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1

Eke, Norbert Otto, and Olivier Mannoni. "La Shoah dans la litt�rature germanophone." Revue d�Histoire de la Shoah N�201, no. 2 (2014): 23. http://dx.doi.org/10.3917/rhsho.201.0023.

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2

Oguib�nine, Boris. "Erotisme et exclusivisme dans la litt�rature russe." Le Genre humain N�21, no. 1 (1990): 87. http://dx.doi.org/10.3917/lgh.021.0087.

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3

DUNCKER, Tanja. "La ville dans la litt?rature kurmanji moderne." Journal of Kurdish Studies 2, no. 1 (April 14, 2005): 63–64. http://dx.doi.org/10.2143/jks.2.1.519236.

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4

Eke, Norbert Otto, and Olivier Mannoni. "La Shoah dans la litt�rature de la RDA." Revue d�Histoire de la Shoah N�201, no. 2 (2014): 183. http://dx.doi.org/10.3917/rhsho.201.0183.

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5

CHUNG, Jiyong. "L'utilisation du portrait litt?raire dans le cours de litt?rature fran?aise." Societe Coreenne d'Enseignement de Langue et Litterature Francaises 73 (June 30, 2021): 73–105. http://dx.doi.org/10.36747/ellf.73.3.

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6

Pavlovic, Vladan, and Srecko Milacic. "Contenu sémantique inégal du terme solvabilité - origine et conséquences." Zbornik Matice srpske za drustvene nauke, no. 144 (2013): 451–66. http://dx.doi.org/10.2298/zmsdn1344451p.

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Abstract:
La solvabilit? est un terme qui est utilis? quotidiennement, et qui ? premi?re vue semble clair et compr?hensible. La question de la solvabilit? des entreprises est trait?e par les sciences ?conomiques et juridiques. Les ?conomistes ?tudient la solvabilit? dans les disciplines comptables et financi?res, tandis que les juristes traitent cette question principalement dans la loi sur les faillites. L?analyse du contenu s?mantique de ce terme dans les manuels scolaires de la comptabilit? et des finances r?v?le une diff?rence significative. Ayant pass? en revue la litt?rature et les textes l?gislatifs, les choses ne deviennent pas plus claires. Cependant il se r?v?le un tout nouveau contenu s?mantique de ce terme. Par cons?quence, dans notre litt?rature, il y a trois contenus s?mantiques de la solvabilit?. L?article d?fend l?id?e qu?il n?y a qu?un seul contenu s?mantique correct de se terme, et qu?il peut ?tre d?termin? exclusivement par l?analyse ?tymologique.
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7

Tschudin, Jean-Jacques. "La litt�rature prol�tarienne japonaise dans les ann�es 1930." Aden N�11, no. 1 (2012): 15. http://dx.doi.org/10.3917/aden.011.0015.

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8

Gordon, Robert S. C., and Claire Drevon. "7. Formes hybrides dans la litt�rature italienne sur la Shoah." Revue d�Histoire de la Shoah N�206, no. 1 (2017): 153. http://dx.doi.org/10.3917/rhsho.206.0153.

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9

BLAU, Joyce. "Le d?veloppement de la litt?rature kurde dans la cit?" Journal of Kurdish Studies 3, no. 1 (April 14, 2005): 85–91. http://dx.doi.org/10.2143/jks.3.1.519243.

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10

Steinecke, Hartmut, and Olivier Mannoni. "La Shoah dans la litt�rature de la ��deuxi�me g�n�ration��." Revue d�Histoire de la Shoah N�201, no. 2 (2014): 239. http://dx.doi.org/10.3917/rhsho.201.0239.

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11

Sessi, Frediano, and Lanfranco Di Genio. "9. Pers�cutions, d�portations et extermination dans la litt�rature de jeunesse." Revue d�Histoire de la Shoah N�206, no. 1 (2017): 199. http://dx.doi.org/10.3917/rhsho.206.0199.

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12

Biresev, Ana. "Champ de production littéraire: impérialisme sociologique ou esthétisation de la socologie?" Filozofija i drustvo 18, no. 1 (2007): 177–211. http://dx.doi.org/10.2298/fid0732177b.

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Abstract:
(francuski) Dans la premi?re partie de ce texte l?auteure traite des cons?quences th?oriques et m?thodologiques de l?utilisation du concept de champ de Pierre Bourdieu dans l?exploration du domaine de la production litt?raire. Ces cons?quences sont examin?es ? travers les oppositions caract?ristiques de la sociologie traditionnelle de l?art et de la litt?rature, entre la sociologie et l?herm?neutique, l?analyse externe et l?analyse interne, le contexte et le texte, le contenu et la forme, le social et l?esth?tique. La deuxi?me partie est consacr?e ? l?analyse des id?es principales de la sociologie de la production culturelle de Bourdieu. La th?orie du champ litt?raire que Bourdieu propose permet de comprendre la sp?cificit? des propri?t?s et des lois du champ de la production litt?raire. On examine ici dans quelle mesure ce sociologue a modifi? sa m?thode d?analyse pour construire r?ellement le champ des producteurs d?oeuvres culturelles, le champ des oeuvres, ainsi que le syst?me des relations qui s??tablissent entre ces deux ensembles de relations.
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13

Blan, Sibertan. "Politisation de la pensée deleuzienne, position de minorité dans le marxisme." Filozofija i drustvo 20, no. 2 (2009): 75–95. http://dx.doi.org/10.2298/fid0902075b.

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Abstract:
(francuski) Repartant de la premi?re courbe d'?laboration du concept de 'devenir- Mineur' de Deleuze et Guattari (de Kafka Pour une litt?rature mineure ? Mille plateaux), nous interrogeons le rapport entre les deux lignes de probl?matisation de ce concept: une analyse des antagonismes historiques dont les minorit?s sociales sont aujourd'hui le lieu 'surd?termin?' l'identification d'un type de position au sein des modes collectifs d'?nonciation. Par l?, nous soulevons ?galement le probl?me de ce que peut signifier politiquement occuper une position de minorit? dans le discours (th?orique, litt?raire, philosophique?). C'est en ce sens que nous confrontons les luttes de minorit?s au sch?me de la lutte des classes, que nous examinons certains liens (liens de prolongement, d'int?gration, mais aussi de diff?renciation) entre les processus de 'prol?tarisation' et de 'minoration', et que nous reposons sur cette base la question d'un nouvel internationalisme.
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14

Murdoch, H. Adlai. "BOOK REVIEW: Marie-Christine Rochman.L'ESCLAVE FUGITIF DANS LA LITT�RATURE ANTILLAISE. Paris: Karthala, 2000." Research in African Literatures 33, no. 4 (December 2002): 215–17. http://dx.doi.org/10.2979/ral.2002.33.4.215.

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15

Milenkovic, Pavle. "Romantisme Ethnologique de Rastko Petrovic." Sociologija 52, no. 1 (2010): 55–74. http://dx.doi.org/10.2298/soc1001055m.

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Abstract:
(francuski) Les activit?s litt?raires de Rastko Petrovic, sauf par une fra?cheur de genre et par leur contribution avant-gardiste, se caract?risent aussi par la vue ethnologique et sociopsychologique dans la compr?hension des processus sociologiques et des cr?ations artistiques. En se servant des d?couvertes de Durkheim et de L?vi-Br?hl sur l'esprit collectif, la conscience collective et la mentalit? primitive, en assumant d'une certaine mani?re les m?taphores de Pierre Janet sur le caract?re sublimant des ?tats hyst?riques, en pol?misant enfin avec la conviction des surr?alistes de l'authenticit? gnos?ologique de l'inconscient, il appara?t dans les premi?res d?cennies du XXe si?cle comme un des plus imaginatifs ?crivains ?rudits et avant-gardiste de la culture serbe, qui lie, non sans une certaine sensualit? rabelaisienne, la litt?rature, la th?orie sociale, la peinture et le film, et cela sans l'aridit? de cabinet et sans la pose intellectueliste.
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16

B�nit, Andr�. "La guerre d�Espagne dans la litt�rature belge francophone contemporaine�: une m�moire vivante." Aden N�9, no. 1 (2010): 242. http://dx.doi.org/10.3917/aden.009.0242.

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Gafaïti, Hafid. "BOOK REVIEW:Carine Bourget. CORAN ET TRADITION ISLAMIQUE DANS LA LITT�RATURE MAGHR�BINE. Paris: Karthala, 2002." Research in African Literatures 36, no. 2 (June 2005): 151–52. http://dx.doi.org/10.2979/ral.2005.36.2.151.

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18

Munita, Felipe, and Ana Mar�a Margallo. "La recherche en didactique de la litt�rature dans les pays hispanophones�: un espace en construction." Recherches en didactiques N�17, no. 1 (2014): 113. http://dx.doi.org/10.3917/rdid.017.0113.

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19

Verschueren, Nicolas. "L�ouvrier de la mine dans la litt�rature prol�tarienne belge�: permanence et rupture d�un arch�type." Aden N�11, no. 1 (2012): 35. http://dx.doi.org/10.3917/aden.011.0035.

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20

Jankovic, Zeljka. "Les relations éducatives entre la Serbie et la France dans la période 1936-1940." Prilozi za knjizevnost, jezik, istoriju i folklor, no. 82 (2016): 119–37. http://dx.doi.org/10.2298/pkjif1682119j.

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Abstract:
Le premier XIXe si?cle met la Serbie en contact plus intense avec la France, berceau des valeurs d?mocratiques et du patrimoine culturel europ?en aux yeux des Serbes subissant l?occupation turque depuis des si?cles. C?est ? partir de cette p?riode que commencent ? se d?velopper les liens culturels, politiques et ?ducatifs plus ?troits entre deux pays, particuli?rement renforc?s pendant la Grande Guerre, o? la France aide les jeunes serbes en leur ouvrant la porte de ses ?coles et universit?s. La Convention sign?e en 1920 en vue de la mise en place de la coop?ration intellectuelle et ?ducative (surtout universitaire) des deux pays pr?voyait ?galement la position privil?gi?e de la langue fran?aise au sein du syst?me ?ducatif serbe : en effet, dans les ann?es 30 du XXe si?cle, celleci sera la mati?re la plus enseign?e apr?s la langue serbe et les math?matiques, et le Minist?re des affaires ?trang?res fran?aises enverra r?guli?rement des livres fran?ais, ainsi que des dipl?mes et m?dailles pour les meilleurs ?l?ves. En raison de la croissance de l?influence politique italienne et surtout allemande dans les Balkans, un Congr?s des clubs fran?ais de Yougoslavie, tenu en 1935, marque le d?but des d?marches coordonn?es visant ? renforcer la pr?sence fran?aise dans tous les domaines de la vie sociale yougoslave. Les responsables du D?partement d??ducation aupr?s de l?Ambassade yougoslave ? Paris (Aleksandar Arnautovic puis Milan Markovic) informaient r?guli?rement Belgrade des activit?s dans la capitale fran?aise et ailleurs. Les boursiers du Gouvernement fran?ais (qui accordait la moiti? de la somme totale du budget aux ?tudiants yougoslaves, dont le nombre variait entre 60 et 100 par an dans la p?riode 1936-1940), du retour dans leur pays, r?pandront l?esprit de la culture fran?aise, ainsi que les connaissances acquises dans tous les domaines. Parmi les personnalit?s importantes qui excelleront dans leur m?tier se trouvent : Dr Vukan Cupic, professeur ? l?Universit? de Belgrade et directeur de l?Institut belgradois pour la m?re et l?enfant (boursier du fonds d?Alexandre de Yougoslavie de la mairie de Marseille 1938-1940), le chimiste Pavle Savic qui collaborait avec Ir?ne Curie, Dr Borisav Arsic qui a soutenu la th?se La Vie ?conomique de la Serbie du Sud au XIX si?cle (Paris, France-Balkans, 1936), Dr Branislav Vojnovic, directeur du Th??tre national, Dr Milos Savkovic qui ?tudiait l?influence de la litt?rature fran?aise sur le roman serbe etc. Les jeunes yougoslaves choisissent surtout la litt?rature, les arts et les sciences humaines. D?autre c?t?, le gouvernement yougoslave finan?ait chaque ann?e cinq ?tudiants fran?ais faisant la recherche au sein des universit?s yougoslaves. De nombreuses conf?rences sont dispens?es par les professeurs yougoslaves et fran?ais ; les ?coles franco-serbes, l?Institut fran?ais, les clubs et les associations de l?amiti? donnent les cours de fran?ais ; l?Association des ?tudiants en langue et litt?rature fran?aises organise les soir?es fran?aises et va r?guli?rement en excursions en France ; le Minist?re d??ducation finance les formations estivales des professeurs de fran?ais. Du c?t? fran?ais, l?Institut slave, la Chaire de serbo-croate ? l??cole de langues vivantes orientales avec des professeurs ?minents tels Andr? Vaillant et Andr? Mazon, le Lectorat serbe ? Paris, Strasbourg, Lyon etc. contribuaient aux ?tudes yougoslaves. La langue serbo-croate a ?t? inscrite sur la liste des langues vivantes que les ?l?ves pouvaient passer au baccalaur?at en 1936. Pourtant, cet ?panouissement sera de nouveau menac? par une p?n?tration politique et ?conomique des forces de l?Axe de plus en plus forte ? la veille de la Deuxi?me guerre mondiale : c?est ainsi que l?allemand devient la langue ?trang?re obligatoire au detriment du fran?ais en 1940, les entreprises fran?aises ferment leurs portes, tandis que de nombreuses activit?s culturelles et d?marches ?ducatives cherchent ? pr?server l??tat privil?gi? dont la France jouissait en Serbie depuis la Grande Guerre.
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Colin, Nicole. "La Shoah dans la litt�rature de jeunesse en langue allemande : face au r�cit dominant, un autre r�cit ?" Revue d�Histoire de la Shoah N�201, no. 2 (2014): 341. http://dx.doi.org/10.3917/rhsho.201.0341.

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Ţurcanu, Florin. "Turtucaia/Toutrakan 1916: La postérité d’une défaite dans la Roumanie de l’entre-deux-guerres." Balcanica, no. 49 (2018): 205–19. http://dx.doi.org/10.2298/balc1849205t.

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Abstract:
La d?faite subie ? Turtucaia, la t?te de pont roumaine sur la rive sud de Danube, en septembre 1916, a laiss? une marque ind?l?bile dans l?opinion publique roumaine dans l?entre-deux-guerres. Les tentatives d?expliquer cette d?faite sans appel au tout debout de l?engagement roumain dans la Grande guerre se succ?daient en ajoutant son lot de rumeurs sur les atrocit?s commises par les troupes bulgares victorieuses. La question de la responsabilit? pour la d?faite fut une question brulante aux niveaux politique et militaire d?j? pendant la guerre et notamment apr?s les retours des officiers et soldats roumains apr?s la signature de la paix s?par?e en mai 1918. La victoire et la cr?ation de la Grande Roumaine cr?a les conditions pour les enqu?tes officielles, mais aussi pour la transposition du sujet dans la litt?rature, t?moignage poignant de son importance et de son actualit?. D?faite embl?matique et difficile ? ?vacuer de la m?moire collective, d?faite porteuse d?un permanent avertissement sur la fragilit? de la victoire finale et de ses acquis, d?faite convertible en r?quisitoire sur une sc?ne politique en pleine transformation ? partir de 1918, Turtucaia, ne devait s?effacer de la conscience publique roumaine qu?apr?s l?instauration du communisme.
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Korac, Vojislav. "Prilog poznavanju jednobrodnih crkava sa kupolom na dubrovackom podrucju." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 44 (2007): 129–43. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0744129k.

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Abstract:
(francuski) L?objet du travail sont les dessins architectoniques du groupe d??glises a une nef du haut moyen ?ge dans la r?gion de Dubrovnik. Les dessins sont accompagnes de br?ves descriptions des monuments. L?auteur les publie en les destinant a une meilleure connaissance des monuments gr?ce aux dessins plus complets et faits avec plus de pr?cision que les dessins publies. Ils sont le fruit des recherches faites en 1962 et ils n?ont pas ?t? publies en raison du changement d?orientation de l?auteur vers des th?mes que la pratique lui imposait. Un texte bref explique la raison de la publication des dessins avec citation de la litt?rature sur les monuments. Le plus en vue de ces monuments est l??glise de Saint Michel a Stone, ?uvre du roi de Zeta Mihailo (Michel). Dans leur ensemble ces monuments repr?sentent un chapitre important de l?histoire de l?architecture serbe m?di?vale, ou l??glise a une nef avec la coupole, d?origine byzantine, ?tait dominante. Le fait que les historiens de l?art aussi bien serbes que croates ont accorde leur attention a ces ?uvres indiquent toute l?importance de ces monuments.
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Laronde, Michel. "BOOK REVIEW: Val�rie Thiers-Thiam. A CHACUN SON GRIOT. LE MYTHE DU GRIOT-NARRATEUR DANS LA LITT�RATURE ET LE CIN�MA D'AFRIQUE DE L'OUEST. Paris: L'Harmattan, Collection ?Africultures,? 2004." Research in African Literatures 37, no. 4 (December 2006): 232–35. http://dx.doi.org/10.2979/ral.2006.37.4.232.

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Marjanovic-Dusanic, Smilja. "Molitve svetih Simeona i Save u vladarskom programu kralja Milutina." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 41 (2004): 235–50. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0441235m.

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Abstract:
(francuski) Plusieurs sources historiques nous sont parvenues qui attestent le r?le actif des cultes de saint Simeon et saint Sava, les premiers saints de l'Eglise Serbe. Tout en ?tant compl?mentaires, ces deux cultes diff?rent par leur fonction, notamment du fait que saint Simeon, fondateur de l'Etat et de la dynastie serbes, est c?l?br? comme un saint myroblite, alors que saint Sava, premier archev?que de l'Eglise serbe ind?pendante, est v?n?r? comme un saint thaumaturge. Leur fusion en un culte faisant l'objet d'une c?l?bration unique a eu lieu ? l'?poque du roi Milutin (1282-1321). Le pr?sent article ?tablit que la formation finale du nouveau programme monarchique de Milutin, probablement inspir? par la communaut? monastique de Chilandar, se situe entre 1314-1316 et 1321. Outre l'observation g?n?rale de la fonction de ce culte et de sa polys?mie, nous proc?dons ?galement ? une analyse du ph?nom?ne constitu? par les pri?res de saint Sim?on et saint Sava apparaissant dans les chartes de l'?poque du roi Milutin ? indice certain de l'efficacit? reconnue du nouveau culte ? et de ses implications politiques. Cependant, une image compl?te de la signification des pri?res de ces deux saints dans les chartes et de leur usage dans le domaine id?ologique, ne peut ?tre obtenue qu'en proc?dant ? une analyse des divers types de t?moignages ? chartes, fresques, offices, canons et apologies ? c?l?brant ces deux personnages. La plus ancienne repr?sentation conserv?e de ces deux saints sur des peintures murales se trouve dans l'?glise Saint-Nic?tas pr?s de Skoplje. Les portraits associ?s de saint Simeon et saint Sa va situ?s sur le mur nord du naos de l'?glise datent de la deuxi?me d?cennie du XIV?me si?cle (avant 1316). Leur ex?cution pouvant ?tre situ?e apr?s la conclusion d'une paix ayant mis fin ? des conflits int?rieurs. Au tout d?but, le motif ?des pri?res de saint Sim?on et saint Sa va? a en fait trouv? place dans les clauses p?nales des chartes de l'?poque. Le r?le de la pri?re y est d'assurer une protection ancestrale et sacrale aux dons pieux du souverain actuel. Sur un plan plus large, ces pri?res visent ?galement ? assurer une protection c?leste aux conqu?tes du roi et aux garanties formul?es dans les documents de donation, mais aussi la protection de la patrie dont la prosp?rit? est fond? sur la fonction sot?riologique rendue possible par les pri?res des saints protecteurs. La premi?re mention d'une telle invocation invitant les deux saints serbes ? anath?matiser celui qui violerait les dispositions de l'auteur d'une charte, appara?t dans une charte de confirmation d?livr?e par Milutin au monast?re de Chilandar au sujet de la donation d'une cellule de Sainte-Parasc?ve sise au village de Tmorani pr?s de Skopje (1299/1300 : Chil. si., n. 9, 1. 67). Les pri?res des deux saints dans leur fonction de protecteurs de l'Etat et de la dynastie apparaissent ?galement dans d'autres documents de souverains datant du d?but du XIV?me si?cle. La mention de Vladislav, cousin du roi Milutin, au nombre d'h?ritiers potentiels dans les clauses p?nales d'une charte du roi Milutin d?livr?e au monast?re de Chilandar (Chil. si., n. 11), rend possible une nouvelle datation, plus pr?cise, de ce document entre 1314 et 1316. Cette charte nous fournit donc un cadre chronologique pour l'?tablissement des pri?res des deux saints serbes, lequel cadre co?ncide avec l'apparition de leur repr?sentation associ?e sur les peintures du monast?re Saint-Nicolas dans la r?gion de Skoplje, que le roi a offert ? Chilandar, par le biais de la charte mentionn?e. A cette ?poque-l?, au cours des deux premi?res d?cennies du XIV?me si?cle, le moine Tedosije, inspir? par la communaut? monastique de Chilandar, fut charg? de proc?der, selon les go?ts litt?raires et les besoins id?ologiques de l'?poque, ? une r?daction monumentale de la litt?rature hagiographique jusqu'alors cr??e, et de jeter les fondements du nouveau culte des premiers saints nationaux comme principal vecteur de l'id?e d'origine charismatique de la dynastie. La synth?se ainsi obtenue vers les ann?es vingt du XVI?me si?cle r?unit les exploits spirituels et les r?sultats des efforts convergents d'une ?lite rattach?e tant ? la cour de Serbie qu'au centre religieux de Chilandar. La co?ncidence d?j? relev?e entre les chartes, la peinture murale et l'apparition d'un nouveau culte s'inscrivant dans un programme politique plus vaste, avec sa c?l?bration en litt?rature, ne saurait ?tre fortuite. L'approche du centenaire du royaume repr?senta, sans doute, un moment crucial pour placer les saints nationaux au centre d'un complexe de programmes sot?riologiques, d?j? effectif au moment o? l'Etat serbe s'est activement tourn? vers l'Orient orthodoxe. L'unit? fondamentale et fonctionnelle du nouveau culte se manifeste par des actes miraculeux s'inscrivant dans un cadre clairement ?tabli, d?fini dans le sens spatial et national, et refl?tant un type de saintet? ?galement pr?sent chez les autres peuples du Moyen Age. La phase de repr?sentation de la dynastie devant le Christ est remplac?e par une signification plus vaste et sot?riologique de la repr?sentation de l'Etat, induite par les pri?res des deux saints. Ceci a entre autre abouti ? la symbolique polys?mique de Chilandar comme ? le nouveau Sion ?. La mention de saint Simeon et saint Sava dans les chartes de Milutin, publi?es durant les derni?res ann?es de sa r?gence, appara?t ?galement dans les documents de l'empereur Dusan (1331-1355). Cette reprise s'inscrit probablement comme un ?l?ment du concept complexe faisant du roi Milutin un exemple de la nouvelle fa?on de r?gner, lequel concept ?tait li? aux plans entrant dans la politique ext?rieure de l'empereur Dusan ? ? savoir une offensive sur les contr?es orientales de l'Empire grec ? pr?sent?e comme une poursuite des conqu?tes du roi Milutin. Etant les saints les plus importants de l'id?ologie monarchique serbe, Simeon et Sava seront c?l?br?s m?me apr?s la chute de l'Empire (1371). Ils sont peints comme un couple de saints, ou plac?s comme deux pendants, c?l?br?s comme ? les deux saints ? dans les chants. Ils sont devenus, ? travers leurs cultes r?unis, le fondement de l'id?ologie de l'Etat et de l'Eglise au cours de l'histoire serbe ult?rieure. .
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Tosic, Djuro. "Sandaljeva udovica Jelena Hranic." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 41 (2004): 423–40. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0441423t.

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(francuski) Mena grandit et fut ?lev?e dans la maison de ses parents (1368-1386). La plus belle partie de sa jeunesse elle passa comme ?pouse de Djurdje II Stracimirovic et dans un r?gne autonome sur Z?ta au nom de son fils mineur Balsa (1403-1411). Son ?ge m?r elle consacra ? son deuxi?me mari, duc Sandalj (1411-1435). Les derni?res ann?es de sa vie elle uecnt comme veuve (1435-1443) jusqu'? sa mort en ?ge de soixante-quinze ans. De toutes ces p?riodes notre attention fut uniquement fix?e, en vue des mat?riaux ?dits et in?dits d'archiv? ? Kotor, et ? Raguse (Dubrovnik), ? son veuvage pendant lequel elle avait montr?, en d?pits de son ?ge, une ?nergie impressionnante. C'est surtout son engagement en mati?res de finance qui est m?rite de notre admiration. Elle prenait des int?r?ts de la somme que Sandalj avait d?pos? sous son nom et aussi elle-m?me, elle d?posait de l'argent et des valeurs diff?rentes ? Dubrovnik et ? Kotor. Si elle n'arrivait pas ? faire tout elle-m?me, elle le faisait par ses employ?s (?l?ves, notaires), envoy?s et confidents. Une partie de l'argent gagn? en ces op?rations bancaires elle utilisait aussi pour son progr?s spirituel: elle fondait des ?glises, reconstruisait celles qui ?taient vieilles et en mauvais ?tat, s'occupait des moines et jouissait en lisant la litt?rature monastique et autre, elle gardait des reliques de saints et menait des longues et int?ressantes conversations avec l'abb? Nikandar sur les questions en ce temps-l? fr?quemment disput?es: sur les questions d'aum?ne, de monachisme, de la vie c?nobite et de la vie anachor?te. Comme les autres princesses serbes (m?re Milica, Mena Serska, qui est devenue plus tard en religion Jefimija et la reine Mena Anzujska) elle aussi a eu la vie pleine de succ?s d'une femme tr?s travaillante, tr?s intelligente, qui avait en plus une tr?s bonne ?ducation et qui ?tait remplie de l'espoir de trouver le chemin qui l'emm?nerait vers la ?vie ?ternelle?.
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Jeremic, Miroslav. "(francuski) Les temples payens de Sirmium." Starinar, no. 56 (2006): 167–200. http://dx.doi.org/10.2298/sta0656167j.

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Abstract:
(farncuski) Les ?difices de culte pa?ens ont ?t? ici consid?r?s en distinguant deux groupes selon leur position par rapport aux remparts. Le premier de ces groupes incluant les ouvrages situ?s en dehors de l'enceinte a d?j? fait l'objet de plusieurs publications de sorte que ce travail se contente de rappeler bri?vement leurs principales caract?ristiques au d?but du texte. Lorsqu'il s'agit du Sirmium intra muros, nonobstant la pr?sence de vestiges de murs massifs et de plastique architecturale d?corative dans la partie centrale de la ville antique autorisant d'envisager la pr?sence de temples pa?ens, l'ensemble de la litt?rature publi?e ne fait aucune mention de tels ?difices. Les r?sultats d'une analyse a posteriori du mat?riel arch?ologique enregistr? dans la documentation conserv?e ? l'Institut arch?ologique de Belgrade, ainsi que l'observation du mat?riel lapidaire et d?coratif des d?p?ts du Mus?e du Srem ? Sremska Mitrovica ont permis ? l'auteur de ce travail de constater (avec toute la r?serve voulue dans ses conclusions) que l'espace situ? ? l'est du forum accueillait, pour le moins quatre temples pa?ens. L'existence de ces ?difices de culte a ?t? situ?e au sein de divers intervalles compris entre le IIe et le IVe si?cle. Il est int?ressant de noter que le plus ancien d'entre eux (IIe si?cle), d?gag? sur le site 42, ?tait dot? d'une construction portante en bois. Un peu plus au nord ont ?t? exhum?s les vestiges d'un ?difice de culte (59) datant du IIIe-IVe si?cle qui pourrait ?tre identifi? avec un fanum gallo-romain, mais cela restera pour l'instant de l'ordre de l'hypoth?se. Plus ? l'est, sur une vaste plate-forme en dalles de marbre ont ?t? ?rig?s vers la fin du IIIe ou au d?but du IVe si?cle deux autres temples (sites 43 et 47). Malheureusement un certain nombre de questions, entre autres relatives ? leur structure et leur d?dicace, ne pourrons ici trouver une r?ponse d?finitive. De toute ?vidence, deux de ces temples (sites 47 et 59) ou du moins leurs vestiges ont ?t? mis ? profit, dans la premi?re moiti? du Ve si?cle, lors de l'?rection de deux ?glises, ce qui ouvrent la question tr?s int?ressante mais d?licate de la localisation des ?glises Sainte-Anastasie et Saint-D?m?trius, que les sources mentionnent dans le contexte de l'activit? de b?tisseur de Leontius qui, en tant que nouveau pr?fet de l'Illyricum, a rejoint Sirmium, depuis Thessalonique, une vingtaine d'ann?es avant la prise de la ville par les Huns en 441.
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Paradisi, Gioia. "CONTINENTAL AND MEDITERRANEAN REVIEW: V�rvaro, Alberto. Modalit� compositive e processi di trasmissione nelle scritture narrative del Medioevo francese. ?�laboration des textes et modalit�s du r�cit dans la litt�rature fran�aise m�di�vale?. 2001." Textual Cultures: Text, Contexts, Interpretation 1, no. 2 (October 2006): 187–207. http://dx.doi.org/10.2979/tex.2006.1.2.187.

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Popovic, Aleksandar, and Radivoj Radic. "Pisma Dragutina Anastasijevica Karlu Krumbaheru - 1907-1909." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 41 (2004): 485–505. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0441485p.

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Abstract:
(francuski) Pionnier de la byzantinologie serbe, Dragutin Anastasijevic (1877-1950), s'est sp?cialis? de 1902 ? 1905 aupr?s de Karl Krumbacher (1856-1909) ? Munich o? il a obtenu son doctorat en 1905. De retour en Serbie, Anastasijevic est rest? en contact avec son ma?tre, comme l'attestent cinq de ses lettres, dat?es de 1907 ? 1909, conserv?es dans le legs ?pistolaire de Krumbacher (Bayerische Staatsbibliothek, M?nchen). Les photocopies de cette correspondance, r?dig?e en allemand, ont ?t? remises au recteur de Universit? de Belgrade, Marija Bogdanovic, par le prof. Peter Schreiner lors de sa promotion au rang de docteur honoris causa de l'Universit? de Belgrade, le 9 f?vrier 2004. Ce travail propose une traduction en serbe et un commentaire des lettres d'Anastasijevic. Bien qu'assez bref, leur contenu nous r?v?le le champ d'int?r?t tr?s diversifi? qui retenait alors l'attention de ce byzantiniste serbe. On y retrouve avant tout le th?me de sa th?se de doctorat Die par?netischen Alphab?te in der griechischen Literatur portant sur un type de po?sie moralisante jusqu'alors quasiment inconnu se caract?risant par des vers dont les initiales reprennent l'ordre de l'alphabet grec. Outre cela, Anastasijevic s'int?ressait alors tout particuli?rement ? l'?tude des chartes athonites, ce qui l'amena ? s?journer neuf mois ? l'Athos en 1907/08. On note auusi tout l'int?r?t qu'il portait ? un bague d'or octogonale, acquise en 1908 et aujourd'hui conserv? dans la Collection des antiquit?s romaines tardives et pal?o byzantines du Mus?e national de Belgrade. Bien que donnant de nombreux d?tails sur cette parure dans une de ses lettres conserv?es, Anastasijevic, lui m?me, ne l'a jamais publi?e. Cette bague n'a finalement fait l'objet d'une premi?re publication, due au dr Ivana Popovic de l'Institut Arch?ologique de Belgrade, qu'en 2001. Les pol?miques de l'?poque agitant la science byzantine ont ?galement trouv? un ?cho dans les lettres d'Anastasijevic. Il s'agissait avant tout de certaines questions relatives ? la formation du grec moderne. De fait, la question linguistique s'?tait ?rig?e en probl?me culturel et politique en Gr?ce d?s la fin du XVIII?me si?cle, qui a perdur?, il est permis de dire, jusqu'? nos jours. Le d?bat sur la langue est devenu plus particuli?rement virulent en 1905 lors de la parution du livre de Krumbacher, To npo?Xri?a ??j? veo)T?pa? ??a<?o?e\?\? cAATjvuoj? (p. 1-300) ??? ?ndvrrioi? sic avr?v vn? ?e?a??. N. ???&?a??] (?. 301-860). Nombre d'?crivains, de savants et, plus g?n?ralement, de gens de plume, consid?raient qu'il n'?tait pas de progr?s possible de la litt?rature et de la spiritualit? grecques sans une g?n?ralisation de l'emploi du grec d?motique. Parmi eux figurait notamment Karl Krumbacher qui a alors pris part ? le lutte pour l'introduction d'une langue grecque populaire. Parmi les savants grecs cette pol?mique voyait l'engagement de Georgios Chatzidakis, qui s'opposait ? l'introduction du d?motique, et Joannis Psycharis, qui voulait mettre un terme ? l'utilisation de la katharevousa et tentait de syst?matiser le d?motique et d'en faire la seul et unique langue nationale. D. Anastasijevic, qui ?tait ?galement partisan de l'emploi du grec d?motique, note dans une de ses lettres que ?seuls Psycharis et Krumbacher sont les ap?tres de la vie et de l'avenir qui toujours doivent l'emporter sur la mort et le pass??. Les lettres d'Anastasijevic nous renseignent ?galement, de fa?on explicite, sur son abondante correspondance avec de nombreux scientifiques contemporains tels que, par exemple, P. Marc, J. Heeg, P. Maas, G. Schlumberger, J. H. Mordtman. De toute ?vidence ce jeune savant serbe s'?tait fait un grand nombre d'amis parrains ses confr?res au cours de ses ?tudes ? Munich et de ses nombreux voyages ou s?jours de travail dans les principaux centres scientifiques et les plus importantes biblioth?ques d'Europe. Finalement, mais non en dernier lieu, il ressort clairement des lettres d'Anastasijevic tout le respect et la gratitude qu'il ressentait ? l'?gard de son ma?tre, et ma?tre de nombreux autres chercheurs se penchant sur le pass? byzantin, Karl Krumbacher. Il s'adresse ? lui le plus souvent par ?tr?s cher monsieur le professeur? ou ?tr?s cher ma?tre?. Dans ce cas il est r?ellement question du nombre rapport entre un ?l?ve et son ma?tre devenu son ?p?re spirituel?. .
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ΑΝΑΓΝΩΣΤΑΚΗΣ, Ηλίας. "Οὐκ εἴσιν ἐμὰ τὰ γράμματα. Ιστορία και ιστορίες στον Πορφυρογέννητο." BYZANTINA SYMMEIKTA 13 (September 29, 1999): 97. http://dx.doi.org/10.12681/byzsym.862.

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Abstract:
&nbsp; <p>Ilias Anagnostakis</p><p>&nbsp;Histoire et histoires chez le Porhyrog&eacute;n&egrave;te. &Omicron;ὐ&kappa; &epsilon;ἴ&sigma;&iota;&nu; ἐ&mu;ὰ &tau;ὰ &gamma;&rho;ά&mu;&mu;&alpha;&tau;&alpha;</p><p>La correspondance de Constantin Porphyrog&eacute;n&egrave;te avec Th&eacute;odore de Cyzique est la seule oeuvre de l'empereur &agrave; n'avoir pas encore &eacute;t&eacute; contest&eacute;e: elle est consider&eacute;e comme une production absolument personelle -il s'agit d'ailleurs d'une correspondance priv&eacute;e. En effet, si pour toutes ses autres oeuvres, post&eacute;rieures &agrave; cette correspondance, il existe des scribes qui se chargent de composer, d'&eacute;crire, de recopier sous sa direction, au contraire ses lettres n'ont pas n&eacute;cessit&eacute; un tel &eacute;tat-major. On y pourrait constater donc le niveau d'&eacute;ducation et les pr&eacute;ferences stylistiques de l'empereur et on y constate en effet, outre l'amertume du fils &eacute;cart&eacute; de L&eacute;on, un manque de confiance en soi li&eacute; &agrave; un apprentissage tourment&eacute; et tardif et surtout l'aveu de son indigence litt&eacute;raire. Il serait une erreur d'interpr&eacute;ter ces aveux comme des simples exag&eacute;rations rh&eacute;toriques. En revanche, il est plut&ocirc;t ais&eacute; de rep&eacute;rer et d'&eacute;tablir avec s&ucirc;ret&eacute; la crainte qu'&eacute;prouve le Porphyrog&eacute;n&egrave;te &agrave; des sages et serviteurs des Muses pleins de suffisance. Chaque fois que s'en pr&eacute;sente l'occasion, il ne manque pas, lorsqu'il s'adresse &agrave; Th&eacute;odore, de mentionner sans detours son insuffisance. Quelquefois il la justifie &agrave; mots couverts mais assez clairs pour se faire comprendre. De fait, l'aveu de sa balourdise pourrait &ecirc;tre consid&eacute;r&eacute; comme une figure de style si nous ne disposions pas des r&eacute;ponses de son ami. Th&eacute;odore semble acquiescer et mettre l'empereur dans une position difficile, quand il le force d'avouer que les lettres ne sont pas &eacute;crites par sa main mais par son humble scribe. Reste, n&eacute;anmoins, ind&eacute;fini, le degr&eacute; de l'implication de l'empereur &agrave; sa correspondance priv&eacute;e. </p><p>Or, le processus d'&eacute;criture de la correspondance du Porphyrog&eacute;n&egrave;te pourrait dans une certaine mesure &ecirc;tre rapproch&eacute; du processus de composition de son oeuvre majeure, la Vita Basilii. Les &eacute;claircissements aux lettres &eacute;chang&eacute;es avec Th&eacute;odore et les explications qui accompagnent l'aveu &Omicron;ὐ&kappa; &epsilon;ἴ&sigma;&iota;&nu; ἐ&mu;ὰ &tau;ὰ &gamma;&rho;ά&mu;&mu;&alpha;&tau;&alpha; pourraient &eacute;clairer des nombreux c&ocirc;t&eacute;s du processus de sa production. Nous consid&eacute;rons en effet que si le Porphyrog&eacute;n&egrave;te confiait &agrave; ses collaborateurs la composition et la r&eacute;daction des livres de Th&eacute;ophane Cont. ou d'autres oeuvres apr&egrave;s en avoir pr&eacute;alablement d&eacute;fini les buts et le cadre, fourni la mati&egrave;re ou encore racont&eacute; en d&eacute;tail certaines histoires, la Vita au contraire pourrait &ecirc;tre dict&eacute;e, comme les lettres. Mais m&ecirc;me dans ce cas, la contribution du scribe pourrait &ecirc;tre consid&eacute;r&eacute;e comme bien plus importante qu'un simple enregistrement de ce que lui dictait l'empereur. Pour ce second type de collaboration avec ses scribes (si l'on consid&egrave;re comme un premier type celui adopt&eacute; pour Th&eacute;ophane Cont. et les autres ouvrages), l'empereur &nbsp;racontait simplement ou dictait, selon le cas de mani&egrave;re simple et en langue parl&eacute;e (celle probablement qu'il qualifie ailleurs de vulgaire), ou &eacute;lev&eacute;e et lettr&eacute;e (selon la conception qu'il avait du style &eacute;lev&eacute;). Or, le scribe servait en plus &agrave; faire passer &agrave; l'&eacute;crit toutes les exigences de style du Porphyrog&eacute;n&egrave;te en train de conter ou dicter de mani&egrave;re rel&acirc;ch&eacute;e lettres ou histoires. </p><p>Si cela est vrai, il nous est permis de supposer que pour le Porphyrog&eacute;n&egrave;te et ses scribes il existe r&eacute;ellement une ligne claire de s&eacute;paration qui impose nettement ses r&egrave;gles quant aux styles et aux genres et peut aussi engendrer des probl&egrave;mes de sinc&eacute;rit&eacute; et d'identit&eacute;, voire responsabilit&eacute;, en ce qui concerne l'auteur. Cette ligne de partage est &eacute;nonc&eacute;e dans la pr&eacute;face de Th&eacute;ophane Cont. o&ugrave; le Porphyrog&eacute;n&egrave;te apparait en train de narrer-dicter au scribe conform&eacute;ment &agrave; toutes les hypoth&egrave;ses que nous venons de faire. Ainsi, au-del&agrave; des questions d'organisation et de mat&eacute;riel qui l'ont impos&eacute;e, ces pr&eacute;cisions de la pr&eacute;face de Th&eacute;ophane Continu&eacute; ainsi que du d&eacute;but du DAI entretienent-elles un rapport avec le Porphyrog&eacute;n&egrave;te: la pr&eacute;f&eacute;rence &agrave; la narration, le non &eacute;crit, la langue simple. Jusqu'&agrave; quel point peut-on &eacute;galement soutenir qu'il pr&eacute;f&eacute;rait la &laquo;litt&eacute;rature l&eacute;g&egrave;re&raquo;, les chroniques, les r&eacute;cits populaires de son temps, dans lesquelles on trouve des proclamations stylistiques analogues aux siennes? L'Histoire se trouve-t-elle donc exclusivement du c&ocirc;t&eacute; de l'&eacute;crit et les histoires surtout de ce qui a &eacute;t&eacute; dict&eacute; en langue commune? Et si le service des scribes couvre toute cette gamme, l'apport personnel du Porphyrog&eacute;n&egrave;te se limite-t-il &agrave; l'oralit&eacute;, la dict&eacute;e? </p><p>En conclusion, nous pensons que pour le Porphyrog&eacute;n&egrave;te, moderne &agrave; son insu, l'Histoire n'existe pas, mais seule la narration, le <em>historein</em>. Il faudra donc surtout &eacute;tudier dans l'oeuvre qui lui est attribu&eacute;e l'acte de la narration, v&eacute;ridique ou invent&eacute;e, et le rapport de d&eacute;pendance entre narration et historicit&eacute;, entre histoires et Histoire.</p><p>&nbsp;</p>
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Djokovic, Zorica. "Stanovnistvo istocne Makedonije u prvoj polovini XIV veka." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 40 (2003): 97–244. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0340097d.

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Abstract:
(francuski) Le but du pr?sent ouvrage est de pr?senter la structure ethnique de la Mac?doine de l'Est dans la p?riode entre 1300 et 1341, et cela en se basant sur les donn?es anthroponymiques. Cette limitation dans le temps et l'espace a ?t? impos?e par les sources elles-m?me, qui sont les praktika (une sorte de registre des cadastres) des monast?res d'Athos, car ils sont les seuls ? avoir ?t? conserv?s. Les monast?res en question avaient eu des propri?t?s dans cette r?gion-l? et c'est uniquement pour cette p?riode qu'ils permettent de suivre continuellement la population dans certains villages. Il faudrait prendre en consid?ration le fait que dans les praktika ?taient recens?s uniquement les par?ques (paysans d?pendants) des monast?res d'Athos dans 65 villages, et non pas la population enti?re de cette r?gion. Parfois un monast?re dans un certain village n'avait qu'un ou deux m?nages de par?ques. Cela signifie que les r?sultats que nous avons obtenus ?taient relatifs. Deuxi?mement, toutes les agglom?rations ne sont pas couvertes par les sources pour toute la p?riode mentionn?e. Rares sont les cas o? pour un village il existe 3-4 praktika ce qui nous permet de suivre sa population dans 2-3 g?n?rations. Le cas le plus fr?quent est lorsqu'il n'existe qu'un seul praktika ce qui nous permet uniquement de constater dans quelle circonstance avait apparu le praktika, mais pas de suivre les changements ?ventuels dans la structure de la population. ?galement, il faudrait tenir compte du fait que c'est uniquement la population paysanne qui a ?t? recens?e. Dans la majorit? des praktika, les m?nages de par?ques sont d?crit en d?tail, quant aux par?ques eux-m?me, ils sont identifi?s de mani?re diff?rente, le plus souvent d'apr?s leur nom individuel ou d'apr?s une autre caract?ristique comme par exemple un surnom, une profession compl?mentaire une origine ethnique, lieu d'o? la personne ?tait venue, relation familiale par rapport ? une autre personne. Ces moyens d'identification nous pr?sentent des donn?es pr?cieuses sur la soci?t? rurale et sur les professions compl?mentaires exerc?es par les paysans (il s'agit le plus souvent de m?tiers et plus exactement le m?tier de cordonnier, de forgeron et de potelier), sur les rapports entre les gens, les conditions mat?rielles, les migrations, la langue utilis?e par la population... Afin d'?tudier la structure ethnique d'apr?s l'anthroponymie, il fallait avant tout classifier les pr?noms. En effectuant cela, nous nous sommes confront?s ? plusieurs probl?mes. Il arrive parfois que dans la litt?rature scientifique que nous avons consult?e, on donne des interpr?tations compl?tement diff?rentes des pr?noms que nous avons rencontr?s, c'est pourquoi, nous avons d? juger de nous-m?me assez souvent. Tout en nous basant avant tout sur l'?tymologie mais ?galement sur l'observation de la situation sur le terrain. Par exemple si pour un pr?nom ou un mot on suppose qu'il est d'origine slave, nous nous sommes efforc?s de d?finir si ce nom apparaissait plus souvent dans un milieu o? il y a des Slaves. Les listes des noms et surnoms sont aussi donn?es afin que nos conclusions puissent ?tre contr?l?es. Certains des probl?mes sont originaires des recenseurs eux-m?mes. Ils ?taient Grecs et certains d'entre-eux ne savaient pas transcrire correctement les pr?noms et les surnoms non-grecs. Cela est particuli?rement valable pour les sons qui n'existent pas dans la langue grecque. Parfois ils hell?nisent les pr?noms non-grecs et leur donnent un sens qu'ils n'avaient pas. Par exemple: le surnom slave Stur (St?nr?z) est transcris d'une mani?re incorrecte en tant que surnom grec Zgur (Sgsyr?z). Derri?re ces formes aussi modifi?es il est impossible de reconna?tre la forme v?ritable sauf s'il existe des s?ries praktika qui permettent que les donn?es soient compar?es. Pourtant, la classification m?me des pr?noms ne suffit pas pour aboutir ? des conclusions fiables sur l'appartenance ethnique de leur porteurs. N?anmoins, le plus grand nombre repr?sentent les pr?noms du calendrier qui n'indiquent rien sur l'appartenance ethnique, ? moins que des variations populaires de ces pr?noms ne soient utilis?es (par ex. Joanakis ou Joanikije au lieu de Jovan chez les Grecs ou Ivan, Ivanko Janko chez les Slaves) et ceci est extr?mement rare. Les plus pr?cieux sont les pr?noms populaires. Mais, l? aussi il faut ?tre tr?s vigilant. En g?n?ral, si quelqu'un porte un pr?nom slave, il est Slave. Cependant, il arrivait souvent que ce pr?nom devienne un nom patronymique et soit ainsi transmis ? travers les g?n?rations, quant ? la famille, elle s'hell?nisait entre-temps. Nous sommes arriv?s ? la conclusion que l? o? les noms individuels apparaissent au moins dans deux g?n?rations, il s'agissait s?rement des Slaves pop-hell?nis?s (qui parlent le slave). Au cas o? les descendants des Slaves portent des noms individuels grecs, nous avons de bonnes raisons ? douter qu'il s'agisse d'une hell?nisation (qui est du moins entam?e, ce qui ne veut pas dire qu'elle ait aboutit ? une fin). Les surnoms sont nombreux et vari?s. Ils peuvent nous ?tre d'une grande utilit? dans la d?termination de l'appartenance ethnique de quelqu'un. Vu que la majorit? de par?ques porte des pr?noms eccl?siastiques c'est-?-dire neutres, comme nous les avons nomm?s pour les besoins de notre ouvrage, les surnoms sont particuli?rement pr?cieux lorsque nous rencontrons ce genre de situations. N?anmoins, l'existence de surnoms slaves nous montre que dans le milieu o? ils apparaissent, la langue slave est comprise et parl?e, alors que le grec nous indique que le grec est compris et parl?. En principe, celui qui porte un surnom slave est le plus souvent Slave. Cependant, l'existence de ce genre de surnom n'exclut pas Fhell?nisation. Il existe une autre difficult? qui est que les membres d'un groupe ethnique peuvent avoir un surnom dans la langue de l'autre peuple avec lequel le plus souvent ils cohabitent. Il existe plusieurs cas o? les Slaves pour lesquels nous sommes certains qu'ils sont Slaves, car les membres de leur famille portent des noms individuels slaves ont un surnom grec. L'analyse a montr? que ce genre de cas se rencontrent dans les r?gions bilingues o? ce surnom avait ?t? compr?hensible aux membres des deux ethnies. C'est pourquoi, les surnoms, en tant qu'indices de l'appartenance ethnique ne peuvent en aucun cas ?tre utilis?s individuellement, mais uniquement en combinaison avec d'autres donn?es. Les r?sultats auquels nous sommes parvenus sont les suivants. La Mac?doine de l'est ?tait au XIVe si?cle une r?gion encore ethniquement h?t?rog?ne ce qui ne fait que confirmer les r?sultats des autres chercheurs. Pourtant, la question de la structure ethnique est r?duite ? la question des relations entre Grecs et Slaves. Les autres peuples qui se rencontrent, et qui sont les Latins, les Valaches, divers peuples turcs, les Albanais, les Arm?niens les Rom et m?me un Juif et une famille hongroise, ils forment tous une minorit? g?n?ralement d?j? assimil?e. Dans la moyenne, les pr?noms et surnoms slaves se manifestent dans un peu plus d'un quart de familles recens?es. Cela ne veut pas dire que les Slaves pop-hell?nis?s repr?sentaient r?ellement une partie si importante de la population de l'est de la Mac?doine, car leur pr?noms et surnoms se transformaient parfois en nom de famille et ?taient ainsi conserv?s m?me apr?s que la famille se soit hell?nis?e. D'autre part il faut prendre en consid?ration qu'un certain nombre de Slaves se dissimulait derri?re des pr?noms eccl?siastiques et c'est pourquoi il est rest? pour nous imperceptible. Donc, les donn?es statistiques pr?sentent uniquement une image relative de la r?alit?, mais elles sont donn?es dans l'ouvrage car il a ?t? n?cessaire de donner un certain rapport num?rique de la pr?sence des Grecs et des Slaves. La pr?sence de la population slave dans la Mac?doine de l'Est n'est pas proportionn?e. On observe plusieurs r?gions qui se distinguent par la pr?sence des Slaves ? leur sein, c'est pourquoi nous les avons analys?s individuellement. La Chalcidique est une r?gion o? le nombre de Slaves, dans la p?riode depuis le d?but du XIVe si?cle jusqu'en 1341 ?tait consid?rable. En moyenne, leurs pr?noms et surnoms se manifestent dans environ 25% de m?nages ce qui, statistiquement parlant, nous indique que les Slaves repr?sentait un quart de la Chalcidique, qu'il s'agisse des Slaves qui avait encore gard? leurs caract?ristiques ethniques, ou qu'il s'agisse de ceux qui se sont hell?nis?s mais qui ont gard? leur noms individuels ou leurs surnoms slaves en tant que noms de famille. Lorsque l'on effectue une coupe dans le temps de la pr?sence des pr?noms et surnoms slaves, il est ?vident que le nombre de Slaves en Chalcidiques diminue sans cesse. De 35,98% combien il y en avait au d?but du XIVe si?cle, leur nombre jusqu'aux ann?es vingt avait diminu? et repr?sentait 20,81% et le d?croissement continuait jusqu'? 1341 lorsqu'ils apparaissent dans uniquement 13,69% de m?nages. Dans cette m?me p?riode, on distingue une hausse du nombre de m?nages portant des pr?noms grecs, ainsi qu'une baisse de m?nages portant des pr?noms mixtes c'est-?-dire avec des pr?noms populaires d'au moins deux peuples, dans ce cas-l?, le plus souvent grec et slave. Nous pensons que dans ce ph?nom?ne se cache l'explication de la diminution du nombre de familles portant des pr?noms slaves. N?anmoins, comme les mariages mixtes ?tait une chose fr?quente, avec le temps, dans ces couples dominait l'influence grecque ce qui est tout ? fait compr?hensible, ?tant donn? que les Grecs, comme on peut le remarquer sur le tableau 3, d?j? au d?but du si?cle ?taient dominants. En plus du fait que l'on remarque que le nombre de Slaves est en baisse continue, on remarque que leur pr?sence n'?tait pas partout la m?me. En relation avec cela, il existe de nombreuses diff?rences entre la Chalcidique de l'Ouest et de l'Est. En g?n?ral, pour la Chalcidique de l'Ouest on pourrait dire que le nombre de Slaves, plus exactement, les familles portant des pr?noms et surnoms slaves est petit. Statistiquement observant, ce nombre s'?l?ve ? environ 13% et reste stable pour toute la p?riode de 1301 jusqu'? 1341. Cependant, dans certains endroits comme par exemple Epan?-Bolbos Skyloch?rion, N?akitou ainsi que d'autres endroits, ils n'apparaissent pas du tout. M?me dans les endroits o? il y en avait dans un nombre consid?rablement plus grand que la moyenne, comme c'est le cas avec Sainte-Euph?mie, nous sommes les t?moins de leur disparition ? la suite de l'hell?nisation compl?t?e. Deux autres faits t?moignent de la fin du processus d'hell?nisation des Slaves dans la Chalcidique de l'Ouest. Le premier fait est que dans la majorit? des cas o? nous rencontrons des pr?noms ou surnoms slaves, ils apparaissent en fonction de noms fig?s et sont port?s par des personnes aux pr?noms eccl?siastiques voire m?me grecs alors qu'il y a tr?s peu de noms individuels slaves. Deuxi?mement, l? o? les pr?noms slaves apparaissent comme noms individuels, ils sont le plus souvent port?s par des immigrants, dont certains d'entre eux sont devenus les gendres dans certaines familles grecques autochtones. En Chalcidique de l'Est il y avait consid?rablemet plus de Slaves que dans la partie ouest de la p?ninsule. En moyenne, les pr?noms slaves apparaissent dans un tiers de m?nages. Pourtant si nous observons chronologiquement les sources, nous nous apercevons que le nombre de Slaves est en baisse continue. De 38,29% combien ils ?taient au d?but du si?cle, leur nombre baisse ? environ 30% dans les ann?es vingt du XIVe si?cle pour ensuite baisser ? seulement 14,49% en 1338-1341. Ce dernier r?sultat est ? prendre avec r?serve. N?anmoins pour les ?tapes pr?c?dentes nous disposons de dix fois plus de donn?es que pour la derni?re ?tape. C'est pourquoi nous estimons que le r?sultat obtenu est, au moins partiellement, la cons?quence de la nature fragmentaire des sources, et qu'il y aurait pu ?tre beaucoup plus de Slaves. Ici, les Slaves ?taient encore rest?s en tant que groupe ethnique solide. L'hell?nisation ?tait ici aussi entam?e, mais elle n'a pas ?t? compl?t?e. Ce qui caract?rise en g?n?ral cette r?gion, c'est l'importante mixit? ethnique de la population, la coexistence et le bilinguisme. Cependant, la situation varie d'un village ? un autre. Il y en a de ceux o? les pr?noms et les surnoms slaves se manifestent uniquement en fonction de patronymes, alors qu'aucun membre de la communaut? ne porte un pr?nom slave en tant que nom individuel ce qui t?moigne du fait que les Slaves, autrefois, dans un pass? pas si lointain, ?taient pr?sents, l?, mais qu'une hell?nisation a ?t? effectu?e comme c'est le cas avec Hi?rissos et Gomatou. Il y en a aussi o? le nombre de Slaves est important mais qui dimunue avec le temps ce qui indique que l'hell?nisation est en cours comme ? Kozla. Certains villages indiquent un haut pourcentage de population slave comme Gradista, Simeon et S?lada, mais on y rencontre pourtant des traces d'hell?nisation. Dans d'autre, n?anmoins le nombre de Slaves augmente: ? Kontogrikon et ? M?tallin.Ce qui peut aussi ?tre observ? c'est qu'une si grande pr?sence de Slaves pourrait ?tre expliqu?e non seulement par leur r?sistance vis-?-vis de l'hell?nisation mais aussi par leur migrations r?centes dans ces r?gions-l?, ce qui signifie qu'ici nous ne rencontrons pas uniquement les descendants des Anciens Slaves, c'est-?-dire ceux qui ?taient venus dans ces r?gions d?j? au septi?me si?cle, mais aussi que la communaut? ethnique slave ?tait renforc?e avec l'arriv?e des nouveaux Slaves. Dans la r?gion de Strymon, on distingue plusieurs r?gions caract?ristiques. La premi?re r?gion est la vall?e de Strimona pour laquelle on pourrait dire la m?me chose que pour la Chalcidique de l'Ouest, c'est pour cela que nous ne r?p?terons pas les r?sultats ? cet endroit-l?. La deuxi?me est la r?gion montagneuse de Kerdylion et Bolb?. Malheureusement, pour cette r?gion nous disposons uniquement de donn?es pour les dix premi?res ann?es du XIVe si?cle. En g?n?ral, on pourrait dire pour elle que le nombre de Slaves est ?lev?. Leur pr?sence correspond ? celle de la Chalcidique de l'Est, elle est m?me quelque peu plus importante. Malgr? l'hell?nisation qui s'?coule en toute ?vidence, leur nombre est relativement stable. Le fait qu'en 1318-1321, les pr?noms populaires slaves se rencontrent seuls dans plus de 20% de m?nages nous indique qu'au moins un cinqui?me de la population devait ?tre slave et pop-hell?nis?e. Le nombre de mariages mixtes est important. On parle les deux langues, le slave et le grec. Cependant, ceci est valable uniquement pour une p?riode de vingt ans, de 1301 jusqu'? 1321. Malheureusement, les sources ne nous permettent pas de suivre ce qui se passait plus tard avec la population de ces villages-l?. La troisi?me province est la r?gion du mont de Pang?e qui est caract?ris?e par une forte pr?sence de Slaves. Ils repr?sentaient presque la moiti? de la population de cette r?gion. Dans certains villages il y en avait m?me beaucoup plus par exemple ? Boriskos en 1316, dans certains villages ils ?taient plus nombreux que les pr?noms purement grecs comme dans le m?toque de Saint-Pent?l??im?n et Ob?los. Les pr?noms slaves se rencontrent comme noms individuels, c'est-?-dire pr?noms vivants, et non pas comme des mots slaves fig?s en fonction des noms patronymiques. Sur l'existence de l'?l?ment slave nous parlent non seulement les nombreux cas que les descendants des Slaves portent des pr?noms slaves mais il y a aussi de nombreux cas o? les enfants issus de mariages mixtes gr?co-slave portent ?galement des pr?noms slaves. Ceci d?montre que dans ces mariages-l? il n'y avait pas la domination de l'?l?ment grec, ou du moins pas tout de suite. Nous sommes les t?moins que les enfants de parents aux pr?noms grecs portent parfois des pr?noms slaves. Ceci pourrait signifier que m?me l? o? l'on donnait des pr?noms grecs aux Slaves, ces derniers n'ont pas ?t? automatiquement hell?nis?s, mais vu qu'entour?s d'une importante population slave, ils r?ussissaient ? conserver encore leurs caract?ristiques ethniques ainsi que le fait qu'ils ?taient hell?nis?s tr?s difficilement et lentement. Ils s'?taient maintenus ici en tant qu'?l?ment ethnique extr?mement fort et ils n'ont pas ?t? hell?nis?s jusqu'? l'arriv?e des Turques. Les exemples de villages de Dobrobikeia et Ob?los le montrent tr?s bien, ces villages ?taient d?plac?s ? la suite d'attaques turques dans la p?riode entre 1316 jusqu'? 1341. En g?n?ral, on pourrait y ajouter encore que la population slave s'est beaucoup mieux maintenue dans les r?gions montagneuses que dans les r?gions maritimes et dans les plaines. On pourrait dire que la Mac?doine de l'Est ?tait une r?gion interm?diaire entre les provinces slaves du nord et les provinces grecques du sud. Il est imp?ratif d'ajouter que la mixit? de la population est grande et que tout partage en population purement grecque ou purement slave pourrait ?tre artificiel. On peut facilement remarquer dans les sources que les habitants de certaines r?gions et agglom?rations comprenaient les deux langues et que le nombre de mariages mixtes ?tait consid?rable. Il y avait des familles qui contenaient voire m?me trois ?l?ments ethniques. Le bilinguisme et la coexistence ?taient chose commune c'est pourquoi nous pensons qu'ils repr?sentent m?me le principal facteur d'hell?nisation ?tant donn? qu'avec le temps, il y a eu une domination de l'?l?ment ethnique grec m?me dans les milieux caract?ris?s par une forte pr?sence des Slaves.
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"St�r�ophonie et litt�rature : r�sonnance et reverb�ration dans les chansons de gestes et romans des." Svmma, no. 2017.9 (2016). http://dx.doi.org/10.1344/svmma2016.8.5.

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