Academic literature on the topic 'Violence politique – Aspect religieux – Islam'

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Journal articles on the topic "Violence politique – Aspect religieux – Islam"

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Bromberger, Christian. "Méditerranée." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.106.

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Abstract:
Alors que l’américanisme, l’africanisme, l’européanisme, l’indianisme… sont reconnus, certifiés par des musées ou des sections de musée, des départements universitaires, des chapitres de manuels depuis les origines, l’anthropologie de la Méditerranée est une spécialité récente, prenant corps, sous l’égide des universités britanniques, dans les années 1950. Ce retard est dû, au moins en partie, à l’hétérogénéité du monde méditerranéen partagé entre les façades méridionale et orientale de la mer, qui relèvent, à première vue, de l’étude du monde arabo-musulman, et la façade septentrionale ressortissant de prime abord de l’ethnologie européenne. Le scepticisme, récusant la pertinence d’une anthropologie de la Méditerranée, peut encore trouver des arguments dans l’histoire des civilisations ou dans l’actualité. Contrairement à d’autres régions du monde, l’aire iranienne voisine par exemple, le monde méditerranéen ne forme une unité ni par ses langues ni par ses traditions religieuses. Faut-il rappeler que seul l’Empire romain l’a unifié pendant plusieurs siècles autour du « mare nostrum » en favorisant l’épanouissement d’une culture gréco-latine à vocation universelle et en développant tout autour de la mer des institutions politiques sur le modèle de Rome ? Puis l’histoire de la Méditerranée fut faite de partages, de schismes, de croisades, de guerres entre empires, de conquêtes coloniales qui aboutirent, au terme de péripéties violentes, à la situation contemporaine où coexistent trois ensembles eux-mêmes fractionnés : une Méditerranée latine, catholique, largement laïcisée , partie intégrante de l’Europe occidentale, une Méditerranée balkanique orthodoxe avec ses poches islamiques, une Méditerranée arabo-musulmane. En dépit de ces fractures, des hommes de lettres campèrent, dans les années 1930, une Méditerranée des échanges et de la convivenza, à laquelle donnent crédit des lieux et des épisodes remarquables de l’histoire (l’Andalousie au temps du califat omeyade, la Sicile de Frédéric II, des villes cosmopolites de la fin du XIXème siècle et du début du XXème siècle : Istanbul, Smyrne, Salonique, Beyrouth, Alexandrie, Alger, Tanger, Trieste, Marseille, etc.). Des revues (à Marseille, les Cahiers du sud de Jean Ballard, à Tunis Les Cahiers de la Barbarie d’Armand Guibert et Jean Amrouche , à Alger Rivages d’Edmond Charlot et Albert Camus, à Rabat Aguedal d’Henri Bosco) exaltèrent cette « fraternité méditerranéenne » tout autant imaginaire que réelle. Gabriel Audisio fut le chantre le plus exalté de cette commune « patrie méditerranéenne »: « Non, écrit-il, la Méditerranée n’a jamais séparé ses riverains. Même les grandes divisions de la Foi, et ce conflit spirituel de l’Orient et de l’Occident, la mer ne les a pas exaltés, au contraire adoucis en les réunissant au sommet sensible d’un flot de sagesse, au point suprême de l’équilibre ». Et à l’image d’une Méditerranée romaine (il veut « remettre Rome ‘à sa place’ ») il oppose celle d’une « synthèse méditerranéenne » : « À cette latinité racornie, j’oppose tout ce qui a fait la civilisation méditerranéenne : la Grèce, l’Égypte, Judas, Carthage, le Christ, l’Islam ». Cette Méditerranée qui « vous mélange tout ça sans aucune espèce de pudeur », dit-il encore, « se veut universelle ». Avant qu’un projet collectif d’anthropologie n’émerge, des ancêtres de la discipline, des géographes, des historiens, avaient apporté une contribution importante à la connaissance du monde méditerranéen. Maine, Robertson Smith, Frazer, etc. étaient classicistes ou historiens du droit et se référaient souvent aux sociétés antiques de la Méditerranée pour analyser coutumes et croyances ou encore les différentes formes d’organisation sociale (la tribu, la cité, etc.) et leur évolution. Plus tard, dans les premières décennies du XXème siècle, de remarquables études monographiques ou thématiques furent réalisées sur les différentes rives de la Méditerranée , telles celles de Maunier (1927) sur les échanges rituels en Afrique du nord, de Montagne (1930) sur les Berbères du sud Marocain, de Boucheman (1937) sur une petite cité caravanière de Syrie…Géographes et historiens, plus préoccupés par l’ancrage matériel des sociétés que par leur structure ou leurs valeurs, publièrent aussi des travaux importants, synthétiques ceux-ci, sur le monde méditerranéen ; ainsi Charles Parain, dans La Méditerranée, les hommes et les travaux (1936), campe une Méditerranée des infrastructures, celle qui prévaudra jusques et y compris dans les 320 premières pages de la thèse de Fernand Braudel (1949), celle des « ressources naturelles, des champs et des villages, de la variété des régimes de propriété, de la vie maritime, de la vie pastorale et de la vie agricole, des métiers et des techniques ». L’acte fondateur de l’anthropologie de la Méditerranée fut un colloque organisé en 1959 par Julian Pitt-Rivers, Jean Peristiany et Julio Caro Baroja, qui réunit, entre autres, Ernest Gellner, qui avait mené des travaux sur le Haut-Atlas, Pierre Bourdieu, alors spécialiste de la Kabylie, John K. Campbell, auteur de recherches sur les Saracatsans du nord de la Grèce. Cette rencontre, et celle qui suivit, en 1961, à Athènes donnèrent lieu à la publication de deux recueils fondamentaux (Pitt-Rivers, 1963, Peristiany, 1965), campant les principaux registres thématiques d’une anthropologie comparée des sociétés méditerranéennes (l’honneur, la honte, le clientélisme, le familialisme, la parenté spirituelle, etc.) et véritables coups d’envoi à des recherches monographiques s’inscrivant désormais dans des cadres conceptuels fortement charpentés. Les décennies 1960, 1970 et 1980 furent celles d’une croissance rapide et d’un épanouissement de l’anthropologie de la Méditerranée. Le monde méditerranéen est alors saisi à travers des valeurs communes : outre l’honneur et la honte, attachés au sang et au nom (Pitt-Rivers, 1977, Gilmore, 1987), la virilité qui combine puissance sexuelle, capacité à défendre les siens et une parole politique ferme qui ne transige pas et ne supporte pas les petits arrangements, l’hospitalité ostentatoire. C’est aussi un univers où domine une vision endogamique du monde, où l’on prise le mariage dans un degré rapproché, mieux la « république des cousins », où se marient préférentiellement le fils et la fille de deux frères, une formule surtout ancrée sur la rive sud et dans l’Antiquité pré-chrétienne, ; Jocaste ne dit-elle pas à Polynice : « Un conjoint pris au-dehors porte malheur » ? Ce à quoi Ibn Khaldoun fait écho : « La noblesse, l’honneur ne peuvent résulter que de l’absence de mélange », écrivait-il. Aux « républiques des beaux-frères », caractéristiques des sociétés primitives exogames étudiées par Claude Lévi-Strauss s’opposent ainsi les « républiques méditerranéennes des cousins », prohibant l'échange et ancrées dans l'endogamie patrilinéaire. Alors que dans les premières, « une solidarité usuelle unit le garçon avec les frères et les cousins de sa femme et avec les maris de ses sœurs », dans les secondes « les hommes (...) considèrent leurs devoirs de solidarité avec tous leurs parents en ligne paternelle comme plus importants que leurs autres obligations, - y compris, bien souvent, leurs obligations civiques et patriotiques ». Règne ainsi, dans le monde méditerranéen traditionnel, la prédilection pour le « vivre entre soi » auquel s’ajoute une ségrégation marquée entre les sexes, « un certain idéal de brutalité virile, dont le complément est une dramatisation de la vertu féminine », poursuit Germaine Tillion (1966). La Méditerranée, c’est aussi un monde de structures clientélaires, avec ses patrons et ses obligés, dans de vieilles sociétés étatiques où des relais s’imposent, à tous les sens du terme, entre le peuple et les pouvoirs; parallèlement, dans l’univers sacré, les intermédiaires, les saints, ne manquent pas entre les fidèles et la divinité ; ils sont nombreux, y compris en islam où leur culte est controversé. La violence avec ses pratiques vindicatoires (vendetta corse, disamistade sarde, gjak albanais, rekba kabyle…) fait aussi partie du hit-parade anthropologique des caractéristiques méditerranéennes et les auteurs analysent les moyens mis en œuvre pour sortir de ces conflits (Black-Michaud, 1975). Enfin, comment ne pas évoquer une communauté de comportements religieux, en particulier les lamentations funèbres, les dévotions dolorisantes autour des martyrs ? L’« inflation apologétique du martyre » est ainsi un trait commun au christianisme et à l’islam chiite pratiqué au Liban. La commémoration des martyrs fondateurs, dans le christianisme comme en islam chiite, donne lieu à des rituels d’affliction de part et d’autre de la Méditerranée. C’est en terre chrétienne la semaine sainte, avec ses spectaculaires processions de pénitents en Andalousie, ou, en Calabre, ces cérémonies où les hommes se flagellent les mollets et les cuisses jusqu’au sang. Au Liban les fidèles pratiquent, lors des processions et des prônes qui évoquent les tragiques événements fondateurs, des rituels dolorisants : ils se flagellent avec des chaînes, se frappent la poitrine avec les paumes des mains, voire se lacèrent le cuir chevelu avec un sabre. Dans le monde chrétien comme en islam chiite, des pièces de théâtre (mystères du Moyen Âge, ta’zie) ont été composées pour représenter le martyre du sauveur. Rituels chiites et chrétiens présentent donc un air de famille (Bromberger, 1979). Cette sensibilité au martyre dans les traditions religieuses méditerranéennes est à l’arrière-plan des manifestations laïques qui célèbrent les héros locaux ou nationaux tombés pour la juste cause. C’est le cas en Algérie. Toutes ces remarques peuvent paraître bien réductrices et caricaturales, éloignées des formes de la vie moderne et de la mondialisation qui l’enserre. Ne s’agit-il pas d’une Méditerranée perdue ? Les auteurs cependant nuancent leurs analyses et les insèrent dans le contexte spécifique où elles prennent sens. Dans leur généralité, elles offrent, malgré tout, une base de départ, un cadre comparatif et évolutif. Après une période faste, couronnée par un ouvrage de synthèse récapitulant les acquis (Davis, 1977), vint le temps des remises en cause. Plusieurs anthropologues (dont Michael Herzfeld, 1980, Josep Llobera,1986, Joao de Pina-Cabral,1989…) critiquèrent de façon radicale l'érection de la Méditerranée en « regional category » en fustigeant le caractère artificiel de l'objet, créé, selon eux, pour objectiver la distance nécessaire à l'exercice légitime de la discipline et qui s'abriterait derrière quelques thèmes fédérateurs fortement stéréotypés. À ces critiques virulentes venues des centres européens ou américains de l’anthropologie, se sont jointes celles d'ethnologues originaires des régions méditerranéennes, pour qui la référence à la Méditerranée est imaginaire et suspecte, et dont les travaux sont ignorés ou regardés de haut par les chercheurs formés à l’école britannique. Ce sentiment négatif a été d’autant plus accusé sur les rives méridionale et orientale de la Méditerranée que la mer qui, à différentes périodes, reliait est devenue un fossé aussi bien sur le plan économique que politique. Diverses initiatives et prises de position scientifiques ont donné un nouvel élan, dans les années 1990-2000, à l’anthropologie de la Méditerranée. Colloques et ouvrages (par exemple Albera, Blok, Bromberger, 2001) rendent compte de cette nouvelle conjoncture. On se garde désormais plus qu’avant de considérer le monde méditerranéen comme une aire culturelle qui présenterait, à travers le temps et l’espace, des caractéristiques communes stables. Au plus parlera-t-on d’un « air de famille » entre les sociétés riveraines de la mer en raison de contextes écologiques similaires, d’une histoire partagée, de la reconnaissance d’un seul et même Dieu. Cette perspective mesurée rejoint le point de vue de Horden et Purcell (2000), auteurs d’un ouvrage important tirant un bilan critique de l’histoire du monde méditerranéen. Pour eux, qui combinent points de vue interactionniste et écologique, la Méditerranée se définit par la mise en relation par la mer de territoires extrêmement fragmentés, par une « connectivity » facilitée par les Empires. Le titre énigmatique de leur livre, The Corruptive Sea, « La Mer corruptrice », prend dès lors tout son sens. Parce qu’elle met en relation, cette mer serait une menace pour le bon ordre social et pour la paix dans les familles. Cette proximité entre sociétés différentes qui se connaissent fait que le monde méditerranéen s’offre comme un terrain idéal au comparatisme « à bonne distance ». C’est sous le sceau de ce comparatisme raisonné que s’inscrivent désormais les travaux les plus convaincants, qu’ils se réclament explicitement ou non de l’anthropologie de la Méditerranée (voir sur la nourriture Fabre-Vassas, 1994, sur la parenté Bonte éd., 1994 , sur la sainteté Kerrou éd., 1998 et les traditions religieuses, sur les migrations et les réseaux Cesari, éd., 2002, sur le cosmopolitisme Driessen, 2005) Tantôt les recherches soulignent les proximités (Albera, 2005, 2009, Dakhlia, 2008, Dakhlia et Kaiser, 2011), tantôt elles les relativisent (Fernandez Morera, 2016, Bromberger, 2018), tantôt elles insistent sur les aspects conflictuels (Chaslin, 1997). Une autre voie est de considérer le monde méditerranéen, non pas comme un ensemble fait de similarités et de proximités mais comme un espace fait de différences qui forment système. Et ce sont ces différences complémentaires, s’inscrivant dans un champ réciproque, qui permettent de parler d’un système méditerranéen. Chacun se définit, ici peut-être plus qu’ailleurs, dans un jeu de miroirs (de coutumes, de comportements, d’affiliations) avec son voisin. Les comportements alimentaires, les normes régissant l’apparence vestimentaire et pileuse, le statut des images… opposent ainsi des populations revendiquant un même Dieu (Bromberger, 2018).
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Dissertations / Theses on the topic "Violence politique – Aspect religieux – Islam"

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Bahi, Mohammed Al. "Sur la violence politique dans le monde arabe : idéologies et pratiques." Paris 5, 2007. http://www.theses.fr/2007PA07A004.

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Pitroipa, Rayanesalgo Anatole. "Le Nigéria à l'épreuve du terrorisme : une analyse des racines sociohistoriques et politiques de la violence revendiquée par Boko Haram." Master's thesis, Université Laval, 2015. http://hdl.handle.net/20.500.11794/26154.

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Abstract:
Créé à la fin des années 90, Boko Haram est passé, en l’espace de dix ans, du stade de secte islamiste à celui de mouvement terroriste capable de défier l’État fédéral nigérian (première puissance militaire de l’Afrique de l’Ouest) et de mener des incursions dans des pays limitrophes (Cameroun, Tchad, Niger). Les objectifs, les méthodes et les cibles du groupe ont considérablement varié au cours de son évolution, ce qui obère toute tentative de catégorisation de la violence qu’il revendique. Les recherches existantes sur Boko Haram l’analysent en fonction de sa radicalisation à la fin des années 2000 et voient dans l’explosion de la violence au Nord du Nigeria une résultante du terrorisme international et transnational qui affecte le Sahel et plusieurs pays de la sous-région ouest-africaine. Or, la violence politique sur fond de revendications ethniques, économiques et religieuses fait partie de l’histoire politique du Nigeria, et Boko Haram est loin d’être une génération spontanée dans le pays qui abrite la plus forte population musulmane du continent africain. À partir d’un niveau d’analyse intraétatique, cette recherche propose une lecture sociohistorique et politique du contexte structurel à partir duquel Boko Haram a émergé au Nord du Nigeria. Puis, à partir d’une conception relationnelle du rôle de la violence politique, elle utilise l’approche de la violence instrumentale de Martha Crenshaw pour conceptualiser l’évolution des confrontations entre Boko Haram et l’État nigérian. Par rejet d’un système fédéral qu’il considère comme une survivance de l’administration coloniale, Boko Haram revendique effectivement la création d’un État islamique à l’image du Califat de Sokoto [1800-1903] dont les limites géographiques couvraient aussi bien le Nord du Nigeria que certaines parties du Niger, du Cameroun et du Tchad.
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Abbassi, Ahmed. "Le Baït Al Mâl en Islam sunnite." Perpignan, 2007. http://www.theses.fr/2007PERP0767.

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Abstract:
Cette thèse traite de la fiscalité de l'empire arabo-musulman allant de 610 de notre ère jusqu'au déclin de la dynastie Abbasside en 1215. Elle traite aussi de l'organisation administrative et financière du Baït Al Mâl qui est l'équivalent de l’actuel Trésor Public et qui a géré les finances publiques de l'époque. La problématique qu'elle soulève est : est-il possible de rétablir la fiscalité ancienne à la place de la fiscalité moderne ? Les fondamentalistes prônent ce retour à la source puisqu'ils considèrent la collecte de l’impôt moderne comme une infraction à la Charia<br>This thesis processes as the tax system of the Arabian-Musulman empire going 610 AD until the decline of the dynasty Abbasside in 1215. She(it) also deals as the administrative and financial organization of the Baït Al Mâl which is the equivalent of the current Treasury and which managed the public finances of time(period). The problem which it lifts(raises) is: it is possible to restore the ancient(former) tax system on the place(square) of the modern tax system. The fundamentalists laud this return to the source(spring) because they consider the collection of the modern tax as a malpractice against the Sharia
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Gafouri, Ala'a. "Islam et économie : réflexions sur les principes fondamentaux de l'économie islamique." Paris 1, 1992. http://www.theses.fr/1992PA010506.

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Rekik, Mongi. "Essai sur la pensée économique arabo-islamique du VIIème au XVème siècle." Paris 10, 1992. http://www.theses.fr/1992PA100052.

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Abstract:
Observant dans les différents manuels et traités soucieux de retracer l'histoire de la pensée économique un manque relatif à la pensée produite dans les civilisations anciennes, nous nous sommes interrogés sur l'existence ou non d'un discours économique entre le 7ème et le 15ème siècle dans le monde arabo-musulman. L'analyse est faite en quatre parties. La première, introductive traite de la situation politico-économique à cette époque. La deuxième partie traite de la pensée économique dans la législation islamique. Les références de base dans cette partie sont le Qoran et la Sunna. La troisième partie retrace, quant à elle, la pensée économique produite par quelques auteurs arabo-musulmans. Cette partie à été subdivisée en trois courants : - Le courant éthique avec pour principales sources les écrits de Saybani et d'Abou Al Hassan Abdejabbar. - Le courant pratique retrace la pensée de Dimasqi , Ibn Al mugaffa'a et des écrits de Hisba. Quant au courant anthropologique, il s'intéresse aux écrits d'Ibn Khaldun et de Maqrizi. Enfin la quatrième partie se charge de souligner l'apport de la pensée arabo-islamique entre le 7eme et le 15eme siècle à la pensée moderne<br>Observing in different manuals and various other sources of information which retrace the history of the economical thought a total deficiency regarding the thought produce during the Arab-Islamic civilization, leads us to questioning about the existence of the economical concept in the Arab-Islamic world between the 7th and the 15th centuries. This analysis is divided into four chapters. The first, an introduction chapter, treats of the politico economic situation at that era. The second part, treats of the economic thought in the Islamic legislation. This chapter refers basically to to Qoran and the Sunna. The third chapter recalls the economic thought given by several Arab-Islamic authors. This part is subdivided into three lines. 1 - Ethical, with its main source the papers of Saybani and Abou Al Hassan Abdejjabar. 2 - Practical, tracing the thoughts of Dimasqi, Ibn al Muqaffa'a and the papers of Hisba. 3 - anthropologic, which considers the papers of Ibn Haldun and Haqrizzi finally the 4th chapter. .
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Ladhari, Souad. "Les rapports de force dans le Coran." Paris, EPHE, 1993. http://www.theses.fr/1993EPHEA002.

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Abstract:
Le chapitre I de cette thèse portant sur les rapports de force dans le coran est une étude linguistique du vocabulaire de la force et de la faiblesse divisée en quatre grands groupes : - les racines verbales indiquant la force : mtn, kdr, kwy, shdd, d'f, 'djz, whn. - les racines verbales indiquant la faiblesse : d'f, 'djz, whn. -les racines verbales traduisant un rapport du fort au faible : ghlb, djbr, mlk, 'mr, khr, rbb. - les racines verbales traduisant un rapport du faible au fort et qui sont : 'bd, dhll, slm, tw'. Dieu est le dominateur de la force par excellence, il est sont auteur et le créateur de ses différents acteurs, sa force est juste. L'homme est l’acteur principal sur qui s'exerce la force de Dieu et celle des autres créatures, mais aussi celui qui s'affronte avec toutes les autres créatures, et doit prouver sa supériorité. Le chapitre II détermine les différents couples d'acteurs mis en relief par le Coran, notamment Dieu, ses créatures dont les anges, Iblis, les djinns, les astres, etc. , et étudie de façon détaillée leur force, leur faiblesse, et les différentes relations entre eux. Le chapitre III est consacré à l'étude des faibles et des oppresseurs, et des modalités de lutte envisagées par le Coran, appuyées par des exemples coraniques caractéristiques. Dieu mobilise les faibles pour se libérer de leurs aliénations, condamne l'injustice et l’action des injustes, et promet l'héritage de la terre à ceux qui se conforment aux lois invariables de la nature.
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Boulaabi, Abderraouf. "La légitimité du pouvoir dans la tradition islamique." Paris 4, 1994. http://www.theses.fr/1993PA040303.

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Abstract:
Cette étude est une relecture de l'histoire politique islamique à travers la problématique de la légitimité analysée selon une grille à trois composantes principales à savoir le mode d'établissement du pouvoir - la mode de son exercice et le mode de son transfert. Il s'agit d'étudier le processus d'attribution de la légitimité durant les trois époques : califale, Umayyades et Abbassides, de mettre en évidence les principes de base qui fondent tout pouvoir légitime se réclamant de l'islam. Ces principes de base que nous avons appelé "les finalités politiques de la "sharia" sont obtenus grâce à la déduction rationnelle des mujtahidun à la lumière de l'intérêt général de la "umma" ces finalités politiques sont le résultat de la jonction entre la méthodologie juridique et la politique c'est de ce nouveau droit de l'utilité qu'on a besoin pour faire face au droit de la nécessité des théologiens sunnites où le droit de l'impeccabilité des théologiens shiites<br>This study represents a new interpretation of the Islamic political history through the problem of legitimacy, according to three lines: the method of establishing of political power, the method of its execution, and the method of its transfer. We are studying also the process to awarding the legitimacy during the caliphate age, the Umayyad and Abbasids age, we carry out research into the bases of legitimate power, these bases, what we call the political final points of sharia are obtained thanks the rational deduction of mujahidin in the light of general interest of the umma. Therefore, these bases results from the junction of law and policy, legitimacy depends entirely on these bases
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Saddik, Mohamed. "Économie et éthique, le cas de “l’économie islamique” : application aux services sociaux et financiers." Paris 10, 2012. http://www.theses.fr/2012PA100019.

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Abstract:
Dans ce travail nous avons étudié la façon dont est construite une économie fondée sur une base d’éthiques et de concepts issues directement des textes et des valeurs de l’Islam. Dans ce cadre, des questions se posent alors : Comment un système économique basé sur les valeurs islamiques pourrait être établi pour réaliser les objectifs économiques ? Comment ce système pourrait fonctionner une fois établi ? L’islam offre-t-il un système économique et social comme alternative au capitalisme ? Ya-t-il quelque chose qui pourrait être décrite comme économie islamique ? Quelle est l'approche islamique en économie ? Y a-t-il un besoin pour cela ? L'économie islamique a-t-elle son propre cadre institutionnel? Nous avons consacrée la première partie à l’étude de la relation entre l’éthique et l’économie en générale (à travers les apports de certains économistes et philosophes comme A. Sen et J. Rawls), et à celle entre l’éthique musulmane et l’économie en particulier. Dans notre deuxième partie, nous avons illustré la prise en compte directe de l’éthique musulmane dans un domaine de l’économie, nous l’avons fait grâce à une étude de la finance islamique<br>In this work we studied how to build an economy funded on an ethical and conceptual base directly issued from the texts and values of Islam. Many questions could be revealed in this context: How could be established an economic system based on Islamic values in order to achieve the aimed economical goals? If such a system could be realized, how would it work? Could Islam present an economical and social system that can be considered as an alternative to capitalism? Is there any financial system that could be described and presented as an Islamic economy? What is the Islamic approach of economy? Is there really a need for such approach? Does the Islamic economy have its own institutional context? The first part of this thesis is dedicated to study the relation between ethics and economy in general (through the works of well-known economists and philosophers like Sen and Rawls), as well as the relation between Islamic ethics and economy in particular : In the second part, we discussed how to take Islamic ethics in consideration from an economical point of view; this application could be done through the study of Islamic finance
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Smaali, Nasr-Eddîne. "La réussite des Ibadhites : le commerce comme exemple." Paris 8, 1999. http://www.theses.fr/1999PA081735.

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Abstract:
L'etude de l'histoire politico-religieuse et commerciale des ibadhites ainsi que leur organisation actuelle et leur mode d'enseignement devoilent les secrets de leur reussite commerciale : ils excellent aussi bien dans la pratique commerciale que dans l'application des recommandations religieuses. Desavouant en cela l'idee, tres largement repandue, comme quoi l'application des preceptes de l'islam entrave- entre autres, la reussite commerciale. Cette reussite depasse, en fait, le champ de commerce pour englober celui de la vie tout entiere. Ainsi leur reussite est a la fois materielle et spirituelle, conformement a leur rite.
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Tribou, Gary. "L'entrepreneur musulman : Islam et rationalité d'entreprise." Mulhouse, 1992. http://www.theses.fr/1992MULH0213.

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More sources

Books on the topic "Violence politique – Aspect religieux – Islam"

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Kakar, Sudhir. The colors of violence: Cultural identities, religion, and conflict. University of Chicago Press, 1996.

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Islamic peril: Media and global violence. Black Rose Books, 2000.

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Traduction, Fouques Duparc Anne, ed. Le mythe de la violence religieuse. Ed. de l'homme nouveau, 2009.

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Shattering the myth: Islam beyond violence. Princeton University Press, 1998.

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5

Islam et politique: La modernité trahie. La Découverte, 1997.

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Paris), Fondation Singer-Polignac (1998-12. Le facteur religieux dans les conflits du Moyen-Orient: Actes du Colloque, mercredi 9 décembre 1998, Paris. Fondation Singer-Polignac, 1999.

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7

Flori, Jean. La première croisade: L'occident chrétien contre l'Islam (aux origines des idéologies occidentales). Éditions Complexe, 1997.

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8

One God: The political and moral philosophy of western civilization. Black Rose Books, 2003.

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Redissi, Hamadi. Les politiques en Islam: Le prophète, le roi et le savant. L'Harmattan, 1998.

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10

The communal and the national: Essays on religion and the nation. Oxford University Press, 1998.

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