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Journal articles on the topic 'Villes au cinéma'

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Tessougue, Moussa dit Martin. "Loisirs Urbains: Essor et Déclin des Salles de Cinéma à Bamako au Mali de 1960 à 2022, Fréquentation en Baisse et Fermenture des Salles." European Scientific Journal, ESJ 19, no. 2 (January 31, 2023): 115. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n2p115.

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Abstract:
Les liens entre le cinéma, le tourisme et l’urbanisation sont bien évidents. L’urbanisation africaine est antérieure à la colonisation européenne. Néanmoins, ce sont les activités commerciales, industrielles, administratives et récréatives de la colonisation européenne qui ont favorisé, l’expansion de plusieurs villes en Afrique. La colonisation a aussi équipé, les villes africaines en salles de cinéma, d’où la naissance des loisirs urbains en Afrique pour l’épanouissement des activités touristiques. En adoptant, une méthodologie incluant des recherches bibliographiques et des enquêtes par interviews sur le terrain, cette étude a pour objectif de comprendre les motifs du désintérêt de la fréquentation des salles de cinéma à Bamako depuis environ 3 décennies. La question est : comment revigorer les loisirs cinématographiques, en abandon depuis environ 3 décennies, à Bamako, la principale ville du Mali L’hypothèse est que dans l’animation touristique de Bamako, les salles de cinéma ne sont pas du tout importantes actuellement. Les résultats révèlent que : Bamako, objet de cette étude a vu sa première salle de cinéma fonctionnelle en 1920. Si en 1980, il existait 15 salles de cinéma fonctionnelles à Bamako en 2022, on ne recense que 3 salles de cinéma fonctionnelles. La dissolution de l’office cinématographique du Mali intervenue en 1988 entraînera la fermeture des salles de cinéma à Bamako. Cette fermeture s’accentuera, par la promotion de la télévision puis la diffusion grandissante des films sur support DVD et CD Roms dès les années 1990, expliquent les jeunes. Voilà, les principaux motifs d’abandon actuellement des salles de cinéma à Bamako. Enfin, les jeunes de Bamako suggèrent à l’Etat de construire des salles de cinéma confortables dans chaque commune de Bamako, en vue de la relance des activités cinématographiques dans les loisirs urbains et l’animation touristique de Bamako. The links between cinema, tourism and urbanization are quite obvious. African urbanization predates European colonization. Nevertheless, it was the commercial, industrial, administrative and recreational activities of European colonization that favored the expansion of several cities in Africa. Colonization has also equipped African cities with cinemas, hence the birth of urban leisure in Africa for the development of tourist activities. By adopting a methodology including bibliographic research and field interview surveys, this study aims to understand the reasons for the lack of interest in cinema attendance in Bamako for about 3 decades. The question is: how to reinvigorate cinematic leisure, which has been abandoned for about 3 decades, in Bamako, the main city of Mali The hypothesis is that in the tourist animation of Bamako, the cinemas are not at all important at present. The results reveal that: Bamako, the subject of this study, saw its first functional cinema in 1920. If in 1980, there were 15 functional cinemas in Bamako in 2022, there are only 3 functional cinemas. The dissolution of the cinematographic office of Mali in 1988 will lead to the closing of cinemas in Bamako. This closure will be accentuated, by the promotion of television then the growing distribution of films on DVD and CD Roms from the 1990s, explain the young people. These are the main reasons for the current abandonment of cinemas in Bamako. Finally, the young people of Bamako suggest that the State build comfortable cinemas in each municipality of Bamako, with a view to reviving cinematographic activities in urban leisure and tourist activities in Bamako.
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Colin, Florie. "Polarités habitantes dans les petites villes." Revue des sciences sociales 71 (2024): 82–93. http://dx.doi.org/10.4000/11uxr.

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Abstract:
Cet article s’intéresse aux polarités concrètes habitantes pratiquées au quotidien dans les territoires périurbains et les petites villes, dans le Pays de Brest et dans le pôle Nantes Saint-Nazaire. Pour cela, une approche ethnographique est privilégiée, mêlant entretiens et observations. Plutôt que la dualité centre/périphérie, c’est la multiplicité des lieux et les liens entre eux qui sont analysés. En prenant en compte les diverses échelles, nous verrons comment les pratiques habitantes sont en prise avec ces divers lieux articulés, entremêlés. Nous nous intéresserons plus particulièrement au cinéma, qui semble être une polarité culturelle importante pour les habitants des territoires périurbains, et qui est vu comme un « art populaire ». Étant à la fois bâti, activité et lieu, le cinéma semble opportun pour raconter la culture sur ces territoires. Selon sa programmation et sa localisation, les publics diffèrent. Nous montrerons aussi comment les pratiques et les représentations autour du cinéma peuvent contribuer à redéfinir des territoires les uns par rapport aux autres, des petites villes aux métropoles.
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Falin, Christophe. "Les salles de cinéma à Pékin. Entre croissance accélérée et réseaux indépendants." Cinémas 27, no. 2-3 (May 11, 2018): 51–70. http://dx.doi.org/10.7202/1045367ar.

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Abstract:
L’auteur de cet article propose d’étudier l’évolution des salles de cinéma et des lieux de projection indépendants dans la capitale chinoise depuis les années 1990, leur place dans la ville, l’augmentation du nombre de spectateurs et l’évolution des pratiques culturelles, ainsi que les différentes politiques culturelles mises en place, entre encouragement au développement des salles et répression des réseaux indépendants. La vitesse de l’accroissement du parc de salles dans les grandes villes chinoises, à l’échelle de cette immense nation, du jamais vu dans le monde, y est soulignée à travers l’étude des principaux circuits d’exploitants à Pékin.
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Habib, André. "En terrains connus ou « choses vues » dans Paris : Night and Day (2008) de Hong Sang-soo." Études littéraires 45, no. 2 (March 4, 2015): 97–107. http://dx.doi.org/10.7202/1028980ar.

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Abstract:
Paris est, avec peut-être New York comme seul rival, un des « personnages » les plus illustres de l’histoire du cinéma. Des « vues Lumière » jusqu’aux pérégrinations des héros de la Nouvelle Vague, de la psychogéographie de Debord aux cartographies affectives de Rohmer, en passant par les Paris vu par (1965, 1985) et autres Paris je t’aime (2006), peu de villes ont été autant filmées, et peu de villes ont eu autant d’influence sur l’imaginaire cinématographique. Il est notamment fascinant de constater la migration de cet imaginaire au sein des cinématographies asiatiques contemporaines. Cet article se penche sur le film Night and Day (2008) de Hong Sang-soo, tourné principalement dans le XIVe arrondissement à Paris, seul film de ce cinéaste sud-coréen à avoir été réalisé à l’extérieur de son pays. Le cinéma de Hong Sang-soo tourne autour d’un périmètre très limité et obsessif de lieux (cafés, bars, appartements), de quartiers et de situations (beuveries, triangles amoureux, vacances). Night and Day, avec le XIVe arrondissement comme toile de fond, en offre une énième variation, délocalisée, certes, mais totalement marquée par la présence du familier. Plutôt que d’être une expérience de la ville fondée sur le choc des cultures ou la rencontre avec l’autre, Night and Day propose un regard tout à fait décomplexé sur Paris, attentif aux « choses vues » les plus triviales, et marqué par un attachement aux lieux ordinaires, au commun, au quotidien, aux parcours du héros (qui n’y rencontre, à peu de choses près, que des Coréens). Par ailleurs, comme pour Tsai Ming-liang (Et là-bas, quelle heure est-il ? [2001], Visage [2009]) ou Hou Hsiao-hsien (Le Voyage du ballon rouge, 2007), l’appropriation de Paris est indissociable d’une culture cinéphilique (en l’occurrence, dans le cas de Hong Sang-soo, du cinéma de Rohmer). Il s’agira donc d’essayer de décrire les modes d’appropriation de l’espace de la ville dans ce film, et l’imaginaire culturel par lequel ils transitent.
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GOERG, ODILE. "VISIBILIDADE E INVISIBILIDADE DOS CINEMAS NA áFRICA COLONIAL: revivendo as primeiras cenas." Outros Tempos: Pesquisa em Foco - História 13, no. 22 (December 28, 2016): 89–102. http://dx.doi.org/10.18817/ot.v13i22.548.

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Abstract:
O cinema tem o seu apogeu nos anos 1950-1970, mas o que nós sabemos sobre as modalidades de sua difusão a partir do iná­cio do século XX? Este artigo discute o sucesso precoce do cinema, vindo na bagagem de conquista colonial, por meio dos vestá­gios deixados pelos relatos de viajantes, pela imprensa ou pelas memórias de espectadores. Empresários, africanos ou europeus, desempenharam um importante papel de intermediários da modernidade para garantir o fluxo de imagens em movimento. Eles são fotógrafos, engenheiros, comerciantes. Inicialmente, eventos efêmeros que ocorrem no interior de concessões ou hotéis, as sessões do cinema se fixam pouco a pouco. Enquanto o cinema ambulante anima, esporadicamente, as praças da aldeia, os cinemas são construá­dos nas grandes cidades. São eles que atraem a atenção dos administradores. O modelo dominante do entreguerras permanece, todavia, aquele dos espaços fechados, a céu aberto, protegidos por um toldo ao fundo. A diferenciação dos lugares corresponde aquela dos públicos: aos mais pobres, majoritariamente africanos, são destinados os lugares da frente. O ambiente das sessões e a experiência dos espectadores variam fortemente segundo o espaço frequentado. As sessões a céu aberto, onde são projetados, sobretudo, filmes de westerns e os filmes de ação, contrastam com aquelas do centro da cidade em que a atmosfera é mais ”civilizada”.Palavras-chave: Cinema. Colonialismo. áfrica. VISIBILITY AND INVISIBILITY OF CINEMAS IN COLONIAL AFRICA: reviving the first scenesAbstract: The cinema had its peak during the 1950s-1970s, but what do we know about the modalities of its diffusion from the beginning of the twentieth century? This paper analyses the success of cinema, a pastime which followed European colonization, through various sources: travellers”™ accounts, newspapers, memoirs and recollections of audience members. Entrepreneurs, African or European, played a powerful role as conveyors of modernity by circulating moving images. They were photographers, engineers and merchants. At first, movie shows were sporadic events, taking place in compound yards or hotels; they gradually found permanent locations. While mobile shows sometimes animated village squares, cinemas were built in the main cities. The colonial administration focused its attention on them. But the main model between the two World Wars remained the open-air cinema, protected only at the rear by an awning. This differentiation of spaces was accompanied for the same process for the spectators. The poorest, mainly Africans, were located at the front. Therefore, atmosphere and audience experiences differed greatly. The Audience behavior at open-air shows, where Westerns and action movies dominated, contrasted with more polite behavior in downtown theaters.Keywords: Cinema. Colonialism. Africa. Visibilidad e invisibilidad de LOS cineS en áfrica colonial: reviviendo las primeras escenasRésumé: Le cinéma connait son apogée dans les années 1950-1970 mais que savons-nous des modalités de sa diffusion á partir du début du XXá¨me siá¨cle ? Cet article évoque le succá¨s précoce du cinéma, arrivé dans les bagages de la conquête coloniale, á travers les traces laissées par les récits de voyageurs, la presse ou des souvenirs de spectateurs. Des entrepreneurs, africains ou européens, jouá¨rent un formidable rôle de passeurs de modernité pour assurer la circulation des images animées. Ils sont photographes, ingénieurs, commerçants. D”™abord évá¨nements éphémá¨res, se déroulant dans les cours des concessions ou les hôtels, les séances du cinématographe se fixent peu á peu. Tandis que le cinéma ambulant anime, sporadiquement, les places de village, des cinémas sont construits dans les grandes villes. Ce sont eux qui attirent le regard des administrateurs. Le modá¨le dominant de l”™entre-deux-guerres reste toutefois celui de vastes enclos, á ciel ouvert, protégés par un auvent á l”™arriá¨re. A la différentiation des lieux répond celle des publics : aux plus pauvres, majoritairement africains, sont assignées les places á l”™avant. L”™ambiance des séances et l”™expérience des spectateurs varient donc fortement selon l”™espace fréquenté. Les séances en plein air, oá¹ sont projetés surtout des westerns et des films d”™action, contrastent avec celles du centre-ville á l”™atmosphá¨re plus policée.Mots-clés: Cinéma. Colonialisme. Afrique.
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Froger, Marion. "Mitoyenneté dans le cinéma urbain de Johan van der Keuken." bâtir, no. 14 (September 15, 2010): 127–41. http://dx.doi.org/10.7202/044413ar.

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Abstract:
Qu’est-ce qu’un espace de mitoyenneté ? Ce n’est pas tout à fait un espace public, au sens où on l’entend habituellement ; c’est plutôt le lieu d’une expérience de sociabilité à la fois continuelle et précaire. Ce moment où le contact s’éprouve dans la perspective de sa rupture, cette distance entre nous qui nous fait pourtant tenir ensemble. C’est l’espace fondamental de la socialisation, pour un Isaac Joseph dont nous reprendrons les analyses afin de décrire le cinéma dit cosmopolite de Johan van der Keuken. D’Amsterdam à Groszny, Johan van der Keuken est l’un des rares cinéastes à filmer les villes en paix comme les villes en guerre, et à pouvoir ainsi montrer le coeur fragile de nos expériences sociales. Un des rares cinéastes à faire des films pour préserver l’attention au lien et promouvoir le souci de sa perte.
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Prudentino, Luisa. "Christophe Falin, Shanghai – Hong Kong, villes de cinéma (Shanghai – Hong Kong, cities of cinema),." China Perspectives 2015, no. 2 (June 1, 2015): 65–66. http://dx.doi.org/10.4000/chinaperspectives.6741.

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Assunção, Teodoro Rennó. "O Cine Candelária." Revista do Centro de Estudos Portugueses 29, no. 41 (June 30, 2009): 11. http://dx.doi.org/10.17851/2359-0076.29.41.11-47.

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Abstract:
<p>Esta crônica-ensaio quer reconstituir – também a partir da memória pessoal – um período da história de uma sala de cinema belo-horizontina, o Cine Candelária, ou seja: os anos 70 e 80 (do século XX) nos quais ocorrem a eclosão da pornochanchada e do pornô, a introdução massiva do vídeo-cassete e a decadência das salas de cinema nas grandes cidades brasileiras. Ela visa também a apresentar rapidamente e a tentar repensar dentro de seu contexto histórico-social um gênero “baixo” que foi em geral desprezado pela crítica séria: a pornochanchada.</p> <p>Cette chronique-essai veut reconstituer – à partir de la mémoire personnelle aussi – une période de l’histoire d’une salle de cinéma de Belo Horizonte, le Cine Candelária, c’est-à-dire : les années 70 et 80 (du XXème siècle) où ont lieu l’éclosion de la <em>pornochanchada </em>e du porno, l’introduction massive de la vidéocassete et la décadence des salles de cinéma dans les grandes villes brésiliennes. Elle vise aussi à présenter rapidement et à essayer de repenser dans son contexte socio-historique un genre “bas” qui a été en général méprisé par la critique sérieuse: la <em>pornochanchada</em>.</p>
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Paquot, Thierry. "Quand le « jeune » fait son cinéma." Diversité 194, no. 1 (2019): 48–53. http://dx.doi.org/10.3406/diver.2019.8177.

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Abstract:
Si les jeunes se filment entre eux via l’application vidéo de leur portable, rares sont les films réalisés par des jeunes mettant en scène d’autres jeunes ou alors à l’occasion d’exercices encadrés ou de WebTV pédagogiques. Les documentaires et les fictions qui s’intéressent aux jeunes sont le fait d’adultes qui enquêtent sur ce qu’ils ne sont plus ou bien cherchent à maintenir vivant ce qu’ils ont été, non sans une certaine nostalgie. Ainsi le cinéma dès ses premiers films montrent-ils des enfants, des adolescents, des jeunes, garçons et filles, en train de jouer, travailler, circuler dans les villes et les campagnes, rêver, aimer et chacun d’entre nous se souvient, avec émotion, de telle ou telle scène, de tel ou tel acteur ou actrice, de telle ou telle intrigue, qui témoignent d’un moment de l’existence.
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Millery, Edwige, and Léa Garcia. "Loisirs des villes, loisirs des champs ?" Culture études 5, no. 5 (December 6, 2023): 1–32. http://dx.doi.org/10.3917/cule.235.0001.

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Abstract:
Les loisirs des urbains et ceux des ruraux sont-ils de nature et d’intensité comparables ? En d’autres termes, vivre en ville ou à la campagne dessine-t-il des univers de loisir différents ? L’enquête sur les pratiques culturelles de la population menée en 2018, croisée avec la grille communale de densité qui caractérise les territoires, permet d’approcher des caractéristiques selon le lieu de résidence de la population. Celles-ci sont établies à partir de l’observation d’une quinzaine de pratiques relevant des loisirs culturels (sorties au musée, au spectacle, en festival, à la bibliothèque ou encore au cinéma), médiatiques (écouter la radio, des podcasts ou regarder la télévision) et ordinaires (activités d’autoproduction comme bricoler, tricoter, jardiner ou cuisiner). L’étude mobilise également des indicateurs de proximité des personnes aux équipements culturels selon le type de territoire où ils résident. Ainsi, les habitants de l’urbain dense et ceux du rural dispersé et très dispersé se distinguent par les activités de loisir qu’ils pratiquent pendant leur temps libre. La sortie culturelle au musée ou au spectacle, liée en partie à un effet d’équipement, est ainsi moins prisée des habitants du rural, lesquels sont plus nombreux à écouter la radio et à regarder la télévision que ceux de l’urbain dense. Bien que les bibliothèques et les cinémas soient les premiers équipements culturels de proximité, leur fréquentation reste liée au niveau de diplôme et à la catégorie socioprofessionnelle, cumulés à un net effet territorial. À l’inverse, la fréquentation de festivals, présents sur l’ensemble du territoire, n’a pas d’effet territorial discriminant pour les ruraux. Tout comme pour les autres activités d’autoproduction que sont le bricolage, le jardinage ou les travaux d’aiguille, les ruraux et les cadres sont, dans l’ensemble, plus engagés dans la pratique que les urbains ou les ouvriers. Aux caractéristiques sociales des individus s’ajoute donc un effet territorial plus ou moins marqué selon les activités. L’éloignement des centres urbains, où se concentrent l’offre culturelle et les services, explique en partie cet effet territorial, qui concerne cependant moins les cadres et les diplômés du supérieur.
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Boily, Lise. "Codification et industries culturelles : un espace de créativité et d’innovation." Articles 13 (June 22, 2009): 102–10. http://dx.doi.org/10.7202/037507ar.

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Abstract:
Résumé Les industries culturelles occupent une place privilégiée dans le développement des villes créatives. Elles sont un catalyseur pour la création d’expériences novatrices et on y observe un ensemble de pratiques diversifiées qui contribuent au développement économique. Un regard sur la cybermuséologie, l’opéra numérique, le cinéma numérique permet de réfléchir sur les sources de la créativité et aussi de comprendre le processus qui favorise l’émergence de nouveaux genres au sein de ces industries. La codification se voit à l’origine des mutations que l’on y observe.
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Muller, François-Frédéric. "Nouvelle jeunesse de la ruine." Le Visiteur N° 22, no. 1 (March 5, 2017): 9–19. http://dx.doi.org/10.3917/visit.022.0008.

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Abstract:
À l’apparition du goût pour la ruine, c’est l’objet antique qui frappe l’imagination. Les tambours des colonnes effondrées ramènent le spectateur plusieurs siècles en arrière. La beauté frissonnante des cadavres de pierre évoque un âge d’or perdu qui sert de modèle. Plus tard, les romantiques entretiennent cette fascination ambivalente pour les monuments éventrés, moins pour nourrir les utopies que pour jouer avec les limites de la beauté et de la laideur. Si une grande partie de la littérature contemporaine perpétue cet amour de la ruine apprivoisée, les industries du jeu vidéo et du cinéma nous saturent d’images de villes détruites dans des convulsions de fin du monde. La ruine n’est plus un objet inerte, elle se fabrique sous nos yeux. Elle n’est plus l’engrais pour le monde à venir mais le spectacle sans cesse renouvelé de notre fin. Dans une complaisance nihiliste d’adolescent attardé, l’image de la ville agonisante est devenue un produit. On ne fera pas un lien direct entre cet univers visuel et la production contemporaine. On cherchera plutôt en quoi ce nouvel âge de la ruine nous renseigne sur notre expérience de la ville postmoderne, en quoi cette vision toujours renouvelée de la fin de l’histoire confère à des bâtiments d’une laideur commune la beauté étrange d’un freak .
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Goerg, Odile, and Céline Pauthier. "La Guinée et les nœuds de l’histoire." Politique africaine 169, no. 1 (August 21, 2023): 121–44. http://dx.doi.org/10.3917/polaf.169.0121.

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Abstract:
Odile Goerg, professeure émérite à l’université Paris Cité, est une historienne de l’Afrique de l’Ouest (Guinée, Sierra Leone) qui s’est successivement intéressée aux réseaux économiques coloniaux, à l’histoire des villes africaines, aux loisirs et sociabilités en milieu urbain, puis au cinéma comme pratique de loisir en Afrique coloniale. Dans cet entretien, Céline Pauthier questionne Odile Goerg sur sa relation de 40 ans avec la Guinée, sur les sources qu’elle a pu mobiliser au cours de sa carrière et sur le contexte scientifique et politique de recherche dans ce pays. La conversation explore les enjeux postcoloniaux et les questions mémorielles qui entourent l’écriture de l’histoire dans ce pays.
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Keubeung, Gerard. "Noire n'est pas mon métier ou un autre appel des Indigènes de la République." Voix Plurielles 18, no. 1 (May 2, 2021): 3–15. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v18i1.2619.

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Abstract:
Le présent article voudrait analyser L’ouvrage Noire n’est pas mon métier qui regroupe les récits et expériences de seize actrices françaises noires et métisses. S’inscrivant dans le prolongement de la réaction des acteurs afro-américains qui protestaient en 2016 contre leur absence de la liste des nominés pour la cérémonie des récompenses des oscars, les seize contributrices décrivent les discriminations dont elles sont victimes et les difficultés dont elles font face dans l’exercice de leur métier d’actrice. En inscrivant cette publication dans le contexte socio historique de la société française de la fin du siècle dernier marqué par la guerre des mémoires, les émeutes dans les banlieues des grandes villes et le débat sur l’identité nationale, je postulerai que les revendications de ces actrices se situent dans la mouvance générale tracée par « les Indigènes de la République » qui refusent d’être cantonnés dans l’arrière-cour de la république. En revisitant les stéréotypes, les discriminations, et tout le mécanisme d’invisibilisation des actrices noires dans le cinéma français, nous lirons cet ouvrage comme une tentative de prise de parole de la femme noire triplement subalterne et condamnée à une bataille permanente pour s’affirmer comme une humanité et avoir ainsi part à ce que Jacques Rancière appelle « le partage du sensible. » Discrimination - Cinéma- Indigènes - Noire - Actrice - Exclusion
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Olivo, Guy. "Aux origines du spectacle cinématographique en France. [Le cinéma forain : l'exemple des villes du Midi méditerranéen]." Revue d’histoire moderne et contemporaine 33, no. 2 (1986): 210–28. http://dx.doi.org/10.3406/rhmc.1986.1357.

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Grabli, Charlotte. "La bande-son du township." Revue d'histoire contemporaine de l'Afrique, no. 2 (October 1, 2021): 18–41. http://dx.doi.org/10.51185/journals/rhca.2021.e551.

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Abstract:
Cet article étudie les cultures cinématographiques des townships de Kinshasa et Johannesburg des années 1930 aux années 1950, en mettant l’accent sur l’expérience des spectateurs et leur réception de la bande-son des films, deux aspects souvent négligés par les études sur le cinéma. Si Hollywood exerça une influence similaire dans ces deux villes, les spectateurs du quartier de Sophiatown, à Johannesburg, et de la « cité indigène » de Léopoldville (actuel Kinshasa), entretenaient un rapport radicalement différent aux dialogues et aux musiques de films. Examinant ces deux types de réception sonore, cet article analyse la relation complexe entre son, espace et politique de la fiction à l’époque coloniale et de l’apartheid, depuis les premières projections destinées aux publics africains jusqu’à la production de films populaires mettant en scène des acteurs locaux à la fin des années 1950, jusqu’à la destruction de Sophiatown et l’indépendance de l’indépendance du Congo en 1960.
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Delangue, Guillaume. "« Dreyfus sur la toile » !" Sociétés & Représentations N° 57, no. 1 (April 23, 2024): 349–66. http://dx.doi.org/10.3917/sr.057.0349.

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Abstract:
En 1898-1899, l’affaire Dreyfus bat son plein, et les dreyfusards se mobilisent en meetings et dans la presse pour défendre le capitaine condamné. Au même moment, l’éducation populaire connaît un grand succès en intégrant des projections à la lumière oxhydrique dans ses enseignements. C’est notamment le cas dans le milieu des universités populaires. Les dreyfusards vont reprendre à leur compte ce « pré-cinéma », et introduire la projection de supports visuels dans leurs conférences afin d’illustrer le propos des orateurs. Parmi les supports projetés, on trouve des photographies de Dreyfus, Esterhazy, Zola, Picquart, et des autres grands protagonistes de l’affaire. Des images en lien avec Dreyfus sont donc politiquement récupérées, projetées, et réinterprétées au service d’une cause militante. Les mouvances de gauche et les ligues républicaines sont aux manettes de ces « conférences documentaires » qui vont de l’été 1898 au procès en révision de Dreyfus. Elles se tiennent principalement en région parisienne et s’exportent mal en dehors des villes, contrairement aux grands meetings de la Ligue des droits de l’homme qui partant des métropoles réussissent à s’implanter dans les campagnes.
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Jerjini, Célia. "Se soulever avec le désert : l’esthétique désertifiante de Tariq Teguia." Expressions maghrébines 23, no. 1 (June 2024): 59–85. http://dx.doi.org/10.1353/exp.2024.a930860.

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Abstract:
Résumés: Le cinéma de Tariq Teguia a souvent été analysé à partir du traitement topographique réservé aux régions et villes algériennes dans ses films. Le cinéaste situe en effet souvent ses fictions dans des lieux en chantier afin de rendre compte de la dimension fêlée et en suspens de l’Algérie. En ramenant le tout au matériau (la ferraille, le béton…) et aux espaces semi-construits/semi-détruits, il dresse une carte d’intensités. L’étude des étendues désertiques — le désert mais aussi la mer — pourtant également très présentes dans ses films, reste à ce jour peu traitée. Cet article entend y remédier en présentant l’esthétique désertifiante du cinéaste. L’écrit revient notamment sur le développement continu et progressif de l’intrication du désert et de la mer d’un film à l’autre au point d’être perceptible dès le pré-générique de Révolution Zendj . Abstract: Cinema studies often focus on the typographic treatment of Algerian regions and cities in Tariq Teguia’s films. As a matter of fact, his fictions often take place in areas under construction so as to show the cracks in the Algerian society and the unsettled state of the country. By placing great emphasis on building materials (scrap metal and concrete) as well as on half-built or demolished structures, he creates an intensity map of Algeria. The study of its desert landscapes, including the sea that is also very present in his films, has moreover received little attention so far. The purpose of this article is to remedy this lack by presenting the director’s aesthetics of desertification. It retraces the continuous and progressive development of the entanglement of the desert and the sea from one film to another, so much so that it can even be noticed in the pre-title sequence of Revolution Zendj .
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Kessler, Frank, and Sabine Lenk. "L’émergence des multisalles en RFA : le cas de Düsseldorf." Cinémas 27, no. 2-3 (May 11, 2018): 113–33. http://dx.doi.org/10.7202/1045370ar.

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Abstract:
Dans cet article, les auteurs étudient l’évolution des salles de cinéma dans la ville de Düsseldorf entre 1920 et 1989, en particulier les développements de l’après-guerre. Entre 1945 et 1959, le nombre de salles augmente continuellement ; la première ferme en 1960, inaugurant un développement dégressif. En 1969, une nouvelle stratégie se manifeste : la partition d’un cinéma en plusieurs salles, ce qui deviendra une pratique dominante au cours des années 1970, selon un développement toutefois non linéaire ni homogène. L’article cherche à retracer la complexité de ce processus en tenant compte, entre autres, des phénomènes de croissance antérieurs entre 1920 et 1945, ainsi que des conséquences de changements sociaux pour le mode d’exploitation de salles. Il y retrace l’évolution adaptative des exploitants de cinémas qui sont passés de la formule « un bâtiment = une salle » à celle du cinema centre.
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Srour, Némésis. "Les salles de cinéma en Inde, un territoire à conquérir : perspectives historiques." Cinémas 27, no. 2-3 (May 11, 2018): 31–50. http://dx.doi.org/10.7202/1045366ar.

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Abstract:
Les recherches sur l’histoire du cinéma en Inde, et en particulier celles sur le cinéma des premiers temps, attestent d’un manque cruel de sources, d’archives et de conservation des films. Comment documenter alors une histoire peu traitée, celle des salles de cinéma, sur un territoire aussi vaste ? Cet article, nullement exhaustif, cherche à mettre en évidence, de façon diachronique, les grands enjeux de l’exploitation en Inde. Des débuts du cinéma jusqu’à nos jours, une problématique de fond persiste : la conquête des zones rurales et de ses publics. À cette opposition entre territoires urbains et territoires ruraux se superpose, en ville, celle de la distinction entre différentes classes de cinémas. Variant dans la forme, ces analyses montrent toutefois une permanence de problèmes structurels, entre pénurie de salles et fortes disparités territoriales. Le déploiement des multiplexes, et de ses avatars en taille réduite, les miniplexes et les valueplexes, semble ouvrir la brèche des potentialités des marchés ruraux.
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Gacek, James, and Steven Kohm. "The ‘Frozen’ Heart of the Continent: Place-Myths and Winnipeg in Canadian Crime Films." Canadian Graduate Journal of Sociology and Criminology 5, no. 1 (August 2, 2016): 4–17. http://dx.doi.org/10.15353/cgjsc.v5i1.3738.

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Abstract:
Within Canadian national cinema, audiences view places that draw attention to the shared experience of being within these geopolitical, socio-spatial locations. This paper contends that crime films set in Winnipeg, a city situated in the centre of North America, reflect and contribute to the cultural identity of the city within the national imaginary. Place-myths have the potential to construct meanings about a particular place, indicating whether it is romantic or dangerous, progressive or “backward,” vibrant or decaying. While currently branded by local civic boosters as the ‘Heart of the Continent,’ (Kives, 2008) the construction of Winnipeg-as-place on film tells a different tale. By implementing a qualitative media analysis, we argue that place-myths manifest themselves within Canadian crime film narratives, and that a better understanding of place allows us to observe how Winnipeg becomes socially spatialized onscreen. As our paper suggests, one’s sense of space can only constellate when one’s experiences of being and acting within a place is taken into account. Winnipeg ultimately becomes represented on film as a place where crime is rampant and law enforcement is unable to combat the criminal behaviour within the city—in other words, where law and justice is ‘frozen.’ Dans le cinéma national canadien, les auditoires vont associer les lieux avec leur propre expérience de ces emplacements géopolitiques et de leur espace social. Cet article soutient que les films policiers qui se déroulent à Winnipeg, une ville située au centre de l’Amérique du Nord, reflètent et contribuent à forger l’identité culturelle de la ville au sein de l’imaginaire national. Les mythes liés aux endroits ont le potentiel de construire des significations autour d’un lieu spécifique, indiquant si cet espace est romantique ou dangereux, progressif ou « rétrograde », animé ou déserté. Même si des représentants de Winnipeg vont qualifier la ville de « cœur du continent » (Kives, 2008), sa construction imaginaire au cinéma raconte une autre histoire. Par la mise en œuvre d’une analyse qualitative des médias, nous soutenons que les mythes des lieux se manifestent dans les trames narratives des films policiers canadiens, et qu’une meilleure compréhension des lieux nous permet de constater comment l’espace social de Winnipeg a été présenté à l’écran. Comme notre article le suggère, notre perception de l’espace ne peut s’exprimer pleinement que si nous expérimentons concrètement et agissons dans celui-ci. Winnipeg devient finalement représenté au cinéma comme un endroit où le crime est à la hausse et les organismes d’application de la loi incapables de combattre les comportements criminels dans la ville – en d’autres mots, où la loi et la justice sont « immobiles ».
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ARISTARCO, Guido. "La ville, les possibilités du cinéma et les films." Sociologie et sociétés 8, no. 1 (September 30, 2002): 91–116. http://dx.doi.org/10.7202/001013ar.

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Abstract:
Résumé " Le film est essentiellement différent des autres arts parce que, dans sa vision du monde, espace et temps se confondent : le premier en revêtant un caractère presque temporel, le second, jusqu'à un certain degré, un caractère spatial ". Aristarco après avoir analysé les spécificités du cinéma fait appel à cet art pour chercher " une solution aux problèmes culturels d'existence et de notre situation dans la crise que traverse la ville. L'auteur s'interroge sur les films dits " populaires " qu'il voit comme " le pendant de la spéculation immobilière du cinéma ". Aristarco conclut : " Dans sa forme " épique ", le cinéma peut collaborer (...) au problème de l'urbanisme, à l'explication la plus approfondie possible de la crise qui envahit l'espace de la ville, l'homme et son habitat (...) ".
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Véronneau, Pierre. "Cinéma ambulant et implantation urbaine : l’activité de William Shaw dans le contexte des Cantons-de-l’Est." Cinémas 6, no. 1 (February 25, 2011): 47–80. http://dx.doi.org/10.7202/1000959ar.

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Abstract:
Le projectionniste ambulant William Shaw, qui a sillonné pendant plus de 30 ans la région des Cantons-de-l’Est, devient dans cette étude le riche cas d’espèce d’une étude plus large des projections ambulantes et des rapports entre le monde rural et urbain autour du cinéma des premiers temps. La ville est alors un lieu de sédentarisation pour les exploitants et un lieu d’arrêt pour les projectionnistes ambulants, tandis que la foire agricole joue le rôle d’interface entre la ville et la campagne et devient le lieu de rencontre privilégié avec le cinéma. Au cours de l’histoire, les projections ambulantes développent des pratiques particulières de plus en plus en décalage avec les pratiques urbaines. Le cas le plus flagrant est la permanence de la projection muette alors que le cinéma devient parlant.
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Bertozzi, Marco. "Un cinéma blessé : Pasolini et le mythe de la ville intacte." Cinémas 27, no. 1 (September 25, 2017): 41–55. http://dx.doi.org/10.7202/1041107ar.

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Abstract:
Quel est l’imaginaire urbain esquissé par Pasolini dans ses films ? Quelles sont les formes de la ville imaginées dans son oeuvre, d’abord à Rome puis dans d’autres cités, dans les pays du « tiers-monde » ? Cet article tente de répondre à ces questions en partant de l’hypothèse que le cinéaste aborde la représentation de la ville en ayant à l’esprit l’urbs intacte, dont l’identité pure, presque mythique, est encore gardée par ses murs antiques (comme par le cadenas qui assure l’inviolabilité de l’image de la ville dans la célèbre Vue de Florence « à la chaîne »), et qu’il vit comme une blessure profonde toute tentative d’ouvrir ce type de ville à la contemporanéité ; ce qui l’amène à prendre la défense de la ville entière, même dans ses aspects les plus ordinaires et les moins monumentaux, de la même manière qu’il défend la littérature populaire et la poésie dialectale, tout aussi importantes à ses yeux que l’oeuvre de Dante ou de Pétrarque.
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Delauney, Maxime, and Gérard Granier. "Les Égaluantes de Carentan : quand la ruralité fait son cinéma !" Études Normandes 16, no. 1 (2020): 54. http://dx.doi.org/10.3406/etnor.2020.3666.

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Abstract:
Depuis 2016, la ville de Carentan (10 000 habitants) s’est dotée de «rencontres cinématographiques consacrées à l’histoire du cinéma dans le Cotentin et en Normandie». Créé par Maxime Delauney, 38 ans, producteur de fi lms (Nolita Cinéma et Nolita TV), ce festival connaît un succès croissant : dans un cinéma qui n’accueillait plus que 14 000 spectateurs à l’année, il est passé de 2 000 à 3 500 festivaliers sur un week-end en trois ans !
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Aubert, Baptiste. "Faire la navette : construire un objet-témoin de la mémoire collective de la ville postindustrielle belge de Verviers." Articles, no. 36 (August 31, 2021): 1–16. http://dx.doi.org/10.7202/1080951ar.

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Abstract:
Comment rendre compte de la mémoire d’une ville postindustrielle par le médium du cinéma ? Dans cet article, je présente un dispositif cinématographique construit autour de la collecte d’objets et de témoignages. En revisitant la notion d’« objet-témoin », je parcours les brocantes de la ville de Verviers afin d’acquérir d’anciennes navettes de métiers à tisser et de reconstruire leur histoire avec les vendeurs·euses qui s’en séparent. L’ensemble des récits collectés me permet de questionner, puis de représenter la « mémoire collective » de cette ville postindustrielle belge.
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Tabbal, Michel. "Beyrouth au cinéma : de l’âge d’or aux temps sombres." Questions internationales N° 125, no. 3 (July 1, 2024): 151–59. http://dx.doi.org/10.3917/quin.125.0151.

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Abstract:
À partir des années 1960, Beyrouth séduit les réalisateurs libanais comme étrangers. Ils dévoilent une ville cosmopolite, festive et prospère dans laquelle pullulent les espions. Entre 1975 et 1990, changement brutal, les films sur Beyrouth dépeignent les ravages de la guerre et les violences des groupes armés et milices qui transforment la capitale libanaise en un champ de ruines. Depuis la fin de la guerre, les productions cinématogra­phiques dessinent, souvent avec mélancolie, l’image d’une ville meurtrie aux mille et un mystères, en destruction et reconstruction permanentes, et où la population oscille entre joie de vivre et inquiétude sur son avenir .
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Larrue, Jean-Marc. "Le cinéma des premiers temps à Montréal et l’institution du théâtre." Cinémas 6, no. 1 (February 25, 2011): 119–31. http://dx.doi.org/10.7202/1000962ar.

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Abstract:
Cet article propose un tableau précis des liens étroits qui unirent le cinéma des premiers temps à l’institution théâtrale montréalaise existante. À cette époque, le cinéma joue un rôle central dans les stratégies d’émergence du théâtre francophone qui s’éloigne alors du théâtre anglophone, son rival issu de la ville de New York, tout autant qu’il joue un rôle d’attrait dans un contexte de vive concurrence. Non seulement cela donne-t-il lieu à des scènes mixtes (théâtrales et cinématographiques), mais également à une interprétation plus profonde de deux arts qui aboutit aux premières manifestations d’un cinéma-théâtre québécois.
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Fortin, Andrée. "Un nouveau récit collectif dans le cinéma québécois : la centralité de la banlieue." Sociologie et sociétés 45, no. 2 (February 21, 2014): 129–50. http://dx.doi.org/10.7202/1023176ar.

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Abstract:
Entre 1965 et 2010, l’espace de référence dans le cinéma québécois est passé de la ville centre à la banlieue pavillonnaire, ou pour le dire autrement, « l’espace urbain » dans l’imaginaire cinématographique renvoie de moins en moins à la ville proprement dite. L’analyse repose sur un corpus de 250 films de fiction québécois, et comporte deux dimensions. Une analyse synchronique révèle que pendant toute la période, à une représentation dans l’ensemble négative de la ville répond une représentation plutôt positive de la banlieue. Une analyse diachronique révèle pour sa part que se multiplient les films où la banlieue prend toute la place, et qu’elle y apparaît désormais comme un lieu complexe, autosuffisant et support de mémoires individuelles.
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Leclercq, Emmanuel. "Berlin au cinéma : la ville miroir de l’histoire." Les Temps Modernes 625, no. 4 (2003): 241. http://dx.doi.org/10.3917/ltm.625.0241.

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Poggi, Marie-Hélène. "La ville mise en mouvement par le cinéma." Protée 31, no. 2 (August 9, 2004): 7–16. http://dx.doi.org/10.7202/008749ar.

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Abstract:
Résumé Le Festival de Cannes est un événement cinématographique qui se donne à voir et à comprendre en dehors des salles obscures : nous avons considéré les festivaliers comme des « corps en action » pris dans un milieu urbain qui se trouve en partie réorganisé pour faciliter la tenue du festival, c’est-à-dire pour faciliter notamment l’arrivée à Cannes des festivaliers, leur accueil et l’accès des spectateurs aux lieux du spectacle cinématographique. Travaillant sur le parcours du festivalier, procès de signification sociale et culturelle qui s’inscrit, de fait, au coeur de la ville de Cannes, nous faisons de l’activité située du spectateur une manifestation expressive privilégiée pour mettre en évidence la manière dont la substance urbaine se trouve ré-informée, voire transformée, par l’événement public qui la prend pour cadre. Il s’agit moins ici de décrire le territoire du festival lui-même que de déterminer les conditions et circonstances de sa formation pour dégager les bases d’une analyse sociosémiotique de la territorialisation d’un événement culturel.
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Laffont, Georges-Henry, and Lionel Prigent. "Paris transformé en décor urbain." Téoros 30, no. 1 (September 4, 2012): 108–18. http://dx.doi.org/10.7202/1012114ar.

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Abstract:
Dans un mouvement de plus en plus suivi, de nombreuses agglomérations et régions françaises tendent à développer un secteur économique local consacré au cinéma et, dans le même temps, un tourisme inspiré de ce cinéma. Les lieux les plus représentatifs d’une ville deviennent ainsi des décors et des images diffusés sur grand écran. Paris s’est illustré dans ce phénomène depuis le début du XXe siècle. Cependant, l’exposition ainsi offerte renforce-t-elle l’attractivité touristique ? Ou bien l’industrie du film se saisit-elle des sites emblématiques pour créer l’émotion ? Ces questions symétriques conduisent à analyser les stratégies de développement économique dans un contexte local et à comprendre comment un lieu est utilisé (et mis en valeur) par le cinéma.
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Froger, Marion. "Par la porte intime du paysage marseillais : le cinéma politique de Robert Guédiguian." Études littéraires 45, no. 2 (March 4, 2015): 147–63. http://dx.doi.org/10.7202/1028984ar.

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Abstract:
Depuis quelques années, les études urbaines tentent de faire du paysage un « bien commun » et se faisant, sont amenées à tenir compte de la dimension affective et intime du rapport que les habitants entretiennent avec le paysage tout autant que des divers intérêts qui sont en jeu dans ses définitions et ses usages. Les débats que le programme Euroméditerranée de transformation de la ville de Marseille a suscités en portent la trace. Au centre de la filmographie de Robert Guédiguian, on retrouve une notion essentielle à la compréhension de l’expérience de la ville et du rôle de ses paysages : celle d’un « attachement » éprouvé envers elle, moins comme demeure individuelle que comme lieu d’une expérience collective. Parce que la filmographie de Robert Guédiguian couvre trois décennies marseillaises, on y trouve aussi une attention particulière aux transformations de la ville ; parce que le cinéaste pose un regard d’enfant du pays sur la cité phocéenne, on y trouve encore une mise en question du sentiment de territoire ; et parce qu’il raconte des histoires dites communautaires, on y trouve enfin une interrogation lancinante sur les ressources intimes de l’engagement collectif. Dans la cinématographie de Robert Guédiguian, le paysage habité, ressenti et aperçu, autant par les personnages que par les spectateurs, sert de révélateur à une expérience inquiète de la ville, qui met le collectif — et le politique — au coeur de l’intime
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Carpentier, Jean-Noël. "Un centre-ville pour Montigny-lès-Cormeilles." Administration N° 280, no. 4 (January 18, 2024): 89–90. http://dx.doi.org/10.3917/admi.280.0089.

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Abstract:
La « RD14 », linéaire commercial de cinq kilomètres, traverse quatre communes, dont Montigny-lès-Cormeilles, qu’elle coupe en deux. Dès 2011, via le Plan Local d’Urbanisme, la municipalité s’est engagée dans la transformation de la RD14 en boulevard urbain apaisé, en valorisant les espaces publics et privés et en diversifiant ses fonctions. L’ouverture d’un cinéma et de restaurants, en novembre 2017, ont constitué les prémices de ce renouveau. D’ici dix ans, le boulevard apparaîtra comme un véritable centre-ville, dont la ville est aujourd’hui dépourvue : 900 logements, un groupe scolaire de quatorze classes, des locaux de commerces, de loisirs ou de services (crèche, cabinet médical…), l’ensemble étant arboré et aéré. Pour réaliser cette opération d’aménagement complexe, la Ville a noué des partenariats, notamment avec l’État, l’EPFIF, le groupe Frey et dernièrement avec la SAS Repenser la Ville.
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Renoir, Simon. "Detroit dans le cinéma étatsunien : mise en doute du rêve américain et conflits de classe et de race." Les Enjeux de l'information et de la communication N° 24/1A, S1 (May 6, 2024): 15–31. http://dx.doi.org/10.3917/enic.hs14.0015.

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Abstract:
L’article s’intéresse aux représentations de la ville de Detroit dans le cinéma étatsunien et, en particulier, à la façon dont les films entrelacent un discours sur l’érosion du rêve américain et un discours sur les conflits de classe et de race. À partir de l’analyse d’un corpus de dix-sept films, je me demande à quel point les films mettant en scène Detroit remettent en cause le rêve américain et si la ville joue un rôle de marqueur territorial et symbolique associé à des conflits de classe et de race si profonds qu’ils compromettent la croyance dans cette idéologie.
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Fischbach, Franck. "La ville au cinéma : espace politique et espace social." Cahiers philosophiques N° 118, no. 2 (2009): 22. http://dx.doi.org/10.3917/caph.118.0022.

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Fraser, Marie. "Quelque part dans la ville. Cinéma et repérages urbains." Sociologie de l'Art OPuS 1 & 2, no. 1 (2003): 97. http://dx.doi.org/10.3917/soart.001.0097.

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Pouzoulet, Catherine. "Le cinéma de Spike Lee : images d’une ville mosaïque." Revue Française d'Etudes Américaines 57, no. 1 (1993): 265–73. http://dx.doi.org/10.3406/rfea.1993.1504.

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Aubert, Jean-Paul. "Un cinéma d’avant-garde, une ville : l’École de Barcelone." Cahiers d'études romanes, no. 12 (January 2, 2005): 131–43. http://dx.doi.org/10.4000/etudesromanes.2580.

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Sorlin, Pierre. "La ville peut-elle être une scène ? Cinéma et urbanisme." Les Annales de la recherche urbaine 85, no. 1 (1999): 71–77. http://dx.doi.org/10.3406/aru.1999.2283.

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Hougron, Alexandre. "La ville américaine dans le cinéma de science-fiction américain." Revue Française d'Etudes Américaines 56, no. 1 (1993): 153–62. http://dx.doi.org/10.3406/rfea.1993.1493.

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Suisso Oliveira, Lucas, and Wanderson Fernandes Souza. "Psicologia e Cinema." RIBPSI - Revista Iberoamericana de Psicologia 1, no. 2 (October 3, 2023): 31–53. http://dx.doi.org/10.55391/2763-7883.2023.2950.

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Abstract:
Enquanto componente da mídia em geral, o cinema transmite signos e valores que podem influenciar os modos de pensar e agir da sociedade. O papel e a atribuição de diferentes profissionais são constantemente retratados pela mídia em geral, algumas vezes com precisão mas outras vezes de modo estereotipado. Com isso, objetivou-se investigar os estereótipos apresentados na indústria cinematográfica referentes aos profissionais de saúde mental, mais especificamente aqueles que praticam alguma modalidade clínica. Para tanto, utilizou-se o site Box Office Mojo, da empresa Internet Movie Database (IMDB) para a seleção dos 20 títulos mais assistidos em cada um dos últimos 20 anos. A análise da amostra resultou em 19 filmes contendo, no mínimo, um (1) personagem identificado enquanto profissional da área psicológica ou terapêutica. Entre os achados, evidenciou-se a sexualização da mulher, a imagem cômica do terapeuta, a recorrência de vilões e profissionais perversos, agentes sociais e aqueles que genuinamente desejam ajudar. Em conclusão, reitera-se a importância de novos estudos que atualizem tais concepções e avaliem a influência dos estereótipos no imaginário social da sociedade.
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Moine, Caroline. "La douce euphorie du cinéma allemand. Mécanismes et enjeux institutionnels d’une industrie culturelle en mutation." Revue d’Allemagne et des pays de langue allemande 42, no. 3 (2010): 353–65. http://dx.doi.org/10.3406/reval.2010.6127.

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Abstract:
Au printemps 2010, le bilan de la production cinématographique allemande est plutôt positif à en croire les chiffres et analyses proposés par les principales institutions du secteur. Ces dernières se félicitent avant tout d’une reconnaissance internationale accrue du cinéma allemand et d’un regain d’intérêt en Allemagne même. Pour tenter de comprendre les raisons d’un tel discours et ce qu’il révèle d’une certaine conception du «cinéma allemand», il convient de revenir sur les importants changements qui ont transformé l’industrie culturelle du cinéma en RFA depuis les années 1990. Les différents niveaux de subventions, publiques et privées, de la ville au pouvoir fédéral, et la multiplicité ainsi accrue des acteurs impliqués, en forment la caractéristique principale. Les politiques de subventions allemandes ressemblent en cela à celles d’autres pays européens, mais à la suite d’une évolution qui leur est propre et dans un contexte fédéral bien spécifique, de défense du prestige culturel national, activement menée notamment par le FFA et le délégué fédéral à la Culture et aux Médias. L’une des autres clés de ce succès proclamé est également la politique volontariste menée pour développer les mécanismes de coproductions internationales et les festivals qui ont fait ces dernières années de l’Allemagne l’un des principaux lieux de production, de circulation et de diffusion du cinéma – allemand, européen et international.
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Fortin, Andrée. "Non lieu ? Contours de la « petite » ville dans le cinéma québécois." Nouvelles vues: Revue sur les pratiques, les théories et l'histoire du cinéma au Québec, no. 18 (2017): 1. http://dx.doi.org/10.7202/1107865ar.

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Perivolaropoulou, Nia. "Entre textes urbains et critique cinématographique : Kracauer scénariste de la ville." bâtir, no. 14 (September 15, 2010): 19–35. http://dx.doi.org/10.7202/044407ar.

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Abstract:
Les rapports entre la ville et le cinéma chez Siegfried Kracauer ont été abordés surtout à partir de ses textes sur la ville et de ses essais sur les médias photographiques des années 1920 et 1930. Le présent article se propose d’éclairer plus avant les liens entre textes urbains, critiques de film et élaboration théorique, en se penchant sur de courts textes, négligés par la recherche, dans lesquels Kracauer esquisse des projets de scénarios. La contextualisation de ces textes destinés à la production cinématographique et leur mise en perspective historique mettent à jour les déplacements et les transformations, dans un mouvement à la fois de continuité et de discontinuité, des concepts kracaueriens établis dès les années 1920. Parallèlement à la mise en place de la notion centrale de perception estrangée, on voit se dessiner la centralité du médium film pour la pensée de Kracauer.
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Berthelot, Sandrine, and Emmanuel Luis. "Le patrimoine normand dans le 7e art." Études Normandes 16, no. 1 (2020): 16–19. http://dx.doi.org/10.3406/etnor.2020.3655.

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Abstract:
Le musée de Normandie – Ville de Caen prépare pour l’été 2021, en partenariat avec l’Inventaire général de la Région Normandie, une exposition sur le patrimoine normand au cinéma. La Normandie, réputée pour ses festivals internationaux (Deauville, Cabourg, etc.), se révèle être, depuis plus d’un siècle, une terre accueillante pour les tournages de longs métrages de fiction. Plus de 670 films, français et étrangers, ont déjà pris pour cadre le territoire régional, certains laissant entrevoir plus que d’autres des éléments très variés du patrimoine normand, patrimoine naturel mais aussi et surtout patrimoine bâti . Telle est la mati ère de cette exposition qui sera présentée dans l’enceinte du château de Caen construit par Guillaume le Conquérant, lieu historique de la ville mais aussi lieu de tournage de scènes de plusieurs films, dont Les Bidasses en folie, de Claude Zidi (1971) ou encore Guillaume, la jeunesse du Conquérant, de Fabien Drugeon (2015).
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Laurencin, Magali. "Mille et une nuits en Méditerranée. Regarder la ville avec le cinéma." Les Annales de la recherche urbaine 87, no. 1 (2000): 108–16. http://dx.doi.org/10.3406/aru.2000.2343.

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Purini, Franco. "La ville du bien et la ville du mal, ou du beau et du laid." Le Visiteur N° 22, no. 1 (March 5, 2017): 35–42. http://dx.doi.org/10.3917/visit.022.0033.

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Abstract:
L’architecture est un art du meilleur : elle doit rendre toujours plus libres et heureux ceux qui habitent cette terre. Elle ne devrait donc pas se livrer aux expressions de la douleur, de l’inconfort, de la désorientation, du danger, de la laideur ou du mal, mais se dédier exclusivement à accueillir, apaiser, œuvrer au beau et faire le bien. Toutefois, il n’en va pas ainsi. Le langage de l’architecture est imbriqué dans un complexe d’autres langues au sein desquelles, à l’instar de la poésie, de la littérature, de l’art, du cinéma ou du théâtre, le négatif est omniprésent. Ces langues souillent constamment l’architecture, d’où la dialectique du beau et du laid. Or cette dialectique n’a pour objet que la suprématie du beau. De ce point de vue, il est du plus grand intérêt de comprendre comment la notion de beauté, qui est liée pour moi à un idéal de rationalité comme forme invariante du classique, est régulièrement amenée à contrer son renversement, comme si ce que l’on désigne comme un beau neuf devait fatalement être le contraire du beau obsolète. En ce sens, la catégorie de l’ antigrazioso du futurisme est un nœud fondamental, comme le fut en son temps la poésie romantique du xix e siècle.
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Capelle-Pogăcean, Antonela, and Nadège Ragaru. "La culture habitée aux frontières du socialisme (Gorna Džumaja, 1944-1948)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 68, no. 2 (June 2013): 389–427. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900012427.

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Abstract:
RésuméCet article se propose de construire en objet historique le rapport entre le fait urbain et les spectacles filmiques et théâtraux dans une ville-frontière de Macédoine du Pirin, une région où se heurtèrent les projets nationaux bulgare, macédonien et grec. La période retenue (1944-1948) voit l’instauration du socialisme coïncider avec une ingénierie nationale et sociale d’autant plus intense que l’avenir territorial de cet espace demeure incertain. Tenus par les nouveaux pouvoirs pour être des vecteurs prioritaires du façonnage des individus, le théâtre et le cinéma sont ici envisagés dans leur inscription spatiale, leurs assignations toponymiques, leurs matérialités agissantes afin de cerner les articulations entre périodesantecommuniste et communiste. La « mise en objets » de spectacles, lieux de renégociation des hiérarchies sociales et de pouvoir, offre par ailleurs une perspective oblique sur la fabrique de la ville socialiste, négociée au fil de tournées et de caravanes cinématographiques, dans la comparaison avec d’autres entités urbaines et rurales. Le socialisme s’y dessine finalement en des circulations internationales ne se réduisant pas à une simple soviétisation.
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Franciscon, Moisés Wagner. "Os Estados Unidos e a Inglaterra vistos pelo cinema soviético do stalinismo tardio." Revista Brasileira de História & Ciências Sociais 12, no. 23 (July 10, 2020): 383–413. http://dx.doi.org/10.14295/rbhcs.v12i23.10855.

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Abstract:
O sistema soviético sofreu uma série de reformas no pós-guerra que, se não deram origem ao esperado regime mais liberal, amenizou algumas de suas características (como a eliminação física) e acentuou outras (como a eficácia da censura). Externamente, a Primeira Guerra Fria exigia uma luta cultural travada em iguais condições com aquela criada pelos impérios rivais anglo-americanos. O cinema assumiria importantes funções de contrapropaganda interna e externa. Os vilões estrangeiros genéricos dos anos 1930 dão lugar a personagens claramente caracterizados ou anunciados como britânicos e estadunidenses. A sócio-história cinematográfica de Marc Ferro permite demonstrar que, apesar da existência residual da crítica marxista-leninista, impõe-se uma imagem invertida da própria propaganda antissoviética das duas democracias liberais. Assim, para o cinema soviético do período (1945-53), os bêbados, autoritários, improdutivos, caóticos economicamente, presas e agentes da censura são os anglo-americanos.
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