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Journal articles on the topic 'Trouble de la personnalité'

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1

Pham-Scottez, A. "Le réseau européen de recherche sur la personnalité borderline : présentation de l’étude et principaux résultats." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 60–61. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.159.

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Abstract:
Le concept de trouble de la personnalité borderline à l’adolescence donne lieu depuis de nombreuses années à de multiples débats et controverses, tant sur le plan théorique que dans la pratique clinique quotidienne. Partant de ce constat, 10 équipes européennes francophones (France, Suisse, Belgique), spécialisées dans la prise en charge du trouble borderline, se sont rassemblées pour créer le réseau européen de recherche sur la personnalité borderline (EUR-NET-BPD). L’objectif principal de cette étude était d’identifier les caractéristiques psychopathologiques spécifiques au trouble borderline chez l’adolescent (structuration de la personnalité, tempérament, impulsivité, mécanismes de défense, modalités d’attachement, expression émotionnelle, comorbidités…). Les objectifs secondaires de l’étude comprenaient l’étude de la place, du rôle et de la fonction de la dépression, la validation d’un outil de dépistage du trouble borderline, la caractérisation de facteurs étiopathogéniques, la mesure de l’impact des prises en charge chez les adolescents borderline. Un total de 85 adolescents de 15 à 19 ans (âge moyen 16,3 ans) borderline (diagnostic SIDP-IV) et 84 témoins non borderline appariés pour l’âge et le sexe ont été recrutés dans cette étude longitudinale multicentrique. Les critères borderline les plus fréquents chez les patients étaient les TS et automutilations, l’humeur instable, l’impulsivité et les colères inappropriées. Les principaux troubles de l’axe I vie entière retrouvés comprenaient les troubles de l’humeur (EDM : 71 %, dysthymie : 11 %, ED non spécifié : 6 %), les troubles alimentaires (anorexie : 40 %, boulimie : 33 %), le THADA (17 %), les troubles des conduites (18,8 %), le trouble oppositionnel avec provocation (31 %), les troubles liés à l’utilisation d’alcool ou de drogues et le PTSD (20 %). Les troubles de la personnalité les plus comorbides avec le trouble borderline étaient les personnalités obsessionnelle (35 %), antisociale (22 %), évitante (21 %), dépendante (12 %) et paranoïaque (10 %). Ces résultats seront comparés à ceux de la littérature internationale et commentés.
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2

Guelfi, J. D. "Nouveautés dans les troubles de la personnalité." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 36. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.089.

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Abstract:
Les troubles de la personnalité figurent dans deux sections distinctes de la classification. Dans la section II, on retrouve la définition générale des 10 troubles de la personnalité selon le DSM-IV TR, avec les critères diagnostiques inchangés et, pour chaque trouble, des considérations actualisées sur : les caractéristiques cliniques principales, les caractéristiques associées, les chiffres de prévalence, l’évolution, les facteurs de risque connus, les considérations culturelles et selon le genre, le diagnostic différentiel enfin. Dans la section III, un chapitre consacré à un modèle alternatif pour les troubles de la personnalité inclut de nouveaux critères diagnostiques généraux. Les principaux changements concernent les critères obligatoires A et B. Le critère A concerne le fonctionnement de la personnalité. Le critère B concerne les traits de personnalité pathologique dans cinq dimensions : l’affectivité négative, le détachement, l’antagonisme, la désinhibition et le psychoticisme. Au sein de ces dimensions, figurent 25 facettes cliniques distinctes. Sont ensuite envisagés six troubles spécifiques de la personnalité, définis par des altérations typiques du fonctionnement psychique (critère A) et par des traits de personnalité pathologique (critère B). De nouveaux critères sont proposés pour les personnalités antisociales, évitantes, borderline, narcissiques, obsessionnelles compulsives et schizotypiques. Pour les sujets répondant aux critères généraux mais pas à ceux des troubles spécifiques, le diagnostic de trouble de personnalité spécifié par les traits est retenu pour autant que le critère B soit rempli. Le chapitre suivant est consacré aux différents traits de personnalité. Il est inspiré principalement par le modèle des cinq facteurs. Le questionnaire recommandé pour évaluer les cinq dimensions et les 25 facettes cliniques est le PID-5 de R Krueger (en accès libre pour l’instant sur Internet). Suivent des considérations sur l’utilité clinique de l’évaluation du fonctionnement en 5 niveaux et une définition précise des 25 facettes. La section III a repris les principales recommandations du groupe de travail publiées (et largement critiquées !). Celles-ci seront commentées.
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Loas, G., J. D. Guelfi, C. Barrois, G. Gruselle, and M. Smith. "Troubles thymiques chez les personnalités dépendantes." Psychiatry and Psychobiology 4, no. 4 (1989): 221–26. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00002789.

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Abstract:
RésuméLa personnalité dépendante est un trouble de la personnalité individualisé en 1980 par le DSM-III. Décrit moins souvent chez l’homme, ce trouble de la personnalité peut se compliquer de troubles thymiques. Afin de préciser la fréquence de ces complications chez les dépendants de sexe masculin, nous avons réalisé une étude portant sur 48 hommes effectuant leur service militaire, donc séparés de leur entourage, et hospitalisés dans un service de psychiatrie. Les troubles aigus étaient évalués selon l’axe I du DSM-III. Les résultats (Tableau I) ont montré une fréquence élevée de dépressions majeures et de troubles dysthymiques. Cette étude ne suffit certes pas en elle-même à justifier l’individualisation d’une personnalité dépendante; elle montre cependant l'intérêt de l'évaluation de cette dimension psychologique qui semble corrélée à divers troubles thymiques, surtout en cas de rupture des liens d’attachement. Ces résultats demandent néanmoins à être confirmés par des études catamnestiques et sur des populations différentes.
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Corcos, M. "Actualités 2015 autour du trouble de la personnalité borderline." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S22—S23. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.071.

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Abstract:
Le trouble borderline est le plus fréquent des troubles de la personnalité, et sa prise en charge reste un enjeu majeur pour les psychiatres d’adultes, mais aussi pour les psychiatres d’adolescents et d’enfants. Le trouble borderline, même s’il trouve pour partie son étiopathogénie dans certaines anomalies génétiques, est aussi profondément caractérisé par des facteurs environnementaux précoces de l’enfance. Nous commenterons les études les plus récentes qui, via une conception plus dimensionnelle du trouble, retrouvent un continuum entre les adultes borderline et certaines anomalies développementales chez l’enfant. Nous ferons également une description plus précise des profils de ces enfants, illustrant certaines données sur les fondements étiologiques du trouble borderline, et nous discuterons des possibilités de prévention de ce trouble. Les troubles liés à l’utilisation de substances sont une des comorbidités les plus fréquentes chez les adolescents présentant un trouble de la personnalité borderline, compliquant le suivi de ces jeunes patients, et pouvant entraîner retrait social et désinvestissement scolaire. Nous détaillerons la prévalence des différents troubles liés à l’utilisation de substances chez les adolescents borderline de notre étude, en comparant nos résultats à ceux décrits dans la littérature internationale. Les tentatives de suicide constituent une préoccupation constante pour les cliniciens, mais également un problème majeur de santé publique via le surcoût engendré (passages aux urgences, hospitalisations…). Aucun traitement psychotrope n’a prouvé son efficacité dans la prévention des tentatives de suicide chez les patients borderline, et certaines psychothérapies, comme la thérapie dialectique comportementale de M. Linehan, ont été développées spécifiquement diminuer la fréquence des passages à l’acte hétéro-agressifs de ces patients. Nous présenterons un dispositif innovant de prévention reposant sur la mise en place d’une permanence téléphonique spécifiquement dédiée à ces patients borderline adultes.
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Morana, Hilda C. P. "Subtypes of Antisocial Personality Disorder and the Implications for Forensic Research: Issues in Personality Disorders Assessment." Rorschachiana 23, no. 1 (January 1999): 90–117. http://dx.doi.org/10.1027/1192-5604.23.1.90.

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Abstract:
Nous analysons 22 cas diagnostiqués comme Trouble de la Personnalité Antisociale poursuivis en justice et bénéficiaires de l’aide légale. Le diagnostic repose sur les critères stricts de la CIM-10 (F60.2) et du DSM-IV (301.7). Tous ces cas sont issus de l’expertise réalisée à l’Institut de Médecine Sociale et de Criminologie de l’état de Sao Paulo (IMESC) qui visait à évaluer leur état mental. L’expertise comprenait une évaluation psychiatrique et le test du Rorschach. D’autres tests psychologiques, des évaluations neurologiques et autres examens complémentaires ont été effectués à la demande. Les procédures judiciaires concernaient toutes des actes criminels. Toutefois on trouve des différences importantes quant à la potentialité criminelle. Ce fait, ainsi que d’autres éléments issus des dossiers, nous a persuadé que non seulement l’on se trouvait devant des potentialités criminelles distinctes mais qu’en outre que d’importantes différences dans la personnalité étaient en jeu, qui ne peuvent être appréhendées par les critères diagnostiques couramment utilisés pour le Trouble de la Personnalité Antisociale. En corrélant ces item avec la dynamique psychique donnée par le Rorschach et inférée des anamnèses des sujets, nous avons trouvé dans notre échantillon quatre sous-types bien distincts de Trouble de la Personnalité Antisociale, pour lesquels nous avons gardé la terminologie psychiatrique classique, et qui ne peuvent être considérés simplement comme des variantes individuelles. Cela ne veut pas dire, compte tenu des limitations de notre échantillon, qu’il ne pourrait exister d’autres sous-type. Dans le groupe diagnostiqué comme Trouble de la Personnalité Antisociale, nous avons trouvé les quatre sous-types suivants: instabilité (8 cas), caractère pervers (7 cas), explosivité (5 cas) et asthénie (2 cas). Bien que nous n’ayons pas procédé à des analyses statistiques, cette étude qualitative représente le point de départ d’une ligne d’investigation que les auteurs ont l’intention de poursuivre concernant le problème des troubles spécifiques de la personnalité. L’analyse porte sur les données démographiques, l’histoire personnelle, les antécédents, les épisodes cliniques, l’histoire des faits incriminés et l’âge auquel ils ont été commis, ainsi que sur les item diagnostiques. Les résultats du Rorschach sont présentés dans des tableaux et interprétés en référence à l’échantillon composé de 10 sujets non consultants qu’utilise Silveira (23) pour la standardisation du Rorschach à la population brésilienne. Dans la conclusion générale, nous mettons l’accent sur les aspects de la dynamique complexe du psychisme qui ont trait à la répercussion. L’un de ces aspects concerne des modalités particulières de la perception et de la pensée. L’autre aspect est lié à l’assertion donnée dans la définition du Trouble de la Personnalité Antisociale à la CIM-10: “incapacité de se conformer aux normes et règles sociales et aux obligations sociales.” En ce qui concerne le type d’infraction, nous avons observé que (1)dans le type explosif, ce sont les atteintes physiques et l’alcoolisation qui prédominent; (2)dans le caractère pervers, on trouve surtout des homicides (y compris attaque à main armée), utilisation de cannabis et absence de troubles épileptiformes, ainsi que des traumatismes accidentels; (3)on trouve une plus grande variété d’actes criminels ainsi que des addictions à la cocaïne dans le type instable. Les troubles associés à l’épilepsie prédominent dans les types antisocial et instable. Les auteurs estiment que les résultats de la présente étude intéressent les procédures épidémiologiques, d’expertise et de traitement, notamment en ce qui concerne les conséquences judiciaires et les possibilités de réhabilitation psychosociale des personnes qui présentent un Trouble de la Personnalité Antisociale.
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Paris, Joel. "Traumatisme et trouble de la personnalité limite." Dossier : Les états de stress post-traumatique 21, no. 1 (September 11, 2007): 177–87. http://dx.doi.org/10.7202/032386ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Le présent article passe en revue Timportant corpus de preuves empiriques amassées au sujet du rapport qu'il est possible d'établir entre certaines expériences traumatiques subies durant l'enfance et l'installation des troubles de la personnalité dite limite ou « borderline » chez l'adulte. Les connaissances accumulées à ce jour nous indiquent qu'un traumatisme subi durant l'enfance est l'un des nombreux facteurs de risque à l'égard des personnalités limites, mais qu'il ne saurait en être le principal facteur étiologique.
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Cherrier, Jean-François. "Réflexions sur le traitement basé sur la mentalisation ainsi que son adaptation pour des hommes présentant des troubles de la personnalité mixte ou narcissique." Dossier : Mosaïques 38, no. 1 (October 30, 2013): 243–58. http://dx.doi.org/10.7202/1019195ar.

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Abstract:
Le trouble de la personnalité narcissique (TPN) et le trouble de la personnalité mixte (limite et narcissique) sont de sérieux problèmes de santé mentale chez les hommes. Ces pathologies sont notamment caractérisées par des réactions intenses à une menace perçue de l’estime de soi et une capacité compromise à être empathique, ce qui prédispose à des difficultés relationnelles importantes. Considérant aussi ces troubles de la personnalité comme étant des troubles de la régulation affective, l’auteur illustre comment la dysrégulation affective stimulée par l’émergence de la honte engendre une perte de la capacité de mentaliser. Cet article présente la mise en place de même qu’une description d’un traitement individuel et de groupe basé sur la mentalisation pour hommes narcissiques. Différentes réflexions sur le traitement, sur l’empathie, ainsi que l’adaptation de cette approche pour des patients vivant avec un TPN sont faites et sont illustrées par des vignettes cliniques.
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Di Nicola, M., L. Sala, L. Romo, V. Catalano, C. Dubertret, G. Martinotti, M. Mazza, et al. "Trouble déficit d’attention avec ou sans hyperactivité chez des adultes souffrant d’un trouble de l’humeur : le rôle des dimensions de la personnalité." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 47. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.122.

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Abstract:
IntroductionDans les cas des troubles bipolaires, les taux de comorbidité avec un TDAH peut varier entre 9,5 % et 27 % [1]. Ces patients présentent un début de trouble plus précoce, avec plus d’épisodes dépressifs et des épisodes mixtes. Il existe peu d’étude sur le lien entre ces deux pathologies et les différentes dimensions de personnalité selon le modèle de Big Five. MethodsNotre étude comporte 106 patients souffrant de dépression, 102 patients bipolaires et 120 témoins, tous homogènes vis-à-vis de leurs caractéristiques démographiques. Le diagnostic de TDAH se basait sur les critères DSM-IV-TR. Les traits de TDAH étaient autoévalués avec la Wender Utah Rating Scale (WURS), la Adult ADHD Self-rating Scale (ASRS) et la Brown Attention Déficit Disorder Scale (ADD). L’Inventaire de Personnalité-Révisé, le NEO PI-R, servait également à évaluer les dimensions de la personnalité au sein des groupes cliniques. Résultats15,7 % des adultes souffrant d’un trouble bipolaire et 7,5 % souffrant d’une dépression sévère manifestaient une comorbidité d’un TDAH en comparaison avec seulement 3,3 % des témoins. Il existe des corrélations significatives entre des traits de personnalité et la présence d’un TDAH. Une analyse de régression logistique de l’ensemble des 208 sujets cliniques a montré que ceux avec des faibles niveaux de névrosisme manifestaient un taux moins important de comorbidité avec un TDAH. DiscussionNotre étude souligne le lien entre des troubles de l’humeur, notamment les troubles bipolaires, et la présence d’un TDAH chez des adultes. Nos résultats soutiennent la nécessité d’évaluer les sujets souffrant des troubles d’humeur sur une éventuelle comorbidité de TDAH en milieu clinique. Il faudra étudier d’une façon plus approfondie ces traits de personnalité et les liens entre des troubles de l’humeur et un TDAH afin de pouvoir adapter la prise en charge.
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Clément, Angelica, Katherine Raymond, Svetlana Puzhko, Julie Bruneau, and Didier Jutras-Aswad. "Exploration des mécanismes potentiels sous-jacents aux troubles liés à l’utilisation d’une substance chez les personnes atteintes d’un trouble de la personnalité." Santé mentale au Québec 39, no. 2 (December 15, 2014): 99–115. http://dx.doi.org/10.7202/1027834ar.

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Abstract:
IntroductionLes troubles de la personnalité appartenant au groupe B du DSM-V, notamment les troubles de la personnalité limite et antisociale, sont associés à des taux élevés de problèmes liés à l’utilisation d’une substance. Les mécanismes qui pourraient expliquer cette relation demeurent cependant mal compris. Lecravinga par ailleurs récemment été reconnu comme étant une composante majeure des troubles liés à l’utilisation d’une substance. Le but de cet article est donc d’effectuer une recension des écrits afin d’explorer la possibilité que lecravingexplique en partie cette comorbidité fréquente chez les personnes atteintes de troubles de la personnalité limite ou antisociale.MéthodeRevue critique de la littérature.RésultatsUn nombre limité d’études suggèrent une association positive entre la présence de troubles de la personnalité et lecraving. Par ailleurs, les personnes atteintes de ces troubles répondent différemment aux médicaments qui réduisent ce symptôme, lorsque comparées à des sujets normaux. Alors qu’un nombre réduit d’études ont porté directement sur lecravinget les troubles de la personnalité, plusieurs ont exploré l’association entre certains traits de tempérament et lecraving. La corrélation entre l’impulsivité, les affects négatifs et lecravingpourrait potentiellement expliquer la prévalence élevée et la sévérité des troubles liés à l’usage de substances chez les personnes atteintes d’un trouble de la personnalité limite ou antisociale.ConclusionCes résultats suggèrent que certains traits de personnalité seraient liés aucravinget pourraient servir de cibles intéressantes pour prévenir, évaluer et gérer les troubles comorbides liés à l’utilisation de substances.
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Larivière, Nadine. "Comparaison de la participation sociale entre trois groupes de personnes ayant des troubles mentaux." Développement Humain, Handicap et Changement Social 20, no. 2 (February 25, 2022): 105–18. http://dx.doi.org/10.7202/1086718ar.

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Abstract:
La participation sociale est un concept qui n’a été que peu étudié dans le domaine de la santé mentale. Cet article vise à comparer la participation sociale de 24 personnes avec un trouble psychotique, 22 personnes avec un trouble de l’humeur et anxieux et 28 personnes avec un trouble de la personnalité du groupe B en phase aiguë/subaiguë. La Mesure des habitudes de vie (version abrégée 3.1) a été utilisée pour mesurer la participation sociale. Elle contient 77 habitudes de vie regroupées dans six domaines d’activités courantes et six domaines de rôles sociaux. Les analyses ont démontré que les trois groupes ont sensiblement la même qualité de participation sociale. Les personnes avec un trouble de l’humeur et anxieux en étaient toutefois plus insatisfaites que les personnes avec un trouble psychotique (p = 0,01). Le domaine des soins personnels s’est avéré le plus facilement réalisé et le plus satisfaisant par les trois groupes. Le domaine des loisirs s’est révélé le plus difficilement réalisé par les personnes avec un trouble de l’humeur et anxieux et celles avec un trouble de la personnalité du groupe B. Les domaines de l’éducation et du travail ont présenté des difficultés pour le groupe des troubles psychotiques. Les personnes présentant un trouble de l’humeur et anxieux considèrent que les activités entourant la condition corporelle sont celles accomplies avec le plus d’insatisfaction. Pour les personnes avec un trouble de la personnalité du groupe B se sont les relations interpersonnelles qui représentent le plus d’insatisfaction et chez les personnes avec un trouble psychotique se sont le travail et l’éducation.
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Gamache, Dominick, and Louis Diguer. "Le cinéphile : réflexions sur le traitement d’un trouble de personnalité schizoïde." Santé mentale au Québec 37, no. 1 (October 3, 2012): 135–55. http://dx.doi.org/10.7202/1012649ar.

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Abstract:
S’il est généralement admis que le traitement des troubles de la personnalité constitue une entreprise souvent parsemée d’embûches, les connaissances sur les défis et obstacles de l’intervention associés au traitement des troubles du groupe A du DSM demeurent limitées. Le présent article se propose d’illustrer ces difficultés à partir de l’étude du suivi d’un patient présentant un trouble de personnalité schizoïde, qui a bénéficié pendant plus d’un an d’un traitement psychodynamique. Les vicissitudes de ce suivi permettront d’explorer les angoisses relationnelles profondes qui peuvent compliquer le traitement de ce trouble, et comment ces angoisses doivent être prises en considération dans les interventions. Les enjeux contre-transférentiels puissants suscités par ces patients seront approfondis, en particulier ceux générés par les silences prolongés et la gestion constante de la distance thérapeutique optimale. L’article propose également une réflexion sur les limites de la conceptualisation actuelle du trouble par les modèles catégoriels comme celui du DSM, et fait ressortir comment une compréhension dynamique qui fait appel aux notions d’angoisse et d’ambivalence relationnelle peut enrichir le traitement.
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Cousineau, Pierre, and Jeffrey E. Young. "Le traitement du trouble de la personnalité limite par l’approche centrée sur les schémas." Dossier : Thérapies et patient borderline 22, no. 1 (June 12, 2008): 87–105. http://dx.doi.org/10.7202/502096ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Le défi de traiter les troubles de la personnalité a exigé des modifications à rapproche cognitive de base. L'approche centrée sur les schémas de Young propose pour le trouble de personnalité limite un modèle d'intervention qui repose sur les concepts de schémas et de modes. Selon ce modèle, la personnalité limite présente quatre modes de fonctionnement inadaptés : l'enfant abandonné, le protecteur détaché, le parent punitif et l'enfant en colère. Le thérapeute doit identifier la présence de ces modes et utiliser des stratégies thérapeutiques spécifiques à chacun d'eux. Les stratégies thérapeutiques sont de quatre niveaux différents : le relationnel, l'expérienciel, le cognitif et le comportemental.
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Cryns, Ingrid. "Trouble de la personnalité borderline, honte et contre-transfert somatique." Clinical Journal of the International Institute for Bioenergetic Analysis 27, no. 2 (March 2017): 115–63. http://dx.doi.org/10.30820/0743-4804-2017-27-7-fr-115.

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Abstract:
Comprendre des causes possibles du trouble de la personnalité borderline (TPB) et des manières dont ce trouble diffère du trouble bipolaire (TB), du trouble de la personnalité narcissique (TPN), du trouble de stress post-traumatique (TSPT) ou du trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH), voilà ce dont traite cet article. Les caractéristiques de ces différents troubles peuvent se révéler difficiles à saisir, se chevauchent régulièrement, se côtoient parfois, et il arrive que le diagnostic soit erroné. Cet article offre une vue d’ensemble qui compare les similarités et les différences entre ces maladies. Ainsi les manières dont l’affect central de la honte peut être ressenti d’un point de vue somatique chez le client souffrant d’un trouble borderline sont expliquées. L’article se penche également sur la relation de honte afin d’en distinguer les sentiments négatifs de dégoût, d’abandon et de rejet. Certaines informations s’adressent au psychothérapeute en Analyse bioénergétique lorsqu’il fait face à des états émotionnels difficiles, et lui propose un programme de guérison intégré pour un client avec un TPB. Sont incluses certaines suggestions de régimes, de complémentations alimentaires et de remèdes naturels. Pour terminer, certaines recommandations sont offertes au sujet de la manière dont un psychothérapeute peut repérer et comprendre ses problèmes de contre-transfert afin de travailler plus efficacement avec un client souffrant d’un TPB.
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Cryns, Ingrid. "Trouble de la personnalité borderline, honte et contre-transfert somatique." Clinical Journal of the International Institute for Bioenergetic Analysis 27, no. 1-FR (March 2017): 115–63. http://dx.doi.org/10.30820/0743-4804-2017-27-fr-115.

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Abstract:
Comprendre des causes possibles du trouble de la personnalité borderline (TPB) et des manières dont ce trouble diffère du trouble bipolaire (TB), du trouble de la personnalité narcissique (TPN), du trouble de stress post-traumatique (TSPT) ou du trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH), voilà ce dont traite cet article. Les caractéristiques de ces différents troubles peuvent se révéler difficiles à saisir, se chevauchent régulièrement, se côtoient parfois, et il arrive que le diagnostic soit erroné. Cet article offre une vue d’ensemble qui compare les similarités et les différences entre ces maladies. Ainsi les manières dont l’affect central de la honte peut être ressenti d’un point de vue somatique chez le client souffrant d’un trouble borderline sont expliquées. L’article se penche également sur la relation de honte afin d’en distinguer les sentiments négatifs de dégoût, d’abandon et de rejet. Certaines informations s’adressent au psychothérapeute en Analyse bioénergétique lorsqu’il fait face à des états émotionnels difficiles, et lui propose un programme de guérison intégré pour un client avec un TPB. Sont incluses certaines suggestions de régimes, de complémentations alimentaires et de remèdes naturels. Pour terminer, certaines recommandations sont offertes au sujet de la manière dont un psychothérapeute peut repérer et comprendre ses problèmes de contre-transfert afin de travailler plus efficacement avec un client souffrant d’un TPB.
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Thomas, P. "Actualités du trouble de personnalité borderline." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 555–56. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.360.

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Abstract:
Le trouble de personnalité borderline (TPB), ou état limite, est le plus fréquent des troubles de la personnalité. Il touche en effet 0,5 à 6 % de la population générale, 10 % des patients suivis en ambulatoire et jusqu’à 50 % des patients hospitalisés en psychiatrie. Le TPB présente un taux de suicide pouvant atteindre 10 % [1]. Pour les professionnels de santé mentale, cette pathologie souffre d’une image parfois négative, et suscite d’importants questionnements concernant le flou qui entoure son diagnostic et son étiopathogénie, la gravité et l’instabilité des symptômes, les difficultés de prise en charge et les relations particulières que ces patients tendent à nouer avec les soignants et les institutions. Pourtant, le TPB est un trouble bien défini avec des critères précis. De plus, la recherche se développe au niveau clinique, neurobiologique et psychothérapeutique et permet de réaliser des avancées importantes dans la compréhension et la prise en charge de ce trouble [2]. Ce symposium a pour objectif de présenter différents aspects des avancées réalisées dans le TPB. Au niveau clinique, la présence hallucinations chez les patients présentant un TPB est un phénomène encore mal reconnu et peu étudié. Pourtant ces hallucinations, principalement acoustico-verbales, sont retrouvées chez environ 30 % des patients atteint de TPB, et les recherches à leur sujet révèlent des pistes intéressantes pour la pratique clinique [3]. Au niveau étiopathogénique, il existe de nombreux arguments en faveur d’une interaction gène-environnement dans la genèse du TPB. Les pistes actuelles dans ce domaine correspondent à l’étude de nouveaux gènes candidats (axe du stress), au couplage de méthodes et à l’utilisation du concept de gène de plasticité plutôt que de gènes de vulnérabilité [4]. Finalement, les traitements et le développement de techniques psychothérapeutiques spécifiques au TPB ont permis une nette amélioration dans sa prise en charge.
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Clément, Francis, Sylvie Belleville, Sara Bélanger, and Véronique Chassé. "Personality and Psychological Health in Persons with Mild Cognitive Impairment." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 28, no. 2 (June 2009): 147–56. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980809090126.

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Abstract:
RÉSUMÉPlusieurs études ont documenté le profil cognitif des individus ayant un trouble cognitif léger (TCL), mais très peu se sont intéressées à leur santé psychologique et à leurs traits de personnalité ainsi qu’aux interactions entre ces facteurs et la cognition. Dans cette étude, 27 personnes âgées saines et 30 personnes ayant un TCL ont été soumises à une évaluation neuropsychologique et ont rempli des questionnaires portant sur la santé psychologique, le bien-être, la personnalité, l’auto-efficacité et l’auto-actualisation. Les résultats indiquent que les individus ayant un TCL sont plus déprimés, anxieux, hostiles et ont moins de bien-être que ce que rapporte un groupe de personnes âgées sans trouble de cognition. De plus, nos résultats révèlent une association positive entre le niveau de dépression des personnes ayant un TCL et la sévérité de leurs atteintes cognitives. En revanche, aucune différence n’est observée entre les groupes sur les échelles de personnalité. Ainsi, alors que la détresse psychologique est présente chez les personnes ayant un TCL, celles-ci ne montrent pas de différence de traits de personnalité par rapport aux personnes âgées n’éprouvant pas de troubles cognitifs.
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Renaud, Suzane, and Jacques Cloutier. "Difficultés conceptuelles des troubles de personnalité." Santé mentale au Québec 24, no. 1 (October 19, 2006): 245–71. http://dx.doi.org/10.7202/031594ar.

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Abstract:
Résumé Grâce à l'étude d'aspects comme les définitions multiples du trouble de personnalité, les données de la psychométrie la différence entre approche catégorielle et dimensionnelle, l'étiologie, la question du trait et de l'état et celle de la stabilité du diagnostic, il est suggéré qu'une meilleure connaissance des débats entourant la définition du trouble de personnalité permettra au clinicien d'apporter les subtilités nécessaires à l'établissement d'un diagnostic et d'un plan de traitement. Au delà de la connaissance des critères catégoriels du DSM, le clinicien aura avantage à se familiariser avec les notions de traits, dimensions et tempérament pour mieux saisir les développements de la recherche sur l'étiologie du trouble de personnalité.
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Veiga-Costa, E., J. Sá Ferreira, L. Fonseca, and J. Cunha-Oliveira. "Trouble de la personnalité antisociale." Journal de Thérapie Comportementale et Cognitive 17 (December 2007): 47. http://dx.doi.org/10.1016/s1155-1704(07)74124-1.

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Alari, Nicole, and Francesca Parisi. "Trouble de personnalité borderline (TPB)." Cortica 2, no. 2 (September 19, 2023): 8. http://dx.doi.org/10.26034/cortica.2023.4173.

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Olano, Marc. "Quand la personnalité se trouble." Sciences Humaines N° 356, no. 3 (February 7, 2023): 40–43. http://dx.doi.org/10.3917/sh.356.0040.

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Snene, H., R. Chebbi, A. Oumaya, and S. Gallali. "Trouble de la personnalité Borderline et Trouble Bipolaire : similitudes et différences (à propos d’un cas)." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 53. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.139.

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Abstract:
IntroductionPlusieurs similitudes existent entre le trouble Bipolaire et la personnalité Borderline amenant parfois à les considérer à tord comme la même entité. La fluctuation de l’humeur et l’impulsivité d’une personnalité limite peuvent parfois donner le change avec les symptômes bipolaires. ObjectifIllustrer l’association entre la personnalité limite et le trouble bipolaire à travers une vignette clinique et décrire les conséquences cliniques, thérapeutiques et sociales inhérentes.Matériel et méthodesIl s’agit d’une vignette clinique d’une patiente suivie depuis l’année 2006 à la consultation externe du service de psychiatrie à l’hôpital Militaire d’instructions de Tunis.RésultatsMlle I.A., âgée de 32 ans, a beaucoup souffert d’une malformation du visage « Bec de Lièvre », pour laquelle elle a été opérée à trois reprises. Elle a interrompu ses études à l’âge de 16 ans. Fiancée plusieurs fois, elle a mis fin à toutes ses relations. Depuis l’âge de 26 ans, elle travaillait de manière très instable en tant qu’ouvrière. Elle présente, depuis son adolescence, un tempérament hyper thymique, un sentiment chronique de vide, de rejet et d’abandon, une tendance à l’impulsivité et des conduites addictives avec instabilité interpersonnelle. Au redressement de son histoire clinique, on retrouve des épisodes thymiques intenses et variés : un premier épisode maniaque en 2006 suite au divorce de ses parents ; un deuxième épisode similaire en juillet 2012 avec notion d’insomnie quasi-totale, de dilapidation de biens et de problèmes professionnels importants et un troisième épisode thymique en décembre 2012, avec trois tentatives de suicide. Lors de la dernière consultation, nous avons retrouvé une patiente avec une humeur versatile, instable sur le plan psychomoteur, tachypsychique et anhédonique. Le diagnostic d’un épisode mixte a été retenu. Des traits de personnalité limite se sont dégagés au fur et à mesure du tarissement du trouble de l’humeur en cours. ConclusionLe diagnostic de trouble bipolaire pose parfois des difficultés surtout que l’association entre ces deux troubles est fréquente. Il est donc important au clinicien de savoir bien repérer ces différents tableaux afin d’ajuster au mieux la prise en charge thérapeutique.
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Renaud, Suzane. "Interventions de crise auprès des patients souffrant d’un trouble de personnalité limite." Santé mentale au Québec 29, no. 2 (October 5, 2005): 241–52. http://dx.doi.org/10.7202/010839ar.

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Abstract:
Résumé Les patients aux prises avec un trouble de personnalité limite ont par définition une personnalité non fonctionnelle sujette à réagir aux changements et aux stress psychosociaux par des états de crise récurrents. Un trouble de personnalité est indissociable d’une problématique interpersonnelle et celle-ci se développe forcément dans le cadre d’une psychothérapie psychodynamique individuelle. Cet article aborde les principes de base du cadre psychothérapique permettant de structurer l’intervention de crise adaptée au trouble de personnalité limite lors des incidents rencontrés au cours du traitement. Ce cadre sert de mesure préventive et/ou structurelle face aux crises et offre ainsi des stratégies générales de résolution. L’article détaille des problématiques cliniques fréquentes soit des menaces de suicide et même d’homicide, des conflits provoqués par les demandes du patient, l’absence du thérapeute ou des tentatives visant à perturber le cadre afin de décrire diverses modalités d’intervention pour solutionner ces crises.
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Lecrubier, Y. "Sérotonine et capacité à différer une conduite un modèle psychobiologique." Psychiatry and Psychobiology 3, S1 (1988): 95s—100s. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00002698.

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Abstract:
RésuméDes troubles du fonctionnement sérotoninergique ont été impliqués dans de nombreuses pathologies ou dysrégulations du système nerveux central: trouble dépressif, trouble anxieux, schizophrénie, psychopathie, agressivité, boulimie, éthylisme, etc.Le rôle de cette amine dans l’inhibition de la survenue de certains comportements est décrit depuis longtemps. Chez l’animal, ce rôle semble organiser la capacité à différer une conduite et/ou à tolérer sans réponse comportementale une situation de contrainte. Chez l’homme, la sérotonine semble réguler une capacité à contrôler les réponses impulsives dans le cadre des troubles très différents tels que passage à l’acte suicidaire, conduite boulimique, compulsions itératives, conduite éthylique, etc. Les inhibiteurs du recaptage de la sérotonine semblent améliorer l’existence de ces troubles de façon transnosologique.Nous faisons l’hypothèse que certains diagnostics pourraient être la conséquence d’un fonctionnement «limite» sur le plan biologique facilitant le passage à l’acte et des troubles de personnalité. Aucune des deux dimensions ne serait en soi pathologique. Le manque d’adaptabilité de certains fonctionnements mentaux (caractère, personnalité) ajoutée à un fonctionnement biologique «limite” (difficulté à différer sa réponse) seraient par leur coexistence responsables de la décompensation qui aboutit à ce qu’on appelle un diagnostic.
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Douniol, M. "Les enfants limites : pathologie développementale ? Trouble précoce de la personnalité ? Quels liens avec les adolescents et les adultes borderline ?" European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S23. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.072.

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Abstract:
Le trouble de la personnalité borderline à l’adolescence, concept définitivement acquis comme une pathologie à part entière et trouvant ses fondements dans des fragilités génétiques autant qu’environnementales représente un enjeu majeur pour les pédopsychiatres. Cet enjeu se situe à la fois dans une perspective thérapeutique et prospective mais aussi dans une dimension rétrospective, de prévention et de dépistage. L’utilisation de critères catégoriels pour diagnostiquer le trouble de la personnalité ne permet pas de retrouver une continuité entre l’enfance, l’adolescence et l’âge adulte, par contre, les études environnementales sont remarquables de ressemblance et retrouvent exactement les mêmes facteurs de risque traumatiques entre les adolescents borderlines et les adultes borderlines. Ces facteurs environnementaux traumatiques sont souvent sévères, il est donc peu probable que ces enfants futurs adolescents et/ou adultes borderline n’aient pas manifesté de souffrance et de symptômes dans l’enfance. La perspective dimensionnelle a commencé d’apporter certaines réponses en termes de continuité symptomatique. Nous exposerons donc ainsi, via une revue de la littérature exhaustive et actualisée, les études emblématiques portant sur les aspects cognitifs (troubles attentionnel), émotionnels (impulsivité, déficit d’autorégulation, propension à la colère…) et tempéramentaux des enfants et adolescents borderlines. Il sera alors discuté le profil symptomatique dégagé, les aspects stables et les aspects plus variables interindividuels et enfin la coïncidence avec certains profils développementaux précurseurs ou non d’un trouble de la personnalité.
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Jiménez-Murcia, Susana, Roser Granero, Salomé Tárrega, Anne Sauvaget, Marie Grall-Bronnec, Eva M. Álvarez-Moya, Zaida Agüera, et al. "Jeu pathologique et troubles liés à l’utilisation de substances : effets de l’incidence à un jeune âge et de la personnalité." Drogues, santé et société 14, no. 1 (March 8, 2016): 78–110. http://dx.doi.org/10.7202/1035550ar.

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Abstract:
Objectifs : Comparer la consommation de substances, les comportements de jeu et les traits de personnalité de deux groupes d’individus ayant un trouble de jeu pathologique (patients jeunes et adultes) ; explorer l’apport du sexe, de l’âge et des traits de personnalités sur la consommation de substances et évaluer la capacité de prédire la consommation de substances à partir de l’âge et des traits de personnalité. Méthodes : L’échantillon était formé de 428 patients ayant un trouble de jeu pathologique (TJP), divisés en deux groupes selon l’âge (55 jeunes patients [âge ≤ 25 ans] et 373 patients d’âge moyen à avancé [âge > 25 ans]). Tous les patients ont été admis dans un département de psychiatrie et diagnostiqués selon les critères du DSM-IV. En outre, d’autres évaluations cliniques, dont le Diagnostic Questionnaire for Pathological Gambling en vertu des critères du DSM-IV, le South Oaks Gambling Screen (SOGS) et le Temperament and Character Inventory-Revised (TCI-R), ont été utilisées pour examiner les comportements de jeu, la consommation de substances et la personnalité. Résultats : À la comparaison des deux groupes d’âge, nous avons observé des différences statistiquement significatives pour plusieurs variables sociodémographiques. En outre, les plus jeunes patients ayant un TJP présentaient un taux plus élevé de consommation de substances (p = 0,010). Pour ce qui est des traits de personnalité, des différences ont été remarquées seulement à l’échelle de recherche de nouveautés (RN) où les patients plus jeunes obtenaient des cotes élevées (p = 0,006). Des cotes plus élevées (p =0,022) à l’échelle de recherche de nouveautés (RN) et plus basses (p = 0,028) à l’échelle d’auto-transcendance représentaient des traits de personnalité ayant une interrelation significative avec la consommation de tabac (p = 0,003). Toutefois, seul l’âge était associé à la consommation d’autres substances (p =0,003). Conclusions : Les résultats confirment que le trouble de jeu pathologique (TJP) est souvent concomitant avec la consommation de substances. L’interrelation du TJP et de la consommation de tabac, d’alcool et d’autres substances entraîne une gamme d’implications cliniques et liées à la personnalité, particulièrement chez les populations jeunes. Puisque plusieurs études ont démontré que le taux de TJP est plus élevé chez les jeunes, le début précoce du trouble est souvent lié à une gravité accrue et à une persistance des problèmes de jeu. En outre, la présence d’un double diagnostic (consommation de substances) pourrait compliquer la réponse aux traitements. Pour cette raison, l’étude des populations jeunes est d’un intérêt particulier afin de concevoir et de mettre en oeuvre des programmes de traitement qui abordent tous les problèmes liés aux profils cliniques de ce groupe d’âge.
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McMain, Shelley, Lorne Korman, Christine Courbasson, and Patrick Smith. "Traitements spécialisés des personnes ayant des problèmes concomitants de santé mentale et toxicomanie : un modèle intégrant la thérapie dialectique comportementale." Santé mentale au Québec 26, no. 2 (February 12, 2007): 132–56. http://dx.doi.org/10.7202/014529ar.

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Abstract:
Résumé Cet article décrit un programme de traitements intégrés pour personnes ayant des troubles comorbides de santé mentale et de toxicomanie. La thérapie dialectique comportementale (TDC) a été développée à l'origine par Linehan (l993a ; 1993b) à l'intention des individus souffrant de troubles de personnalité limite et chroniquement suicidaires. Ses principes ont fourni le cadre pour l'organisation d'un programme de traitements spécialisés dans les domaines suivants : toxicomanie et trouble de personnalité limite, troubles liés aux substances et colère, et troubles liés aux substances et troubles alimentaires. Un aperçu de la TDC et les raisons qui appuient un programme concomitant basé sur cette approche sont discutés. On décrit les protocoles pour trois sous-groupes de patients, en portant une attention particulière aux similitudes et aux différences avec le protocole standard de la TDC. Les éléments principaux du programme sont soulignés.
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Ben Alaya, S., W. Homri, A. Harbaoui, A. Hari, and R. Labbene. "Personnalité dépendante et maltraitance physique." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 9. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.021.

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Abstract:
IntroductionLes sujets à personnalité dépendante sont assez souvent victimes de maltraitance physique émanant dans la majorité des cas de leurs proches. Cependant, cette maltraitance reste longtemps tolérée par le sujet afin de ne pas rompre le lien de dépendance. ObjectifMettre en exergue l’association entre ce type de trouble de la personnalité et la tolérance à la maltraitance infligée par leurs proches.MéthodologieRevue de la littérature par recherche sur la base de données « Science direct », via les mots clés « Dependant personality » « Violence » « Abuse », illustrée par un cas clinique.RésultatsIl s’agit de M. A.R., âgé de 59 ans sans antécédent notable, marié, père d’un fils âgé de 27 ans, suivi dans notre service pour trouble dépressif majeur avec caractéristiques psychotiques sur une personnalité dépendante. Lors des hospitalisations nous avons constaté la présence de traces de maltraitance physique, ce n’est qu’après plusieurs entretiens que le patient avoue qu’il subissait continuellement la violence physique et la maltraitance de la part de sa femme et de son fils. Après revue de la littérature, nous avons constaté que les sujets ayant une personnalité dépendante auraient tendance à être agressés plus fréquemment par leurs proches, de manière répétée. Il s’agit d’une population à risque capable de supporter longtemps la violence émanant d’un proche de peur de perdre son soutien et son approbation, maintenant ainsi le lien de dépendance. ConclusionLa personnalité dépendante est un trouble de la personnalité relativement fréquent mais les sujets ne consultent généralement pas pour leur trouble, il s’agit d’une population vulnérable et silencieuse souvent sujette à la maltraitance qu’il faudrait savoir dépister afin d’entamer une prise en charge adaptée. Cependant, il n’existe que peu de travaux relatifs traitant de ce sujet.
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Gacono, Carl B., and J. Reid Meloy. "Rorschach Research and the Psychodiagnosis of Antisocial and Psychopathic Personalities." Rorschachiana 22, no. 1 (January 1997): 130–48. http://dx.doi.org/10.1027/1192-5604.22.1.130.

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Abstract:
Depuis des décennies, les cliniciens se sont intéressés à l’utilisation du Rorschach dans le diagnostic de la psychopathie. Pourtant, c’est seulement depuis une quinzaine d’années que ce type d’investigation est devenue vraiment pertinente à travers des recherches valides et fiables, grâce aux progrès réalisés dans l’évaluation de la psychopathie et la technologie du Rorschach. En 1984, armés de cette “nouvelle” technologie, nous avons entamé nos recherches sur les personnalités antisociales et psychopathiques. Utilisant le Trouble de la Personnalité Antisociale (TPA) et la Psychopathie comme mesures indépendantes, et les variables Rorschach comme mesures dépendantes, nous avons tenté de comprendre le continuum antisocial d’un point de vue psychodynamique et développemental, tout en tenant compte des aspects psychobiologiques, psychodynamiques et de style cognitif. Nous avons posé plusieurs questions: le Rorschach peut-il “établir la carte” du fonctionnement de la personnalité et de la structure intrapsychique des individus présentant des Troubles de la Conduite (TC) et des TPA, et est-ce que cette “carte” Rorschach validerait de manière empirique les modèles théoriques tels que la pathologie de l’attachement, l’absence d’anxiété, l’agressivité, et l’aspect grandiose qui sont associés à la psychopathie? Compte tenu des différences parmi les délinquants, le Rorschach saurait-il discriminer entre groupes TC et TPA d’après leurs niveaux de pathologie? Et encore, le Rorschach pouvait-il discriminer entre les TPA et les autres troubles de personnalité de Type B? Nous avons obtenu un haut degré de concordance entre les données empiriques et la théorie. Nous avons trouvé des déficits de l’attachement (T = 0) chez 88% des troubles de comportement chez les enfants, 86% des adolescents TC, 71% des femmes TCA, 79% des hommes TCA, 91% des hommes psychopathes et 70% des hommes TCA schizophrènes. Les résultats du Y sont congruents avec le passage à l’acte considéré comme une défense contre l’angoisse dans les groupes d’enfants et adolescents TC. Contrairement aux enfants non consultants et aux adultes psychopathes, les enfants TC s’évaluent de manière négative lorsqu’ils se comparent aux autres (EGO < 0,33 = 72%). Les adolescents TC diffèrent aussi des adolescents dysthymiques et non consultants: ils montrent moins de capacité d’attachement, sont moins anxieux, et manifestent moins d’intérêt pour les autres en tant que des objets entiers et humains réels. Les adolescents TC psychopathes présentent les même déficits. Les psychopathes TCA adultes de sexe masculin montrent moins de capacité d’attachement, éprouve moins d’anxiété et sont plus grandioses que les TCA non psychopathes. Les psychopathes se montrent tout aussi grandiose que les hommes aux Troubles de Personnalité Narcissique non hospitalisés, tout aussi “limites” que les hommes aux Troubles de la Personnalité Limite, cependant qu’ils sont moins anxieux et moins attachés. Les femmes adultes antisociales, bien qu’elles manifestent plus d’affects dysphoriques que les hommes TCA psychopathes, montrent moins de capacité d’attachement et d’affect que les femmes aux Troubles de la Personnalité Limite. L’expression de l’aspect grandiose diffère entre hommes psychopathes, enfants TC et femmes TCA, ce qui suggère des différences dans les niveaux de développement et selon le sexe. Bien que le Rorschach ne doive pas être utilisé de manière isolée à des fins de diagnostic psychologique, nos premiers résultats montrent tout l’intérêt qu’il présente pour comprendre la psychologie des personnalités antisociales et psychopathiques. Nos travaux sur le Rorschach constituent aussi un modèle pour l’étude d’autres troubles de personnalité.
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Gisselmann-Patris, Marie-France. "Bipolarité et trouble de la personnalité." L'information psychiatrique 83, no. 6 (2007): 441. http://dx.doi.org/10.3917/inpsy.8306.0441.

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Gisselmann-Patris, Marie-France. "Bipolarité et trouble de la personnalité." L'information psychiatrique Volume 83, no. 6 (July 1, 2007): 441–43. http://dx.doi.org/10.1684/ipe.2007.0210.

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Renaud, Suzane. "Book Review: Trouble de la personnalité: Le trouble de la personnalité borderline « victime de ses émotions »." Canadian Journal of Psychiatry 51, no. 11 (October 2006): 723–24. http://dx.doi.org/10.1177/070674370605101111.

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Krakhmalnikova, Eugénie, Miguel M. Terradas, and Olivier Didier. "L’auto-agressivité et l’émergence de traits de personnalité et de symptômes limites à l’adolescence." Bulletin de psychologie N° 582, no. 4 (October 5, 2023): 279–96. http://dx.doi.org/10.3917/bupsy.582.0279.

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Abstract:
Le trouble de personnalité limite (TPL) est un trouble complexe au sein duquel l’autoagressivité physique et psychique occupent une place importante. L’autoagressivité peut se manifester chez les adolescents et, plus particulièrement, chez ceux qui sont susceptibles de développer un TPL. Vingt-six adolescents provenant d’une école secondaire ont complété des questionnaires autorapportés évaluant l’automutilation, la prise de risque, les traits de personnalité limite en émergence, les symptômes du TPL, l’impulsivité et l’estime de soi. Les résultats révèlent que lorsque l’on contrôle pour l’impulsivité, les liens entre l’automutilation et les traits de personnalité limite en émergence, l’automutilation et les symptômes associés au TPL, la prise de risque et les traits de personnalité limite en émergence ne perdurent pas. De plus, il n’y a pas de lien entre les symptômes du TPL et la prise de risque. Enfin, la sévérité des symptômes du TPL prédit de plus fortes manifestations d’autoagressivité psychique. Il n’y a pas de lien entre l’émergence de traits de personnalité limite et l’autoagressivité psychique. Les limites et forces de l’étude sont discutées.
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Mungo, A., M. Hein, P. Hubain, G. Loas, and M. Delhaye. "Borderline personality disorder in adolescence." Revue Medicale de Bruxelles 40, no. 6 (2019): 485–94. http://dx.doi.org/10.30637/2019.19-027.

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Laporte, Lise. "Un défi de taille pour les centres jeunesse. Intervenir auprès des parents ayant un trouble de personnalité limite." Santé mentale au Québec 32, no. 2 (March 25, 2008): 97–114. http://dx.doi.org/10.7202/017799ar.

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Abstract:
Résumé Une enquête exploratoire réalisée auprès de 68 intervenants du Centre jeunesse de Montréal-Institut universitaire révèle que 39 % des 1030 enfants à leur charge ont au moins un parent qui souffre d’un trouble mental. Parmi ces parents, 48 % des mères et 30 % des pères ont un trouble de la personnalité, la majorité d’entre eux présentant un trouble de personnalité limite. Ce problème est fort préoccupant en raison de son ampleur, de son impact sur les enfants et sur les intervenants, et des difficultés d’intervenir auprès de ces parents en contexte d’autorité et au sein d’une organisation mal adaptée à cet égard. Quelques repères pour guider cette intervention sont présentés ainsi que les défis et perspectives d’avenir.
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Lapalme, Mélanie, and Michèle Déry. "Caractéristiques associées au trouble oppositionnel, au trouble des conduites et à leur cooccurrence." Santé mentale au Québec 33, no. 2 (January 15, 2009): 185–206. http://dx.doi.org/10.7202/019674ar.

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Abstract:
RésuméL’objectif de cette étude est de déterminer si des corrélats (ou des combinaisons de corrélats) personnels, familiaux et sociaux permettent de discriminer des enfants (n = 336) qui présentent un trouble oppositionnel (TO), un trouble des conduites (TC) ou ces deux troubles en cooccurrence (TC + TO). Les enfants sont âgés entre 6 ans et 13 ans et ont été recrutés parmi des enfants recevant des services spécialisés de l’école ou du centre jeunesse pour des difficultés comportementales ou familiales. Les résultats suggèrent que la personnalité antisociale des parents et le manque de supervision parentale sont davantage associés au TC, tandis que le trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité et l’inconstance de la discipline caractérisent davantage les enfants ayant un TO. Les enfants du groupe TO + TC semblent cumuler les corrélats associés à chaque trouble. Ces différences devraient être prises en compte dans l’intervention à offrir aux enfants.
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Bertelli, Christiane, and Marie-Claude Bélisle. "Interventions de crise chez les patients aux prises avec un trouble de personnalité limite." Santé mentale au Québec 29, no. 2 (October 5, 2005): 253–66. http://dx.doi.org/10.7202/010840ar.

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Abstract:
Résumé Les personnes aux prises avec un trouble de personnalité limite manifestent leur problématique dans l’ensemble de leurs interactions. Leurs troubles de comportement sont peut-être aussi le reflet de la désorganisation des systèmes dans lesquels ils évoluent. Dans cette deuxième partie, seront illustrés les principes utilisés à partir d’un point de vue systémique pour résoudre les crises rencontrées dans un contexte d’urgence psychiatrique et lors d’un suivi en thérapie familiale.
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Guillard, V., A. Boele, M. Carof-Ben Hamida, Y. L’Hegaret, N. Neveux, and V. Guillard. "TIP et trouble de la personnalité borderline." French Journal of Psychiatry 1 (November 2018): S119. http://dx.doi.org/10.1016/s2590-2415(19)30323-x.

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Lo Monte, Fabian, and Jérôme Englebert. "Trouble de personnalité borderline et temps vécu." L'Évolution Psychiatrique 83, no. 4 (October 2018): 647–56. http://dx.doi.org/10.1016/j.evopsy.2018.07.002.

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Bouthier, M., and V. Mahé. "Trouble de personnalité paranoïaque et infractions pénales." L'Encéphale 45, no. 2 (April 2019): 162–68. http://dx.doi.org/10.1016/j.encep.2018.07.005.

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Mirabel-Sarron, C., L. Vera, C. Monier, O. Kuraica, and J. D. Guelfi. "Troubles de la personnalité, trouble obsessionnel compulsif et thérapie comportementale et cognitive." Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique 161, no. 5 (July 2003): 382–88. http://dx.doi.org/10.1016/s0003-4487(03)00111-2.

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Da Fonseca, D. "TDAH : les spécificités cliniques chez l’adulte, les pièges diagnostiques." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S28. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.084.

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Abstract:
Le trouble déficit de l’attention/hyperactivité est actuellement un trouble relativement bien connu chez l’enfant et l’adolescent. Mais depuis quelques années, de nombreuses études ont démontré une persistance partielle ou complète de ce syndrome à l’âge adulte. En effet, beaucoup d’adultes présentent des symptômes similaires à ceux retrouvés chez les enfants mais avec une symptomatologie plus souvent marquée par le déficit de l’attention que par l’hyperactivité psychomotrice et l’impulsivité. Le diagnostic différentiel reste difficile en particulier avec les troubles anxieux, les troubles de l’humeur ou les troubles de la personnalité. En effet, le TDAH partage de nombreux symptômes avec ces troubles psychopathologiques ce qui engendre de nombreuses difficultés diagnostiques. L’objectif de cette présentation est de montrer en quoi le TDAH est une entité distincte sur le plan clinique et neuropsychologique ainsi qu’au niveau fonctionnel et anatomique. Nous évoquerons également la question des comorbidités relativement fréquentes qui participent à la confusion et à la méconnaissance du trouble. À l’instar des enfants, le TDAH de l’adulte engendre malheureusement de nombreux dysfonctionnements tant au niveau social et professionnel qu’au niveau affectif. En revanche, il semble que ce trouble soit particulièrement sensible aux différents traitements (psychothérapies et/ou médicaments) qui permettent aux patients une meilleure qualité de vie. Une meilleure connaissance de ce trouble paraît donc incontournable afin de mieux comprendre les difficultés quotidiennes qu’il engendre mais aussi de proposer la prise en charge la mieux adaptée.
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Benjelloun, G., N. Kadiri, L. Jehel, A. Pelissolo, and J. F. Allilaire. "Trouble bipolaire ou trouble de la personnalité ? (à propos d'un cas clinique)." Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique 162, no. 2 (March 2004): 144–47. http://dx.doi.org/10.1016/j.amp.2003.12.024.

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Hoffmann, J. J., G. Veron, and P. Chanez. "Relations entre certains critères du DSM III et les échelles de personnalité de L'IP9/D." Psychiatry and Psychobiology 1, no. 3 (1986): 205–13. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00000055.

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Abstract:
RésuméLes auteurs ont fait passer un questionnaire de personnalité (l'IP9/D) à 187 sujets, 30 d’entre eux y présentaient une tendance pathologique dans au moins une des dix échelles. Mélangés à 30 autres sujets sains, ils ont alors été revus en entretien individuel afin d'y mettre en évidence d’éventuels diagnostics de troubles de la personnalité (personnalités pathologiques) selon les critères du DSM III. Seuls les sujets pathologiques selon l'IP9/D reçurent un diagnostic de personnalité pathologique d’après le DSM III. Une analyse factorielle des correspondances multiples éclairée d’une classification ascendante hiérarchique a confirmé statistiquement et d’une manière générale que ce qui est mesuré par l'un, l'est aussi par l'autre. Ainsi les sujets étiquetés «personnalité atypique, mixte ou autre» (301.89) correspondaient à ceux qui présentaient une tendance pathologique en «Anxiété et/ou Dépression» (IP9/D). L’IP9/D explore la tendance à la «schizoïdie” qui est très proche, en fait, de la personnalité schizotypique du DSM III. Les personnalités histrionique et borderline du DSM III sont très proches des tendances psychopathiques de l’IP9/D ; de même la tendance à l’hystéroïdie de l’IP9/D s’agrège rapidement avec la personnalité antisociale du DSM III, ce qui confirme un certain nombre de constatations cliniques. Si, en dépit d’une certaine dispersion, la même observation peut être faite en ce qui concerne l’échelle obsessionnelle de l’IP9/D et la personnalité compulsive du DSM III, certains liens paraissent moins évidents compte tenu du fait que la population étudiée est quantitativement faible. Cependant, il y a concordance entre les deux techniques : la passation d’un questionnaire de personnalité et les entretiens cliniques. Toutefois, il faut se garder de conclure hâtivement et abusivement qu’un questionnaire peut remplacer un entretien clinique.
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Wallaert, R., X. Laqueille, M. C. Bourdel, M. O. Krebs, and A. Dervaux. "Dépendance au cannabis : quelles corrélations entre âge de début de la consommation, troubles cognitifs et psychiatriques ?" European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 530–31. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.387.

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Abstract:
ContexteCertaines études ont retrouvé que la consommation précoce de cannabis était associée à une fréquence plus élevée de troubles cognitifs ou psychiatriques, mais l’âge exact reste indéterminé, entre 13 et 18 ans selon les études [1–4].ObjectifComparer certaines caractéristiques cliniques des sujets dépendants au cannabis ayant commencé leur consommation à l’âge de 13 ans ou moins et celles de ceux qui ont commencé après.MéthodesCent soixante-douze patients, consultant consécutivement dans le service d’Addictologie du CH Sainte-Anne pour dépendance au cannabis (critères DSM-IV), entre juin 2007 et juin 2013, ont été inclus dans l’étude. Les patients présentant des troubles psychotiques, bipolaires type 1, des dépendances opiacées ou à la cocaïne étaient exclus de l’étude. Ils ont été évalués à l’aide du Diagnostic Interview for Genetic Studies (DIGS).RésultatsLes sujets ayant commencé leur consommation de cannabis à l’âge de 13 ans (n = 37) ou moins présentaient plus fréquemment un diagnostic de trouble de personnalité antisociale (respectivement 58,8 % vs 22,1 % ; Chi2 = 16,6 p = 0,0001, OR : 4,9) et rapportaient plus fréquemment des troubles subjectifs de l’attention que les sujets ayant commencé leur consommation plus tard (n = 135) (respectivement 86,5 % vs 66,7 %, Chi2 = 5,53, p = 0,03, OR : 3,02). En revanche, il n’y avait pas de différences significatives entre les deux groupes concernant la fréquence des troubles dépressifs, des phobies sociales, des troubles anxieux, des conduites suicidaires, des traitements anxiolytiques ou antidépresseurs antérieurs, ni de différence au niveau des symptômes de sevrage et des effets subjectifs induits par le cannabis.ConclusionsLes sujets dépendants au cannabis qui commencent leur consommation avant l’âge de 13 ans ont un risque de présenter un trouble de la personnalité antisociale cinq fois plus élevé et des troubles subjectifs de l’attention trois fois plus élevés, par rapport aux sujets qui commencent le cannabis après l’âge de 13 ans.
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Renaud, Suzane. "Comprendre la dissociation chez les patients avec un trouble de personnalité limite." Santé mentale au Québec 36, no. 1 (September 16, 2011): 217–42. http://dx.doi.org/10.7202/1005822ar.

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Abstract:
Cet article examine la dissociation, un concept psychiatrique controversé qui se rencontre dans le quotidien du clinicien. À partir d’une recherche sur Pubmed/Ovid avec les mots clés dissociation et trouble de personnalité limite et d’autres références, l’auteure décrit le phénomène dissociatif dans ses aspects cliniques chez les sujets atteints du trouble de personnalité limite (TPL). L’article discute des hypothèses psychodynamiques et des données neurophysiologiques pour expliquer la dissociation. Certains validateurs neurophysiologiques et neuro-anatomiques produits grâce à l’imagerie cérébrale, et des études du métabolisme de neurotransmetteurs sont étudiés pour étayer les énoncés hypothétiques. L’auteure conclut sur un modèle de mécanisme de défense dans un contexte de prédisposition biologique, de carence du développement psychologique ou d’une sensibilisation post-traumatique et suggère des pistes thérapeutiques.
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Pignon, B. "La clinique du consentement." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 632. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.138.

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Abstract:
La mise en place de soins sans consentement en psychiatrie (SSC) est basée sur une appréciation subjective de l’état du patient, mais ils sont un objet de recherche clinique et ont, pour certains, fait l’objet de recommandations d’experts. Ces différentes recommandations concernant les SSC en psychiatrie seront synthétisés durant mon intervention. Ils sont enrichis d’une revue de la littérature. En cas de trouble psychotique, la conscience des troubles et le retentissement du délire sont des critères cliniques primordiaux.En cas de trouble de l’humeur, il faut évaluer le risque suicidaire et le retentissement somatique dans le syndrome dépressif et les états-mixtes, ainsi que l’anosognosie et le retentissement socioprofessionnel dans le syndrome maniaque. Un délire thymique est un facteur de gravité qui oriente vers des SSC. En cas d’état suicidaire, il faut évaluer le risque suicidaire et le potentiel trouble psychiatrique sous-jacent. Les indications des SSC dans les addictions sont très discutées. Les mises en danger répétées associées au déni des troubles peuvent conduire dans certains cas à des SSC. Pour les troubles du comportement alimentaire, un refus de soin associé à un risque vital est une indication aux SSC. Les troubles de personnalité sont des facteurs de risque des troubles pouvant amener des SSC.Ils ne sont pas en soi des indications aux SSC. Enfin, dans les pathologies démentielles, les troubles du comportement amènent parfois des SSC.
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Diamond, Diana, and Frank Yeomans. "La relation patient-thérapeute : impacts de la théorie de l’attachement, de la fonction réflexive et de la recherche." Santé mentale au Québec 33, no. 1 (July 22, 2008): 61–87. http://dx.doi.org/10.7202/018473ar.

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Abstract:
Dans cet article, les auteurs tentent d’illustrer comment les questions liées à l’attachement sont au coeur de la psychothérapie focalisée sur le transfert (PFT), une psychothérapie psychodynamique manualisée pour le traitement des personnes ayant un trouble de la personnalité limite (TPL). Les auteurs mettent en évidence que la façon dont le psychothérapeute prend conscience de ces questions liées à l’attachement peut l’aider à mieux comprendre les processus psychopathologiques occasionnés par les troubles de l’attachement et, plus particulièrement, comment le lien patient-thérapeute peut favoriser la désorganisation de l’attachement ou la gêner passablement.
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Paris, Joel. "Succès et échecs dans le traitement de patients souffrant de troubles de la personnalité limite." Dossier : Thérapies et patient borderline 22, no. 1 (June 12, 2008): 16–29. http://dx.doi.org/10.7202/502092ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Cet article examine les principales options de traitement de patients souffrant de troubles de la personnalité limite. Les interventions pharmacologiques sont de valeur marginale et l'hospitalisation ne s'est pas révélée valable pour la prévention du suicide chez cette population. La psychothérapie psychodynamique n'a pas fait ses preuves non plus, mais la thérapie dialectique comportementale produit une amélioration symptomatique. Les patients souffrant de ce trouble présentent plusieurs difficultés en thérapie, particulièrement une tendance chronique au suicide. Les futurs traitements pourraient faire appel à une médication améliorée jointe à une thérapie cognitive.
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Van Malderen, Sophie, Audrey Vicenzutto, Romain Rinaldi, Laurent Lefebvre, and Thierry Pham. "Attention et traitement du contexte au sein du trouble de personnalité psychopathique : Intérêt des concepts et modèles théoriques." Neuropsychologie clinique et appliquée 1, Fall 2017 (2017): 87–97. http://dx.doi.org/10.46278/j.ncacn.20170907.

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Abstract:
L’attention et le traitement du contexte constituent deux fonctions cognitives indispensables au comportement humain. D’un côté, l’attention soutient la réalisation d’une activité réflexive et permet, par conséquent, l’adaptation à de nouvelles situations. De l’autre, le traitement du contexte est essentiel pour l’adaptation flexible des comportements. Ainsi, un déficit attentionnel impacte les autres fonctions cognitives et qu’un dysfonctionnement du traitement des informations contextuelles engendre des déficits comportementaux et sociaux. Ces derniers sont observés chez les individus présentant un trouble de la personnalité psychopathique. Dans cet article, basé sur une revue de la littérature, le modèle du déficit de modulation de la réponse sera développé. Ce modèle permet de comprendre les difficultés attentionnelles et de traitement du contexte chez les individus atteints du trouble de personnalité psychopathique. L’importance de ces concepts dans la psychopathie sera également soulignée.
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Rodiere-Rein, C., and J. D. Guelfi. "Personnalités pathologiques: comparaison des diagnostics cliniques de psychiatres français et des critères du DSM III." Psychiatry and Psychobiology 1, no. 3 (1986): 197–203. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00000043.

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Abstract:
RésuméCet article rapporte les résultats préliminaires d’une comparaison entre les diagnostics cliniques portés par des psychiatres français et les critères du DSM III en matière de personnalités pathologiques. Une liste des 11 personnalités pathologiques et des 92 critères du DSM III a été fournie à 97 psychiatres. Les données correspondant à 791 patients ont été obtenues.Nous n’avons commenté ici que les résultats des 397 patients ayant un diagnostic unique de personnalité pathologique.Les diagnostics les plus fréquents sont ceux qui se rapprochent le plus des notions françaises classiques (personnalités histrionique et compulsive par exemple).La proportion de diagnostics cliniques compatibles avec les critères du DSM III est des plus variables : bonne concordance diagnostique pour les personnalités évitante, schizotypique, paranoïaque et antisociale ; degré intermédiaire de concordance pour les personnalités dépendante, histrionique, borderline et compulsive ; mauvaise concordance diagnostique pour les personnalités passive-agressive, narcissique et schizoïde.Cette variabilité tient à 3 ordres de causes :le degré de similarité entre les stéréotypes diagnostiques français et les conceptions du DSM III ;le degré de spécificité des critères du DSM III pour le diagnostic considéré ;le nombre de critères nécessaires pour tel diagnostic DSM III qui peut influencer considérablement la probabilité d’un diagnostic concordant.47 % des patients ayant un diagnostic unique de personnalité pathologique avaient conjointement un diagnostic psychiatrique. Les troubles dépressifs, névrotiques et anxieux s'associaient préférentiellement aux personnalités «névrotiques» classiques (histrionique, compulsive et dépendante). Les personnalités schizotypiques et schizoïdes avaient la plus forte proportion d’épisodes psychotiques, suivis par les personnalités paranoïaques et borderline (cela si l’on ne considérait pas de tels antécédents comme critère d’exclusion pour ces diagnostics de personnalité).
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