Academic literature on the topic 'Tumeur maxillaire'

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Journal articles on the topic "Tumeur maxillaire"

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Sayad, Z., O. Hamidi, S. Benazzou, and M. Boulaadas. "MYXOMEODONTOGENIQUE DU MAXILLAIRE : A PROPOS DUN CAS ET REVUE DE LA LITTERATURE." International Journal of Advanced Research 9, no. 5 (2021): 216–19. http://dx.doi.org/10.21474/ijar01/12827.

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Abstract:
Introduction : Le myxome odontogene du maxillaire est une tumeur mesenchymateuse benigne rare a croissance lente, localement agressive. Il se presente frequemment dans la deuxieme ou la troisieme decennie de la vie. Son tableau clinique et radiologique est variable et non specifique.A travers cette observation et a la lumiere de la litterature nous allons essayer de mettre le point sur les differents aspects anatomo-cliniques et therapeutiques de cette tumeur a localisation maxillaire. Observation : il sagit dun patient de 45 ans, presentait une masse jugale droite, en rapport avec une tumeur maxillaire droite evoluant sur 12 mois. Une TDM du massif facial montrait un processus osteolytique multi geodique soufflant le maxillaire. Une biopsie a ete en faveur dun myxome odontogene. Lexerese chirurgicale large faite avec une bonne evolution clinique. Discussion : le myxome odontogene est une variete rare des tumeurs des maxillaires, son diagnostic est clinique, radiologique et notamment anatomopathologique. Ce dernier permet de confirmer le diagnostic avec certitude. Son traitement est chirurgical, consistant en une resection large de la tumeur afin de minimiser le risque de recidive. Un suivi regulier et prolonge simpose tenant compte du pronostic de cette variete tumorale.
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Fondrevelle, M. E., F. Rigenbach, N. Magy, D. Prie, J. L. Dupond, and B. Kantelip. "Une tumeur récidivante du maxillaire." Annales de Pathologie 26, no. 3 (2006): 239. http://dx.doi.org/10.1016/s0242-6498(06)77317-5.

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Marosa, Lydia, Frédéric Lauwers, Laurence Lamant, and Séverine Valmary-Degano. "Une tumeur odontogène du maxillaire." Annales de Pathologie 32, no. 2 (2012): 152–54. http://dx.doi.org/10.1016/j.annpat.2011.10.006.

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Soulier, Marie, Cécile De Biasi, and Gaëtan Thiery. "Une tumeur maxillaire du nourrisson." Annales de Pathologie 32, no. 4 (2012): 300–302. http://dx.doi.org/10.1016/j.annpat.2012.06.007.

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Coulibaly, Béma, Fabrice Projetti, Isabelle Pommepuy, and François Labrousse. "Une tumeur rare du maxillaire." Annales de Pathologie 33, no. 6 (2013): 430–32. http://dx.doi.org/10.1016/j.annpat.2013.10.005.

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Abou-Elfadl, M., A. Belamkaddem, M. Mahtar, M. Roubal, and F. Kadiri. "Tumeur maxillaire révélant une hyperparathyroïdie primaire." Revue de Stomatologie, de Chirurgie Maxillo-faciale et de Chirurgie Orale 115, no. 5 (2014): 323–26. http://dx.doi.org/10.1016/j.revsto.2014.08.002.

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Mrouki, M., A. Jaïdane, J. Bousselmi, et al. "Tumeur brune maxillaire révélant une hyperparathyroïdie primaire." Annales d'Endocrinologie 75, no. 5-6 (2014): 351. http://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2014.07.271.

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Roubaud, J. C., J. C. Leclere, and R. Marianowski. "Tumeur pré-maxillaire gauche : quel est votre diagnostic ?" Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale 138, no. 1 (2021): 57–58. http://dx.doi.org/10.1016/j.aforl.2020.01.004.

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Bontemps, Paul, Muriel Brix, and Etienne Simon. "Hémangiopéryctome - tumeur fibreuse solitaire maxillaire : à propos d’un cas." Médecine Buccale Chirurgie Buccale 18, no. 4 (2012): 361–65. http://dx.doi.org/10.1051/mbcb/2012038.

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Rabehi, L., S. Azzoug, and F. Chentli. "Tumeur brune du maxillaire supérieur révélatrice d’une hyperparathyroïdie primaire." Annales d'Endocrinologie 75, no. 5-6 (2014): 350. http://dx.doi.org/10.1016/j.ando.2014.07.267.

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More sources

Dissertations / Theses on the topic "Tumeur maxillaire"

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Leclercq, Isabelle. "Formation pseudo-tumorales du sinus maxillaire." Clermont-Ferrand 1, 1992. http://www.theses.fr/1992CLF13807.

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Riemens, François. "La tumeur muco-épidermoi͏̈de de la glande sous-maxillaire, à propos d'un cas." Bordeaux 2, 1996. http://www.theses.fr/1996BOR2M032.

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Wagner, Marin. "Les améloblastomes et les autres tumeurs épithéliales odontogènes sans induction : réactualisation et étude immunohistochimiques à propos de 16 cas." Université Louis Pasteur (Strasbourg) (1971-2008), 1991. http://www.theses.fr/1991STR1M091.

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BARTHE, MICHELE. "Conception d'un systeme expert d'aide au diagnostic radiologique des tumeurs osteo-mandibulaires : creation de la base de connaissances." Toulouse 3, 1991. http://www.theses.fr/1991TOU35004.

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Kadlub, Natacha. "Tumeurs des maxillaires avec anomalies du développement : à partir des modèles de tumeurs kératokystiques odontogènes et du chérubinisme." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2015. http://www.theses.fr/2015PA05T045/document.

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Abstract:
Afin de mieux comprendre les bases physiopathologiques des tumeurs osseuses des mâchoires, nous avons étudié deux modèles de tumeurs associées à des mutations génétiques connues : la tumeur kératokystique odontogène (TKO), liée à la mutation de PTCH1, et le chérubinisme, lié à la mutation de SH3BP2. Au regard des travaux d’oncogénétique, nous formulons l’hypothèse que le développement des tumeurs ostéolytiques bénignes des mâchoires de l’enfant et leur agressivité repose sur un mécanisme génétique. Nous avons montré que la présence d’une mutation de PTCH1 (germinale avec syndrome de Gorlin) dans les TKO était un facteur de mauvais pronostic, stimulant un centre tumoral secondaire, responsable de lésions à distance, mais que cette agressivité pouvait aussi être liée à des mécanismes inflammatoires. Dans le chérubinisme, nous avons montré que la mutation était responsable du phénotype, mais que le type de mutation n’influençait pas le pronostic ni l’agressivité. L’agressivité tumorale est liée au phénotype des cellules géantes multinucléées (cellules myéloïdes à différenciation macrophagique ou ostéoclastique). Nous avons montré, que le modèle murin ne pouvait pas s’appliquer à la pathologie humaine, avec notamment un rôle très secondaire du TNF-α. Enfin nous avons démontré le rôle important de NFATc1 dans la physiopathologie du chérubinisme qui nous a permis de proposer, le tacrolimus, comme le premier agent thérapeutique efficace. Nos résultats suggèrent que les mutations induisent la pathologie et que les changements du microenvironnement (liés à la flore buccale ou à l’éruption dentaire) entretiennent la pathologie<br>To determine pathophysiological bases of jawbone tumors, we studied two genetic models of jawbone tumors: keratocystic odontogenic tumors (KOT) associated to PTCH1 mutation and cherubism associated to SH3BP2 mutation. From oncogenetic theory, we postulate that genetic background controls the development of benign children jawbone tumors. From our work, we demonstrated that PTCH1 mutation (germline mutation in Gorlin syndrome) was an unfavorable prognosis factor for KOT, leading to distant and independent daughter tumors. Moreover, we showed, that chorionic inflammation was associated with a high recurrence rate. In cherubism, SH3BP2 mutation produced cherubism phenotype, but the type of mutation did not affect the aggressiveness of the disease. Cherubism aggressiveness was determined by the phenotype of giant multinucleated cells (whether osteoclasts or macrophages). Furthermore, we showed that murine model could not be transposed to human pathology; indeed it appeared that TNF- α did not play a critical role in human cherubism. On the other side, we showed that NFATc1 played a crucial role in cherubism pathophysiology; this observation allowed us to propose, the tacrolimus, as an effective treatment for this disease. Our results suggest that genetic background induced tumor development, and that microenvironment changes (due to flora of the oral cavity and to teeth eruptions) are responsible to the maintenance and the progression of the disease
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NGUYEN, KY-TRAN. "Les tumeurs malignes primitives des cavites ethmoido-maxillaires : a propos de 135 observations." Lille 2, 1991. http://www.theses.fr/1991LIL2M282.

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Michelet, Vincent. "Résultats du traitement des améloblastomes." Bordeaux 2, 1993. http://www.theses.fr/1993BOR23081.

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BOTREL, RONAN. "Place de la bucco-pharyngectomie trans-maxillaire dans le traitement des tumeurs epitheliales malignes de l'oropharynx : a propos de 136 cas." Rennes 1, 1994. http://www.theses.fr/1994REN1M020.

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KANEDA, TOSHIO, YOSHIHIRO SAWAKI, and MINORU UEDA. "THREE-DIMENSIONAL COMPUTED TOMOGRAPHIC ANALYSIS FOR PLACEMENT OF MAXILLOFACIAL IMPLANTS AFTER MAXILLECTOMY." Nagoya University School of Medicine, 1993. http://hdl.handle.net/2237/15928.

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Reitemeier, Bernd, Michael Unger, Gert Richter, Barbara Ender, Ursula Range, and Jutta Markwardt. "Clinical Test of Masticatory Efficacy in Patients with Maxillary/Mandibular Defects Due to Tumors." Saechsische Landesbibliothek- Staats- und Universitaetsbibliothek Dresden, 2014. http://nbn-resolving.de/urn:nbn:de:bsz:14-qucosa-134891.

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Abstract:
Background: The goal of the study was to evaluate the masticatory efficacy in patients who had been provided with resection prostheses after tumor removal in the maxillary/ mandibular region. These patients complained of impairment of masticatory function. Patients and Methods: 3 groups of patients were compared under clinical-experimental conditions. A uniform chewing material was masticated by the participants under standardized conditions. A sieving procedure was used to evaluate the masticatory efficacy. Analysis of the particle sizes and particle masses obtained was performed with the aid of computers. Results: The results showed that the masticatory efficacy of the patients with resection prostheses was the lowest of the 3 groups compared. The number of existing supporting zones and the location of the defect were found to be important influencing factors. Recording of the dietary habits of all patients was performed using a standardized dietary questionnaire. These data were analyzed using the corresponding software of the German Nutrition Society. With regard to the patients with resection prostheses, it was revealed that they often switched to food that did not require mastication. Conclusions: A nutritional guideline for patients with resection prostheses was developed, which is available for downloading free of charge on the Internet<br>Hintergrund: Ziel der Untersuchung war die Prüfung der Kaueffektivität bei Patienten, die mit Resektionsprothesen nach Tumorentfernung im Kieferbereich versorgt worden waren. Diese Patienten klagten über eine Einschränkung der mastikatorischen Funktion. Patienten und Methoden: Unter klinisch xperimentellen Bedingungen erfolgte der Vergleich von 3 Patientengruppen. Unter standardisierten Bedingungen zerkleinerten die Patienten einheitliches Kaugut. Zur Bewertung der Kaueffektivität wurde ein Siebverfahren eingesetzt. Die Auswertung der ermittelten Partikelgrößen und Partikelmassen erfolgte computergestützt. Ergebnisse: Die Ergebnisse zeigten, dass im Vergleich der 3 Gruppen die Kaueffektivität der Patienten mit Resektionsprothesen am geringsten war. Die Zahl der vorhandenen Stützzonen des Restgebisses und die Defektlokalisation wurden als bedeutsame Einflussfaktoren ermittelt. Die Erfassung der Ernährungsgewohnheiten aller Patienten erfolgte mittels eines standardisierten Ernährungsfragebogens. Diese Daten wurden mit der zugehörigen Software der Deutschen Gesellschaft für Ernährung ausgewertet. Bei den Patienten mit Resektionsprothesen zeigte sich, dass diese auf Nahrungsmittel ausweichen, die kein Kauen erfordern. Schlussfolgerungen: Es wurde eine Ernährungsrichtlinie für Patienten mit Resektionsprothesen abgeleitet, die zum kostenfreien Herunterladen im Internet zur Verfügung steht<br>Dieser Beitrag ist mit Zustimmung des Rechteinhabers aufgrund einer (DFG-geförderten) Allianz- bzw. Nationallizenz frei zugänglich
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Books on the topic "Tumeur maxillaire"

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N, Harrison D. F., and Lund Valerie J, eds. Tumours of the upper jaw. Churchill Livingstone, 1993.

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Cascarini, Luke, Clare Schilling, Ben Gurney, and Peter Brennan. In the clinic. Oxford University Press, 2018. http://dx.doi.org/10.1093/med/9780198767817.003.0005.

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Abstract:
This chapter discusses oral and maxillofacial surgery in the clinic, including, Mandible fractures, Orbital floor fractures, Zygoma fractures, Maxillary fractures, Nose, naso-ethmoidal, and frontal bone fractures, Face and scalp soft tissue injuries, Dento-alveolar: assessment for extractions, Dento-alveolar: impacted teeth, Dento-alveolar: jaw pathologies, Temporomandibular joint problems, Oral and facial pain, Management of oral lesions, Management of neck lumps, Skin tumours, Work-up for major head and neck oncoplastic surgery, Reviewing head and neck cancer patients, Salivary gland diseases, Orthognathic patients, and Miscellaneous conditions in the clinic
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Book chapters on the topic "Tumeur maxillaire"

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Pandolfo, Ignazio, and Silvio Mazziotti. "Cystic Lesions and Maxillary Tumours." In Orthopantomography. Springer Milan, 2013. http://dx.doi.org/10.1007/978-88-470-5289-5_7.

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Johnson, Jeffrey D., and Tang Ho. "Reconstruction Considerations for the Posttraumatic, Benign Tumor, and Oncologic Patient." In Regenerative Strategies for Maxillary and Mandibular Reconstruction. Springer International Publishing, 2019. http://dx.doi.org/10.1007/978-3-319-93668-0_3.

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Rapisarda, F., M. D’Anca, A. Arcidiacono, E. Iannetti, C. Grillo, and P. Fatuzzo. "Maxillary “Giant Cell Brown Tumor” (GCBT) in a Patient on Maintenance Hemodialysis (HD) with Secondary Hyperparatyroidism (SHPT): Case Report." In New Therapeutic Strategies in Nephrology. Springer US, 1991. http://dx.doi.org/10.1007/978-1-4615-3884-4_86.

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Mitchell, David A., Laura Mitchell, and Lorna McCaul. "Oral surgery." In Oxford Handbook of Clinical Dentistry. Oxford University Press, 2014. http://dx.doi.org/10.1093/med/9780199679850.003.0009.

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Abstract:
Contents. Principles of surgery of the mouth. Asepsis and antisepsis. Forceps, elevators, and other instruments. The extraction of teeth. Complications of extracting teeth. Post-operative bleeding. Suturing. Dento-alveolar surgery: bisphosphonates. Dento-alveolar surgery: removal of roots. Dento-alveolar surgery: removal of unerupted teeth. Dento-alveolar surgery: removal of third molars. Dento-alveolar surgery: coronectomy. Dento-alveolar surgery: third-molar technique. Dento-alveolar surgery: apicectomy. Dento-alveolar surgery: other aids to endodontics. Dento-alveolar surgery: helping the orthodontist. Dento-facial infections. Biopsy. Cryosurgery. Non-tumour soft-tissue lumps in the mouth. Non-tumour hard-tissue lumps. Cysts of the jaws. Benign tumours of the mouth. The maxillary antrum. Minor preprosthetic surgery. Implantology. Lasers. Minimally invasive surgery.
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Zulkiflee, A. B., and N. Prepageran. "Endoscopic Approach in Maxillary Tumours." In Stem Cell Oncology. CRC Press, 2018. http://dx.doi.org/10.1201/9781351190152-43.

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Bryant, Colonel Douglas G., Alex P. Jones, and Maniram Ragbir. "Reconstruction of the mandible and maxilla." In Oxford Textbook of Plastic and Reconstructive Surgery, edited by Maniram Ragbir. Oxford University Press, 2021. http://dx.doi.org/10.1093/med/9780199682874.003.0215.

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Abstract:
Mandibular and maxillary reconstruction is commonly required in clinical practice following major trauma or tumour resection. General principles of reconstruction should be followed: replace like with like and address functional and cosmetic deficiencies. Many reconstructive approaches are applicable to both mandibular and maxillary reconstruction and free vascularized tissue transfer is the accepted standard for both these anatomical sites with flaps such as the fibula or iliac crest. Advances in microsurgery allow high-quality, reproducible reconstructions to be performed by specialist teams. Reconstruction modality will be influenced by a range of factors such as defect site, size, and soft tissue involvement, as well as patient factors such as general health, dentition, age, and further planned treatment. Key factors to consider when reconstructing the midface and jaw include the airway, swallowing, speech, nutrition, and dental rehabilitation. These are also considered in this chapter. Computer modelling and surgical planning based on preoperative computed tomography scanning is now commonly used by many teams and this is also discussed.
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Bernardino, C. Robert. "Reconstruction of Canthal Defects." In Surgery of the Eyelid, Lacrimal System, and Orbit. Oxford University Press, 2011. http://dx.doi.org/10.1093/oso/9780195340211.003.0010.

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Abstract:
Reconstruction of the medial and lateral canthal region can be quite challenging because in these two regions, soft tissue (canthal tendons) interacts directly with bony tissue to determine the location and function of the eyelids. Poor knowledge of the anatomy in these regions or poor surgical technique and planning can lead to poorly functioning eyelids in both opening and closing as well as associated lacrimal drainage and pump deficiency and aesthetic asymmetry. Tissue loss in these regions can be from many causes, including trauma, inflammation, and neoplasia. When dealing with malignant neoplasia, it is particularly important to ensure that surgical margins are free of tumor prior to reconstruction. Particularly in the medial canthus, incompletely excised lesions can spread deep into the orbit, into the periocular sinuses (ethmoid and maxillary), and down the nasolacrimal system. Therefore, excision with margin control (Mohs, frozen, or permanent sections) is warranted. When a tumor is heading toward the orbit, this author recommends margin control with permanent fixed tissue to ensure proper diagnosis. When tumor cannot be cleared with this technique an exenteration is offered. Repair of the canthal regions involves first repairing deep structures and any bony defects with autologous or synthetic materials, followed by resuspending eyelid structures to a location analogous to their native location. If remnants of the canthal tendon are present, it can be sutured to periosteum, or sutured or wired to bone through drilled pilot holes. Other techniques may involve using titanium miniplates to fixate the soft tissue to bone. If canthal tendon is not present, periosteum of the orbital rim can be fashioned into a flap simulating a canthal tendon, or the tarsus of the eyelid can be split with one arm forming a new canthal tendon. No matter what technique is used, care must be taken to ensure the tendon or tendon substitute is fixed into the orbit, deeper than the orbital rim; failure to do so will cause the eyelids to function poorly. Once deeper structures are restored, repair of the soft tissue must be undertaken.
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Conference papers on the topic "Tumeur maxillaire"

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Chbicheb, S., and W. El Wady. "Tumeur brune maxillaire révélatrice d’une hyperparathyroïdie primitive." In 56ème Congrès de la SFMBCB. EDP Sciences, 2011. http://dx.doi.org/10.1051/sfmbcb/20115602014.

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Pajot, T., H. Genevière, V. Descroix, and G. Lescaille. "Nodule vestibulaire maxillaire : à propos d'un cas atypique de tumeur odontogène." In 65ème Congrès de la SFCO. EDP Sciences, 2017. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20176502004.

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Gossart, R., L. Crampette, and JH Torres. "Traitement d’un cas de tumeur odontogène kystique kératinisante du maxillaire par décompression." In 64ème Congrès de la SFCO, edited by S. Boisramé, S. Cousty, J. C. Deschaumes, et al. EDP Sciences, 2016. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20166403016.

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Sergheraert, J., S. Grenier, C. Mauprivez, B. Lefevre, and S. Laurence. "Cystadénome papillaire d’une glande salivaire accessoire. A propos d’un cas." In 66ème Congrès de la SFCO. EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206602011.

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Abstract:
Les tumeurs des glandes salivaires sont rares et représentent 2 à 6.5 % des néoplasies de la tête et du cou. L’atteinte des glandes salivaires accessoires représente moins de 25% de l’ensemble des tumeurs des glandes salivaires [Auclair et al. 1991]. Les localisations les plus fréquentes sont : le palais, la joue et la région linguale postérieure [Tijoe et al., 2015]. La grande variabilité de l’expression clinique de ces tumeurs rend difficile l’établissement d’un diagnostic précis, d’où l’importance de l’analyse histologique. Le cas d’une tumeur bénigne des glandes salivaires accessoires de la joue est rapporté. Il s’agit d’une femme de 68 ans adressée initialement pour l’exérèse d’une lésion kystique maxillaire. Elle ne présente aucun antécédent médico-chirurgical. L’examen endobuccal révèle la découverte fortuite de plusieurs lésions nodulaires indépendantes et de tailles variables (de 0,5 à 1,5 cm de longueur dans leur grand axe) situées sur la face interne des lèvres et des joues, passées inaperçues par la patiente. La muqueuse de recouvrement est d’aspect normal. L’hygiène bucco-dentaire est défectueuse (PI&gt;50%) et les édentements sont compensés par prothèses amovibles. A la palpation, aucune symptomatologie douloureuse n’est mise en évidence, ni d’adhésion avec les plans profonds. Ces nodules sont fermes, et pour le nodule ayant fait l’objet de l’exérèse, une suppuration apparaît. L’examen exobuccal est sans particularité, les aires ganglionnaires sont libres. L’examen radiographique est sans particularité exceptée la lésion motivant la consultation au niveau du site de 12. Les caractéristiques cliniques peuvent faire évoquer une pseudo-tumeur de glandes salivaires accessoires de type mucocèle ou une hyperplasie épithéliale (diapneusie). L’exérèse complète de la lésion de plus grande taille présentant une suppuration a été pratiquée sous anesthésie locale. Les suites opératoires ont été simples et asymptomatiques. L’examen anatomopathologique de la pièce opératoire conclut à un cystadénome papillaire d’une glande salivaire accessoire. Le cystadénome papillaire est une tumeur épithéliale bénigne rare des glandes salivaires [OMS, 2017]. Il intéresse spécialement les glandes salivaires principales, notamment la glande parotide (45%), et dans seulement 0.6 à 4% des cas une glande salivaire accessoire [Tijoe et al., 2015]. L’âge moyen de découverte se situe entre 50 et 70 ans. Le traitement de cette lésion réside dans sa simple exérèse et les récidives sont exceptionnelles. Histologiquement, la lésion est multiloculaire et du tissu conjonctif sépare les kystes, la littérature souligne la possibilité de lésions uniloculaires dans 20% des cas. Une seconde forme muqueuse moins fréquente est décrite. Le diagnostic différentiel du cystadénome papillaire comprend principalement le kyste muqueux de rétention. L’absence d’une composante lymphöde écarte le diagnostic de tumeur de Warthin. Dans ce contexte, le carcinome mucoépidermöde de bas grade doit être écarté [Stojanov et al., 2017].
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de Cidrac, L., L. Radoï, R. Pecorari, and T. Nguyen. "Tumeur à cellules géantes : à propos d’un cas récidivant et agressif à localisation mandibulaire." In 66ème Congrès de la SFCO. EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206603021.

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Introduction : La tumeur à cellules géantes (TCG) est une lésion osseuse qui se développe préférentiellement au niveau de l’épiphyse des os longs chez des sujets de 20 à 40 ans, mais exceptionnellement au niveau des maxillaires. D’étiologie inconnue, elle fait partie du groupe des tumeurs osseuses bénignes. Ce groupe nosologique comprend le granulome central à cellules géantes (GCCG), le chérubisme, le kyste anévrismal ainsi que les TCG et les tumeurs brunes liées à l’hyperthyroïdie. L’histologie ne permet pas de poser un diagnostic de certitude entre la TCG et le GCCG. Cependant, les TCG présentent un tableau clinique plus agressif et récidivant. Il existe un risque de transformation maligne en sarcome dans 10 à 20% des cas (Barthélemy 2009) et un fort potentiel métastatique (Martin-Duverneuil 2004). Observation : Le cas rapporté est celui d’une patiente de 28 ans qui présentait une tuméfaction intrabuccale douloureuse de 35mm de grand axe, en distal de 47. Le Cone Beam (CBCT) montrait une lésion osseuse radioclaire sous-jacente de 22mm de grand axe, à proximité d’un apex résiduel de 48. Le diagnostic initial était celui d’un kyste résiduel compliqué d’une cellulite. Le traitement a consisté en une énucléation simple. L’examen anatomopathologique suspectait un granulome périphérique à cellules géantes (GPCG) avec atteinte osseuse. La patiente a été perdue de vue 4 mois jusqu’à la récidive de la lésion. Le nouveau CBCT montrait une lésion ostéolytique de 40mm de grand axe, au niveau de l’angle mandibulaire, envahissant la branche montante avec perforation des corticales et atteinte des tissus mous. Une chirurgie interruptrice mandibulaire en marges saines avec reconstruction par attelle en titane préformée a été réalisée. L’examen anatomopathologique de la pièce d’exérèse n’a pas pu conclure entre GCCG et TCG. La patiente a été suivie 2 ans sans récidive. Discussion : Contrairement au GPCG, le GCCG et la TCG se développent d’abord dans l’os spongieux puis de manière excentrique jusqu’aux corticales osseuses qui peuvent être détruites et aux tissus mous qui sont refoulés ou envahis. Le contenu est mou, de couleur brun-rouge, parfois vacuolaire ou hémorragique. L’examen histologique montre un stroma assez homogène, très vasculaire, contenant, à côté de cellules mononuclées, de grandes cellules multinucléées : les cellules géantes. Le nombre de noyaux serait corrélé avec l’agressivité de la tumeur (Ficarra 1987). Moins fréquente que le GCCG, la TCG est plus agressive. Elle récidive dans environ 50% des cas. La recommandation actuelle est de la traiter par exérèse chirurgicale réglée avec des limites histologiques saines. Le curetage est insuffisant pour prévenir le risque de récidive et de transformation maligne (Barthélémy 2009). Dans le cas rapporté, la forme particulièrement agressive de la tumeur chez cette jeune patiente (récidive en 4 mois avec perforation des corticales et envahissement des parties molles) nous a orienté vers le diagnostic de TCG et un traitement radical de sa récidive. Conclusion : La TCG nécessite un diagnostic précoce et une exérèse en marges saines dès la première intervention afin de diminuer le risque de récidive et d’éviter des traitements plus mutilants.
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Gossiome, C., F. Rufino, G. Herve, et al. "Découverte fortuite d’une lésion mandibulaire, un cas de kyste anévrismal." In 66ème Congrès de la SFCO. EDP Sciences, 2020. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20206603020.

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Introduction : Les kystes et tumeurs des maxillaires représentent une multitude d’entités pour lesquelles le diagnostic est parfois difficile. L’examen anatomopathologique permet dans la majorité des cas de donner un diagnostic de certitude mais il est parfois nécessaire de confronter ces résultats à l’imagerie voir de réaliser des marquages d’immunohistochimie pour mieux caractériser la lésion. Le diagnostic différentiel apparaît comme primordial devant certaines entités dont l’évolution guide une prise en charge très différente. Cas clinique : Il s’agissait d’une jeune patiente de 25 ans sans antécédent médical, adressée par son chirurgien-dentiste à la suite de la découverte fortuite d’une lésion osseuse au niveau de l’angle mandibulaire droit. Une exploration radiographique de type CBCT ainsi qu’une biopsie osseuse ont été réalisées. La confrontation de l’imagerie et du diagnostic histologique ne permettait pas de dissocier deux diagnostics possibles, la lésion pouvant correspondre à une tumeur à cellules géantes (TCG) ou à un kyste osseux anévrismal (KOA). Devant cette incertitude, un marquage par immunohistochimie de la protéine p63 ainsi qu’une imagerie par résonance magnétique ont été demandés. Un marquage négatif à la p63 ainsi que l’analyse de l’ensemble des images radiologiques nous a permis de poser le diagnostic de kyste anévrismal. Devant le caractère asymptomatique de la lésion et de l’absence d’évolution à 9 mois, une attitude de surveillance a été décidée. Discussion : Les deux entités que sont le KOA et la TCG sont des lésions dont le diagnostic différentiel est complexe mais impératif du fait de leurs évolutions très différentes. Le KOA correspond à une dystrophie osseuse bénigne qui forme une lésion cavitaire constituée d’un réseau riche en fibroblastes et cellules géantes plurinucléés parfois bordées par un endothélium. Cette lésion est bénigne d’évolution lente. Le traitement consiste le plus souvent en un curetage de la cavité kystique lorsque la lésion entraîne déformation et/ou symptomatologie. La TCG présente de nombreuses caractéristiques histologiques en commun avec le kyste osseux anévrismal, avec un nombre de cellules géantes plus important. Toutefois la TCG présente un risque de récidive de l’ordre de 50% ainsi qu’un risque de transformation maligne (sarcome) de 10 à 20 %. Son évolution peut également être rapide. Le traitement doit être radical et consiste en une exérèse chirurgicale avec marges. Il a été montré par plusieurs auteurs que le marquage de p63, une protéine nucléaire de la famille du gène suppresseur p53, retrouvée dans différents tissus permettait de distinguer ces deux entités dans plusieurs localisations. Conclusion : Le marquage de la protéine p63 peut apparaît donc très utile dans le diagnostic différentiel de ces lésions dont les pronostics sont très différents lorsque l’imagerie et le marquage en HES ne sont pas suffisants.
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Moreau, N., M. Lafond, AL Ejeil, and B. Salmon. "Apport de l’imagerie CBCT dans l’évaluation des critères radiologiques de bénignité et malignité des tumeurs des maxillaires." In 64ème Congrès de la SFCO, edited by S. Boisramé, S. Cousty, J. C. Deschaumes, et al. EDP Sciences, 2016. http://dx.doi.org/10.1051/sfco/20166402018.

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Hanazawa, Toyoyuki, Nijiro Nohata, Takashi Kinoshita, et al. "Abstract 4143:microRNA-874as a tumor suppressor in maxillary sinus squamous cell carcinoma based on microRNA expression signature." In Proceedings: AACR 103rd Annual Meeting 2012‐‐ Mar 31‐Apr 4, 2012; Chicago, IL. American Association for Cancer Research, 2012. http://dx.doi.org/10.1158/1538-7445.am2012-4143.

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Hanazawa, Toyoyuki, Nijiro Nohata, Naoko Kikkawa, et al. "Abstract 121: Identification of tumor suppressive microRNAs in maxillary sinus squamous cell carcinoma based on microRNA expression signature." In Proceedings: AACR 102nd Annual Meeting 2011‐‐ Apr 2‐6, 2011; Orlando, FL. American Association for Cancer Research, 2011. http://dx.doi.org/10.1158/1538-7445.am2011-121.

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