization and opérationnalisation activities deserve to be collectively led by the headquarters and subsidiaries. In this frame, four types of local knowledge can be integrated : needs, constraints, results and commercial knowledge. Both first ones join a context of exchange ( additive complementarity). The third type is essentially transferred in a frame of collaboration (sequential complementarity). Finally, the analysis testifies of the utility to implement a different international strategy as the transfer of knowledge joins a context of exchange or collaboration. This descriptive stage was completed by a crossed analysis of the obtained results. A "framework", based on a set of propositions (six epistemic, thirteen theoritical and twenty operational), will drive the strategists and the managers of multinationals in the management of the innovation process
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Aribou, Mohamed-Larbi. "Facteurs de réussite du transfert de connaissances dans les fusions et acquisitions : les enseignements de cinq cas dans les secteurs de haute technologie." Thesis, Strasbourg, 2013. http://www.theses.fr/2013STRAB009.

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Abstract:
Compte tenu du taux d’échec élevé qu’enregistrent bon nombre d’opérations de fusions & acquisitions (F&A), le transfert des connaissances semble être un facteur déterminant dans le processus d’intégration entre les entreprises qui fusionnent. La littérature empirique sur le transfert de connaissances dans les F&A tend à se répartir en deux catégories distinctes : d’une part, les études "macro" (au niveau inter-organisationnel) et d’autre part, les études "micro" (au niveau de l’individu). Or, il est possible de noter qu’au cours des dernières années, une troisième catégorie récente a fait son apparition, qui axe son analyse sur les dimensions "soft" (au niveau collectif). Ce clivage limite la portée et la capacité explicative des études empiriques sur les facteurs de succès et d’échec du transfert de connaissances. Pour combler ce manque d’études, nous proposons une grille d’analyse multi-niveaux tenant compte des "macro" facteurs, "micro" facteurs et "soft" facteurs simultanément. Ce cadre théorique permet d’envisager le transfert de connaissances dans le processus d’intégration post-F&A comme un phénomène complexe et "multi-facette" qui regroupe un certain nombre de tâches successives ou simultanées. S’appuyant sur un positionnement épistémologique aménagé, la méthodologie retenue dans notre thèse combine une analyse de cinq études de cas réalisées dans les secteurs français de la haute technologie (analyse intra-cas) et une démarche comparative (analyse inter-cas). Les résultats de cette recherche apportent une contribution majeure par rapport au management des processus d’intégration, en permettant de mettre à jour les facteurs favorisant la réussite du transfert de connaissances
Considering the high failure rate recorded by a good number of mergers and acquisitions (M&A), knowledge transfer seems to be a determining factor in the integration process among merging enterprises. The empirical literature on the transfer of knowledge in M&A tends to divide up into two distinct categories: on the one hand, "macro" studies (at inter-organizational level) and on the other hand, "micro" studies (at individual’s level). Yet, a looming third category has been scored recently, which focuses its analysis on "soft" dimensions (at collective level). This scission restricts the scope and explanatory capacities of empirical studies upon the success and failure factors of knowledge transfer. To make up for this gap, we suggest a multi-level analytical grid taking "macro" factors, "micro" factors and "soft" factors simultaneously into account. This theoretical framework allows the transfer of knowledge in the post-M&A integration process to be considered as a complex and multifaceted phenomenon gathering a number of successive and simultaneous tasks. Hinging on an adapted epistemic positioning, the methodology retained for our thesis combines an analysis of five case studies carried out in the French sectors of high technology (intra-case analysis) with a comparative approach (intra-case analysis). The findings of this research bring about a major contribution to the management of integration processes, while enabling the factors favoring knowledge transfer to be updated
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Tiemtoré, Windpouiré Zacharia. "Les technologies de l’information et de la communication dans l’éducation en Afrique subsaharienne : du mythe à la réalité : le cas des écoles de formation des enseignants au Burkina Baso." Rennes 2, 2006. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00199259/fr/.

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Abstract:
La recherche présentée vise à explorer les enjeux de l’intégration des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans le domaine de l’éducation en Afrique sub-saharienne. Selon une approche à orientation socio-politique, il s’agit de contribuer à mettre en valeur les différentiels entre les discours d'acteurs sociaux et les pratiques effectives sur le terrain. L'étude se centre sur le cas de l'intégration des technologies dans la formation des enseignants d'un pays pauvre où le taux d'analphabétisme est important : le Burkina Faso. Ce travail tente de montrer qu’une intégration des TIC en éducation, dont l’objectif déclaré est de résoudre des difficultés d’ordre structurel, institutionnel et pédagogique et de réduire l'écart socio-économique avec les pays industrialisés, constitue une utopie au stade actuel du développement du Burkina Faso. Une utopie basée sur une interprétation mythique des technologies. Un premier chapitre réunit des éléments de contexte. Un deuxième chapitre propose un état des lieux des travaux antérieurs et les repères théoriques qui orientent cette recherche. Un troisième chapitre expose la démarche méthodologique. Un quatrième et dernier chapitre présente les résultats de l'analyse croisée de données d'observation (observation directe et fiches de renseignements), de données de contenus (textes officiels) et de données provenant de vingt-cinq entretiens d'acteurs éducatifs et politiques
This research explores the consequences of introducing information and communication technologies (ICT) in the field of education in Sub-Saharan Africa. It seeks to identify, from a social policy perspective, the differences between the discourse adopted by differing social actors and actual field practice. The study is based on the integration of technologies in teacher training in Burkina Faso, where there are high levels of poverty and illiteracy. This work tries to show that the integration of the ICT in education, whose declared objective is to resolve structural, institutional and teaching problems, as well as reducing the socio-economic in-balance with other industrialized countries, is largely utopian, given the actual state of development in Burkina Faso – a utopia resulting from a mythical understanding of technology. After the presentation of the context of the research, (Chapter 1), the second chapter offers a review of the relevant literature and the theoretical approaches underpinning the research. Chapter 3 explains the methodology. The final chapter presents the results of the analysis, combining data from direct observation, official texts and interviews (25) with educators and politicians
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Van, Horne Constance. "Innovation and Value: Knowledge and Technology Transfer from University-Industry Research Centres to the Forest Products Industry." Thesis, Université Laval, 2009. http://www.theses.ulaval.ca/2009/26328/26328.pdf.

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Books on the topic "Transfert de technologie – Cameroun – Études de cas"

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Howells, Jeremy. The globalisation of production and technology. London: Belhaven Press, 1993.

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