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Journal articles on the topic 'Villes forestières'

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1

Pyne, Stephen J., and Pier Courville. "Mon pays, c’est le feu. Le Québec, le Canada, les forêts et le feu." Globe 9, no. 1 (2011): 141–75. http://dx.doi.org/10.7202/1000801ar.

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Abstract:
Le feu fait partie intégrante de la réalité de l’arrière-pays boréal du Québec et, au fur et à mesure que la colonisation et l’exploitation forestière ont pénétré dans les terres à partir des rives du Saint-Laurent, le gouvernement a créé des organismes pour protéger les villes et les concessions forestières. Cette évolution a longtemps été régie par un équilibre entre les intérêts concurrents de la colonisation, de l’industrie et de l’État, ce qui rendait difficile l’élaboration d’une stratégie cohérente. En 1972, l’État a imposé sa prédominance et depuis, les stratégies provinciales de protection contre le feu se sont de plus en plus jointes à celles du Canada et font que la protection contre les incendies au Québec s’apparente davantage à celle mise en place par le gouvernement canadien que les stratégies des autres provinces. Pourtant, la stratégie ne reconnaît toujours pas la logique du feu lui-même; une troisième solitude dans le paysage québécois.
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2

St-Hilaire, Marc. "La formation des populations urbaines au Québec : le cas du Saguenay aux XIXe et XXe siècles." Articles 20, no. 1 (2004): 1–36. http://dx.doi.org/10.7202/010063ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ L'urbanisation du Saguenay s'est intensifiée fortement à partir de la fin du XIXe siècle, tandis que s'accélérait l'industrialisation fondée sur l'exploitation des ressources hydrauliques et forestières. Les villes, qu'elles soient polyvalentes ou spécialisées, ont ainsi suscité de forts courants d'immigration d'origine géographique variée et impliquant plus d'hommes que de femmes. Les mouvements venant des régions de l'Est québécois, régions qui ont contribué au peuplement initial du Saguenay, se sont intensifiés (exode rural), alors que de nouvelles aires de recrutement apparaissaient dans les régions plus éloignées et plus urbanisées de l'Ouest québécois (émigration sélective).
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3

Sevrin, Robert. "Les régions frontalières franco-belges." Cahiers de géographie du Québec 18, no. 43 (2005): 35–59. http://dx.doi.org/10.7202/021175ar.

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Abstract:
Les phénomènes géographiques frontaliers se répartissent en deux niveaux. Le plus large est constitué par des échanges qui traversent les régions frontalières sans beaucoup les concerner directement. Le deuxième niveau est celui des phénomènes et des problèmes géographiques qui intéressent les petites régions situées directement au contact de la frontière. Les régions qui, de la Mer du Nord à la frontière luxembourgeoise, sont coupées depuis deux siècles par la frontière franco-belge, se répartissent en deux grands groupes : — les régions frontalières rurales et forestières, — les régions frontalières urbaines. Les régions frontalières rurales et forestières ont en commun un faible degré de polarisation, la zone polarisée ne dépasse généralement pas la frontière ; certaines d'entre elles peuvent cependant être traversées par d'importants trafics de transit de voyageurs ou de marchandises dont l'impact sur la petite région est faible. Appartiennent à ce groupe les régions frontalières à prédominance forestière de la Thiérache à la Lorraine, les régions frontalières rurales en Flandre, en Pévèle et en Hainaut. Leur problème commun est l'harmonisation des deux États au point de vue de la sauvegarde et de l'utilisation pour les loisirs. Les régions frontalières urbaines consistent en villes doubles, notamment dans la vallée de la Lys, en agglomérations ferroviaires, en stations balnéaires au Littoral et en la Regio insulensis. Métropole du Nord et son versant belge. On y observe souvent une continuité dans le domaine bâti qui peut se concrétiser de façon variée dans le paysage. Les migrations pour le travail, pour le loisir ou pour les achats y atteignent une intensité plus grande que dans les secteurs frontaliers ruraux. Malgré une incontestable perméabilité de cette frontière, malgré aussi le Marché Commun, la limite de souvenainete constitue un frein incontestable à l'épanouissement des régions frontalières. On peut néanmoins espérer la naissance de formes nouvelles de coopération transfrontalière dans les domaines du développement industriel ou de l'aménagement du territoire dans la Regio insulensis, exemple original, au sein des pays du Marché Commun, d'agglomération transfrontalière.
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ELAIEB, Mohamed Tahar, Abdelhamid KHALDI, and Kévin CANDELIER. "IMPACTS OF LOCATION AND FORESTRY CONDITIONS ON SOME PHYSICAL AND MECHANICAL PROPERTIES OF NORTHERN TUNISIAN PINUS PINEA L. WOOD." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 324, no. 324 (2015): 65. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.324.a31267.

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Abstract:
Les pins Pinea sont utilisés depuis l’ère préhistorique pour leurs pignons de pin comestibles. Plus récemment, ces pins ont été introduits en tant qu’essence ornemen- tale dans les régions à climat méditerra- néen, où ils sont fréquents dans les parcs et jardins. Cependant, dans le Maghreb, ils se sont naturalisés au-delà des villes au point d’être classés comme essence inva- sive. De par ses dimensions (au moins 15- 20 m de hauteur et 30-40 cm de diamètre), Pinus pinea offre un potentiel intéressant comme source de bois d’œuvre en Tunisie. Cette étude visait à analyser les effets de la situation géographique et des conditions forestières sur certaines propriétés phy- siques et mécaniques du bois de Pinus pinea dans le nord de la Tunisie. Les échan- tillons analysés ont été recueillis dans qua- tre sites différents, sur 87 parcelles clas- sées selon la densité des arbres et les para- mètres de fertilité des sols. Des mesures de densité, de retrait et teneur en eau ont été effectuées sur chacun des échantillons, ainsi que des tests de résistance méca- nique. Les premiers résultats indiquent un rapport stable entre les dimensions et la densité du bois de Pinus pinea tunisien. Cependant, le module de rupture (MOR) en flexion et en compression est plus faible que pour d’autres résineux en Tunisie, quelles que soient la situation géogra- phique et la fertilité des sols. L’analyse de régression linéaire montre que la densité des peuplements est le seul paramètre ayant une influence significative sur la variabilité des propriétés du bois, à l’ex- ception de la stabilité dimensionnelle et le retrait volumique. Nos résultats indiquent que la densité croissante des peuplements de Pinus pinea est un paramètre forestier déterminant pour les propriétés physiques et mécaniques du bois de cette essence. Il y aurait ainsi intérêt à améliorer les condi- tions forestières pour obtenir un bois de meilleure qualité.
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Réounodji, Frédéric, Man-Na Djangrang, N'dilbe Tob-Ro, and Pabamé Sougnabé. "Dynamique régressive de la formation forestière de Yamba Berté au Tchad : le crépuscule d’une forêt classée." Revue Organisations & territoires 28, no. 2 (2019): 87–98. http://dx.doi.org/10.1522/revueot.v28n2.1051.

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Abstract:
Le maintien et le développement des formations forestières dépendent du degré d’anthropisationet des conditions du milieu. Le Tchad dispose d’importantes formations forestières parsemées dans sapartie sud. Certaines d’entre elles, notamment celle de Yamba Berté, au nord-ouest de la ville de Kélo, ontsubi, au cours des dernières décennies, une dynamique régressive préjudiciable à l’équilibre écologique. Cetteétude analyse l’évolution de l’occupation du sol et des peuplements ligneux en relation avec les usages etpratiques agropastoraux dans la formation forestière classée de Yamba Berté et autour d’elle. La méthodologiecombine une approche analytique des images satellites couvrant la zone d’étude et des enquêtes deterrain sur la perception de la dynamique par les populations. Cette démarche répond au souci de mettre enplace un outil diagnostique qui s’appuie sur les données spatiales et sur les perceptions des populationslocales pour étudier la dynamique des formations forestières dans une perspective de gestion durable desressources naturelles en zone de savane. Les premiers résultats montrent que la perception des populationsest en conformité avec les caractéristiques et tendances évolutives observées.
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Kerrache, Ghaouti, Abderrahmane Labani, Khélouf Benabdeli, and Chaouki Chafai. "Dynamique de la végétation forestière et impact des travaux du réaménagement forestier dans les monts de Daïa-Saïda (ouest Algérien)." Lebanese Science Journal 20, no. 2 (2019): 230–47. http://dx.doi.org/10.22453/lsj-020.2.230-247.

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Abstract:
Avec leurs 23500 ha, les Monts de Daïa-Saïda ont un relief accidenté, situées à environ 25 km à l'ouest de la ville de Saïda (chef-lieu de la wilaya). La végétation forestière est très représentative des groupements thermophiles de l'ouest algérien, dominés par le pin d'Alep et le thuya de Berbérie mais avec un remarquable sous-bois buissonnant. Les facteurs de perturbations sont multiples, certains connus et communs de toute l’Algérie voir la méditerranée comme les incendies, défrichement, érosion, pacage et coupes illicite mais un autre facteur de dégradation spécifique a cette région est peu connue et moins étudier qui est le préaménagement forestier, qui a causé des dégâts considérables aux formations forestières de la région. Cette étude a mis l’accent sur l’impact négatif de ces travaux sur les formations forestières de cet espace. L’étude de la dynamique des formations forestières des Monts de Daïa-Saïda à travers le traitement et l'interprétation de deux images satellites LandSat (1987 et 2015) avec l'élaboration de la carte de changement, est le but de cet article. Les résultats obtenus permettent d'affirmer la dynamique régressive de la forêt dans cette zone avec l'augmentation des matorrals et des zones dénudées combinée avec une régression remarquable des forêts. La partie nord du massif est la plus touchée par ce phénomène avec une très grande surface dénudée due aux incendies répétés qui l'ont affectée.
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Desrochers, André, and Bruno Drolet. "Le Programme de surveillance des oiseaux nicheurs de la Forêt Montmorency : une nouvelle source de tendances des populations d’oiseaux nicheurs pour la forêt boréale au Québec." Le Naturaliste canadien 141, no. 2 (2017): 61–74. http://dx.doi.org/10.7202/1039737ar.

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Abstract:
La surveillance des populations d’oiseaux nicheurs de la forêt boréale est une mission tout aussi importante que difficile à réaliser. Malgré la diversité des programmes de surveillance d’oiseaux, les tendances des populations des oiseaux de la forêt boréale québécoise demeurent imprécises. Nous présentons une nouvelle série d’estimations de tendances, provenant de la Forêt Montmorency, située en forêt boréale, dans le domaine de la sapinière à bouleau blanc au nord de la ville de Québec. L’abondance de la plupart des espèces recensées, peu importe le stade de succession forestière, est stable ou en hausse depuis 1995. Ces tendances semblent découler de changements locaux dans les habitats, tels que l’historique des coupes forestières. Par ailleurs, les tendances obtenues à la Forêt Montmorency concordent faiblement, mais généralement de manière positive, avec celles obtenues pour des périodes similaires, par le Relevé des oiseaux nicheurs (BBS) et les observatoires d’oiseaux de Tadoussac et de McGill. Les tendances de populations de ce nouveau programme de surveillance suggèrent une forte variation régionale de la situation des espèces ou une possible méconnaissance de l’état réel des populations d’oiseaux en raison d’un suivi insuffisant dans l’ensemble de la forêt boréale.
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Hamdouch, Abdelillah. "Nature et Ville : L’impossible compromis?" Risco Revista de Pesquisa em Arquitetura e Urbanismo (Online) 18, no. 2 (2020): 1–13. http://dx.doi.org/10.11606/issn.1984-4506.v18i2p1-13.

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Abstract:
L’histoire des relations entre nature et urbanisation est tout sauf un “long fleuve tranquille“. “Faire la ville“ a depuis les origines de l’urbanisation signifié utiliser, contrôler voire asservir la Nature (certes, à des degrés divers) pour les besoins de l’Homme se voyant désormais “urbain“. Cependant, jusqu’au début de l’industrialisation en Europe il y a un peu plus de deux siècles, l’intrusion de la ville dans la nature est restée somme toute mesurée, l’économie urbaine naissante dépendant encore très largement de ressources forestières, fluviales ou maritimes, et de productions agricoles en grande partie “de proximité“
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Asenjo González, María. "Las tierras de baldío en el concejo de Soria, a fines de la Edad Media." Anuario de Estudios Medievales 20, no. 1 (2020): 389. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1990.v20.1156.

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Abstract:
L'utilisation du sol de Soria, adapté à l'altitude, au climat froid et à la pauvreté du terrain, se fit avec une grande mobilité sur la superficie de cer terres depuis leur utilisation, au XIIIeme siècle. Ces terres en friche représentaient la plus grande partie du territorire, où l'on pratiquait l'élevage ainsi que l’agriculture de «monte hueco». L'occupation permanente des terres, utilisées en pâturages, délimitèrent lentement la mosaïque des propriétés individuelles et collectives. Dès le milieu du XVeme siècle, la dynamique d'expansion économique que connut la Couronne de Castille affecta ces terres pour les convertir en exploitations d'élevage et de production forestière. La dénonciation d'usurpation de terres, entre autres de la part de l'oligarchie urbaine de Soria, rend manifeste l'attribution de ces terrains à l'élevage. Vers la fin du XVeme siècle, des conflits se déclarèrent entre la Mesta pour l'utilisation de ces jachères comme pâturages, l’oligarchie urbaine désirant délimiter ces propres pâturages et les municipies de certaines villes et villages cherchant à préserver l’exploitation forestière. Les habitants des lieux, de petits ou «moyens» agriculteurs et éleveurs, furent les plus lésés en perdant leur mobilité et en devant faire face à la concurrence des élevages «mesteño» dans l'utilisation de ces jachères.
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De Santos Canalejo, Elisa Carolina. "El aprovechamiento de términos a fines de la Edad Media castellana en las Comunidades de Villa y Tierra serranas: Plasencia, Béjar, Valdecorneja, Arenas, Mombeltrán y Candeleda." Anuario de Estudios Medievales 20, no. 1 (2020): 375. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1990.v20.1155.

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Abstract:
Tout d'abord l'utilisation de terrains pour le pâturage et ensuite l'organisation de tout le territoire de la Haute Extrémadure, monts Béjar et de Grédos en communautés, municipes et campagnes, supposa un enrichissement. Il affecta non seulement des biens communaux, mais aussi des biens municipaux et particuliers, étant donné que les dispositions municipales et seigneuriales faisaient une différence entre les habitants de la Ville et ceux de la campagne ou les vassaux d'un seigneur, en ce qui concernait l'utilisation de ces terrains pour les labours, la chasse, la pêche ou comme pâturages et ressources forestières. D'autre part, cette utilisation assurait le peuplement de cette zone.
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BIAIS, R. "Contribution à l'histoire de l'administration forestière : digressions sur un témoignage concernant l'école forestière secondaire de Villers-Cotterêts (Aisne) en 1874." Revue Forestière Française, no. 1 (1990): 77. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26045.

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Mendo Carmona, Concepción. "Dehesas y ejidos en la Villa y Tierra de Madrid, a fines del siglo XV." Anuario de Estudios Medievales 20, no. 1 (2020): 359. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1990.v20.1154.

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Abstract:
La mince activité lainière qu'avait Madrid a relégué à l’arrière plan son élevage par rapport à celui d'autres municipes. L'élevage était pourtant abondant, mais orienté vers la consommation de la viande et l'utilisation des peaux. Cette importance apparaît surtout dans l'intérêt du Municipe à établir uni législation précise afin de protéger les zones de pâturage, les terrains communaux, les pacages et les ruisseaux que leur donnaient l'eau nécessaire. D'autre part, l'utilisation de ces pacages et de ces pâturages constituait une importante source de revenus pour le municipe, ce qui doublait l'intérêt à les défendre: maintenir leurs revenus et alimenter le bétail. Dans cet article, on parle aussi de la création, par le Municipe de Madrid, de nouveaux pâtureaux au moment de l'expansion économique et démographique. Tout d'abord l'utilisation de terrains pour le pâturage et ensuite l'organisation de tout le territoire de la Haute Extrémadure, monts Béjar et de Grédos en communautés, municipes et campagnes, supposa un enrichissement. Il affecta non seulement des biens communaux, mais aussi des biens municipaux et particuliers, étant donné que les dispositions municipales et seigneuriales faisaient une différence entre les habitants de la Ville et ceux de la campagne ou les vassaux d'un seigneur, en ce qui concernait l'utilisation de ces terrains pour les labours, la chasse, la pêche ou comme pâturages et ressources forestières. D'autre part, cette utilisation assurait le peuplement de cette zone.
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Blondel, François, and Olivier Girardclos. "Approche dendroarchéologique de l’approvisionnement de la ville antique d'Augustonemetum (Clermont-Ferrand – Puy-de-Dôme) en bois d’œuvre et exploitation forestière." ArchéoSciences, no. 42 (June 27, 2018): 17–33. http://dx.doi.org/10.4000/archeosciences.5135.

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Chandelier, Laure, Laurent Coeurdevey, Pascal Favé, Alexis Barot, and Mathilde Jaussaud. "SRP, une base de calage 3D de très haute précision sur le continent africain." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection 223 (October 12, 2021): 129–42. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2021.569.

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Abstract:
La SRP (« Space Reference Points ») est une base mondiale, précise, dense et homogène de points 3D géoréférencés qui est réalisée à partir de l’archive d’images SPOT6/7. Ce projet, mené en partenariat entre l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) et Airbus Defense and Space (ADS), permet le calage géométrique automatique d’images très haute résolution avec une précision de l’ordre de 3m partout dans le monde.
 La SRP sur l’Afrique a été produite au cours de l’année 2019. Les contrôles qualité confirment le respect des spécifications attendues pour ce produit. Les particularités des paysages rencontrés sur ce continent ont conduit à intégrer de nouvelles fonctionnalités à la chaîne de production. Tout d’abord, la sélection des images SPOT6/7 a été enrichie sur la zone intertropicale en prenant en compte les masques de nuage fournis avec les produits, permettant d’obtenir une densité de points SRP optimale pour la zone. Ensuite, un prototype de socle de calage exploitant des ortho-images Sentinel-2 a montré la capacité de cette méthodologie à assurer la spécification de localisation à 3m sur un archipel d’îles (ici le Cap Vert). Afin de valider pleinement le produit, l’article présente deux tests d’exploitation sur le Nigéria pour des productions 2D et sur la ville de Marrakech pour des productions 3D. Ils démontrent la capacité de la SRP à caler différents types d’images et à atteindre la cible de précision de la base. La SRP est destinée, dès 2021, à assurer le calage d’images dans différents projets et notamment, de façon massive, dans le segment sol Pléiades Neo.
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Halleux, Dominique, and Steven M. Goodman. "The rediscovery of the Madagascar Red Owl Tyto soumagnei (Grandidier 1878) in north-eastern Madagascar." Bird Conservation International 4, no. 4 (1994): 305–11. http://dx.doi.org/10.1017/s0959270900002859.

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Abstract:
SummaryThe Madagascar Red Owl, known from the eastern rainforest of central Madagascar by a few specimens collected in the nineteenth and early twentieth century and one sight record in 1973, was rediscovered in late July 1993 in north-eastern Madagascar. An adult bird, held in captivity for approximately one year, was located in the town of Andapa. According to the owner, the owl had been obtained south-west of Andapa, near the village of Antanamangotroka, in a forested area connected to the Réserve Spéciale d'Anjanaharibe-Sud, and at about 800 m above sea-level. This record expands the known geographic range of this species and provides the first documentation of its continued existence in over 20 years.La Chouette de Soumagne, connue de la forêt pluviale orientale du Domaine du Centre de Madagascar à travers quelques spécimens collectés au 19ème siècle et début du 20ème siècle et d'aprés une observation en 1973, a été redécouverte à la fin du mois de juillet 1993 au nord-est de Madagascar. Un individu adulte, qui venait de passer plus d'un an en captivité, a été découvert dans la ville d'Andapa. D'après la personne qui détenait l'animal, la chouette avait été capturee au sud-ouest d'Andapa, pres du village d'Antanamangotroka, au sein d'une zone forestière connectée avec la Réserve Spéciale d'Anjanaharibe-Sud, à une altitude d'environ 800 m au-dessus du niveau de la mer. Cette nouvelle donnée constitue une expansion significative de l'aire de distribution de cette espèce et apporte la preuve de la survie de cette espèce endémique qui n'avait pas été observee depuis plus de 20 ans.
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Haninec, Peter, Petr Madera, Martin Smola, et al. "ASSESSMENT OF TEAK PRODUCTION CHARACTERISTICS USING 1 M SPACING IN A PLANTATION IN NICARAGUA." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 330, no. 330 (2017): 37. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.330.a31317.

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Abstract:
Cette étude s’est déroulée dans une plan- tation forestière en Amérique centrale, proche de la ville de Diriamba au Nica- ragua, où des plantations de teck sur 48,9 ha, dans une zone de reboisement de 76,5 ha, sont renouvelées depuis 2006 (2006 : 7,90 ha ; 2007 : 13,63 ha ;2008 : 11,93 ha ; 2009 : 12,87 ha ; 2010 :21,70 ha). Cette plantation sort de l’ordi- naire du fait de l’espacement de 1 x 1 m des arbres et des facteurs écologiques limitants de cette zone tropicale aride. L’espacement de 1 x 1 m a été choisi pour favoriser la croissance en hauteur et obtenir ainsi des tiges de haute taille, et pour limiter les ramifications afin d’éviter la formation de houppiers importants. Cela permet de démarrer une production de poteaux de teck, adaptés à certaines constructions, dès la première coupe d’éclaircissement. Les paramètres de croissance des tecks (hauteur, circonfé- rence) ont été mesurés dans les placettes expérimentales mises en place en 2011. Des données complémentaires (morta- lité, arbres cassés ou tordus) ont égale- ment été relevées. Une méthodologie de terrain a été développée et les résultats restitués sous forme de tableaux et gra- phiques. Une évaluation statistique des paramètres de croissance a été menée à partir des mesures prises sur les placettes expérimentales délimitées dans la planta- tion. Les jeunes arbres plantés la même année ont été comparés selon leur prove- nance en termes de hauteur, de circonfé- rence, de productivité et de mortalité. Au total, 10 955 arbres sur 143 placettes ont été mesurés. Sur ces peuplements de 1 à 5 ans d’âge, le bois sur pied total est estimé à 1 287,89 m3, la masse moyenne de bois à l’hectare à 17,89 m3, la hauteur moyenne des peuplements à 3,03 m et la circonférence moyenne à hauteur de poitrine à 2,74 cm. Les arbres cassés représentent 5,64 %, les arbres tordus 5,66 % et la mortalité moyenne s’établit à 21,48 %.
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Peltier, Regis. "Quelle place pour l’agroforesterie dans l’avenir des forêts tropicales ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (August 20, 2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31769.

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Abstract:
Avec une population estimée à dix milliards d’habitants dans quelques décennies, l’avenir du monde intertropical sera obligatoirement entre les mains des êtres humains. Ceux-ci protégeront une petite partie des forêts dites naturelles afin d’essayer d’y conserver la biodiversité qu’elles abritent ; ils géreront de façon plus productive une autre partie, ce qui passera très probablement par une simplification de leur diversité, dans la mesure où l’on favorisera les espèces les plus productives, les plus faciles à régénérer et dont les produits seront faciles à industrialiser et à vendre.Et entre la forêt protégée et la forêt aménagée, que restera-t-il ? Des plantations monospécifiques de bananiers, de riz, de cacaoyers, de coton ? Mais alors, comment les espaces forestiers pourront-ils évoluer en échangeant du matériel génétique, s’adapter aux changements climatiques, résister aux maladies nouvelles, etc. ?Les écologues estiment que la forêt ne pourra survivre que s’il existe des liens de continuité entre les massifs forestiers. La connectivité écologique ne pourra que très rarement être assurée par des corridors forestiers continus. L’existence d’îlots forestiers discontinus mais proches et à distance régulière permet le passage en « pas japonais » de nombreuses espèces végétales et animales, mais pas de toutes. Les micro-organismes et la macrofaune des sols forestiers ne peuvent se déplacer qu’à la condition d’une certaine continuité dans la trame arborée. Celle-ci n’est possible que par la présence d’arbres dans les zones cultivées, voire urbanisées. L’agroforesterie est la voie la plus prometteuse pour assurer cette continuité écologique.L’agroforesterie consiste à associer des arbres avec l’agriculture et/ou l’élevage, au niveau des parcelles, des exploitations ou des paysages. Les systèmes traditionnels, à faibles niveaux d’intrants, étaient et sont encore agroforestiers ; mais l’agriculture industrielle à hauts niveaux d’intrants (cf. mécanisation du travail, apport d’engrais, d’herbicides, de semences très améliorées, voire génétiquement modifiées) a, en général, exclu l’arbre des parcelles.Aujourd’hui, de nombreux agronomes, pastoralistes et forestiers travaillent ensemble pour appuyer techniquement et politiquement le retour des arbres dans l’espace agricole et pastoral.La diffusion à grande échelle de méthodes standardisées, mises au point en station de recherche, a rarement marché en milieu tropical. Par exemple, la culture en couloirs, mise au point par l’Icraf1 dans ses stations du Kenya au cours des années 1980, n’a pas été adoptée par les agriculteurs. Elle nécessitait trop de travail pour rabattre régulièrement les rejets d’arbres et limiter le développement de leurs racines, sans résoudre le problème de l’acidification des sols.Croire que l’agroforesterie permettra de stopper les défrichements forestiers par les agriculteurs essarteurs (sur abattis-brûlis) est également une erreur d’analyse. Il est certes vrai que l’agroforesterie permet aux agriculteurs qui la pratiquent de récolter chez eux de nombreux produits qu’ils récoltaient autrefois en forêt ; elle facilite également la culture continue sur le même sol, sans avoir à défricher de nouvelles forêts. Cependant, tant que les gouvernements laisseront les agriculteurs s’approprier des terres en défrichant la forêt publique, puis en la brûlant et en la mettant en culture, ceux-ci continueront à utiliser cette pratique qui permet d’étendre son capital foncier et de cultiver, avec peu de travail et une bonne production, pendant au moins une trentaine d’années.Les systèmes agroforestiers, qui permettent de répondre à presque tous les besoins d’une famille sur une surface limitée, nécessitent une bonne technicité pour limiter les concurrences entre espèces végétales et animales, récolter les différents produits – il est par exemple difficile d’abattre un arbre, pour en récolter son bois, sans écraser les cultures associées – et demandent un travail soutenu. C’est pourquoi les systèmes agroforestiers les plus performants se rencontrent dans les pays où la densité de la population rurale est la plus forte et où les forêts ont disparu (lakous d’Haïti, jardins agroforestiers de Java, bocage Bamilèkè et parcs arborés sur terrasses Kapsiki au Cameroun). Les résultats les plus probants, en matière de diffusion des systèmes agroforestiers au cours des trois dernières décennies, résultent du respect de modalités présentées ci-après :- L’accès aux forêts est limité, soit de fait lorsqu’il n’en existe plus, soit par décision du gouvernement qui met des forêts « sous cloche », en créant des forêts protégées définitivement (parcs et réserves) ou temporairement (capital foncier pour l’avenir), ce gouvernement ayant les moyens de faire appliquer cette politique, ce qui est très rarement le cas (ex. : Costa Rica, certains États de l’Inde).- On apporte une subvention durable aux agriculteurs qui conservent de jeunes arbres pour restaurer ou étendre leurs systèmes agroforestiers. C’est le cas de l’extension des parcs à Faidherbia albida au Nord-Cameroun, la subvention étant financée par un prélèvement sur la vente du coton. Également, les agroforestiers sont subventionnés pour les services écosystémiques qu’ils rendent à une communauté solvable ; tel est le cas des têtes de bassins versants approvisionnant une ville en eau en Inde ou au Costa Rica. En dehors des zones tropicales, ailleurs dans le monde, la plantation de haies bocagères est financée, notamment par la PAC2 en Europe.- On valorise les produits issus des systèmes agroforestiers en leur donnant des labels, qui permettent de les vendre plus cher à des consommateurs engagés (cas du café bio et équitable et du bois d’œuvre au Nicaragua).- On sécurise le foncier, ce qui garantit à l’agriculteur que les arbres qu’il plante pourront être récoltés par lui ou ses héritiers (exemple de la loi Gestion locale sécurisée, à Madagascar).- On encourage chaque agroforestier à adapter le système à ses possibilités (conditions écologiques, sociales, économiques) et à son accès aux marchés. Par exemple, dans l’Ouest-Cameroun, les agriculteurs éliminent de leurs haies des arbres devenus sans valeur (exemple : ficus producteurs de fibres végétales) pour les remplacer par des fruitiers ou des arbres producteurs de bois de sculpture et de menuiserie, de plus en plus recherchés en ville.Sans être une panacée qui permettra de bloquer le défrichement des forêts, l’agroforesterie est une nécessité absolue pour assurer aux populations du monde tropical une partie des biens et des services qui étaient autrefois rendus par les forêts. Par ailleurs, elle permettra aux forêts conservées d’être moins sollicitées par les populations, et elle contribuera à assurer leur survie à long terme, en facilitant le flux et l’évolution des ressources génétiques forestières.
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Peltier, Régis. "Quelles évolutions pour la consommation d’énergie domestique et la gestion des ressources naturelles dans les bassins d’approvisionnement des grandes villes du Sud ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 340 (May 15, 2019). http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.340.a31708.

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Abstract:
À l’occasion de la parution de ce numéro de Bois et Forêts des Tropiques, son coordonnateur tire un bilan des recherches-actions que lui-même et les équipes partenaires ont consacrées au bois-énergie en Afrique, pendant une quarantaine d’années. Il propose un schéma prospectif, pour expliquer en quoi ont été complémentaires ces actions, certaines portant sur la foresterie, l’agroforesterie, la bioénergie, et d’autres sur le social, l’économie, le droit, la fiscalité ou les politiques forestières. Il montre que, du fait de la démographie, les besoins en bois-énergie ont rejoint, puis dépassé, la productivité des bassins d’approvisionnement des grandes villes sahéliennes, au cours des années 1990. Par la suite, les services gouvernementaux et les ONG ont mené diverses tentatives et projets pour diminuer la consommation de bois-énergie, mieux gérer les formations naturelles et restaurer les systèmes agroforestiers. Ceci a permis de freiner la dégradation des ressources naturelles, de satisfaire les besoins des populations urbaines en énergie domestique et de fournir des revenus aux populations rurales. Cependant, cette dégradation est presque partout toujours en cours et la consommation est satisfaite au prix de la dégradation du capital productif des forêts. Pour l’avenir, l’hypothèse a été émise que, pour éviter des troubles sociaux urbains liés à la pénurie d’énergie domestique, tout en continuant à garantir des revenus aux ruraux, il est indispensable de combiner des politiques d’économie d’énergie, de restauration et de gestion des écosystèmes et des systèmes agroforestiers. Il faut substituer la partie de l’énergie domestique qui dépasse les capacités de production des bassins d’approvisionnement en bois-énergie. Ceci nécessitera de faire évoluer les politiques nationales sur le foncier, les taxes et les subventions, et d’établir des schémas régionaux d’aménagement.
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