Academic literature on the topic 'Vie religieuse – Caux, Pays de (France)'

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Journal articles on the topic "Vie religieuse – Caux, Pays de (France)"

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Tidiane-Wane, Cheikh, and Laëtitia Cordier. "Diversité culturelle et éducation au vivre ensemble en EPS : quelles compétences interculturelles pour un enseignement contextualisant?" Axe 2 – Vers une éducation physique de qualité, 2021. http://dx.doi.org/10.25518/sepaps20.401.

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Abstract:
La France, comme bon nombre de pays européens, est confrontée à une diversité culturelle, religieuse et linguistique croissante dans les établissements scolaires. Il en résulte une coexistence, non sans difficulté, de diverses conceptions du monde, de la vie, de l’éducation. Pour autant les institutions scolaires doivent gérer cette diversité mais également favoriser la construction d’une culture commune en préparant de futurs citoyens capables de vivre ensemble et de prendre part à la vie de la cité. L’objectif de ce travail est donc d’identifier, à travers une étude de cas, les représentations du vivre ensemble qu’ont des enseignant-e-s d’EPS et les compétences interculturelles qu’ils mobilisent pour le favoriser en EPS en contexte interculturel. Les résultats montrent que le rapport au vivre ensemble des enseignants est lié à leur perception du contexte et aux valeurs qui font sens pour eux. Ces dernières déterminent et structurent les compétences interculturelles qu’ils mobilisent.
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2

Dunoyer, Christiane. "Monde alpin." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.101.

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Abstract:
Après avoir été peint et décrit avec des traits plus pittoresques qu’objectifs par les premiers voyageurs et chercheurs qui traversaient les Alpes, mus tantôt par l’idée d’un primitivisme dont la difformité et la misère étaient l’expression la plus évidente, tantôt par la nostalgie du paradis perdu, le monde alpin a attiré le regard curieux des folkloristes à la recherche des survivances du passé, des anciennes coutumes, des proverbes et des objets disparus dans nombre de régions d’Europe. Au début du XXe siècle, Karl Felix Wolff (1913) s’inspire de la tradition des frères Grimm et collecte un nombre consistant de légendes ladines, avec l’objectif de redonner une nouvelle vie à un patrimoine voué à l’oubli. Tout comme les botanistes et les zoologues, les folkloristes voient le monde alpin comme un « merveilleux conservatoire » (Hertz 1913 : 177). Un des élèves les plus brillants de Durkheim, Robert Hertz, analyse finement ces « formes élémentaires de la vie religieuse » en étudiant le pèlerinage de Saint Besse, qui rassemble chaque année les populations de Cogne (Vallée d’Aoste) et du Val Soana (Piémont) dans un sanctuaire à la montagne situé à plus de 2000 mètres d’altitude. Après avoir observé et questionné la population locale s’adonnant à ce culte populaire, dont il complète l’analyse par des recherches bibliographiques, il rédige un article exemplaire (Hertz 1913) qui ouvre la voie à l’anthropologie alpine. Entre 1910 et 1920, Eugénie Goldstern mène ses enquêtes dans différentes régions de l’arc alpin à cheval entre la France, la Suisse et l’Italie : ses riches données de terrain lui permettent de réaliser le travail comparatif le plus complet qui ait été réalisé dans la région (Goldstern 2007). Une partie de sa recherche a été effectuée avec la supervision de l’un des fondateurs de l’anthropologie française et l’un des plus grands experts de folklore en Europe, Arnold Van Gennep. Pour ce dernier, le monde alpin constitue un espace de prédilection, mais aussi un terrain d’expérimentation et de validation de certaines hypothèses scientifiques. « Dans tous les pays de montagne, qui ont été bien étudiés du point de vue folklorique […] on constate que les hautes altitudes ne constituent pas un obstacle à la diffusion des coutumes. En Savoie, le report sur cartes des plus typiques d’entre elles montre une répartition nord-sud passant par-dessus les montagnes et les rivières et non pas conditionnée par elles » (Van Gennep 1990 : 30-31). L’objectif de Van Gennep est de comprendre de l’intérieur la « psychologie populaire », à savoir la complexité des faits sociaux et leur variation. Sa méthode consiste à « parler en égal avec un berger » (Van Gennep 1938 : 158), c’est-à-dire non pas tellement parler sa langue au sens propre, mais s’inscrire dans une logique d’échange actif pour accéder aux représentations de son interlocuteur. Quant aux nombreuses langues non officielles présentes sur le territoire, quand elles n’auraient pas une fonction de langue véhiculaire dans le cadre de l’enquête, elles ont été étudiées par les dialectologues, qui complétaient parfois leurs analyses des structures linguistiques avec des informations d’ordre ethnologique : les enseignements de Karl Jaberg et de Jakob Jud (1928) visaient à associer la langue à la civilisation (Wörter und Sachen). Dans le domaine des études sur les walsers, Paul Zinsli nous a légué une synthèse monumentale depuis la Suisse au Voralberg en passant par l’Italie du nord et le Liechtenstein (Zinsli 1976). Comme Van Gennep, Charles Joisten (1955, 1978, 1980) travaille sur les traditions populaires en réalisant la plus grande collecte de récits de croyance pour le monde alpin, entre les Hautes-Alpes et la Savoie. En 1973, il fonde la revue Le monde alpin et rhodanien (qui paraîtra de 1973 à 2006 en tant que revue, avant de devenir la collection thématique du Musée Dauphinois de Grenoble). Si dans l’après-guerre le monde alpin est encore toujours perçu d’une manière valorisante comme le reliquaire d’anciens us et coutumes, il est aussi soumis à la pensée évolutionniste qui le définit comme un monde arriéré parce que marginalisé. C’est dans cette contradiction que se situe l’intérêt que les anthropologues découvrent au sein du monde alpin : il est un observatoire privilégié à la fois du passé de l’humanité dont il ne reste aucune trace ailleurs en Europe et de la transition de la société traditionnelle à la société modernisée. En effet, au début des années 1960, pour de nombreux anthropologues britanniques partant à la découverte des vallées alpines le constat est flagrant : les mœurs ont changé rapidement, suite à la deuxième guerre mondiale. Cette mutation catalyse l’attention des chercheurs, notamment l’analyse des relations entre milieu physique et organisation sociale. Même les pionniers, s’ils s’intéressent aux survivances culturelles, ils se situent dans un axe dynamique : Honigmann (1964, 1970) entend démentir la théorie de la marginalité géographique et du conservatisme des populations alpines. Burns (1961, 1963) se propose d’illustrer la relation existant entre l’évolution socioculturelle d’une communauté et l’environnement. Le monde alpin est alors étudié à travers le prisme de l’écologie culturelle qui a pour but de déterminer dans quelle mesure les caractéristiques du milieu peuvent modeler les modes de subsistance et plus généralement les formes d’organisation sociale. Un changement important a lieu avec l’introduction du concept d’écosystème qui s’impose à partir des années 1960 auprès des anthropologues penchés sur les questions écologiques. C’est ainsi que le village alpin est analysé comme un écosystème, à savoir l’ensemble complexe et organisé, compréhensif d’une communauté biotique et du milieu dans lequel celle-ci évolue. Tel était l’objectif de départ de l’étude de John Friedl sur Kippel (1974), un village situé dans l’une des vallées des Alpes suisses que la communauté scientifique considérait parmi les plus traditionnelles. Mais à son arrivée, il découvre une réalité en pleine transformation qui l’oblige à recentrer son étude sur la mutation sociale et économique. Si le cas de Kippel est représentatif des changements des dernières décennies, les différences peuvent varier considérablement selon les régions ou selon les localités. Les recherches d’Arnold Niederer (1980) vont dans ce sens : il analyse les Alpes sous l’angle des mutations culturelles, par le biais d’une approche interculturelle et comparative de la Suisse à la France, à l’Italie, à l’Autriche et à la Slovénie. John Cole et Eric Wolf (1974) mettent l’accent sur la notion de communauté travaillée par des forces externes, en analysant, les deux communautés voisines de St. Felix et Tret, l’une de culture germanique, l’autre de culture romane, séparées par une frontière ethnique qui fait des deux villages deux modèles culturels distincts. Forts de leur bagage d’expériences accumulées dans les enquêtes de terrain auprès des sociétés primitives, les anthropologues de cette période savent analyser le fonctionnement social de ces petites communautés, mais leurs conclusions trop tributaires de leur terrain d’enquête exotique ne sont pas toujours à l’abri des généralisations. En outre, en abordant les communautés alpines, une réflexion sur l’anthropologie native ou de proximité se développe : le recours à la méthode ethnographique et au comparatisme permettent le rétablissement de la distance nécessaire entre l’observateur et l’observé, ainsi qu’une mise en perspective des phénomènes étudiés. Avec d’autres anthropologues comme Daniela Weinberg (1975) et Adriana Destro (1984), qui tout en étudiant des sociétés en pleine transformation en soulignent les éléments de continuité, nous nous dirigeons vers une remise en cause de la relation entre mutation démographique et mutation structurale de la communauté. Robert Netting (1976) crée le paradigme du village alpin, en menant une étude exemplaire sur le village de Törbel, qui correspondait à l’image canonique de la communauté de montagne qu’avait construite l’anthropologie alpine. Pier Paolo Viazzo (1989) critique ce modèle de la communauté alpine en insistant sur l’existence de cas emblématiques pouvant démontrer que d’autres villages étaient beaucoup moins isolés et marginaux que Törbel. Néanmoins, l’étude de Netting joue un rôle important dans le panorama de l’anthropologie alpine, car elle propose un nouvel éclairage sur les stratégies démographiques locales, considérées jusque-là primitives. En outre, sur le plan méthodologique, Netting désenclave l’anthropologie alpine en associant l’ethnographie aux recherches d’archives et à la démographie historique (Netting 1981) pour compléter les données de terrain. La description des interactions écologiques est devenue plus sophistiquée et la variable démographique devient cruciale, notamment la relation entre la capacité de réguler la consistance numérique d’une communauté et la stabilité des ressources locales. Berthoud (1967, 1972) identifie l’unité de l’aire alpine dans la spécificité du processus historique et des différentes trajectoires du développement culturel, tout en reconnaissant l’importance de l’environnement. C’est-à-dire qu’il démontre que le mode de production « traditionnel » observé dans les Alpes n’est pas déterminé par les contraintes du milieu, mais il dérive de la combinaison d’éléments institutionnels compatibles avec les conditions naturelles (1972 : 119-120). Berthoud et Kilani (1984) analysent l’équilibre entre tradition et modernité dans l’agriculture de montagne dans un contexte fortement influencé par le tourisme d’hiver. Dans une reconstruction et analyse des représentations de la montagne alpine depuis la moitié du XVIIIe siècle à nos jours, Kilani (1984) illustre comment la vision du monde alpin se dégrade entre 1850 et 1950, au fur et à mesure de son insertion dans la société globale dans la dégradation des conditions de vie : il explique ainsi la naissance dans l’imaginaire collectif d’une population primitive arriérée au cœur de l’Europe. Cependant, à une analyse comparative de l’habitat (Weiss 1959 : 274-296 ; Wolf 1962 ; Cole & Wolf 1974), de la dévolution patrimoniale (Bailey 1971 ; Lichtenberger 1975) ou de l’organisation des alpages (Arbos 1922 ; Parain 1969), le monde alpin se caractérise par une surprenante variation, difficilement modélisable. Les situations de contact sont multiples, ce qui est très évident sur le plan linguistique avec des frontières très fragmentées, mais de nombreuses autres frontières culturelles européennes traversent les Alpes, en faisant du monde alpin une entité plurielle, un réseau plus ou moins interconnecté de « upland communities » (Viazzo 1989), où les éléments culturels priment sur les contraintes liées à l’environnement. Aux alentours de 1990, la réflexion des anthropologues autour des traditions alpines, sous l’impulsion de la notion d’invention de la tradition, commence à s’orienter vers l’étude des phénomènes de revitalisation (Boissevain 1992), voire de relance de pratiques ayant subi une transformation ou une rupture dans la transmission. Cette thèse qui a alimenté un riche filon de recherches a pourtant été contestée par Jeremy MacClancy (1997) qui met en avant les éléments de continuité dans le culte de Saint Besse, presqu’un siècle après l’enquête de Robert Hertz. La question de la revitalisation et de la continuité reste donc ouverte et le débat se poursuit dans le cadre des discussions qui accompagnent l’inscription des traditions vivantes dans les listes du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
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Dissertations / Theses on the topic "Vie religieuse – Caux, Pays de (France)"

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Schney, Hélène. "Les églises disparues du Pays de Caux." Rouen, 2006. http://www.theses.fr/2006ROUEL601.

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Abstract:
Deux volumes de la thèse sont consacrés aux églises qui sont étudiées individuellement dans une notice particulière. Les notices ont toutes la même typologie (situation géographique, historique de l'église, description et documents iconographiques). 87 églises ont été répertoriées et étudiées. Elles se répartissent dans deux arrondissements : Yvetot et Le Havre. A partir de ces notices, une synthèse a été dégagée. La première partie met en évidence une notion particulière : l'enclos paroissial (paroisse, presbytère, cimetière). La deuxième détaille le bâtiment religieux avec ses caractéristiques architecturales et son intérieur (mobilier et productions artistiques). Le troisième chapitre expose les causes des disparitions. Des données topographiques et politiques ainsi que diverses raisons liées aux goûts les expliquent en partie. Mais ce sont surtout les réunions de paroisses qui interviennent dans les années 1820-1830 qui sont la cause majeure : 70% des églises sont concernées
Two volumes of the thesis are consecrated to the churches which have been studied individually in a particular note. All the notes are presenting the same typology : geographical situation, history, description and iconography. 87 churches had been indexed and studied. They all belonged to two arrondissements (administrative divisions) : Yvetot and Le Havre. Following to these notices one synthesis had been concluded. The first part puts a particular notion in an obvious place : the parish enclosure (the parish, the presbytery and the cemetery). The second part details the religious buildings with it's characteristically architecture, furniture and art productions. The third chapter states the causes of disappearance. A topographical and religious fact as well as multiple reasons like the changing of style gives us some explications. But certainly the intervention of the parish reunions in the years 1820 to 1830 is the main explication : 70% of the churches had been concerned
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Prudhomme, Marie-Claire. "Entre Saint-Saens et Cailly : territoires, relations et pouvoirs dans les campagnes normandes : XVIIe-XVIIIe siècles." Rouen, 2006. http://www.theses.fr/2006ROUEL531.

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Abstract:
Cette étude en micro-histoire rurale concerne un territoire réduit de Haute-Normandie, compris entre Saint-Saëns et Cailly. Bien que contigü, il ne présente pas d'unité morphologique et se divise en fait en deux entités différentes correspondant à deux grands terroirs haut normands : le Pays de Caux et le Pays de Bray. Il s'agit de dégager l'organisation des communautés de vie dans cet espace en montrant sa cohérence et son fractionnement aux XVIIe et XVIIIe siècles. La réflexion s'orientera aussi sur le modèle de développement économique qui ne repose pas seulement sur des ressources agricoles mais aussi sur une variété d'activités complémentaires mises en place par ces petites communautés de vie. Celles-ci sont intégrées à un système relationnel relativement complexe comportant de multiples niveaux. Enfin, les caractéristiques de cet espace social seront mis en évidence
This study on rural micro-history concerns a small territory in Haute-Normandie (from Saint-Saëns to Cailly), without morphological unity. It is in fact divided into two different parts belonging to two great rural countries in Haute-Normandie : the Pays de Caux and the Pays de Bray. The organization of the community will be studied, showing the coherence and divisions in the XVII-XVIIIth centuries. Our reflexion will focus on the type of economic development not only based on agricultural resources but on various complementary activities created by these small communities. They are integrated into a complex system of relationship including several levels. Finally, the outlines of the social structure will be highlighted
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Alkayyali, Ranam. "Exploring religious identity negotiation through consumption in secular context : the case of French-Maghreb women living in France." Thesis, Paris Est, 2015. http://www.theses.fr/2015PESC0050.

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Abstract:
L'intégration des immigrés dans les sociétés occidentales est devenue un enjeu politique. Dans cette recherche, nous explorons la façon dont les femmes immigrées Maghrébines vivant en France négocient leur identité religieuse par la consommation et le choix des magasins. Nous nous focalisons plus particulièrement sur les premières et deuxièmes générations des immigrées Maghrébines aux niveaux de religiosité différents afin de comprendre comment elles négocient leur identité religieuse dans un contexte laïque. Trente-six entretiens qualitatifs semi-directifs ont été menés avec des femmes des deux générations (dont certaines appartenant à la même famille) pour explorer leur acculturation relative à l'Islam et à la consommation. Nos résultats montrent que les immigrées Maghrébines utilisent des produits de la culture Maghrébo-Islamique (le paradis restauré) et les produits de la culture française (le pseudo paradis) pour construire des positions identitaires différentes et créer une religiosité caméléon (dans le cas des femmes G1) ou une religiosité serpentin (dans le cas des femmes G2). Nous avons également identifié le rôle que joue, entre autres, le marché français dans la fabrication des identités des immigrées Musulmanes vivant en France. Dans les dyades mèrefille, l'émergence de tensions liées à l'acculturation invite à prendre en compte la religion comme déterminant de l'identité
The integration of migrants into Western societies is increasingly becoming a political issue. In this research, we explore how Maghreb women living in France negotiate their religious identity through shopping and consumption. In particular, we focus on how first and second generations of immigrant women who have varying levels of religiosity negotiate their religious identity in the secular context. Interviews were conducted with thirty-six women in Paris (some being two generations within the same family) to explore their acculturation and inter-generational relationships in regards to Islam and consumption. First and second generations of Muslim Maghreb women use products and retail outlets choice from both Muslim Maghreb culture (the brought back heaven) and French culture (the pseudo heaven) inorder to create different identity positions that make their religiosity a chameleon/ serpentine one. We also identify the rule of French market (traditional and modern retailing) -among other factors- in fabricating Muslim Maghreb women identities. Within mother-daughter dyads, a number of inter-generational lifestyle tensions manifesting through consumption emerged indicating the need to separate religion as a determinant of identity
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Book chapters on the topic "Vie religieuse – Caux, Pays de (France)"

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Foulon, Jean-Hervé. "Les relations entre la papauté réformatrice et les pays de la Loire jusqu’à la fondation de Fontevraud." In Robert d’Arbrissel et la vie religieuse dans l’Ouest de la France, 25–56. Turnhout: Brepols Publishers, 2004. http://dx.doi.org/10.1484/m.dm-eb.3.1679.

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