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1

Le Clanche, Jean-François. "Redécouverte de la traction animale." Pour 212, no. 5 (2011): 83. http://dx.doi.org/10.3917/pour.212.0083.

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2

Dudzinski, Piotr A. "Les problèmes des véhicules traction toutes roues." Journal of Terramechanics 23, no. 2 (1986): 125. http://dx.doi.org/10.1016/0022-4898(86)90020-0.

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3

Wampfler, Betty. "Face au désengagement de l’Etat, quel renouvellement des services d’appui à la traction animale ?" Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no. 3-4 (2004): 241. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9896.

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Abstract:
Le désengagement de l’Etat des services d’appui à l’agriculture conduit à l’émergence de nouveaux dispositifs, de nouveaux acteurs (secteur privé, organisations professionnelles, ONG, organisations de la société civile…) et à un renouvellement des formes de coordination entre ces acteurs. Ces transformations posent trois problèmes principaux que cet article discute dans le domaine de la traction animale : l’élaboration technique et organisationnelle de services permettant une adaptation durable de l’offre de traction animale à la demande et aux contraintes des producteurs ; la pérennisation institutionnelle, financière et sociale ; la coordination au sein de chaque secteur de services et entre les différents secteurs de services, qui sont conjointement nécessaires au développement de la traction animale (fourniture d’agroéquipement, financement, santé animale, conseil agricole…).
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4

Vall, Eric, Aimé Landry Dongmo, Oumarou Abakar, and Christian Meyer. "La traction animale dans le nouveau contexte des savanes cotonnières du Tchad, du Cameroun et de la République centrafricaine I. Diffusion de la traction animale et sa place dans les exploitations." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 55, no. 2 (2002): 117. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9832.

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Abstract:
La traction animale est exploitée depuis très longtemps en Afrique subsaharienne, mais elle a beaucoup évolué. La zone des savanes d’Afrique centrale compte environ 260 000 attelages (40 p. 100 d’exploitations équipées au Tchad, contre 25 p. 100 au Cameroun et moins de 10 p. 100 en République centrafricaine). La traction bibovine domine. Dans les systèmes de production, l’énergie animale est utilisée surtout pour le labour à la charrue et d’une manière secondaire pour les opérations d’entretien et le transport. La traction animale a des fonctions agronomiques (mécanisation, intégration agriculture-élevage) et des fonctions socio-économiques importantes. La phase d’équipement est un moment stratégique pour l’exploitation. Depuis 1950, les crédits équipements et l’encadrement technique proposés par les sociétés cotonnières ont fortement contribué au développement de la traction animale. Les paysans ont investi une part importante des revenus du coton dans cette technique.
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5

Havard, Michel, A. Fall, and Aboubakar Njoya. "La traction animale au coeur des stratégies des exploitations agricoles familiales en Afrique subsaharienne." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no. 3-4 (2004): 183. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9889.

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Abstract:
Cet article fait une analyse comparative de trois situations contrastées d’utilisation de la traction animale : le bassin arachidier du Sénégal, le Nord-Cameroun et l’est du Burkina Faso. L’objectif est de caractériser les dynamiques de la traction animale dans les exploitations agricoles. Dans chaque situation, les données, collectées selon des méthodes et outils spécifiques et avec la collaboration de partenaires différents, n’ont pas permis de faire systématiquement des comparaisons entre les trois pays. Dans tous les cas, cette analyse montre que l’appropriation de la traction animale dans l’exploitation est un processus souvent difficile et progressif. La première étape est l’acquisition d’un attelage pouvant demander des années d’efforts. Elle engendre d’importantes transformations dans le fonctionnement du système de production de l’agriculteur qui doit chercher à équilibrer le disponible en force de traction, en surface agricole et en main-d’oeuvre. La traction animale favorise l’extension des superficies cultivées et renforce l’intégration agriculture élevage. Elle modifie l’organisation et la répartition du travail, et elle est source d’augmentation et de diversification des revenus. Enfin, elle créée de nouvelles tâches, comme l’élevage d’animaux de trait qui engendre des dépenses supplémentaires. A l’échelle des exploitations agricoles, les analyses font ressortir la variété des trajectoires d’équipements et donc la diversité des stratégies des agriculteurs pour accéder à la traction animale, puis la conserver. Elles confirment aussi le rôle pivot de la traction animale dans leur cycle de vie. A l’échelle du village, elles montrent le rôle déterminant des échanges de travail et de terre entre les exploitations dans le processus d’appropriation de la traction animale. Ce processus, qui doit encore être accompagné, est avancé dans le bassin arachidier, et il est en cours dans l’est du Burkina Faso et au Nord-Cameroun. Les priorités sont l’acquisition des attelages pour les exploitations non équipées à l’est du Burkina Faso et au Cameroun, et la reproductibilité des exploitations équipées (diversification des activités, maîtrise de la technique, innovations endogènes) dans toutes les situations étudiées, et particulièrement au Sénégal.
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6

Roesch, Marc. "Financement de la culture attelée et stratégies d’équipement." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no. 3-4 (2004): 191. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9890.

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Abstract:
L’analyse des conditions favorables au développement de la traction animale et celle des stratégies des agriculteurs permet de caractériser les différents types d’agriculteurs qui adoptent et développent cette technique. Trois grandes catégories apparaissent : (i) les jeunes agriculteurs entreprenants qui cherchent à développer des cultures de rente et compensent leur manque de main d’oeuvre par l’utilisation de la traction bovine ; l’équilibre de l’exploitation reste précaire et le maintien de la culture attelée est conditionné par la propriété d’un capital minimum sous forme de troupeau qui permet de faire face aux années déficitaires et évite de décapitaliser ; (ii) les exploitants confirmés qui ont une maîtrise technique et savent équilibrer leur gestion ; la traction animale leur permet d’être moins soumis aux aléas climatiques et économiques, et de capitaliser sous forme de terre ou d’animaux ; et (iii) les gros exploitants qui possèdent plusieurs attelages et en louent une partie ; ils possèdent un capital terre et bétail accumulé progressivement, en partie grâce à l’utilisation de la culture attelée. Les Etats et les projets dits de développement permettaient à une large palette d’agriculteurs d’avoir accès à la traction animale. Le désengagement des Etats et la disparition des projets a freiné le développement de la traction animale, et ceci même dans les zones où se sont maintenus à la fois des cultures commerciales, une structure financière de crédit et un environnement de services favorable (marché du bétail, forgerons). Les exploitants en mesure de s’équiper et de conserver la traction animale sont aussi ceux qui réussissent à se créer un capital sous forme de bétail ou de terre. A l’heure de l’après-désengagement, la poursuite du développement de cette technique sera conditionnée par l’émergence d’un nouvel environnement de services permettant l’accompagnement de ceux qui veulent l’utiliser.
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Vall, Eric, Aimé Landry Dongmo, Oumarou Abakar, and Christian Meyer. "La traction animale dans le nouveau contexte des savanes cotonnières du Tchad, du Cameroun et de la République centrafricaine. II. Quelles priorités pour la recherche et le développement ?" Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 55, no. 2 (2002): 129. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9833.

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Abstract:
La traction animale joue un rôle très important dans la zone de savanes d’Afrique centrale (Tchad, Cameroun et République centrafricaine). Depuis quelques années, l’environnement institutionnel se modifie fortement. L’Etat se désengage du secteur agricole. De nouveaux acteurs se positionnent sur le « marché » de la traction animale : organisations paysannes, vétérinaires, forgerons, encadrement technico-économique, etc. Certains ont des difficultés à répondre à la demande des producteurs, à dégager une rentabilité suffisante, et sont demandeurs d’un appui pour pérenniser leur activité. Les producteurs aussi rencontrent des difficultés pour s’équiper et pour tirer tous les partis de l’attelage faute de connaissances et de moyens financiers suffisants. Ainsi de nouveaux enjeux émergent. L’augmentation de la pression foncière et la diffusion des herbicides modifient aussi la place de la traction animale dans les exploitations. Cette nouvelle donne pose de nouvelles questions à la recherche et au développement. Auparavant, il s’agissait pour la recherche d’apporter des réponses techniques aux questions soulevées par le développement. Désormais, il faut comprendre les recompositions institutionnelles, saisir l’évolution des besoins, susciter l’innovation et renforcer les processus de coopération au sein des nouvelles configurations d’acteurs. Les objectifs de développement doivent être réorientés vers le financement de la traction animale, la mécanisation des systèmes de culture, l’appui au transport attelé, l’intégration agriculture-élevage et l’appui aux secteurs émergents.
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Wampfler, Betty. "Financement de la traction animale dans le contexte de désengagement de l’Etat. Enseignements des cas du Nord- Cameroun, de l’Est Burkina Faso et du bassin arachidier du Sénégal." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no. 3-4 (2004): 211. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9892.

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Abstract:
La traction animale suppose un investissement important que les ménages agricoles les plus vulnérables peuvent difficilement réaliser sur fonds propres. Le recours au crédit est alors nécessaire. En Afrique de l’Ouest et centrale, les formes publiques de financement de la traction animale ont permis l’équipement de larges zones pratiquant les cultures de rente. Mais ces dispositifs publics s’avèrent impossible à pérenniser et sont aujourd’hui en très forte régression. Dans le vide laissé par l’Etat, émergent des innovations institutionnelles portées par les organisations paysannes et la microfinance. Ces deux secteurs expérimentent aujourd’hui à très petite échelle le financement de la traction animale mais rencontrent eux aussi des difficultés importantes : les ressources financières adaptées sont difficiles à mobiliser, les crédits à moyen terme sont difficiles à sécuriser, les financements fournis sont très largement insuffisants par rapport à l’ampleur de la demande. Quelques institutions, comme par exemple le réseau des Caisses d’épargne et de crédit agricole mutuel (Cecam) à Madagascar, expérimentent des financements innovants et prometteurs.
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Starkey, P. "La traction animale pour le transport en Afrique subsaharienne et à Madagascar : implications pour l’évolution des rôles des gouvernements et de la société civile." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no. 3-4 (2004): 201. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9891.

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Abstract:
L’utilisation des animaux pour le transport continuera d’augmenter en Afrique. Les animaux sont utilisés pour la monte, le bât et le trait de charrettes, chariots et traîneaux. Les équidés sont utilisés dans les zones semiarides et les plateaux ; l’utilisation des ânes se développe. Le nombre des charrettes à boeufs augmente, bien que limité par le nombre insuffisant d’essieux, de roues et le manque de crédit. Le transport animal augmente l’intégration durable de l’agriculture élevage et l’accès au marché. La location informelle des animaux est courante. Les services de transport commercial pour les marchandises et les passagers sont pratiqués dans les zones périurbaines. Quelques animaux sont utilisés pour le débardage, le transport d’ordures urbaines et la maintenance routière. Ce document présente une perspective historique de l’évolution du transport par traction animale dans la région, et des rôles joués par les gouvernements et le secteur privé. Au cours du XXe siècle, les services de vulgarisation ont introduit la traction animale qui s’est développée à travers les contacts entre paysans. Le crédit a accru l’accès aux charrettes et il reste important. Avec la libéralisation économique, les services de l’Etat ont diminué leurs appuis, maintenant fournis par le secteur privé informel, les artisans et les ateliers privés. L’appui des gouvernements, des groupements et des ONG est toujours nécessaire dans des zones où les boeufs et les ânes sont introduits. Les gouvernements ont des rôles cruciaux dans la facilitation de l’expansion de la traction animale et dans la réglementation pour des utilisations améliorées. Les politiques de libéralisation devraient encourager la complémentarité du transport attelé et motorisé avec des échanges appropriés entre ces différents modes. Les marchés hebdomadaires, espacés et organisés pour favoriser une utilisation optimale de la traction animale en matière de chargement de camions pour long trajet, peuvent accroître la rentabilité globale du transport. L’interdiction du transport animal est rarement appropriée. Les gouvernements, associations de transport, utilisateurs et ONG devraient encourager le développement et la mise en place des réglementations en matière de sécurité et d’entretien des animaux, de technologies adaptées, d’autorisations, de contrôles, d’assurances et d’une infrastructure appropriée pour le transport par traction animale.
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Vall, Éric, Patrice Djamen, Michel Havard, and Marc Roesch. "Investir dans la traction animale : le conseil à l’équipement." Cahiers Agricultures 16, no. 2 (2007): 93–100. http://dx.doi.org/10.1684/agr.2007.0080.

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Vias Franck, S. G., Eric Vall, Y. Ibrahim, and Bernard Faye. "La traction cameline, un apport important dans l’évolution des pratiques de traction animale au Niger." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no. 3-4 (2004): 177. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9888.

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Abstract:
L’utilisation du dromadaire pour la culture attelée et le transport au moyen de la charrette a été une évolution des pratiques de traction animale observée en zone agricole subsaharienne. Le dromadaire représente le stade ultime de l’intensification agricole. Son utilisation pour la traction a été promue car elle répond à la demande d’un développement durable adapté aux ressources disponibles au Niger. Cette communication présente les outils à traction cameline mis au point par le projet de Renforcement institutionnel et technique de la filière cameline, les spécifications techniques de chaque matériel fabriqué, et la stratégie adoptée pour vulgariser la traction cameline au Niger.
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Lhoste, Philippe. "La traction animale en Afrique subsaharienne : histoire et nouveaux enjeux." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no. 3-4 (2004): 125. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9883.

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Abstract:
L’utilisation de l’énergie animale est une technologie très ancienne dans le monde. Malgré les énormes mutations technologiques du siècle passé, en agriculture comme dans les autres domaines économiques, son utilisation reste encore très importante dans de nombreuses sociétés agraires de ce début de XXIe siècle. La situation actuelle de cette technique est d’ailleurs très diverse : l’utilisation des animaux pour leur énergie dans les systèmes de production agricoles est en effet pratiquement abandonnée dans les pays industrialisés, en cours de remplacement dans nombre de pays émergents et tout à fait d’actualité dans certains pays en développement. En Afrique, une grande partie de l’énergie agricole est encore manuelle (énergie humaine), ce qui laisse une grande marge de progrès pour l’utilisation de l’énergie animale ; cela induit pour la recherche et le développement de nouveaux enjeux. La libéralisation des filières et le désengagement des Etats constituent des facteurs forts d’évolution du contexte économique, social et politique des pays concernés ; cela se traduit notamment par une demande renouvelée de la part d’acteurs qui se diversifient. Il faut donc tenter simultanément : i) de répondre aux besoins nouveaux des agriculteurs et autres acteurs concernés ; ii) de prendre en compte les contraintes économiques des exploitations et des filières de production ; iii) de contribuer à la durabilité et à l’augmentation de rentabilité de l’activité agricole ; et iv) d’appuyer l’offre locale des services émergents (artisans, crédits, soins vétérinaires aux animaux, conseil, etc.).
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Kassambara, Hamidou, and Paul Kleene. "La traction animale à l’Office du Niger au Mali : du colonat au désengagement de l’Etat." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no. 3-4 (2004): 167. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9887.

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Abstract:
L’Office du Niger a commencé son exploitation au début des années 1930 par la traction bovine. La grande mécanisation, introduite à partir de 1949, s’est soldée par un échec dix ans plus tard. Depuis, la traction animale est redevenue la principale source d’énergie pour le travail du sol et le transport. Jusqu’au début des années 1980, les systèmes de production étaient basés sur des techniques extensives, conduisant à des rendements moyens en paddy qui ne dépassaient que rarement 2 t/ha. A partir de 1982, une nouvelle dynamique dans les activités de l’Office du Niger s’est instaurée. La traction animale s’est fortement développée, grâce à de nouvelles facilités de crédit, du matériel mieux adapté fabriqué sur place et des services vétérinaires adéquats. Les rendements moyens en paddy sont passés à 4-6 t/ha, en fonction du type d’aménagement. La restructuration de l’Office du Niger, intervenue en 1994, a vu la suppression de la division d’élevage, les services vétérinaires étant privatisés. La fabrication et la maintenance du matériel sont désormais assurées par un réseau de forgerons. Les fonctions d’approvisionnement en matériel agricole et en boeufs de labour sont à la charge des paysans. Suite au fort endettement des organisations paysannes, les crédits matériels et boeufs ont été supprimés, ce qui rend l’accès à l’équipement difficile. Des retards dans l’exécution du calendrier agricole sont constatés dus à la mauvaise condition alimentaire et sanitaire des boeufs en début de campagne. Pour y remédier, le projet Urdoc (Unité de recherche développement observatoire de changement) a mis au point et testé un ensemble de mesures permettant d’améliorer l’état des animaux de trait. Leur diffusion se fait dans le cadre de l’approche « conseil à l’exploitation familiale ». La pérennisation de l’impact positif de la traction animale dépendra de l’engagement des différents acteurs au renforcement des services d’appui : conseil, crédit, entretien/fabrication de matériel et soins vétérinaires.
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Dugué, Patrick, and Aimé Landry Dongmo Ngoutsop. "Traction animale et association agriculture élevage dans les savanes d’Afrique de l’Ouest et du Centre. D’un modèle techniciste à une démarche d’intégration raisonnée à différentes échelles." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no. 3-4 (2004): 157. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9886.

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Abstract:
En Afrique subsaharienne, les agronomes ont longtemps considéré que l’amélioration des performances des exploitations agricoles reposait sur l’intégration de l’élevage à l’agriculture. Ce modèle de production s’appuyait sur la traction animale, les cultures fourragères et l’élevage bovin viande et lait, base de la production de fumure organique. Mais, ce modèle n’a pas été adopté comme prévu. Dans le bassin arachidier au Sénégal, dans un contexte de fort aléa climatique, la priorité des paysans est de travailler rapidement pour implanter et entretenir les cultures, ce qui explique leur préférence pour la traction équine. Au Nord-Cameroun la stratégie d’accroissement des surfaces cultivées s’appuyant sur la traction bovine a été préférée à celle d’augmentation des rendements ; la fumure animale a longtemps été délaissée. Cette stratégie reste encore possible dans les zones peu ou moyennement peuplées. Dans les zones les plus peuplées, les évolutions des systèmes de production sont comparables à celles observées dans le bassin arachidier : développement de la traction asine et de l’embouche bovine, difficulté à associer élevage bovin extensif et agriculture. A l’échelle de vastes régions, il sera toujours nécessaire de valoriser par l’élevage des espaces difficiles à cultiver. L’accès à ces espaces pour des troupeaux transhumants doit être préservé. Il est aussi envisageable de développer des complémentarités entre des systèmes d’élevage périurbains et des zones agricoles proches qui développeraient des filières d’approvisionnement en fourrages et en aliments du bétail. Au niveau des terroirs villageois et des exploitations agricoles, l’intensification de l’élevage est indispensable mais nécessite de revoir les conduites des troupeaux et surtout d’accroître la production et les règles de gestion de la biomasse végétale. Pour cela la traction animale devrait être plus mobilisée pour assurer les transports (fumier, fourrage, etc.), accroître les revenus (vache de trait, embouche des animaux de trait en fin de carrière) et contribuer à développer des systèmes de culture plus productifs et accordant plus de place à la production fourragère.
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Havard, Michel, Aboubacar Traoré, Aboubakar Njoya, and A. Fall. "La traction animale et son environnement au Burkina Faso, au Cameroun et au Sénégal." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no. 3-4 (2004): 133. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9884.

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Abstract:
Au Burkina Faso, au Cameroun et au Sénégal, la traction animale continue sa progression dans un contexte de désengagement des Etats des filières de cultures industrielles et de libéralisation du secteur agricole. Le taux d’équipement des exploitations agricoles est stable et supérieur à 95 p. 100 depuis 25 ans dans le bassin arachidier sénégalais. Inférieur à 35 p. 100, il croît régulièrement grâce à l’action de la société cotonnière au Nord-Cameroun, tandis qu’il progresse par à coups en fonction des programmes ponctuels d’appui à l’agriculture dans la Tapoa au Burkina Faso. La privatisation des services d’appui à la traction animale assurés par des structures de l’Etat est effective au Sénégal et en cours dans les deux autres situations. Cette privatisation montre que l’approvisionnement, et l’entretien des animaux et des agroéquipements sont assurés tant bien que mal par les artisans du fer et les commerçants. En revanche, les nouveaux prestataires des services (financiers, appui/conseil, actes vétérinaires) ont des difficultés à adapter leur offre à la demande. Dans les zones les plus sèches, les conditions pluviométriques nécessitent de semer rapidement et d’effectuer précocement l’entretien des cultures. Cela explique la présence des semoirs et des houes dans le bassin arachidier sénégalais, le semis manuel sans travail du sol sur les céréales au Nord-Cameroun. Dans les zones plus humides (Tapoa au Burkina et partie méridionale du Nord-Cameroun), la période favorable à l’implantation des cultures est plus longue. Les pluies précoces favorisent la levée de la végétation qui est enfouie avant les semis par le labour aux boeufs. Cette diversité d’utilisation et d’environnement de la traction animale nécessite que le développement et la recherche adaptent leurs programmes aux différents contextes.
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Jaeger, Jochen A. G., Ariel G. Spanowicz, Jeff Bowman, and Anthony P. Clevenger. "Clôtures et passages fauniques pour les petits et moyens mammifères le long de la route 175 au Québec : quelle est leur efficacité ?" Routes et petite et moyenne faune 143, no. 1 (2018): 69–80. http://dx.doi.org/10.7202/1054120ar.

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Abstract:
Au Québec, certains des premiers passages fauniques pour les petits et moyens mammifères ont été installés lors de l’élargissement de la route 175. L’efficacité de 18 structures et des clôtures près de leur entrée a été évaluée grâce à un suivi continu par des caméras de surveillance et des enquêtes sur les animaux frappés par les véhicules au cours des étés de 2012 à 2015. La plupart des espèces ont utilisé plus souvent les ponceaux secs en béton et ceux avec pied sec de type tablette de bois installée en porte-à-faux que les ponceaux avec pied sec de type tablette de béton. Il y a eu significativement plus de mortalité routière animale aux extrémités des clôtures que dans les tronçons de route clôturés et ceux non clôturés. La mortalité routière animale était moindre dans les tronçons de route clôturés (et aux extrémités de clôtures correspondantes) où la faune utilisait plus souvent les structures. Bien qu’en général, les passages installés aient été couronnés de succès, plusieurs espèces utilisent peu ou pas ces structures, et des améliorations sont nécessaires. Nous présentons plusieurs recommandations visant à améliorer l’atténuation de l’impact des routes sur la faune, ainsi que de futurs programmes de suivi et de recherche.
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Chia, Eduardo. "Principes, méthodes de la recherche en partenariat : une proposition pour la traction animale." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no. 3-4 (2004): 233. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9895.

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Abstract:
La rencontre des chercheurs qui s’interrogent sur l’efficacité de leurs interventions pour accompagner les acteurs dans les processus de changement constitue une occasion pour s’interroger sur les méthodes de recherche à développer lors de travaux réalisés avec les acteurs : recherche participative, « recherche-action », recherche intervention... L’auteur propose de présenter la démarche de recherche-action comme nouvelle. Si les trois phases de la recherche-action sont importantes, la phase de négociation est capitale car elle permet la formalisation du contrat entre les partenaires (cadre éthique), la fabrication d’un langage commun, et la formalisation d’une problématique structurante entre chercheurs de disciplines différentes et acteurs. Dans la démarche de recherche-action, des dispositifs de gouvernance (comité scientifique…) jouent un rôle très important : ils sont à la fois garants de la résolution des problèmes et de la production, et de la légitimation des connaissances scientifiques produites. En conclusion sont proposées des pistes pour construire des recherches-action dans le domaine de la traction animale, afin d’imaginer de nouvelles innovations sociotechniques et organisationnelles pour faciliter l’utilisation de cette technique.
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Pirot, Roland, Michel Havard, Eric Vall, Guy Augustin Kemtsop Tchinda, and A. Fall. "Conditions d’émergence et de pérennisation des services d’appui à la traction animale en Afrique subsaharienne : cas des agroéquipements." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no. 3-4 (2004): 219. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9893.

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Abstract:
A partir des années 1960, au Burkina Faso, au Nord-Cameroun et au Sénégal, des programmes d’équipement des paysans en matériels de traction animale, alimentés par l’importation, puis par les fabrications industrielles locales, ont été financés par les cultures d’arachide et de coton. Dans les années 1980 et 1990, la réduction drastique des financements de ces programmes, particulièrement au Burkina Faso et au Sénégal, a mis en difficulté les industries nationales, contraintes de restructurer et diversifier leur outil de production. La situation s’est aggravée avec la dévaluation du franc Cfa qui a entraîné une augmentation des prix des matériels. Face à ces évolutions brutales, les artisans du fer ont réagi en prenant en charge progressivement l’entretien et les réparations des matériels agricoles de traction animale. Puis ils se sont mis à produire avec des matériaux de récupération des agroéquipements à des prix compatibles avec les moyens financiers des agriculteurs. Cependant la pérennisation du secteur artisanal des agroéquipements ne pourra être assurée que par l’amélioration de la qualité des produits, de la gestion et des performances des ateliers, ainsi que par la formation de groupements d’artisans pour faciliter l’approvisionnement en matière première et l’accès aux marchés. En parallèle, les organisations paysannes doivent chercher à structurer et formaliser la demande des paysans en agroéquipements.
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Vall, Eric, Aimé Landry Dongmo Ngoutsop, Tanor Ndao, and I. Ilboudo. "Evolution des pratiques de traction animale et conséquences sur la durabilité des systèmes de culture." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no. 3-4 (2004): 145. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9885.

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Abstract:
Dans les systèmes de culture des zones de savane de l’Afrique de l’Ouest et du Centre, la traction animale occupe une place déterminante pour renforcer la capacité d’intervention des producteurs lors des étapes clés du calendrier agricole : préparation des terres, semis, désherbage, transport. Ces dix dernières années, trois facteurs ont déterminé les évolutions des pratiques : i) le démantèlement des services d’appui publics a rendu plus difficile l’acquisition et l’entretien des attelages, ii) l’augmentation de la pression foncière en zone rurale a renforcé les synergies agriculture élevage et induit des pratiques d’intensification par le travail (mécanisation des désherbages…), iii) la diffusion des herbicides a provoqué un repli du labour. Les conséquences agronomiques de ces évolutions sur la durabilité des systèmes de production sont parfois positives (amélioration de la flexibilité du travail, de la production et des revenus financiers des ménages), parfois négatives (marginalisation du rôle de l’élevage dans les transferts de fertilité, dégradation du semis mécanique, dégradation des itinéraires techniques, déforestation…). Des propositions d’amélioration de la technique sont suggérées.
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-VIDO, Lionel. "Apport des machines synchrones à double excitation pour la traction automobile : application aux véhicules électriques ou hybrides." Revue de l'Electricité et de l'Electronique -, no. 09 (2006): 25. http://dx.doi.org/10.3845/ree.2006.086.

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sareni, Bruno, Jérémi Régnier, and Xavier Roboam. "Conception simultanée de systèmes électriques hétérogènes par algorithmes évolutionnaires multicritères. Applications à l'optimisation de chaînes de traction pour véhicules électriques." Techniques et sciences informatiques 25, no. 8-9 (2006): 1103–26. http://dx.doi.org/10.3166/tsi.25.1103-1126.

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HUANG, Y., J. F. HOCQUETTE, J. L. PORRY, J. M. CHAUMET, and Y. HUO. "Production de viande bovine en Chine et perspectives d’évolution." INRA Productions Animales 28, no. 3 (2020): 259–70. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.3.3031.

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Abstract:
La consommation de viande bovine a fortement augmenté en Chine depuis la réforme économique et la politique d’ouverture du pays à la fin des années 1970. Cependant, la Chine ne possède pas de véritable filière « viande bovine » avec des partenaires professionnels organisés. De plus, la production augmente avec difficulté. Le ralentissement de la croissance de la production ces dernières années a entraîné une forte hausse du prix de la viande bovine pour le consommateur. La filière « viande bovine » chinoise est face à de nombreux problèmes techniques liés aux pratiques traditionnelles (par exemple, les bovins étaient utilisés comme force de traction pour les travaux agricoles). Ces difficultés entraînent une faible productivité de la filière et s'accompagnent d'une dégradation continue du cheptel de vaches reproductrices en raison de la dispersion des petites fermes paysannes, de la forte réduction des besoins en traction animale, de la faible valorisation des ressources fourragères, du manque de connaissances techniques de la part des petits éleveurs, et du retard dans l’amélioration génétique des races locales. L’amélioration de la technicité est nécessaire notamment pour mieux valoriser les différentes ressources alimentaires des bovins (herbe pâturée ou récoltée, coproduits) et adapter la production à la demande des consommateurs. La structuration de la filière « viande bovine » est également nécessaire pour un élevage durable qui sera amené à prendre en compte d’autres problématiques comme la protection de l’environnement et le bien-être animal.
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VIGNE, M., I. BENAGABOU, P. FAVERDIN, et al. "Evaluation de l’efficience énergétique fossile des systèmes d’élevage en Afrique de l’Ouest : adaptations et perspectives méthodologiques." INRAE Productions Animales 27, no. 5 (2014): 369–80. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.5.3084.

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Abstract:
Face au double défi du secteur de l’élevage qui devra répondre à l’augmentation future de la demande en protéines animales tout en réduisant ses impacts environnementaux, l’analyse énergétique fossile apparaît comme une méthode d’évaluation pertinente. Elle permet de fournir à la fois des références sur les consommations et l’efficience d’utilisation de l’énergie fossile, mais également sur les voies d’intensification écologique de ces systèmes. Son application dans le cadre de deux précédentes études à des systèmes d’élevage en Afrique de l’Ouest a nécessité des améliorations méthodologiques. Celles-ci ont concerné la prise en compte de la mobilité des troupeaux, l’analyse à l’échelle du troupeau afin de produire des comparaisons pertinentes entre systèmes, l’affectation d’un coût en énergie fossile au travail humain et animal et l’ouverture du panel des productions aux effluents et à la traction animale produite. D’autres perspectives d’amélioration, liées notamment à l’étude d’autres systèmes d’élevage et de nouveaux territoires, sont également proposées.
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Baars, R. M. T., R. De Jong, and D. Zwart. "Les coûts et revenus de l’association de l’élevage bovin et de l’agriculture dans la Province de l’Ouest de la Zambie." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 49, no. 3 (1996): 243–51. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9521.

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Abstract:
Une analyse économique a été réalisée sur 50 cheptels afin de déterminer pour chacun la répartition des gains et des dépenses entre les familles, et en quelles proportions il contribuait aux revenus de la famille par rapport aux autres revenus agricoles et à ceux provenant d'autres sources. La vente de bétail, le labour avec les bœufs, l'accroissement du cheptel et la production de lait se sont avérés être les sources de revenus les plus importantes (respectivement 26, 21, 19 et 16 % des revenus totaux bruts). Les revenus de l'abattage local, du fumier et de l'usage des bœufs pour le transport ne jouaient qu'un rôle mineur. Les coûts calculés représentaient environ le tiers des revenus bruts. L'efficacité économique annuelle nette a été évaluée à 1,4 US$ par ha. La famille du gérant du cheptel, qui possédait 60 % du troupeau, avait à son actif environ 64 % des revenus bruts totaux, 73 % des dépenses totales et 58 % des revenus nets. Les revenus nets moyens provenant du bétail, des récoltes, de la vente de produits agricoles et de sources non agricoles représentaient respectivement 50, 31, 6 et 13 % du revenu total de la maisonnée. Les résultats ont démontré que l'importance de la traction animale et la vente d'animaux pouvait être améliorée.
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De La Rocque, Stéphane, Zakaria Bengaly, Jean-François Michel, Philippe Solano, Issa Sidibé, and Dominique Cuisance. "Importance des interfaces spatiales et temporelles entre les bovins et les glossines dans la transmission de la trypanosomose animale en Afrique de l'Ouest." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 52, no. 3-4 (1999): 215–22. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9666.

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Abstract:
Lors d'une étude globale du risque trypanosomien menée dans la zone agropastorale de Sidéradougou (Burkina Faso), des troupeaux sentinelles issus de deux systèmes d'élevage différents ont été suivis durant deux ans. L'incidence trypanosomienne mensuelle a été mesurée et interprétée en fonction des parcours des troupeaux, de leur pratique d'abreuvement et de leur contact avec les glossines ripicoles (Glossina tachinoides et G. palpalis gambiensis). A Nakaka, village d'éleveurs Peuls, la transmission en saison sèche est assurée aux points d'abreuvement pérennes dans la galerie forestière. En saison des pluies, les glossines ripicoles se dispersent dans les savanes et infectent les animaux jusque dans les villages. A Péfrou, ensemble de campements d'agriculteurs Bobo, les troupeaux sont composés essentiellement de boeufs de traction. Les animaux issus des campements localisés à proximité du cours d'eau s'abreuvent dans les points d'eau des formations riveraines et sont infectés toute l'année. L'incidence est plus élevée en hivernage et en début de saison sèche, période où les glossines sont les plus nombreuses. A l'opposé, les troupeaux des campements éloignés du réseau hydrographique (3 km) sont abreuvés au puits et ne fréquentent pas les biotopes des glossines. Dans ce paysage essentiellement agricole, les glossines ne se dispersent pas, même en saison humide. L'incidence dans les troupeaux est quasiment nulle. Ces résultats montrent l'importance des interfaces spatiales et temporelles entre les bovins et les glossines dans l'épidémiologie des trypanosomoses en Afrique de l'ouest.
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Martel, Réginald. "Impasse et solutions alternatives : entrevue avec René Dumont par." II. Urbanisation et situations de crise, no. 17 (December 18, 2015): 57–61. http://dx.doi.org/10.7202/1034368ar.

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Abstract:
Au cours de l’entrevue, René Dumont commente des thèmes présents dans son livre le plus récent, Pour l’Afrique j’accuse (paru en 1986 chez Plon, à Paris), ainsi que dans son oeuvre en général. Ayant constaté l’échec des projets agricoles et industriels en Afrique, René Dumont porte plusieurs accusations : 1) contre le système économique dominant, qui fait que seuls les produits agricoles des pays du Tiers monde sont véritablement soumis à la loi du marché; 2) contre le système économique dominant, qui a exporté le modèle de développement des pays occidentaux en Afrique et financé sa mise en place; 3) contre les responsables politiques locaux, qui permettent l’exploitation des campagnes par les villes et ont longtemps nié la nécessité du contrôle des naissances. Pour remédier aux graves problèmes que connaît l’Afrique et éviter de nouvelles catastrophes, René Dumont propose des solutions qui supposent la participation active et la connaissance pratique des intervenants, paysans comme coopérants. Il privilégie la décentralisation des décisions et des équipements : que chaque village ait sa digue, son puits et son programme de reboisement; que l’on prenne des mesures appropriées pour empêcher le bétail de circuler librement. La solution à long terme pour l’Afrique réside dans la reprise en main de l’agriculture par les paysans; la première révolution agricole, encore à faire, sera basée sur le fourrage, l’élevage intensif et la traction animale.
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Bénagabou, Ouèbounga Ida, Mélanie Blanchard, Valérie M. C. Bougouma Yaméogo, et al. "L’intégration agriculture-élevage améliore-t-elle l’efficience, le recyclage et l’autonomie énergétique brute des exploitations familiales mixtes au Burkina Faso ?" Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 70, no. 2 (2017): 31. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31479.

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Abstract:
Face au défi majeur de la croissance démographique mondiale, le secteur agricole se doit de concilier une augmentation de la production alimentaire et une diminution de son impact environnemental. L’intégration agriculture-élevage (IAE) mise en œuvre dans les exploitations familiales mixtes à faible niveau d’intrants peut être un moyen d’y parvenir. L’un des grands principes de l’IAE est l’utilisation de ressources produites par les différents ateliers de l’exploitation pour la conduite des autres ateliers. L’IAE se construit autour de trois grandes pratiques : la traction animale, le stockage de fourrage et la production de fumure organique. L’objectif de cette étude a été d’analyser l’effet de ces pratiques sur l’autonomie, le recyclage et l’efficience énergétique des exploitations familiales mixtes. Pour ce faire, les flux d’énergie brute de huit exploitations familiales mixtes de la zone cotonnière de l’ouest du Burkina Faso, suivies sur une période de 20 mois, ont été analysés grâce à la méthode d’analyse de réseau écologique (ecological network analysis [ENA]). Les résultats ont montré que le stockage de fourrage et la production de fumure organique ont permis aux exploitations d’augmenter leur recyclage et leur autonomie, et d’acquérir une meilleure efficience énergétique. La méthode ENA met en lumière les caractéristiques et les performances d’exploitations de différents types (agriculteurs, éleveurs, agroéleveurs) et évalue l’apport des pratiques de l’IAE sur ces performances. Il apparaît cependant qu’il existe des marges de manœuvre sur le niveau de mise en œuvre des pratiques d’IAE dans les exploitations familiales mixtes de la zone cotonnière de l’ouest du Burkina Faso permettant d’améliorer le recyclage de l’énergie.
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Djiré, O. "Le service de fabrication et de maintenance d’équipements agricoles par les forgerons au Mali." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no. 3-4 (2004): 225. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9894.

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Abstract:
L’Office du Niger (ON) a délibérément appuyé la diffusion de la traction animale. Les animaux de trait étant disponibles, le coût élevé des matériels importés était un frein face au faible pouvoir d’achat des paysans. A partir des années 1980, des injections importantes d’équipements agricoles ont été réalisées à travers notamment le projet Amélioration de la riziculture paysanne à l’ON (Arpon). Le matériel était assemblé dans un atelier central et diffusé aux producteurs grâce à des facilités de crédit moyen terme comprenant également l’achat de boeufs. En même temps, les premiers ateliers de forgerons ont été améliorés par la fourniture à crédit d’outillage moderne. Dans les zones de forte production agricole du Mali-Sud (Cmdt) et de l’Opération riz Ségou (ORS), des réseaux de forgerons ont également été constitués. Grâce à ces réseaux, les forgerons ont progressivement renforcé leurs compétences et leur capacité de travail, et sont devenus les principaux fournisseurs de matériel agricole, assurant un service après-vente très apprécié des paysans. Toutefois, le secteur reste confronté à de multiples difficultés, notamment le coût élevé des matières premières, l’accès difficile et le coût élevé de l’électricité, ainsi que l’absence de lignes de crédit pour le secteur de la fabrication des agroéquipements. Face à ces difficultés, en 1997, les réseaux de forgerons des zones Cmdt, ON et ORS se sont regroupés au sein de la Fédération des forgerons Cmdt/ON/ORS pour mettre en place une structure efficace d’approvisionnement en matières premières, faciliter l’investissement des artisans, organiser des formations et des échanges, et faciliter la promotion de leurs produits.
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L’Héritier, Maxime. "Luc Jaccottey, Gilles Rollier (dir.), Archéologie des moulins hydrauliques, à traction animale et à vent des origines à l’époque médiévale et moderne en Europe et dans le monde méditerranéen." Artefact, no. 7 (May 30, 2018): 289–93. http://dx.doi.org/10.4000/artefact.1717.

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Adebiyi, F. G., O. A. Adebiyi, K. A. Thomas, and B. C. Majekodunmi. "COVID-19 pandemic and mitigation strategies: Implications on pig and poultry enterprise in Nigeria." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 4 (2021): 213–26. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i4.2985.

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Abstract:
COVID-19 is a novel disease, which has affected several people across the globe and with a heavy toll on the economy. The impact is yet to be fully quantified in the agricultural sector. In this study, the perceptions of pig and poultry farmers on the effects of the pandemic and coping mechanism during the lockdown period were investigated. A total of 108 farmers participated in this study. Structured questionnaires were administered to pig and poultry farmers (South-West Nigeria) electronically between June and July 2020. Information about knowledge of COVID-19, the effects on livestock enterprise and coping mechanism were obtained. Data were analysed using descriptive analysis. Most of the respondents (98.1%) had adequate knowledge of the mode of transmission as well as prevention of COVID-19. Majority of the respondents (87.4%) reported a reduction in their income during the lockdown period probably due to drop in sales (84% respondents) and livestock production (69.5% respondents), moderate to high increase in prices of livestock feeds (66.4% respondents) and inability to take farm products to market due to movement restriction policy. Most of the farmers (96.2%) reported that the government did not render adequate assistance to farmers during the lockdown. However, a few of the farmers (12%) did not suffer loss of revenue. Some of the farmers (22.4 - 62.5% respondents) had mild to moderate negative impact of COVID-19 on their farm due to the coping strategies practised during this period. In conclusion, there is need for appropriate intervention of the government and professional bodies during any pandemic to ensure the sustainability of pig and poultry industries.
 
 
 Le COVID-19 est une nouvelle maladie, qui a affecté plusieurs personnes à travers le monde et a un lourd tribut pour l'économie. L'impact n'est pas encore pleinement quantifié dans le secteur agricole. Dans cette étude, les perceptions des éleveurs de porcs et de volailles sur les effets de la pandémie et le mécanisme d'adaptation pendant la période de verrouillage ont été étudiées. Au total, 108 agriculteurs ont participé à cette étude. Des questionnaires structurés ont été administrés par voie électronique aux éleveurs de porcs et de volailles (sud-ouest du Nigéria) entre juin et juillet 2020. Des entretiens téléphoniques et en face à face ont également été menés au cours de la même période. Des informations sur la connaissance du COVID-19, les effets sur l'entreprise d'élevage et le mécanisme d'adaptation ont été obtenues. Les données ont été analysées à l'aide d'une analyse descriptive. La plupart des répondants (98,1%) avaient une connaissance adéquate du mode de transmission ainsi que de la prévention du COVID-19. La majorité des répondants (87,4%) ont signalé une réduction de leurs revenus pendant la période de verrouillage probablement due à une baisse des ventes (84% des répondants) et de la production animale (69.5% des répondants), une augmentation modérée à forte des prix des aliments pour bétail (66.4% répondants) et l'incapacité de mettre les produits agricoles sur le marché en raison de la politique de restriction des mouvements. La plupart des agriculteurs (96.2%) ont déclaré que le gouvernement n'avait pas fourni une assistance adéquate aux agriculteurs pendant le verrouillage. Cependant, les résultats des entretiens téléphoniques de suivi et des entretiens en face à face ont indiqué que quelques-uns des agriculteurs (12%) qui utilisaient leurs véhicules pour le marché mobile et utilisaient des plateformes de médias sociaux pour commercialiser leurs produits agricoles ont déclaré une perte de revenus minime. De nombreux agriculteurs ont eu un impact négatif léger à modéré (22.4 à 62.5% des répondants) du COVID-19 sur leur ferme en raison des stratégies d'adaptation mises en œuvre pendant cette période. En conclusion, une intervention appropriée du gouvernement et des organismes professionnels est nécessaire pendant toute pandémie pour assurer la durabilité des industries du porc et de la volaille.
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Azouma, O. Y. "Degradation de l\'environnement en zone de forte concentration des attelages de traction animale: cas de la region des savanes au Togo." Journal de la Recherche Scientifique de l'Universite de Lome 7, no. 1 (2007). http://dx.doi.org/10.4314/jrsul.v7i1.17111.

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