To see the other types of publications on this topic, follow the link: Vallée de la rivière (Québec).

Journal articles on the topic 'Vallée de la rivière (Québec)'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 50 journal articles for your research on the topic 'Vallée de la rivière (Québec).'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse journal articles on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

Larocque, Gérard, Q. H. J. Gwyn, and André Poulin. "Évolution des lacs proglaciaires et déglaciation du Haut Saint-François, sud du Québec." Géographie physique et Quaternaire 37, no. 1 (November 29, 2007): 85–92. http://dx.doi.org/10.7202/032500ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ Pendant la dernière déglaciation, un front glaciaire actif se retire vers l'amont de la haute vallée de la rivière Saint-François et vers l'aval de celle de la rivière au Saumon. Dans la vallée de la rivière Saint-François, le front glaciaire, qui recule exceptionnellement vers le nord-est, est en contact avec les eaux du lac proglaciaire Memphrémagog, alors barré dans la partie aval du bassin par la masse principale de l'indandsis. Le lobe ainsi confiné dans la vallée de la rivière Saint-François endigue, dans le bassin de la rivière au Saumon, un lac proglaciaire latéral contrôlé par des cols et des chenaux le long du front. La récession du lobe est marquée par des récurrences locales qui ont mis en place des moraines à East-Angus et à Weedon. Après le retrait du lobe, au-delà du niveau du lac proglaciaire Memphrémagog, un lac de barrage morainique persiste au contact de la glace, dans la région de Weedon.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Dionne, Jean-Claude. "Observations sur le Quaternaire de la rivière Boyer, côte sud de l’estuaire du Saint-Laurent, Québec." Géographie physique et Quaternaire 39, no. 1 (November 29, 2007): 35–46. http://dx.doi.org/10.7202/032583ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ La vallée de la rivière Boyer, à une quarantaine de kilomètres en aval de Québec, est remblayée par des dépôts quaternaires appartenant au Wisconsinien et à l'épisode marin goldthwaitien. Le lit rocheux correspond à une rainure fluviatile préglaciaire d'environ 25 km de longueur, sise entre deux grandes crêtes appalachiennes orientées SO-NE. La mer de Goldthwait ayant atteint une cote voisine de 160 m vers 12 500 ans et le fond de la vallée remblayée étant à une altitude inférieure à 80 m. ce secteur aurait été entièrement submergé durant 2000 ans environ. Le relèvement isostatique de la côte sud du Saint-Laurent ayant entraîné un abaissement progressif du niveau de base, la rivière s'est alors encaissée dans les alluvions. Elle a donc creusé un nouveau lit, plus étroit celui-là que la vallée elle-même, dans lequel elle fait présentement des méandres. Dans le tronçon aval (environ 2 km de longueur) de la rivière Boyer, une terrasse de 8-10 m d'altitude a été entaillée par l'érosion. Dans les coupes, on observe à la base une surface d'érosion taillée dans l'argile goldthwaitienne (unité 1), surmontée d'une séquence graveleuse fluviatile (unité 2) contenant des troncs d'arbres et des débris organiques variés. Cette unité est elle-même coiffée d'une séquence de limon et sable fin stratifiés (unité 3) traduisant un changement du niveau de base. D'après les datations 14C obtenues, la surface d'érosion aurait été taillée avant 6000 ans BP, lors d'un bas niveau marin dans l'estuaire. Par la suite, le niveau aurait remonté légèrement et la rivière aurait alluvionné durant une période d'environ 2000-2500 ans. Cette phase aurait été suivie d'une transgression de l'ordre de quelques mètres qui aurait mis en place la séquence fine en surface. Les coupes décrites témoignent de ces événements holocènes.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Govare, Étienne, and Pierre Gangloff. "Les Dépôts lacustres d’obsturation de Saint-Placide, Charlevoix, Québec." Géographie physique et Quaternaire 45, no. 2 (December 13, 2007): 141–54. http://dx.doi.org/10.7202/032857ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ À l'ouest de Baie-Saint-Paul (Charlevoix), Ia vallée du bras du Nord-Ouest de la rivière du Gouffre est colmatée par plus de 120 m de sédiments wisconsiniens. À la base, les Dépôts lacustres d'obturation de Saint-Placide se composent de sables sous-aquatiques surmontés de 60 m de rythmites. Celles-ci contiennent des blocs glaciels, des lentilles de diamicton et des niveaux de plications syngénétiques attribuables à un environnement proglaciaire. Malgré leur puissance, les rythmites correspondent à une palynozone unique: une toundra arbustive dominée par Betula glandulosa, Alnus crispa et des Graminées. Quelques rares diatomées d'eau douce et l'altitude élevée (300 m) du toit des rythmites font supposer une origine lacustre. Compte tenu de sa situation physiographique dans une vallée ouverte sur le moyen estuaire du Saint-Laurent, le paléolac résulte d'un barrage glaciaire dont la localisation reste incertaine. Un till de fusion, de 20 m d'épaisseur moyenne, surmonte les Dépôts lacustres d'obturation de Saint-Placide. Le till s'épaissit localement en une moraine et peut atteindre 52 m d'épaisseur. Il se compose d'un diamicton interstratifié de quelques lits de sable et mis en place par un écoulement glaciaire en provenance du nord. Les Dépôts lacustres d'obturation de Saint-Placide et le till qui les recouvre sont interprétés comme étant deux membres d'une même formation corrélative au Stade de Trois-Rivières. Les Dépôts lacustres d'obturation de Saint-Placide constituent le début du stade; le till de fusion et la moraine en marquent la fin. Le maximum glaciaire du Stade de Trois-Rivières, dans la coupe étudiée, se traduirait par une lacune sédimentaire, voire une érosion du sommet des rythmites.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Clibbon, Peter B. "Changing Land Use in Terrebonne County, Québec." Cahiers de géographie du Québec 8, no. 15 (April 12, 2005): 5–39. http://dx.doi.org/10.7202/020460ar.

Full text
Abstract:
Le comté de Terrebonne, situé directement au nord-ouest de la ville de Montréal, enjambe la zone de contact entre les basses terres du Saint-Laurent et le plateau accidenté des Laurentides. Dans la zone des basses terres s'étendent de vastes superficies de sols argileux fertiles dont la plus grande partie fut colonisée pour des fins agricoles dès le début du XIXe siècle. La terre arable de qualité est beaucoup plus rare sur les hautes terres du plateau. Seules les grandes vallées fluviales, particulièrement celles des rivières du Nord et du Diable, en rassemblent des étendues de quelque importance. Ces sols fertiles de vallée furent défrichés et convertis à l'agriculture tout au début de l'occupation du territoire. Quant aux parties du plateau offrant le moins d'intérêt, parce que dotées d'un relief assez rude, de sols sablonneux et d'une courte saison de croissance, elles firent également l'objet, durant la deuxième moitié du XIXe siècle, d'une colonisation vigoureuse sous l'impulsion de l'Eglise et de l'Etat. Les terres défrichées, généralement tout au plus propres à la culture de foin de médiocre qualité et au pâturage des moutons, furent progressivement abandonnées : vers la fin des années 30, la plus grande partie de ces terres étaient en voie d'être réoccupées par la forêt. Durant le dernier demi-siècle, et surtout depuis les années de la seconde guerre mondiale, le comté de Terrebonne s'est considérablement urbanisé. Alors que le plateau s'équipe rapidement de facilités pour la pratique des sports d'été et d'hiver et transforme son habitat villageois en des centres de services pour le tourisme, dans la plaine ont surgi, le long de la rivière des Milles Isles, de nombreuses « villes-dortoirs » où s'écoule le trop-plein de la main-d'oeuvre montréalaise. Ces changements ont transformé l'agriculture du comté : les superficies de terres cultivées ont diminué de 60% depuis 1921 dans l'ensemble du comté tandis que l'exploitation agricole est presque complètement disparue des Laurentides depuis la même époque.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Craig, Béatrice. "Le développement agricole dans la haute vallée de la rivière Saint-Jean en 1860." Journal of the Canadian Historical Association 3, no. 1 (February 9, 2006): 13–26. http://dx.doi.org/10.7202/031042ar.

Full text
Abstract:
Résumé Jusqu'à la publication des travaux d'Alan MacNeil et de Rusty Bitterman, l'agriculture des Maritimes a eu mauvaise réputation. Presque rien n'a été publié récemment concernant l'agriculture du Nouveau-Brunswick pour examiner la véracité de cette image. Ce texte examine l'agriculture pratiquée par une communauté francophone du nord-ouest du Nouveau-Brunswick en 1860. La majorité des fermes de cette région produisaient des quantités largement supérieures à celles requises pour la subsistance. Les surplus étaient inégalement répartis, mais certains fermiers pratiquaient visiblement une agriculture commerciale. Finalement, l'agriculture de la vallée de la rivière Saint-Jean se compare favorablement à celle de l'Ontario, du Québec, de la Nouvelle-Angleterre, et avec celle des régions les plus productives de la Nouvelle-Ecosse à la même époque. Seules les fermes de l'Ouest américain semblent avoir été plus productives.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Roberge, Jean, Bernard Lauriol, and Luc Saint-Pierre. "La morphogénèse de la caverne à la Patate, île d’Anticosti, Québec." Géographie physique et Quaternaire 39, no. 1 (November 29, 2007): 67–75. http://dx.doi.org/10.7202/032585ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ La caverne étudiée mesure plus de 500 m dont 477 m ont été cartographiés. Elle se situe dans l'île d'Anticosti, à l'intérieur du bassin hydrographique de la rivière à la Patate, dans des roches ordoviciennes faiblement inclinées vers le SSO. Les conditions initiales favorables à son développement holocène sont l'existence d'un plateau calcaire partiellement recouvert de tourbières, entaillé par une vallée profonde de 40 m et affecté par un réseau de fractures perméables. Le développement horizontal et vertical de la cavité a été fortement contrôlé par le contexte structural, notamment la perméabilité et l'orientation des fractures, de même que la direction et le pendage des strates. L'enfoncement de la vallée par rapport au niveau initial de l'entrée de la caverne a eu des conséquences hydrologiques et morphogénétiques, notamment le dénoyage d'une partie de la caverne, qui a favorisé la pénétration du gel jusqu'à une centaine de mètres de l'entrée et provoqué une évolution liée davantage à la gélifraction qu'à la dissolution. Cependant, la dissolution reste le processus essentiel responsable de la spéléogénèse ayant permis la formation de la caverne et la création de conditions propices au déclenchement des processus de gélifraction et d'éboulis. Finalement, cette cavité offre un exemple intéressant de caverne holocène développée dans un milieu recouvert par l'inlandsis wisconsinien.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Lasserre, Jean-Claude. "Les pentes raides de la vallée de la rivière du nord – Étude de versants-échantillons." Cahiers de géographie du Québec 10, no. 19 (April 12, 2005): 73–88. http://dx.doi.org/10.7202/020564ar.

Full text
Abstract:
The author recently made a detailed investigation of the talus accumulations which mantle the steep slopes of the valley of the rivière du Nord, in the Laurentide hills, 45 miles north of Montréal, Québec. In postglacial times the lower section of the valley was occupied by an arm of the Champlain sea, and thick deposits of sand and clay were laid down in this estuary. The writer describes the various types of contacts which exist between the Champlain sea deposits and the talus accumulations — for example, certain talus slopes were completely covered by marine sediments and remain « fossilized » ; others have been stripped of their cover of unconsolidated materials and are consequently described as « exhumed ». The writer has also attempted to distinguish between those talus accumulations which antedate the Champlain incursion and those which postdate it. Most of the talus slopes appear to have formed immediately prior to or during the Champlain period, but a few have developed, at least in part, since that time. Frost-shattering (gelifraction) is the principal process contributing to the formation of these talus accumulations at the present time, although landslides also play an important role. The writer wonders whether these talus slopes of the valley of the rivière du Nord should not be classified as periglacial landforms.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Boissonnault, Paul, and Q. H. J. Gwyn. "L’évolution du lac proglaciaire Memphrémagog, sud du Québec." Géographie physique et Quaternaire 37, no. 2 (November 29, 2007): 197–204. http://dx.doi.org/10.7202/032514ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ Lors de la déglaciation finale des Appalaches, le lac proglaciaire Memphremagog a inondé les vallées situées immédiatement à l'est des monts Sutton. Le lac a d'abord occupé le nord du Vermont, tout près de la frontière internationale. Il a ensuite envahi, au Québec, les vallées du lac Memphrémagog actuel, de la rivière Missisquoi et, enfin, du Saint-François. Une étude détaillée des dépôts sur le versant est du bassin du Memphrémagog permet de reconstituer l'évolution du lac proglaciaire et, par conséquent, celle du retrait glaciaire. Huit phases lacustres se sont succédé entre les altitudes de 365 m et 165 m. L'une d'elles, la phase Va, contribue à redéfinir la position du front associé à la moraine de Cherry-River. Au cours de cette évolution, la déglaciation s'est faite de deux manières. Durant les phases I à Va, la glace, encore active, formait un lobe appuyé sur le versant est. Par la suite, le front a reculé plus au nord; la glace est devenue stagnante et s'est morcellée, isolant ainsi de petites calottes dans les vallées du lac Magog et de la rivière Massawippi.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Chapdelaine, Claude, Éric Graillon, François Courchesne, Marie-Claude Turmel, Laurence Forget Brisson, François Hardy, Michel Lamothe, and Adrian L. Burke. "Cascades 5, une composante de la tradition de l’Archaïque du Golfe du Maine à East Angus, Estrie, Québec." Recherches amérindiennes au Québec 45, no. 2-3 (November 15, 2016): 93–126. http://dx.doi.org/10.7202/1038044ar.

Full text
Abstract:
La vallée de la rivière Saint-François a été occupée depuis au moins 10 000 ans avant aujourd’hui par des chasseurs de la culture Plano, et le site Cascades 5 contribue à combler un hiatus culturel important entre 8000 et 10 000 ans avant aujourd’hui avec une occupation associée à l’Archaïque ancien. L’enfouissement des vestiges exigeait une lecture pédologique pour confirmer la présence d’un horizon enfoui. Le matériel archéologique présente de fortes similitudes avec les assemblages rattachés à la tradition de l’Archaïque du Golfe du Maine. Une profusion d’outils unifaciaux, la majorité étant taillée dans du quartz, caractérise l’assemblage du site Cascades 5, témoignant d’une adaptation vieille d’au moins 10 000 ans si l’on se fie à l’âge obtenu sur une pierre chauffée à l’aide de la luminescence optique. L’adaptation aux ressources de l’intérieur par des groupes du centre-nord du Maine et de la rivière Saint-François durant les mois chauds confirme un réseau de contacts soutenus malgré la présence des montagnes frontalières. Ces groupes partageaient des choix techniques, un réseau lithique dominé par l’utilisation de rhyolites dont la provenance est confirmée par la géoarchéologie et probablement d’autres aspects culturels qui laissent peu de traces dans les sites archéologiques.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

LaRocque, Armand, Brigitte Leblon, Jean-Marie M. Dubois, and Gérard LaRocque. "Délimitation de la limite marine tardiglaciaire dans la vallée de la rivière Saint-François, Québec méridional, Canada." Géomorphologie : relief, processus, environnement 11, no. 4 (December 31, 2005): 311–26. http://dx.doi.org/10.4000/geomorphologie.592.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

Veillette, Jean. "Déglaciation et évolution des lacs proglaciaires post-Algonquin et Barlow au Témiscamingue, Québec et Ontario." Géographie physique et Quaternaire 42, no. 1 (December 18, 2007): 7–31. http://dx.doi.org/10.7202/032706ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉL'inventaire des stries et des dépôts de contact glaciaire dans la région située entre North Bay, Ontario et le 48°N a permis une reconstitution détaillée de la configuration de la marge glaciaire à son retrait. De même il a été établi que le complexe fluvioglaciaire formé par les moraines d'Harricana et du lac McConnell se prolonge jusqu'au lac Nipissing; de là il se joint probablement au système de déversoirs et de plaines d'épandage qui se termine au lac Simcoe, en Ontario. La répartition de 43 datations au radiocarbone à l'ensemble du territoire appuie ce modèle de déglaciation. L'évolution des lacs post-Algonquin et Barlow, qui a suivi cette déglaciation, a été reconstituée à partir de la position géographique et de l'altitude de 52 limites maximales d'inondation et de la répartition de 69 lacs porteurs et de 39 lacs non porteurs d'organismes biologiques indicateurs de submersion glaciolacustre. Les phases lacustres reliées aux exutoires de South River, Fossmill, Sobie-Guillemette, lac Mink et la « Early Mattawa-outlet phase », d'auteurs précédents, ont été modifiées et adaptées aux nouvelles données. Une nouvelle interprétation, basée sur la présence d'un barrage morainique qui aurait retenu les eaux du lac Barlow dans la région d'Opemika Narrows et de Témiscaming, au Québec, a conduit à proposer les phases lacustres associées aux exutoires de Deux-Rivières-Bissett Creek (haut niveau), Deux-Rivières-Bissett Creek (Kipawa), Kipawa-Moraine du lac McConnell phase I1 et de Kipawa-Moraine du lac McConnell, phase II. La présence d'indicateurs biologiques dans les lacs Waterloo et Windigo, en Ontario, indique qu'un plan d'eau d'une altitude d'au moins 300 m a envahi la vallée de la rivière des Outaouais, à l'est de Mattawa, de façon progressive de l'ouest vers l'est.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

Hétu, Bernard, Serge Occhietti, Pierre J. H. Richard, and Alayn C. Larouche. "Dépôts de versant pléistocènes associés aux rythmites du Saint-Maurice, vallée du Saint-Laurent, Québec." Géographie physique et Quaternaire 49, no. 2 (November 30, 2007): 275–89. http://dx.doi.org/10.7202/033042ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ Un mince dépôt de versant fossile a été observé sous 45 m de sédiments quaternaires appartenant à la séquence supérieure du Wisconsinien classique de la vallée du Saint-Laurent. Il repose sur des sédiments ayant donné un âge au 14C >39 970 BP (Beta-46412). Le contexte stratigraphique et les données paléoécologiques indiquent qu'il s'agit d'un ensemble de concavités colluviales de pied de versant mises en place au début du dernier cycle glaciaire régional, à la marge d'une rivière, dans un paysage dominé par les conifères, sous un climat de type boréal. La séquence de versant intègre des coulées boueuses dérivées d'un manteau colluvial déstabilisé par érosion latérale à la base, des lits de sable fluviatile, des blocs glaciels isolés et des couches organiques constituées de débris végétaux divers apportés lors des crues. Ces dépôts, qui n'ont pas de signification paléoclimatique, se sont probablement accumulés rapidement, pendant des phases de ré-équilibration du versant. Le colluvionnement a commencé soit à la fin de l'épisode des Sédiments de Saint-Pierre soit au début de l'ennoiement de la vallée du Saint-Laurent par le Lac de La Vérendrye et s'est poursuivi pendant l'inondation lacustre. Les colluvions intercalées dans les Rythmites du Saint-Maurice indiquent la limite minimale du Lac de La Vérendrye, proche de l'altitude du seuil de Glens Falls dans l'État de New York.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Bonnelly, Christian, Jean-Marc Nicole, and Judith Roy. "Le processus de formation et d’évolution des hagionymes. Exemples tirés de trois inventaires choronymiques dans l’Est du Québec." Cahiers de géographie du Québec 16, no. 37 (April 12, 2005): 99–112. http://dx.doi.org/10.7202/021022ar.

Full text
Abstract:
Un survol rapide de la carte du Québec nous révèle la popularité de l'usage des noms de saints dans la dénomination des entités géographiques. Un relevé systématique des hagionymes a été effectué à partir des données préalablement recueillies lors d'inventaires choronymiques de trois portions du territoire québécois : le canton de Bagot au Saguenay, la basse-vallée de la rivière du Gouffre dans Charlevoix et une partie des comtés de Bellechasse et de Dorchester. Cette étude n'a pas la prétention d'expliquer tout le processus hagionymique ayant marqué la toponymie du Québec. Toutefois, une phénoménologie commune aux trois secteurs, différenciés à la fois dans l'espace et le temps, nous permet de tirer quelques conclusions. Ainsi, on remarque la relative pauvreté des noms de saints véritables par rapport à ceux provenant de premiers colons ou de personnages éminents. L'origine de la dénomination varie d'autre part suivant le type d'entité représentée, qu'elle soit administrative, cadastrale ou autre. Il existe deux processus de formation des hagionymes : l'un simple, c'est-à-dire où on ne retrouve que le nom du saint lui-même, l'autre complexe, c'est-à-dire où l'hagionyme s'accompagne d'un désignatif de localisation. L'hagionymie, par sa nature, peut donc apporter des éléments à la connaissance d'un aspect de la psychologie sociale du Québec.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

Lafortune, Manuel, Louise Filion, and Bernard Hétu. "Dynamique d’un front forestier sur un talus d’éboulis actif en climat tempéré froid (Gaspésie, Québec)." Géographie physique et Quaternaire 51, no. 1 (October 2, 2002): 67–80. http://dx.doi.org/10.7202/004840ar.

Full text
Abstract:
Résumé Cette recherche a permis de reconstituer, pour les deux derniers siècles, l'évolution de la végétation forestière sur un talus d'éboulis de la vallée de la rivière à Pierre, en Gaspésie. Les données dendroécologiques ont permis de faire ressortir que la limite supérieure de la forêt était plus basse que la limite actuelle vers le milieu du XIXe siècle, que la végétation forestière a connu une phase d'expansion jusque vers le milieu du XXe siècle, bien que certains signes d'instabilité se soient manifestés dès la fin du XIXesiècle. Le front forestier a régressé jusqu'à sa position actuelle après les années 1950. Le taux annuel moyen de sédimentation, calculé par des méthodes dendrogéomorphologiques, a été inférieur à 0,1 cm pendant la deuxième moitié du XIXe siècle pour ensuite atteindre 0,5 cm/an, puis excéder 1,0 cm/an après 1975. L'activité plus importante dans le versant serait associée à une fréquence accrue des coulées de pierres glacées.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

Bénéteau, Marcel. "Singularités et survivances dans le répertoire de chansons traditionnelles françaises du Détroit." Quatrième partie : les marges, lieux de résistance. Les chants de la marge : paroles entretenues, no. 13-14-15 (October 27, 2009): 391–405. http://dx.doi.org/10.7202/038444ar.

Full text
Abstract:
Résumé La région du Détroit, dans le sud-ouest ontarien, est sans doute le terrain de marge par excellence. Situé à la frontière des États-Unis et séparé des autres centres francophones du Canada par des centaines de kilomètres, le Détroit était historiquement la plaque tournante entre les centres établis de la Nouvelle-France et les possessions françaises des pays d’en haut (donc une marge d’abord, mais un centre par rapport à une aire encore plus marginale). Les communautés de la rivière Détroit ont maintenu tout au cours du xxe siècle un répertoire de chansons traditionnelles françaises qui est très différent — tant dans la variété de ses chansons types que dans les catégories de chansons qu’il favorise — de celui qui, évoluant dans la vallée laurentienne, s’est répandu dans les régions du Québec, ainsi qu’en Nouvelle-Angleterre et dans le nord et l’est de l’Ontario. Cette communication examine les caractéristiques de ce répertoire et l’éclairage qu’il apporte à l’étude de la chanson traditionnelle française en Amérique française.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Sala, Monique, and Bernard Long. "Évolution des structures deltaïques du delta de la rivière Natashquan, Québec." Géographie physique et Quaternaire 43, no. 3 (December 18, 2007): 311–23. http://dx.doi.org/10.7202/032785ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ Le delta de la rivière Natashquan (Côte-Nord du Saint-Laurent) offre un exemple typique de construction de structures deltaïques (lobes) dans un contexte de régression, sous la dépendance des processus hydrodynamiques fluvial et marin. Actuellement, depuis la migration de l'embouchure de la rivière, un des lobes du delta est partiellement en voie d'érosion et de fossilisation. La structure du substratum (bouclier cristallin précambrien et roches sédimentaires paléozoïques) détermine la morphologie et le drainage préglaciaires de la région. Les glaciations du Pleistocene ont creusé des vallées en auge. La transgression de la Mer de Goldthwait, liée au relèvement glacioisostatique, donne la morphologie actuelle de la région (paléolignes de rivage, delta). Le delta multilobé, encore partiellement submergé, est limité au large par une ligne de cuestas submergée. Une étude géophysique et sédimentologique décrit les sédiments recouvrant le substratum. Le prisme sableux deltaïque progresse sur des sédiments argilosilteux prédeltaïques de la Mer de Goldthwait. La pente du front du delta varie de 0,5° est à 10° ouest. La structure interne du lobe montre plusieurs unités complexes de couches frontales tronquées, reposant sur des couches basâtes; les couches sommitales érodées sont absentes. Les effets combinés des processus fluvial et marin entraînent une progradation rapide d'un large volume de sédiments à l'ouest avec des couches frontales très inclinées (8°) provoquant des mouvements gravitaires.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

Veillette, Jean. "Déglaciation de la vallée supérieure de l’Outaouais, le lac Barlow et le sud du lac Ojibway, Québec." Géographie physique et Quaternaire 37, no. 1 (November 29, 2007): 67–84. http://dx.doi.org/10.7202/032499ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉCet article propose une séquence de déglaciation pour une région située à l'est du lac Témiscamingue. La séquence est basée sur la cartographie des sédiments superficiels, sur de nombreuses marques d'écoulement glaciaire et sur des âges radiocarbones. Le tracé de la moraine d'Harricana se prolonge sur une longueur additionnelle de 125 km. L'extrémité sud de la moraine, au lac Témiscamingue, se rattache à la moraine du lac McConnell du côté ontarien, et il est probable que les deux fassent partie du même ensemble morainique. Plus de 400 mesures d'altitude prises sur des limites de délavage marquant le niveau maximal glaciolacustre et sur des hauts points de la plaine argileuse (varves) indiquent qu'une profondeur d'eau de l'ordre de 50 m est requise pour la sédimentation des varves dans cette région. La zone intermédiaire comprend les surfaces ennoyées par les eaux proglaciaires, mais d'une profondeur de moins de 50 m. La valeur de Mysis relicta comme indicateur biologique de l'aire d'extension paléolacustre maximale est mise en doute. Parce que la survie de Mysis est intimement liée à des conditions spécifiques de température et de profondeur d'eau, on suppose que l'organisme ait pu être éliminé de certains bassins lacustres par suite de variations paléoclimatiques entraînant une hausse de la température de l'eau et une baisse du niveau des lacs. Il est probable que la retenue des eaux du lac Barlow, au moins au début de la déglaciation, soit due à la présence de glace provenant du glacier du Nouveau-Québec se prolongeant vers le sud-ouest et barrant l'auge du lac Témiscamingue et de la rivière des Outaouais, au sud de la moraine du lac McConnell.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
18

Gelinas, P., J. Locat, and R. Drouin. "Performance des lieux d'enfouissement sanitaire de Laterrière et de Ste-Sophie, Québec, Canada." Revue des sciences de l'eau 2, no. 1 (April 12, 2005): 109–38. http://dx.doi.org/10.7202/705026ar.

Full text
Abstract:
Ce travail décrit les caractéristiques hydrogéologiques et chimiques de deux lieux d'enfouissement de déchets municipaux localisés au Québec. Le site de Laterrière est en opération depuis 1971 dans une ancienne sablière. Sous les dépôts meubles, la topographie du sotte rocheux est marquée par une vallée qui forme une limite imperméable à l'aquifère de sable et impose un écoulement convergent de l'eau souterraine vers la rivière Chicoutimi. Le site de Ste-Sophie, en opération depuis 1976, repose sur une couche de 3,5 mètres de sables fins saturés recouvrant un lit d'argile marine. La surélévation de la nappe dans les déchets favorise un écoulement divergent vers le périmètre de la zone d'enfouissement. Un réseau de piézomètres installé en bordure des deux sites a permis pendant trente mois de prélever des échantillons d'eau et de les analyser. Dans chaque panache de contamination, l'alcalinité, les ions majeurs Na+, K+, Ca2+, Mg2+, Cl¯, le fer, le manganèse, l'azote total et ammoniacal, les DCO et DBO5 montrent des concentrations généralement supérieures à celles de L'eau naturelle ambiante. A proximité des deux Lieux d'enfouissement, les teneurs en cadmium, chrome, nickel et plomb excèdent les normes québécoises de potabiLité de l'eau. Dans chaque cas, ta distribution des contaminants est surtout régie par le réseau d'écoulement. La dispersion hydrodynamique et les réactions géochimiques dans le sous-sol sont des processus importants d'atténuation des contaminants.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
19

Dionne, Jean-Claude, and Serge Occhietti. "Aperçu du Quaternaire à l’embouchure du Saguenay, Québec." Géographie physique et Quaternaire 50, no. 1 (November 30, 2007): 5–34. http://dx.doi.org/10.7202/033072ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ À l'embouchure du Saguenay, près de la tête du chenal Laurentien, le Quaternaire est représenté par un ensemble original d'unités morpho-sédimentaires dont le delta perché (120-125 m) de Tadoussac, le remblaiement fluvio-marin de la vallée de la rivière du Moulin à Baude, la terrasse marine de 60 m à la pointe aux Vaches, la terrasse composite à la pointe aux Alouettes, les grandes terrasses à rythmites limono-argileuses des pointes Hubert et au Bouleau, la vaste batture de la pointe aux Alouettes et trois crêtes en arc de cercle submergées. D'après les dates au 14C et l'aminochronologie sur fragments de coquillages dans un dépôt sableux à la pointe aux Alouettes, d'un âge égal ou supérieur à 35 ka, la région fut déglacée au cours d'un interstade du Wisconsinien. Cet événement marin fut suivi d'une phase de sédimentation sableuse à rudites, d'une phase de marge glaciaire flottante, puis d'un ou de plusieurs épisodes glaciaires. À la fin du Wisconsinien, la déglaciation partielle de la région et l'invasion précoce de la Mer de Goldthwait commencent avant 11,1 ka. Des bancs diamictiques intercalés dans les argiles marines et un till observé au sud de l'embouchure du Saguenay, l'épandage fluvioglaciaire à 120-125 m d'altitude, à Tadoussac, mis en place entre 11 et 10,6 ka, et au moins l'une des crêtes morainiques submergées sont attribuées à l'épisode de Saint-Narcisse. La Mer de Goldthwait a ensuite, au moins dès 10,4 ka, envahi les dépressions libres de glace jusqu'à une altitude maximale relative de 140-150 m, tandis qu'une langue de glace subsistait dans le fjord et que la marge de l'Inlandsis laurentidien sur les hautes terres du Bouclier reculait par amincissement. Le relèvement isostatique a été rapide, le niveau de 20 m étant atteint vers 8 ka. Vers 6 ka le niveau marin relatif était voisin du niveau actuel. Il est remonté ensuite construisant, à 6 m d'altitude, la terrasse Mitis, datée entre 1,2 et 1,6 ka.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
20

Tremblay, François. "Du « pas dans ma cour » à l’écocitoyenneté." Le dossier : Enjeux environnementaux contemporains : les défis de l’écocitoyenneté 18, no. 1 (February 7, 2006): 26–38. http://dx.doi.org/10.7202/012194ar.

Full text
Abstract:
L’opposition aux centrales hydroélectriques privées sur les rivières du Québec, souvent étiquetée comme étant une autre expression du phénomène « pas dans ma cour », a rapidement évolué au cours des dernières années pour devenir un véritable mouvement citoyen motivé par les questions d’équité sociale et intergénérationnelle autour des aspects environnementaux des rivières. Le mouvement de préservation des rivières a contribué à construire socialement un enjeu environnemental majeur que les gouvernements ont été forcés de prendre en considération. Le changement de rationalités qui en résulte est analysé ici par le biais d’un cadre théorique inspiré des théories de l’apprentissage social, puis illustré à l’aide du cas de la préservation et de la mise en valeur du récréotourisme d’eau vive dans la Vallée-de-la-Gatineau.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
21

Dionne, Jean-Claude, and Diane Coll. "Le niveau marin relatif dans la région de Matane (Québec), de la déglaciation à nos jours." Géographie physique et Quaternaire 49, no. 3 (November 30, 2007): 363–80. http://dx.doi.org/10.7202/033060ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ Dans la région de Matane, la côte a été déglacée vers 13 ka et submergée sur une largeur de 3 à 4 km par les eaux de la Mer de Goldthwait. Le front glaciaire a stationné quelque temps sur le rebord septentrional des hautes terres appalachiennes, à quelques kilomètres seulement du littoral actuel. La mer étant en contact avec le front glaciaire, il ne subsiste aucune ligne de rivage témoignant de la phase initiale de la transgression postglaciaire. L'altitude maximale observée de la Mer de Goldthwait est de 105 m, mais la mer a probablement atteint une altitude voisine de 110 m. Un vaste épandage deltaïque a été construit entre 13 et 12 ka, à la sortie de la rivière Matane. La surface supérieure de l'épandage cependant n'excède pas 80 m d'altitude. Des terrasses fluvio-glaciaires de chaque côté des versants de la vallée témoignent de son occupation tardive par une langue glaciaire se retirant vers le sud et retardant ainsi son invasion par les eaux de la Mer de Goldthwait. Des séries de plages, réparties de part et d'autre de la vallée dans la bande côtière, ont été édifiées entre 11 et 9,5 ka, entre 65 et 25 m d'altitude. La terrasse de 15 m était déjà émergée vers 8 ka. Entre 7 et 5 ka, le niveau marin relatif était au moins équivalent au niveau actuel et probablement inférieur de quelques mètres au zéro géodésique. Il a remonté entre 5 et 4 ka (transgression laurentienne) pour redescendre par la suite. Mais il a fluctué légèrement (1-2 m) de nouveau vers 3 ka avant de régresser et de construire les plages du niveau Mitis. L'âge moyen de la terrasse Mitis dans la région de Matane est de 2,2 ka. D'après les données marégraphiques de la station de Sainte-Anne-des-Monts, la côte serait soit en voie d'émersion (taux moyen de 2,2 mm/an pour la période 1970-1980), soit en voie de submersion (taux moyen de 0,55 mm/an). Actuellement l'érosion sévit un peu partout et le front du delta a reculé de plusieurs mètres entre 1950 et 1965.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
22

Delage, Marc, and Pierre Gangloff. "Marques d’icebergs reliques dans la région de Montréal, Québec." Géographie physique et Quaternaire 47, no. 1 (November 23, 2007): 69–80. http://dx.doi.org/10.7202/032931ar.

Full text
Abstract:
RÉSUME A une soixantaine de kilomètres au sud-ouest de Montréal (Québec), d'étroites rainures, pour la plupart parfaitement droites, longues de quelques centaines de mètres à plus d'un kilomètre, résultent d'une scarification des dépôts meubles par des icebergs dérivant dans la Mer de Champlain. L'orientation des sillons est sensiblement parallèle à l'axe de la vallée du Saint-Laurent. Les icebergs ont pu provenir du nord de Trois-Rivières, où l'inlandsis vêlait encore dans la Mer de Champlain vers 10 500 BP. Les sillons seraient alors liés aux vents catabatiques du nord-est qui ont aussi façonné les champs de dunes tardiglaciaires. Dans deux cas cependant, la morphologie des sillons révèle un sens diamétralement opposé, soit des paléovents du sud-ouest, conformes aux vents dominants actuels. Des dépressions fermées présentant l'apparence de cratères d'ancrage sont associées aux sillons. Seules les plus petites d'entre elles sont attribuables aux icebergs. Les plus grandes, en essaims, semblent plutôt des vestiges de buttes cryogènes minérales. C'est la première fois que des marques d'icebergs sont signalées dans l'aire recouverte par la Mer de Champlain.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
23

Occhietti, Serge. "Synthèse lithostratigraphique et paléoenvironnements du Quaternaire au Québec méridional. Hypothèse d’un centre d’englacement wisconsinien au Nouveau-Québec." Géographie physique et Quaternaire 36, no. 1-2 (November 29, 2007): 15–49. http://dx.doi.org/10.7202/032468ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ En se basant sur les travaux publiés depuis 1960, l'auteur passe en revue les séries quaternaires du Québec méridional et les réexamine d'un point de vue paléoenvironnemental. Cette synthèse confirme: (1) les contradictions et lacunes du cadre chronologique attribué au Wisconsinien; (2) l'extension apparemment limitée des glaces du Stade de Nicolet; (3) l'existence de calottes régionales sur les Appalaches, antérieures à l'englaciation de l'Inlandsis laurentidien au Wisconsinien moyen; (4) l'absence apparente ou l'existence d'un ou de deux intervalles au cours du Stade de Trois-Rivières, selon la région; (5) le renversement du sens d'écoulement de la glace à la fin du Wisconsinien, en Gaspésie et en Beauce, sur le rebord nord des Appalaches. Dans la vallée moyenne du Saint-Laurent, l'analyse paléoenvironnementale met en évidence: (1) la répétition des épisodes lacustres qui impliquent l'obstruction du moyen estuaire du Saint-Laurent; (2) l'absence apparente de transgression marine pendant les intervalles du Wisconsinien; (3) un englacement apparemment continu depuis le Wisconsinien moyen, contrairement aux séries de l'Ontario et de la Nouvelle-Ecosse. Ces conclusions et hypothèses conduisent à un modèle d'englacement wisconsinien dans l'est du Canada, avec (1) un centre d'englacement relativement méridional et précoce sur le plateau de Manicouagan ; (2) le déplacement des zones d'accumulation et de dispersion au cours du Wisconsinien; (3) le maintien de glaces continentales au moins depuis la phase isotopique 5/4.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
24

Allard, Michel, and Germain Tremblay. "Observations sur le Quaternaire de l’extrémité orientale de la péninsule de Gaspé, Québec." Géographie physique et Quaternaire 35, no. 1 (January 25, 2011): 105–25. http://dx.doi.org/10.7202/1000382ar.

Full text
Abstract:
Trois types majeurs de mouvements glaciaires ont été reconnus au droit de la péninsule de Gaspé, à l’est de la rivière au Renard : 1) un écoulement radial vers la baie de Gaspé et le golfe du Saint-Laurent à partir des crêts appalachiens, écoulement qui est associé à une calotte locale et qui fut identifié grâce à la présence de cirques sur les hauteurs, à l’évidence de l’occupation des vallées par la glace et par la dispersion des erratiques sur la péninsule; 2) un écoulement important dans la baie de Gaspé qui a pu être déterminé à partir de stries glaciaires, de la lithologie du till et de la bathymétrie de la baie; 3) des apports glaciaires sur la côte du golfe dûs à l’inlandsis laurentidien qui correspondent soit à une plate-forme de glace flottante, soit à des masses glaciaires importantes, icebergs, provenant de la côte nord du Saint-Laurent. Des stries glacielles et des éléments précambriens dans les dépôts glacio-marins le long de la côte du golfe appuient cette hypothèse. Les datations au radiocarbone permettent d’établir que la déglaciation le long du littoral est synchrone avec celle de la côte de l’estuaire maritime, soit vers 13 400-13 600 ans BP. Un niveau marin à 30 m semble correspondre à la limite atteinte par la mer de Goldthwait. Cependant, des aplanissements côtiers, des encoches perchées dans les falaises et certains sédiments semblent indiquer que la région a connu plusieur fluctuations du niveau marin relatif avant la glaciation et durant le Quaternaire. Les processus géomorphologiques holocènes les plus importants sont les mouvements de masse, les crues fluviales, la sédimentation lacustre et l’érosion et la sédimentation littorales.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
25

Triganon, A., M. Dzikowski, J. P. Novel, M. Dray, G. M. Zuppi, and A. Parriaux. "Échanges nappe–rivière en vallée alpine : quantification et modélisation (Vallée d'Aoste, Italie)." Canadian Journal of Earth Sciences 40, no. 5 (May 1, 2003): 775–86. http://dx.doi.org/10.1139/e03-017.

Full text
Abstract:
A mathematical model is applied to the Aoste Valley (Italy), which is a good example of the hydrological workings of alluvial rock basin aquifers in mountainous regions. The course of the Dorea Baltea follows the valley, which between the altitudes of 500 and 600 m is dominated by summits reaching more than 3000 m. The lacustrine- and fluviatile-type sedimentary deposits are accompanied by several alluvial cones that, due to their varying nature, confer very diverse hydrodynamic characteristics to the land. In this particular context, the source and drainage of the Dorea control the hydrodynamics of the aquifers and influence the spatial dispersion of the physicochemical properties of the groundwater. The model also led to quantify and determine the zones and types of exchanges with the river. Simulation of lowering the water table in the river showed the variable sensitivity of the water table piezometry with various spatial impacts. Finally, the stream–aquifer impact is highlighted by the spatial evolution of the sulphate contents coming from deep lateral sources. Taking into account the stream–aquifer exchanges in an underground-flow mathematical model gives a better understanding of the workings of the valley aquifers and thus their management, especially for the development of watercourses in mountainous regions.[Journal translation]
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
26

Sinave, Emily, and Amélie Grégoire Taillefer. "Caractérisation et protection de l’habitat du poisson dans la rivière Beaudette (Québec)." Le Naturaliste canadien 142, no. 3 (August 28, 2018): 73–87. http://dx.doi.org/10.7202/1051000ar.

Full text
Abstract:
La rivière Beaudette est un lieu de fraie pour diverses espèces de poissons et un sanctuaire de pêche important pour la région de Vaudreuil-Soulanges. Toutefois, elle subit diverses dégradations à la suite du lessivage de sédiments provenant des activités agricoles environnantes et de la dénaturalisation des berges en milieu résidentiel. Le but de cette étude était d’acquérir des connaissances sur le bassin versant de la rivière Beaudette (Québec) afin de documenter les menaces affectant le potentiel de l’habitat du poisson. Ceci s’est fait en caractérisant l’habitat, en évaluant la qualité des bandes riveraines, en analysant la qualité de l’eau, en recensant les marques d’érosion des rives et par des inventaires ichtyologiques. Les analyses de la qualité de l’habitat du poisson indiquent que près de 75 % de la rivière obtient une cote variant de « faible » à « très faible ». De plus, la rivière obtient généralement un indice « faible » en ce qui concerne sa capacité à accomplir ses fonctions écologiques. L’inventaire ichtyologique démontre que la rivière Beaudette comprend une richesse spécifique qui est plus grande en présence de bandes riveraines de bonne qualité ainsi qu’à des valeurs élevées de l’indice de qualité de l’habitat du poisson. Ces résultats confirment le besoin d’intervenir pour assurer la pérennité des écosystèmes de la rivière Beaudette.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
27

St-Onge, Denis A., and Marie-Anne Geurts. "Les formes d’effondrement et le mode de déglaciation de la région du lac Qingaluk, Territoires-du-Nord-Ouest, Canada." Géographie physique et Quaternaire 36, no. 1-2 (November 29, 2007): 233–40. http://dx.doi.org/10.7202/032479ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ Les formes et les sédiments glaciaires de la vallée de la rivière Qingaluk illustrent la complexité du recul du front du glacier du Keewatin, au Wisconsinien supérieur, à l'ouest de la vallée de la rivière Coppermine dans les Territoires-du-Nord-Ouest. Dans cette région à relief modéré (300 m), des retraits mineurs du front glaciaire (2-5 km) ont provoqué des changements importants dans le sens d'écoulement des eaux de fonte et ont modifié les environnements sédimentaires dans la vallée. La sédimentation rapide en bordure du front glaciaire fut responsable de l'ensevelissement de blocs de glace. De nombreuses formes d'affaissement ont résulté de la fonte de ceux-ci après que l'activité des eaux fluvio-glaciaires eut cessé. Ces formes, de même que les crêtes morainiques, peuvent être utilisées pour déterminer des positions successives du front glaciaire. Quatre de ces positions, associées à un haut niveau du lac glaciaire Coppermine (phase Kamut), ont été définies dans la région du lac Qingaluk. Ces positions frontales permettent d'expliquer des inversions du sens de l'écoulement des rivières et du relief dans les dépôts fluvio-glaciaires, ainsi que des étagements de terrasses dans l'exutoire de la phase Kamut du lac glaciaire Coppermine.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
28

Brooks, G. R., and D. E. Lawrence. "Geomorphic Effects of Flooding Along Reaches of Selected Rivers in the Saguenay Region, Québec, July 1996." Géographie physique et Quaternaire 54, no. 3 (October 2, 2002): 281–99. http://dx.doi.org/10.7202/005639ar.

Full text
Abstract:
AbstractA severe rainstorm from July 18 to 21, 1996, caused widespread flooding along many rivers in southern Québec, particularly in the Lac-Saint-Jean-Chicoutimi area, along north-flowing tributaries of the Rivière Saguenay. Along study reaches located on the Rivière aux Sables, Rivière Chicoutimi, Rivière du Moulin and Rivière à Mars, the fluvial geomorphic effects of flooding varied considerably, reflecting differing channel morphologies (alluvial, non-alluvial and bedrock), flow energy, and the interaction of floodwaters and infrastructure. Catastrophic channel widening and floodplain reworking occurred along the Rivière à Mars study reach, transforming the river from a meandering to braided planform. Consistent with this, unit stream power of the flood flow exceeded the minimum erosive threshold (300 Wm-2) along most of the study reach. Morphological and empirical evidence indicates that the pre-flood Rivière à Mars channel exhibited a transitional planform, and thus was vulnerable to a planform transformation during an extreme flood. The most significant geomorphic effects along the Rivière aux Sables and Rivière Chicoutimi study reaches occurred at a number of run-of-the-river dams. Floodwaters overtopped four dams and eroded deeply into unconsolidated sediments adjacent to the dams, forming new channels that captured the flow of the river. Floodwaters also overtopped a fifth dam, scouring overburden and road beds, and damaging and destroying buildings within an urban subdivision. Elsewhere along these two rivers, as well as along the Rivière du Moulin study reach, there were localized erosional problems, particularly at bridges, but the geomorphic effects generally were limited or negligible, reflecting either low unit stream power or resistant substrates.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
29

Comtois, Annie, François Chapleau, Claude B. Renaud, Henri Fournier, Brent Campbell, and Richard Pariseau. "Inventaire printanier d'une frayère multispécifique : l'ichtyofaune des rapides de la rivière Gatineau, Québec." Canadian Field-Naturalist 118, no. 4 (October 1, 2004): 521. http://dx.doi.org/10.22621/cfn.v118i4.55.

Full text
Abstract:
Un inventaire ichtyologique printanier a été réalisé dans la rivière Gatineau, dans le premier rapide à l’amont de son embouchure dans la rivière des Outaouais, pour établir la chronoséquence d’utilisation du site par les espèces s’y reproduisant, dont trois espèces de chevaliers. L’échantillonnage des rapides a permis de capturer 2388 poissons répartis en 13 familles et 39 espèces, dont six ayant fait l’objet d’une évaluation par le COSEPAC. Seize espèces étaient en état de se reproduire lors de l’échantillonnage. Nous avons observé une reproduction plus ou moins simultanée pour le Chevalier blanc et le Chevalier rouge, suivie de celle du Chevalier de rivière. Également, pour ces trois espèces, nous avons observé la capture des mâles de stade V plus tôt que les femelles, et nous les retrouvons en plus grand nombre. Ceci pourrait s’expliquer du fait que les mâles précèdent les femelles sur les frayères, que celles-ci sont reconnues pour rester très peu de temps sur les sites de fraie et qu’un minimum de deux mâles par femelle est requis pour la reproduction. Cette étude démontre que les rapides de la rivière Gatineau doivent être protégés puisqu’ils sont habités par trois espèces qui ont obtenu un statut spécial du COSEPAC (Menacée: Fouille-roche gris; situation préoccupante : Lamproie du nord et Chevalier de rivière) en plus de constituer une frayère multispécifique importante.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
30

Plante Lévesque, Valérie, Étienne Boucher, and Guillaume Proulx. "Spatialisation des processus d’embâcles dans le bassin versant de la rivière l’Acadie, Montérégie : une approche hydrogéomorphologique." Revue des sciences de l’eau 32, no. 1 (May 15, 2019): 21–36. http://dx.doi.org/10.7202/1059878ar.

Full text
Abstract:
Résumé La rivière L’Acadie, située en Montérégie (Québec, Canada), est un affluent de la rivière Richelieu et s’écoule vers le nord. Des inondations hivernales ayant de lourds impacts sur les milieux habités des municipalités de Chambly et de Carignan sont fréquentes sur cette rivière. Alors qu’au Québec on privilégie une approche hydrologique basée sur la récurrence des inondations en eau libre pour aménager les rives et la plaine inondable, l’approche hydrogéomorphologique permet de spatialiser les processus fluviaux qui posent un risque pour les communautés à partir d’une étude détaillée et systématique des formes du paysage fluvial. Cette approche permet d’acquérir une meilleure idée de l’impact de certains processus fluviaux tels que les embâcles de glace sur l’environnement humain et naturel. La présente recherche a pour objectif de spatialiser les propriétés et les impacts géomorphologiques du régime d’embâcles de glace au sein du bassin versant de la rivière L’Acadie. Des caractérisations des propriétés du bassin versant, du chenal, puis des berges de la rivière sont effectuées afin de localiser les problèmes d’embâcles de glace et décrire l’intensité de leur empreinte morphologique sur le milieu. De ces résultats découle une typologie des berges à laquelle est jumelée une analyse de la fréquence des évènements par l’étude des cicatrices glacielles sur la végétation riveraine. L’analyse démontre comment la morphométrie du chenal, la présence d’agriculture ainsi que l’héritage de la dernière glaciation quaternaire affectent le dynamisme du régime d’embâcles de glace qui se concentre en aval de la rivière.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
31

Dionne, Jean-Claude, and Françoise Pfalzgraf. "Fluctuations holocènes du niveau marin relatif à Rivière-Ouelle, côte sud du moyen estuaire du Saint-Laurent : données complémentaires." Géographie physique et Quaternaire 55, no. 3 (October 15, 2003): 289–300. http://dx.doi.org/10.7202/006856ar.

Full text
Abstract:
Résumé La terrasse de 8 m, dans le secteur aval de la vallée de la rivière Ouelle, sur la rive sud du Saint-Laurent estuarien, comprend trois unités lithostratigraphiques indiquant des fluctuations du niveau marin relatif (NMR) au cours de l’Holocène. La vallée a d’abord été partiellement comblée par un épais dépôt argileux durant la transgression postglaciaire de la Mer de Goldthwait survenue entre 12 et 10 ka. Par suite de l’émersion des terres, la rivière d’alors s’est encaissée et a creusé une vallée de plus d’un kilomètre de largeur dans la terrasse de 10 m dans laquelle elle faisait des méandres. Entre 8 et 6 ka, alors que le NMR était semblable ou plus bas que le niveau actuel, la surface d’érosion (fond de la vallée) a été recouverte par des dépôts fluviatiles et estuariens datés de 6 à 4 ka. Ces derniers furent eux-mêmes recouverts de 150 à 200 cm de sédiments fins (sable fin limoneux laminé) correspondant à un faciès intertidal (slikke et schorre inférieur) mis en place lors d’une remontée du NMR survenue à cet endroit entre 4 et 3 ka. Par la suite, l’émersion des terres a entraîné l’encaissement progressif du cours d’eau, qui a adopté ou acquis un cours sinueux à méandres. Les berges sont donc, par endroits, en voie d’érosion et ailleurs, en voie d’aggradation (lobes et escarpements de méandres). Des indices géomorphologiques permettent de déceler une tendance à la hausse du NMR actuel de l’ordre d’un millimètre par an. Une étude des diatomées confirme l’existence d’un milieu sédimentaire mixte influencé tantôt par la marée, tantôt par le cours d’eau.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
32

Masson, Stéphane, Yves de Lafontaine, Anne-Marie Pelletier, Guy Verreault, Philippe Brodeur, Nathalie Vachon, and Huguette Massé. "Dispersion récente de la tanche au Québec." Le Naturaliste canadien 137, no. 2 (May 10, 2013): 55–61. http://dx.doi.org/10.7202/1015516ar.

Full text
Abstract:
La tanche (Tinca tinca) est une des nombreuses espèces exotiques envahissantes qui font maintenant partie intégrante de l’écosystème fluvial du Saint-Laurent. Importée au Québec en 1986, cette espèce a par la suite colonisé divers secteurs de la rivière Richelieu et du fleuve Saint-Laurent. Depuis 2011, les observations de tanche sont de plus en plus nombreuses dans le corridor fluvial du Saint-Laurent, particulièrement au lac Saint-Pierre, et l’espèce a même atteint les régions de Montréal et de Québec. La tanche est décrite comme une espèce opportuniste ayant une capacité d’adaptation à des conditions environnementales extrêmes. Cette caractéristique soulève plusieurs inquiétudes quant à son éventuel impact sur les communautés ichtyologiques et benthiques du lac Saint-Pierre, du Richelieu et du fleuve Saint-Laurent. Dans cet article, nous présentons en détail la progression de cette espèce depuis son introduction dans la rivière Richelieu jusqu’à ses plus récentes observations dans le corridor fluvial du Saint-Laurent et discutons de l’impact que cette espèce pourrait avoir sur le chevalier cuivré, espèce unique au Québec, et sur la population de perchaude au lac Saint-Pierre.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
33

Castonguay, Stéphane. "La réhabilitation des rivières urbaines au Québec." Recherche 56, no. 2-3 (December 11, 2015): 271–97. http://dx.doi.org/10.7202/1034208ar.

Full text
Abstract:
Depuis les années 1970, des mobilisations citoyennes et des interventions gouvernementales donnent lieu à une série de projets de décontamination et de réhabilitation des rivières urbaines. Prenant place dans un contexte de montée des préoccupations environnementales, ces projets semblent signaler une reconquête des fronts d’eau par une population urbaine qui en aurait été privée par le passé. Dans cet article, nous examinons les relations que les populations urbaines entretiennent envers leurs environnements fluviaux dans le temps long pour deux tributaires situés de part et d’autre du fleuve Saint-Laurent et qui traversent deux villes de taille moyenne du Québec : Shawinigan, pour la rivière Saint-Maurice, sur la rive nord, et Drummondville, pour la rivière Saint-François, sur la rive sud. Par cette démarche, nous souhaitons montrer la façon dont les types de relations que les populations entretiennent avec les rivières, plutôt que de se succéder dans le temps, se juxtaposent. De même, nous souhaitons dégager les facteurs qui modulent l’intensité des mobilisations entourant le processus continuel d’appropriation des berges et des cours d’eau.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
34

Turgeon, A. "Détermination du schéma d'aménagement optimal d'une vallée pour des fins de production d'électricité." Revue des sciences de l'eau 1, no. 1-2 (April 12, 2005): 129–52. http://dx.doi.org/10.7202/705006ar.

Full text
Abstract:
Le modèle mathématique décrit dans cet article a pour tâche de choisir les sites sur une rivière où des installations hydro-électriques seront aménagées, puis de trouver la taille optimale de ces installations. La solution de ce problème dépend naturellement du montant d'argent que la compagnie est prête à investir sur la rivière. Toutefois, ce montant n'est pas connu au départ puisqu'il est lui-même fonction de ce que les installations pourront produire. Il est donc nécessaire de résoudre le problème pour tous les niveaux possibles de production étant donné qu'on ne connaît pas le niveau qui sera choisi. Ce problème est résolu dans cet article par une méthode très efficace qui regroupe l'énumération implicite, la programmation linéaire successive et l'analyse paramétrique. De façon succincte, l'énumération implicite fait le choix des sites qui seront aménagés pour un niveau de production donné. La programmation linéaire successive, quant à elle, se charge de déterminer la taille optimale des installations. Enfin, l'analyse paramétrique montre comment la taille des installations varie avec le niveau de production. L'efficacité de cette méthode vient du fait que l'algorithme d'énumération implicite, qui consomme beaucoup de temps de calcul, est appelé un nombre minimal de fois.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
35

Desbiens, Caroline. "Un nouveau chemin vers les rapides. Chisasibi/La Grande et les relations nord-sud au Québec." Globe 9, no. 1 (February 15, 2011): 177–210. http://dx.doi.org/10.7202/1000802ar.

Full text
Abstract:
Au cours des années 1970, la transformation de la rivière La Grande en un vaste complexe hydroélectrique a forcé les Cris et les Québécois du Sud à établir un dialogue quant à l’aménagement de ce cours d’eau et à son devenir. Si la relation a été ponctuée de conflits et d’inégalités, elle a toutefois mené les partenaires à se reconnaître mutuellement et à s’exprimer sur la place qu’occupe la rivière dans les liens de sociabilité, les échanges économiques et les récits identitaires de chaque peuple. Dans le contexte d’une collaboration qui se serait idéalement accrue depuis La Paix des braves, ce travail a pour but d’explorer la pertinence de l’histoire environnementale comme outil d’harmonisation interculturelle entre les territorialités autochtone et eurogène. En comparant deux sites clés le long de la rivière La Grande (Uupichun et LG-2), leur production et leur transformation à travers le temps grâce au travail humain, je propose de concevoir l’historique environnemental du Québec dans une perspective d’échange et de continuité Nord-Sud.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
36

Cazalis, Pierre. "L’hydrologie printanière de la rivière Saint-François." Cahiers de géographie du Québec 9, no. 18 (April 12, 2005): 197–221. http://dx.doi.org/10.7202/020597ar.

Full text
Abstract:
The abundant spring run-off in Southern Québec is a result of the heavy winter precipitation and the length of the retaining period. One half of the annual discharge occurs in March, April and May, yet the maximum monthly coefficient (April) on the Saint-François is little more than 300. This low figure is due to the length of the thawing season, which extends the flood over at least four weeks, and to the retaining action of the numerous lakes. Occasionally a heavy spring rainfall may alter the character of the run-off, but even then there is never any question of spring flood damage to land or property — the river s are swollen rather than in flood. Critical conditions can arise however on the Saint-François following storm rains and rapid run-off (impermeability and steep slopes). The water rises rapidly, but the fall extends over a week. These floods are more severe than in spring, but damage is still minimal, the lakes in fact store 50% of the surface run-off and in the case of certain tributaries, 75%. Furthermore, the maximum specific discharge is not more than 20 cu. ft/sec/sq. m. for the regulated tributaries (Magog, Massawippï) compared with 80 or more for those that are not. Through the regulating influence of the main tributaries and that of the hydro-electric power dams on the Saint-François itself], the regime of the river is one of the most serene in Southern Québec.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
37

Delwaide, Ann, and Louise Filion. "Dendroséries du pin blanc (Pinus strobus L.) et de la pruche de l'Est (Tsuga canadensis L. [Carr.]) dans la région de Québec." Géographie physique et Quaternaire 53, no. 2 (October 2, 2002): 265–75. http://dx.doi.org/10.7202/004853ar.

Full text
Abstract:
Nous présentons ici deux séries dendrochronologiques, l'une pour le pin blanc, la série Champlain (1470-1987), l'autre pour la pruche, la série de la Rivière-du-Moulin (1524-1982) qui, toutes deux, couvrent l'ensemble de la période historique en Amérique du Nord. Pour le pin blanc, l'élaboration d'une série de longue durée a été rendue possible par l'utilisation de séries élémentaires locales en provenance : 1) d'arbres fossiles récoltés dans la région de Charlevoix au site d'un ancien glissement de terrain survenu lors du séisme de 1663 (période 1470-1662) ; 2) d'arbres vivants échantillonnés au site de la Rivière-du-Moulin, dans la région de Lotbinière (période 1734-1987) et 3) de pièces récoltées dans quelques sites archéologiques de la région de Québec, et à même deux autels de la Chapelle des Ursulines, dans la ville de Québec. Datant de la fin du XVIIe siècle et du début du XVIIIe siècle, ce troisième groupe d'échantillons a permis de faire le pont entre les séries élémentaires de Charlevoix et de Lotbinière. La série de la pruche (Rivière-du-Moulin), élaborée à partir d'arbres vivants échantillonnés dans la région de Lotbinière, couvre la période 1524-1982.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
38

Larocque, Armand, Q. J. H. Gwyn, and André Poulin. "Développement des lacs proglaciaires et déglaciation des hauts bassins des Rivières au Saumon et Chaudière, sud du Québec." Géographie physique et Quaternaire 37, no. 1 (November 29, 2007): 93–105. http://dx.doi.org/10.7202/032501ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ Les études antérieures sur le Quaternaire du sud du Québec mettent en évidence un modèle général de déglaciation basé sur la position des moraines principales. Notre étude, axée sur une logique des formes et des dépôts, détaille l'évolution de la récession glaciaire et le développement des lacs retenus par le front de l'inlandsis, dans une sous-région de l'Estrie. Le drainage proglaciaire a évolué en quatre systèmes principaux : le système des « étangs Frontaliers » (1), composés de petits lacs qui se sont d'abord vidés de façon diffuse vers la Nouvelle-Angleterre, avant que le drainage ne se concentre vers le fleuve Kennebec (2), puis vers le fleuve Connecticut (3), pour finalement se faire vers le lac proglaciaire Memphrémagog (4). L'évolution du retrait glaciaire commence par l'apparition de nunataks, résultant de l'amincissement de l'inlandsis. L'allure du front reflète dès lors la configuration du relief sous-jacent qui influence directement le mode de fusion de la glace. Le retrait de la glace est relativement plus rapide dans les vallées orientées dans le sens de la déglaciation et il existe une corrélation inverse entre la pente du relief et la vitesse de recul de l'inlandsis.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
39

Delage, Pierre-Luc, Claude Marche, and Bruno Larouche. "Formulation de fonctions de transfert de débit entre les aménagements hydroélectriques de la rivière Péribonka." Canadian Journal of Civil Engineering 35, no. 7 (July 2008): 676–88. http://dx.doi.org/10.1139/l08-031.

Full text
Abstract:
Une méthode pour représenter les comportements dynamiques d’une rivière par des fonctions de transfert fiables est proposée. Elle est appliquée à la rivière Péribonka (Québec). L’article détaille la création de ces fonctions entre les centrales Chutes-des-Passes et Chute-du-Diable, incluant la centrale Péribonka en construction (lors de la rédaction de cet article). Le logiciel FLDWAV modélise les écoulements sous des conditions de production variées. Le modèle a été étalonné sur plusieurs saisons estivales grâce aux stations hydrométriques de la rivière Péribonka. Les multiples fonctions de transfert de débit (FTD) obtenues pour diverses conditions de débit et de niveau d’eau ont été simplifiées en vue de leur usage en optimisation de la production. Elles ont été validées sur chaque tronçon de la rivière. Les tests montrent qu’elles respectent bien la dynamique des écoulements en eau libre. Toutefois, l’utilisation des mêmes FTD n’est pas recommandable pour simuler l’écoulement de l’eau en période hivernale.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
40

Geurts, Marie-Anne. "Le paysage végétal holocène dans la région d’Escape Rapids, Territoires du Nord-Ouest." Géographie physique et Quaternaire 39, no. 2 (December 4, 2007): 215–20. http://dx.doi.org/10.7202/032603ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉUne dépression thermokarstique comblée d'argile lacustre et de sédiments tourbeux, située à 3,5 km au sud d'Escape Rapids dans la vallée de la rivière Coppermine, a fait l'objet d'une étude stratigraphique et palynologique. L'analyse pollinique de la partie supérieure des dépôts montre l'évolution du bassin sédimentaire et la persistance d'une toundra arbustive depuis 4400 ans. À la base du dépôt lacustre, un horizon riche en fragments de bois a livré la plus ancienne date (9150 BP) pour une formation ligneuse dans cette région.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
41

Labelle, Claude, and Pierre J. H. Richard. "Histoire Postglaciaire de la Végétation dans la Région de Mont-Saint-Pierre, Gaspésie, Québec." Géographie physique et Quaternaire 38, no. 3 (November 29, 2007): 257–74. http://dx.doi.org/10.7202/032567ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉLes analyses pollinique et macrofossile de sédiments de deux lacs des environs de Mont-Saint-Pierre (Gaspésie), l'un dans la vallée côtière, l'autre sur le plateau, permettent de reconstituer l'histoire postglaciaire de la végétation dans deux situations physiographiques contrastées. Seul le plateau a été colonisé par une végétation initiale de type toundra (> 10 400 ans BP), pendant que la vallée était encore en partie ennoyée par la mer de Goldthwait. L'afforestation du plateau fut caractérisée d'abord par des populations de Picea sp., accompagné de Populus sp. et Larix laricina, puis par un envahissement progressif par Abies balsamea et Betula papyrifera. La baisse de la représentation pollinique de l'aulne vert (Alnus cf. crispa), maximale durant l'afforestation, paraît être un indicateur assez fidèle de la fermeture de la couverture forestière. Cette phase se termine vers 9000 ans BP sur le plateau. Le rythme de l'afforestation a été différent dans la vallée. Des taxons héliophiles s'y sont maintenus plus longtemps, ce qui peut être relié à l'activité des versants abrupts qui flanquent la vallée. Malgré des variations de l'abondance relative des arbres, la sapinière à bouleau blanc a sans doute occupé le plateau depuis 9000 ans BP environ. Par contre, la végétation de la vallée s'est passablement modifiée jusque vers 5000 à 4500 ans BP, par la migration successive de Betula alleghaniensis, de Pinus strobus, de Fraxinus nigra, dAcer saccharum et d'Ulmus americana. L'implantation progressive de ces arbres relativement thermophiles est à l'origine de la diversité du paysage actuel de la vallée. Ces reconstitutions permettent d'écarter l'hypothèse de Dansereau (1944) selon laquelle les érablières à Acer saccharum de la Gaspésie seraient des groupements hérités de l'optimum climatique de l'Holocène moyen, au cours duquel les érablières auraient été largement répandues sur le territoire. Les données montrent que ces érablières datent de l'Holocène Supérieur, la migration d'Acer saccharum ayant sans doute été freinée par des barrières topo-climatiques entraînant une discontinuité prononcée des habitats pouvant accueillir cette espèce.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
42

Gadbois, André E. "Les tribulations judiciares de la mise en valeur hydroélectrique de la rivière Churchill." Les Cahiers de droit 22, no. 3-4 (April 12, 2005): 839–55. http://dx.doi.org/10.7202/042468ar.

Full text
Abstract:
The Power Contract signed in 1969 between Churchill Falls (Labrador) Corporation Limited and Hydro-Québec was the result of protracted negotiations between the parties which lasted six years. It became the cornerstone of a complex financial arrangement to secure a loan which was at the time the largest private placement effected in the United States of America to provide the funds required for the construction of the Churchill Falls Plant terminated in 1976 at a cost of approximately a billion dollars. This long term contract which had led Premier Smallwood to exclaim : « Glory Hallelujah » when he had heard that the deal had been agreed upon started to be looked at in much a different light by Newfoundland following the rise in the cost of energy resulting from the increases in the price of oil demanded by OPEC. It became the nub of several Court cases instituted in the Newfoundland and Québec Courts. This article is in substance the text of a conference given by the author to the lawyers and notaries of the Ministry of Justice of Québec during the Fall of 1981. It outlines the historical events which led to the negotiations and the signing of a Letter of Intent in 1966 followed by the Power Contract in 1969 and details the events leading to the institution in September 1976 of an action before the Supreme Court of Newfoundland by the Attorney General of that province against CFLCo and Hydro-Québec for a declaration that 800 megawatts of power from Churchill Falls may be recalled, to the institution by Hydro-Québec of a declaratory action in the Québec Courts against CFLCo and the other interested parties, including the Attorney General of Newfoundland, to have certain clauses of the Power Contract interpreted and finally to the adoption in 1980 by the Newfoundland Legislature of The Upper Churchill Water Rights Reversion Act and its reference to the Court of Appeal of Newfoundland to rule on its constitutional validity.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
43

Allard, Michel, and Maurice K. Seguin. "La déglaciation d’une partie du versant hudsonien québécois : bassins des rivières Nastapoca, Sheldrake et à l’Eau Claire." Géographie physique et Quaternaire 39, no. 1 (November 29, 2007): 13–24. http://dx.doi.org/10.7202/032581ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ La région étudiée s'étend entre les latitudes 56o00' et 57o00'N et va du littoral hudsonien jusqu'à la limite du territoire ennoyé par la mer de Tyrrell et un peu au-delà. Une seule direction générale d'écoulement glaciaire, de l'est vers l'ouest, est mise en évidence par une multitude de polis glaciaires, de drumlins, de roches moutonnées et de collines profilées. La vitesse de recul du front glaciaire est estimée à 108 m/année dans le secteur de la rivière Nastapoca d'après des mesures faites sur une courte et unique série de moraines de De Geer, tandis que des recherches antérieures ont permis de l'estimer à 150 m/année dans la région du lac Guillaume-Delisle, au sud de la région étudiée. Les vallées furent ennoyées par la mer de Tyrrell au fur et à mesure du retrait glaciaire et une grande partie du paysage de collines rocheuses resta émergée. La limite intérieure de l'invasion marine à la tête des vallées fut déterminée par l'emersion rapide simultanée au retrait glaciaire. Cette limite est marquée par une ceinture de sandurs-deltas et de deltas fluvio-glaciaires. L'altitude de la limite marine décroît d'ouest en est selon un gradient de 0,9 m/km pour la vallée de la rivière Nastapoca et selon un gradient de 0,64 m/km pour la vallée de la rivière à l'Eau Claire. Les différences d'altitude de la limite marine et les vitesses estimées de recul du front glaciaire permettent de calculer un taux d'émersion de 9.6-10 m/siècle pendant la déglaciation. Par ailleurs, l'altitude d'ensemble de la limite marine croît du nord au sud, passant de 185 m à 228 m d'un bout à l'autre de la région étudiée. L'âge de la déglaciation est estimé à 7300 BP dans les collines côtières de la rivière Nastapoca. Dans le bassin du lac à l'Eau Claire subsista un lac glaciaire retenu entre le seuil topographique actuel et le front glaciaire. Le rivage du lac avait déjà atteint son niveau actuel il y a 5050 BP, selon une datation sur une tourbe basale.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
44

Grammond, Sébastien, Caroline Beaudry, and Guy Chiasson. "La contribution du droit à la gouvernance territoriale." Gouvernance des parcs au Nunavik 31, no. 1 (December 5, 2013): 19–28. http://dx.doi.org/10.7202/1020706ar.

Full text
Abstract:
À partir d’une perspective juridique et politique, le présent article examine le processus de gouvernance territoriale entourant la création du parc Tursujuq, au Nunavik, dans le nord du Québec, notamment à partir d’une analyse des positions exprimées lors d’audiences publiques tenues au Nunavik. La création d’un parc national n’est pas toujours vue d’un bon oeil par les peuples autochtones, puisqu’elle peut conduire à l’interdiction de certaines activités traditionnelles sur le territoire du parc ou à des conflits d’utilisation. Cependant, bien qu’elle serve d’abord les intérêts du gouvernement du Québec, la création du parc Tursujuq a été relativement bien acceptée par la population inuite, qui y voit un potentiel intéressant de création d’emploi, et qui a été rassurée quant au maintien de ses droits de récolte garantis par la Convention de la Baie James. Néanmoins, les Inuits ont tiré profit des audiences publiques tenues en vertu de la Loi sur les parcs pour réclamer l’inclusion du bassin de la rivière Nastapoka dans les limites du parc, dans l’espoir d’empêcher Hydro-Québec (société d’État responsable de la production énergétique de la province) d’harnacher cette rivière, et pour tenter d’obtenir une clarification du tracé de la frontière Québec-Nunavut dans la région du lac Guillaume-Delisle. L’analyse de ces audiences démontre l’importance de l’environnement juridique dans la structuration des processus de gouvernance territoriale.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
45

Maxime Blanchard. "Le Québec libre: C.R.A.Z.Y. de Jean-Marc Vallée." French Forum 34, no. 3 (2009): 101–19. http://dx.doi.org/10.1353/frf.0.0092.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
46

Lavoie, Arold. "Arthrosporum, un genre de lichen nouveau pour le Québec." Le Naturaliste canadien 138, no. 2 (May 16, 2014): 43–45. http://dx.doi.org/10.7202/1025068ar.

Full text
Abstract:
L’arthrospore du peuplier (Arthrosporum populorum), un lichen crustacé, a été découvert au mont Saint-Hilaire (MRC de la Vallée-du-Richelieu). Il s’agit d’une espèce et d’un genre nouveau pour le Québec. Un spécimen, récolté en 1996, avait jusqu’alors été attribué à Bacidia schweinitzii. À la suite de recherches sur le terrain, la population a été redécouverte en 2013.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
47

Dionne, Jean-Claude. "Observations sur l’érosion de la basse terrasse à Petite-Rivière, Charlevoix, Québec." Géographie physique et Quaternaire 50, no. 3 (November 30, 2007): 407–13. http://dx.doi.org/10.7202/033110ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ À Petite-Rivière, l'érosion littorale a réduit considérablement la largeur de la basse terrasse (terrasse Mitis) au cours des deux derniers siècles. De nos jours, les secteurs non adéquatement protégés reculent à un taux moyen annuel compris entre 40 et 90 cm. Des mesures de protection efficaces doivent être mises en oeuvre pour protéger un site exceptionnel en péril à long terme.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
48

Hufty, André. "Fluctuations climatiques récentes au Québec." Géographie physique et Quaternaire 35, no. 1 (January 25, 2011): 49–55. http://dx.doi.org/10.7202/1000377ar.

Full text
Abstract:
Le problème des fluctuations climatiques récentes au Québec sera abordé de trois façons différentes, qui se complètent. Une étude des températures au Québec montre des fluctuations sans ordre autour d’une légère tendance à la hausse, plus nette dans la vallée du Saint-Laurent, avec un maximum autour de 1950. Ces variations sont partiellement planétaires, et de nombreux auteurs, notamment Budyko et Bryson, ont tenté de les expliquer à l’aide de modèles de bilan d’énergie, qui montrent l’effet climatique des changements des poussières, du CO2 et des éruptions volcaniques. Ces théories climatiques deviennent de plus en plus connues, même en dehors des milieux scientifiques, et il semble que la perception des variations climatiques a davantage changé que le climat lui-même.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
49

Bolduc, Sylvain, Marie Larocque, and Gilbert Prichonnet. "Vulnérabilité de l’eau souterraine à la contamination par les nitrates sur le bassin versant de la rivière Noire (Montérégie, Québec)." Revue des sciences de l'eau 19, no. 2 (June 9, 2006): 87–99. http://dx.doi.org/10.7202/013043ar.

Full text
Abstract:
Résumé La rivière Yamaska est l’un des affluents du Saint-Laurent les plus contaminés par les activités agricoles. Cette problématique touche particulièrement le sous-bassin de la rivière Noire où les dépôts de surface du Quaternaire sont discontinus, de faible épaisseur et souvent perméables. L’objectif de cette étude est de déterminer la vulnérabilité de l’eau souterraine sur une partie du sous-bassin de la rivière Noire (100 km2). La méthodologie utilisée comprend la caractérisation de l’aquifère, l’analyse des concentrations en nitrates et des contenus en δ18O, l’étude de la vulnérabilité en utilisant l’approche AQUIPRO et la modélisation hydrogéologique. Les résultats montrent une dégradation significative et d’origine anthropique de l’eau souterraine : plusieurs concentrations excèdent 1 mg N-NO3/L et quelques-unes excèdent 10 mg N-NO3/L. Les puits contaminés sont situés sur les crêtes topographiques où le silt argileux est absent et le till discontinu, et où la plus grande vulnérabilité AQUIPRO a été identifiée. Une diminution des concentrations avec la profondeur de prélèvement s’explique par un écoulement souterrain peu profond entraînant les nitrates vers un ruisseau et vers la rivière Noire. La vulnérabilité de l’eau souterraine est ainsi beaucoup plus grande dans les couches superficielles du roc fracturé. Le temps moyen de séjour de l’eau souterraine est estimé à 20 ans. Les concentrations mesurées permettent d’établir un lien direct entre la vulnérabilité, les dépôts de surface, la stratigraphie du substrat et les directions de l’écoulement souterrain. Elles démontrent aussi la présence d’une contamination de l’eau souterraine par les nitrates qui est susceptible d’augmenter si aucune mesure préventive n’est mise en place.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
50

Charles, Aline, and Thomas Wien. "Le Québec entre histoire connectée et histoire transnationale1." Globe 14, no. 2 (April 10, 2012): 199–221. http://dx.doi.org/10.7202/1008789ar.

Full text
Abstract:
Histoire connectée, histoire transnationale, histoire croisée, histoire partagée, histoire « enchevêtrée » (entangled history) : toutes ces « histoires » s’intéressent aux flux ou mouvements (de personnes, d’objets, d’idées, d’institutions, de pratiques…) entre champs d’influence réciproque. Cette approche transfrontalière est actuellement en vogue. Après l’avoir décrite et située dans son contexte d’émergence, cet article s’en inspire en présentant quelques exemples de flux qui englobent le Québec (au xxe siècle) et la vallée laurentienne (sous le Régime français).
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography