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1

Dou, Henri, Parina Hassanaly, Luc Quoniam, and Albert La Tela. "La veille technologique." Sciences de la société 29, no. 1 (1993): 213–16. http://dx.doi.org/10.3406/sciso.1993.1105.

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2

Julien, Pierre-André, Jean-Bernard Carrière, Louis Raymond, and Richard Lachance. "La gestion du changement technologique dans la PME manufacturière au Québec : une analyse de cas multiples." Revue internationale P.M.E. 7, no. 3-4 (February 16, 2012): 87–120. http://dx.doi.org/10.7202/1008425ar.

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Abstract:
L’objectif de cette recherche, effectuée auprès de 14 PME manufacturières québécoises, visait à identifier différents types ou « styles » de gestion du changement technologique à partir d’une grille d’analyse comprenant quatre dimensions : les avantages stratégiques perçus par !’entreprise, la qualité de son processus décisionnel, ses capacités organisationnelles et ses compétences technologiques. L’analyse a permis de dégager un portrait général illustrant certaines caractéristiques communes à toutes les entreprises visitées. De plus, une analyse typologique a permis d’identifier au moins trois types ou styles de gestion du changement technologique mettant en relief les caractéristiques différenciant les entreprises entre elles. Les différences les plus marquées entre les trois types ou styles de gestion de changement technologique touchent la qualité de la veille commerciale, l’envergure des changements technologiques effectués ainsi que la position technologique et concurrentielle des entreprises. De plus, le rythme d’adoption des technologies, la qualité de la veille technologique et l’importance des ressources humaines et financières allouées par les entreprises à la R-D contribuent le plus fortement à distinguer les trois types entre eux.
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3

Marchesnay, Michel. "De la veille technologique au pilotage stratégique." Revue internationale P.M.E.: Économie et gestion de la petite et moyenne entreprise 1, no. 3-4 (1988): 335. http://dx.doi.org/10.7202/1007889ar.

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4

Gillispie, Charles Coulston. "De l'espionnage industriel à la veille technologique (review)." Technology and Culture 47, no. 4 (2006): 839–40. http://dx.doi.org/10.1353/tech.2006.0224.

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5

Caron-Fasan, Marie-Laurence. "Accompagner l'innovation dans les entreprises : de la veille technologique à la veille usage anticipative." La Revue des Sciences de Gestion, Direction et Gestion, no. 231-232 (May 2008): 19–26. http://dx.doi.org/10.1051/larsg:2008030.

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6

Guillerme, André. "Michel Cotte, De l’espionnage industriel à la veille technologique." Documents pour l'histoire des techniques, no. 14 (December 1, 2007): 154–55. http://dx.doi.org/10.4000/dht.1130.

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7

Belhocine, Makhlouf. "Pratique de la Veille Technologique dans les PME Algériennes." Bouhouth Magazine, no. 1 (June 2014): 123–35. http://dx.doi.org/10.12816/0014791.

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8

Molet, Hugues. "Volume 12, Numéro 3/1993." Revue Française de Gestion Industrielle 12, no. 3 (June 1, 1993): 03–04. http://dx.doi.org/10.53102/1993.12.03.1143.

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Abstract:
Les quatre articles de cette Revue ont tous un point commun : ils s’appuient sur des classifications, des typologies de situations, desproblèmes ou des méthodes. Ces typologies abordent des domaines différents de la gestion industrielle : les méthodologies d'approches, les liens entre organisations, outils et types de flux, les gestions de projets et les approches de veille technologique.
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9

Caduc, Philippe. "Les enjeux pour l'industrie nationale de la veille technologique et stratégique." Sciences de la société 29, no. 1 (1993): 217–19. http://dx.doi.org/10.3406/sciso.1993.1106.

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10

Costil, V., and B. Napoléon. "Veille technologique sur les traitements endoscopiques de l’obésité en 2009–2010." Acta Endoscopica 41, no. 4 (May 20, 2011): 182–84. http://dx.doi.org/10.1007/s10190-011-0175-7.

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DESBIEY, Olivier. "La veille technologique à l’ère des médias sociaux. Le cas Twitter (encadré)." Hermès, no. 59 (2011): , [ p.]. http://dx.doi.org/10.4267/2042/45352.

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Baldit, Patrick, Jean-Michel Ruiz, Luc Quoniam, and Henri Dou. "La gestion de projet et la veille technologique Vers une méthodologie commune." La Revue des Sciences de Gestion, Direction et Gestion, no. 155-156 (December 1995): 61–68. http://dx.doi.org/10.1051/larsg:1995037.

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Roussat, Christine, and Nathalie Fabbe-Costes. "Les pratiques de veille technologique en logistique : le cas des prestataires de services logistiques." Logistique & Management 8, no. 2 (January 2000): 29–48. http://dx.doi.org/10.1080/12507970.2000.11516731.

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14

Houtekier, Catherine, and Sylvie Cantin. "Les sciences de l’information en soutien à la veille technologique : l’exemple de V-TeDDS, veille pour la clientèle avec une double déficience sensorielle." Documentation et bibliothèques 65, no. 4 (2019): 5. http://dx.doi.org/10.7202/1068657ar.

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Joyal, André, Pierre-André Julien, and Laurent Deshaies. "L'exportation des PME québécoises et l'accord de libre-échange avec les États-Unis." Revue internationale P.M.E. 6, no. 1 (February 16, 2012): 67–85. http://dx.doi.org/10.7202/1008164ar.

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Abstract:
En relation avec les espoirs véhiculés et les difficultés signalées dans la littérature sur les PME exportatrices, l’article présente une partie des résultats d’une recherche effectuée en vue de mesurer la sensibilité à l’Accord de libre- échange des PME manufacturières de trois régions du Québec. Pour les PME dont les activités sont touchées par l’Accord, nous montrons dans quelle mesure elles profitent de cette ouverture du marché soit pour s’engager sur la voie de l’exportation ou pour accroître leur engagement sur le marché américain. Un profil des firmes exportatrices, ou intéressées à le devenir, est également présenté à partir de différentes variables telles la taille, les investissements, la veille technologique et commerciale et le recours aux ressources du milieu.
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Desbiey, Olivier. "La veille technologique à l'ère des médias sociaux : content de ce que génèrent les utilisateurs. Le cas Twitter." Hermès 59, no. 1 (2011): 147. http://dx.doi.org/10.3917/herm.059.0147.

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17

Audet, Josée. "La veille stratégique chez les PME de haute technologie: une étude de cas par comparaisons intersites." Revue internationale P.M.E. 16, no. 2 (February 16, 2012): 105–29. http://dx.doi.org/10.7202/1008441ar.

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Abstract:
L’objectif de cette étude était de relever des caractéristiques de veille stratégique susceptibles d’être associées à la performance des PME œuvrant en haute technologie. La stratégie de recherche favorisée pour atteindre cet objectif a été l’étude de cas par comparaisons intersites. Les résultats ont permis d’ébaucher un profil des activités de veille caractérisant les PME de haute technologie connaissant du succès. La propension à l’innovation des membres de l’équipe dirigeante semble être le catalyseur des activités de veille, stimulant et orientant les efforts de veille. Ainsi, la veille est motivée par la recherche d’occasions d’affaires et elle vise principalement l’horizon à long terme. Par ailleurs, les dirigeants gèrent de façon stratégique leurs réseaux d’information, afin d’y puiser les informations nécessaires à l’innovation.
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Fournier, Claude. "Des missions traditionnelles servies par une haute technologie." Documentation et bibliothèques 51, no. 1 (April 24, 2015): 25–28. http://dx.doi.org/10.7202/1030117ar.

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Abstract:
La Direction générale de la conservation regroupe les fonctions traditionnelles d’une bibliothèque nationale : rassembler, décrire, conserver le patrimoine documentaire. Elle veille aussi à diffuser une partie de ses collections et à promouvoir sa connaissance scientifique. Ce premier article décrit la nature des collections patrimoniales.
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Hériard, Bertrand. "OGM : la bataille de l'information. Des veilles citoyennes pour des choix technologiques éclairés." Projet 326, no. 1 (2012): 106. http://dx.doi.org/10.3917/pro.326.0106.

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20

Théberge, Richard. "LES ENJEUX DE LA RÉVISION DE LA CONVENTION DE PARIS À LA VEILLE DE NAIROBI." Revue générale de droit 12, no. 1 (May 7, 2019): 83–120. http://dx.doi.org/10.7202/1059437ar.

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Abstract:
Sans être pessimiste, l’auteur croit qu’un certain scepticisme n’est pas injustifié quant aux chances de succès de la conférence de révision de la Convention de Paris prévue pour l’automne de 1981 à Nairobi. En effet, considérant le peu de progrès accomplis au cours des travaux préparatoires à la conférence diplomatique de révision, il semble qu’on soit encore bien loin des objectifs initiaux de la présente révision qui devait être essentiellement orientée vers le développement du Tiers Monde. Tant pour le Canada que pour les pays en développement, les pays socialistes et les pays à économie de marché en général, les questions de certificat d’inventeur, d’exploitation des inventions brevetées et de la protection des indications géographiques prendront une importance particulière. La réponse à ces questions, explique l’auteur, procurera aux pays intéressés soit des instruments aptes à faciliter les transferts de technologie, soit des outils politiques, ou contiendra les éléments à propos desquels on s’efforce de conserver le statu quo lorsqu’une « concession » est jugée trop onéreuse.
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Pène, F., E. Azabou, B. Jung, S. Gibot, A. Guillon, G. Monneret, S. Silva, et al. "Faire face à la menace infectieuse en réanimation : de la veille épidémiologique à l’innovation. Actes du séminaire de recherche translationnelle de la Société de réanimation de langue française (5 décembre 2017)." Médecine Intensive Réanimation 27, no. 3 (May 2018): 279–86. http://dx.doi.org/10.3166/rea-2018-0033.

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Abstract:
Le séminaire annuel de la Commission de recherche translationnelle de la SRLF a pour but de réunir des cliniciens et scientifiques autour de grandes thématiques de recherche en médecine intensive et réanimation. La quatrième édition du séminaire a porté sur l’infectiologie, thématique au centre des préoccupations des réanimateurs. Les interventions se sont ainsi focalisées sur des aspects aussi divers que les relations hôtes–pathogènes, la contribution de pathogènes dans des pathologies habituellement considérées comme non infectieuses, l’émergence de nouveaux risques infectieux, les avancées technologiques du diagnostic moléculaire des infections et le développement de stratégies antibactériennes alternatives à l’antibiothérapie classique.
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Grignon, Thomas. "L’expertise communicationnelle au prisme de ses instruments." Revue Communication & professionnalisation, no. 3 (February 29, 2016): 23–47. http://dx.doi.org/10.14428/rcompro.vi3.443.

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Abstract:
Logiciels de veille, analytics, cartographies… s’imposent comme les auxiliaires du communicant. S’ils semblent perçus comme de simples outils de mesure, ils accompagnent la redéfinition des professions et contribuent à l’institutionnalisation de savoirs, de savoir-lire et de savoir-faire. À travers l’observation de Google Analytics, cette contribution s’intéresse à l’action des équipements de l’expertise, aux représentations qu’ils actualisent, à la manière dont ils préconfigurent des espaces de pratiques possibles. Comment influent-ils sur les compétences, connaissances et attitudes que les praticiens doivent intégrer ? Dans quelle mesure participent-ils à la professionnalisation des « métiers du numérique » ? L’analyse sémio-communicationnelle de GA illustre la diversité des prises que se donnent ses concepteurs sur la circulation des savoirs, compétences et valeurs dans ces mondes professionnels. Elle articule trois regards sur le logiciel. Elle l’envisage comme une technologie herméneutique contribuant à la stabilisation d’une manière de contempler l’objet de l’expertise communicationnelle (le web et les productions médiatiques). Elle l’observe comme une technologie pragmatique qui représente, autorise et suggère des usages, configurant l’usager, le conduisant à adopter une posture d’enquêteur, d’analyste, puis de gestionnaire. Elle l’étudie comme une technologie normative disciplinant la pratique des professionnels, imposant valeurs et normes pour décrire et concevoir les médias informatisés. Intelligence softwares, web analytics, network mappings… have gradually emerged as almost indispensable auxiliary equipment for marketing and communication experts. Although generally thought of as simple measuring instruments, these medias embody definite conceptions of communication and contribute to the socio-symbolic construction of expertise. Through careful observation of Google Analytics, this article critically reflects on web analytics tools and the way they influence professionals in their daily jobs. How do they impact the skills and knowledge the experts now have to integrate? How do they influence the professionalization process of the communications industry? From a semio-political perspective, this contribution explores how far a firm like Google can shape the evolution of professional communication. Three hypotheses are discussed. First, Google Analytics is considered as a technology that guides media interpretation, then, as an instrument that encourages its user to adopt certain postures, and finally, as a means to institute a set of norms and values to describe and design websites.
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MONIN, G. "Abattage des porcs et qualités des carcasses et des viandes." INRAE Productions Animales 16, no. 4 (August 11, 2003): 251–62. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2003.16.4.3663.

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Abstract:
L’amélioration de la compétitivité des entreprises d’abattage de porcs ne repose plus essentiellement sur l’abaissement de leurs coûts, mais plutôt sur leur capacité à élever la qualité de leurs produits. La marge de progrès disponible la plus importante réside dans la part des opérations qui concerne les animaux vivants. Accroître la maîtrise des qualités de la viande implique nécessairement de mieux comprendre la réaction des animaux aux facteurs d’agression rencontrés lors de l’abattage, et ses effets sur ces qualités. Les connaissances disponibles dans ce domaine n’expliquent qu’une partie des mécanismes en cause, et il reste nécessaire de les approfondir, en portant particulièrement l’attention sur les interactions entre facteurs zootechniques et technologiques. D’une façon générale, il faut respecter un délai de 20 à 24 heures entre le dernier repas et l’abattage, prendre toutes les dispositions nécessaires pour minimiser les facteurs d’agression, en particulier un aménagement des locaux tenant compte des particularités comportementales du porc, et veiller à l’application optimale de l’anesthésie, qu’elle soit électrique ou gazeuse. Parmi les opérations succédant à l’abattage, la réfrigération est celle qui est susceptible de l’impact le plus marqué sur la qualité.
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Mujawamariya, Donatille. "La diversité ethnoculturelle dans le curriculum de sciences de l’Ontario, de la 1ère à la 12ème année." Revue de l'Université de Moncton 38, no. 2 (November 9, 2009): 5–32. http://dx.doi.org/10.7202/038489ar.

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Abstract:
Résumé Dans sa politique antiraciste et d’équité ethnoculturelle de 1993, le gouvernement ontarien se propose de développer ou de modifier les programmes d’études afin qu’ils reflètent de façon équitable la diversité raciale et culturelle de la société. À l’instar du gouvernement, l’Ordre des enseignantes et des enseignants de l’Ontario appelle les enseignants à veiller à ce que les expériences d’apprentissage à l’école tiennent compte, de façon appropriée et équitable, de l’identité culturelle et raciale de tous les élèves. Notre étude cherche à mettre en lumière la place réservée à la diversité ethnoculturelle dans les programmes français de sciences et technologie de l’Ontario de la 1ère à la 12ème année grâce à une analyse qualitative des écrits sur l’éducation scientifique multiculturelle. Cette analyse tend à montrer que les programmes de sciences de l’Ontario, mis en vigueur respectivement en 1998, 1999 et 2000, laissent une place quasi négligeable à la diversité ethnoculturelle que ce soit dans leurs fondements, dans les attentes et les contenus d’apprentissage ainsi que dans les stratégies pédagogiques suggérées.
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CHATELLIER, V., B. LELYON, C. PERROT, and G. YOU. "Le secteur laitier français à la croisée des chemins." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (May 17, 2013): 77–100. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3138.

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Abstract:
Face à la suppression programmée des quotas laitiers en 2015, la filière laitière française traverse actuellement une période charnière de son histoire où se mêlent doutes et espoirs. La baisse rapide du nombre d’exploitations laitières (au rythme de 5 %par an sur la précédente décennie), la volatilité accrue des prix, les implications environnementales négatives de l’intensification, la concurrence croissante de certains pays limitrophes (dont l’Allemagne) font douter les acteurs de la filière laitière française quant aux stratégies à déployer pour préparer efficacement l’avenir. Le secteur laitier français dispose néanmoins de nombreux atouts pour rebondir : une consommation élevée de produits laitiers par habitant et par an soutenue par une exceptionnelle variété de produits transformés ; une grande diversité de modèles techniques issue d’une adaptation historique des exploitations aux conditions du milieu naturel (relief, climat, potentiel agronomique) ; un potentiel de développement de la production du fait de la faible densité de population dans de nombreuses zones d’élevage, de l’abondance des surfaces fourragères et des substitutions envisageables entre productions ; une amélioration des connaissances scientifiques et des savoir-faire technologiques dans les entreprises ; la présence de firmes leaders à l’international et une volonté des pouvoirs publics d’encourager la construction de nouvelles relations contractuelles entre producteurs et industriels, de manière à gérer l’offre en l’absence de quotas laitiers. A la veille de la suppression des quotas laitiers, l’ambition de cet article est, d’une part, de proposer une analyse de la situation économique actuelle de la filière laitière française (forces, faiblesses, diversité de modèles) et, d’autre part, de s’interroger sur les conditions de la mise en oeuvre du système de contractualisation.
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Queneau, P., A. Serrie, R. Trèves, and D. Bontoux. "Les douleurs chroniques en France Recommandations pour une meilleure prise en charge." Douleur et Analgésie 32, no. 3 (September 2019): 147–54. http://dx.doi.org/10.3166/dea-2019-0073.

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Abstract:
Environ 22 millions de Français (environ 30 % de la population adulte) souffrent de douleurs chroniques rebelles aux traitements antalgiques conventionnels. La France a été l’un des premiers pays déterminés à lutter contre la douleur chronique, en mettant en place plusieurs plans gouvernementaux. Toutefois, l’état actuel fait apparaître de réelles menaces sur la prise en charge des malades douloureux chroniques, en raison : 1) de départs prochains à la retraite de nombreux médecins spécialisés, qui avaient créé les « structures spécialisées douleur chronique » (SDC) ; 2) et de grandes difficultés de recrutement de leurs successeurs. L’Académie nationale de médecine émet les recommandations suivantes : 1) consolider l’existence des 273 SDC pour les années à venir ; 2) désigner au sein de chaque faculté de médecine un « coordinateur universitaire douleur » rattaché à la sous-section « Thérapeutique médecine de la douleur » du Conseil national des universités ou à une des grandes disciplines universitaires concernant la douleur ; 3) veiller au renouvellement des équipes des SDC par : des médecins ayant reçu une formation spécialisée transversale « Médecine de la douleur », en plus de leur diplôme d’études spécialisées d’origine ; d’autres soignants (infirmières, physiothérapeutes, psychologues…) ayant bénéficié d’une formation « douleur » ; 4) en plus de l’indispensable formation initiale de tous les médecins et soignants à la spécificité de la douleur chronique, faciliter l’accès à des formations complémentaires sur les nouvelles approches non médicamenteuses, technologiques et psychosociales ; 5) développer la recherche clinique et fondamentale translationnelle par la mise en place de choix stratégiques, politiques et organisationnels.
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PEYRAUD, J. L., and K. DUHEM. "Les élevages laitiers et le lait demain : exercice d’analyse prospective." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (April 17, 2013): 221–30. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3150.

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Abstract:
Les auteurs soulignent dans l’introduction le risque inhérent à un exercice de prospective pour les élevages laitiers et le lait demain qui est tributaire de nombreuses variables peu maîtrisées. Ils rappellent les principaux atouts du lait, de l’élevage laitier et de la filière laitière française au regard des tendances de la demande mondiale, mais soulignent aussi les fragilités auxquelles la filière laitière, dans son ensemble, et la filière française en particulier, devra s’efforcer de répondre. Il s’agit à court terme des questions relatives à sa compétitivité mais également, l’érosion de son image et de son attractivité, son impact sur la santé de la population ou sur l’environnement. Un état des lieux de la situation actuelle est dressé, qui permet de souligner que tant les filières amont qu’aval se sont restructurées, et que cette tendance va se poursuivre, accompagnée d’une forte mutation du modèle social en production laitière. Les auteurs décrivent ensuite les principaux déterminants pour une filière durable, de l’amont à l’aval. Les axes de progrès majeurs pour le développement d’un secteur laitier compétitif et répondant aux attentes sociétales résident dans l’amélioration de l’efficacité de l’animal et du troupeau, l’autonomie et la sécurité de l’alimentation des troupeaux, l’amélioration des conditions de travail des éleveurs, une meilleure intégration des exploitations d’élevage au sein des territoires, une meilleure utilisation des innovations technologiques et organisationnelles, l’amplification des démarches de qualité, une veille et un « benchmarking » avec les pays et les secteurs concurrents notamment en termes d’innovation et un meilleur dialogue entre amont et aval pour l’adaptation du lait aux besoins de la transformation. En complément de ces actions clés pour assurer la durabilité de la filière laitière, d’autres pistes d’actions sont suggérées, dont l’élaboration d’une véritable stratégie de filière à même d’orienter les politiques publiques et de rapprocher les acteurs de la recherche-développement et de l’innovation.
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Chrétien, Jean-Pierre. "Les traditionnistes lettrés du Burundi a l'Ecole des Bibliothèques Missionnaires (1940-1960)." History in Africa 15 (1988): 407–30. http://dx.doi.org/10.2307/3171873.

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Abstract:
Dans les pays africains sous administration beige l'expression écrite des me'moires collectives qui apparalt dans les années 1940–1950 était inconcevable hors de la sphère d'influence des églises chrétiennes. La presse catholique en particulier a été le premier vecteur de cette forme moderne de l'affirmation des identités culturelles. Au Burundi il s'agit de Rusizira Amarembe, édité à Gitega de 1940 à 1954, et de son successeur Ndongozi, publié de 1954 à 1978. Comme leurs titres l'indiquent ces périodiques étaient rédigés en kirundi, dans le prolongement de la scolarisation assurée par les missions en langue vernaculaire. Le premier signifiait “le semeur de paix”, ou plus exactement “celui qui prépare le terrain de la prospérité”, et le second, plus simplement, “l'éclaireur.”Comme nous l'avons déjà souligné ailleurs, ces publications devaient bénéficier de la double autorité de la chose imprimée et du parler quotidien, de la technologie des colonisateurs et de la culture des ancêtres, faisant écho aux préoccupations d'un nouveau milieu socioculturel, celui des Africains lettrés. C'est dans ce contexte que s'amorga l'écriture d'une histoire nationale, destinée à fixer de manière systématique les “choses du passé” (ivya kera) jusque là seulement narrées localement à l'occasion des veillées des enclos.
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Esselment, Anna Lennox. "Fighting Elections: Cross-Level Political Party Integration in Ontario." Canadian Journal of Political Science 43, no. 4 (December 2010): 871–92. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423910000727.

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Abstract:
Abstract.Conventional wisdom about the structure of political parties in Canada has emphasized their confederal nature. In other words (and the New Democratic party excepted), parties with identical partisan complexions at the federal and provincial levels are thought to operate in “two political worlds.” This paper argues that election campaigns are a key integrating link between parties. How they fight elections reveals extensive cross-level co-operation, particularly through shared activists (local party activists, party staff and party professionals) and technological expertise. This has the effect of shrinking the space between party cousins and forges unity between them. While there are certain obstacles to electoral collaboration, there are also incentives for these parties to work to maintain and strengthen their ties with their partisan cousin at the other level. These findings make an important contribution by directly challenging the notion that Canada's federal system has led to increasingly disentangled political parties.Résumé.L'opinion communément admise au sujet de la structure des partis politiques au Canada a mis l'accent sur leur nature confédérale. En d'autres termes (exception faite du Nouveau Parti démocratique), on considère en général que les partis à caractère partisan identique au palier fédéral et provincial fonctionnent dans «deux mondes politiques à part». Le présent article avance que les campagnes électorales constituent un facteur d'intégration clé entre les différents niveaux d'un parti. La façon dont un parti dispute une élection révèle un haut degré de coopération entre les organisations provinciales et fédérales, surtout du fait qu'ils partagent des militants communs (militants locaux, personnel politique et professionnels du parti) et leur expertise technologique. Ce phénomène tend à rétrécir l'espace entre cousins du même parti et à bâtir l'unité d'organisation entre les deux niveaux. Même s'il y a des obstacles inévitables à la collaboration électorale, les partis cousins ont de bonnes raisons de veiller à maintenir et à renforcer leurs liens réciproques. Ces conclusions apportent une contribution importante à l'étude des partis politiques, en contestant directement l'idée que le système fédéral au Canada a encouragé les partis politiques de même allégeance à mener leurs activités de manière indépendante.
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DOU, Henri. "Veille technologique." Conception et Production, November 1996. http://dx.doi.org/10.51257/a-v1-t45.

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DOU, Henri. "Veille technologique en formulation." Formulation, September 2021. http://dx.doi.org/10.51257/a-v2-j2260.

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32

DOU, Henri. "Veille technologique en formulation." Formulation, March 2005. http://dx.doi.org/10.51257/a-v1-j2260.

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MOIGN, Arnaud. "Smart-buildings : veille sectorielle et technologique." Smart city - Ville intelligente, April 2019. http://dx.doi.org/10.51257/a-v1-as1.

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JDEY, Aref. "Piloter une cellule de veille technologique." Management et ingénierie de l'innovation, January 2013. http://dx.doi.org/10.51257/f-1037.

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DOU, Henri. "Veille technologique - Méthodologie et collecte d’information." Conception et Production, July 2004. http://dx.doi.org/10.51257/a-v1-ag2050.

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36

MOIGN, Arnaud. "Robotique collaborative industrielle : veille sectorielle et technologique." Industrie du futur, January 2020. http://dx.doi.org/10.51257/a-v1-as2.

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37

DOU, Henri. "Veille technologique - Application au suivi des brevets." Conception et Production, July 2004. http://dx.doi.org/10.51257/a-v1-ag2051.

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38

MOIGN, Arnaud. "Fabrication additive : état des lieux d’une veille sectorielle et technologique." Fabrication additive – Impression 3D, January 2021. http://dx.doi.org/10.51257/a-v1-as3.

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39

MOIGN, Arnaud. "Terres rares : état des lieux d’une veille sectorielle et technologique." Innovations technologiques, September 2022. http://dx.doi.org/10.51257/a-v1-as4.

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40

JDEY, Aref. "Optimiser et réussir la mise en œuvre de sa veille technologique." Management et ingénierie de l'innovation, January 2013. http://dx.doi.org/10.51257/f-1028.

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41

"Document reçu. Pour des organisations intelligentes : méthodes et outils de veille. Sous la direction de Pierrette Bergeron et Sylvie Tellier. Actes du colloque sur la veille technologique et stratégique, 19 et 20 octobre 1998. Montréal : EBSI/CRIM, 1998. 190 p." Documentation et bibliothèques 45, no. 3 (1999): 131. http://dx.doi.org/10.7202/1032745ar.

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42

Jin, Tao, and France Bouthillier. "Facilitating Access to Information Through Collaboration: Examination of the Role of Collaborative Technology in Competitive Intelligence." Proceedings of the Annual Conference of CAIS / Actes du congrès annuel de l'ACSI, November 1, 2013. http://dx.doi.org/10.29173/cais326.

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Abstract:
Few attempts have been made to establish conceptual links between collaboration, collaborative technology, information access and competitive intelligence. The purpose of this paper is to propose a framework and a number of starting premises for studying collaboration and the role of collaborative technology in the context of competitive intelligence.Peu de tentatives ont été faites pour établir des liens conceptuels entre les notions de collaboration, technologie de collaboration, accès à l’information et veille concurrentielle. L’objectif ici est de proposer un cadre d’analyse et plusieurs prémisses utiles pour l’étude du concept de collaboration et le rôle de la technologie supportant cette activité dans le cadre de la veille concurrentielle.
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Thébaud, Emmanuel. "L’avenir du médicament vétérinaire en France vu de la distribution." Bulletin de l'Académie vétérinaire de France 175 (2022). http://dx.doi.org/10.3406/bavf.2022.70984.

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Abstract:
Les entreprises françaises de distribution du médicament vétérinaire font charnière entre les industriels producteurs et les vétérinaires. Elles contribuent directement à la disponibilité des médicaments pour les vétérinaires et les propriétaires d’animaux et offrent une position pertinente pour porter un regard périphérique sur les enjeux du marché. Il est alors possible de recenser les principaux facteurs susceptibles d’influencer, à plus ou moins court terme, la disponibilité du médicament vétérinaire en France. À la veille de l’entrée en application, en Janvier 2022, d’un nouveau règlement européen sur les médicaments vétérinaires, les regards se focalisent avec raison sur les perspectives d’ouverture du marché et sur les restructuration qui s’opèrent dans la filière : regroupements de laboratoires, centrales de référencement, chaînes et réseaux de vétérinaires franchisés, etc. Il convient cependant de ne pas négliger, les nombreuses transformations sociales, technologiques et environnementales auxquelles « l’écosystème vétérinaire » est également exposé. Mots-Clés : médicament vétérinaire, distribution, France, Union Européenne
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De Briey, Valérie. "Numéro 28 - mars 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15993.

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Abstract:
Les Nations Unies ont proclamé l’année 2005 "Année Internationale du Microcrédit". A cette occasion, la Plate-forme belge de la microfinance et la Coopération belge au développement (DGCD) organisent les 3 et 4 mars un séminaire de réflexion sur la microfinance. Dans le dernier numéro de Regards économiques, Valérie de Briey, qui est responsable de recherches au Cerisis, membre de la plate-forme belge de microfinance et du GRAP-OSC (CUD-DGCD), dresse un large panorama du rôle et des missions de la microfinance dans les pays en développement. Elle présente également les questions importantes qui seront débattues lors du séminaire des 3 et 4 mars. Ce communiqué résume les principaux points de son étude. De tous temps, de nombreuses activités de taille très réduite (qualifiées habituellement de micro-entreprises) se sont développées dans les pays du Sud, bien souvent partiellement ou totalement en marge des règles législatives et administratives, pour permettre aux populations pauvres de subsister. Celles-ci regroupent des activités aussi diverses que marchands ambulants, petits artisans, kiosques à journaux, taxis, vendeurs de rue, bazars, etc. Parmi les multiples contraintes auxquelles sont confrontées les micro-entreprises, la difficulté d’accès à des sources de financement extérieures représente encore aujourd’hui une entrave principale à leur bon développement. Elles ont en effet besoin d'un capital suffisant pour financer leurs équipements, leurs achats de fournitures, de matières premières, etc. Or, ce capital leur a longtemps fait défaut car les petites sommes demandées par ces micro-entrepreneurs, l’absence de garantir à offrir et bien souvent la nature risquée du projet rebutaient les banques commerciales traditionnelles. C’est pourquoi différents intermédiaires financiers spécialisés dans l’attention à ce type de clientèle ont vu le jour. Ces intermédiaires sont souvent qualifiés d’ «institutions de microfinance» (IMF). Leur rôle consiste à offrir des services financiers de base (épargne, crédit, assurance, transfert de fonds, etc.), aux montants réduits, à des populations pauvres afin de leur donner la possibilité d’investir et de se prémunir en cas de coups durs (conditions climatiques défavorables à la production, dépenses imprévues liées à une maladie ou à la perte de biens, etc.). Par ailleurs, la microfinance favorise également des retombées positives sur la famille en général : amélioration des conditions de vie, valorisation de l’auto-estime, financement de la scolarisation, des soins de santé, etc.). Il a cependant fallu attendre les années quatre-vingt pour que ce secteur soit véritablement reconnu comme générateur de revenus et créateur d’emplois. Depuis lors, il fait l’objet d’une attention toute particulière de la part tant des praticiens du développement, des politiciens que des chercheurs universitaires. Aujourd’hui, la micro-finance fait partie intégrante des politiques de développement des pays pauvres. En 1998 déjà, l’Assemblée Générale des Nations Unies avait proclamé l’année 2005 l’Année Internationale du micro-crédit pour marquer l’importance de cet instrument pour éradiquer la pauvreté. Son objectif à l’époque était de réduire de moitié les populations pauvres qui vivent sous le seuil de pauvreté d’ici 2015 (Objectifs de Développement pour le Millénaire). Depuis les expériences pionnières jusqu’à sa forte médiatisation de nos jours, le champ de la microfinance a fortement évolué. Il existe une pluralité d’institutions de microfinance faisant appel à des statuts juridiques différents (fondations, coopératives d’épargne et de crédit, institutions publiques, sociétés anonymes, etc.) dont les modes de fonctionnement et les objectifs diffèrent fortement. Les IMF sont aujourd’hui largement tributaires d’un discours néo-libéral prônant l’absolutisation du marché et l’adoption d’une démarche commerciale. Pour des institutions telles que Banque Mondiale ou les Nations Unies, il faut en effet parvenir à la construction de «marchés financiers intégrants» afin de mettre en place des systèmes de microfinance pérennes et qui touchent un grand nombre de populations pauvres. Elles préconisent dès lors l’institutionnalisation des programmes de microfinance, autrement dit, la mise en place d’institutions de microfinance rentables, répondant aux lois des marchés financiers concurrentiels et faisant appel à un mode de gouvernance efficace. Pour ces organismes en effet, les institutions à vocation sociale (de type ONG) sont la plupart du temps fragiles, tributaires des subsides en provenance des bailleurs de fonds et disposent d’une capacité limitée à faire face à la demande massive de microcrédits. D’autres personnes au contraire, principalement des acteurs de terrain soucieux de rester au service des plus démunis, s’interrogent sur les dérives potentielles de l’adoption d’une telle démarche et craignent que la poursuite de but de lucre conduise à l’écartement d’une clientèle plus défavorisée afin de satisfaire les critères de rentabilité propres aux marchés financiers. Elles réclament notamment le maintien de subsides. Cette opposition entre ces deux visions de la microfinance constitue ce que Morduch (1998) a qualifié de "microfinance schism". Ce schisme est également marqué par les méthodes d’évaluation auxquelles recourent les partisans de chacune des deux approches (études d’impact, instruments de rating, etc.). Plus qu’antagonistes, ces deux visions de la microfinance sont, selon Valérie de Briey, complémentaires. La pertinence de l’une ou l’autre doit s’évaluer au regard des acteurs en présence, de la cible poursuivie, de la densité de population, de la technologie disponible, du contexte économique, institutionnel, etc. La pérennité d’une IMF ne pourra en effet être atteinte que dans la mesure où l’institution peut opérer à grande échelle et avoir un volume d’activité tel que le point d’équilibre puisse être atteint. Il est donc par exemple nécessaire que la densité de la population soit suffisamment importante pour toucher un grand nombre d’emprunteurs. Par ailleurs, l’IMF doit également disposer d’une technologie appropriée pour évaluer rapidement les demandes de crédit et maintenir à jour l’information commerciale et financière. Sans ces conditions, la productivité des membres internes à l’IMF ne pourra pas être suffisante et la croissance du portefeuille assurée. Par ailleurs, dans le choix de l’approche dans laquelle doit s’inscrire l’IMF, il importe également selon Valérie de Briey de se pencher sur le degré de précarité de la cible visée. Certaines institutions, soucieuses de veiller à la rentabilité de leurs opérations de prêts, excluent en effet de leurs clients, certains secteurs d’activité jugés comme trop risqués (citons en autres les conducteurs de taxi) et mettent des conditions d’accès telles que de nombreux micro-entrepreneurs se trouvent hors des conditions d’accès (comme par exemple l’ancienneté minimale exigée ou le degré de formalisation de la micro-entreprise). Il y a donc place dans certaines zones géographiques pour la coexistence d’IMF différenciées (par exemple des sociétés anonymes adoptant une logique de rentabilité et des ONG adoptant une logique de développement de populations pauvres). Il est donc nécessaire, conclut l’auteur, que les limites du discours dominant orienté sur une approche de marchés soient reconnues et que les bailleurs de fonds adoptent une attitude différenciée selon les intermédiaires financiers considérés, et le contexte économique, social et institutionnel du pays dans lequel ces intermédiaires opèrent. Il faudrait en outre que les bailleurs de fonds adoptent des critères d’évaluation des IMF en cohérence avec la mission poursuivie par l’institution d’appui et ses valeurs fondatrices. Plus qu’antagonistes, les différentes méthodes d’évaluation proposées dans le champ de la microfinance sont, de l’avis de Valérie de Briey, elles aussi complémentaires. Leur utilité dépend tout à la fois de la mission de l’IMF (à vocation sociale ou financière), de la ou des personnes qui évaluent (bailleurs de fonds, membres internes, etc.), de la perspective adoptée (du point de vue des clients, des bailleurs de fonds, de l’institution, etc.) et des moyens dont disposent les évaluateurs. L’important est que les personnes en présence s’accordent sur l’objet de l’évaluation. L’auteur anticipe ainsi sur certaines questions qui seront débattues lors d’un séminaire de réflexion organisé par la plate-forme belge de Microfinance et la DGCD les 3 et 4 mars au Palais d’Egmont à Bruxelles à l’occasion de l’année 2005 proclamée «Année Internationale du Microcrédit» par les Nations Unies.
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De Briey, Valérie. "Numéro 28 - mars 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2005.03.01.

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Abstract:
Les Nations Unies ont proclamé l’année 2005 "Année Internationale du Microcrédit". A cette occasion, la Plate-forme belge de la microfinance et la Coopération belge au développement (DGCD) organisent les 3 et 4 mars un séminaire de réflexion sur la microfinance. Dans le dernier numéro de Regards économiques, Valérie de Briey, qui est responsable de recherches au Cerisis, membre de la plate-forme belge de microfinance et du GRAP-OSC (CUD-DGCD), dresse un large panorama du rôle et des missions de la microfinance dans les pays en développement. Elle présente également les questions importantes qui seront débattues lors du séminaire des 3 et 4 mars. Ce communiqué résume les principaux points de son étude. De tous temps, de nombreuses activités de taille très réduite (qualifiées habituellement de micro-entreprises) se sont développées dans les pays du Sud, bien souvent partiellement ou totalement en marge des règles législatives et administratives, pour permettre aux populations pauvres de subsister. Celles-ci regroupent des activités aussi diverses que marchands ambulants, petits artisans, kiosques à journaux, taxis, vendeurs de rue, bazars, etc. Parmi les multiples contraintes auxquelles sont confrontées les micro-entreprises, la difficulté d’accès à des sources de financement extérieures représente encore aujourd’hui une entrave principale à leur bon développement. Elles ont en effet besoin d'un capital suffisant pour financer leurs équipements, leurs achats de fournitures, de matières premières, etc. Or, ce capital leur a longtemps fait défaut car les petites sommes demandées par ces micro-entrepreneurs, l’absence de garantir à offrir et bien souvent la nature risquée du projet rebutaient les banques commerciales traditionnelles. C’est pourquoi différents intermédiaires financiers spécialisés dans l’attention à ce type de clientèle ont vu le jour. Ces intermédiaires sont souvent qualifiés d’ «institutions de microfinance» (IMF). Leur rôle consiste à offrir des services financiers de base (épargne, crédit, assurance, transfert de fonds, etc.), aux montants réduits, à des populations pauvres afin de leur donner la possibilité d’investir et de se prémunir en cas de coups durs (conditions climatiques défavorables à la production, dépenses imprévues liées à une maladie ou à la perte de biens, etc.). Par ailleurs, la microfinance favorise également des retombées positives sur la famille en général : amélioration des conditions de vie, valorisation de l’auto-estime, financement de la scolarisation, des soins de santé, etc.). Il a cependant fallu attendre les années quatre-vingt pour que ce secteur soit véritablement reconnu comme générateur de revenus et créateur d’emplois. Depuis lors, il fait l’objet d’une attention toute particulière de la part tant des praticiens du développement, des politiciens que des chercheurs universitaires. Aujourd’hui, la micro-finance fait partie intégrante des politiques de développement des pays pauvres. En 1998 déjà, l’Assemblée Générale des Nations Unies avait proclamé l’année 2005 l’Année Internationale du micro-crédit pour marquer l’importance de cet instrument pour éradiquer la pauvreté. Son objectif à l’époque était de réduire de moitié les populations pauvres qui vivent sous le seuil de pauvreté d’ici 2015 (Objectifs de Développement pour le Millénaire). Depuis les expériences pionnières jusqu’à sa forte médiatisation de nos jours, le champ de la microfinance a fortement évolué. Il existe une pluralité d’institutions de microfinance faisant appel à des statuts juridiques différents (fondations, coopératives d’épargne et de crédit, institutions publiques, sociétés anonymes, etc.) dont les modes de fonctionnement et les objectifs diffèrent fortement. Les IMF sont aujourd’hui largement tributaires d’un discours néo-libéral prônant l’absolutisation du marché et l’adoption d’une démarche commerciale. Pour des institutions telles que Banque Mondiale ou les Nations Unies, il faut en effet parvenir à la construction de «marchés financiers intégrants» afin de mettre en place des systèmes de microfinance pérennes et qui touchent un grand nombre de populations pauvres. Elles préconisent dès lors l’institutionnalisation des programmes de microfinance, autrement dit, la mise en place d’institutions de microfinance rentables, répondant aux lois des marchés financiers concurrentiels et faisant appel à un mode de gouvernance efficace. Pour ces organismes en effet, les institutions à vocation sociale (de type ONG) sont la plupart du temps fragiles, tributaires des subsides en provenance des bailleurs de fonds et disposent d’une capacité limitée à faire face à la demande massive de microcrédits. D’autres personnes au contraire, principalement des acteurs de terrain soucieux de rester au service des plus démunis, s’interrogent sur les dérives potentielles de l’adoption d’une telle démarche et craignent que la poursuite de but de lucre conduise à l’écartement d’une clientèle plus défavorisée afin de satisfaire les critères de rentabilité propres aux marchés financiers. Elles réclament notamment le maintien de subsides. Cette opposition entre ces deux visions de la microfinance constitue ce que Morduch (1998) a qualifié de "microfinance schism". Ce schisme est également marqué par les méthodes d’évaluation auxquelles recourent les partisans de chacune des deux approches (études d’impact, instruments de rating, etc.). Plus qu’antagonistes, ces deux visions de la microfinance sont, selon Valérie de Briey, complémentaires. La pertinence de l’une ou l’autre doit s’évaluer au regard des acteurs en présence, de la cible poursuivie, de la densité de population, de la technologie disponible, du contexte économique, institutionnel, etc. La pérennité d’une IMF ne pourra en effet être atteinte que dans la mesure où l’institution peut opérer à grande échelle et avoir un volume d’activité tel que le point d’équilibre puisse être atteint. Il est donc par exemple nécessaire que la densité de la population soit suffisamment importante pour toucher un grand nombre d’emprunteurs. Par ailleurs, l’IMF doit également disposer d’une technologie appropriée pour évaluer rapidement les demandes de crédit et maintenir à jour l’information commerciale et financière. Sans ces conditions, la productivité des membres internes à l’IMF ne pourra pas être suffisante et la croissance du portefeuille assurée. Par ailleurs, dans le choix de l’approche dans laquelle doit s’inscrire l’IMF, il importe également selon Valérie de Briey de se pencher sur le degré de précarité de la cible visée. Certaines institutions, soucieuses de veiller à la rentabilité de leurs opérations de prêts, excluent en effet de leurs clients, certains secteurs d’activité jugés comme trop risqués (citons en autres les conducteurs de taxi) et mettent des conditions d’accès telles que de nombreux micro-entrepreneurs se trouvent hors des conditions d’accès (comme par exemple l’ancienneté minimale exigée ou le degré de formalisation de la micro-entreprise). Il y a donc place dans certaines zones géographiques pour la coexistence d’IMF différenciées (par exemple des sociétés anonymes adoptant une logique de rentabilité et des ONG adoptant une logique de développement de populations pauvres). Il est donc nécessaire, conclut l’auteur, que les limites du discours dominant orienté sur une approche de marchés soient reconnues et que les bailleurs de fonds adoptent une attitude différenciée selon les intermédiaires financiers considérés, et le contexte économique, social et institutionnel du pays dans lequel ces intermédiaires opèrent. Il faudrait en outre que les bailleurs de fonds adoptent des critères d’évaluation des IMF en cohérence avec la mission poursuivie par l’institution d’appui et ses valeurs fondatrices. Plus qu’antagonistes, les différentes méthodes d’évaluation proposées dans le champ de la microfinance sont, de l’avis de Valérie de Briey, elles aussi complémentaires. Leur utilité dépend tout à la fois de la mission de l’IMF (à vocation sociale ou financière), de la ou des personnes qui évaluent (bailleurs de fonds, membres internes, etc.), de la perspective adoptée (du point de vue des clients, des bailleurs de fonds, de l’institution, etc.) et des moyens dont disposent les évaluateurs. L’important est que les personnes en présence s’accordent sur l’objet de l’évaluation. L’auteur anticipe ainsi sur certaines questions qui seront débattues lors d’un séminaire de réflexion organisé par la plate-forme belge de Microfinance et la DGCD les 3 et 4 mars au Palais d’Egmont à Bruxelles à l’occasion de l’année 2005 proclamée «Année Internationale du Microcrédit» par les Nations Unies.
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