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Journal articles on the topic 'Urbanisme – Iran – Téhéran (Iran)'

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Verleuw, Camille. "Iran 2015 : Qui gouverne à Téhéran (et comment) ?" Sécurité globale 1, no. 1 (2015): 17. http://dx.doi.org/10.3917/secug.151.0017.

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Braunstein, Philippe. "Parviz Mohebbi, Techniques et ressources en Iran du 7e au 19e siècle, Téhéran, Institut Français de Recherche en Iran, 1996, 273 p." Annales. Histoire, Sciences Sociales 53, no. 4-5 (October 1998): 947–48. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900045364.

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3

Newman, Andrew. "Etudes Safavides, sous la direction de JEAN CALMARD, Institut Français de Recherche en Iran, Paris-Téhéran, 1993, p. 383." Journal of the Economic and Social History of the Orient 40, no. 1 (1997): 140–42. http://dx.doi.org/10.1163/1568520972600838.

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Mahdavi Zadeh, Mojgan. "La mise en scène des pièces de théâtre européennes par Ali Raffi en Iran et Circulation des savoirs entre la France et l’Iran." ALTERNATIVE FRANCOPHONE 2, no. 5 (February 13, 2020): 6–20. http://dx.doi.org/10.29173/af29394.

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Abstract:
Résumé Des traces de diverses cérémonies plutôt rituelles datant de l'Antiquité prouvent la fertilité de l'histoire du théâtre persan. Il y a eu même à cette époque des échanges culturels entre l'Orient et l'Occident. Au cours des siècles, les rites traditionnels ont cédé la place à des genres de théâtre populaire tels les farces, les comédies, les marionnettes, les imitations mimétiques, …etc. Puis, des conteurs se sont mis à réaliser les récits à épisodes basés sur des histoires épiques, de divers romans picaresques, des lamentations pour les Imams martyrisés, sur des places publiques ou dans des maisons de thé. Ce n'est qu'au XIXe siècle que le théâtre moderne d'inspiration occidentale a été créé par les témoignages des étudiants envoyés en Europe pour se spécialiser en diverses technologies occidentales. En 1886, une première salle de théâtre a été construite à l'École Polytechnique de Téhéran (Dâr Ol- Fonûn), où la traduction du Misanthrope de Molière, y a été mise en scène en 1889. Sous le règne des Pahlavis, fut créé un théâtre nationaliste, se référant au passé préislamique de l'Iran. Puis, vu que les iraniens diplômés en études théâtrales et cinématographiques des universités, des grandes écoles et des conservatoires européennes se sont mis à traduire les pièces de théâtre étrangères, les pièces ont pris un air socio-politique. Sous la Révolution islamique, le théâtre a vécu plusieurs périodes de détente et de tension. Et enfin, depuis 1997, une autorisation de la mise en scène des pièces de théâtre a été émise de nouveau. Ali Raffi, iranien contemporain, dont la dernière réalisation théâtrale à Téhéran date du mois de Janvier 2019, a su exposer l'essentiel de sa conception esthétique par le mépris total des conventions scéniques mises en pratique en Iran. L'esthétique de ses pièces a suscité des discussions sans nombre. Il a toujours privilégié la couleur, le mouvement et l'intuition. Il a eu une influence considérable sur la mentalité du peuple iranien par la mise en scène des pièces de théâtre françaises ou européennes traduites vers le français. Notre problématique consiste à mettre en évidence les échanges interculturels qui se sont effectués entre l'Iran et la France grâce à la mise en scène des pièces de théâtre européennes en Iran et de voir l'innovation créative et le rôle d'Ali Raffi dans l'enrichissement de ces transferts culturels et artistiques. Notre but est de mettre en relief la circulation des savoirs, issue de la mise en scène des pièces de théâtre françaises par les réalisateurs iraniens, en particulier par Ali Raffi en Iran, de démontrer l'omniprésence des grands auteurs dramatiques, tragiques et comiques français dans ce pays, et de dévoiler que les élites intellectuelles iraniennes vivent en symbiose permanente avec ces éminents auteurs français. Mots clés: Circulation des savoirs France-Iran, Échanges culturels, Mise en scène, Ali Raffi, Pièces de théâtre européennes, Francophonie, Conception esthétique
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Parsapajouh, Sepideh. "Nourrir les vivants par la grâce des saints." Anthropology of the Middle East 15, no. 2 (December 1, 2020): 72–90. http://dx.doi.org/10.3167/ame.2020.150207.

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Abstract:
Abstract: In Iran, the giving of food for a religious purpose is a widespread act among Shiite believers, which can be observed daily in the city and in the villages, in both affluent and popular milieus. In order to understand the social, material and spiritual virtues of such food in the everyday life and worldview of Shiite devotees, this article proposes to analyse the process of preparation and sacredness of such food, and to study some important occasions of votive food giving in the lives of believers. The information in this article comes from previous research carried out in Iranian popular milieus, in some Shiite shrines and at the Behesht Zahra cemetery in Tehran, as well as from interviews conducted for this specific purpose.Résumé : En Iran, le don de nourriture pour une intention religieuse est un acte très répandu chez les croyants chiites, que l’on peut observer quotidiennement en ville comme à la campagne, dans les milieux aisés comme dans les milieux populaires. Pour comprendre les vertus sociales, matérielles et spirituelles d’une telle nourriture dans la vie pratique et la vision du monde des pieux chiites, cet article propose d’analyser le processus de préparation et de sacralisation de cette nourriture, et d’étudier quelques occasions importantes de don de nourriture votive dans la vie des croyants. Les données de cet article proviennent de recherches précédemment effectuées dans les milieux populaires iraniens, dans quelques sanctuaires chiites et au cimetière de Behesht Zahra de Téhéran, ainsi que d’entretiens réalisés à cette fin précise.
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6

Dufays, Nicolas. "Les relations de l’Union européenne avec la République islamique d’Iran." Emulations - Revue de sciences sociales, no. 7 (September 7, 2018): 109–26. http://dx.doi.org/10.14428/emulations.007.007.

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Abstract:
Forte de ses relations millénaires avec l’Iran, l’Europe tente de se rapprocher de cette puissance régionale, devenue république islamique avec la révolution de 1979. Après une décennie de « vaches maigres », la Communauté européenne insuffle une nouvelle dynamique à ses rapports avec l’Iran, en témoigne le « dialogue critique » lancé en 1992. Ce dialogue s’étend progressivement à des domaines aussi variés que le commerce, la sécurité, la non-prolifération ou les droits de l’homme. La crise nucléaire entrave toutefois l’évolution positive de ces relations. En contrepartie, le dossier nucléaire permet à l’UE d’endosser le leadership des négociations avec l’Iran et d’acquérir ainsi une légitimité supplémentaire auprès de cet État. Bref, malgré le dossier nucléaire et d’autres obstacles au développement des relations UE-Iran, l’Union a progressivement développé une « tradition du dialogue » avec Téhéran. Ces relations entre l’UE et l’Iran recouvrent des enjeux primordiaux pour les deux parties, tant au niveau énergétique et géopolitique que pour la cohérence de l’Union. Enfin, la République islamique d’Iran représente également un réel défi quant à la nature spécifique de la puissance européenne.
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Bromberger, Christian. "Iran." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.108.

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Abstract:
Entre les mondes arabe (Irak, États du Golfe…), turc (Turquie, Azerbaïjan, Turkmenistan) et européen (par la trouée du Caucase et de la mer Caspienne), l’Iran forme un ensemble distinct dont la population est fortement attachée à sa spécificité. Cette forte originalité au sein du Moyen-Orient, les Iraniens la doivent à leurs origines symbolisées par leur langue, le persan, une langue indo-européenne, à la doctrine religieuse qu’ils professent en majorité, le chiisme, qui s’oppose au principal courant de l’islam, le sunnisme, enfin, paradoxalement, à leur forte occidentalisation due à un courant d’échanges continus depuis la fin du XIXème siècle et que n’a pas interrompu la Révolution islamique. Ces trois constituants de l’identité iranienne sont contrebalancés par des facteurs de division de la société, plus ou moins accusés selon les époques. Le premier constituant de l’identité iranienne, revendiquée par la population, c’est l’ancrage du pays dans une histoire plurimillénaire, la conscience d’appartenir à un des plus anciens États du monde, de la continuité d’une civilisation qui a su assimiler les envahisseurs successifs. Les Iraniens sont d’origine aryenne. Irân-vej, en langue pehlevi, l’ancienne langue iranienne parlée sous les Sassanides (224-651 ap. J.-C.), c’est le pays des Aryens. Les occidentaux ont préféré, à travers l’histoire, le nom qu’avaient donné les Grecs au pays, « Perse », du nom de la grande tribu qui avait fondé l’Empire achéménide au VIème siècle avant J.-C. Diplomates et voyageurs utilisèrent le mot « Perse » jusqu’en 1935 quand l’empereur Reza chah imposa le nom officiel d’Iran, déjà utilisé dans la population, et récusa le nom de Perse qui connotait des légendes anciennes et ancrait le pays dans un passé folklorique. Encore aujourd’hui les occidentaux ont tendance à utiliser « Perse » quand ils se réfèrent à des aspects valorisants (archéologie, cuisine, poésie…), réservant « Iran » pour évoquer des thématiques plus inquiétantes (Révolution, terrorisme). Venus des steppes froides d’Asie intérieure, les Iraniens sont, à l’origine, des nomades indo-européens qui se sont fixés, aux IIème et au Ier millénaires avant J.-C sur le haut plateau( entre 800 et 1000 mètres) entouré de montagnes qui constitue la majeure partie de l’actuel Iran. Le genre de vie qui a dominé jusqu’aux invasions turco-mongoles (XIème-XIIIème siècles) était celui d’agriculteurs sédentaires pratiquant de courts déplacements pastoraux à l’intérieur des vallées. Les invasions médiévales ont entraîné la « bédouinisation » (X. de Planhol) de populations jusque là sédentaires si bien que l’Iran est devenu le plus grand foyer mondial de pastoralisme nomade. Ces bouleversements au fil de l’histoire, précédés par la conquête arabe au VIIème siècle, n’ont pas fait disparaître pour autant la langue persane ni fait refluer un folklore spécifiquement iranien. La nouvelle année (noruz) que célèbre la population est une année solaire qui débute à l’équinoxe de printemps et compte 365 jours. La vie en Iran est ainsi rythmée par deux calendriers antagonistes, le calendrier solaire pour le quotidien et le calendrier lunaire musulman pour les cérémonies religieuses. Noruz est aussi fêté dans les anciennes possessions et l’aire d’influence de l’Iran (sarzamin-e Iran : le « territoire » de l’Iran, Iran-e bozorg : le grand Iran) où le persan, sous l’appellation dari en Afghanistan et tajik au Tajikistan, est une langue officielle. La prise en considération de l’unité et du fort sentiment national iraniens ne doit pas masquer l’hétérogénéité et les facteurs de division au sein du pays. Et tout d’abord la diversité ethno-linguistique. Si environ 85% de la population parle le persan, ce n’est la langue maternelle que de 50% des locuteurs. D’importantes minorités occupent les marges du pays : au nord-ouest, les Turcs azeri, qui forment environ 20% de la population iranienne ; à l’ouest les Kurdes ; au sud, des Arabes ; au sud-est les Baloutches. Cette diversité ethno-linguistique se double d’une diversité religieuse, chez les Baloutches, une partie des Kurdes et une partie des Arabes qui sont sunnites. Les revendications identitaires de ces minorités se déclinent avec une intensité très variable, se bornant tantôt à des manifestations culturelles, prenant parfois un tour plus politique avec des demandes d’autonomie ou encore s’accompagnant d’actions violentes (ainsi au Baloutchestan et dans une moindre mesure au Kurdistan). S’ajoutent à ces différences culturelles et à ces revendications identitaires de forts contrastes en matière de genre de vie. La vie paysanne, en net déclin (on ne compte plus que 26% de population rurale selon le recensement de 2016), se caractérise par de fortes traditions communautaires, notamment pour la gestion de l’eau amenée traditionnellement des piémonts par des galeries drainantes souterraines (les qanât). Les pasteurs nomades forment de grandes tribus (tels, au sud de l’Iran, les Bakhtyâri et les Qashqa’i) qui se singularisent par rapport aux Bédouins des déserts du Moyen-Orient par les traits suivants : il s’agit d’un nomadisme montagnard menant les pasteurs et leurs troupeaux des plaines vers les sommets au printemps et inversement à l’automne ; les tribus regroupent des centaines de milliers d’individus soumis à des « chefferies centralisées » (J.-P. Digard) et ont formé des états dans l’État rigoureusement hiérarchisés. Mais c’est le mode de vie urbain qui est depuis une quarantaine d’années majoritaire. La ville avec son bâzâr, sa grande mosquée, ses services est particulièrement valorisée. La population de Téhéran (9 millions d’habitants) et de son agglomération (15 millions) a crû considérablement depuis le début du XXème siècle (environ 200 000 habitants en 1900). Banlieues et cités périphériques regroupent des « paysans dépaysannés » (P. Vieille) (pour un exemple de ces cités périphériques voir S. Parsapajouh). La ville elle-même est fortement stratifiée socialement. Ainsi, à Téhéran, s’opposent un nord riche où réside une bourgeoisie occidentalisée et les quartiers populaires et pauvres du sud de la ville. Le second constituant de l’identité iranienne, c’est le chiisme. Ce courant religieux remonte aux premiers temps de l’islam quand il fallut choisir un successeur au prophète. Les chiites, contrairement aux sunnites, optèrent pour le principe généalogique et choisirent pour diriger la communauté le gendre et cousin de Mohammed, Ali (shi’a signifie partisan - de Ali). Selon les dogmes du chiisme duodécimain, la version du chiisme dominante en Iran, seuls les 12 imam-s (Ali et ses descendants) ont pu exercer un pouvoir juste et légitime. Le douzième imam a disparu en 874 et dans l’attente de la parousie de cet « imam caché » toute forme de gouvernement est nécessairement imparfaite. Ce dogme prédispose à une vision critique du pouvoir. Au cours de l’histoire certains ont préféré cultiver de l’indifférence à l’égard de la vie politique et se réfugier dans la spiritualité, d’autres au contraire faisant fond sur les virtualités contestataires du chiisme ont prôné une opposition au pouvoir, voire un gouvernement dirigé par les clercs, comme l’ayatollah Khomeyni et ses partisans le firent lors de la révolution islamique (1979-1980) – ce qui est une innovation dans le chiisme duodécimain. La constitution de la République islamique a entériné cette position doctrinale en institutionnalisant le velayat-e faqih « la souveraineté du docte ». C’est lui, le « guide », qui exerce le pouvoir suprême et auquel sont subordonnés le Président de la République et le gouvernement. Un autre trait original du chiisme duodécimain est l’exaltation du martyre ; celle-ci trouve son origine dans l’ « histoire-mythe » de la passion du troisième imam, Hoseyn, tué, avec la plupart des membres de sa famille, dans des circonstances atroces par les troupes du calife omeyyade (sunnite), Yazid, en 680 à Kerbala, dans l’actuel Irak. La commémoration de ce supplice s’exprime à travers des rituels dolorisants qui atteignent leur paroxysme le 10 moharram (premier mois de l’année musulmane), jour de achoura (anniversaire de la mort de Hoseyn) : processions de pénitents se flagellant, prônes, cantiques et mystères rappellent ce drame. Cette tradition martyriste et les rituels qui lui correspondent sont un véritable ciment de la culture populaire. Le mythe de Kerbala, opposant bourreaux et victimes, exaltant le sacrifice de soi a été, dans l’histoire de l’Iran moderne et singulièrement lors de la révolution islamique, une grille de lecture de la réalité socio-politique et un modèle d’action pour la lutte. Un troisième composant de l’identité iranienne, c’est l’occidentalisation, entretenue par une diaspora de deux à trois millions d’individus installés, pour la plupart, aux Etats-Unis. Le sport est un des révélateurs les plus vifs de cette occidentalisation, voire de la mondialisation de la société iranienne. Le sport traditionnel en Iran, c’est la lutte qui s’adosse à la pratique coutumière du zourkhane (littéralement maison de force) où l'on s'adonne, dans un cadre de sociabilité conviviale, à divers exercices athlétiques. Or, aujourd’hui, le football détrône la lutte ; des joueurs sont recrutés par des clubs européens, des entraîneurs étrangers sont appelés à diriger l’équipe nationale qui brille dans les compétitions internationales et suscite un engouement sans pareil. Des revendications s’expriment dans les stades ou autour des matchs de football. Il en est ainsi des revendications féminines. Contraintes à une tenue stricte, soumises à des inégalités de droits (en matière d’héritage, de divorce, de voyage, etc.), les femmes sont aussi interdites dans les stades où se déroulent des compétitions d’hommes, en particulier lors des matchs de football. La contestation de cette interdiction est devenue un leitmotive des revendications féminines et à chaque grand match des femmes tentent de s’introduire dans le stade. Le football est sans doute un des domaines où la tension est la plus vive entre le régime islamique, soucieux de la séparation des sexes, de la discipline et de la bienséance prude, et la « société civile » urbaine plus ouverte aux modes de vie occidentaux. Les rituels de moharram tels qu’ils sont pratiqués par les jeunes dans les grandes villes d’Iran témoignent aussi de cette quête de modernité. L’évocation du drame de Karbala suscite une sincère affliction chez ces jeunes mais ils l’expriment à travers des attitudes et des moyens nouveaux : le matériel utilisé, la retransmission du rituel sur un écran géant, les manifestations juvéniles torse nu, qui rappellent celles des jeunes supporters dans les stades de football européen ou encore des adeptes de rave parties, le chantre s’apparentant à un DJ spectaculaire… tout cela emprunte à une culture mondialisée, et parfois underground. Ces exemples, parmi bien d’autres, montrent la complexité des manières d’être dans le monde iranien tiraillées entre modèles nationaux, religieux et mondiaux
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Hellot, Florence. "« Constitution en vaqf d’une ‘mosquée sanctuaire’ niʻmatullāhī à Téhéran à l’époque pahlavī ». Iran Journal." Abstracta Iranica, Volume 31 (May 15, 2011). http://dx.doi.org/10.4000/abstractairanica.39597.

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Ghafourian, Asyeh. "La Perse et la Grande Guerre. Téhéran, Institut Français de Recherche en Iran, 2002, 462 p. (Bibliothèque iranienne, 52)." Abstracta Iranica, Volume 28 (May 15, 2007). http://dx.doi.org/10.4000/abstractairanica.18411.

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Rédaction. "Atlas d’Iran, socio-économique et culturel. Téhéran, Institut Français de Recherche en Iran, 2005, 235 p. (Français, Persan, Anglais) (Bibliothèque Iranienne, 62)." Abstracta Iranica, Volume 28 (May 15, 2007). http://dx.doi.org/10.4000/abstractairanica.11362.

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Boucharlat, Rémy. "(Les) Recherches Archéologiques Françaises en Iran / Pažūheš-hā-ye bāstān-šenāsī Farānse dar Īrān, 20 octobre au 21 novembre 2001, Téhéran 1380/2001. Téhéran, Éditions Musée National d’Iran, 189 p. (texte bilingue), ill." Abstracta Iranica, Volume 24 (May 15, 2003). http://dx.doi.org/10.4000/abstractairanica.34231.

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Hourcade, Bernard. "« Le contrôle de l’espace par le clergé chiite en Iran », in : Daniel Balland, éd., Hommes et terres d’islam. Téhéran, IFRI, 2000, 2 vol., pp. 405-418." Abstracta Iranica, Volume 23 (May 15, 2002). http://dx.doi.org/10.4000/abstractairanica.35680.

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Bromberger, Christian. "« Qui parle persan en Iran ? », in : Daniel Balland éd., Hommes et terres d’islam. Mélanges offerts à Xavier de Planhol. Tome I, Téhéran, IFRI (Bibliothèque iranienne 53), 2000, pp. 419-434." Abstracta Iranica, Volume 23 (May 15, 2002). http://dx.doi.org/10.4000/abstractairanica.35679.

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Hachard, Vincent. "Grammaire du persan contemporain. Avec la collaboration de Yann Richard, Rokhsareh Hechmati et Pollet Samvelian. Nouvelle édition, Téhéran, Institut Français de Recherche en Iran, 2006, xv-303 p. (Bibliothèque iranienne ; 61)." Abstracta Iranica, Volume 29 (May 15, 2008). http://dx.doi.org/10.4000/abstractairanica.24482.

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Kervran, Monik. "« L’école d’Ispahan en urbanisme : une approche contemporaine du passé », in : Bernard Hourcade, éd., Iran : Questions et connaissances. Actes du IVe congrès européen des études iraniennes, organisé par la Societas Iranologica Europaea,." Abstracta Iranica, Volume 26 (May 15, 2005). http://dx.doi.org/10.4000/abstractairanica.2512.

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Hourcade, Bernard. "« Vers une nouvelle géographie culturelle de Téhéran ? », in : Bernard Hourcade, éd., Iran : questions et connaissances. Actes du IVe congrès européen des études iraniennes organisé par la Societas Iranologica Europaea, Paris, 6-10 sept. 19." Abstracta Iranica, Volume 26 (May 15, 2005). http://dx.doi.org/10.4000/abstractairanica.988.

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Hourcade, Bernard. "« Banlieue de Téhéran et développement durable », in : Bernard Hourcade, éd., Iran : questions et connaissances. Actes du IVe congrès européen des études iraniennes organisé par la Societas Iranologica Europaea, Paris, 6-10 sept. 1999, vol." Abstracta Iranica, Volume 26 (May 15, 2005). http://dx.doi.org/10.4000/abstractairanica.989.

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Hourcade, Bernard. "Šarḥ-e jarīān-hā-ye fekrī me‘mārī va šahr-sāzī dar Īrān-e mo‘āṣer 1357-1383. Tehrān, Daftar-e pažūheš-hā-ye farhangī, 1385, 383 p.[Evolution des idées en matière d’architecture et urbanisme en Iran contemporain 1978-2004]." Abstracta Iranica, Volume 30 (April 8, 2010). http://dx.doi.org/10.4000/abstractairanica.38195.

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