Academic literature on the topic 'Travail à temps partiel – Pays de l'OCDE'

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Journal articles on the topic "Travail à temps partiel – Pays de l'OCDE"

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Bakehe, Novice Patrick. "Le travail à temps partiel dans un pays en développement : l’exemple du Cameroun." Mondes en développement 186, no. 2 (2019): 143. http://dx.doi.org/10.3917/med.186.0143.

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Wierink, Marie. "Le travail à temps partiel et la « combinaison » famille-emploi aux Pays-Bas." Revue de l'OFCE 77, no. 2 (2001): 307. http://dx.doi.org/10.3917/reof.077.0307.

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3

SALLADARRÉ, Frédéric, and Stéphane HLAIMI. "Les femmes et le travail à temps partiel: une étude dans les pays européens." Revue internationale du Travail 153, no. 2 (2014): 319–38. http://dx.doi.org/10.1111/j.1564-9121.2014.00210.x.

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BLÁZQUEZ CUESTA, Maite, and Julián MORAL CARCEDO. "Les risques de la flexibilité: le travail à temps partiel des femmes dans cinq pays d'Europe." Revue internationale du Travail 153, no. 2 (2014): 293–317. http://dx.doi.org/10.1111/j.1564-9121.2014.00209.x.

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5

Mayer, Udo. "Flexibility of Labor Law. The European Discussion and the Example of Germany." Les Cahiers de droit 29, no. 1 (2005): 231–45. http://dx.doi.org/10.7202/042875ar.

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Abstract:
Dans la plupart des pays européens, on a, ces dernières années, assoupli la protection législative de l'emploi, de manière à faciliter à l'employeur le recrutement du personnel par divers procédés. Cette nouvelle législation n'offre qu'une protection de second ordre à ceux dont l'engagement n'est que pour une durée déterminée, aux employés à temps partiel, de même qu'aux personnes dont les services sont proposés par des entreprises de personnel temporaire. Le recours à de telles catégories de personnel offre, certes, de multiples avantages à l'employeur. Par exemple, il diminue ses indemnités de licenciement ; il n'a pas, non plus, à payer un personnel trop considérable dans des périodes de sous-emploi. Par contre, la libéralisation de l'emploi précaire suscite différents problèmes. Elle tend à créer deux classes d'employés. D'une part, il y a ceux qui jouissent de la sécurité d'emploi : leur travail est stable, bien rémunéré et donne lieu à des avantages sociaux significatifs ; d'autre part, il y a le travail de « seconde zone », mal payé, précaire et pratiquement dénué d'avantages sociaux. Tels sont les effets de la loi dite, non sans euphémisme, Loi en vue de promouvoir l'emploi, adoptée en 1985 en R.F.A. Les syndicats s'opposent à l'implantation de telles normes d'emploi inéquitables. Ils tendent, par voie de négociation collective, à assurer un traitement égal pour l'ensemble des travailleurs, en particulier, par la réduction du temps de travail. Mais cette politique syndicale pourrait bien se révéler impuissante à contrer le fractionnement du travail. Une politique gouvernementale favorisant activement l'emploi, y compris le retour à une protection véritable de l'emploi, doit la compléter.
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Lessard, Marc-André, and Jean-Paul Montminy. "Les religieuses du Canada : âge, recrutement et persévérance." Articles 8, no. 1 (2005): 15–47. http://dx.doi.org/10.7202/055334ar.

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Abstract:
Au mois de janvier 1965, la Conférence religieuse canadienne (C.R.C.), section féminine, lançait à travers tout le Canada une vaste enquête sociographique pour tenter de définir et de préciser la situation des religieuses de notre pays. Le travail, qui avait demandé une longue préparation, devait se poursuivre pendant six mois et permettre la publication d'un rapport préliminaire (été 1965) à l'usage exclusif de la C. R. C. Pour un public élargi, un rapport plus complet paraissait à l'automne 1966. Avant d'aller plus loin, il convient cependant d'indiquer en toute honnêteté les limites de notre travail. Nous le disions à l'instant, il s'agit d'une recherche sociographique visant à un recensement des religieuses du Canada. Un ensemble de questions fermées demandait aux supérieures des renseignements sur l'âge, les qualifications académiques, les origines familiales, l'endroit de résidence de leurs religieuses, etc. Le Père Fulgence Boisvert, o.f.m., du secrétariat permanent de la C. R. C. et ses assistants ont assumé la tâche de recueillir les informations et d'en faire une première interprétation. Ils ont pu repérer 197 instituts canadiens, membres ou non de la C. R. C , à qui ils ont fait parvenir le questionnaire. De ce nombre 183 instituts ont répondu fournissant des renseignements pour 65,248 religieuses. Comme les 14 institutions, qui n'ont pas répondu au questionnaire, auraient pu donner des informations pour environ 700 religieuses, on constate que 98.9% des religieuses sont concernées par notre rapport. Le lecteur notera que les statistiques d'ensemble ne sont pas toujours les mêmes. Cela tient au fait que les questions n'ont pas toujours été bien comprises par toutes les religieuses ou encore qu'on a omis la réponse à certaines questions. Nous indiquerons en temps et lieu les statistiques générales sur lesquelles nous nous appuierons. Il a paru très utile aux chercheurs de classifier les instituts selon trois grandes variables : l'ordre d'ancienneté, l'ordre de grandeur et la fonction principale qu'ils remplissent. Dans ce dernier cas, sept types de fonction ont été déterminés : contemplatives, missionnaires, hospitalières, éducatrices, éducatrices-hospitalières, œuvres sociales et auxiliaires du clergé (ménagères). Personne, croyons-nous, ne contestera le choix de ces sept types qui couvrent les principales fonctions des religieuses canadiennes. Mais une réelle difficulté survient quand on veut identifier chacun des instituts selon son appartenance à l'un ou l'autre des sept types de fonction. En effet, il est assez difficile de bien connaître chacun des 183 instituts et d'en préciser la fonction dominante. Certains instituts ont même adopté récemment de nouvelles orientations, s'adonnant aujourd'hui à des œuvres que n'avaient pas prévues les fondatrices. De toute évidence, la classification des instituts selon leur fonction principale demeure plus discutable que les deux autres classifications : l'ordre d'ancienneté et l'ordre de grandeur, qui sont plus mathématiques et plus objectives. Cependant, malgré les erreurs auxquelles elle expose et malgré les contestations qu'elle peut susciter, la classification des instituts par type de fonction principale s'est révélée particulièrement utile et révélatrice dans nos diverses analyses sur le monde des religieuses. Les différentes sections du rapport de l'enquête sont donc axées autour de trois variables principales : l'ordre d'ancienneté, l'ordre de grandeur, le type de fonction dominante. Le rapport se divise en deux grandes parties : les religieuses du Canada : état actuel ; les religieuses du Canada : changements récents. La première partie comprend sept sections portant successivement sur : le nombre et la taille des instituts, l'origine et l'ancienneté des instituts, les fonctions des instituts, les différences régionales, l'âge des religieuses, les origines familiales et les qualifications académiques, La seconde partie comprend deux sections : l'évolution numérique, le recrutement et la persévérance des religieuses. Pour le présent article, nous avons choisi deux sections de l'ensemble du rapport : l'âge des religieuses, leur recrutement et leur persévérance. Comme nous le verrons, ces deux sections couvrent les aspects les plus caractéristiques de la situation chez les religieuses canadiennes. Enfin, nous tenons à avertir le lecteur de ne pas chercher dans notre travail des conclusions définitives et sans appel. Pour y parvenir, il eût fallu posséder un matériel beaucoup plus complet. Il eût fallu également s'astreindre à de longues et patientes incursions dans l'histoire de chacun des instituts religieux et aussi dans l'histoire religieuse du Canada. On comprendra facilement que cela dépassait les limites d'une recherche sociographique.
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Chrétien, Lise. "Bernard GRAIS : Les mises à pied et le travail à temps réduit dans quelques pays de l'OCDE. Paris, Institut national de la statistique et des études économiques et Conclusions du groupe de travail de l'OCDE sur les statistiques de l'emploi et du chômage, 1983, 154 pp., ISBN 92-64-22391-6." Relations industrielles 40, no. 4 (1985): 904. http://dx.doi.org/10.7202/051395ar.

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8

Jaehrling, Karen, and Thorsten Kalina. "‘Grey zones’ within dependent employment: formal and informal forms of on-call work in Germany." Transfer: European Review of Labour and Research 26, no. 4 (2020): 447–63. http://dx.doi.org/10.1177/1024258920937960.

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Abstract:
This article aims to take stock of the various manifestations of on-call work in Germany. It is shown that formal on-call work is, by international standards, relatively strictly regulated in Germany, not least as the result of a 2019 reform of the law. Similar to other countries, however, other informal variants are used that lie outside the scope of the re-regulation or ‘normalisation’ of formal on-call work. Differentiated analyses based on survey data show that both formal and informal variants of on-call work are associated with disproportionately high levels of short part-time work, low pay and consequently with considerable risks of poverty. As a consequence, the ongoing debate on the erosion of the status of employee should not be too narrowly restricted to self-employed workers in the gig economy (Deliveroo, Uber) but should be extended to include the ‘grey zones’ in the area of dependent employment. Cet article vise à faire le point sur les différentes manifestations du travail à la demande en Allemagne. Il montre que le travail à la demande formel est, selon les normes internationales, réglementé assez strictement en Allemagne, grâce notamment à la réforme de la loi en 2019. Toutefois, comme dans d’autres pays, d’autres variantes informelles sont présentes et échappent au champ d’application de la re-réglementation ou de la “normalisation” du travail à la demande formel. Des analyses différenciées, basées sur des données d’enquête, montrent que les variantes formelles et informelles du travail à la demande sont associées à des niveaux proportionnellement trop importants de travail à temps partiel de courte durée, de faibles rémunérations et, par conséquent, à des risques considérables de pauvreté. Dès lors, le débat en cours sur l’érosion du statut de salarié ne devrait pas être strictement limité aux travailleurs indépendants de la gig economy - ou économie des petits boulots (Deliveroo, Uber), mais devrait être étendu aux “zones grises” présentes dans le domaine de l’emploi dépendant. Der vorliegende Artikel zielt auf eine Bestandsaufnahme der verschiedenen Erscheinungsformen von Abrufarbeit in Deutschland und zeigt, dass die formale Variante von Abrufarbeit hier im internationalen Vergleich relativ strikt reguliert ist, nicht zuletzt durch eine Gesetzesreform, die 2019 in Kraft trat. Ähnlich wie in anderen Ländern kommen jedoch andere informelle Varianten zum Einsatz, die außerhalb des Geltungsbereichs der Re-Regulierung oder ‘‘Normalisierung’’ der formellen Abrufarbeit liegen. Differenzierte Analysen auf der Grundlage von Umfragedaten zeigen, dass sowohl formelle als auch informelle Varianten von Abrufarbeit mit einem unverhältnismäßig hohen Anteil an kurzer Teilzeit, Niedriglöhnen und damit einem hohen Armutsrisiko assoziiert sind. Die gegenwärtige Debatte über die Erosion des Arbeitnehmerstatus sollte sich deshalb nicht zu eng auf die Solo-Selbständigen in der Gig-Ökonomie beschränken (Deliveroo, Uber), sondern auch die ‘‘Grauzonen’’ im Bereich der abhängigen Beschäftigung in den Blick nehmen.
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Darroch, A. Gordon, and Michael Ornstein. "Ethnicity and Class, Transitions Over a Decade: Ontario, 1861‑1871." Historical Papers 19, no. 1 (2006): 111–37. http://dx.doi.org/10.7202/030920ar.

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Abstract:
Résumé Suite aux travaux pionniers de Pentland, un grand nombre d'historiens canadiens du 19e siècle ont postulé l'existence d'un marché du travail partagé pendant la période cruciale s'étendant de 1850 à 1870. D'après cette hypothèse, on assiste à cette époque à la création d'un prolétariat sans terres, élément essentiel à la transformation du pays, d'une économie agricole et commerciale à une économie industrielle et capitaliste. Ce groupe naissant était partagé suivant l'ethnie, les travailleurs Anglais et Ecossais occupant les emplois spécialisés, les Irlandais étant relégués aux emplois non spé- cialisés. On soutient que ce partage interne, s ajoutant aux salaires élevés versés aux travailleurs les plus prévilégiés, permit au Canada d'éviter en grande partie le radi- calisme ouvrier, alors que la réserve de personnel compétent épargna aux industries canadiennes les coûts élevés de la formation. Cependant une étude des recensements de 1861 et 1871 dans le centre-sud de l'Ontario indique que, en majorité, les immigrants irlandais catholiques et protestants travaillaient non pas à des emplois industriels peu rémunérés, mais bien à Vagriculture. Une enquête informatisée sur 10,000 hommes cou verts par les deux recensements et dont l'emploi est connu, fournit des renseignements sur un certain nombre de questions. L'analyse des données révèle les différences suivantes dans la composition de la population active masculine entre 1861 et 1871: a) la proportion de personnes nées en Ontario passer de 27 à 40 pour cent, alors que le nombre de personnes nées en Irlande baisse de 24 à 15 pour cent; la proportion de personnes nées en Ecosse et en Angleterre demeure essentiellement inchangée: b) pour ce qui est des emplois, il y aun mouvement du travail d'ouvriers vers iagriculture et, dans une moindre mesure, vers les occupa- tions artisanales et non-manuelles; la grande majorité des fermiers (84 pour cent en 1871) est propriétaire et non locataire; c) ni l'ethnicité ni la religion ne déterminaient l'occupation; à l'exception d'une concentration d'Irlandais d'origine dans les milieux ouvriers, la population active ne semble pas avoir été départagée suivant l'ethnicité ou Vappartenance religieuse. Une proportion relativement élevée de travailleurs nés en Ontario (30 pour cent en 1861 et 25 pour cent en 1871) était constituée de fermiers et de leurs fits; d) pendant cette période les différences entre nationalités au sein des groupes occupationnels s'aténuent, quoique les Irlandais catholiques continuent d'être sur- représentés chez les ouvriers, tout comme les Anglais d'origine dans les occupations bourgeoises et artisanales. S'il y a une certaine spécialisation occupationnelle par groupe ethnique, la concertration n'est pas assez prononcée pour appuyer l hypothèse selon laquelle la population était profondément partagée suivant l'ethnicité; e) une analyse des emplois par groupes d'âge laisse croire qu'il n'y a pas de mouvement d'abandon de l'agriculture et, conséquemment, pas de prolétarisation de la population au cours des années 1860. Au contraire, il y eu un accroissement de la proportion de fermiers et une diminution de la proportion d'ouvriers. Chaque groupe occupationnei suit un modèle de croissance particulier, avec des variations dans le temps; f) i établisse- ment de liens entre les données des deux recensements permet certaines conclusions sur la question de la permanence dans l'emploi. Près de 90 pour cent de ceux qui étaient fermiers en 1861 se réclamaient du même groupe occupationnei une décennie plus tard, alors que seulement un tiers des ouvriers faisaient de même. Dans l'ordre, les artisants, les professionnels et les marchands/fabricants se situent au centre de l'échelle pour ce qui est de la permanence. Un nombre relativement peu élevé de fils de fermiers (7 pour cent) sont devenus ouvriers ou artisans. Le groupe occupationnei le moins stable est celui des travailleurs non-manuels, où seulement 30 pour cent ont gardé le même genre d'emploi. Les données indiquent une mobilité occupationnelle assez élevée dans le temps, et l'absence de dépeuplement rural ou d'une crise de l'agriculture; g) sauf pour les travailleurs non-spécialisés, la mobilité semble dépendre plus de l'occupation que de l'âge. Le taux de mobilité est le plus élevé pour les travailleurs âgés de moins de 25 ans, particulièrement chez les ouvriers, alors qu'il est moins prononcé entre 25 et 54 ans. Au delà de cet âge, seuls les artisans ont une certaine mobilité. En tenant compte de l'ethnicité dans les calculs, un seul phénomène important peut être identifié: les ouvriers Irlandais catholiques avaient plus fortement tendance à demeurer dans cette catégorie pendant assez longtemps. A une époque où Vindustrialisation urbaine prenait de l'ampleur, la production indé- pendante de produits de base pas des familles d'agriculteurs devint également plus courante. La mobilité occupationnelle était généralisée, ce manifestant particulière- ment du groupe des ouvriers, vers celui des agriculteurs.
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Van der Linden, Bruno. "Numéro 25 - novembre 2004." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.16023.

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Abstract:
En France, en Allemagne et en Belgique, la durée annuelle moyenne de travail par personne en emploi est passée de près de 3000 heures en 1870 à environ 2300 heures en 1938 en Allemagne et en Belgique (1850 heures en France). Après la seconde guerre mondiale, la tendance à la diminution s’est poursuivie. Depuis une vingtaine d’années, la durée de travail hebdomadaire à temps plein, telle que fixée par les conventions collectives, ne baisse que très lentement en Belgique. D’autres phénomènes, dont le développement du temps partiel, expliquent toutefois que la durée annuelle moyenne de travail continue à baisser. En 2003, elle s’élèverait selon l’OCDE à environ 1450 heures/an. Or, voici que depuis quelques mois, les médias font grand cas d’entreprises où la durée hebdomadaire de travail s’allonge sans compensation salariale. Cette inversion de la tendance historique est clairement une rupture, au contenu économique mais aussi symbolique chargé. Que penser de ce retournement, actuellement limité à un petit nombre d’entreprises ?
 En comparaison internationale, la durée hebdomadaire moyenne de travail à temps partiel est plus longue en Belgique. Concernant les travailleurs à temps plein, la durée hebdomadaire moyenne habituelle est en Belgique proche de la moyenne dans la zone EURO. Au niveau sectoriel, si l’on excepte le secteur des hôtels et des restaurants, notre durée hebdomadaire habituelle se situe également à un niveau proche de la moyenne dans la zone EURO. Notre pays ne paraît donc pas se démarquer sensiblement des voisins. La dispersion des durées hebdomadaires habituelles augmente en revanche entre les individus à un rythme qui n’a guère d’égal dans l’OCDE. Au plan régional, entre 1992 et 2002, un écart d’une heure par semaine s’est créé entre les travailleurs flamands et wallons à temps plein, ces derniers ayant une durée habituelle de travail relativement stable.
 Aucune "loi économique" ne nous dit quel serait le temps de travail idéal. En revanche, des divergences sensibles de coût de production ne peuvent persister pour des produits similaires soumis à la concurrence. Les coûts de production ne s’expliquent évidemment pas que par les coûts et la productivité du travail. Dans les limites de cette étude, nous n’avons toutefois pas abordé d’autres dimensions. Nous avons aussi mené notre réflexion dans les limites du cadre actuel marqué notamment par une concurrence accrue sur les marchés, une forte mobilité du capital et une monnaie unique. La loi de juillet 1996 relative "à la promotion de l’emploi et à la sauvegarde préventive de la compétitivité" se préoccupe de l’évolution de nos coûts salariaux horaires nominaux dans le secteur privé en comparaison avec celle de l’Allemagne, des Pays-Bas et de la France. Après quelques années d’alignement quasi parfait de notre croissance salariale sur l’évolution moyenne de nos trois voisins, la Belgique a récemment accumulé un écart relatif de 2 points de pourcentage. Si l’on tient compte des écarts existants avant la loi de 1996 et que l’on remonte plus haut dans le temps jusqu’en 1987, le FEB aboutit à un surcroît de coût salarial horaire de 8 points de pourcentage par rapport à la moyenne pondérée de nos trois voisins. Dans l’industrie manufacturière, selon le Bureau of Labor Statistics, nos coûts salariaux horaires sont 6 % plus bas qu’en Allemagne mais 5 % plus élevés qu’aux Pays-Bas et 32 % plus élevés qu’en France. Des coûts salariaux élevés engendrent une série d’ajustements dans les entreprises : disparition d’entreprises privées manquant de rentabilité, recherche de gains de productivité par élimination de main d’œuvre et surtout de main d’œuvre moins qualifiée, etc. La productivité du travailleur belge est, de fait, fort élevée. Il ne nous paraît cependant pas souhaitable d’avoir des performances exceptionnelles en matière de hausses de productivité du travail si cela se réalise au prix de disparitions supplémentaires d’emplois moyennement ou peu qualifiés. La capacité des personnes concernées à saisir les opportunités d’emploi dans d’autres segments de l’économie apparaissent en effet trop limitées.
 Dans un contexte où les nations européennes et leurs partenaires sociaux sont responsables de l’évolution des coûts salariaux, il est possible d’intervenir sur trois variables : les salaires horaires bruts, les cotisations patronales et la durée du travail. Le niveau élevé des cotisations patronales mais aussi l’importance des allégements de cotisation mis en place sont notoires en Belgique. Le meilleur usage des allégements structurels (c’est-à-dire durables et attribués par travailleur occupé, nouvellement ou non) se situe au niveau des travailleurs à bas salaires. Nous avons déjà argumenté en ce sens. De même, nous avons déjà rappelé la nécessité de la modération des salaires horaires en Belgique et nous avons évoqué les avantages et les limites de la "norme salariale" belge. Dans le cadre de celle-ci, la résorption de notre écart de coût salarial horaire ne pourra être que lente, fort probablement trop lente. De là, l’intérêt d’une réflexion sur le temps de travail.
 A court terme, considérant le niveau de production comme fixe, une durée de travail plus longue entraînera une diminution du volume d’effectifs souhaité par l’entreprise. Moins les heures ajoutées seront productives (effet de fatigue du travailleur), plus les effets de court terme seront faibles. Au-delà de ces réactions de court terme, l’entreprise peut se réorganiser de telle sorte que la durée d’utilisation du capital suive – là où c’est possible - l’allongement de la durée du travail. La variation du coût salarial sera l’autre déterminant essentiel de l’ajustement à moyen terme des quantités produites et de l’emploi. Notre analyse micro-économique indique que l’allongement de la durée hebdomadaire de travail mais aussi la poursuite de la réduction de celle-ci peuvent être des réponses microéconomiques alternatives face à des phénomènes tels que l’accroissement de la concurrence de pays à bas salaires. Mais dans un cas comme dans l’autre, ce ne sera vrai que si on accompagne ces modifications de durée du travail d’ajustements de nature et d’ampleur appropriés. En cas de hausse de la durée hebdomadaire, le coût salarial hebdomadaire ne peut croître proportionnellement. En cas de baisse de la durée, il ne peut demeurer à son niveau initial. Il faut aussi souligner l’importance de l’ajustement de la durée d’utilisation du capital. Celle-ci ne peut diminuer proportionnellement à la durée du travail. Elle doit croître lorsque cette durée s’allonge. Il faut dès lors vérifier la faisabilité des réorganisations du processus de production qui en découlent. Au-delà, il faut s’interroger sur leur désirabilité du point de vue des travailleurs. La conciliation des vies professionnelle et privée est au cœur du questionnement.
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More sources

Dissertations / Theses on the topic "Travail à temps partiel – Pays de l'OCDE"

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Palmero, Sandra. "Les effets de types de travail à temps partiel sur les attitudes au travail." Aix-Marseille 3, 2000. http://www.theses.fr/2000AIX32067.

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Abstract:
Cette recherche offre une conceptualisation nouvelle de l'emploi a temps partiel. La thèse porte sur les incidences des différentes modalités de travail a temps partiel sur les attitudes au travail (notamment satisfaction au travail, implication organisationnelle, engagement au travail) des personnes concernées. Après une analyse de la littérature, la thèse comporte une partie empirique constituée d'une analyse qualitative suivie d'une analyse quantitative. La phase qualitative de la recherche est menée d'une part auprès de salaries à temps partiel, d'autre part auprès de directeurs des ressources humaines. Les hypothèses issues de l'analyse théorique et de l'étude qualitative sont ensuite testées au sein d'une phase quantitative fondée sur des analyses de variance procédure glm. Les résultats de la recherche montrent que des différences existent entre types de travail a temps partiel définis quant aux attitudes mesurées.
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Wierink, Marie. "Le travail à temps partiel aux Pays-Bas : un choix de société." Paris 1, 2001. http://www.theses.fr/2001PA010567.

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Abstract:
L'importance du travail à temps partiel aux Pays-Bas s'analyse d'abord comme une construction sociale, enracinée dans l'histoire sociale et politique, et non à partir du seul développement du marché du travail. Cette approche se rattache à l'analyse sociétale de la division familiale du travail, structurant à la fois la configuration du marché du travail et la contribution respective des partenaires des ménages au travail professionnel et domestique, sous l'influence conjuguée du développement social, culturel, institutionnel et économique. Le confessionnalisme de la vie politique néerlandaise, le féminisme revendiquant le partage égal du travail professionnel, domestique et parental entre les hommes et les femmes par la réduction du temps de travail, le sous-développement des structures de garde, une protection sociale solide en cas de faible activité, et une politique soutenue d'émancipation des femmes ont été des facteurs déterminants dans le développement du travail à temps partiel. Après s'être imposé progressivement dans les organisations du travail et la négociation collective du temps de travail, il est aujourd'hui un instrument essentiel de la flexibilité interne des entreprises. Sous des modalités diversifiées, il est le pivot des arrangements famille-emploi, sans être limité aux emplois non qualifiés. Dominant dans l'emploi féminin, il fait une petite percée dans l'emploi masculin. L'adoption récente de la loi sur le droit du salarié à l'adaptation de son temps de travail l'a consacré comme forme d'emploi à part entière.
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Mourre, Gilles B. P. "Five essays on performance and structural rigidities in European labour markets." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2009. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210306.

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Abstract:
The thesis investigates the role of structural rigidities in recent labour market performances in Europe through various and complementary angles in five essays. By structural rigidities, we mean a lasting feature caused by a set of institutions, which prevents a market from operating efficiently. The approach is essentially empirical and macro-economic, while the scope of the analysis is definitely European, which is technically reflected in the use of either euro area aggregates or panels and cross-sections of European countries.<br>Doctorat en Sciences économiques et de gestion<br>info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Book chapters on the topic "Travail à temps partiel – Pays de l'OCDE"

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"Le travail à temps partiel." In Perspectives de l'emploi de l'OCDE 2010. OECD, 2010. http://dx.doi.org/10.1787/empl_outlook-2010-5-fr.

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