Academic literature on the topic 'Travailleurs sociaux pour les jeunes – Attitudes – Québec (Province)'

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Journal articles on the topic "Travailleurs sociaux pour les jeunes – Attitudes – Québec (Province)"

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Poitras, Daniel. "Fouetter les structures et « éduquer à l’unité ». Les Travailleurs étudiants du Québec et l’action sociale (1959-1967)." Historical Studies in Education / Revue d'histoire de l'éducation, September 26, 2018. http://dx.doi.org/10.32316/hse/rhe.v30i2.4536.

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Abstract:
RésuméL’action sociale étudiante est un chapitre largement inconnu de l’histoire des étudiants au Québec, qui ont surtout retenu l’attention pour leurs coups de gueule ou d’éclat. L’histoire des Travailleurs étudiants du Québec (TEQ) vient démentir cette représentation. Les TEQ (1964-1967) qui ont œuvré auprès des familles démunies, des ouvriers, des chômeurs et des jeunes de la rue dans des milieux s’étendant de Gaspé à Thetford Mines se voulaient éducateurs, animateurs sociaux et organisateurs communautaires. Ils cherchaient à susciter des prises de conscience citoyennes et à encourager des initiatives et des structures locales pouvant mener à une véritable société de participation. Dans cet article, je démontre de quelle façon l’Action sociale étudiante (ASE) québécoise opérait à partir de traditions (étudiantes, sociales et politiques) et se projetait dans le futur en réarticulant constamment son idéalisme et son pragmatisme. Pendant ses quatre ans d’existence, l’ASE a constitué un haut lieu de formation et de mobilisation pour plusieurs jeunes qui ont eu l’occasion de confronter un bagage universitaire largement livresque à la réalité du terrain de l’action sociale. Abstract We know relatively little about the social action projects led by Québécois students, better known for their political activism and dramatic gestures. The Travailleurs étudiants du Québec(TEQ)’s story contradicts this representation. Working with low-income families, factory workers, unemployed people, and street youth from all over the province, these students acted as educators and social organizers. Their goal was to raise awareness among citizens, generating local initiatives and establishing structures that could lead to a true participative society. In this article, I demonstrate how the Action sociale étudiante (ASE) emerged from different traditions (social, political, students’) and projected itself into the future through a precarious balance between its idealism and pragmatism. During its four years of existence (1964-1967), the ASE was an important organization for the forming and mobilization of many young people who had the opportunity to confront their scholarly knowledge to the realities of social action.
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Deirdre, Meintel. "Ethnicité." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.095.

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Abstract:
Le concept d’ethnicité est le sujet d’une vaste littérature qui a bénéficié des contributions d’auteurs issus de différentes disciplines, dont la sociologie, l’histoire, la science politique et la démographie. Nous faisons ici une revue sélective des ouvrages anthropologiques qui ont marqué le domaine. Le concept d’ethnicité en sciences sociales est généralement attribué au sociologue Max Weber (1921, 1971). Le sociologue allemand conçoit l’ethnicité comme une construction sociale; c'est-à-dire, comme le produit de rapports sociaux. De nos jours, l’approche constructiviste de l’ethnicité prédomine à travers toutes les sciences sociales, y compris l’anthropologie. C’est l’anthropologue Frederik Barth (1969) qui a théorisé l’aspect processuel de l’ethnicité, et ce, en lien avec l’ethnographie des relations intergroupes. Son approche se distingue en ce qu’elle problématise l’émergence de groupes ethniques et leur durabilité dans le temps. Comme l’a écrit Robin Cohen (1978 : 389), « l’ethnicité n’a pas d’existence en dehors des relations interethniques » (notre traduction). Avant d’aller plus loin, précisons certains des termes utilisés ici. « Ethnicité » englobe non seulement l’identité ethnique, mais aussi les modèles culturels qui caractérisent le groupe – certains d’entre eux servant à le délimiter –, les associations, institutions sociales, activités collectives et intérêts communs (Meintel 1993). À l’instar de Fischer (1986), nous ajoutons que l’ethnicité englobe aussi la mémoire, soit la quête des individus et des collectivités de traditions qui servent à développer une vision du futur. Bref, l’ethnicité concerne non seulement le passé, mais aussi le présent et l’avenir. Dans l’optique de Fischer, l’ethnicité n’est pas qu’une forme de distinction sociale, ou un élément de hiérarchisation : elle représente également une gamme de ressources symboliques. L’intérêt pour l’ethnicité en anthropologie doit beaucoup aux recherches en Afrique, notamment celles menées par l’École de Manchester dans les villes où les travailleurs migrants demeuraient. Dans leur optique, ces villes et les villages d’origine constituaient un seul champ social. Dans un vocabulaire centré sur le « tribalisme », des chercheurs britanniques liés à cette école, dont Godfrey et Monica Wilson, Max Gluckman, J. Clyde Mitchell et Elizabeth Colson parmi d’autres, ont développé le Rhodes Livingstone Institute, institut dédié à l’étude des cultures du nord de la Rhodésie (aujourd’hui la Zambie). Ces chercheurs étudiaient les transformations sociales et culturelles des paysans devenus travailleurs urbains. Dans ce contexte de contact intergroupes, les identités ethniques sont devenues prééminentes. Leur nouvelle importance dans les relations sociales des citadins s’illustre par la danse Kalela (Mitchell 1956). Ce rituel hebdomadaire d’invention urbaine où les danseurs mettaient en scène la diversité ethnique et des figures urbaines (médecin, infirmière, etc.). Ici, l’identité tribale (les danseurs provenaient du groupe Bisa) était réinventée comme une forme d’ethnicité urbaine (retribalisation dans les termes de Mitchell). Par ailleurs, Mitchell a développé un schéma de relations urbaines tripartite : relations personnelles, structurelles et « catégoriques ». Tandis que les relations structurelles étaient largement encadrées par les rôles fixes des participants (par exemple, ainé/cadet, patron/ouvrier), les relations « catégoriques » (categorical relationships) concernaient les relations ponctuelles et superficielles; par exemple, au marché, dans les foules urbaines (Mitchell 1966) et largement gouvernées par des stéréotypes ethniques, pas forcément négatifs (1966). Plus tard, Jean-Loup Amselle (1990) a soulevé la question du rôle du colonialisme dans la création de frontières artificielles entre les sociétés africaines. S’appuyant sur ses recherches auprès de plusieurs groupes maliens, notamment les Malinkés, les Peuls et les Bambaras, l’ethnologue propose, plutôt que de considérer les sociétés africaines comme des entités étanches où coïncident cultures, langues et frontières politiques et sociales, de les définir comme une « chaîne de sociétés » caractérisée par un « syncrétisme originaire ». Dans la même veine, Lee Drummond concevait les sociétés des Caraïbes comme un « continuum culturel » caractérisé par une hybridation incessante, perspective qu’il appliqua par la suite à la société pluriethnique de Montréal (1982). Bien que la diversité ethnique (et religieuse) soit le sujet de grands débats sociaux, les études ethnographiques sur les relations interethniques n’abondent pas. Celle de Gerd Baumann (1996) fait exception, l’anthropologue ayant étudié les discours identitaires des habitants d’un district de Londres très diversifié et densément peuplé. Sa monographie illustre bien la fluidité des identités, des discours et des pratiques à l’égard de l’ethnicité. La labilité des frontières ethniques, pour ne pas mentionner la variabilité de marqueurs qui les définissent est illustrée par l’identité « québécoise » au Québec, définie largement par la langue maternelle française, tandis qu’auparavant, les habitants de la province se considéraient plutôt comme Canadiens français, catégorie définie principalement par la confession catholique. Cette mutabilité des frontières et des marqueurs soulève la question de la légitimité des identités et des revendications de droits ou de ressources articulées dans le cadre de ce que plusieurs dénomment « la politique identitaire ». Ces enjeux sont au cœur des travaux d’anthropologues comme James Clifford (2000), parmi d’autres. Clifford se penche sur plusieurs sociétés autochtones, dont les Kanaks de Nouvelle-Calédonie et les Nisga’a de la Colombie-Britannique, pour critiquer la tendance de certains anthropologues (par exemple, Kuper 2003) à considérer les discours identitaires de groupes indigènes comme « essentialistes » et leurs pratiques culturelles adaptatives comme « inventées ». L’auteur affirme par ailleurs que les luttes de groupes subalternes obligent les anthropologues à revoir la notion de « tradition » et à la concevoir non pas comme un corpus culturel figé, mais plutôt comme une gamme de ressources qui sont constamment remaniées. Les sociétés indigènes ne représentent pas, évidemment, des « minorités ethniques » comme les groupes immigrants (Eriksen 1993); au Canada, le terme « Premières Nations » connote leur statut distinct. Cependant, on constate certaines similitudes entre les enjeux identitaires et politiques des peuples autochtones et les minorités ethniques (Cipolla 2017), à plus fort raison compte tenu du fait que la majorité des autochtones au Canada et au Québec vivent en dehors des réserves. Par exemple, les diasporas, telles que Clifford (1994) les présente, concernent les Juifs et les Arméniens mais aussi des peuples amérindiens forcés à quitter leurs territoires (Clifford 2007). Les études anthropologiques de l’ethnicité ont pris une nouvelle tournure avec les travaux de Nina Glick Schiller et ses collègues (Glick Schiller, Basch et Blanc-Szanton 1992) sur la transnationalité. Dans cette optique, l’ethnicité des groupes immigrants est abordée non seulement en rapport avec un territoire particulier (quartier, ville, etc.), mais aussi en lien avec le pays d’origine des migrants et d’autres régions du monde où se trouvent des personnes du même groupe. Les nombreuses études en sciences sociales influencées par ce courant révèlent les dimensions politiques et économiques des réseaux transnationaux des migrants, tout en montrant que la transnationalité ne concerne pas tous les migrants de manière égale. Enfin, le « champ social » où se construit l’ethnicité s’étend désormais au-delà des frontières nationales. Dans les années récentes, nombreux chercheurs ont préféré parler de diversité plutôt que d’ethnicité, pour englober des critères tels que la religion, la l’orientation sexuelle, etc. Comme d’autres le reconnaissent, la diversité n’est pas un concept rigoureux (Kraus date) ; certains considèrent la diversité comme l’angle mort du racisme (CJF) puisqu’elle peut occulter les inégalités entre groupes ethniques. La sociologue Danielle Juteau (2018, p. 38) insiste sur pertinence de l’ethnicité de nos jours pour développer une perspective critique sur la diversité, puisque « son approche relationnelle et constructiviste, souvent matérialiste et transversale, en éclaire diverses facettes » de la diversité. Nous avons eu l’occasion de constater la création de nouvelles catégories ethniques, notamment celle d’ « Arabes » pour désigner les musulmans du Moyen-Orient, repris par des jeunes musulmans eux-mêmes pour s’identifier (Meintel 2018, p. 6-7). L’ethnicité nous semble toujours actuelle comme outil conceptuel pour mieux comprendre les relations intergroupes et les inégalités qui les caractérisent.
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Dissertations / Theses on the topic "Travailleurs sociaux pour les jeunes – Attitudes – Québec (Province)"

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Fecteau, Jean-François. "Étude des représentations et cohérence épistémologique des intervenants de centre jeunesse qui utilisent la thérapie orientée vers les solutions." Thesis, Université Laval, 2012. http://www.theses.ulaval.ca/2012/28904/28904.pdf.

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Le, Pain Isabelle. "Difficultés émotionnelles et relations professionnelles : portrait de l'expérience des intervenants en protection de l'enfance." Doctoral thesis, Université Laval, 2020. http://hdl.handle.net/20.500.11794/40076.

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Abstract:
Cette recherche visait à mieux comprendre les difficultés émotionnelles (DÉ) chez les intervenants (anxiété, dépression, burnout, etc.) en protection de l’enfance au Québec, ainsi que d’explorer les conséquences sur leurs relations professionnelles (avec l’enfant et la famille suivie, les collègues de travail et les gestionnaires) au moment où ils vivent ce type de difficultés. La recherche se situe dans une volonté d’introduire l’expérience subjective et le savoir expérientiel des intervenants en protection de l’enfance, à l'explication du phénomène des difficultés émotionnelles au travail qui avait, à ce jour, essentiellement été étudié dans une perspective psychologique et psychiatrique. Afin de mettre en lumière l’ensemble des facteurs impliqués dans l’augmentation ou la diminution des DÉ se dégageant de l’expérience sensible des sujets, nous avons développé un cadre conceptuel liant les théorisations de la sociologie clinique et de la sociologie interactionniste des émotions. Ce cadre conceptuel permet de prendre en considération les contextes conjoncturels et organisationnels, de même que le travail émotionnel des intervenants, dans l’analyse du portrait des difficultés émotionnelles vécues. Au niveau méthodologique, nous avons mené une recherche de type qualitatif, par le biais d’entretiens semi-dirigés à l’intérieur d’un CISSS et d’un CIUSSS de deux régions administratives distincts. La population cible de cette recherche était composée de trente et un (31) intervenants psychosociaux (travailleurs sociaux, criminologues, psychoéducateurs et bachelier en psychologie) oeuvrant dans les services de la protection de l’enfance. Nos résultats montrent que selon les participants, il existe trois (3) facteurs de protection liés au cadre de l’emploi (le mandat de l’organisation, la diversité du travail, les relations avec les collègues de travail). Les participants identifient également trois (3) facteurs conjoncturels, dix-neuf (19) facteurs organisationnels et quatre (4) facteurs individuels en cause dans leurs difficultés émotionnelles. Ainsi, deux de ces catégories sont structurelles et donc de sources extérieures à la personne. Cibler uniquement les facteurs individuels des DÉ limite donc les possibilités de transformer la tendance. Notamment, les participants ont identifié que la récente réforme du réseau de la santé et des services sociaux et les fusions à l’intérieur des CISSS et des CIUSSS ont eu des conséquences importantes sur l’organisation du travail et les modalités de pratique au sein des organisations en protection de l’enfance. Nos résultats présentent également les impacts fonctionnels des DÉ au niveau des relations professionnelles des intervenants. Ainsi, l’ensemble des participants note des conséquences délétères dans leurs relations avec les enfants et les familles suivis (diminution de l’intensité des suivis et des rencontres, actualisation de relations blessantes, diminution de l’aide et de l’empathie, diminution de la qualité du travail et des capacités objectives et analytiques). Selon 90% des participants, les DÉ ont des effets considérables dans les relations avec les gestionnaires (colère et frustration, méfiance, évitement et perte de confiance). Pour 68% d’entre eux, il existe aussi des impacts au niveau des relations avec les collègues de travail (isolement et retrait, effet boule de neige sur les collègues, diminution de la collaboration et de l’entraide). En somme, le projet de recherche permet d’associer directement la protection des intervenants à celles des enfants sous leur responsabilité. Il permet également de montrer que le travail émotionnel que doit produire l’intervenant, selon les exigences des institutions impliquées (employeur, institutions académiques et les ordres professionnels), est au cœur de toutes les relations professionnelles. La recherche permet de cibler les conditions favorables à l’exécution de ce travail émotionnel qui agit comme filtre protecteur dans les relations professionnelles. La recherche permet également de poursuivre le développement de la typologie du travail émotionnel.
This research aimed to better understand the emotional difficulties (depression, anxiety, burnout, etc.) of Quebec’s child welfare clinicians and to explore the impact of these difficulties on their professional relationships (with the children and their families, colleagues and managers). By highlighting their subjective experience and experiential knowledge, the research allows to explain the emotional difficulties in a work context outside of the dominant psychiatric and psychological perspective. A sociological framework based on the concept of emotional labor as well as the clinical sociology theories of work was developed. This conceptual perspective shed’s light and articulates the contextual, organizational and individual factors that impact emotional difficulties experienced by clinicians in a child welfare setting. The research methodology is qualitative, based on semi-directed interviews at the CISSS and a CIUSSS from two different administrative geographic regions in the Québec province. The population sample is composed of thirty-one psychosocial clinicians (Professional Social Workers, Criminologists, Psychoeducators and Bachelor Professional Psychologists) working in child welfare organizations. The research results demonstrate that there are three (3) main protection factors at work (organizational mandate, work diversity, peers relations). Furthermore, the following factors were identified as impacting their emotional difficulties; three (3) contextual factors, nineteen (19) organizational factors and four (4) individual factors. From these categories two of them are structural as therefore external to individual control. As a result, targeting individual factors to explain clinicians emotional difficulties restricts the possibility of modifying their situation. Specifically, participants identified that the latest health care reform including the CISSS and CIUSSS service structure changes led to significant consequences that deeply affected their work organization and their clinical practice in the context of child welfare context. Also, the results show clinical functional impacts on their professional relationships. Negative impacts on their relationships with families and children were reported by all clinicians (decrease of intensity in service delivery, hurtful relationships with clients, lack of empathy and helpful relationship, decrease of work quality and objective and analytical abilities of clinicians). For 90% of the participants, emotional difficulties had negative impact on their relationships with their managers (anger, frustration, trustfulness, avoidance and lack of confidence) and 68% with their colleagues (isolation and withdrawal, negative emotional contamination, decrease in collaboration and lack of mutual aid). Overall, this research demonstrates the importance of protecting clinicians in a children protection mandate. Also, it shows that the emotional work that clinicians must produce, according to the requirements of the institutions involved (employer, academia and professional orders) is at the of all professional relationships in a child welfare context. This research allows in this regard to highlight the favorable conditions of emotional work, which can act as a protective filter in child welfare services. The research also allows, finally, to extend the typology of emotional work.
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Chouinard, Rébecca. "La construction du rapport prédécisionnel : le processus organisationnel et les stratégies personnelles de délégués à la jeunesse au Québec." Master's thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/28109.

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Abstract:
En justice pénale, de nombreux outils d'évaluation sont utilisés afin d'éclairer la magistrature avant qu'une peine ne soit ordonnée. Chez les contrevenants mineurs, la confection d'un rapport prédécisionnel peut être ordonnée par le tribunal. Ce rapport permet de jeter un regard sur la situation de l'adolescent et sur son milieu pour déterminer le risque de récidive qu'il représente. À la fin du rapport, des recommandations sur la peine seront formulées en ce sens. Au Québec, ce sont des intervenants sociaux (délégués à la jeunesse) qui sont mandatés pour exécuter ce type d'évaluation. Les recherches scientifiques demeurent très limitées concernant le contexte de travail chez les délégués à la jeunesse, particulièrement en ce qui concerne le processus de rédaction des rapports prédécisionnels. Cette étude s'appuie sur la théorie de l'acteur stratégique. Selon ses auteurs, Michel Crozier et Erhard Friedberg (1977), il existe un écart entre la pratique théorique des acteurs d'une organisation et leurs actions réelles. L'utilisation de ce cadre théorique permet de mieux saisir les différentes influences auxquelles peuvent être assujettis les délégués qui œuvrent au sein d'une organisation et qui peuvent expliquer cet écart. Un Centre jeunesse au Québec a constitué le site de recherche et des entrevues individuelles ont été réalisées auprès de sept délégués à la jeunesse. Cette recherche de nature exploratoire révèle, d'une part, que différents éléments du contexte organisationnel dans lequel œuvre le délégué à la jeunesse peuvent influer sur le processus de construction de ses rapports prédécisionnels (entre autres, des pressions vécues au travail). D'autre part, il apparaît qu'au-delà de leur contexte de travail, d'autres facteurs plus subjectifs (les valeurs individuelles et la perception variable de la sévérité de la peine, par exemple) semblent intervenir chez les délégués dans la rédaction de leurs rapports et influer sur le choix des recommandations de peine.
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Mailhiot, Pierre-Luc. "Regard sur la réalité des intervenant(e)s travaillant ou ayant travaillé auprès de la clientèle des centres jeunesse du Québec et pratiquant la présence attentive : une analyse phénoménologique interprétative." Master's thesis, Université Laval, 2020. http://hdl.handle.net/20.500.11794/67231.

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Abstract:
Au Québec, les intervenant(e)s des centres jeunesse font face à une multitude de situations stressantes, les mettant ainsi à risque d’épuisement professionnel. À ce jour, aucune étude québécoise ne s’est intéressée au vécu d’intervenant(e)s en centres jeunesse, en lien avec leur perception du bien-être au travail, et pratiquant la présence attentive. Une recension de la littérature a mis en évidence les bienfaits de la pratique de la présence attentive face aux risques d’épuisement professionnel. Il nous est donc apparu pertinent d’investiguer si cela s’appliquait également aux intervenant(e)s des centres jeunesse. Les objectifs de la présente recherche étaient les suivants : 1) explorer la perception du bienêtre au travail des intervenant(e)s, 2) décrire la pratique de la présence attentive telle que vécue par les intervenant(e)s et le sens qu’elles y accordent et 3) explorer les effets perçus de la présence attentive dans leur rapport au travail. Afin de répondre à ces objectifs, un devis de recherche qualitatif basé sur l’approche de l’analyse phénoménologique interprétative (IPA) de Smith, Flowers et Larkin (2009) a été utilisé. Quatre entrevues individuelles semi-dirigées ont été conduites et une analyse phénoménologique interprétative des données recueillies a été effectuée. Les résultats ont mis en évidence l’existence de douze dimensions expérientielles communes au vécu des quatre participantes. Finalement, la mise en dialogue des résultats de la recherche et de la recension des écrits au sujet de la présence attentive et du milieu de réinsertion sociale suggère que plusieurs éléments affectent la perception du bien-être au travail des intervenantes interviewées. La présence attentive pour sa part constitue un atout important, mais représente davantage un moyen parmi d’autres de favoriser ce bien-être.
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Tessier, Véronique. "Prévalence et facteurs de risque les plus fortement associés à la présence de stress traumatique secondaire chez les intervenants sociaux en protection de la jeunesse." Master's thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/29982.

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Abstract:
Cette étude descriptive quantitative a pour objectif de contribuer au développement des connaissances sur le stress traumatique secondaire (STS) chez les professionnels en relation d’aide, plus spécifiquement chez les agents de relations humaines (ARH) oeuvrant à l’application des mesures en protection de la jeunesse. Elle vise à documenter la prévalence du STS et de ses concepts associés, soit l’épuisement professionnel et le niveau de satisfaction de compassion. Elle vise aussi à identifier différents facteurs de risque personnels et professionnels associés à la présence du STS et d’établir leur poids relatif. Afin d’atteindre ces objectifs, un questionnaire auto-administré a été présenté et remis à l’ensemble des ARH oeuvrant à l’application des mesures au Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux de la Capitale-Nationale (CIUSSS-CN). Ce questionnaire comprenait un questionnaire conçu aux fins de la recherche et deux instruments de mesure standardisés : 1- l’Échelle de qualité de vie professionnelle (ProQOL-V) de Stamm (2009) et 2- l’Échelle d’évaluation du stress traumatique secondaire de Bride, Robinson, Yegidis et Figley (2004). Les données ont été colligées entre janvier et mars 2017. La population à l’étude était de 118 intervenants. Au total, 72,03 % d’entre eux ont participé à la recherche (n= 85). Diverses analyses statistiques ont été réalisées à l’aide du logiciel SPSS. Globalement, les résultats indiquent des prévalences élevées d’épuisement professionnel (30,6 %) et de STS (28,9 %). Les analyses bivariées et le modèle de régression logistique ont quant à eux permis d’établir que les antécédents de traumatismes psychologiques personnels et de traumatismes psychologiques vécus au travail sont associés de façon significative à la présence de STS. Mots clés : stress traumatique secondaire, épuisement professionnel, protection de la jeunesse, CIUSSS-CN.
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Bouchard, Caroline. "Le soutien aux jeunes en difficulté : étude de la relation entre les facteurs de risque psychosociaux chez le jeune et le réseau d'acteurs qui s'implique auprès de lui." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 2001. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk3/ftp04/MQ57802.pdf.

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Durand, Caroline. "La perception du phénomène de l'enfant abuseur sexuel chez les intervenants et intervenantes en protection au Centre jeunesse de Québec." Thesis, Université Laval, 2006. http://www.theses.ulaval.ca/2006/23830/23830.pdf.

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Pleau, Alexandre. "Les effets de la judiciarisation sur l'implication parentale en protection de la jeunesse : perceptions des intervenants." Thesis, Université Laval, 2013. http://www.theses.ulaval.ca/2013/29609/29609.pdf.

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Abstract:
La présente étude vise à déterminer quelles sont les perceptions des intervenants en protection de la jeunesse quant aux effets de la judiciarisation des situations sur l’implication parentale. En s’appuyant sur la théorie des représentations sociales, une recherche qualitative de nature exploratoire a été menée auprès de dix intervenants du Centre Jeunesse de Québec-institut universitaire. Un guide d'entrevue semi-structurée et un questionnaire ont servi à la cueillette des données. L'implication parentale, telle que définie par les participants, comporte cinq dimensions, soit, en ordre d’importance : 1) l’intérêt pour l’enfant, 2) la réponse aux besoins de l’enfant, 3) la mise en action, 4) la reconnaissance du problème et 5) la collaboration avec les services. Les intervenants ont perçu différents effets de la judiciarisation sur ces dimensions alors qu'ils pensent qu'elle peut avoir des effets positifs, négatifs ou encore n’avoir aucun effet sur l’implication parentale dépendamment du contexte. Des pratiques d'intervention ont également été répertoriées par les intervenants pour favoriser l'implication parentale.
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Lottinville, Marie-Pier. "Les facteurs de protection favorisant la non-récidive chez les adolescent(e)s ayant commis des agressions sexuelles." Master's thesis, Université Laval, 2016. http://hdl.handle.net/20.500.11794/26672.

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Abstract:
Cette étude qualitative exploratoire analyse les récits de vie de quatre adolescent/es ayant commis une agression sexuelle ou plus, ainsi que les récits d’expériences professionnelles de trois intervenant(e)s ayant travaillé auprès d’adolescents auteurs d’abus sexuels. Le but poursuivi est de répondre à la question de recherche suivante : quels sont les facteurs de protection favorisant la non-récidive chez les adolescent/es ayant commis une agression sexuelle ? La parole est accordée aux répondants afin d’en connaître davantage sur leur vécu et leur parcours de vie avant et à la suite de l’infraction sexuelle. Deux concepts sont au cœur de l’étude, l’environnement social et ses réactions ainsi que le sens dégagé de l’expérience des adolescents rencontrés. Le fort sentiment de honte suivant le délit ainsi que le développement de soi sont relevés comme étant des facteurs de protection ayant favorisé la non-récidive suivant le délit de nature sexuelle des jeunes rencontrés. Des recommandations sont formulées en lien avec les stratégies d’intervention et les pistes de recherche futures.
This exploratory study examines the life stories of four teens who committed at least one sexual offense, and the professional experience of three service providers who have worked with juvenile sexual offenders. The aim of this research is to answer the following question: what are the protective factors promoting non-recidivism of adolescents who committed a sexual assault? The word is given to respondents to learn more about their experiences and their life paths before and after the sexual offense. Two concepts are at the heart of the study, the social environment and its reactions and the clear sense of the experience of adolescents encountered. The strong sense of shame after the crime and self-development are identified as protective factors that favored the non-recurrence of the behavior. Recommendations are made in connection with the intervention strategies and future research directions.
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