Academic literature on the topic 'Verbe à complément attributif'

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Journal articles on the topic "Verbe à complément attributif"

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Hamma, Badreddine. "Passif des verbes psychologiques construits avec la séquence [par ce que P] : étude d’un complément d’agent pas très canonique." SHS Web of Conferences 46 (2018): 12001. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20184612001.

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Abstract:
Notre travail a pour but d’étudier un type particulier de « diathèse », appelé parfois « passif adjectival » ou « attributif » et qui est considéré comme une variété non canonique du « passif périphrastique ». Nous nous pencherons, en particulier, sur les cas renfermant un verbe psychologique suivi par la séquence libre [par ce que P] et occupant globalement la position d’un « complément d’agent ». Ce complément paraît rompre avec les formes habituelles des agents passifs, au moins à deux égards : du point de vue de la forme, il s’agit une enchâssée relative modifiant un pronom démonstratif neutre et, du point de vue du sens, il se mêle souvent avec l’expression de la cause. La séquencepar ce quey sera également opposée à la conjonction de causeparce que.
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WHITTAKER, SUNNIVA. "Description syntaxique et discursive des syntagmes nominaux de type N dit + complément adjectival, prépositionnel ou nominal." Journal of French Language Studies 15, no. 1 (March 2005): 83–96. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269505001936.

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Abstract:
Le présent article a un double objectif. Tout d'abord, il vise à déterminer le rapport entre la construction nominale N dit + complément et le verbe dire. L'étude de 270 occurrences tirées des journaux Le Monde et Libération amène à conclure qu'il existe deux types formels correspondant à deux schémas valenciels du verbe dire, à savoir dire + complément d'objet, où le verbe dire a un sens métalinguistique, et dire + complément d'objet + attribut de l'objet. Les occurrences du corpus relèvent à plus de 99 pour cent du premier type. La deuxième partie de l'étude vise à mettre au jour le rôle discursif de la construction. Celui-ci est étroitement lié au statut du sujet sous-jacent du verbe dire.
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Nakamura, Takuya. "Une construction à double complément du verbe faire : attribut de l’objet indirect ?" SHS Web of Conferences 1 (2012): 2393–414. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20120100249.

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Tellier, Christine. "Remarques sur avoir attributif et possessif." Revue québécoise de linguistique 22, no. 1 (May 1, 2009): 165–81. http://dx.doi.org/10.7202/602757ar.

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Abstract:
Résumé Cet article fait état des différences syntaxiques qui distinguent les usages attributif et possessif du verbe avoir, usages illustrés par des phrases du type elle a les yeux verts et elle a des yeux verts, respectivement. Il est proposé que ces différences découlent des propriétés lexicales des deux verbes : avoir attributif est un verbe sémantiquement vide qui régit une proposition prédicative réduite, alors que avoir possessif, sémantiquement plein, sélectionne un argument externe et un argument interne. Ainsi, les différences syntaxiques entre les deux constructions (type de NP postverbal (aliénable ou inaliénable), nature du déterminant (défini, non défini), possibilité de modification par un adjectif qualifiant, type de prédicat secondaire (état passager ou propriété permanente) sont attribuables au rôle que doit jouer dans la structure le NP post-verbal, soit prédicatif avec avoir attributif et argumental avec avoir possessif.
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Van Wettere, Niek. "L’attribut du sujet de (dés)intensification : un indice révélateur du profil aspectuel contraint des semi-copules ?" Neuphilologische Mitteilungen 121, no. 1 (December 23, 2020): 181–214. http://dx.doi.org/10.51814/nm.101257.

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Abstract:
La présente étude mettra en évidence que les semi-copules tomber, tourner et virer, issues de verbes de mouvement, ne se combinent guère avec les attributs du sujet comparatifs et scalaires de (dés)intensification (p. ex. ??il tombe plus amoureux), contrairement à la copule prototypique exprimant le changement d’état, à savoir devenir. La compatibilité avec l’attribut de (dés)intensification constitue donc un critère de copularité au sein de ce sous-ensemble de verbes attributifs. Cette contrainte caractérisant les semi-copules examinées est à mettre en rapport avec leur profil aspectuel, qui ne couvre pas l’intensification d’un état déjà atteint. Nous pouvons expliquer ce profil aspectuel plus réduit, en comparaison avec devenir, par la persistance lexicale du sens de mouvement qui est à l’origine de l’emploi attributif du verbe. Concrètement, la trajectoire du mouvement se termine par une «position finale» au-delà de laquelle on ne peut pas continuer à poursuivre le mouvement. Dans l’emploi attributif du verbe de mouvement, l’AS correspond à l’atteinte de cette position finale cible, d’où une contrainte similaire qui s’impose à ce niveau plus abstrait: à partir du moment où l’état cible est atteint, il devient quasiment impossible de diminuer ou d’augmenter l’intensité de cet état déjà réalisé qui caractérise le sujet.
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Iordache, Roxana. "Le complément hypothétique en latin." Linguistica 42, no. 1 (December 1, 2002): 19–29. http://dx.doi.org/10.4312/linguistica.42.1.19-29.

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Abstract:
Le complément du verbe à sens conditionnel n'est pas présenté, il n'est mȇme pas mentionné dans la quasi-totalité des grammaires de la langue latine. Certains dictionnaires (en premier lieu Thesaurus linguae Latinae) et la Grammaire de R. Kiihner-C. Stegmann-A. Thierfelder traitent de l'emploi des adverbes ita et aliter, ainsi que de la préposition in à sens conditionnel et également de l 'usage de la formule ea condicione, tout en négligeant d'autres aspects du complément du verbe hypothétique. Nous nous proposons, dans le présent article, de donner une vue d'ensemble du complément hypothétique (nommé, parfois, aussi «circonstant» hypothétique 1 ), vue qui pourra ȇtre utile à l'approche théorique du complement hypothétique, en premier lieu des langues romanes, ensuite des autres idiomes indo-européens. Nous allons présenter le complément conditionnel en suivant son évolution historique.
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Mir-Samii, Reza. "Valeur de "de" devant l'infinitif complément de verbe." Faits de langues 5, no. 9 (1997): 119–26. http://dx.doi.org/10.3406/flang.1997.1146.

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Hu, Xiaoshi. "Explorer la structure interne des constructions causatives du français." Canadian Journal of Linguistics/Revue canadienne de linguistique 63, no. 1 (November 16, 2017): 70–99. http://dx.doi.org/10.1017/cnj.2017.42.

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Abstract:
RésuméLe présent article porte sur la structure interne des constructions causatives du français. Son argumentation se base sur deux idées essentielles : que l'interprétation de respectivement révélerait l'effet d'intervention dans les constructions bi-propositionnelles, et que la montée du quantifieur serait soumise à la minimalité et à la Condition d'impénétrabilité des phases. J'utiliserai ces deux phénomènes comme tests pour justifier d'une part la relation morpho-syntaxique entre le verbe causatif faire et le verbe causativisé, et d'autre part la dérivation de l'ordre VOS (verbe-objet-sujet) du complément de faire. Je compte démontrer que les constructions causatives du français sont analogues aux constructions ECM (Exceptional Case Marking), qui impliquent un TP défectif enchâssé; et que l'ordre VOS du complément de faire, dans la construction faire-à et dans la construction faire-par, impliquent deux dérivations différentes. Le premier est dérivé par Object Shift, tandis que le deuxième est dérivé par Smuggling.
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Balat, Michel. "Rhèmes d’amour." Protée 26, no. 3 (April 12, 2005): 77–87. http://dx.doi.org/10.7202/030529ar.

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Abstract:
Cet article met à l’épreuve la distinction classique icône/symbole dans l’étude de graphes. Accessoirement, il démontre qu’à partir d’une proposition simple, du type sujet–verbe–complément direct, et de la négation des ses parties, on peut constituer 448 propositions distinctes.
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Huyghe, Richard, and Gilles Corminboeuf. "Les alternances objet / oblique en français : goûter (à) un vin, dévaler (de) la colline, chercher (après) ses clés, etc." SHS Web of Conferences 46 (2018): 12012. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20184612012.

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Abstract:
L’étude porte sur le cas où deux constructions, l’une à complément d’objet, l’autre à complément oblique, sont en concurrence pour un même verbe (goûter X / goûter à X, chercher X / chercher après X, pousser X / pousser sur X). Nous définissons dans un premier temps les conditions exactes des alternances étudiées et clarifions plusieurs points relatifs à la polysémie verbale, au statut syntaxique du SP et à l’extension d’emploi de l’alternance. Nous consacrons la seconde section du papier à l’étude des contreparties sémantiques éventuellement associées à l’existence de deux constructions distinctes. Nous établissons une tripartition des alternances, fondée sur la littérature scientifique à disposition, et nous montrons que la classification proposée ne couvre pas l’ensemble des cas répertoriés en français. Nous proposons une approche multifactorielle du phénomène, qui ménage notamment une place aux faits de variation inter-locuteurs.
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More sources

Dissertations / Theses on the topic "Verbe à complément attributif"

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Al, Yafi Hanadi. "Les verbes à complément attributif en français et en arabe et leurs traductions." Thesis, Lyon 2, 2011. http://www.theses.fr/2011LYO20061/document.

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Abstract:
La présente thèse relève à la fois de la linguistique et de la traduction. La traduction fait apparaître les similitudes et les différences sémantiques et syntaxiques entre les systèmes langagiers de la langue de départ et la langue d’arrivée. La traduction des verbes à compléments attributifs exige une connaissance approfondie de leur grammaire et de la syntaxe de leurs constructions. Une étude descriptive séparée de chaque langue présente un schéma syntaxique de ces verbes en français et en arabe. Cette thèse examine dans la dernière partie le cas du verbe kāna, verbe très important et de haute fréquence parmi les verbes à compléments attributifs étudiés. L’analyse portait sur le texte coranique. Une approche comparative montre que les équivalents de « kāna + préposition » trouvés dans la traduction de Blachère ne correspondent pas aux équivalents donnés par les dictionnaires et qu’il était impossible de traduire un verbe en se contentant de recourir à ces derniers, qui ne nous donnent pas toujours un équivalent parfait du verbe étudié et ne recouvrent pas tous les contextes possibles. En tant qu’exposant temporel ou verbe d’état, le verbe kāna doit être traduit d’après des indices contextuels (les marqueurs de la négation, modalités, préposition, …). Cette analyse indique clairement que le contexte immédiat et médiat du verbe joue un rôle primordial dans sa traduction comme on peut le voir avec le verbe kāna illustré par des exemples tirés du texte coranique
This thesis pertains to both linguistics and translation studies. Translating from one language to another presents semantic and syntactic similarities and differences between Arabic and French. The translation of verbs with attributive complement demands a very good understanding of the grammar and of the syntactic constructions of the phrases containing these verbs. Separate studies of Arabic and French show a syntactical pattern of their verbs with attributive complement. This thesis also analyzes the use of the extremely important verb, kāna, the most frequently used between the Arabic verbs with an attribute studied in the corpus. We analysed its uses in the Coran. A close comparison shows that the equivalents of " kāna + preposition " that Blachère gives in his translation do not match with those found in dictionaries. In fact, translating this verb only with the definitions found in dictionaries is impossible. A dictionary as a single source will never be sufficient in the realm of translation. As a temporal exponent or a state verb, kāna must be translated by using contextual clues including (negation marker, modality, prepositions, …). This analysis clearly indicates that both direct and indirect contexts of a verb play an essential role in its translation. The verb, kāna, with its examples from the Coran documents this principle
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Lablanche, Anne. "L'infinitif complément d'un verbe, d'un adjectif, d'un nom. Ecriture d'un fragment de grammaire." Phd thesis, Université de Nanterre - Paris X, 2007. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00208086.

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Abstract:
Le but de cette thèse est de construire un fragment de grammaire du français rendant compte de la syntaxe de l'infinitif dans le cadre des grammaires d'arbres polychromes (GAP).
La thèse se compose de deux parties. La première concerne l'étude des problèmes que pose l'infinitif. L'infinitif, comme un verbe, a des compléments et le constituant qu'il forme avec ses compléments peut être lui aussi un complément d'un verbe, d'un nom, d'un adjectif. Ce que les grammaires traditionnelles traduisent en parlant d'une double nature : il possède à la fois des propriétés nominales et verbales. D'où une difficulté spécifique pour faire entrer la syntaxe de l'infinitif dans un modèle formel qui puisse se prêter au traitement automatique. Nous appelons constituant infinitif l'unité composée d'un verbe infinitif et de ses compléments. Il est expliqué pourquoi ce terme est préféré à celui de « proposition subordonnée infinitive ».
La seconde partie aborde l'analyse syntaxique des constituants infinitifs en GAP et s'organise autour des contextes dans lesquels apparaît l'infinitif (un verbe, un nom, un adjectif). Le choix d'une représentation en GAP permet de mettre à l'épreuve ce formalisme et de montrer l'intérêt qu'il y a de séparer les fonctions syntaxiques des catégories. Ainsi peut-on rendre compte des cas où un constituant d'une catégorie non nominale occupe une position en général occupée par un nom.
Ce travail aura permis, en s'intéressant à la question de la syntaxe de l'infinitif, en partant d'une réinterrogation de certaines études en provenance des grammaires traditionnelles, de parvenir à l'enrichissement d'un formalisme élaboré dans la perspective du TAL.
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Lablanche, Anne. "L’infinitif complément d'un verbe, d'un adjectif, d'un nom : écriture d'un fragment de grammaire." Paris 10, 2007. http://www.theses.fr/2007PA100111.

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Abstract:
Le but de cette thèse est de construire un fragment de grammaire du français rendant compte de la syntaxe de l'infinitif dans le cadre des grammaires d'arbres polychromes (GAP). La thèse se compose de deux parties. La première concerne l'étude des problèmes que pose l'infinitif. L’infinitif, comme un verbe, a des compléments et le constituant qu’il forme avec ses compléments peut être lui aussi un complément d’un verbe, d’un nom, d’un adjectif. Ce que les grammaires traditionnelles traduisent en parlant d'une double nature : il possède à la fois des propriétés nominales et verbales. D’où une difficulté spécifique pour faire entrer la syntaxe de l’infinitif dans un modèle formel qui puisse se prêter au traitement automatique. Nous appelons constituant infinitif l’unité composée d'un verbe infinitif et de ses compléments. Il est expliqué pourquoi ce terme est préféré à celui de « proposition subordonnée infinitive ». La seconde partie aborde l'analyse syntaxique des constituants infinitifs en GAP et s'organise autour des contextes dans lesquels apparaît l'infinitif (un verbe, un nom, un adjectif). Le choix d’une représentation en GAP permet de mettre à l’épreuve ce formalisme et de montrer l’intérêt qu’il y a de séparer les fonctions syntaxiques des catégories. Ainsi peut-on rendre compte des cas où un constituant d'une catégorie non nominale occupe une position en général occupée par un nom. Ce travail aura permis, en s’intéressant à la question de la syntaxe de l’infinitif, en partant d’une réinterrogation de certaines études en provenance des grammaires traditionnelles, de parvenir à l’enrichissement d’un formalisme élaboré dans la perspective du TAL
The aim of this thesis is to build a piece of French grammar explaining the use of the infinitive syntax within the framework of polychrome tree grammars. The thesis comprises two parts. The first part studies problems associated with the infinitive. The infinitive, like a verb, has complements and the component it forms with its complements can in turn be the complement to a verb, a noun or an adjective. Traditional grammars express this as the double nature of an infinitive: it has the properties of a verb and of a noun/ it has both verbal and nominative properties. It is therefore difficult to insert the infinitive syntax into a formal model allowing the use of computational linguistics. We define the infinitive component as the unit comprising an infinitive verb and its complements. We explain why this term is preferable to “infinitive subordinated proposition”. The second part examines the syntactic analysis of infinitive components within the framework of polychrome tree grammars and is organized around the contexts in which the infinitive is used (a verb, a noun, an adjective). A polychrome tree grammar representation makes it possible to test this formalism and demonstrates the benefits of separating the syntactic function of each category. One can thus explain the cases in which the component of a non-nominal category performs a role generally performed by a noun. Finally, this work on the syntax of the infinitive, which revisits certain studies from traditional grammars, enriches the formalism constructed within the framework of computational linguistics
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Souid, Habiba. "Les compléments comme determinants sémantiques du verbe." Phd thesis, Université de la Sorbonne nouvelle - Paris III, 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00980461.

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Abstract:
Les sens complémentaires en arabe sont multiples et variés. Outre les aspects syntaxiques, nous relevons des aspects sémantiques propres à chaque complément. L'introduction de l'un de ces sens dans la phrase l'enrichit et entraîne des précisions qui se rattachent au verbe. Les grammairiens classiques parlent des (mafûîät) ou encore des (manûübät) noms au cas accusatif, ils s'intéressent ainsi au traits formels des compléments. Les rhétoriciens soulignent les traits sémantiques. Ils insistent sur le sens de la restriction déterminative qu'exerce le complément sur le verbe. Une approche critique démontre que les compléments en arabe jouent un rôle important dans l'éclaircissement du sens de l'action. C'est donc le verbe qui sélectionne le sens complémentaire convenable. En arabe moderne (dans les écritures contemporaines) l'usage des compléments ne s'écarte pas loin de l'usage classique. Les auteurs sont soumis aux règles de la théorie grammaticale des premiers siècles. Toutefois, il existe certains aspects d'évolution qui reviennent, soit au choix libre de l'écrivain, soit à l'évolution interne de la langue elle-même.
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Ngan, Yuk-Han. "Évolution des constructions "verbe + complément" du chinois bas-archai͏̈que au chinois haut-médiéval (5ème siècle av. J. C. - 6ème siècle) : analyse diachronique." Paris, EHESS, 2001. http://www.theses.fr/2001EHES0078.

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Elfakharany, Cherine. "L'harmonisation sémantique entre le verbe et sa préposition : l'exemple de "sur" : approche synchronique." Thesis, Lyon, 2018. http://www.theses.fr/2018LYSE2142.

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Abstract:
La définition la plus commune de la préposition sur, y compris chez les linguistes, est qu'elle indique la position d'un sujet supérieur à un objet, comme, sur le plan spatial, dans La lampe est sur la table, et, sur le plan métaphorique, dans Les politiques influent sur le sort du peuple. Cependant cette approche rencontre de nombreuses difficultés : entre autres, on ne peut l'appliquer, sur le plan spatial, à : La petite fille leva les yeux sur son père ni, sur le plan temporel, à : Elle va sur ses vingt ans, ou encore, sur le plan métaphorique, à : Amr compte sur ses amis. Les définitions existantes de la préposition sur ne sont donc pas satisfaisantes. Notre thèse propose, dans sa première partie, une identité sémantique pour cette préposition, après une évaluation critique de ce que proposent les dictionnaires, grammaires de référence et divers travaux scientifiques qui lui sont consacrés. L'hypothèse est que le verbe sélectionne la préposition qui introduit son complément selon une affinité sémantique entre les deux – par exemple, si influer construit son complément avec sur, c'est qu'il y aurait un accord, une harmonie sémantique, entre influer et sur. Le second volet de la thèse met au point le corpus fiable et exhaustif qui permettra de tester l'hypothèse avancée dans les conditions les plus rigoureuses possibles, à savoir les verbes ne construisant leur complément qu'avec la préposition sur – ce qui suppose la caractérisation préalable de la notion de « complément ». Le troisième chapitre comporte une première partie vérifiant dans le corpus que la préposition sur a bien l'identité que lui confère notre hypothèse, ce qui est le cas à 100 % des énoncés testés. La seconde partie montre à 92 % que le verbe se construit avec une préposition avec laquelle il a une affinité de sens. L'hypothèse selon laquelle il y a harmonisation sémantique entre le verbe et sa préposition – en l'occurrence dans le cas du complément introduit par sur avec l'identité que nous lui avons attribuée – se trouve donc vérifiée
The most common definition of the preposition on, including among linguists, is that it indicates the position of a subject superior to an object, as, spatially, in La lampe est sur la table, and on the metaphorical plan, in Les politiques influent sur le sort du peuple. However, this approach encounters many difficulties : among other things, it can’t be applied spatially to : La petite fille leva les yeux sur son père or, temporally, at : Elle va sur ses vingt ans, or, on a metaphorical level, to : Amr compte sur ses amis. The existing definitions of the preposition on are therefore not satisfactory. Our thesis proposes, in its first part, a semantic identity for this preposition, after a critical evaluation of what the dictionaries, the reference of grammars and various scientific works dedicated to it offer. The hypothesis is that the verb selects the preposition which introduces its complement according to a semantic affinity between the two - for example, if influence builds its complement with on in French, it is that there would be an agreement, a semantic harmony, between to influence and on. The second part of the thesis develops the reliable and exhaustive corpus that will test the advanced hypothesis in the most rigorous conditions possible, namely verbs that build their complement with the preposition on - which assumes the prior characterization of the concept of "complement". The third chapter contains a first part verifying in the corpus that the preposition on has the identity conferred by our hypothesis, which is the case for 100% of the statements tested. The second part shows 92% that the verb is constructed with a preposition with which it has an affinity of meaning. The hypothesis that there is semantic harmonization between the verb and its preposition - in this case of the complement introduced by on with the identity that we attributed to it - is therefore verified
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Bouard, Bérengère. "Structure de la proposition et construction verbale : régime, complément et transitivité dans les grammaires françaises, 1651-1863." Phd thesis, Université Paris-Diderot - Paris VII, 2007. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00373956.

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Abstract:
La Grammaire Générale et Raisonnée de Port-Royal (1660) adopte une représentation logique de la proposition : sujet-est-attribut. Le verbe être, à la troisième personne et à l'indicatif, est appelé verbe substantif, il préexiste à tous les autres verbes, appelés adjectifs, ainsi Pierre vit est équivalent à Pierre est vivant. Ce modèle propositionnel engendre deux contraintes considérables dans la description des constructions verbales. Premièrement, la définition du verbe substantif évacue toute théorie de la transitivité. Deuxièmement, la réécriture logique de tout verbe en est suivi du participe présent, bloque la reconnaissance d'un syntagme nominal dépendant du verbe. Les grammairiens du français, tiraillés entre l'acceptation de cette structure comme implication du programme de la grammaire générale et le constat de son inadéquation, vont adapter ce modèle. Il fait alors l'objet de différents remaniements, du point de vue de la définition du verbe et des constituants de la proposition. Ce sont précisément ces aménagements qui vont permettre l'émergence de la catégorie fonctionnelle de « complément » ainsi que celle de « verbe transitif ». Pour ce qui est du complément, la notion va s'élaborer en interférence avec celle, ancienne, de « régime », à l'aide du concept de « détermination » provenant de la logique. Pour ce qui est du verbe, les critères mêlés du classement latin en cinq « genres » : actif, passif, neutre, commun, déponent, vont être séparés jusqu'à l'émergence des classes modernes de verbe transitif direct et indirect vs verbe intransitif au milieu du 19ème siècle.
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Mekannez, Leila. "La préposition entre structure syntaxique et résolution sémantique : le cas des compléments prépositionnels de verbes construits avec la préposition à." Thesis, Lyon, 2017. http://www.theses.fr/2017LYSE2142/document.

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Abstract:
L'objectif est de déterminer si le sens attribué à la préposition provient d’un sémantisme initial, stable en langue mais susceptible de diversement se décliner en discours, ou s’il est constitué à partir de son environnement, par conséquent à partir des combinaisons opérées dans le discours lui-même. La réflexion est, dans la présente étude, centrée sur la relation de la préposition avec le verbe qui la sélectionne. Néanmoins, d'autres éléments environnants doivent être pris en considération dans la mesure où ils interviennent dans l’interprétation du sens. L'hypothèse est que la préposition possède une identité fondamentale qui fait qu'elle est choisie par le verbe en l'une des acceptions de ce dernier, afin de véhiculer un certain sens, et que, réciproquement, l'ensemble ainsi formé détermine la distribution du complément syntaxique de la préposition. Cette hypothèse repose sur l'adoption du principe, dans le point de vue retenu sur le fonctionnement de la langue, selon lequel la forme et le sens varient concomitamment. Autrement dit, une similitude de forme (par exemple la présence de la préposition à) est supposée intrinsèquement liée à une similitude de sens (il y a donc à rechercher un point commun sémantique à tous les verbes qui se construisent avec la préposition à) et, réciproquement, une différence de forme (par exemple la présence de la préposition à opposée à son absence) est supposée intrinsèquement liée à une différence de sens. L'adoption de ce principe heuristique impose, par le lien étroit que notre hypothèse institue entre le verbe et la préposition d’un côté, et entre le verbe et le syntagme prépositionnel de l’autre, d’envisager ces différents types de relations aussi bien dans des configurations formelles (syntaxiques) que dans des configurations sémantiques. Sur le plan formel, nous étions amenée à distinguer les différents types de groupes prépositionnels en fonction de leur lien plus ou moins proche avec le verbe. Notre hypothèse est que l’on peut rendre compte de la relation du verbe avec le syntagme prépositionnel qu’il régit au moyen d’un classement scalaire L’approche de la préposition à introduisant un groupe prépositionnel impose de séparer le complément de verbes des autres types de groupes prépositionnels(GP) dont les dénominations sont variés et contestables puisque les critères de définition fixés par la grammaire dite traditionnelle comme la suppression et le déplacement caractérisant habituellement le complément circonstanciel et la pronominalisation typique du complément sont insuffisamment distinctifs. Comme on trouve des compléments supprimables par exemple,elle chante (une chanson), dans l’emploi absolu du verbe, on trouve aussi des circonstants pronominalisables comme (il mange dans la cuisine, il y mange). Pour cela, le chapitre II présente deux contributions renouvelant ce que nous avons précédemment appelé « les théories classiques » : l'article de Lavieu (2006), s'affronte précisément aux difficultés que nous avons soulevées, et propose une reconfiguration terminologique et taxinomique distinguant entre « constituants » (où se rangent les « compléments » et les « ajouts ») et « incidents »Pour résoudre le problème de la distinction entre les différents types syntaxiques régis par à, nous avons opté pour un classement scalaire (idée inspirée de la théorie de l’actance de Lazard) qui détermine le degré de relation des verbes avec les différents actants régis par cette préposition. Ce classement a été fait au regard des mêmes tests syntaxiques sur un corpus illustrant la complémentation en à d’abord dans une structure simple et ensuite dans une structure double.Ainsi, nous avons tenté de caractériser formellement les GP en à régis par le verbe dans les différentes structures dans lesquelles ils figurent. Notre classement scalaire a montré qu’il y a une graduation dans le rapport du verbe avec le complément allant du degré le plus fort au degré le plus faible
The objective of this thesis is to determine whether the meaning attributed to the preposition is primarily semantic or not. The aim is then to prove that though it is grammatically fixed, it can vary since it is shaped by its context, thereby assembled by multiple discourse combinations. In the present research, the focus is then centred on the study of the relationship between the preposition and the verb it determines. Accordingly, several other related elements will be studied as they intervene in the act of interpreting meaning itself. The thesis of this Ph.D dissertation suggests that the preposition has a given core identity which is determined by the verb itself and which by implication determines the meaning and the nature of the syntactic complement as well.This thesis contends then that form and meaning do vary considerably but still simultaneously. In other words, what determines form determines by implication meaning as well. The present thesis seeks then to study the different aspects and mechanics of the relationship between the verb and its preposition.In the present thesis, the study of the preposition requires all verb complements to remain separate from the different types of prepositional groups. The second chapter attempts then to re-examine the contentions of classical theories, particularly with reference to Laview’s article (2006). In order to effectively study the multiple differences and distinctions between the different syntactic classes, a scalar approach is adopted. The findings demonstrate in fact that the relationship between the verb and its complement is constantly varying. Actually, the fifth chapter of the second part includes the corpus needed to attest the research questions.The semantic research part of the present thesis, seeks in fact to further elaborate the principle that relates meaning to form. In order to demonstrate that, the approach has been based on the characteristics of the syntactic complements which are actually the main target of the analysis in the first part of the thesis.Conducting then a comparative analysis of different types of verbs which are all related by their respective preposition complement “à”, the following findings are deduced:- The nature of the verb is determined by the type of the preposition- The preposition introduces its complement meanwhile identifying the nature of the verb itself- Regardless of the nature or the type of the verb, what the preposition adds to meaning remains the sameThe main objective of this research work is then to offer new and pertinent assumptions concerning the role and function of the preposition “à”, meanwhile still taking into consideration former critical assumption advocated by Grévisse, Gougenheim, Guillaume, Pottier and Cadiot°. Since the main focus of this research work is to study the semantic identity of the preposition “à”, the approach has been based on an attempt to validate or refute all former semantic assumptions presented by former writers, exploring then the different aspects of the relationship between the verb and the preposition based of the corpus of LVF. The analysis of the different examples studied required also that a nominalisation test and a telicity test should be conducted. The following are the main findings:- There is no definite syntactic difference between the verb and the nominalised structure- The empirical study of LVF which seeks to distinguish the different dative cases reveals that the idea of interchangeability is not at the very basis of the meaning of the verb itself- The lexical dative does not automatically entail deletion of the GP since the idea of interchangeability is primarily expressed by the meaning of the verb itself- The preposition “à” designates both the origin and the recipient as well. It is a in fact linear retrospective movement which allows the process of interchangeability
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Ismayilov, Abdulali. "Étude comparative russe-français des constructions verbales problématiques lors de l'apprentissage du français (langue étrangère)." Thesis, Paris 4, 2017. http://www.theses.fr/2017PA040169.

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Abstract:
Basée sur une analyse contrastive, cette thèse aborde la structure verbale en français et en russe. Son objectif est d’établir un regard réflexif sur les deux langues dans le but de déterminer la différence et la ressemblance dans leur construction verbale. Explorant la question des verbes de structure différente des langues concernées, elle tente également de trouver les difficultés provoquées par cette différence à l’apprentissage. Ainsi, dans cette recherche, on parle des verbes problématiques sous un angle aussi didactique que linguistique. Composé de trois chapitres, ce travail étudie dans un premier temps le statut transitif/intransitif des verbes dans les deux langues en traitant l’approche traditionnelle et moderne et met en place une étude contrastive par rapport à la question de valence. On explore la construction verbale avec complément dans le deuxième chapitre de la recherche. Dans cette partie, l’analyse parallèle des verbes est effectuée afin de repérer leur fonctionnement selon les moyens grammaticaux de chaque langue. Et finalement, la comparaison de chaque verbe considéré problématique à l’apprentissage des deux langues suivie de tableaux fait partie du dernier chapitre. La production des tests préliminaires effectués auprès des apprenants russophones constitue également cette partie pour mieux comprendre la difficulté de ces derniers lors de la communication
Based on a contrastive analysis, this thesis deals with the verbal structure in French and Russian. Its objective is to establish a reflexive look at the two languages in order to determine the difference and the similarity in their verbal construction. Exploring the question of the verbs of different structure, it also tries to find the difficulties caused by this difference in learning. Thus, in this research, problematic verbs are spoken of in a didactic as well as linguistic angle. This work, composed of three chapters, speaks first of all about the transitive/intransitive status of verbs in both languages by treating the traditional and modern approach and sets up a contrastive study in relation to the valence question. Verbal construction is explored with complement in the second chapter of the research. In this part, the parallel analysis of the verbs is performed in order to identify their functioning according to the grammatical means of each language. And finally, the comparison of each verb considered problematical to the learning in both languages followed by tables took the part of the last chapter. The production of preliminary tests with Russian-speaking learners is also part of this work in order to better understand the difficulties of the latter during the communication
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Arseneau, Maryse. "The infinitive and the gerund-participle as complements of verbs of risk." Thesis, Université Laval, 2009. http://www.theses.ulaval.ca/2009/26175/26175.pdf.

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Abstract:
Thèse (M.A.)--Université Laval, 2009.
Comprend un résumé en français et en anglais. Bibliogr.: f. 126-131. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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Philippe, Gilles. Sujet, verbe, complément : Le moment grammatical de la littérature française 1890-1940. Gallimard, 2002.

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