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Foé, Nkolo. "Afrique en dialogue, Afrique en auto-questionnement: universalisme ou provincialisme? "Compromis d'Atlanta" ou initiative historique?" Educar em Revista, no. 47 (March 2013): 175–228. http://dx.doi.org/10.1590/s0104-40602013000100011.

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Abstract:
L'article analyse la relation entre l'Europe et l'Afrique, en discutant comment la condition (post) coloniale maintient une tension entre deux différentes interprétations de cette relation. Dans un premier temps il indique comment des affirmations contemporaines dans lesquelles l'Afrique n'a pas d'histoire, a des racines profondes dans l'interprétation de savants européens que se posent des questions à propos du degré d'humanité du Noir (Kant, Hume, Voltaire, Montesquieu, Condorcet), au sujet des Africains et de l'Afrique. Dans ça démarche le texte fait une analyse critique des théories d'existence de l'âme noire. L'analyse nous amène à la discussion de comment la "question nationale" comme remplaçante de la "question sociale" a contribué à l'organisation d'une culture du servilisme qui maintient le colonisateur éloigné des conditions objectives de la citoyenneté moderne. La conclusion de l'article est que "une ancienne question n'as pas été réglée, celle de l'unité négative ou de la polarisation du monde. Les philosophes de la libération concevaient nettement la suppression de cette contradiction comme le Centre capitaliste. Cette approche implique-t-elle le retourne de l'initiative historique à la Périphérie, selon la perspective d'Aime Césaire, Kwame Nkrumah, Marcien Towa, Samir Amin. L'idée de scission, de séparation du corps de l'Empire, visait un objectif transcendant qui est l'intégration des individus et des nations de l'Afrique et du Sud dans un grand projet universel commun, dans l'indépendance, dans l'égalité et dans la réciprocité".
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Maisonnave, Hélène, and Bernard Decaluwé. "Politique éducative et marché du travail en Afrique du Sud. Une analyse en EGC." Recherches économiques de Louvain 76, no. 3 (2010): 289. http://dx.doi.org/10.3917/rel.763.0289.

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Mfewou, Abdoulay, Hervé Tchekote, and Josephine Lemouogue. "Frontières Et Dynamiques Socio-Spatiales En Afrique : Une Analyse À Partir Des Frontières Sud- Camerounaises." European Scientific Journal, ESJ 14, no. 5 (February 28, 2018): 285. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2018.v14n5p285.

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Abstract:
This article focuses on the openness and socio-economic dynamics associated with the meeting of different communities from many inland territories of Africa: on the borders of South Cameroon, northern Equatorial Guinea and North of Gabon, attracted by the oil windfall. The study illustrates the effectiveness of "living together" in this vast sub-region. It shows how development is based on the organization of trade that is not simply based on the differences between national systems, but on the establishment of South- South relations. While the challenges based on planning on these cross-border spaces is indispensable, local elected representatives are trying to set-up networking arrangements for cross-border communities. Border management makes it possible to ensure security, counter-threats to people and economic prosperity. The construction of a motorable high-way and the implementation of treaties on the opening of borders signed between the States since the 16th of March 1994 deemed at facilitating the free movement of economic actors, while many still consider the arrival of foreigners in these Eldorado as an invasion.
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Titley, E. Brian, and Patrick C. Douaud. "Les écoles catholiques irlandaises et la création d’un empire spirituel." Revue des sciences de l'éducation 10, no. 1 (November 27, 2009): 55–67. http://dx.doi.org/10.7202/900436ar.

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Abstract:
Cet article analyse les conséquences du contrôle exercé par l’Église catholique sur le système d’éducation de la République d’Irlande pendant la période qui va de 1920 à 1960. La gestion directe de la plupart des écoles par les prêtres et les religieuses a permis à l’Église d’étendre de façon notable son influence sur la société irlandaise. Non seulement les paroisses étaient abondamment pourvues de membres du clergé, mais encore il en restait assez pour desservir les centres d’immigration irlandaise à l’étranger et pour étendre les entreprises missionnaires en Afrique, en Asie et en Amérique du Sud.
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Bourblanc, Magalie, and Raphaëlle Ducrot. "Courtiers en développement et contrôleurs d’accès : deux figures incontournables des politiques de lutte contre la pauvreté rurale en Afrique du Sud." Cahiers Agricultures 27, no. 5 (September 2018): 55006. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2018033.

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Abstract:
Cet article analyse la mise en œuvre de programmes publics de lutte contre la pauvreté rurale en Afrique du Sud et fait le parallèle avec les politiques d’aide internationale au développement, en soulignant en particulier un de leurs travers, à savoir leur relative inefficacité. En remobilisant un concept-clé des travaux en anthropologie, celui du courtier, couplé à la redécouverte de l’idée de ≪ point de passage obligé » (gatekeeping) issue de la science politique, cet article montre à quel point les courtiers ont l’ambition de s’imposer comme des intermédiaires hégémoniques au sein d’un univers du courtage très disputé. À cette occasion, notre article s’interroge sur les relations entre les figures nouvelles et traditionnelles du courtage, c’est-à-dire entre les conseils d’administration des comités d’irrigation et les élites tribales.
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Comaroff, Jean, and John L. Comaroff. "Bétail, perles et pièces de monnaie." Anthropologie et Sociétés 34, no. 2 (February 23, 2011): 21–45. http://dx.doi.org/10.7202/045704ar.

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Abstract:
Cet essai porte sur les mécanismes qui permettent les échanges équitables entre différents ordres de valeur, dans la production de la société et de l’histoire. Alors que les équivalences entre monnaies, la normalisation et la conversion sont présentes dans la plupart des théories sur l’argent et la marchandisation, leur nature en tant que processus social n’a pas été suffisamment étudiée, surtout dans la construction du caractère universalisant des idéologies et des régimes politiques et économiques modernes. Notre analyse examine la confrontation des différents régimes de valeur à l’occasion de la rencontre entre les Tswana d’Afrique du Sud et les colonisateurs européens, ainsi que les conflits et la médiation complexe auxquels ce processus a donné lieu. Le bétail, les pièces de monnaie et les contrats, qui avaient la possibilité à la fois de renforcer et de nier les différences, ont rapidement été investis de qualités magiques. Mais les peuples colonisés étaient également sensibles à la faculté de ces monnaies de faciliter ou d’empêcher la convertibilité, et connaissaient les formes d’abstraction et d’incorporation qu’ils impliquaient. C’est pourquoi, en Afrique du Sud et ailleurs, ces monnaies ont souvent servi de moyen de contestation de la valeur autour de laquelle les luttes coloniales se sont jouées.
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Henningsen, Anne Folke. "Contesting Promised Land: Moravian Mission Land Conflict in South Africa around 1900." Social Sciences and Missions 23, no. 2 (2010): 254–75. http://dx.doi.org/10.1163/187489410x511560.

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Abstract:
AbstractAt the Moravian mission station Goshen in South Africa's Eastern Cape, conflicts over land rights between missionaries and dissenting congregants around the turn of the twentieth century, led to court cases between the two parties. Through a case study of such a conflict with ensuing court cases, the strategies and practices of the parties involved are analysed and the impact of the civil disobedience of the dissenting congregants is shown. La station missionnaire morave de Goshen, à l'est du Cap en Afrique du Sud, vit émerger au tournant du vingtième siècle des conflits entre missionnaires et croyants dissidents autour des droits sur la terre, conflits qui entrainèrent les deux parties devant la justice. En étudiant ces conflits et les aff aires judiciaires qui s'ensuivirent, ce texte analyse les stratégies et les pratiques des parties impliquées ainsi que l'impact de la désobéissance civile des croyants dissidents.
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Kouassi, Amani Michel, Relwindé Abdoul-Karim Nassa, Koffi Eugène Kouakou, Koffi Fernand Kouame, and Jean Biemi. "Analyse des impacts des changements climatiques sur les normes hydrologiques en Afrique de l’Ouest : cas du district d’Abidjan (sud de la Côte d’Ivoire)." Revue des sciences de l'eau 32, no. 3 (2019): 207. http://dx.doi.org/10.7202/1067305ar.

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Xavier Merrien, François. "LA PROTECTION SOCIALE COMME POLITIQUE DE DÉVELOPPEMENT: un nouveau programme d’action international." Revista Direito das Relações Sociais e Trabalhistas 3, no. 2 (October 9, 2019): 10–35. http://dx.doi.org/10.26843/mestradodireito.v3i2.108.

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Abstract:
Au tournant du millénaire, la protection sociale est devenue une nouvelle priorité pour les pays du Sud et pour les politiques de développement. Cette élévation de la protection sociale au nombre des instruments privilégiés des politiques de développement marque un changement de paradigme fondamental par rapport aux décennies antérieures. La protection sociale a longtemps été considérée comme un instrument peu approprié pour les pays en développement. Toutefois, à la fin des années 1990, le désenchantement vis-à-vis des résultats des programmes d’ajustement économique, la crise asiatique de 1997 de même que la prise de conscience renforcée des effets négatifs de la pauvreté des nations et de la paupérisation des populations ont pour effet de modifier le paradigme dominant. La protection sociale devient un instrument privilégié pour atteindre les Objectifs du millénaire pour le développement. La Banque mondiale élève la protection sociale au rang des instruments principaux des stratégies de réduction de la pauvreté à l’échelon international (« gestion du risque social », social risk management). Le Department for International Development du Royaume-Uni, associé à d’autres organisations, promeut un modèle axé sur les droits des pauvres. Les programmes de protection sociale élaborés dans les pays du Sud, comme les pensions sociales au Brésil et en Afrique du Sud ou les transferts conditionnels en espèces (TCE) au Mexique et au Brésil, deviennent des programmes-modèles au niveau mondial. Cet article vise à analyser l’émergence de la protection sociale dans les politiques de développement. Dans cette perspective, il analyse les différents types de programmes privilégiés par la communauté internationale en s’intéressant plus particulièrement aux programmes de TCE. En conclusion, il cherche à évaluer la pertinence relative des politiques de protection sociale pour les pays en développement.
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Didier, C., and N. Van Der Merwe. "Analyse en retour d’expérience de deux effondrements miniers dans des mines de charbon : cas des mines de Coalbrook (Afrique du Sud) et de Gardanne (France)." Revue Française de Géotechnique, no. 131-132 (2010): 119–35. http://dx.doi.org/10.1051/geotech/2010131119.

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Ouango, Jean-Gabriel, Kapouné Karfo, Moussa Kere, Marcelline Ouedraogo, Gisèle Kabore, and Arouna Ouedraogo. "Concept traditionnel de la folie et difficultés thérapeutiques psychiatriques chez les Moosé du Kadiogo." Santé mentale au Québec 23, no. 2 (September 11, 2007): 197–211. http://dx.doi.org/10.7202/032459ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ L'exercice de la psychiatrie en Afrique au Sud du Sahara se heurte à de nombreux problêmes d'acceptabilité des soins par les malades et leurs familles. Le rejet fréquent de la démarche thérapeutique des psychiatres s'explique peut-être par l'inadaptation de l'approche étiopathogénique. En effet, en Afrique Noire, les responsables des maladies diffèrent selon qu'on a été à l'école ou non. L'école occidentale apprend aux minorités qui ont la chance d'y aller ou de l'approcher que le corps humain peut être agressé par des bactéries, des virus, des mycoses ou autoagressé par des modifications de sa propre physiologie. L'éducation traditionnelle, quant à elle, fait du corps une entité mystérieuse susceptible d'être pénétrée ou mangée par les génies et les sorciers anthropophages, suivant un mécanisme mystico-religieux lié aux croyances et coutumes. Chez la majorité des Moosé du plateau moaga du Burkina Faso, ces agresseurs sont des génies ancestraux ou des génies de brousse, en particulier dans le domaine de la folie. L'explication de la souffrance psychologique par un conflit familial, social ou intrapsychique indépendant du monde invisible est à la limite délirante pour eux, provoquant ainsi leur résistance à la prise en charge psychiatrique complète de ces malades. Une analyse des causes probables de cette résistance nous a paru nécessaire. À l'aide d'interviews, elle nous a montré que l'institution psychiatrique est vécue par les Moosé du Kadiogo comme une étape dans l'itinéraire thérapeutique de leurs malades mentaux, étape au cours de laquelle leur demande de soins se réduit à la suppression du symptôme qui dérange. Pour eux, la suppression de la cause relève d'un savoir que ne possède pas le psychiatre, ce qui rend la relation thérapeutique frustrante de part et d'autre.
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Allam, Antoine, Jinane El Hassan, Wajdi Najem, Claude Bocquillon, and Roger Moussa. "Classification climatique méditerranéenne pour l'hydrologie." La Houille Blanche, no. 1 (February 2020): 60–69. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2020008.

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Abstract:
La Méditerranée est une zone tempérée occupée par diverses populations la rendant une des régions les plus sensibles aux changements anthropiques et climatiques. L'objectif de ce travail est d'établir une classification climatique pour l'hydrologie qui met en évidence la continuité climatique d'un lieu à un autre et pourrait évaluer les tendances des changements. La démarche proposée comporte une Analyse en Composantes Principales pour réduire le nombre des indices climatiques et ne considérer que les plus contributaires, une classification en K-moyennes pour distribuer les stations en un certain nombre de classes, ici 5 et finalement la construction d'un arbre de décision à partir des distances aux noyaux des classes climatiques pour déterminer si un lieu quelconque possède ou non un climat méditerranéen et à quel type appartient-il. Les données de 144 stations au pas de temps mensuel dans 20 pays méditerranéens sont utilisées pour caler la classification, 36 autres stations pour vérifier cette classification en Méditerranée et 21 stations pour la vérifier au Chili et en Afrique du Sud connus pour leur climat à caractère Méditerranéen. Les résultats montrent que la distribution en 5 classes coïncide avec une distribution géographique en Méditerranée et l'analyse de la connexité interclasse montre que l'évolution du climat se fait de façon continue, puisqu'une même station peut obéir aux critères d'appartenance de plusieurs classes.
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Barou, Jacques. "La idea de la muerte y los ritos funerarios en el África subsahariana. Permanencia y transformaciones." Revista Trace, no. 58 (July 9, 2018): 125. http://dx.doi.org/10.22134/trace.58.2010.376.

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Abstract:
La importancia de los rituales funerarios en el África subsahariana ha sorprendido a los observadores, quienes, independientemente de la diversidad de los rituales, los han relacionado con el dominio del grupo sobre el individuo y con el proceso del perpetuo retorno de los muertos entre los vivos. La evolución interna de las religiones africanas tradicionales, llamadas religiones del terruño, ha hecho surgir formas culturales más elaboradas en torno a los antepasados de prestigio, intermediarios entre el mundo humano y el universo invisible. Dicha evolución preparó la aceptación de las religiones reveladas, que no han modificado totalmente los rituales mortuorios ni han eclipsado por completo la creencia en los antepasados y en la reencarnación. Lo que transforma los rituales funerarios y la idea de la muerte son los fenómenos vinculados con la modernidad, en particular el éxodo rural y la emigración a lugares lejanos. A partir de ciertas referencias a los principales conocimientos sobre la muerte y los ritos funerarios del África subsahariana y a partir de dos investigaciones de campo, una llevada a cabo en el Senegal y la otra en Francia, el autor de este artículo se esfuerza por analizar el sentido de la transformación de la idea de la muerte y de los ritos funerarios que se puede observar hoy en día al sur del Sáhara.Abstract: The importance of funeral ritual in Black Africa has impressed the observers. They have analysed these rites as reflecting the group’s domination of the individual and as expressing a process of perpetual return of dead among living people. The internal evolution of traditional African religions has produced more sophisticated cults concerning prestigious ancestors, intermediate between human and invisible world. Such an evolution has prepared the arrival of the revealed faiths which have not completely transformed the funeral rites nor destroyed the beliefs in ancestors and in reincarnation. These rituals have been above all transformed by the modern life and processes like migration and rural exodus. This article uses references to the main knowledge concerning death and funeral rites in Africa and the results of two surveys made recently in Senegal and in France to analyse the meaning of the changes of the idea of death one can observe today in the south of Sahara.Résumé : L’importance des rituels funéraires en Afrique subsaharienne a frappé les observateurs qui les ont reliés, au-delà de leur diversité, à la domination du groupe sur l’individu et à un processus de retour perpétuel des morts parmi les vivants. L’évolution interne des religions africaines traditionnelles, appelées religions du terroir, a fait émerger des formes cultuelles plus élaborées autour d’ancêtres prestigieux, intermédiaires entre le monde humain et l’univers invisible. Cette évolution a préparé l’acceptation des religions révélées qui n’ont pas modifié totalement les rituels mortuaires ni tout à fait éclipsé la croyance aux ancêtres et à la réincarnation. Ce sont les phénomènes liés à la modernité, en particulier l’exode rural et les migrations lointaines, qui transforment les rituels funéraires et l’idée de la mort. A partir de références aux principales connaissances sur la mort et les rites funéraires en Afrique subsaharienne et à partir de deux recherches de terrain, l’une menée au Sénégal et l’autre en France, cet article s’efforce d’analyser le sens des transformations de l’idée de la mort et des rites funéraires que l’on peut observer aujourd’hui au sud du Sahara.
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Santime, Thierry. "Inde-Afrique: un partenariat gagnant-gagnant?" Potentia: Journal of International Affairs 11 (October 12, 2020). http://dx.doi.org/10.18192/potentia.v11i0.4577.

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Abstract:
Ce travail s’interroge sur le caractère « gagnant-gagnant » de la coopération entre l’Inde et les pays africains. Pour ce faire, il aborde multiples facettes de ces relations, à savoir les relations politiques, économiques, militaires et l’aide au développement de l’Inde en Afrique. Alors que la coopération Sud-Sud est souvent vantée par d’aucuns comme modèle de partenariat horizontal, moins intéressé et plus solidaire que la coopération dite Nord-Sud, notre analyse nous amène à soutenir que les relations indo-africaines ne sont pas « gagnant-gagnant » mais plutôt essentiellement en faveur des intérêts de l’Inde. Ceci dit, le travail apporte quelques nuances, en montrant par exemple que la coopération sur le plan militaire semble être mutuellement bénéfique. Somme toute, il ressort de notre analyse que la rhétorique « gagnant-gagnant » tant serinée par les dirigeants indiens (s’inspirant notamment de ceux de la Chine) dans le cadre de la coopération indo-africaine s’avère limitée en termes d’application concrète ou de matérialisation dans les relations. Il est donc nécessaire d’opérer une refonte desdites relations pour les rendre véritablement et équitablement bénéfiques aux deux entités.
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Oussou, M.A, Francis Enagnon, Joseph Oloukoi, Nicaise Yalo, and Moussa Boukari. "Analyse Spatiale du Potentiel en eau Souterraine dans le Bassin du Zou au Sud du Benin (Afrique de L'ouest)." European Scientific Journal ESJ 15, no. 27 (September 30, 2019). http://dx.doi.org/10.19044/esj.2019.v15n27p402.

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Maisonnave, Hélène, and Bernard Decaluwe. "Politique Educative Et Marche Du Travail En Afrique Du Sud. Une Analyse En Equilibre General Calculable Dynamique/Education Policy and Labour Market in South Africa: A CGE Analysis." SSRN Electronic Journal, 2009. http://dx.doi.org/10.2139/ssrn.1462898.

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Mabugu, Ramos, and Margaret Chitiga. "La Protection Du Secteur Des Textiles Et La Pauvrett En Afrique Du Sud : Une Analyse En quilibre GGnnral Calculable Dynamique Micro-Simull (Textile Sector Protection and Poverty in South Africa: A Micro-Simulated Dynamic Calculable General Equilibrium Analysis)." SSRN Electronic Journal, 2018. http://dx.doi.org/10.2139/ssrn.3173176.

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Hervé, Caroline. "Communs." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.086.

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Abstract:
Les communs (commons en anglais) peuvent être définis comme un ensemble de ressources physiques, matérielles ou immatérielles que les êtres humains cherchent à exploiter, à gérer ou à protéger pour assurer leur survie biologique, économique, sociale ou encore culturelle. Très à la mode depuis une quarantaine d’années en anthropologie, sociologie, histoire, économie ou encore en philosophie, ce concept a vu son champ d’application s’élargir, ses propositions théoriques s’étoffer et ses analyses se complexifier, tout en perdant progressivement son sens historique. Sortis du champ académique et instrumentalisés par les mouvements de résistance au néolibéralisme, les communs sont désormais au cœur de débats de société. La façon dont cette notion interroge les interactions entre les êtres humains et leur environnement, son intérêt pour éclairer la fabrication du social et sa réutilisation dans le débat public en fait un objet de recherche riche pour l’anthropologie. La définition du concept de communs est une entreprise difficile tant il renvoie à des usages divers. Si certains chercheurs tendent à privilégier, en français, l’usage du pluriel afin de marquer la grande variété des ressources regroupées sous la terminologie de communs, que l’on parle de ressources naturelles, mais également sociales ou intellectuelles, d’autres auteurs insistent sur l’importance d’utiliser le terme au singulier afin de souligner son potentiel théorique et pratique (Hardt et Negri 2012 ; Dardot et Laval 2014). L’origine étymologique du terme commun, construit sur les locutions latines cum et munus, renvoie à une idée centrale, celle de la mise commun ou de la gestion commune de biens, mettant l’accent sur le fait que le commun « implique donc toujours une certaine obligation de réciprocité liée à l’exercice de responsabilités publiques » (Dardot et Laval 2014 : 23). Ces deux aspects, celui de réciprocité et de responsabilité publique, sont au cœur de la définition historique des communs. Les origines du concept renvoient à une pratique de gestion des terres qui était courante dans différentes régions d’Europe avant la fin du Moyen-Âge et qui consistait en la gestion commune de certaines terres par un groupe de personnes ou d’unités familiales pendant une période de temps limitée. Dans certaines circonstances, tout le monde pouvait avoir accès à ces terres, selon des règles d’usage particulières ; dans d’autres cas, leur usage était restreint et contrôlé. Ce fonctionnement communal a progressivement été mis en cause par les autorités publiques et les cercles politiques à partir du milieu du XVIIIe siècle. En l’espace d’un siècle, la plupart des communs en Europe de l’ouest devinrent ainsi des propriétés privées ou publiques (De Moor 2011 : 425). Ceci correspond au phénomène connu des enclosures qui s’est particulièrement développé en Angleterre dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, à travers lequel de larges étendues de champs ouverts, connus sous le nom de terrains communaux ou commons, ont progressivement été parcellisés et enclos (Hemmungs Wirtén 2013 : 2), dans un contexte marqué par l’augmentation démographique et l’industrialisation. Ce retour dans l’histoire est important pour comprendre les confusions qui sont apparues lorsque les chercheurs des différentes disciplines ont commencé à s’intéresser plus largement à la question des communs à partir du milieu du XXe siècle. L’une des confusions les plus importantes a été introduite par le biais du travail de Garrett Hardin dans son célèbre article « The Tragedy of the Commons », publié en 1968, dans lequel il explique que les communs sont susceptibles de surexploitation et donc de disparition. Sa thèse principale repose sur l’idée biaisée que les communs historiques étaient accessibles à tous et en tout temps. À la suite de la parution de cet article, les chercheurs ont ainsi commencé à utiliser le terme de communs pour faire référence à toutes formes de ressources utilisées par tous et sans contrôle, ce qui ne correspond pourtant pas à sa définition historique (De Moor 2011 : 425). L’article de Hardin a ouvert de nombreuses recherches portant sur les solutions à mettre en œuvre pour contrer la dégradation des communs. Mais ces travaux sont souvent restés coincés entre deux options : la prise en charge des communs par l’État ou par le marché. C’est dans ce contexte que le travail de la politologue Elinor Ostrom (1990), en proposant une troisième voie, a eu un retentissement important dans le monde académique, et même au-delà. La publication de son livre Governing the Commons constitue une étape essentielle dans les recherches sur la gestion des communs. Non seulement, elle montre que l’exploitation des communs ne mène pas inéluctablement vers leur fin, mais elle explore la diversité des arrangements institutionnels permettant la gestion de ceux-ci, sans pour autant avoir recours à l’État ou à la privatisation. Sa contribution est consacrée en 2009 lorsqu’elle reçoit, en même temps qu’Oliver Williamson, le prix Nobel d’économie pour son analyse de la gouvernance économique et celle des communs. La création de l’International Association for the Study of the Commons en 1989 ou encore la création de l’International Journal of the Commons en 2007, révélateurs d’un engouement scientifique pour la question des communs, permettent la diffusion des théories et des méthodes dans les différentes disciplines et dans la société civile, à tel point que l’étude même des communs comporte aujourd’hui des enjeux politiques, sociaux et même éthiques (Peugeot et Piron 2015). Les travaux d’Elinor Ostrom s’inscrivent dans une démarche résolument interdisciplinaire puisqu’elle utilise des études de cas, des concepts, des modèles et des méthodes issus de différentes sciences sociales, et tout particulièrement de l’anthropologie. Loin de développer une perspective purement institutionnelle, Ostrom s’intéresse en effet avant tout aux stratégies développées par les acteurs sociaux pour gérer des ressources en commun. Elle s’appuie pour cela sur de nombreuses études de cas développées par des anthropologues pour comprendre par exemple les systèmes d’irrigation au Népal, dans les Philippines ou à Los Angeles, la gestion des forêts en Inde, en Asie, en Afrique et en Amérique latine ou encore la pêche côtière en Inde ou au Canada (Acheson 2011 : 320). Même si son usage de l’anthropologie est qualifié de fragmentaire, puisque sortant ces études de cas de leurs contextes politiques ou culturels, ses travaux sont néanmoins reconnus comme une contribution majeure à la discipline anthropologique (Rabinowitz 2010). Outre celle des interactions entre les hommes et leur environnement, les travaux d’Ostrom rejoignent bien d’autres questions intéressant les anthropologues. Ils interrogent directement la gestion des ressources collectives, la nature des liens de coopération et la fabrique des communautés (Rabinowitz 2010 : 104), la production des normes et des règles sociales, ainsi que de la propriété, privée ou publique (Acheson 2011 : 320). Enfin, en montrant le rôle important de la réciprocité dans la plupart des cas de gestion alternative des ressources, les anthropologues ont mis en évidence, à partir de leurs différents terrains, le fait que l’homme n’était pas uniquement animé par une logique économique, mais que le symbolisme était central dans les pratiques d’échange, renvoyant ainsi aux théories sur le don, concept dont les anthropologues ont étudié les multiples formes dans les sociétés humaines. Dans la foulée des propositions théoriques de Hardin et de Ostrom, un véritable engouement s’est manifesté autour de la question de ces communs naturels, en anthropologie et dans les autres disciplines des sciences sociales. Ces travaux ont fourni des modèles inspirant pour d’autres types d’objets de recherche et plus récemment les chercheurs ont commencé à identifier de nouveaux communs (new commons), comme des biens communs sociaux (social commons) qui constituent des ressources sociales ou des services destinés à des groupes sociaux spécifiques, des communs de nature intellectuelle ou encore culturelle incluant des ressources aussi variées que la musique, l’artisanat, les technologies numériques, etc. (Nonini 2006 : 166-167). Certains anthropologues ont même avancé l’idée que les communs peuvent englober des dimensions plus invisibles de la vie sociale relevant du domaine cognitif, corporel ou affectif, comme par exemple chez les Urarina, peuple indigène du Pérou, pour lesquels la notion même de tranquillité doit être l’objet d’un partage ou d’une réciprocité (Walker 2015). L’extension du concept de communs à des domaines aussi divers de la vie sociale explique aujourd’hui la difficulté à en donner une définition uniforme et certaines ambivalences quant à ses usages et ses analyses. De façon plus générale, la naturalisation du discours sur les biens communs a nécessité de s’engager dans une réflexion critique sur cet objet, ce que l’anthropologie a pu prendre en charge à travers sa capacité à mettre en perspective la production du social. Le succès du terme ne s’est en effet pas limité au milieu académique. Dans le contexte des dernières décennies, alors que des corporations, des gouvernements et d’autres types d’institutions politiques, privées ou non-gouvernementales, ont dépossédé certains groupes humains de leurs ressources dans la mouvance de la globalisation néolibérale, des stratégies de résistance et de lutte pour conserver ou retrouver le contrôle sur ces biens se sont développées (Nonini 2006 : 165). Dans le même temps, les propositions théoriques sur les communs ont mis en valeur des alternatives séduisantes face à la mainmise du marché ou de l’État sur ces ressources. Les anthropologues ont ainsi montré que ces luttes ne concernent pas seulement le contrôle des ressources matérielles mais également le contrôle des significations culturelles associées aux communs et aux processus qui les préservent ou les détruisent (Nonini 2006 : 165). Les stratégies et les perspectives antagonistes des différents groupes se disputant les communs sont ainsi devenues des objets de recherche riches pour l’anthropologie. Dans le contexte sud-américain où la surexploitation des ressources naturelles s’impose comme un nouveau paradigme économique, le constat que chacune des deux parties réutilise le concept de biens communs et de communs pour légitimer, d’un côté l’exploitation des ressources naturelles, et de l’autre la lutte contre cette exploitation, rappelle la nécessité de repenser les fondements ontologiques de chacune de ces deux façons de concevoir la relation entre les humains et le monde naturel. Dans ce cadre, les peuples autochtones nous invitent plutôt à penser ces confrontations ontologiques à travers le concept d’« incommuns » ; celui-ci révèlerait plutôt l’existence et la persistance d’une certaine incompatibilité entre différentes façons d’être au monde. En effet, alors que les entreprises extractrices font reposer leurs justifications sur la distinction entre nature et culture, et plus précisément sur le contrôle de la nature par les êtres humains, les peuples autochtones de leur côté se perçoivent en continuité avec le monde naturel, engagé dans une relation réciproque avec lui et dans l’obligation de le protéger (Blaser et De La Cadena 2017 : 186-187).
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