Academic literature on the topic 'Villes forestières'

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Journal articles on the topic "Villes forestières"

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Pyne, Stephen J., and Pier Courville. "Mon pays, c’est le feu. Le Québec, le Canada, les forêts et le feu." Globe 9, no. 1 (2011): 141–75. http://dx.doi.org/10.7202/1000801ar.

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Abstract:
Le feu fait partie intégrante de la réalité de l’arrière-pays boréal du Québec et, au fur et à mesure que la colonisation et l’exploitation forestière ont pénétré dans les terres à partir des rives du Saint-Laurent, le gouvernement a créé des organismes pour protéger les villes et les concessions forestières. Cette évolution a longtemps été régie par un équilibre entre les intérêts concurrents de la colonisation, de l’industrie et de l’État, ce qui rendait difficile l’élaboration d’une stratégie cohérente. En 1972, l’État a imposé sa prédominance et depuis, les stratégies provinciales de protection contre le feu se sont de plus en plus jointes à celles du Canada et font que la protection contre les incendies au Québec s’apparente davantage à celle mise en place par le gouvernement canadien que les stratégies des autres provinces. Pourtant, la stratégie ne reconnaît toujours pas la logique du feu lui-même; une troisième solitude dans le paysage québécois.
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St-Hilaire, Marc. "La formation des populations urbaines au Québec : le cas du Saguenay aux XIXe et XXe siècles." Articles 20, no. 1 (2004): 1–36. http://dx.doi.org/10.7202/010063ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ L'urbanisation du Saguenay s'est intensifiée fortement à partir de la fin du XIXe siècle, tandis que s'accélérait l'industrialisation fondée sur l'exploitation des ressources hydrauliques et forestières. Les villes, qu'elles soient polyvalentes ou spécialisées, ont ainsi suscité de forts courants d'immigration d'origine géographique variée et impliquant plus d'hommes que de femmes. Les mouvements venant des régions de l'Est québécois, régions qui ont contribué au peuplement initial du Saguenay, se sont intensifiés (exode rural), alors que de nouvelles aires de recrutement apparaissaient dans les régions plus éloignées et plus urbanisées de l'Ouest québécois (émigration sélective).
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Sevrin, Robert. "Les régions frontalières franco-belges." Cahiers de géographie du Québec 18, no. 43 (2005): 35–59. http://dx.doi.org/10.7202/021175ar.

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Abstract:
Les phénomènes géographiques frontaliers se répartissent en deux niveaux. Le plus large est constitué par des échanges qui traversent les régions frontalières sans beaucoup les concerner directement. Le deuxième niveau est celui des phénomènes et des problèmes géographiques qui intéressent les petites régions situées directement au contact de la frontière. Les régions qui, de la Mer du Nord à la frontière luxembourgeoise, sont coupées depuis deux siècles par la frontière franco-belge, se répartissent en deux grands groupes : — les régions frontalières rurales et forestières, — les régions frontalières urbaines. Les régions frontalières rurales et forestières ont en commun un faible degré de polarisation, la zone polarisée ne dépasse généralement pas la frontière ; certaines d'entre elles peuvent cependant être traversées par d'importants trafics de transit de voyageurs ou de marchandises dont l'impact sur la petite région est faible. Appartiennent à ce groupe les régions frontalières à prédominance forestière de la Thiérache à la Lorraine, les régions frontalières rurales en Flandre, en Pévèle et en Hainaut. Leur problème commun est l'harmonisation des deux États au point de vue de la sauvegarde et de l'utilisation pour les loisirs. Les régions frontalières urbaines consistent en villes doubles, notamment dans la vallée de la Lys, en agglomérations ferroviaires, en stations balnéaires au Littoral et en la Regio insulensis. Métropole du Nord et son versant belge. On y observe souvent une continuité dans le domaine bâti qui peut se concrétiser de façon variée dans le paysage. Les migrations pour le travail, pour le loisir ou pour les achats y atteignent une intensité plus grande que dans les secteurs frontaliers ruraux. Malgré une incontestable perméabilité de cette frontière, malgré aussi le Marché Commun, la limite de souvenainete constitue un frein incontestable à l'épanouissement des régions frontalières. On peut néanmoins espérer la naissance de formes nouvelles de coopération transfrontalière dans les domaines du développement industriel ou de l'aménagement du territoire dans la Regio insulensis, exemple original, au sein des pays du Marché Commun, d'agglomération transfrontalière.
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ELAIEB, Mohamed Tahar, Abdelhamid KHALDI, and Kévin CANDELIER. "IMPACTS OF LOCATION AND FORESTRY CONDITIONS ON SOME PHYSICAL AND MECHANICAL PROPERTIES OF NORTHERN TUNISIAN PINUS PINEA L. WOOD." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 324, no. 324 (2015): 65. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.324.a31267.

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Abstract:
Les pins Pinea sont utilisés depuis l’ère préhistorique pour leurs pignons de pin comestibles. Plus récemment, ces pins ont été introduits en tant qu’essence ornemen- tale dans les régions à climat méditerra- néen, où ils sont fréquents dans les parcs et jardins. Cependant, dans le Maghreb, ils se sont naturalisés au-delà des villes au point d’être classés comme essence inva- sive. De par ses dimensions (au moins 15- 20 m de hauteur et 30-40 cm de diamètre), Pinus pinea offre un potentiel intéressant comme source de bois d’œuvre en Tunisie. Cette étude visait à analyser les effets de la situation géographique et des conditions forestières sur certaines propriétés phy- siques et mécaniques du bois de Pinus pinea dans le nord de la Tunisie. Les échan- tillons analysés ont été recueillis dans qua- tre sites différents, sur 87 parcelles clas- sées selon la densité des arbres et les para- mètres de fertilité des sols. Des mesures de densité, de retrait et teneur en eau ont été effectuées sur chacun des échantillons, ainsi que des tests de résistance méca- nique. Les premiers résultats indiquent un rapport stable entre les dimensions et la densité du bois de Pinus pinea tunisien. Cependant, le module de rupture (MOR) en flexion et en compression est plus faible que pour d’autres résineux en Tunisie, quelles que soient la situation géogra- phique et la fertilité des sols. L’analyse de régression linéaire montre que la densité des peuplements est le seul paramètre ayant une influence significative sur la variabilité des propriétés du bois, à l’ex- ception de la stabilité dimensionnelle et le retrait volumique. Nos résultats indiquent que la densité croissante des peuplements de Pinus pinea est un paramètre forestier déterminant pour les propriétés physiques et mécaniques du bois de cette essence. Il y aurait ainsi intérêt à améliorer les condi- tions forestières pour obtenir un bois de meilleure qualité.
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Réounodji, Frédéric, Man-Na Djangrang, N'dilbe Tob-Ro, and Pabamé Sougnabé. "Dynamique régressive de la formation forestière de Yamba Berté au Tchad : le crépuscule d’une forêt classée." Revue Organisations & territoires 28, no. 2 (2019): 87–98. http://dx.doi.org/10.1522/revueot.v28n2.1051.

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Abstract:
Le maintien et le développement des formations forestières dépendent du degré d’anthropisationet des conditions du milieu. Le Tchad dispose d’importantes formations forestières parsemées dans sapartie sud. Certaines d’entre elles, notamment celle de Yamba Berté, au nord-ouest de la ville de Kélo, ontsubi, au cours des dernières décennies, une dynamique régressive préjudiciable à l’équilibre écologique. Cetteétude analyse l’évolution de l’occupation du sol et des peuplements ligneux en relation avec les usages etpratiques agropastoraux dans la formation forestière classée de Yamba Berté et autour d’elle. La méthodologiecombine une approche analytique des images satellites couvrant la zone d’étude et des enquêtes deterrain sur la perception de la dynamique par les populations. Cette démarche répond au souci de mettre enplace un outil diagnostique qui s’appuie sur les données spatiales et sur les perceptions des populationslocales pour étudier la dynamique des formations forestières dans une perspective de gestion durable desressources naturelles en zone de savane. Les premiers résultats montrent que la perception des populationsest en conformité avec les caractéristiques et tendances évolutives observées.
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Kerrache, Ghaouti, Abderrahmane Labani, Khélouf Benabdeli, and Chaouki Chafai. "Dynamique de la végétation forestière et impact des travaux du réaménagement forestier dans les monts de Daïa-Saïda (ouest Algérien)." Lebanese Science Journal 20, no. 2 (2019): 230–47. http://dx.doi.org/10.22453/lsj-020.2.230-247.

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Abstract:
Avec leurs 23500 ha, les Monts de Daïa-Saïda ont un relief accidenté, situées à environ 25 km à l'ouest de la ville de Saïda (chef-lieu de la wilaya). La végétation forestière est très représentative des groupements thermophiles de l'ouest algérien, dominés par le pin d'Alep et le thuya de Berbérie mais avec un remarquable sous-bois buissonnant. Les facteurs de perturbations sont multiples, certains connus et communs de toute l’Algérie voir la méditerranée comme les incendies, défrichement, érosion, pacage et coupes illicite mais un autre facteur de dégradation spécifique a cette région est peu connue et moins étudier qui est le préaménagement forestier, qui a causé des dégâts considérables aux formations forestières de la région. Cette étude a mis l’accent sur l’impact négatif de ces travaux sur les formations forestières de cet espace. L’étude de la dynamique des formations forestières des Monts de Daïa-Saïda à travers le traitement et l'interprétation de deux images satellites LandSat (1987 et 2015) avec l'élaboration de la carte de changement, est le but de cet article. Les résultats obtenus permettent d'affirmer la dynamique régressive de la forêt dans cette zone avec l'augmentation des matorrals et des zones dénudées combinée avec une régression remarquable des forêts. La partie nord du massif est la plus touchée par ce phénomène avec une très grande surface dénudée due aux incendies répétés qui l'ont affectée.
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Desrochers, André, and Bruno Drolet. "Le Programme de surveillance des oiseaux nicheurs de la Forêt Montmorency : une nouvelle source de tendances des populations d’oiseaux nicheurs pour la forêt boréale au Québec." Le Naturaliste canadien 141, no. 2 (2017): 61–74. http://dx.doi.org/10.7202/1039737ar.

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Abstract:
La surveillance des populations d’oiseaux nicheurs de la forêt boréale est une mission tout aussi importante que difficile à réaliser. Malgré la diversité des programmes de surveillance d’oiseaux, les tendances des populations des oiseaux de la forêt boréale québécoise demeurent imprécises. Nous présentons une nouvelle série d’estimations de tendances, provenant de la Forêt Montmorency, située en forêt boréale, dans le domaine de la sapinière à bouleau blanc au nord de la ville de Québec. L’abondance de la plupart des espèces recensées, peu importe le stade de succession forestière, est stable ou en hausse depuis 1995. Ces tendances semblent découler de changements locaux dans les habitats, tels que l’historique des coupes forestières. Par ailleurs, les tendances obtenues à la Forêt Montmorency concordent faiblement, mais généralement de manière positive, avec celles obtenues pour des périodes similaires, par le Relevé des oiseaux nicheurs (BBS) et les observatoires d’oiseaux de Tadoussac et de McGill. Les tendances de populations de ce nouveau programme de surveillance suggèrent une forte variation régionale de la situation des espèces ou une possible méconnaissance de l’état réel des populations d’oiseaux en raison d’un suivi insuffisant dans l’ensemble de la forêt boréale.
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Hamdouch, Abdelillah. "Nature et Ville : L’impossible compromis?" Risco Revista de Pesquisa em Arquitetura e Urbanismo (Online) 18, no. 2 (2020): 1–13. http://dx.doi.org/10.11606/issn.1984-4506.v18i2p1-13.

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Abstract:
L’histoire des relations entre nature et urbanisation est tout sauf un “long fleuve tranquille“. “Faire la ville“ a depuis les origines de l’urbanisation signifié utiliser, contrôler voire asservir la Nature (certes, à des degrés divers) pour les besoins de l’Homme se voyant désormais “urbain“. Cependant, jusqu’au début de l’industrialisation en Europe il y a un peu plus de deux siècles, l’intrusion de la ville dans la nature est restée somme toute mesurée, l’économie urbaine naissante dépendant encore très largement de ressources forestières, fluviales ou maritimes, et de productions agricoles en grande partie “de proximité“
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Asenjo González, María. "Las tierras de baldío en el concejo de Soria, a fines de la Edad Media." Anuario de Estudios Medievales 20, no. 1 (2020): 389. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1990.v20.1156.

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Abstract:
L'utilisation du sol de Soria, adapté à l'altitude, au climat froid et à la pauvreté du terrain, se fit avec une grande mobilité sur la superficie de cer terres depuis leur utilisation, au XIIIeme siècle. Ces terres en friche représentaient la plus grande partie du territorire, où l'on pratiquait l'élevage ainsi que l’agriculture de «monte hueco». L'occupation permanente des terres, utilisées en pâturages, délimitèrent lentement la mosaïque des propriétés individuelles et collectives. Dès le milieu du XVeme siècle, la dynamique d'expansion économique que connut la Couronne de Castille affecta ces terres pour les convertir en exploitations d'élevage et de production forestière. La dénonciation d'usurpation de terres, entre autres de la part de l'oligarchie urbaine de Soria, rend manifeste l'attribution de ces terrains à l'élevage. Vers la fin du XVeme siècle, des conflits se déclarèrent entre la Mesta pour l'utilisation de ces jachères comme pâturages, l’oligarchie urbaine désirant délimiter ces propres pâturages et les municipies de certaines villes et villages cherchant à préserver l’exploitation forestière. Les habitants des lieux, de petits ou «moyens» agriculteurs et éleveurs, furent les plus lésés en perdant leur mobilité et en devant faire face à la concurrence des élevages «mesteño» dans l'utilisation de ces jachères.
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De Santos Canalejo, Elisa Carolina. "El aprovechamiento de términos a fines de la Edad Media castellana en las Comunidades de Villa y Tierra serranas: Plasencia, Béjar, Valdecorneja, Arenas, Mombeltrán y Candeleda." Anuario de Estudios Medievales 20, no. 1 (2020): 375. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1990.v20.1155.

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Abstract:
Tout d'abord l'utilisation de terrains pour le pâturage et ensuite l'organisation de tout le territoire de la Haute Extrémadure, monts Béjar et de Grédos en communautés, municipes et campagnes, supposa un enrichissement. Il affecta non seulement des biens communaux, mais aussi des biens municipaux et particuliers, étant donné que les dispositions municipales et seigneuriales faisaient une différence entre les habitants de la Ville et ceux de la campagne ou les vassaux d'un seigneur, en ce qui concernait l'utilisation de ces terrains pour les labours, la chasse, la pêche ou comme pâturages et ressources forestières. D'autre part, cette utilisation assurait le peuplement de cette zone.
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Dissertations / Theses on the topic "Villes forestières"

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Decoville, Antoine. "La forêt, frontière de la ville ? : Mise en perspective de deux villes rhénanes: Strasbourg et Karlsruhe." Université Louis Pasteur (Strasbourg) (1971-2008), 2006. http://www.theses.fr/2006STR1GEO6.

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Abstract:
Cette thèse utilise les forêts communales périurbaines et intra urbaines de Strasbourg et de Karlsruhe comme des révélateurs de certaines dynamiques d'évolution de ces villes. Les thématiques de la métropolisation, de l'évolution de la gouvernance métropolitaine, ainsi que du travail des municipalités sur leur image y sont largement étudiées. Les forêts constituent en effet des cadres privilégiés d'invention de nouveaux modes de gouvernance métropolitaine, car les compétences de gestion de ces espaces font l'objet de remises en cause dont tirent partie de nouveaux acteurs, représentants de la société urbaine dans toute sa diversité et dans ses attentes contradictoires. Parallèlement, les municipalités tentent aussi d'investir par le projet politique ces espaces dont elles perçoivent toute possibilité de plus-value, en terme d'image et donc d'attractivité, qu'ils peuvent leur conférer. La forêt est donc, paradoxalement, un support à la fois fonctionnel et symbolique de l'identité communale, idendité qui se construit parfois en réaction face aux communes voisines qui ne partage pas la même vision de la gestion forestière "idéale". Ces différences font parfois réapparaître de manière prégnante des frontières administratives au sein de massifs forestiers continus, situés de plus dans des territoires de coopération intercommunale. Au-delà de la forêt, cette thèse est également un travail sur la question du foncier au sein d'aires urbaines sujettes à un étalement spatial, sur les mesures institutionnelles de régulation de cet étalement (dans deux systèmes politico-administratifs différents), et sur la question de l'attractivité métropolitaine. Ce travail a nécessité de faire appel à des disciplines commplémentaires (sociologie, histoire, économie, planification urbaine, droit de l'urbanisme et de l'environnement) pour redonner tout son sens au rapport qu'entretiennent les sociétés urbaines étudiées avec le milieu forestier, et de manière plus générale l'espace.
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Maheu-Bourassa, Alexie. "Les hommes forts, un idéal masculin des festivals forestiers au Québec, 1967-1990." Master's thesis, Université Laval, 2016. http://hdl.handle.net/20.500.11794/27190.

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Abstract:
S'appuyant sur l'histoire du genre et du sport, ce mémoire se penche sur l'un des idéaux masculins québécois de la deuxième moitié du XXe siècle : les « hommes forts ». Ainsi, nous tentons ici de mieux comprendre l'association pour cette période entre la force physique et la masculinité. Pour ce faire, la démonstration examine les compétitions de force inscrites à la programmation de cinq festivals populaires se déroulant entre 1967 et 1990 dans différentes régions forestières du Québec : le Festival des Raftsmen de Hull (1967-1973), le Festival des Sucres de Saint-Jean-de-Matha (1974-1984), le Festival du Bûcheron de Normétal (1975-1987), le Festival de la Grosse Bûche de Saint-Raymond (1976-1990) ainsi que le Festival du Bûcheron de Sainte-Aurélie (1979-1986). La consultation de journaux régionaux a permis de mettre en évidence la persistance du modèle du bûcheron traditionnel québécois malgré une tension présente avec le modèle du bûcheron moderne. Le corpus a également souligné les différentes visions accolées aux concurrents des épreuves par les acteurs présents dans les évènements, fait ressortir la mise en scène d'activités à la fois ludiques et professionnelles, exposé des liens décisifs avec l'histoire régionale, mais particulièrement présenté « l'homme fort » comme modèle masculin, sauf exception.
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Bechi, Grah Félix. "Les petites et moyennes villes dans les pays en voie de dévelopement : l'exemple de la zone forestière de la Côte d'Ivoire." Clermont-Ferrand 2, 1997. http://www.theses.fr/1997CLF20012.

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Abstract:
Parmi les transformations qui, au cours des 30 dernières années ont marqué le plus fortement l'espace forestier, le développement urbain est l'une des plus spectaculaires. Ce qui frappe dans cette région, c'est la rapide multiplication du nombtre de villes donnant un semi-urbain de plus en plus dense. Mais, il y a eu, aussi, un gonflement impressionnant du volume de population de toutes ces villes sous la double impulsion d'un solde migratoire, vigoureux certes, mais vite relayé par un accroissement naturel dont le rythme n'a de cesse de s'amplifier. Cette formidable poussée démographique s'est traduite sur le terrain par une extension spatiale considérable. Les petites et moyennes villes forestières n'ont pas eu de réponse appropriée à ce choc que constitue pour elles la brusque augmentation de leur espace. Le rythme démographique s'est avéré trop rapide par rapport au développement des fonctions urbaines, d'ordre économique. Cette évolution divergente eut pour résultat de favoriser la multiplication de petites activités marginales, toutes occupations assez proches de la précarité, qui ont alors consacré l'émergence puis le triomphe du secteur informel comme réponse aux difficultés structurelles d'emploi. Les villes secondaires forestières sont principalement des centres de services. Ces services font naître, classiquement, des systèmes de relation prioritaires et de dépendance autour d'elles. Cependant, les villes n'exercent surtout, dans un rayonnement réduit, qu'une influence d'ordre administratif. Encore n'ont-elles, en la matière, que peu d'initiatives : elles sont de simples relais d'un pouvoir fortement centralisé sur la capitale ; aussi, aucune des villes étudiées ne s'impose véritablement comme tête de réseau ou centre majeur d'encadrement. En conséquence, qu'il s'agisse du domaine économique, politique, commercial. . C'est sous la forme d'un vaste arrière-pays d'Abidjan que s'organise l'ensemble des petites et moyennes villes de la région forestière<br>Over the past thirty years, urban expansion stands like one of the most spectacular phenomenons among the transformations which have strongly affected forestry site. What is striking in the region studied, is the rapid multiplication of the number of towns leading to an urban network of higher density. Moreover, there has also been an extraordinary increase in population in those towns, resulting from a rather strong migratory activity, which was quickly relayed by an ever increasing birthrate. Practically, this dramatic population increase has resulted in a considerable urban sprawl. The small and medium-sized towns of the forest zone could not cope with the sudden growth. The increase of population has proved to be faster than the development of economic urban structures. As a result, this divergent trend led to the increase in the number of small marginal activities, close enough to precariousness. Consequently, this gave birth to and ensured the success of the informal sector as a response to structural job problems. The towns of the forest zone are mainly service centers. Those services originally bring about priority netwoks of connection and dependence around the towns. However, in a small range, the towns only have an administrative influence. Even in this position, they are left with little alternative: they merely act like local extentions of a power strongly centralized in the capital city. Thus, none of the towns studied in this volume really plays a leading or tutoring role. Economically, politically and commercially speaking, therefore, the small and medium-sized towns of the forest zone act like a kind of hinterland to Abidjan
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Saurat, Jessica. "L'arbre et le droit." Thesis, Montpellier, 2017. http://www.theses.fr/2017MONTD038/document.

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Abstract:
L’arbre est un objet de droit particulier en raison de l’importance qu’il revêt à la fois pour l’environnement, l’économie et la qualité de vie. Il se trouve ainsi au carrefour de divers droits : droit de l’environnement, forestier, rural, de l’urbanisme, civil, fiscal, européen et international… Il est dès lors appréhendé de façon différente selon son lieu de situation mais également de la qualité de son propriétaire (personne privée ou personne publique). Alors qu’il est reconnu comme appartenant au patrimoine commun de la nation, les possibilités de protection qu’offre le droit applicable en France manque globalement d’efficacité et de réalisme. Pour palier cette situation, il est envisagé de doter la reconnaissance de l’appartenance de l’arbre au patrimoine commun de la nation de conséquences juridiques contraignantes et par là même de le doter d’un statut qui transcende le droit de propriété et les différentes branches du droit<br>The tree is a special legal object because of its importance to the environment, the economy and the quality of life. It is therefore at the crossroads of various rights : environmental, forestry, rural, town planning, civil, tax, european and international laws. Thus, it is apprehended according to its place of situation but also the quality of its owner (private person or public person).While it is recognized as belonging to the common heritage of the nation, the possibilities of protection offered by the rights which are applicable in France generally lack efficiency and realism. To overcome this situation, it is envisaged to link the belonging of the tree to the common heritage of the Nation with binding legal consequences and thus confer on it a status that transcends property rights and the different areas of law
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Shuku, Onemba Nicolas. "Impact de l'utilisation de l'énergie-bois dans la ville province de Kinshasa en République démocratique du Congo (RDC)." Mémoire, 2011. http://www.archipel.uqam.ca/4598/1/M12010.pdf.

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Abstract:
L'énergie-bois qui entrent à Kinshasa, arrivent par camion, camionnette, tracteur. Ils proviennent essentiellement des provinces du Bas-Congo et du Bandundu, et ce, par route et/ou par rail. Le transport de ces combustibles est une activité très rémunératrice. Il y a deux types de circuits de distribution de l'énergie-bois. Il s'agit des circuits direct et indirect. Les acteurs de ces circuits sont les producteurs, les grossistes, les détaillants et les consommateurs. Dans la VPK, la répartition des points de vente et des dépôts est inégale. Au fil du temps, une augmentation croissante des prix, qui entraîne de sérieux problèmes de survie pour certains ménages, est enregistrée. Le dépositaire et les détaillants en tirent un revenu moyen mensuel supérieur à celui des hauts fonctionnaires de l'administration publique de la RDC. Dans la VPK, presque tous les habitants consomment le charbon de bois (CB); une personne brûle 33 kg de bois de chauffe (BC) par mois et 11 kg de CB par mois, ce qui engendre des problèmes de survie dans les ménages. Les besoins en combustibles ligneux sont de 4 000 000 et 1 320 000 tonnes respectivement de BC et de CB dans la VPK. Cette consommation, nous la qualifions d'hécatombe écologique car le déboisement provoqué par les besoins annuels en combustible ligneux à Kinshasa sont très élevés soit 40 907 666 tonnes de BC et 1 320 000 tonnes de CB. Ces besoins engendrent une dégradation annuelle de formations végétales qui correspondrait aux données suivantes : concernant le BC, la forêt claire, la forêt claire muhuluteuse, la forêt dense sèche sont déboisées annuellement, respectivement de 204,5 km2, 272,7 km2 et 511,3 km2; et pour le CB la déforestation annuelle est de 485,2 km2 de forêt claire, une superficie équivalente pour la forêt claire muhuluteuse et 942,8 km2 de forêt dense. La forêt dégradée, quant à elle, est amputée annuellement de 58 439 ha pour les besoins en BC et de 18 857 ha pour les besoins en CB. En réalité de tels rythmes annuels représenteraient rapidement une catastrophe pour les écosystèmes forestiers de la région de Kinshasa et ceux du Bas-Congo et de Bandundu qui, d'ailleurs, subissent déjà cette agression de manière croissante depuis plus d'un siècle. Mais hélas, sans aucun programme de suivi et de soutien à l'aménagement forestier, il est quasi impossible de contrer ou de réduire la vitesse avec laquelle se fait le déboisement de la ceinture verte de Kinshasa ainsi que des régions environnantes. La croissance chaotique de la ville de Kinshasa et le processus d'occupation des sols se font d'une manière anarchique, incontrôlée et sans normes urbanistiques. La ville a explosé et s'est étalée vite. Les constructions occupent non seulement la plaine, les vallées et lits des cours d'eau, mais aussi les versants et sommets des collines en y enlevant la couverture végétale. Outre cet aspect, la ville a son système d'égout détruit et est déficiente du point de vue des infrastructures. Cette situation engendre non seulement des inondations le long des cours d'eau dans la ville, mais aussi l’érosion et l'ensablement de lits de rivières. Plusieurs études et reportages confirment qu'il ya plus de 600 têtes de ravins qui cisaillent la capitale de la RDC. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Combustibles ligneux, charbon de bois, bois de chauffage, déforestation
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Books on the topic "Villes forestières"

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Taking stands: Gender and the sustainability of rural communities. UBC Press, 2003.

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(Canada), Northern Forestry Centre, ed. Assessing potential biophysical and socioeconomic impacts of climate change on forest-based communities: A methodological case study. Northern Forestry Centre, 2008.

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Reed, Maureen Gail. Taking Stands: Gender and the Sustainability of Rural Communities. UBC Press, 2004.

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