Academic literature on the topic 'Trouble dépressif majeur'

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Journal articles on the topic "Trouble dépressif majeur"

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Schuster, J. P. "Dépression et maladie de Parkinson." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 577–78. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.274.

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Abstract:
La maladie de Parkinson a longtemps été considérée comme un trouble neurodégénératif d’expression motrice pure. Il est à ce jour établi que la triade symptomatique « hypertonie extrapyramidale-tremblement- akinésie » ne peut résumer la complexité du trouble. Parmi les troubles psychiatriques comorbides à la maladie de Parkinson, la dépression est probablement la plus importante en termes de fréquence et d’impact. La prévalence de la dépression est particulièrement élevée, estimée à environ 40 %. Les symptômes dépressifs peuvent être évidents et même précéder les troubles moteurs de la maladie, cependant, le diagnostic d’épisode dépressif est le plus souvent complexe, en raison d’un chevauchement symptomatique des deux troubles. Pouvant inaugurer la maladie de Parkinson ou survenir plus tardivement, la dépression a un retentissement majeur sur l’autonomie fonctionnelle et la qualité de vie des patients. Il existe par ailleurs un lien entre dépression et troubles cognitifs chez les sujets atteints de maladie de Parkinson. La prise en charge de l’épisode dépressif majeur chez un patient présentant une maladie de Parkinson ne fait pas l’objet de recommandation. Les essais cliniques randomisés réalisés sont, à ce jour, trop peu nombreux et les résultats très hétérogènes. La dépression comorbide à la maladie de Parkinson de part sa fréquence et son impact, nécessite un repérage et une prise en charge spécifique et précoce.
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Petit, A. C., G. Quesseveur, F. Gressier, C. Verstuyft, B. P. Guiard, and E. Corruble. "Association entre polymorphismes du gène du récepteur 2A à la sérotonine et trouble dépressif majeur unipolaire, une étude translationnelle." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 31–32. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.077.

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Abstract:
Des données nombreuses mais contradictoires existent à l’heure actuelle sur l’implication du récepteur 2A à la sérotonine (5-HT2AR), codé par le gène HTR2A, dans le trouble dépressif majeur unipolaire [1,3]. Dans notre étude, nous combinons des données cliniques et précliniques pour déterminer l’impact d’une diminution de la transmission sérotoninergique dépendante du 5-HT2AR sur le développement et les caractéristiques des épisodes dépressifs caractérisés. Deux polymorphismes du gène HTR2A (His452Tyr et 102C/T), dont certains allèles entraîneraient une baisse de l’activité fonctionnelle du 5-HT2AR [3], ont été étudiés sur une population de 485 patients caucasiens présentant un épisode dépressif majeur (EDM) dans le cadre d’un trouble dépressif majeur unipolaire. D’autre part, une étude préclinique comparant l’effet d’une administration chronique de corticostérone sur l’apparition d’un phénotype de type dépressif [2] chez des souris mutées pour le Htr2a (Htr2a-/-) et des souris sauvages a été réalisée. Chez les patients, le variant TT du polymorphisme His452Tyr, particulièrement peu fréquent, a été détecté chez deux patients souffrant d’un EDM de type mélancolique. D’autre part, l’allèle C du polymorphisme 102C/T est plus fréquemment retrouvé chez les patients déprimés (p = 0,019) que dans la population générale et les génotypes CC et CT sont associés à des EDM plus sévères à l’HAMD-17 (p = 0,008). D’autre part, les tests comportementaux effectués chez les souris Htr2a-/- montrent que ces dernières développent un phénotype de type dépressif plus marqué par rapport aux souris sauvages (p < 0,01) en réponse à l’administration chronique de corticostérone. Cette étude translationnelle suggère qu’une diminution de la transmission sérotoninergique au niveau du 5-HT2AR pourrait favoriser le développement d’un trouble dépressif majeur unipolaire et entraîner une sévérité plus importante des épisodes dépressifs caractérisés.
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Mesquida, L., M. Guegan, and J. P. Raynaud. "Prévenir la dépression chez l’adolescent : c’est possible." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 613–14. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.235.

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Abstract:
IntroductionLa prévalence de la dépression chez les adolescents est estimée à 5 à 9 %. Elle est associée à un risque accru de suicide. La prévention semble une approche prometteuse ce qui a accéléré le développement de programmes dans ce domaine.ObjectifsÉvaluer l’implantation du programme de prévention cognitivo-comportemental “Pare-chocs”dans le système scolaire français et son efficacité sur les symptômes dépressifs et la prévention d’un épisode dépressif majeur à long terme chez les adolescents.MéthodesNous avons évalué 1968 adolescents en classe de seconde à l’aide de la Center for Epidemiological Study Depression Scale (CES-D). Les adolescents présentant un score de coupure de 26 (n = 145) ou plus ont reçu une proposition de participation à un entretien clinique puis au programme Pare-Chocs s’ils étaient sélectionnés. L’intensité de la symptomatologie dépressive était suivie par la passation régulière de la CES-D en cours (1re, 5e et 11e rencontre) et en aval de la participation au programme (8 semaine et 1 et 2 ans plus tard).RésultatsLes résultats montrent une diminution des symptômes dépressifs en fin du programme ainsi que sur les évaluations ultérieures. Pare-chocs semble adaptable au système scolaire français.ConclusionAu-delà de la diminution des symptômes dépressifs chez les adolescents, cette action semble avoir un impact au niveau collectif en sensibilisant les professionnels et en améliorant la diffusion des connaissances sur le trouble dépressif et ses moyens de prise en charge, ainsi qu’en travaillant sur la dé-stigmatisation et le dépistage d’autres troubles psychiques. La dépression reste un enjeu majeur de santé publique. Sa prévention chez les adolescents semble une approche prometteuse qui permettrait d’éviter l’apparition de la maladie à l’âge adulte.
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Schuster, J. P., and A. Manetti. "Prévalence et comorbidités de l’épisode dépressif majeur du sujet âgé en population générale." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 44. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.112.

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Abstract:
L’évolution démographique confronte nos pratiques aux spécificités liées au vieillissement de nos patients. Ainsi, par son impact en termes de morbi-mortalité, la dépression du sujet âgé constitue un enjeu majeur de santé publique. Ce trouble est connu pour avoir un fort impact en termes de morbi-mortalité [1]. La prévalence de l’épisode dépressif majeur actuel chez le sujet âgé en population générale est estimée entre 1 et 5 %. En population française, l’étude ESPRIT indique une prévalence de 3,1 % [4]. Des données récentes issues de la plus importante cohorte de sujets âgés en population générale américaine (plus de 8000 sujets de plus de 65 ans) confirment ces chiffres de prévalence [2]. La prévalence sur douze mois en population générale de l’épisode dépressif majeur a été évaluée à 2,6 % (écart type = 0,22) chez les sujets âgés d’au moins 65 ans, avec une forte association avec la dysthymie, la dépendance à l’alcool et au tabac, les troubles anxieux et de personnalité [3]. Plusieurs biais méthodologiques, dont le recours à des instruments d’évaluation peu adaptés aux sujets âgés, sont susceptibles de sous-estimer cette prévalence. Contrairement à l’idée communément admise, l’handicap ressenti par le sujet de l’épisode dépressif majeur n’est pas différent chez le sujet âgé comparativement aux sujets plus jeunes. Ces deux populations diffèrent cependant dans le délai de prise en charge qui demeure plus important chez les sujets âgés [3]. Ces résultats épidémiologiques incitent le praticien et en particulier les médecins généralistes consultés en première ligne à dépister plus systématiquement ce trouble afin d’en améliorer la prise en charge.
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Damsa, Cristian, Coralie Lazignac, Lionel Cailhol, Thierry Di Clémente, Joëlle Haupert, and Charles Pull. "Troubles dépressifs majeurs et urgences psychiatriques: Une étude naturaliste concernant la place des interventions de crise." Canadian Journal of Psychiatry 50, no. 13 (November 2005): 857–62. http://dx.doi.org/10.1177/070674370505001309.

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Abstract:
Objectif: Le but de cette étude rétrospective a été de mesurer l'effet de l'introduction du modèle d'intervention de crise dans le service d'urgences d'un hôpital général, sur le nombre d'hospitalisations et de suivis ambulatoires des patients souffrant d'un trouble dépressif majeur. Méthode: L'étude porte sur l'ensemble des patients présentant un trouble dépressif majeur (critères du DSM IV) qui ont consulté le service d'urgences psychiatriques d'un hôpital général durant 2 périodes de 8 mois: avant (425 patients) et après (436 patients) l'introduction des interventions de crise. Résultats: Après l'introduction des interventions de crise, on constate une diminution significative du taux d'hospitalisations volontaires (de 17,9 % à 12,4 %), ainsi qu'une augmentation du nombre des suivis psychiatriques ambulatoires (de 82,1 % à 86,2 %). La présence d'un trouble de personnalité limite (borderline) a été associée avec une plus grande diminution du taux d'hospitalisations (27,8 % contre 38,2 %), tandis que le nombre d'hospitalisations des patients souffrant d'un trouble dépressif avec des caractéristiques psychotiques n'a pas diminué après l'introduction des interventions de crise. Les interventions de crise ont été plus efficaces pour les femmes. Conclusions: Ces résultats suggèrent l'intérêt des interventions de crise aux urgences psychiatriques pour améliorer la prise en charge des patients souffrant d'un trouble dépressif majeur, en favorisant la solution de rechange du suivi ambulatoire multimodal plutôt qu'une hospitalisation en milieu psychiatrique.
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Cailliez, P. "Quel bilan ? Quelles évaluations ?" European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S21—S22. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.068.

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Abstract:
Les médecins sont souvent confrontés à des situations d’absence d’efficacité ou d’efficacité jugée insuffisante d’un traitement antidépresseur de première intention. On estime ainsi qu’entre un et deux tiers des épisodes dépressifs majeurs ne répondront pas à un premier antidépresseur prescrit. Mais avant de parler d’inefficacité d’un traitement, il est important d’évaluer certains aspects susceptibles d’entraver l’efficacité de ce dernier. Un examen clinique complet ainsi que certains examens complémentaires (TSH par exemple) seront dans un premier temps nécessaires afin de d’éliminer une pathologie organique responsable d’une symptomatologie dépressive, qui pourra régresser une fois cette pathologie traitée. Une cause iatrogène médicamenteuse devra aussi être éliminée, ainsi qu’une cause toxique (abus de substances). L’entretien clinique nous permettra ensuite de confirmer le diagnostic d’épisode dépressif majeur et de son évolution sous traitement, ainsi que d’éliminer des diagnostics psychiatriques différentiels (un trouble bipolaire par exemple) ou certaines comorbidités psychiatriques, tels qu’un trouble de la personnalité. Après s’être assuré que la posologie prescrite et la durée de traitement antidépresseur sont adéquates, l’un des critères fondamentaux à évaluer est l’observance du traitement prescrit. Il est de plus indispensable d’évaluer le contexte de vie et les facteurs de stress parfois responsables d’une chronicisation de la symptomatologie dépressive. Il est donc nécessaire de prendre le temps d’évaluer globalement la situation pour s’assurer que le traitement antidépresseur mis en place est réellement inefficace, avant de passer à une autre stratégie thérapeutique.
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Radji, D., L. Weiner, J. Foucher, G. Bertschy, and S. Weibel. "Trouble bipolaire déclenché par une hydrocéphalie par lésion cérébelleuse." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 569–70. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.253.

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Abstract:
Nous rapportons le cas d’un homme de 38 ans ayant présenté un épisode maniaque franc, dans les suites de l’ablation d’une tumeur kystique bénigne de l’hémisphère cérébelleux droit, compliquée d’hydrocéphalie. Cette lésion fut découverte suite à de violentes céphalées et des troubles de l’équilibre. Le tableau maniaque débuta progressivement dans la semaine suivant l’opération, alors que les suites opératoires furent simples. Un traitement associant olanzapine et divalproate améliora rapidement la symptomatologie. Si des lésions cérébelleuses ont déjà pu être décrites dans le déclenchement de troubles de l’humeur, dans notre cas, l’imagerie fonctionnelle (scintigraphie cérébrale) a suggéré l’implication de lésions frontales. Le syndrome frontal modéré a été confirmé par les tests neuropsychologiques, et par la présence à l’IRM de petites lésions en avant des ventricules latéraux, attribuées à une effusion de liquide céphalorachidien lors de l’hydrocéphalie. Au-delà de l’étiologie organique du syndrome maniaque, le cas clinique est particulièrement intéressant car le patient a présenté au décours de l’épisode maniaque un épisode dépressif majeur avec symptômes psychotiques congruents à l’humeur, alors que nous n’avons pas retrouvé d’antécédent de trouble de l’humeur.Nous discutons ainsi différentes hypothèses :– existence d’un trouble de l’humeur subsyndromique décompensé à la suite de la lésion, et particulièrement par le syndrome frontal ;– déclenchement par une lésion cérébrale d’un trouble psychiatrique épisodique et alternant ;– survenue du syndrome dépressif de manière consécutive à l’épisode maniaque, la physiopathologie de l’épisode maniaque incluant la survenue de la dépression sévère.Ces différentes hypothèses sont discutées sur des arguments neuropsychologiques, neuroanatomiques et psychopathologiques.
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Spadone, C., and E. Corruble. "Symptômes résiduels et récidive dans le trouble dépressif majeur." L'Encéphale 36 (December 2010): S108—S111. http://dx.doi.org/10.1016/s0013-7006(10)70040-3.

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Lejuste, F., A. Haroche, and C. Rabu. "Dépression résistante et pramipexole : à propos de deux cas." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 102–3. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.273.

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Abstract:
Le pramipexole est un agoniste dopaminergique utilisé dans le traitement de la maladie de Parkinson. Plusieurs publications récentes suggèrent son efficacité comme traitement adjuvant de la dépression résistante unipolaire ou bipolaire [1–3,5]. Nous présentons deux cas de dépression résistante traitée par pramipexole.Cas no 1Femme de 63 ans, hospitalisée dans le service de psychiatrie de l’hôpital Henri-Mondor (Créteil) pour un épisode dépressif majeur d’intensité sévère sans caractéristiques psychotiques, dans le cadre d’un trouble dépressif récurrent, résistant à l’escitalopram 20 mg/j et à la venlafaxine 300 mg/j. Une cure de cinq séances d’électro-convulsivotérapie (ECT) a été conduite, avec une efficacité partielle, interrompue pour mauvaise tolérance, et suivie d’une rechute rapide. L’introduction du pramipexole (1,4 mg/j) a été suivie d’une rémission complète, rapide (en 15 jours) et durable (après deux mois de traitement), en association à la lamotrigine (100 mg/j à la fin de notre prise en charge).Cas no 2Femme de 68 ans, hospitalisée dans notre service pour un épisode dépressif majeur d’intensité sévère sans caractéristiques psychotiques, dans le cadre d’un trouble bipolaire de type 3, résistant à plusieurs lignes de traitement bien conduites, dont un tricyclique (clomipramine). Au début de notre prise en charge, elle est traitée par acide valproïque et quiétiapine. Amélioration rapide (en 15 jours) sous pramipexole (1,76 mg/j), en association à la lamotrigine (50 mg/j à la fin de notre prise en charge) et l’acide valproïque (750 mg/j). Dans ces deux cas, le pramipexole a été efficace sans être associé à un antidépresseur, pour des patients ayant une indication d’ECT. Il n’a pas été constaté d’effets indésirables. La présentation clinique était centrée sur le ralentissement psychomoteur, l’anhédonie, l’apragmatisme, l’anesthésie affective. Ces dimensions symptomatiques pourraient être liées aux dysfonctions du système dopaminergique [4]. Ce tableau clinique pourrait être prédictif de l’efficacité des agonistes dopaminergiques.
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Corruble, E., N. Younes, F. Liard, P. Nuss, and A. Granghaud. "Arrêts de travail et statut fonctionnel dans le trouble dépressif majeur." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 103. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.275.

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Abstract:
La prescription d’Arrêts de Travail (AT) en début de traitement des épisodes dépressifs majeurs (EDM) est souvent discutée en pratique clinique mais peu étudiée. L’objectif principal de cette étude était d’étudier les facteurs associés à la prescription d’AT en début de traitement. Dans une cohorte nationale prospective et observationnelle d’une durée de 12 semaines, réalisée en médecine générale, ont été inclus 5365 patients présentant un diagnostic d’EDM, nécessitant l’instauration d’un traitement antidépresseur, âgés de 18–65 ans, occupant un emploi ou en recherche active (âge moyen : 45,2 ± 10,4 ans ; 65,6 % de femmes ; ancienneté moyenne de la maladie : 6,5 ± 7,9 ans ; EDM sévère : 45,8 %). L’existence d’un AT et la réhabilitation fonctionnelle (Functional Status Questionnaire [FSQ]) ont été évaluées après six et 12 semaines après le début du traitement. Deux mille neuf cent dix-sept (54,4 %) patients ont un AT prescrit à l’initiation du traitement pour leur EDM. La prescription d’un AT à l’inclusion est associée aux facteurs indépendants suivants : sévérité de l’EDM, comorbidité psychiatrique. La poursuite de l’activité professionnelle à l’inclusion est associée aux facteurs indépendants suivants : ancienneté de l’EDM et origine perçue de l’EDM conjoncturelle/économique ou familiale. 5,6 % des patients après six semaines de traitement et 21,9 % après 12 semaines ont obtenu une rémission fonctionnelle globale (FSQ). Même si la fréquence de la rémission fonctionnelle après 12 semaines de traitement est plus fréquente chez les patients ayant bénéficié d’un AT en début de traitement que chez les autres (20,2 % versus 24,3 %, p < 0,001), l’analyse multivariée ne met pas en évidence d’impact positif de la prescription d’un AT en début de traitement sur la réhabilitation fonctionnelle ultérieure (p = 0,055), hormis pour la dimension des activités basiques de la vie quotidienne (p = 0,02). De nouvelles études seront nécessaires pour mieux cibler les patients bénéficiant d’un arrêt de travail en début de traitement de l’épisode dépressif majeur.
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Dissertations / Theses on the topic "Trouble dépressif majeur"

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Gohier, Bénédicte. "Inhibiton cognitive , traitement émotionnel implicite et trouble dépressif majeur." Angers, 2011. http://www.theses.fr/2011ANGE1195.

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Abstract:
Le trouble dépressif majeur se caractérise par des troubles mnésiques, attentionnels et exécutifs, en particulier au niveau de l'inhibition cognitive et un biais dans le traitement des informations émotionnelles. L'objectif de ce travail était d'évaluer les processus de traitement émotionnel dans le trouble dépressif majeur en nous intéressant à l'inhibition cognitive et au traitement implicite des informations émotionnelles. Dans une première expérimentation, nous avons évalué les capacités d'inhibition cognitive auprès d'une population de vingts patients souffrant d'un trouble dépressif majeur en nous basant sur le modèle de Hasher et Zacks (1988), en utilisant du matériel d'évaluation neutre. Une tâche d'amorçage émotionnel avec différents types d'amorce (visages, sans, mots) a été utilisée pour évaluer les processus implicites. Nous avons expérimenté cette tâche auprès de 275 sujets sains afin de mettre en évidence un possible effet de genre, puis auprès d'une population de patients déprimés. Les principaux résultats confirment des capacités d'inhibition cognitive déficitaires dans le trouble dépressif majeur, notamment au niveau des fonctions d'accès et de freinage. La tâche d'amorçage émotionnel nous permet de confirmer le biais vers les informations négatives, corrélé au déficit d'inhibition cognitive. Une sensibilité des femmes non déprimées plus importante du côté des informations négatives se retrouve également chez les femmes déprimées. Nous discutons l'impact du déficit d'inhibition cognitive sur les processus de régulation émotionnelle, mais aussi la question d'une vulnérabilité féminine et les aspects psychopathologiques et thérapeutiques
Major depressive disorder is characterized by impairments in memory, attention and executive functions, particularly the cognitive inhibition and in emotional regulation. The objective of this study was to evaluate the process of emotional processing in major depressive disorder byfocusing on cognitive inhibition and the implicit treatment of emotional information. In a first experiment, we evaluated the ability of cognitive inhibition in a population of twenty patients suffering from major depressive disorder, based on the model of Hasher and Zacks (1988), using neutral material. A cross-modal emotional priming task (face, sound, word) was used to assess the implicit process. We used this task on 275 healthy subjects in order to evaluate a possible gender effect and with depressed patients. The main results confirm impairment in cognitive inhibition in patients suffering from major depressive disorder, particularly in terms of access and restraint functions. The emotional priming tesk allows us to confirm the bias toward negative information, correlated with lack of cognitive inhibition. The gender difference, with a greater sensibility for healthy women to negative environment was also found in depressed women. We discuss the consequence of impairment in cognitive inhibition on the processes of emotional regulation in major depressive disorder, and also the issue of female vulnerability, psychopathological and therapeutic. Major depressive disorder is characterized by impairments in memory, attention and executive functions, particularly the cognitive inhibition and in emotional regulation. The objective of this study was to evaluate the process of emotional processing in major depressive disorder byfocusing on cognitive inhibition and the implicit treatment of emotional information. In a first experiment, we evaluated the ability of cognitive inhibition in a population of twenty patients suffering from major depressive disorder, based on the model of Hasher and Zacks (1988), using neutral material. A cross-modal emotional priming task (face, sound, word) was used to assess the implicit process. We used this task on 275 healthy subjects in order to evaluate a possible gender effect and with depressed patients. The main results confirm impairment in cognitive inhibition in patients suffering from major depressive disorder, particularly in terms of access and restraint functions. The emotional priming tesk allows us to confirm the bias toward negative information, correlated with lack of cognitive inhibition. The gender difference, with a greater sensibility for healthy women to negative environment was also found in depressed women. We discuss the consequence of impairment in cognitive inhibition on the processes of emotional regulation in major depressive disorder, and also the issue of female vulnerability, psychopathological and therapeutic
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Gendry-Gohier, Bénédicte. "INHIBITION COGNITIVE, TRAITEMENT EMOTIONNEL IMPLICITE et TROUBLE DEPRESSIF MAJEUR." Phd thesis, Université d'Angers, 2011. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00971735.

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Abstract:
Le trouble dépressif majeur se caractérise par des troubles mnésiques, attentionnels et exécutifs, en particulier au niveau de l'inhibition cognitive et un biais dans le traitement des informations émotionnelles. L'objectif de ce travail était d'évaluer les processus de traitement émotionnel dans le trouble dépressif majeur en nous intéressant à l'inhibition cognitive et au traitement implicite des informations émotionnelles. Dans une première expérimentation, nous avons évalué les capacités d'inhibition cognitive auprès d'une population de vingts patients souffrant d'un trouble dépressif majeur en nous basant sur le modèle de Hasher et Zacks (1988), en utilisant du matériel d'évaluation neutre. Une tâche d'amorçage émotionnel avec différents types d'amorce (visages, sans, mots) a été utilisée pour évaluer les processus implicites. Nous avons expérimenté cette tâche auprès de 275 sujets sains afin de mettre en évidence un possible effet de genre, puis auprès d'une population de patients déprimés. Les principaux résultats confirment des capacités d'inhibition cognitive déficitaires dans le trouble dépressif majeur, notamment au niveau des fonctions d'accès et de freinage. La tâche d'amorçage émotionnel nous permet de confirmer le biais vers les informations négatives, corrélé au déficit d'inhibition cognitive. Une sensibilité des femmes non déprimées plus importante du côté des informations négatives se retrouve également chez les femmes déprimées. Nous discutons l'impact du déficit d'inhibition cognitive sur les processus de régulation émotionnelle, mais aussi la question d'une vulnérabilité féminine et les aspects psychopathologiques et thérapeutiques.
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Berger, Patricia. "Les symptômes, les critères et les diagnostics du trouble des conduites, du trouble oppositionnel avec provocation, du trouble dépressif majeur et du trouble dysthymique selon le genre chez les adolescents." Thèse, Université du Québec à Trois-Rivières, 2002. http://depot-e.uqtr.ca/2546/1/000686742.pdf.

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Godard, Julie. "Fonctionnements psychosocial et neuropsychologique associés à un épisode dépressif majeur dans le cadre d'un trouble de l'humeur sévère et complexe." Thesis, Université Laval, 2010. http://www.theses.ulaval.ca/2010/27025/27025.pdf.

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Noël, Dominique. "Efficacité de la psychothérapie gestaltiste des relations d'objet sur le trouble dépressif majeur accompagné d'une pathologie de la personnalité." Thèse, Université de Sherbrooke, 2015. http://hdl.handle.net/11143/6776.

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Abstract:
L'incidence du trouble dépressif majeur est à la hausse et son occurrence produit la plus grande détérioration de l'état de santé comparée à d'autres maladies physiques ou mentales. Plusieurs approches psychothérapeutiques brèves réussissent à guérir un épisode dépressif à court terme, mais leur efficacité est faible à long terme, ce qui fait en sorte que la rechute et la chronicité de ce trouble demeurent problématiques. Plusieurs recherches ont associé la présence de traits de personnalité pathologiques à la dépression, ce qui pourrait contribuer à sa chronicité. L’étude de traitements thérapeutiques intensifs qui en tiennent compte semble plus pertinente. La psycho- thérapie gestaltiste de relations d'objet (PGRO) est une approche qui a été conçue au départ pour traiter les pathologies de la personnalité. L'objectif principal de la présente recherche est d'étudier l'application de la PGRO au trouble dépressif majeur accompagné d’une pathologie de la personnalité. Une diminution de la symptomatologie dépressive et des traits de personnalité pathologiques était attendue. Trois participantes, recrutées à partir de la clientèle en cabinet privé de la chercheuse, souffrant d'un épisode dépressif majeur et présentant des traits de personnalité pathologiques, ont participé à 20 séances de PGRO. Elles ont été évaluées avant et après le traitement ainsi que lors d’un suivi de six mois. Aux suivis, l'épisode dépressif majeur était résorbé, ce qui fut aussi confirmé un an après la fin du traitement. Les traits de personnalité pathologiques avaient diminué de 33,33 % à 80,49 % selon la participante. Les résultats apportent un soutien préliminaire important quant à l'efficacité de la PGRO pour traiter le trouble dépressif majeur accompagné d’une pathologie de la personnalité et suggèrent que le travail sur le plan de la personnalité pathologique a un impact sur la diminution de la symptomatologie dépressive.
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Soudry-Faure, Agnès. "Consommation d'antidépresseurs chez des personnes âgées non institutionnalisées : Etude des trois cités." Paris 11, 2009. http://www.theses.fr/2009PA11T017.

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Belzeaux, Raoul. "Etudes de l'expression des ARN périphériques dans la dépression. : La régulation de l'expression génétique en question." Thesis, Aix-Marseille 2, 2011. http://www.theses.fr/2011AIX20727.

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Abstract:
La dépression est fréquente, sa prise en charge difficile et les connaissances de sa physiopathologie très incomplètes. Il est établi qu’il existe une composante familiale et héréditaire au trouble dépressif mais le substrat biologique de cette vulnérabilité est inconnu et souvent les études souffrent d’un manque de reproductibilité. Par ailleurs, il n’existe pas de bio-marqueur validé utilisable en pratique courante.Nous proposons dans ce travail de thèse d’explorer les ARN périphériques chez les patients souffrant de dépression de façon à explorer s’ils peuvent définir des bio-marqueurs et si leur étude peut nous permettre de mieux comprendre le processus physiopathologique.Nous avons recruté des patients souffrant de dépression sévère dans plusieurs études pour répondre à nos objectifs. Nous avons été attentif dans ces études à des problèmes méthodologiques importants, en particulier à propos du choix des gènes de contrôle pour les PCR en temps réel, du choix de critères statistiques dans l’étude pan-génomique et de la prise en compte de prélèvements répétés chez les sujets sains pour contrôler toute variation due à des facteurs non contrôlés. En accord avec une abondante littérature sur le sujet, nous avons pu mettre en évidence des gènes déjà décrits dont l’expression transcriptionnelle est dérégulée chez les patients par rapport aux sujets contrôles ou au cours de l’évolution de la dépression, dans des études centrées sur des gènes candidats et une étude pan-génomique.Nous avons pu également mettre en évidence de façon nouvelle l’expression dérégulée chez les patients déprimés de gènes impliqués dans la régulation chromatinienne ou l’expression des gènes.Nous avons également pu nous rendre compte que les approches pan-génomiques complétaient l’approche gène candidat avec une meilleure convergence que ne le laissait supposer la littérature.Nous avons également étudié les micro-ARN et mis en évidence qu’un certain nombre d’entre eux étaient des marqueurs traits ou des marqueurs liés à l’état au cours de la dépression.L’ensemble des données issues de notre étude pan-génomique et de notre étude sur les micro-ARN montre qu’il existe des interactions probables entre les micro-ARN et les ARNm dérégulés et ces données confirment le rôle possible des gènes régulant la chromatine ou l’expression des gènes dans la dépression.Enfin, l’étude des variabilités inter- et intra-individuelles de l’expression génétique confirme l’absence d’altération globale de la transcription au cours de la dépression et souligne l’importance d’un ensemble de molécules régulant la transcription dont l’expression est contrainte c’est à dire très peu variable d’un individu à l’autre et d’un moment à l’autre chez un même sujet.Si nous n’avons pas pu mener une étude validant des marqueurs biologiques, nos résultats ouvrent la voie à l’exploration à plus grande échelle de ces marqueurs potentiels comme à l’étude d’hypothèses originales sur la physiopathologie de la dépression
Major depression is a frequent and severe disease whose treatment is often inconsistent and patients care remains insufficient. Despite some hypothesis which implicate mono-amine and genetic factors, the pathophysiology of major depression remains unclear. Moreover, no biological marker is available in current clinical practice.Our work aims to propose methodological tools and offers preliminary results to develop such biological markers by studying gene expression in peripheral blood mononuclear cells from severe depressive patients and sex and age-matched controls in different comparative prospective studies. Candidate gene and pangenomic approaches were combined. Moreover, we explored for the first time human microRNA transcription variation in major depression by multiplex RT-qPCR.Among our main findings, we demonstrate that some well-known candidate gene such as serotonin transporter mRNA could be interesting biomarkers of major depression evolution or prognosis. In addition, pangenomic study highlights the implication of genes related to chromatin structure and gene expression regulation like histone family. We also identified variations in the expression of a set of microRNAs during a major depressive episode and, with in silico approaches, we propose putative functional interactions between candidate miRNAs and mRNAs.Overall, our work underlines the feasibility and the relevance of studying the level of expression of RNAs in a psychiatric disorder using peripheral tissues. We obtained both convergent and novel results in regard to previous investigations opening the way to better knowledge of major depression pathophysiology as well as biomarkers development
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Bénard, Victoire. "Étude Multi-Échelles de Profils de Patients avec Risque de Suicide." Thesis, Lille 2, 2020. http://www.theses.fr/2020LIL2S010.

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Abstract:
Dans la littérature scientifique actuelle, des études ont mis en évidence par une approche transdiagnostique, l’implication de facteurs cliniques, biologiques et génétiques spécifiques des conduites suicidaires indépendamment d’un diagnostic de trouble psychiatrique de l’Axe I ou II du Manuel Diagnostique et Statistique des Troubles Mentaux (DSM) (1–3). De plus, l’existence d’un trouble psychiatrique n’apparaît pas être discriminante pour définir certains types de profils de patients à risque de suicide (4–6). En effet, le suicide peut toucher à la fois des personnes dites en situation de crise mais il est largement reconnu que les pathologies psychiatriques restent à haut risque de suicide, notamment les troubles de l’humeur tels que les troubles bipolaires et les dépressions unipolaires, et plus particulièrement avec caractéristiques psychotiques (7,8). De plus, des facteurs de risque spécifiques de suicide ont été retrouvés dans chacune de ces différentes populations (9,10). Ainsi, avec cette conception moderne du suicide, il semble pertinent d’étudier le risque suicidaire dans diverses populations de suicidants, souffrant ou non de troubles psychiatriques, et en utilisant une approche tant épidémiologique, dynamique avec l’actigraphie, et biologique (3,11,12). En me basant sur cette approche, mon projet de thèse s’articule en 3 axes décrits ci-après, et consiste à identifier des facteurs de risque de récidive de tentative de suicide ainsi qu’à définir des profils de patients suicidants dans des populations différentes. Pour cela, plusieurs études coordonnées permettront de réaliser une évaluation multi-échelles de la vulnérabilité suicidaire de façon transdiagnostique et de façon ciblée dans les troubles de l’humeur uni- et bi-polaires
In the current scientific literature, the studies have been highlighted by a transdiagnostic approach, implementation of clinical, biological and genetic factors, suicidal behavior independent of a diagnosis of psychiatric disorder in Axis I or II of the Diagnostic and Statistical Manual. Mental Disorders (DSM) (1-3). In addition, the endurance of psychiatric disorder is not discriminating to define certain types of profiles of patients at risk of suicide (4-6). In fact, suicide can affect both people in crisis but it is widely recognized that psychiatric pathologies remain at high risk of suicide, including mood disorders such as bipolar disorder and unipolar depression, and especially with psychotics (7,8). In addition, specific suicide risk factors were found in these different populations (9,10). Thus, with this modern conception of suicide, it seems relevant to study suicidal risk in various suicidal populations, with or without psychiatric problems, and using an epidemiological approach, dynamic with actigraphy, and biological (3, 11 , 12).For this, there are several different assessments of vulnerability of suicide in a transdiagnostic and targeted way in the problems of the united and bi-polar moods
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Nucci, Delarozière Isabelle. "La comorbidité des troubles anxieux dans la dépression : à propos d'une étude transversale portant sur 58 patients hospitalisés pour épisode dépressif majeur." Bordeaux 2, 1996. http://www.theses.fr/1996BOR23084.

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Consoloni, Julia-Lou. "Approche intégrative des facteurs biologiques et psychologiques associés au pronostic des troubles de l'humeur." Thesis, Aix-Marseille, 2017. http://www.theses.fr/2017AIXM0615/document.

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Abstract:
Les troubles de l’humeur sont des troubles psychiatriques fréquents et constituent un ensemble hétérogène caractérisés par un fardeau personnel, sanitaire et social considérable. Le pronostic de ces troubles est aggravé par un risque suicidaire accru, la présence de comorbidités psychiatriques et somatiques. Dans une démarche préventive, il parait essentiel d’identifier des facteurs biologiques ou psychologiques pouvant prédire l’aggravation du pronostic de ces troubles. Cette thèse porte sur des éléments majeurs du pronostic des deux principaux troubles de l’humeur à savoir, le trouble dépressif caractérisé et le trouble bipolaire. Dans un premier temps, nous avons tenté d’identifier un biomarqueur du risque suicidaire chez les patients dépressifs à partir d’une approche gène-candidat. Nous avons montré que l’expression génétique de l’ARN messager de SLC6A4 obtenu à partir du sang périphérique, permet de prédire l’aggravation des idées suicidaires au cours du suivi de patients souffrant d’un épisode dépressif majeur. Dans un second temps, nous avons exploré les facteurs cliniques et neuropsychologiques associés à une faible qualité de l’observance médicamenteuse chez les patients bipolaires euthymiques. Les résultats de notre étude suggèrent que les patients bipolaires auraient plus de risque de rencontrer des problèmes d’observance lorsqu’ils rapportent de nombreux effets indésirables liés aux traitements et un faible nombre d’hospitalisations antérieures. De plus, chez les patients bipolaires les plus âgés uniquement, la qualité de l’observance semble également associée aux capacités cognitives des patients et plus spécifiquement au fonctionnement exécutif
Mood disorders are frequent and heterogeneous psychiatric illnesses associated to a huge functional, social and economic burden. Different factors such as a higher risk of suicide, the higher frequency of psychiatric and somatic comorbidities are worsening the prognosis of these diseases. Within a preventive approach, it is essential to identify biological, psychological or environmental factors that might influence or predict such prognosis. This thesis focused on major elements of the prognosis of the two main mood disorders: major depression and bipolar disorder. Firstly, using a candidate-gene approach, we have tried to identify a biomarker of suicide risk in patients with a major depressive episode. We have found that SLC6A4 (gene coding for the serotonin transporter protein) mRNA expression levels extracted from the peripheral blood was able to predict the worsening of suicidal ideation in a 30 weeks follow-up. Secondly, we explored the clinical and neuropsychological factors associated to medication adherence in euthymic bipolar patients. The results of our study highlighted that bipolar patients who experienced a higher number of adverse side effects and a smaller number of previous hospitalizations are more likely to be low adherent. Moreover, in the older bipolar patients only, poor executive functioning predicted low adherence
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