Academic literature on the topic 'VIH (virus) – Épidémiologie – Cameroun'

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Journal articles on the topic "VIH (virus) – Épidémiologie – Cameroun"

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Cacoub, P., and S. Pol. "Co-infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et le virus de l'hépatite C (VHC) : épidémiologie, gravité, nouveaux aspects thérapeutiques." La Revue de Médecine Interne 26, no. 4 (April 2005): 267–70. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2004.12.007.

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2

Ankouane, F., D. Noah Noah, M. M. Atangana, R. Kamgaing Simo, P. R. Guekam, and M. Biwolé Sida. "Séroprévalence des virus des hépatites B et C, du VIH-1/2 et de la syphilis chez les donneurs de sang de l’hôpital central de Yaoundé, région du centre, Cameroun." Transfusion Clinique et Biologique 23, no. 2 (May 2016): 72–77. http://dx.doi.org/10.1016/j.tracli.2015.11.008.

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3

Jacky, Njiki Bikoï, Ndom Paul, Mupang Lilian, and Aghokeng Demanou Sylvie. "Séroprévalence du virus de l’herpès humain-8 chez des patients VIH positif à l’hôpital général de Yaoundé - Cameroun." Pan African Medical Journal 20 (2015). http://dx.doi.org/10.11604/pamj.2015.20.69.5671.

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Dissertations / Theses on the topic "VIH (virus) – Épidémiologie – Cameroun"

1

Mbiaga, Cyrille. "Contributions méthodologiques à une analyse de la dynamique socio-spatiale des infections à VIH en Afrique centrale : régions de Batouri (Cameroun), Berberati (Centrafrique)." Aix-Marseille 3, 1999. http://www.theses.fr/1999AIX30088.

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Abstract:
A partir des donnees de l'enquete effectuee en 1992 dans la region de batouri - berberati, cette recherche propose de caracteriser les itineraires sociaux et geographiques du virus. Les demarches epidemiologique et socio-geographique sont mises a contribution pour prendre en compte la complexite des mecanismes en jeu dans la diffusion, pour combiner les interactions des determinants majeurs et les localiser selon les sites. Ces interactions sont saisies dans l'organisation et le fonctionnement de la societe et de l'economie, pour repondre a l'objectif d'une modelisation eco-epidemiologique du vih. Les techniques mathematiques d'analyse des donnees et d'analyse spatiale sont deployees a l'interface entre les deux demarches pour enrichir, ou aider a la representation des faits et processus lies a l'infection. Des resultats dessinent globalement des profils epidemiologiques par sexe. Un systeme social des influences renvoie au statut matrimonial et a une syphilis active la description d'une diffusion sociale. Selon l'effet des sites sur le role des variables des individus dans le niveau des prevalences, un systeme geographique est associe au precedent systeme. L'etude du reseau socio-geographique etablit que l'absence du conjoint parmi les femmes en union, le revenu monetaire d'origine tertiaire parmi les hommes hors union et l'experience venerienne des hommes en union sont des facteurs majeurs de la diffusion socio-spatiale. Des elements de l'environnement humain et physique qui jouent dans l'inegale vulnerabilite des collectivites font apparaitre qu'un site rural peut etre aussi determinant qu'un site urbain. Le resultat de la modelisation fait valoir des situations ecologiques differentielles de risques qui, associees au reseau routier et aux flux migratoires (supposes drainer des flux viraux), dessinent les itineraires du virus.
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Laurent, Christian. "Spécificités de l'infection par le Virus de l'Immunodéficience Humaine en Afrique subsaharienne et conséquences pour la prise en charge : à propos d'étude menées au Sénégal et au Cameroun entre 1996 et 2002." Bordeaux 2, 2002. http://www.theses.fr/2002BOR21002.

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Abstract:
En Afrique subsaharienne où vivent 70 % des personnes infectées par le Virus de l'Immunodéficience Humaine (VIH), la prise en charge de l'épidémie et des personnes atteintes demeure problématique. La mise en œuvre d'interventions adaptées doit tenir compte des spécificités locales de l'infection. Trois d'entre elles et leurs conséquences pour la prise en charge sont discutées dans cette thèse. La première concerne l'extrême diversité génétique du VIH et ses conséquences cliniques. Nous montrons que la progression clinique en termes de mortalité, changement de stade clinique et pente des lymphocytes T CD4 est comparable entre les patients infectés par la souche recombinante CRF02_AG prédominante en Afrique de l'Ouest et en Afrique Centrale, et les patients infectés par une autre souche. La deuxième spécificité tient à l'accès limité au traitement antirétroviral. L'évaluation de l'Initiative Sénégalaise d'Accès aus Antirétroviraux montre que ce traitement est faisable en Afrique eet que, bien encadré, il peut être aussi efficace et bien toléré que dans les pays industrialisés tout en limitant l'émergence des résistances virales. La troisième spécificité est liée à la large prédominance de la transmission hétérosexuelle. Les programmes de prévention doivent donc cibler en priorité ce mode de transmission. Dans le contexte très particulier du Sénégal où la prostitution est réglementée, nous suggérons qu'une réponse de Santé Publique multidimensionnelle incluant une information sur la législation, une révision de l'âge légal pour la prostitution et une intervention spécifique pour les prostituées clandestines est nécessaire. Nos travaux illustrent la façon dont des projets de recherche opérationnelle peuvent s'inscrire directement dans le processus d'évaluation et d'aide à la décision et à l'action de programmes nationaux de lutte contre le SIDA pour améliorer la prise en charge.
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3

Vessière, Aurélia. "Caractérisation virologique des doubles infections et des formes recombinantes par les VIH-1 du groupe M et du groupe O au Cameroun : conséquences épidémiologiques, diagnostics et thérapeutiques." Paris 5, 2009. http://www.theses.fr/2009PA05T062.

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Abstract:
Le VIH-1 est divisé en 4 groupes : M (major), O (outlier), N (non-M non-O) et P. Au sein de ces groupes, la recombinaison est un phénomène extrêmement fréquent qui joue un rôle majeur dans la diversification de l’épidémie du VIH. La recombinaison résulte de phénomènes de sauts de matrice entre les 2 molécules d’ARN du virus pendant l’étape de reverse transcription. Ainsi les infections multiples, en générant des virions hétérodiploïdes, sont le pré-requis indispensable à la recombinaison. En Afrique Centrale et au Cameroun en particulier, tous les groupes du VIH-1 circulent et des cas de doubles infections VIH-1 M+O ont été rapportés. Malgré la grande divergence génétique entre les deux groupes, 3 cas de recombinaison M/O ont été mis en évidence chez des patients camerounais sans lien épidémiologique. Pour deux d’entre eux, la recombinaison impliquait le gène vpr, qui pourrait représenter une région privilégiée pour la recombinaison inter-groupe M/O. La capacité de transmission et de circulation de telles formes, qui apparaissent extrêmement rares, n’est pas connue. L’objectif de ce travail était de mettre au point et de valider des outils sérologiques et moléculaires pour la détection des recombinants M/O dans le gène vpr chez les patients doublement infectés par un VIH-1 de groupe M (VIH-M) et de groupe O (VIH-O) au Cameroun. Le dépistage des doubles infections reposait sur une stratégie de sérotypage utilisant deux antigènes gp120/V3 représentatifs des groupes M et O. Pour les échantillons doublement réactifs, un test de compétition (GSEIA) a été mis au point afin d’éliminer les réactivités croisées non spécifiques. La présence des génomes VIH-M et VIH-O a été confirmée à l’aide de PCR spécifiques de groupe ciblant les régions pol et env. Enfin, une PCR spécifique de groupe encadrant le gène vpr a été développée pour la recherche des recombinants. Cet algorithme mis en place au Centre Pasteur du Cameroun nous a permis d’identifier 5 recombinants M/O, avec un point de recombinaison dans vpr pour 4 d’entre eux. Trois recombinants vpr étaient associés à une double infection VIH-M+O ou à une infection par un VIH-M. Des recombinants M/O ont été détectés sans double infection associée, dont un chez une patiente Camerounaise vivant en France, suggérant des cas de recombinants transmis. Ce travail souligne la complexité du dépistage des formes recombinantes M/O qui nécessite la combinaison d’outils sérologiques et moléculaires ciblant différentes régions du génome, notamment dans le cas des recombinants transmis. Les résultats confirment l’importance du gène vpr dans les phénomènes de recombinaison M/O. La grande variabilité génétique des souches du groupe O pourrait avoir des conséquences en termes de prise en charge thérapeutique des patients infectés par un recombinant M/O. Enfin, le risque d’émergence de formes recombinantes circulantes M/O doit être évalué à travers une surveillance épidémiologique au Cameroun mais également dans les pays ayant un lien avec cette région
HIV-1 is divided into 4 groups: M (major), O (outlier), N (non-M non-O) and P. Among these groups, recombination is an extremely frequent phenomenon, playing a major role in the diversification of the HIV epidemic. Recombination results from strand switching between the two viral RNA molecules during the reverse transcription step. Thus, multiple infections, by generating heterodiploïd virions, are the prerequisite to recombination. In Central Africa and in Cameroon in particular, all HIV-1 groups circulate and M+O dual infections have been reported. Despite the great genetic divergence between the two groups, three cases of M/O recombinants were described in Cameroonian patients with no epidemiological link. For two of them, recombination involved the vpr gene that could represent a preferential site for M/O intergroup recombination. The transmission and circulation capacities of such forms, that appear to be extremely rare, are unknown. The objective of this work was to develop and validate serological and molecular tools for the detection of M/O recombinants in the vpr gene in patients dually infected by HIV-1 group M (HIV-M) and HIV-1 group O (HIV-O) in Cameroon. Dual infections were screened using a serotyping strategy bases on two gp120/V3 antigens representative of groups M and O. For dually reactive samples, a competitive assay (GSEIA) was developed to eliminate non specific cross-reactivities. Presence of HIV-M and O genomes was confirmed with group specific PCRs targeting the pol and env regions. Finally, a group specific PCR flanking the vpr gene was developed to detect recombinants. This algorithm implemented at Centre Pasteur du Cameroun allowed us to identify 5 M/O recombinants, with a vpr breakpoint for 4 of them. Three vpr recombinants were associated with a HIV-M+O dual infection or a HIV-M infection. Some M/O recombinants were detected in the absence of associated dual infections, of which one in a Cameroonian patient living in France, suggesting transmitted cases. This work underlines the complexity of the detection of M/O recombinants that requires the combination of serological and molecular tools targeting different regions of the genome, in particular for transmitted recombinants. Our results confirm the importance of the vpr gene in M/O recombination phenomena. The great genetic variability of HIV-O strains could have consequences on therapeutic management of patients infected with a M/O recombinant. The risk for emergence of M/O circulating recombinant forms has to be evaluated through an epidemiological surveillance in Cameroon but also in countries having a link with this region
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Ndziessi, Gilbert. "Impact des traitements antirétroviraux sur le risque de transmission sexuelle du VIH en Afrique Subsaharienne : le cas du Cameroun." Thesis, Aix-Marseille, 2013. http://www.theses.fr/2013AIXM5016/document.

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Abstract:
Approfondir les connaissances sur l'évolution et les facteurs associés aux comportements sexuels chez les PVVIH exposées aux traitements antirétroviraux en Afrique subsaharienne. Données collectées dans le cadre d'un essai randomisé conduit dans neuf hôpitaux de district ruraux au Cameroun. 459 PVVIH éligibles au traitement inclus et suivis sur 24 mois. Régression logistique à effets mixtes utilisée pour analyser les facteurs associés aux différentes variables réponses étudiées.La proportion des patients sexuellement actifs augmente de 32% à l'inclusion à 56% après 24 mois de traitement. Une augmentation supplémentaire du temps depuis l'initiation du traitement de 6 mois augmente de 30% de la probabilité de déclarer une activité sexuelle sous ARV. Proportion des patients ayant des comportements sexuels à risque (CSR) baisse significativement de 76% à l'inclusion à 66% au 24e mois, les patients obervants au traitement étaient moins susceptibles de rapporter les CSR. La proportion des patients susceptibles de transmettre le VIH par voie sexuelle (STVIH) baisse de 76% à l'inclusion à 27% après 24 mois de traitement ARV. Une augmentation du temps depuis l'initiation du traitement de 6 mois réduit de 66% la STVIH. Mes travaux montrent un impact positif des ARV sur l'activité sexuelle des PVVIH, les CSR et la STVIH, suggérant un effet positif de l'exposition des PVVIH aux traitements ARV sur la prévention de la transmission sexuelle du VIH. Mais, le risque potentiel de transmission du VIH persiste nécessitant le renforcement des interventions de réduction des risques dans les programmes d'accès aux ARV
To evaluate the evolution and factors associated with sexual behavior among PLWHA exposed to antiretroviral therapy in sub-Saharan Africa. Data collected as part of a randomized trial conducted in nine rural district hospitals in Cameroon. 459 PLWHA eligible for treatment included and followed for 24 months. Mixed effects logistic regression used to analyze factors associated with different response variables studied. Proportion of patients sexually active increased from 32% at baseline to 56% after 24 months of treatment. An additional 6 months increase of the time since initiation of treatment increase in 30% the probability of reporting sexual activity. Proportion of patients with sexual risk behavior (SRB) decreased significantly from 76% at baseline to 66% at 24 months and patient obervants to treatment were less likely to report CSR. Proportion of patients likely to transmit HIV through sexual intercourse (STVIH) decrease from 76% at baseline to 27% after 24 months of HAART. Analyses shown that increasing in 6 months of time since initiation of treatment reduced STVIH by 66%. My dissertation show a positive impact of ART on sexual activity, CSR and STVIH among PLWHA, suggesting a positive effect of exposure to HAART on the prevention of sexual transmission of HIV. However, the potential risk of transmission of HIV persists requiring strengthening risk reduction interventions in HAART access programs
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Tagnouokam, Ngoupo Paul Alain. "Fréquence et profil génétique des doubles infections VIH-1/M+O et formes recombinantes VIH-1/MO au Cameroun." Rouen, 2016. http://www.theses.fr/2016ROUENR11.

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Abstract:
Longtemps considérée comme impossible du fait de leur divergence génétique, la recombinaison entre le VIH-11M pandémique et le VIII-1/0* endémique au Cameroun, a été rapportée à quatre reprises entre 1999 et 2010. Pour être générées, ces formes nécessitent au préalable des doubles infections M+0. De part son épidémiologie moléculaire, le Cameroun est caractérisé par la co-circulation de ces deux variants, ce qui peut donc favoriser les doubles infections VIH-1/M+0 et l'émergence des recombinants VIH-11MO. Une précédente étude de notre équipe a permis de détecter de nouvelles doubles infections et six formes recombinantes putatives, associées ou non à des doubles infections ; mais ces résultats présentaient certaines limites, en particulier épidémiologiques et techniques. Notre travail avait donc pour objectif de mieux caractériser ces doubles infections VIH-1/M+0 et recombinants VIH-1/M0 présentes au Cameroun, en estimant leur fréquence et en analysant leur profil génétique. De mars 2013 à juin 2015, 275 patients dépistés VIH-1 positifs au Centre Pasteur du Cameroun ont été inclus sur la base d'un test de sérotypage, permettant la discrimination des sérotypes M, O et M+0. Des analyses moléculaires spécifiques de groupe ont été ensuite réalisées dans les gènes pol et env, pour confirmer les réactivités sérologiques et rechercher des discordances pollenv, en faveur d'une forme recombinante. Devant un résultat évoquant une double infection M+0 et/ou la présence d'un recombinant MO, une forme recombinante putative a été recherchée par amplification d'une région couvrant le gène vpr, considéré comme possible point chaud de recombinaison. Les génomes complets de ces formes putatives ont ensuite été caractérisés, et les liens génétiques avec les recombinants déjà décrits, recherchés par analyses phylogénétiques. Parmi les 275 patients, 199 (72,4%) étaient mono-réactifs M, 47 (17,1%) mono-réactifs O, et 29 (10,5%) doublement réactifs M+0. Des doubles infections ont été confirmées moléculairement chez 4 patients (1,4%) et la présence de recombinants chez 3 patients (1,1%). Le premier recombinant, « isolé », a été identifié au sein d'un couple ; le second était associé à une forme parentale VIH-1/M. La caractérisation des génomes complets a permis de mettre en évidence des points de cassure au niveau du gène vpr et la région LTR pour le premier, et au niveau du gène vpu et la région LTR pour le second. Aucun lien n'a été identifié entre ces recombinants et les autres recombinants actuellement caractérisés. Les sous-types VIE1-1/M et les sous-groupes VIH-1/0 impliqués étant cohérents avec l'épidémiologie moléculaire au Cameroun, à savoir une majorité de VIH-1/M CRF02_AG et de VIII-1/0 sous-groupe H. L'origine géographique de ces sept patients était différente, et correspondait à cinq des régions administratives du Cameroun. Nos résultats ont permis d'identifier sept nouveaux cas de doubles infections VIH-l/M+0 et. /ou de formes recombinantes vill-umo. Bien qu'elles semblent persister à bas bruit, elles sont toutefois retrouvées dans différentes régions du Cameroun démontrant leur potentiel de diffusion. Ce travail a également permis de caractériser deux nouveaux génomes complets mettant en évidence des points de cassure dans vpr, vpu et les LTR. Ces nouvelles formes ne sont pas liées à celles précédemment décrites, soulignant ainsi la circulation de nombreuses URFs et la dynamique importante d'évolution par recombinaison entre les deux groupes. Il apparaît donc nécessaire de poursuivre la surveillance de diffusion des formes recombinantes MO, pour identifier l'éventuelle émergence d'une CRF_MO, pouvant présenter de meilleures propriétés virologiques et phénotypiques
Frequency and genetic profile of HIV-1/M+0 dual infections and HIV-1/1V10 recombinant forms circulating in Cameroon Despite the great genetic divergence between the pandemic HIV-1/M and non pandemic HIV-1/0, four HIV-1/MO intergroup recombinants have been reported in 1999 and 2010. In Cameroon, the co-circulation of two groups (M and 0) provides an ideal environment for HIV-1/MO recombination to occur. In a previous work, we reported new dual infections and six HIV-LIMO putative recombinant forms, associated to or not to dual infections. However, this study had some epidemiological and technical limitations. In the present study, we aimed to estimate the frequency and to characterize genetic profiles of HIV-1/M+0 dual infections, as well as HIV-11M0 recombinant forms in Cameroon. From March 2013 to June 2015, 275 HIV infected patients from Centre Pasteur of Cameroon were included in the study, based on serotyping test, enabling to distinguish HIV serotypes M, 0 and M+0. HIV-1/M and HIV-1/0 specific PCR were further performed in the pol and env genes, in order to confirm serological reactivities, and to detect pollenv discordance, characteristic of putative recombinants. In the likelihood of M+0 dual infections and/or presence of MO recombinant, a breakpoint in the vpr gene, considered a hotspot of recombination was investigated. Finally, full length genomes of recombinants were characterized and genetic link with previous recombinants was investigated by phylogenetic analyses. Among the 275 patients, 199 (72. 4%) were HIV-1/M mono-reactive, 47(17. 1%) HIV-1/0 mono-reactive, and 29 (10. 5%) were M+0 dual reactive. HIV-1/M+0 dual infections were identified in 4 patients (1. 4%), and the presence of recombinants forms in 3 patients (1. 1%). The first recombinant form was detected in a husband and his wife, and was not associated to dual infection, and the second recombinant form was associated to a parental HIV-1/M virus. Full length genomes characterization identified recombinant breakpoints in the vpr gene and the LTR region for the first recombinant form, and in the vpu gene and the LTR region for the second form. No link between these recombinants and previous recombinants was found. HIV-1/M subtypes and HIV-1/0 sub-groups were concordant with the present molecular epidemiology of HIV infection in Cameroon, that is, the predominance of CRF02_AG and HIV-1/0 sub-group H. Geographical origins of patients with HIV-1/M+0 dual infections and HIV-1/M0 recombinants showed that they were from five administrative regions of Cameroon. In this study, we described seven new cases of HIV-1/M+0 dual infections and HIV-1/MO recombinants, thus confirming the co-circulation of these forms in Cameroon. Even though their frequency remains low, these forms are found in different geographical regions of Cameroon, pointing out their diffusion potential. We also characterized full length genomes of two new HIV-1/MO recombinants, and identified breakpoints in vpr and vpu genes as well as LTR regions. No link between these recombinants and previous recombinants was found, showing the circulation of multiple URFs, and the great dynamic evolution between HIV-1/M and HIV-1/0. It is therefore, necessary to improve the surveillance of HIV-11M0 recombinant forms in Cameroon, in order to detect potential emergence of a CRF_MO, and to further study their virological and phenotypic properties
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Sobesky, Milko. "Epidémiologie de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine de type 1 en Guyane française." Rennes 1, 1998. http://www.theses.fr/1998REN1B028.

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Aghokeng, Fobang Avelin. "Diversite génétique des lentivirus humains et simiens au Cameroun : implication pour la santé publique." Montpellier 2, 2006. http://www.theses.fr/2006MON20008.

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Van, Heuserswyn Fran. "Diversité génétique, prévalence et distribution géographique des lentivirus de chimpanzés et gorilles sauvages au Cameroun : implications pour l'origine de VIH-1." Montpellier 2, 2007. http://www.theses.fr/2007MON20098.

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Les primates non-humains africains sont les hôtes naturels de nombreux virus de l'immunodéficience simienne (SIV), dont deux, SIVcpz et SIVsmm, infectant des chimpanzés et des mangabés enfumés, sont respectivement à l'origine de VIH-1 et VIH-2. Cependant, les données sur la prévalence, la dissémination et la diversité génétique de SIVcpz chez leurs hôtes en milieu naturel sont limitées et, de fait, n'ont pas permis la mise en évidence d'un réservoir de ces virus au sein des chimpanzés sauvages. Les objectifs de cette thèse sont d'identifier et de caractériser les SIV circulants chez les grands singes au Cameroun, ainsi que les réservoirs naturelles qui sont à l'origine de HIV-1. A l'aide d'une méthode de collecte non invasive, nous avons mis en évidence que les chimpanzés de la partie Ouest de l'Afrique Centrale (Pan troglodytes troglodytes) sont le réservoir naturel du VIH-1. Nous avons plus particulièrement identifié l'origine du VIH-1 M (pandémique) et VIH-1 N (non pandémique) dans différentes populations de chimpanzés géographiquement éloignés, respectivement dans la partie Est et la partie Centrale de Sud Cameroun. Pour la première fois, nous avons identifié des virus apparentés au VIH groupe O, designés SIVgor, chez les gorilles des plaines de l'ouest (Gorila gorilla gorilla). Cependant, les analyses phylogénétiques suggèrent que des chimpanzés représentent le réservoir initial des virus de gorilles. Malgré la parenté proche entre les souches SIVgor identifiés et VIH-1 O, ils restent encore trop divergents pour représenter le précurseur immédiat de ce groupe de VIH-1. Ces résultats montrent que non seulement les chimpanzés, mais aussi les gorilles représentent un réservoir de lentivirus de primates, connus pour pouvoir traverser les barrières d'espèce et engendrer une épidémie tel que le VIH/SIDA. De fait, l'étude des infections lentivirales dans les populations de grands singes sauvages n'est pas seulement indispensable pour identifier l'origine des VIH-1, mais permet également la mise au point d'outils diagnostiques pouvant d'une part détecter la présence de nouveaux SIV chez les chimpanzés et gorilles et d'autre part étudier si de nouvelles infections de SIVcpz ou SIVgor ont été transmises à l'Homme sans être détectés
Chimpanzees and SIVsmm infecting sooty mangabeys, are considered to be the immediate source of HIV-1 and HIV-2 respectively. However, information about the prevalence, distribution and genetic diversity of SIVcpz in their primate hosts in the wild was very limited, and evidence for the existence of a virus reservoir was lacking. In this thesis, we aimed to identify and characterize SIVs circulating among great ape species in Cameroon and to identify the natural reservoirs of HIV-1. Using non-invasive sampling methods, we identified the West central African chimpanzees (Pan troglodytes troglodytes) as the natural reservoir of HIV type 1. We traced the origin of HIV-1 M (pandemic) and HIV-1 N (non-pandemic) to geographically isolated chimpanzee communities in southeast and south central Cameroon respectively. For the first time, we identified viruses closely related to HIV-1 group O, designated SIVgor, in wild Western lowland gorillas (Gorilla gorilla gorilla). Phylogenetic analyses, however, indicated that chimpanzees are likely to be the original reservoir of these gorilla viruses. In spite of the close relationship between the identified SIVgor strains and HIV-1 group O, they are still too divergent to represent the immediate precursor of this group of HIV-1. These data show that chimpanzees and also gorillas in Cameroon represent a potential source of human infection. The non-invasive survey of wild ape populations was therefore not only indispensable for identifying the primate origin of HIV-1, but also for ensuring that additional reservoirs of human immunodeficiency viruses are not missed. The V3 peptides of the newly identified SIVcpz and SIVgor strains will be of particular use to investigate whether additional SIVcpz and SIVgor transmissions to humans have occurred but have gone unrecognized
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Rabaud, Christian. "La toxoplasmose au cours de l'infection par le Virus de l'Immunodéficience Humaine : épidémiologie descriptive et facteurs prédictifs." Nancy 1, 2000. http://docnum.univ-lorraine.fr/public/SCD_T_2000_0305_RABAUD.pdf.

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Lang, Sylvie. "Les facteurs de risque de l’infarctus du myocarde chez les sujets infectés par le virus de l’immunodéficience humaine." Paris 6, 2012. http://www.theses.fr/2012PA066027.

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Abstract:
Parallèlement à l’accès aux antirétroviraux (ARV) ayant permis aux patients infectés par le VIH d’améliorer leur pronostic clinique il a été noté une recrudescence de cas d’infarctus du myocarde dans cette population. Cette synergie a fait penser à une implication des antirétroviraux. Mon travail a eu pour objectif d’étudier l’incidence de l’infarctus du myocarde (IDM) dans la population infectée par le VIH en France, pays de faible incidence d’IDM dans la population générale, d’étudier l’impact des ARV et des paramètres liés à l’infection sur le risque d’IDM. J’ai utilisé les données de la base de données hospitalière française sur l’infection à VIH et des registres français d’IDM. Pour préserver les avantages des études de cohortes et avoir la possibilité de prendre en compte les paramètres cardiovasculaires non colligés j’ai choisi la stratégie cas-témoin nichée. Mes résultats montrent que l’incidence d’IDM est augmentée dans la population infectée et qu’il y a une association entre la durée d’exposition aux inhibiteurs de la protéase et l’augmentation du risque d’IDM. Il existe une association non causale entre l’exposition courte et récente à l’abacavir et le sur-risque d’IDM. J’ai montré qu’une charge virale (CV) > 50 copies/ml, un nadir de CD4 bas et un taux de CD8 > 1150 cel/mm3 étaient associés à une augmentation du risque d’IDM. Mes résultats suggèrent qu’une mise sous ARV précoce et des interventions visant à diminuer l’activation immune, même chez les patients ayant une CV contrôlée, auraient un impact positif sur le risque d’IDM. Mes résultats pourront être utilisés pour développer une équation du risque cardiovasculaire chez les patients infectés par le VIH
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