Academic literature on the topic 'Virus de la fièvre de la Vallée du Rift'

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Journal articles on the topic "Virus de la fièvre de la Vallée du Rift"

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Olaleye, O. D., L. A. Oladosu, S. A. Omilabu, S. S. Baba, and A. H. Fagbami. "Complement fixing antibodies against arboviruses in horses at Lagos, Nigeria." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 42, no. 3 (1989): 321–25. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8774.

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Abstract:
Les sérums de 62 chevaux récoltés dans deux écuries à Lagos, Nigeria, ont été testés pour la recherche des anticorps de fixation du complément (FC) contre les antigènes de 8 arbovirus, à savoir : Chikungunya, Igbo-Ora, fièvre jaune, maladie de Wesselsbron, West Nile, Potiskum, Uganda S et la fièvre de la vallée du Rift. Dix pour cent des sérums de chevaux examinés contenaient des anticorps de FC pour un ou plus des antigènes-tests et indiquaient une activité considérable des arbovirus dans les deux écuries. Les réactions aux antigènes des flavivirus étaient très courantes et les titres d'anticorps les plus élevés ont été obtenus avec les virus de la maladie de Wesselsbron et la fièvre jaune. Onze pour cent des sérums examinés ont réagi aux antigènes des alpha-virus alors que 10 p. 100 ont donné une réaction positive aux antigènes de FC pour le virus de la fièvre de la vallée du Rift.
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Chartier, C., and F. Chartier. "Enquête séro-épidémiologique sur les avortements infectieux des petits ruminants en Mauritanie." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 41, no. 1 (1988): 23–34. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8724.

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Abstract:
Une étude séro-épidémiologique a été effectuée d'octobre 1984 à mars 1985 sur les maladies abortives des petits ruminants mauritaniens. 65 p. 100 des troupeaux présentent un taux d'avortement annuel supérieur à 4 p. 100 bien qu'aucune autre pathologie remarquable n'ait été mise en évidence tant sur les femelles avortées que sur les jeunes. Les caprins ont un taux d'avortement supérieur à celui des ovins. Au plan des résultats sérologiques, la chlamydiose montre le plus fort pourcentage de positivité (15 à 30 p. 100) suivie par la fièvre de la vallée du Rift (10 p. 100), la maladie de Wesselsbron (8 à 17 p. 100) et la fièvre Q (1 à 4 p. 100). La recherche d'anticorps concernant la brucellose et la salmonellose abortive a été négative. L'examen des corrélations éventuelles entre les caractéristiques de l'avortement et la séropositivité des femelles à l'égard de la chlamydiose et de la fièvre Q a permis de souligner les points suivants : 1. il y a une forte corrélation entre le facteur infectieux et le phénomène abortif; 2. trois avortements sur 10 peuvent reconnaître cette étiologie infectieuse; 3. les caractères primipare/multipare et unique/multiple ne semblent pas dépendants du facteur infectieux. L'infection par le virus de la fièvre de la vallée du Rift n'a pu être reliée à une pathologie abortive ou néonatale. Le rôle très probable d'autres étiologies, en particulier des facteurs nutritionnels est brièvement envisagé.
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Léger, Psylvia, and Pierre-Yves Lozach. "Le virus de la fièvre de la vallée du Rift et son étonnante protéine NSs." médecine/sciences 37, no. 6-7 (2021): 601–8. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2021090.

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Abstract:
Le virus de la fièvre de la vallée du Rift (VFVR) est un agent pathogène transmis à l’homme et au bétail par la piqûre de moustiques. Ce virus, découvert au Kenya en 1930, est considéré par l’Organisation mondiale de la santé comme présentant un risque important de provoquer de vastes épidémies. Les moyens dédiés à la lutte contre le VFVR restent toutefois particulièrement limités et le virus est mal connu. Dans cette Synthèse, nous nous attacherons à présenter ce virus avant de nous intéresser plus spécifiquement à son facteur de virulence, la protéine NSs. Nous discuterons la capacité de cette protéine virale à former des fibrilles de type amyloïde et son implication dans la neurotoxicité du virus chez les animaux infectés.
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Morvan, Jacques, Pierre E. Rollin, and J. Roux. "Situation de la fièvre de la vallée du Rift à Madagascar en 1991. Enquêtes séro-épidémiologiques chez les bovins." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 45, no. 2 (1992): 121–27. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8935.

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Abstract:
Le virus de la fièvre de la vallée du Rift (FVR) a été isolé pour la première fois à Madagascar en 1979. Il n'a eu aucun impact en santé humaine ou animale jusqu'en 1990 et 1991, où plusieurs épizooties, marquées cliniquement par des avortements massifs chez des bovins, ont été décrites. Depuis, une surveillance sérologique a été mise en place, dans et autour des foyers, dans les zones à forte densité d'élevage bovin et à l'abattoir national d'Antananarivo. Sur la Côte est et les Hautes Terres, les pics de prévalence en IgM spécifiques sont, respectivement, contemporains des épizooties et diminuent les mois suivants. Une augmentation secondaire de la prévalence en IgG est notée dans toutes les régions explorées. Différentes hypothèses sur les circonstances d'apparition du virus à Madagascar, le déclenchement des épizooties et sur la circulation du virus dans l'île sont discutées.
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Mejri, Selma. "Fièvre de la vallée du Rift en Tunisie : Synthèse sur la situation actuelle et perspectives." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 76 (April 13, 2023): 1–7. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.36975.

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Abstract:
La fièvre de la vallée du Rift (FVR) est une infection zoonotique émergente infectant les humains et les ruminants. L’agent étiologique de cette infection est le virus de la FVR, un arbovirus transmis principalement par les piqûres de moustiques des genres Aedes et Culex. Durant les deux dernières décennies, des cas de FVR ont été rapportés dans des régions jusque-là indemnes et les épidémies sont devenues de plus en plus fréquentes. De par sa localisation stratégique dans le bassin méditerranéen, la Tunisie a de nombreux échanges avec les autres pays africains ainsi qu’avec l’Europe. L’analyse de la situation épidémiologique de la FVR dans ce pays pourrait aider à comprendre la situation globale de cette infection dans la région méditerranéenne et à élaborer des stratégies efficaces de surveillance à mettre en œuvre dans la région. Dans ce cadre et afin d’étudier l’état des lieux de la FVR en Tunisie, cette synthèse présente une analyse à partir de tous les articles scientifiques traitant de ce sujet dans le pays. La Tunisie est considérée comme à haut risque de propagation de la FVR en raison de sa localisation, de ses caractéristiques climatiques et environnementales, de l’abondance des vecteurs transmettant le virus de la FVR, et de la présence d’espèces animales à risque pour cette maladie. Ainsi, des mesures strictes doivent être prises afin de contrôler et de limiter toute émergence et propagation de la FVR. De telles mesures doivent inclure le contrôle des mouvements des animaux (particulièrement aux frontières), le contrôle des espèces vectrices du virus, et le perfectionnement des outils de diagnostic pour la détection précoce de tout cas suspect. L’implémentation d’une approche « Une seule santé » multidisciplinaire serait l’une des meilleures solutions pour faire face aux maladies zoonotiques à transmission vectorielle comme la FVR.
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Formenty, Pierre, Joseph Domenech, and H. G. Zeller. "Enquête sérologique sur la fièvre de la vallée du Rift, chez les ovins, en Côte d'Ivoire." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 45, no. 3-4 (1992): 221–26. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8905.

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Abstract:
De 1988 à 1990, une enquête sérologique portant sur un échantillon de 1051 sérums ovins a été menée dans le Sud forestier de la Côte-d'Ivoire afin d'y étudier l'incidence de la fièvre de la vallée du Rift (FVR) et le rôle de ce virus dans la pathologie de la reproduction. La prévalence de la FVR est de 6,85 %. Aucune différence n'a été observée entre les trois régions géographiques déterminées, ni entre les trois années de l'étude. La prévalence augmente avec l'âge de façon significative. La maladie doit être considérée comme enzootique en Côte-d'Ivoire. On trouve une corrélation positive entre séropositivité et avortements, ce qui doit inciter à mieux évaluer l'impact économique de la FVR en santé animale. La présence d 'anticorps chez les animaux âgés de 6 mois à un an, signant une circulation active du virus, implique une surveillance impérative plus large de la situation en Côte-d'Ivoire en raison du risque pour la population humaine en contact avec les animaux.
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Zeller, H. G., H. T. Rakotoharinadrasana, and Mala Rakoto Andrianarivelo. "La fièvre de la vallée du Rift à Madagascar : risques d'infection pour le personnel d'abattoir à Antananarivo." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 51, no. 1 (1998): 17–20. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9646.

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Abstract:
La première manifestation épizootique de la fièvre de la vallée du Rift (FVR) à Madagascar a été rapportée en 1990-1991. Une enquête sérologique a été réalisée en janvier 1995 au niveau de l'abattoir principal d'Antananarivo pour déterminer les risques d'infection par le virus FVR chez le personnel. Des anticorps IgG FVR ont été rencontrés chez 12/126 employés (9,5 %), en association dans 11 cas avec des anticorps IgM FVR. Tous les sujets positifs travaillaient dans la première partie de la chaîne d'abattage. Les 11 employés porteurs d'IgM représentaient 48 % du personnel du hall d'abattage. Ils ont été infectés très probablement par aérosol lors de l'abattage d'un animal virémique et n'ont manifesté aucune symptomatologie clinique. La surveillance hebdomadaire de 40 bovins à l'abattoir d'octobre 1994 à janvier 1995 a montré un taux de portage d'IgG FVR de 7,0 %. Un seul animal a présenté des IgM FVR début décembre 1994. Des mesures préventives telles que le port obligatoire d'un masque au niveau de la chaîne d'abattage et, si possible, la vaccination du personnel à haut risque d'exposition sont recommandées.
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Hama, Marietou Adamou, Abdoulkarim Issa Ibrahim, Abdou Alassane, Haladou Gagara, and Rianatou Bada Alambedji. "Séroprévalence de la fièvre de la vallée du Rift chez les ruminants domestiques dans la région de Tahoua/Niger." International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, no. 7 (2020): 3023–31. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i7.4.

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Abstract:
L’épizoo-épidémie de la Fièvre de la Vallée du Rift (FVR), survenue suite à une pluviométrie marquée par de fortes précipitations dans la région de Tahoua frontalière au département d’Ingal qui accueille l’événement de la cure salée chaque année, a engendré de nombreuses pertes en vies humaines. Au niveau du secteur animal, l’impact économique et sanitaire est également considérable, compte-tenu des lourdes pertes engendrées dans le cheptel. Ces pertes sont une forte mortalité chez les jeunes, des taux d’avortements élevés chez les femelles gravides et une baisse de la productivité des élevages touchés. Afin d’évaluer la séroprévalence de la FVR chez les ruminants de la région, des échantillons de sérums prélevés lors du seromonitoring des campagnes de vaccination contre la peste des petits ruminants et la péripneumonie contagieuse des bovidés financé par le Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS) en février 2017, ont été analysés pour la détection d’anticorps du virus de la FVR au moyen du test ELISA de compétition. Les séroprévalences obtenues chez les espèces étudiées sont assez élevées chez les bovins (30,62%) et les caprins (18,40%), suivies de celle des ovins qui est de 14,90%.Les résultats sérologiques répartis dans les communes montrent que les bovins de Ibohaman et Tassara sont significativement les plus affectés avec une prévalence de 50,00% chacune (P=0,00224). Par contre, chez les petits ruminants, les communes de Tchintabaraden et Abalak ont significativement les prévalences les plus élevées tant chez les ovins (22,07% et 40,90%) que chez les caprins (8,69% et 37,21%).Toutefois, il n’y a pas de différence significative entre les prévalences d’infection des ovins et caprins pour chaque commune. Les résultats révèlent que la prévalence est plus élevée chez les mâles que chez les femelles (32,35±11,11 contre 18,49±3,43), mais la différence n’est pas significative. En somme, la mise en place d’une stratégie privilégiant l’approche « One Health » est nécessaire pour une lutte efficace contre la FVR, mais aussi la nécessité d’études entomologiques complémentairesMots clés: Sérologie, c-ELISA, Fièvre de la vallée de Rift, Bovins, Ovins, Caprins. English Title: Rift valley fever seroprevalence in domestic ruminants in Tahoua region/NigerThe epizoo-epidemic outbreak of Rift Valley Fever (RVF) that occurred following a heavy rainfall in the region of Tahoua, along the border of Ingal’s department that hosts every year, the salt cure event has caused considerable human deaths. Considerable economic and health losses were reported in livestock sector. These losses include high mortality in young animals, high abortion rates in pregnant females and decrease productivity in affected farms. To assess the seroprevalence of RVF of ruminants from that region, sera samples collected in February 2017, for the Seromonitoring of vaccination campaigns against Peste des Petits Ruminants (PPR) and Contagious Bovine Peri Pneumonia (CBPP), Supported by the Regional Project for Pastoralism in the Sahel (PRAPS), were tested for antibodies against RVF virus using the competitive ELISA test. The seroprevalence of RVF in the studied species, reveal a high prevalence in cattle (30.62%) and goats (18.40%) followed by sheep (14.90%).Cattle, from Ibohaman and Tassara are significantly affected with a prevalence of 50.00% each (P=0.00224) compared to other districts. Small ruminants from the districts of Tchintabaraden and Abalak have significantly the highest prevalence both in sheep (22.07% and 40.90%) and goats (8.69% and 37.21%). However, there is no significant difference between the prevalence of infection of sheep and goats in each district. Seroprevalence is higher in males than females (32.35±11.11) versus (18.49±3.43), with no significant difference between the two species. Based on the above results, for effective control of RVF it, is necessary to implement a one heath approach in the country couple with additional entomological investigations.Keywords: Serology, c-ELISA, Rift Valley Fever, Cattle, Sheep, Goats.
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Guillaud, M., B. Le Guenno, M. L. Wilson, D. Desoutter, J. P. Gonzalez, and J. P. Digoutte. "Prévalence en anticorps contre le virus de la fièvre de la vallée du rift chez les petits ruminants du Sénégal." Annales de l'Institut Pasteur / Virologie 139 (January 1988): 455–59. http://dx.doi.org/10.1016/s0769-2617(88)80082-0.

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Olaleye, O. D., O. Tomori, J. L. Fajimi, and H. Schmitz. "Infection expérimentale de trois races de moutons nigérians avec la souche Zinga du virus de la fièvre de la Vallée du Rift." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 49, no. 1 (1996): 6–16. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9548.

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Abstract:
L'infection expérimentale de trois races de mouton du Nigéria, les moutons Djallonké, Yankasa et Oudah, provoqua la maladie mortelle causée par la souche Zinga du virus de la fièvre de la Vallée du Rift. Cette infection caractérisée par une hyperactivité, des écoulements nasaux séro-muqueux, une diarrhée sanglante et très liquide, une hémorragie externe et des manifestations cliniques de troubles nerveux. La virémie fut suivie d'un faible taux de développement des anticorps chez tous les moutons infectés. Les transformations hématologiques comportèrent une forte baisse de l'hématocrite, de la concentration d'hémoglobine et du taux des globules rouges pendant l'évolution de la maladie. Les transformations dans les composants biochimiques du sérum comportèrent une forte augmentation progressive du niveau de l'alanine aminotransférase et de l'aspartate aminotransférase. Les taux de sodium baissèrent graduellement, mais ceux de potassium, bien que stables au début, augmentèrent par la suite jusqu'à la mort des animaux infectés. Il y eut une augmentation importante de l'azote uréique à partir du 3ème jour p.i. qui se poursuivit jusqu'à la mort des animaux infectés. L'examen macroscopique et microscopique des carcasses a montré des lésions importantes dans beaucoup d'organes, y compris des coagulations intravasculaires disséminées.
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Dissertations / Theses on the topic "Virus de la fièvre de la Vallée du Rift"

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Chevalier, Véronique. "Fièvre de la vallée du Rift et fièvre West Nile : risques sanitaires liés à l'exploitation des mares temporaires du Ferlo (Sénégal)." Montpellier 1, 2007. http://www.theses.fr/2007MON1T003.

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Abstract:
L'écosystème des mares temporaires du Ferlo situé au nord du Sénégal est favorable à la circulation de zoonoses à transmission vectorielle telles que la fièvre de la vallée du Rift ou la fièvre West Nile. L'objectif de nos travaux était d'objectiver les risques sanitaires engendrés par la fréquentation de ce milieu par les populations humaines et animales ainsi que d'identifier les facteurs de risque environnementaux de leur transmission afin de proposer des mesures de lutte et de surveillance adaptées. La fièvre West Nile et la fièvre du Rift sont enzootiques dans la région de Barkedji (Ferlo). La circulation virale intervient en fin de saison pluvieuse et le risque de transmission est spatiallement hétérogène pour la FVR. Les processus qui permettent l'endémisation - le maintien des virus dans le milieu d'une année sur l'autre - demeurent inconnus. Outre la nécessité de mettre en place un système de surveillance pour la FWN sur le territoire sénégalais et de renforcer le système existant pour la FVR, notre travail a permis de formuler des questions de recherche fondamentales pour la lutte contre ces maladies : quels sont les outils et les méthodes à mettre au point pour pouvoir extrapoler les résulats à d'autres territoires ou à d'autres pathologies? Quel peut être l'apport de la télédétection et de la modélisation dans cette problématique? La prévision des zones et des périodes d'émergence des zoonoses vectorielles et des maladies oiseaux-portés ainsi que les méthodes de lutte à mettre en place font partie des grandes préoccupations sanitaires des prochaines décennies. Les modèles proposés par la FWN et la FVR dans le Ferlo pourraient apporter des éléments de réponse pour faire face au défi que proposent ces pathologies.
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Olive, Marie-Marie. "Mécanismes de transmission du virus de la Fièvre de la Vallée du Rift à Madagascar." Thesis, Montpellier, 2016. http://www.theses.fr/2016MONTT098/document.

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Abstract:
La Fièvre de la Vallée du Rift (VFVR) est une arbovirose zoonotique affectant principalement les ruminants et les humains. Son éco-épidémiologie complexe implique de nombreuses espèces de vecteurs, d'hôtes et de voies de transmission. Ainsi, différents mécanismes de transmission et d'émergence sont impliqués dans la circulation du virus de la FVR (VFVR) et ceux-ci dans des écosystèmes contrastés d'Afrique, de la Péninsule Arabique et des îles du sud-ouest de l'Océan Indien, dont l'île de Madagascar.Par sa superficie, sa grande diversité éco-climatique et sa faune et flore endémique, Madagascar est considérée comme une île continent. On y retrouve, en effet, des écosystèmes variés plus ou moins favorables aux moustiques : semi-arides dans le sud-ouest, humides et froids sur les hautes terres centrales, per-humide dans l'est et humides et chaud dans le nord-ouest. Madagascar a été affectée par deux épidémies de FVR en 1990-91 puis 2008-09. Une étude menée lors de la dernière épidémie a montré que le virus avait largement diffusé dans l'île de façon hétérogène.Compte tenu de la complexité des mécanismes de transmission de la FVR et de la diversité des écosystèmes de Madagascar, nous avons supposé que cette hétérogénéité spatiale était due à des mécanismes de transmission et d'émergence qui variaient en fonction des écosystèmes de l'île. Ainsi, le premier objectif de ce travail de thèse étaient de déterminer les mécanismes et les dynamiques de transmission de la FVR inhérents aux différents écosystèmes de Madagascar. Le second objectif a été d'identifier les mécanismes d'émergence de la FVR à Madagascar et de déterminer s'il sera possible, et nécessaire, de prédire cette émergence à l'échelle des écosystèmes.Dans le cadre de ce travail de thèse deux enquêtes sérologiques nationales, l'une bovine (2008) et l'autre humaine (2011-13) ont, premièrement, été analysées par un modèle linéaire mixte généralisé afin d'identifier les facteurs environnementaux et comportementaux favorables à la circulation du virus chez les bovins et les humains. Deuxièmement, deux enquêtes sérologiques bovines, l'une réalisée en 2008 et l'autre en 2014, ont été analysées pour reconstruire la dynamique de transmission de la FVR dans les différents écosystèmes de l'île. Cette reconstruction a été réalisée à partir de données de séroprévalence et d'âge inclues dans un modèle Bayésien hiérarchique pour estimer la force d'infection annuelle de 1992 à 2014. Enfin, afin de faire le lien biologique avec les résultats des travaux menés à une échelle nationale et de décrire les mécanismes de transmission à une échelle fine, des enquêtes longitudinales entomologiques et sérologiques ont été réalisées entre 2015 et 2016 dans un écosystème à risque. Et ceci, afin de décrire la transmission saisonnière du VFVR chez les ruminants associée à la dynamique de transmission des vecteurs potentiels.Nos résultats ont montré que la région du nord-ouest de l'île est une région à risque de transmission. D'une part, elle est constituée d'environnements associant une forte densité de bovins à des zones humides, inondables et irriguées, favorables aux espèces d'Anopheles et Culex. D'autre part, le VFVR semble avoir circulé de façon relativement intense lors de la période inter-épizootique de 1992 à 2007, puis sa transmission a soudainement augmenté en 2007-2008, ce qui est concomitant avec l'apparition des foyers de FVR en 2008. Pour finir, 6 ans après l'épidémie de FVR à Madagascar, le virus semble toujours circuler à bas bruit dans la région. Cette circulation étant probablement due à une transmission vectorielle favorisée par l'abondance de vecteurs potentiels dans la région.Les résultats de ces différents travaux nous ont permis de présenter des hypothèses de transmission dans les différents écosystèmes de l'île et ainsi de proposer des stratégies de surveillance, de prévention et de lutte contre la FVR adaptées au contexte de Madagascar<br>Rift Valley fever (RVF) is a zoonotic vector-borne disease affecting ruminants and humans. Its complex eco-epidemiology involves several species of vectors, hosts and transmission routes. These particularities allowed the circulation of RVF virus (RVFV) in a variety of ecosystems involving different transmission and emergence mechanisms. Indeed, the RVFV has affected contrasted eco-regions in Africa, Arabian Peninsula and South-West Indian Ocean islands, including Madagascar.Madagascar is considered as a continent island due to its ecological diversity and its endemicity level of the flora and the fauna. In particular, the variation of the Malagasy ecosystems (semi-arid in the south, humid and cold in the highlands, humid and warm in the north-west and per-humid in the east) has an impact in their presence and /or the relative abundance of some mosquito species. Madagascar was heavily affected by RVF in 1990-91 and 2008-2009, with evidence of a large and heterogeneous spread of the disease.Thus considering the diversity of RVF eco-epidemiological cycles and the variety of Malagasy ecosystems, we hypothesized that, in Madagascar, the mechanisms of transmission would be different according to these ecosystems. Therefore, the first objective of this thesis was to understand the mechanisms and the dynamics of transmission of RVFV in the different ecosystems. The second objective was to determine the mechanisms of emergence of RVFV and if it would be necessary and possible to predict the emergence of RVFV outbreaks according to the ecosystems.Firstly, we analyzed both cattle and human serological data performed at the national level using generalized linear mixed models to identify the environmental and behavioral factors associated with RVF transmission in both cattle and human. Secondly, we reconstructed the dynamic of transmission of RVF in the different Malagasy ecosystems. Seroprevalence data of cattle of known age were fitted using Bayesian hierarchical models to estimate the annual force of infection from 1992 to 2014. Thirdly, to understand the biological process link to the mechanisms of transmission at the national scale, we investigated the fine scale mechanisms of transmission of RVFV in pilot area of an at-risk region. We, thus, performed both longitudinal entomological and serological surveys between 2015 and 2016, in order to describe the seasonal transmission of RVFV among ruminants and its association with the dynamics of RVFV potential vectors.Our results showed that the northwestern part of Madagascar is an at-risk region for RVFV transmission. On one hand, it is characterized by high cattle densities associated with humid, floodplain and irrigated areas suitable for RVFV potential vector like Anopheles and Culex species. On the other hand, RVFV had probably circulated intensively in the region during the 1992-2007 inter-epizootic period and its transmission increased suddenly in 2007-08, almost concomitantly with the first outbreaks recorded in 2008. Finally, RVFV was still circulated in the northwestern region at low level, 6 years after the last epidemic. This circulation is likely due to vectorial transmission favoring by the abundance of several potential vectors of RVFV in this pilot region.Finally, our better understanding of the mechanisms of transmission of RVFV throughout Madagascar allowed us to propose hypothesis of transmission in different ecosystems of Madagascar and consequently refine strategies for RVF surveillance and prevention
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Sall, Amadou Alpha. "Diagnostic et epidemiologie moleculaires du virus de la fievre de la vallee du rift : application a l'elucidation du processus d'emergence du virus." Paris 6, 1999. http://www.theses.fr/1999PA066648.

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Abstract:
Pour elucider le processus d'emergence du vfvr, nous avons mis au point des outils permettant d'ameliorer sa detection pendant la phase d'emergence et de mieux comprendre la distribution et les modalites de sa dispersion. Pour ameliorer la detection precoce du virus, un outil de diagnostic par rt-pcr ciblant la region codante de la proteine nss sur le segment s a ete mis au point et valide sur un lot de 297 serums preleves lors de l'epidemie de mauritanie en 1998. Ainsi, nous avons montre que la rt-pcr lorsqu'elle est utilisee en parallele avec la detection des anticorps igm peut etre un outil precieux de diagnostic quasiment equivalent a l'isolement viral qui est le diagnostic de reference. Afin de mieux comprendre comment le virus circule et evolue dans la nature, nous avons analyse la variabilite et la phylogenie moleculaires du vfvr a partir d'un echantillon de souches isolees sur une longue periode a partir d'hotes, d'origines geographiques et de contextes epidemiologiques differents. L'analyse des sequences des trois segments l, m et s du genome viral a permis de montrer que les souches du vfvr peuvent etre regroupees en trois lignees majeures (afrique de l'ouest, afrique centrale-orientale et egypte) correspondant a des variants geographiques et de mieux comprendre leur circulation entre les differentes regions africaines. Ainsi, les discordances de la topologie des arbres phylogenetiques correspondant aux differents segments du genome viral nous a conduit a l'hypothese d'un echange genetique par le reassortiment entre les souches de differentes lignees. Cette hypothese a ete confirmee grace a une analyse statistique et phylogenetique des donnees. L'analyse des reassortants a permis de mettre en evidence des echanges entre les zones endemiques de l'afrique occidentale et centrale-orientale et renforce l'idee de l'existence d'un cycle selvatique du vfvr. De plus, l'existence du reassortiment dans la nature souleve la question de l'utilisation des vaccins attenues en zone endemiques pour la fvr et les risques de reversion vers la virulence. Grace a ces des deux outils, nous avons pu etudier deux epidemies recentes de la fvr au kenya (1997-98) et en mauritanie (1998) et proposer une approche globale pour l'elucidation du processus d'emergence du virus.
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Chrun, Tiphany. "Développement d’un vaccin à ADN optimisé contre le virus de la fièvre de la vallée du Rift chez le mouton." Thesis, Université Paris-Saclay (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018SACLA004/document.

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Abstract:
Transmis par les moustiques, le virus de la fièvre de la vallée du Rift (vFVR) est un virus zoonotique qui affecte principalement les ruminants en Afrique et conduit à des pertes économiques importantes. Il n’existe actuellement pas de traitements et les seuls vaccins disponibles sont à usage vétérinaire. Le développement de nouveaux vaccins plus sûrs contre le vFVR est une priorité de l’OMS en raison du risque d’émergence de cet arbovirus dans d’autres continents. Dans cette étude, nous avons développé une vaccination à ADN optimisée contre le vFVR qui consiste à administrer par voie cutanée un plasmide codant pour l’ectodomaine de la glycoprotéine de surface Gn du vFVR (eGn) en présence d’un plasmide adjuvant codant le GM-CSF et combinée avec une électroporation. De plus, nous avons également optimisé la vaccination à ADN en l’associant à la stratégie de ciblage des cellules dendritiques (DCs) via un plasmide qui code des fragments d’anticorps scFv fusionnés avec l’eGn dirigés contre les récepteurs DEC205 et CD11c exprimés à la surface des DCs. Les vaccins ont été testés chez le mouton, hôte naturel du virus et dans le modèle murin pour étudier les mécanismes de protection. Dans nos deux modèles d’études, l’immunisation par le plasmide codant l’eGn confère une meilleure protection après une épreuve virale ainsi qu’une forte production d’anticorps non neutralisants par rapport au ciblage des DCs. En revanche, le ciblage d’eGn vers des récepteurs de DCs protège partiellement contre une épreuve virale et induit une immunogénicité différente dans les deux espèces. Nous avons confirmé le rôle protecteur de ces anticorps anti-eGn par un transfert passif dans le modèle murin et le mécanisme d’action de ces anticorps protecteurs reste encore à être déterminé. Notre étude montre pour la première fois la protection par un vaccin à ADN contre le vFVR chez le mouton<br>The Rift valley fever virus (RVFV) is a mosquito-borne virus that mainly affect ruminants in Africa, resulting in economic burden. There is currently no treatment and only vaccine for veterinary use against the RVFV are available. The development of new and safer vaccine is urgently needed due to the risk of introduction of this arbovirus to other continents. In the present work, we developed an optimized DNA vaccination against RVFV using a plasmid encoding the ectodomain of surface glycoprotein Gn (eGn) of RVFV into the skin with plasmid adjuvant encoding GM-CSF and electroporation in sheep. We further optimized the DNA vaccination using dendritic cell targeting strategy with a plasmid encoding a single chain fragment variable (scFv) fused with eGn directed to two DC receptors, DEC205 and CD11c. The efficacy of the vaccines were tested in the sheep, the natural host and in the mouse model to investigate the mechanism of protection. In both models non-targeted eGn vaccine confer a better clinical protection and higher non-neutralizing antibody production than DC-targeted vaccine. However, in both models eGn targeting to DEC205 differentially affected the immune response and induced a partial protection after a challenge. We further demonstrated that non-neutralizing antibodies induced by native eGn protect mice by passive transfer. The mechanism mediated by these antibodies remains to be investigated. Overall, this work indicates the proof of concept that DNA vaccine can confer protection against the RVFV in the sheep
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Le, May Nicolas. "Mécanismes de pathogenèse de la protéine non structurale NSs du virus de la Fièvre de la Vallée du Rift." Paris 7, 2005. http://www.theses.fr/2005PA077205.

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Abstract:
Le virus de la fièvre de la Vallée du Rift (RVFV) est un arbovirus appartenant à la famille des Bunyaviridae et au genre Phlebovirus. Il est transmis par les moustiques et infecte l'homme et les ruminants. De graves épidémies/épizooties ont eu lieu en Afrique et le virus circule maintenant en Arabie Saoudite ainsi qu'au Yémen. Le génome viral est composé de trois segments d'ARN simple brin: les segments L. M sont de polarité négative et le segment S utilise une stratégie ambisens. Bien que le cycle viral ait heu dans le cytoplasme, la protéine NSs (256 acides aminés, 31 kDa), codée par le segment S, a une localisation nucléaire où elle forme des filaments. NSs est un facteur de pathogenèse du virus qui inhibe la synthèse des ARNm du gène codant pour l'IFN bêta sans perturber pour autant l'enhanceosome (NF-KB, IRF3 et ATF2/cjun). Pour comprendre les mécanismes par lesquels NSs inhibe la réponse anti-virale, nous avons recherché ses partenaires cellulaires. Nous avons montré que l'infection par le VFVR a pour conséquences : i) une rapide diminution de la synthèse des ARN cellulaires parallèle à la décroissance de la concentration du facteur de transcription TFIIH, ii) l'inhibition du recrutement de CBP et de l'acétylation des histones au niveau du promoteur IFNp et iii) la protéolyse de STAT1. Par les techniques du double hybride, d'immunoprécipitations de protéines ou de la chromatine et en microscopie confocale, nous avons démontré que chacun des événements est lié aux interactions de la protéine NSs avec respectivement - la sous unité p44 du TFIIH, la sous unité SAP30 de certains co-répresseurs dont Sin3 et N-coR et la protéine Socs 1 présente dans une E3 ligase : ces différents partenaires de NSs sont présents dans les filaments nucléaires. NSs en interagissant avec p44 empêche la néo-formation du TFIIH. NSs, via SAP30 et son association avec le facteur de transcription YY1, stabilise des co-répresseurs responsables de la déacétylation des histones et empêche l'interaction entre CBP et YY1 au niveau du promoteur IFNp. Enfin NSs provoque l'accumulation de Socs 1 qui recrute un complexe E3 ligase CBCSo' responsable de la dégradation de STAT1 inhibant l'induction par l'IFNy. Ainsi la protéine multifonctionnelle NSs inhibe par trois mécanismes indépendants la réponse anti-virale de l'hôte<br>The Rift Valley fever virus is a phlebovirus of the Bunyaviridae family transmitted by mosquitoes and affecting cattle, sheep, goats and humans. It causes many dramatic epidémies and epizootics in Africa and recently it was introduced in Yemen and in Saudi Arabia with a high mortality rate. The viral genome is composed of three segments of RNA: the L and M segments are of negative polarity and encode respectively for the RNA polymerase RNA dependent and the precursor of envelope glycoproteins. The S segment utilises an ambisense strategy and codes for the nucleoprotein N and the non structural protein NSs. Although the viral cycle is cytoplasmic, the NSs protein (256 amino acids, 31 kDa) is nuclear and forms filament. Moreover, it was shown that NSs is the major pathogenicity factor, inhibiting IFN beta messenger RNA synthesis but do not disturb the formation of the enhanceosome (NF-KB, IRF3 and ATF2/cjun). We found that infection by RVFV leads to i) a rapid and drastic suppression of host cellular RNA synthesis that parallels a decrease of the TFIIH transcription factor concentration, ii) an inhibition of CBP recruitment and histones acetylation on IFNp promoter and iii) STAT1 proteolysis. Using yeast two hybrid System, immunoprecipitations, Chips and confocal microscopy, we further demonstrated that each event is linked to the association of the nonstructural viral NSs protein with respectively the TFIIH subunit p44, co-repressors subunit SAP30 and Socs 1 in the nuclear filaments. NSs prevents the assembly of newly synthesized TFIIH subunits. NSs, through the interaction between SAP30 and YY1 transcription factor, stabilizes co-repressors like N-coR or Sin3 responsible of histones deacetylation on IFNp promoter and preventing the association between CBP and YY1. Finally NSs provokes Socs 1 accumulation and, through a Socs 1 containing-E3 ligase complex, it degrades STAT1 and inhibes induction by IFNy. These observations shed light on the mechanisms utilized by RVFV to evade the host response
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Gommet, Céline. "Etude de l'infection expérimentale de la Souris par des virus de la Fièvre de la Vallée du Rift recombinants." Paris 6, 2011. http://www.theses.fr/2011PA066306.

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Abstract:
Le virus de la fièvre de la vallée du Rift (VFVR) est un arbovirus infectant aussi bien l’Homme que les animaux. Pour identifier le tropisme tissulaire du VFVR et ses cellules cibles, nous avons infecté des souris Ifnar1-/- avec des virus recombinants. Nous avons visualisé l’infection d’organes cibles connus mais aussi d’autres organes comme le pancréas. Les analyses histologiques ont révélé que les macrophages infiltrant les tissus, comme ceux présents autour du pancréas, sont infectés. Nous avons alors étudié les cellules hématopoïétiques et confirmé l’infection des macrophages, cellules dendritiques et granulocytes. Pour déterminer l’importance de l’infection de ces cellules, nous avons induit la déplétion des cellules phagocytaires chez des souris Ifnar1-/- avant de les infecter. Cela a affecté la diffusion et/ou le confinement de l’infection virale. Nos résultats confirment l’importance des monocytes/macrophages et des cellules dendritiques au cours de l’infection par le VFVR
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Zakhia, Renée. "Epidemiology of West Nile Virus in Lebanon." Thesis, Paris 6, 2017. http://www.theses.fr/2017PA066466/document.

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Abstract:
Le Virus du Nil Occidental (VNO) et le Virus de la Fièvre de la Vallée du Rift (VFVR) sont deux arbovirus transmis par le moustique Culex pipiens comprenant deux biotypes: pipiens et molestus. Au cours de ce projet, nous avons évalué la circulation du VNO au Liban dans des populations de moustiques, des humains, des chevaux et des poulets. Nous avons aussi évalué la compétence vectorielle des populations locales de Cx. pipiens à transmettre le VNO et le VFVR.Des moustiques ont été récoltés et testés pour la présence d’un gène spécifique du VNO. En plus, des sérums humains, de chevaux et de poulets ont été analysés pour rechercher des anticorps spécifiques par ELISA puis confirmés par neutralisation. En outre, des spécimens de Cx. pipiens ont été infectés avec la lignée 1 du VNO ou la souche de VFVR Clone 13. Ensuite, les taux d’infection, de dissémination et de transmission ont été déterminés à différents jours après infection des moustiques. La compétence vectorielle a été comparée entre les différents biotypes.Les résultats entomologiques ont révélé que Cx. pipiens est dominant (87.2%). Tous les moustiques analysés étaient négatifs pour le VNO. Les taux de séroprévalence étaient de 1.01% et 1.98% parmi les humains et les chevaux respectivement. De plus, Cx. pipiens s’est révélé bien plus compétent pour transmettre le VNO que le VFVR. Le biotype molestus est capable de transmettre le VNO plus tôt que celui de pipiens. Cette étude présente des preuves sur une faible circulation du VNO au Liban. Cx. pipiens s’est révélé compétent pour assurer cette transmission. Ainsi, il est essentiel d'établir des programmes de surveillance pour prévenir les éventuelles épidémies<br>West Nile virus (WNV) and Rift Valley Fever virus (RVFV) are two emerging arboviruses that have never been reported in Lebanon. They can be transmitted by Culex pipiens mosquito species including two biotypes: pipiens and molestus. During this project, we assessed the circulation of WNV among mosquitoes, human, horse and chicken populations in Lebanon. Moreover, we evaluated, under experimental conditions, the capacity of local Cx. pipiens biotypes to transmit both viruses.Adult mosquitoes were collected, identified and tested to detect WNV RNA. Besides, human, horse and chicken blood samples were collected and screened for WNV antibodies using an in-house ELISA and then confirmed by neutralization assay. Moreover, local Cx. pipiens specimens were experimentally infected with WNV lineage 1 or RVFV Clone 13 strain. The viral infection, dissemination and transmission were then estimated at different days post infection.The vector competence was compared between Cx. pipiens biotypes.Entomological results revealed that 87.2% of collected adult mosquitoes were Cx. pipiens. Screened mosquitoes were negative for WNV. Seroprevalence rates were 1.01% and 1.98% among humans and horses respectively. Besides, local Cx. pipiens were highly competent for WNV transmission and to a lesser extent to RVFV. The molestus biotype was able to transmit WNV earlier than pipiens biotype.The present study provides new evidence of a low circulation of WNV among human and horses in Lebanon. Cx. pipiens is the suspected vector and is experimentally competent to ensure transmission. Therefore, there is a need to establish surveillance program to predict and prevent potential outbreaks
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Zakhia, Renée. "Epidemiology of West Nile Virus in Lebanon." Electronic Thesis or Diss., Paris 6, 2017. https://accesdistant.sorbonne-universite.fr/login?url=https://theses-intra.sorbonne-universite.fr/2017PA066466.pdf.

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Abstract:
Le Virus du Nil Occidental (VNO) et le Virus de la Fièvre de la Vallée du Rift (VFVR) sont deux arbovirus transmis par le moustique Culex pipiens comprenant deux biotypes: pipiens et molestus. Au cours de ce projet, nous avons évalué la circulation du VNO au Liban dans des populations de moustiques, des humains, des chevaux et des poulets. Nous avons aussi évalué la compétence vectorielle des populations locales de Cx. pipiens à transmettre le VNO et le VFVR.Des moustiques ont été récoltés et testés pour la présence d’un gène spécifique du VNO. En plus, des sérums humains, de chevaux et de poulets ont été analysés pour rechercher des anticorps spécifiques par ELISA puis confirmés par neutralisation. En outre, des spécimens de Cx. pipiens ont été infectés avec la lignée 1 du VNO ou la souche de VFVR Clone 13. Ensuite, les taux d’infection, de dissémination et de transmission ont été déterminés à différents jours après infection des moustiques. La compétence vectorielle a été comparée entre les différents biotypes.Les résultats entomologiques ont révélé que Cx. pipiens est dominant (87.2%). Tous les moustiques analysés étaient négatifs pour le VNO. Les taux de séroprévalence étaient de 1.01% et 1.98% parmi les humains et les chevaux respectivement. De plus, Cx. pipiens s’est révélé bien plus compétent pour transmettre le VNO que le VFVR. Le biotype molestus est capable de transmettre le VNO plus tôt que celui de pipiens. Cette étude présente des preuves sur une faible circulation du VNO au Liban. Cx. pipiens s’est révélé compétent pour assurer cette transmission. Ainsi, il est essentiel d'établir des programmes de surveillance pour prévenir les éventuelles épidémies<br>West Nile virus (WNV) and Rift Valley Fever virus (RVFV) are two emerging arboviruses that have never been reported in Lebanon. They can be transmitted by Culex pipiens mosquito species including two biotypes: pipiens and molestus. During this project, we assessed the circulation of WNV among mosquitoes, human, horse and chicken populations in Lebanon. Moreover, we evaluated, under experimental conditions, the capacity of local Cx. pipiens biotypes to transmit both viruses.Adult mosquitoes were collected, identified and tested to detect WNV RNA. Besides, human, horse and chicken blood samples were collected and screened for WNV antibodies using an in-house ELISA and then confirmed by neutralization assay. Moreover, local Cx. pipiens specimens were experimentally infected with WNV lineage 1 or RVFV Clone 13 strain. The viral infection, dissemination and transmission were then estimated at different days post infection.The vector competence was compared between Cx. pipiens biotypes.Entomological results revealed that 87.2% of collected adult mosquitoes were Cx. pipiens. Screened mosquitoes were negative for WNV. Seroprevalence rates were 1.01% and 1.98% among humans and horses respectively. Besides, local Cx. pipiens were highly competent for WNV transmission and to a lesser extent to RVFV. The molestus biotype was able to transmit WNV earlier than pipiens biotype.The present study provides new evidence of a low circulation of WNV among human and horses in Lebanon. Cx. pipiens is the suspected vector and is experimentally competent to ensure transmission. Therefore, there is a need to establish surveillance program to predict and prevent potential outbreaks
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Lara, Estelle. "Etude de la terminaison de la transcription des ARNm issus de segment S ambisens du virus de la fièvre de la Vallée du Rift." Paris 7, 2010. http://www.theses.fr/2010PA077017.

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Abstract:
Le virus de la fièvre de la vallée du Rift appartient à la famille des Bunyaviridae et est le prototype du genre Phlebovirus. C'est un arbovirus, transmis à l'homme et au bétail par des moustiques, est à l'origine de nombreuses épizooties/épidémies. Le génome à ARN monocaténaire est fragmenté en trois segments : Large (L), Médium (M) et Small (S). Les segments L et M sont de polarité négative alors que le segment S adopte une stratégie de codage ambisens. La région 5' du brin génomique contient l'ORF de la protéine Non Structurale S (NSs) tandis que la région 5' du brin antigénomique comprend l'ORF de la Nucléoprotéine (N). Les deux ORFs sont séparées par une région intergénique de 82 nucléotides riche en nucléotides C (dans le sens génomique). La polymérase virale initie la transcription des ARNm par le mécanisme de capture de coiffe. Les ARNm viraux ainsi produits sont tous subgénomiques et ne sont pas polyadénylés à leur extrémité 3'. Ainsi, la transcriptase reconnait des signaux de terminaison de la transcription et arrête la synthèse des ARNm avant d'atteindre l'extrémité 5 de chaque matrice. Ces travaux identifient le site de terminaison des ARNm N et NSs respectivement au sein de l'IGR du segment S. Ils mettent aussi en évidence le rôle du motif 5'-GCUGC-3' qui doit être précédé d'une séquence riche en nucléotides C (ou G) dans la terminaison de la transcription des ARNm N et NSs. Il s'avère que, dans'cette séquence, le nombre et certaines positions des nucléotides C (ou G) sont essentiels pour que la polymérase reconnaisse le motif 5'-GCUGC-3 ' comme un signal de terminaison de la transcription<br>The Rift Valley Fever Virus (RVFV) belongs to the Bunyaviridae family and is the prototype of the genus Phlebovirus. RVFV is an arbovirus transmitted by mosquitoes to humans and livestock that causes dramatic epidemies and epizootics. The RVFV genome comprises two segments of negative-sens RNA, designated Large (L), Medium (M) and, as a special feature for Phlebovirus es, the S segment has an ambisense polarity. The genome S serves as a template for N gene transcription. The antigenome S serves as a template for NSs gene transcription. A C-rich intergenic région (IGR) separates the two ORFs. The polymérase initiates transcription by the cap snatching mechanism. All of the viral mRNAs are subgenomic molecules and do not possess 3' poly(A) tails. This means that the transcriptase recognises termination signals and stops the transcription before the 5' end of each viral template. The present study determined the 3 ' termini of the N and NSs mRNAs in the IGR of the S segment. It also suggested the importance of the pentanucleotide séquence 5'-GCUGC-3' which must be associated to a rich C or G sequence for the N and NSs transcription terminations. The number and the positions of the nucleotides C (or G) are essential in this sequence for the pentanucleotide recognition like a transcription termination signal
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Léger, Psylvia. "Etude comparée de l'infection de cellules de l'hôte mammifère et de cellules du vecteur moustique par le virus de la Fièvre de la Vallée du Rift." Paris 7, 2009. http://www.theses.fr/2009PA077073.

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Abstract:
Le Virus de la Fièvre de la Vallée du Rift (VFVR) est un virus appartenant à la famille des Bunyaviridae et au genre Phlebovinis. Cet arbovirus, transmis par les moustiques, infecte l'homme et les ruminants et est à l'origine de nombreuses épidémies/épizooties. Le segment S utilise une stratégie ambisens afin de coder la nucléoprotéine N ainsi que la protéine non structurale NSs. Bien que le cycle viral soit exclusivement cytoplasmique, NSs forme des filaments nucléaires. Cette protéine est à l'origine d'au moins deux mécanismes délétères lors de l'infection de cellules de mammifère. En interagissant avec la sous-unité p44 du facteur général de transcription TFIIH, NSs induit progressivement l'inhibition de la transcription générale. De plus, nos résultats mettent en évidence la fonction d'antagoniste de l'interféron P (IFN(3) de cette protéine. Cette dernière interagit avec les protéines cellulaires SAP30, appartenant aux co-répresseurs, et le facteur de transcription YY1. Ces interactions sont à l'origine de l'inhibition de l'expression de l'IFNp. Contrairement à ce qui est observé chez le mammifère, l'infection de cellules de moustique semble asymptomatique. Afin de déterminer les événements moléculaires à l'origine de ce contraste frappant, nous avons étudié l'infection de cellules de moustique et montré la conservation des interactions entre NSs et les orthologues de p44 et de SAP30 dans ces cellules. Dans les cellules d'arthropode, le mécanisme d'inhibition transcriptionnelle est semblable à celui observé dans les cellules murines. Toutefois, la protéine NSs est progressivement éliminée, ce qui entraîne la levée de l'inhibition délétère<br>The Rift Valley Fever Virus (RVFV) is an arbovirus transmitted by mosquitoes to humans and livestock that causes dramatic epidemies and epizootics. As a member of the Phlebovirus genus of the Bunyaviridae family, the short segment (S) of its genome has an ambisens coding strategy for the nucleoprotein N and the non structural protein NSs. The later present an unusual localization to the nucleus, where it forms filamentous structures in mammalian cells. Through the interaction with several cellular factors, the NSs protein can be considered as a virulent factor. Interaction of NSs with p44, a subunit of the general transcription factor TFIIH, induces a progressive inhibition of the cellular RNA synthesis. NSs is also responsible of a specific inhibition of the interferon (3 (IFN(3) pathway when interacting with SAP30 and the transcription factor YY1, both required for the cell antiviral response. Contrary to mammals, the infection of mosquito cells by the RVFV remains asymptomatic. As the filamentous structure in the nucleus vanishes early after infection of mosquito cells, we analyzed the interaction of the NSs protein with the mosquito orthologs of the p44 and SAP30. A transient shutoff of the transcription is associated when NSs is present in the nucleus of mosquito cells, whereas the cleafance of NSs correlates with RNA synthesis restoration. These findings highlight the role of the NSs protein for differential pathogenesis observed between arthropod and mammal
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Book chapters on the topic "Virus de la fièvre de la Vallée du Rift"

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Fleury, H. J. A. "Le virus de la fièvre de la vallée du Rift (RVFV)." In Virus émergents et Ré-émergents. Elsevier, 2023. http://dx.doi.org/10.1016/b978-2-294-78221-3.00024-0.

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"Fièvre de la vallée du Rift." In La lutte antivectorielle en France. IRD Éditions, 2009. http://dx.doi.org/10.4000/books.irdeditions.1317.

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