Academic literature on the topic 'Zones de végétation arbustive'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Zones de végétation arbustive.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Journal articles on the topic "Zones de végétation arbustive"

1

Ajbilou, Redouan, Teodoro Marañón, Juan Arroyo, and Mohammed Ater. "Structure et diversité de la strate arbustive des forêts de la Péninsule Tingitane (Maroc)." Acta Botanica Malacitana 32 (December 1, 2007): 147–60. http://dx.doi.org/10.24310/abm.v32i0.7034.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ. Structure et diversité de la strate arbustive des forêts de la Péninsule Tingitane (Maroc). Cette étude concerne les communautés végétales arbustives des massifs forestiers sur substrat gréseux couvrant la Péninsule Tingitane au nord ouest du Maroc. La structure et la diversité de ces communautés ont été étudiées sur la base de 98 relevés représentatifs. Les subéraies (Quercus suber) sont les formations forestières naturelles les plus représentatives et les plus diversifiées de l´aire d´étude. L´altitude s’est révélée être un facteur écologique très discriminant, en séparant clairement les communautés arbustives des forêts des hautes montagnes. Au niveau des zones de basses altitudes, la fertilité, l´acidité et la perturbation anthropique jouent un rôle déterminant dans la distribution des communautés végétales arbustives. Cette distribution semble exprimer la dynamique de la végétation selon un gradient de conservation-perturbation. En conclusion, l´étude souligne l´intérêt remarquable que présentent les forêts du nord du Maroc, du point de vue de leurs significations écologiques, biogéographiques et évolutives.Mots clés. Péninsule tingitane, diversité, écologie, strate arbustive, substrat gréseux.RESUMEN. Estructura y diversidad del estrato arbustivo de bosques de la Península Tingitana (Marruecos). Se estudian las comunidades arbustivas de los bosques que se presentan sobre la formación de arenisca de la Península Tingitana en el noroeste de Marruecos. Se analiza la estructura y diversidad de estas comunidades en base a 98 muestras representativas. Los alcornocales (Quercussuber) son las formaciones forestales más representativas y más diversificadas en el área de estudio. La altitud es el principal factor ecológico, separando nítidamente las comunidades arbustivas de los bosques de zonas altas, según el análisis de correspondencia canónica (CCA). Por otro lado, en los bosques de zonas bajas, la distribución de las comunidades arbustivas viene determinada por el grado de fertilidad y acidez del suelo, y por la perturbación antrópica. Esta distribución parece reflejar la dinámica de la vegetación según un gradiente de conservación – perturbación. Por último, el estudio Cellellama la atención sobre el gran interés que presentan los bosques del norte de Marruecos, desde el punto de vista ecológico, biogeográfico y evolutivo.Palabras clave. Península Tingitana, diversidad, ecología, estrato arbustivo, areniscas.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Comtois, Paul, and Serge Payette. "Le développement spatial et floristique des populations clonales de peupliers baumier (Populus balsamifera L.) au Nouveau-Québec." Géographie physique et Quaternaire 41, no. 1 (December 18, 2007): 65–78. http://dx.doi.org/10.7202/032665ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ Les paramètres de l'évolution spatiale des populations donates de peupliers baumier, notamment la superficie totale, la diversité floristique, la forme et le profil des peupleraies sont surtout le reflet du milieu colonisé. Par contre, la distribution spatiale, la croissance et la densité des individus, de même que la forme des clones sont des caractéristiques de l'espèce et dépendent de l'âge de la formation. L'un des aspects les plus constants de la structure des formations est leur développement sous forme de zones concentriques d'expansion. La différence médiane entre l'âge de ces zones correspond à l'âge optimal de maturité à la reproduction végétative. La constitution d'une nouvelle zone peut par contre être retardée, son expression pouvant être influencée par les conditions climatiques. L'expansion du peuplier, se faisant par vagues à des âges différents, conduit à l'établissement d'une zonation dans la végétation de sous-bois. Comme la diversité floristique, la zonation actuelle de la végétation est fonction de l'origine des formations. À l'exception des plages où Alnus crispa forme le stade le plus avancé, Viburnum edule est l'espèce qui domine le sous-bois des peupleraies, avant l'établissement des conifères, et Juniperus communis est Ie taxon le plus fréquent du stade intermédiaire. Les successions secondaires, ou celles qui s'établissent en sous-zone arbustive de la toundra forestière, débutent par une phase à Salix sp. L'influence du peuplier baumier (Populus balsamifera) sur le développement de l'humus est notable et semble déterminante au cours des premières décennies après son établissement. Par la suite, la présence locale d'espèces arbustives semble plus importante dans révolution future de l'humus.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Labelle, Claude, and Pierre J. H. Richard. "Végétation tardiglaciaire et postglaciaire au sud-est du parc des Laurentides, Québec." Géographie physique et Quaternaire 35, no. 3 (February 2, 2011): 345–59. http://dx.doi.org/10.7202/1000544ar.

Full text
Abstract:
L’analyse pollinique des sédiments de trois lacs situés au sud-est du parc des Laurentides a permis de retracer les étapes de la recolonisation végétale post-wisconsinienne. Celle-ci s’est effectuée selon un schéma assez constant à travers le secteur à l’étude. Au début, la végétation était très ouverte, mais tout de même relativement riche en taxons herbacés et arbustifs. Cette phase initiale de végétation (sous-zone la) fut suivie, après une période de transition (sous-zone 1b), par une végétation luxuriante de type toundra (sous-zone 1c). Celle-ci fut à son tour remplacée par une végétation de type toundra arbustive (sous-zone 1d) où l’on voit s’accroître l’importance de Betula glandulosa et d’autres éléments arbustifs. Avec un certain métachronisme entre les sites, l’afforestation s’est amorcée par l’installation du Populus cf. tremuloïdes (sous-zone 2a) et s’est poursuivie par l’arrivée de Picea mariana (fin de la sous-zone 2a) puis, par celle d’une série d’arbres tels Betula papyrifera, Pinus cf. divaricata, Abies balsamea, Picea glauca et Larix laricina (sous-zone 2b). Pendant cette dernière phase de l’afforestation, l’abondance du pollen d’Alnus cf. crispa dans les spectres est maximale. Il semble qu’au moins mille ans se soient écoulés avant l’arrivée des arbres autres que le Populus cf. tremuloïdes. Par la suite, l’histoire de la végétation forestière (zone 3) a été plutôt monotone. Bien que les diagrammes révèlent des périodes de plus grande abondance de certains taxons (Pinus strobus, Picea mariana, Pinus et. divaricata), la majorité des arbres, présents actuellement dans la région, ont migré très tôt à l’Holocène.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

McAndrews, John H., and Gilles Samson. "Analyse pollinique et implications archéologiques et géomorphologiques, lac de la Hutte Sauvage (Mushuau Nipi), Nouveau-Québec." Archéologie et paléoécologie 31, no. 1-2 (December 9, 2010): 177–83. http://dx.doi.org/10.7202/1000063ar.

Full text
Abstract:
Deux carottes polliniques ont été prélevées dans la section nord du lac de la Hutte Sauvage. L’analyse pollinique révèle l’histoire de la végétation en quatre phases remontant à 4100 ans AA : 1 ) toundra herbeuse (4700 à 4100 ans AA); 2) toundra arbustive (4100 à 3700 ans AA); 3) toundra forestière riche (3700 à 2500 ans AA); 4) toundra forestière actuelle (2500 ans AA). Le calcul de l’influx pollinique indique que la phase de toundra arbustive fut assez riche. L’invasion des espèces arborescentes a débuté vers 4000 ans AA, tandis que le climax forestier a été atteint vers 3000 ans AA. A partir de 2700 ans AA, la végétation s’est appauvrie et vers 2500 ans AA, la limite des arbres s’est abaissée; les zones de taïga sont devenues moins denses. Les données polliniques permettent d’abord de reconstituer le cadre écologique dans lequel ont évolué les premières populations préhistoriques du Mushuau Nipi. Nous croyons que certains changements écologiques ont eu un effet direct sur l’écosystème. Les datations au 14C des carottes polliniques (4100 ans AA et 3700 ans AA) soulèvent certains problèmes concernant la chronologie de la déglaciation et de la fin du lac proglaciaire Naskaupi. Le système de basses terrasses du Mushuau Nipi (0-35 m au-dessus du niveau lacustre) sur lequel se trouvent tous les sites archéologiques découvert jusqu’ici s'est formé à partir de 4000 ans AA.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Ritchie, James C. "Comparaison entre la végétation du Mackenzie et du Nord québécois à l’Holocène." Géographie physique et Quaternaire 41, no. 1 (December 18, 2007): 153–60. http://dx.doi.org/10.7202/032672ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉLe Québec-Labrador et la région de la vallée inférieure du Mackenzie ont en commun quelques traits phytogéographiques, mais leur histoire végétale postglaciaire est largement différente. Les caractéristiques structurales et floristiques de la toundra arbustive, de la toundra forestière et de la taïga se ressemblent fortement. On trouve aussi des clones disjoints et isolés de Populus balsamifera dans les deux régions. Les bioclimats sont différents sous quelques rapports, notamment les précipitations annuelles, les caractéristiques de la couverture de neige, le régime annuel des températures et la saison de croissance. Toutefois, le déroulement et la chronologie de la déglaciation ont été les facteurs qui ont déterminé les différences les plus importantes entre les deux régions en ce qui a trait à l'histoire de la végétation. La région occidentale, libérée des glaces vers 15 000 BP, a été dominé par une toundra herbeuse pendant les deux millénaires qui ont suivi. Vers 13 000-12 000 BP, les toundras arbustives (Betula glandulosa, Ericales, Salix) se sont étendues, puis les forêts de Populus, d'abord, et de Picea, ensuite, se sont succédé de 10 000 à 9000 BP. Au début de l'Holocène, la moyenne de rayonnement solaire estival a atteint son maximum et la limite septentrionale de la zone forestière s'est déplacée au nord. Par la suite, vers 6000-4000 BP, l'aulne (Alnus) s'est établi et la pessière a laissé place à une toundra arbustive, et ce, jusqu'à nos jours. Par contre, la partie centrale du Nouveau-Québec est demeurée englacée jusque vers 6500 BP et la colonisation initiale a été remplacée par les arbres (Picea, Larix) et les arbustes (Alnus). Les différences entre les deux régions s'expliquent par l'âge de la déglaciation, l'influence de la calotte résiduelle sur le climat, la proximité du stock floristique disponible et les voies de migration des plantes.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Richard, Pierre. "Histoire tardiglaciaire et postglaciaire de la végétation au mont Shefford, Québec." Géographie physique et Quaternaire 32, no. 1 (January 17, 2011): 81–93. http://dx.doi.org/10.7202/1000290ar.

Full text
Abstract:
L’analyse pollinique d’une cuvette tourbeuse au mont Shefford, Québec, révèle une première phase lacustre de 11400 à 4 200 ans environ avant l’actuel. Le site fut par la suite occupé par une tourbière à Ericacées et Myrique baumier (Myrica gale), puis par une aulnaie à Alnus rugosa et enfin, par une forêt dominée par l'érable rouge (Acer rubrum). La végétation régionale, après la déglaciation, fut d’abord représentée par un désert de type périglaciaire 11400 ans avant l’actuel (AA), puis par une toundra herbacée d'abord, arbustive ensuite, de 11 400 à 11 100 ans AA. L’afforestation s’est effectuée par des peuplements ouverts d’épinette (Picea mariana) et de peuplier faux-tremble (Populus tremuloides), donnant lieu à une pessière ouverte jusque vers 10 100 ans AA. Le domaine de la sapinière à bouleau blanc peut être proposé pour la végétation couvrant la période de 10 100 à 7500 ans AA, après quoi le domaine de l’érablière à tilleul s’est constitué et a dominé jusqu’à nos jours. Le diagramme du mont Shefford est proposé comme diagramme standard en raison du caractère particulièrement complet des séquences polliniques, les plus anciennes étant contemporaines de l’épisode de Saint-Narcisse (moraine frontale). Des aspects méthodologiques portant sur l’interprétation en termes de végétation sont discutés, et les principales zones d’assemblage pollinique du Québec méridional central sont présentées.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

GNOUMOU, Assan, and Aoupoaoune Basile ADOUABOU. "Étude de la dynamique spatio-temporelle de la réserve de la Comoé-Léraba et de ses terroirs environnants (Burkina Faso, Afrique de l’Ouest." Journal of Applied Biosciences 157 (January 31, 2021): 16213–22. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.157.7.

Full text
Abstract:
Objectif : L’emprise de l’Homme sur la végétation s’est traduite au cours de ces dernières décennies par une augmentation des superficies emblavées. Cette étude vise à analyser la dynamique spatio-temporelle de la végétation de la réserve de la Comoé-Léraba et ses terroirs sur une période de 20 ans. Méthodologie et résultats : Deux types d’images Landsat TM, ETM+ pour les périodes de 1990 et 2000 et ASTER 2009 ; prises toutes au mois de novembre ont été nécessaires pour cette étude diachronique. Le logiciel GEOMATICA 9.2 de PCI a été utilisé pour le traitement des images. Ainsi, l’analyse diachronique de la végétation à l’intérieur de l’aire protégée sur les 20 ans témoigne d’une reconstitution du couvert végétale, avec une perte importante des savanes arbustives, des zones de culture et des zones nues (15,93 %). Cependant, hors de l’aire protégée, la synthèse montre une augmentation importante des zones de cultures (14,27%) au détriment des forêts claires, des savanes boisées et arbustives avec une réduction de leurs superficies (15,37%). Conclusion et applications des résultats : L’analyse de la dynamique de la végétation dans la réserve ComoéLéraba et dans ses terroirs, révèle que la pression anthropique menace sa végétation. En effet, cette étude a permis de mettre en évidence que dans les terroirs sous influence humaine, les superficies des formations végétales se réduisent lamentablement au profit des zones de cultures. A l’opposé, les hameaux de cultures abandonnés se sont véritablement reconstitués en savanes arbustives à l’intérieur de l’aire protégée. Même si de nouvelles taches de zones de culture ont commencé à apparaître dans la zone dite tampon, soit par empiètement sur les limites officielles, nous pouvons affirmer que la gestion participative a eu un effet positif dans la dynamique d’évolution des formations végétales dans la réserve de la Comoé-Léraba. Juste qu’à présent cette carte d’occupation des terres éditée de 2009 constitue la plus récente de la réserve. Mot clés : télédétection, aire protégée, conservation, cartographie, végétation. Gnoumou et Adouabou, J. Appl. Biosci. 2021 Étude de la dynamique spatio-temporelle de la réserve de la ComoéLéraba et de ses terroirs environnants (Burkina Faso, Afrique de l’Ouest) 16214 ABSTRACT Spatial and temporal dynamics of the vegetation of Comoé-Léraba reserve and its surrounding lands (Burkina Faso, West Africa) Objectives: Over the last few decades, Human pressure on vegetation has resulted in an increase number of dispersed deforested area. This study aims to analyse the spatio-temporal dynamics of the vegetation in the Comoé-Léraba Reserve and its surrounding areas over a period of 20 years. Methodology and Results: Two types of Landsat TM images, for the periods 1990 and 2000 and ASTER 2009; all taken in November were required for this study. PCI's GEOMATICA 9.2 software was used for image processing. Thus, the diachronic analysis of vegetation within the protected area over 20 years shows a reconstitution of the vegetation cover, with a significant loss of shrubby savannahs, cultivated areas and bare areas (15.93%). However, outside the protected area for the same period, the synthesis shows a significant increase in cultivated areas (14.27%) to the detriment of open forests, wooded and shrubby savannahs with a reduction in their surface area (15.37%). Conclusions and application of findings: The analysis of the dynamics of land use in the Comoé-Léraba Reserve and its surrounding area indicates that anthropic pressure threatens its vegetation. In fact, this study has shown that in areas under human influence, the surface area of plant communities is being reduced dramatically in favour of cultivated areas. On the other hand, the hamlets of abandoned crops have truly reconstituted themselves into shrubby savannahs within the protected area. Even if new patches of cultivated areas have begun to appear in the so-called buffer zone, either through encroachment on the official boundaries, we can affirm that participatory management has had a positive effect in the dynamics of the evolution of plant formations in the Comoé-Léraba Reserve. Up to now, this land use map published in 2009 is the most recent land use map for the reserve. Key words: remote sensing protected area, conservation, mapping, vegetation
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Boillat, S., C. A. Burga, A. Gigon, and N. Backhaus. "La succession végétale sur les cultures en terrasses de la Vallée de la Roya (Alpes-Maritimes, France) et sa perception par la population locale." Geographica Helvetica 59, no. 2 (June 30, 2004): 154–67. http://dx.doi.org/10.5194/gh-59-154-2004.

Full text
Abstract:
Abstract. La présente étude met en relation l'état écologique des cultures en terrasses de la moyenne Vallée de la Roya avec les valeurs socioculturelles qui y sont liées. Quatorze types de végétation ont été identifiés et ordonnés dans un modèle de succession. Les terrasses encore entretenues sont des oliveraies ou des prairies sèches. A l'arrêt de la fauche, une prairie è Brachypodium pinnatum s'installe, suivie par un stade arbustif qui évolue ensuite en forêt. Les proportions de surface des differénts types de végétation montrent que les zones plus peuplées et mieux accessibles possèdent la plus grande surface de terrasses entretenues. Un sondage parmi 21 habitants a permis de cerner leur prise de position face à l'abandon des terres. ainsi que leur vision d'avenir pour la vallée. Le spectre des opinions va de celle des néo-ruraux. qui consideèrent le renouveau de l'agriculture traditionnelle comme un moteur de développement, à celle de villageois autochtones qui voient dans le développement de l'industrie et du tourisme les seules perspectives réalistes d'avenir. A partir de ces résultats, quatre scénarios sur l'avenir de la vallée et ses conséquences sur l'entretien des terrasses ont été élaborés et discutés.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Tamine, Michel. "Quelques toponymes issus de la petite végétation arbustive en Champagne- Ardenne." Nouvelle revue d'onomastique 57, no. 1 (2015): 209–22. http://dx.doi.org/10.3406/onoma.2015.1836.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Wattez, Jean-Roger, Annie Wattez-Franger, Guillaume Decocq, and Annick Delelis. "La végétation arbustive bocagère dans le nord de la Loire-Atlantique." Acta Botanica Gallica 148, no. 3 (January 2001): 269. http://dx.doi.org/10.1080/12538078.2001.10515905.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
More sources

Dissertations / Theses on the topic "Zones de végétation arbustive"

1

Belke, Brea Maria. "The influence of shrub expansion on albedo and the winter radiation budget in the Canadian Low Arctic." Doctoral thesis, Université Laval, 2020. http://hdl.handle.net/20.500.11794/67512.

Full text
Abstract:
Au cours des dernières décennies, le réchauffement climatique a entrainé une arbustation accélérée des écosystèmes arctiques. En modifiant l’albédo, les arbustes influencent la température de l’atmosphère, du manteau neigeux et du pergélisol, ce qui pourrait accélérer la fonte ou le dégel de ces deux derniers et initier de fortes boucles de rétroaction positive qui accentueraient les effets des changements climatiques. L’une des conséquences principales de cette arbustation est la réduction de l’albédo de la neige par les branches qui dépassent du manteau neigeux et en assombrissent la surface. De plus, des interactions complexes entre neige et arbustes d’une part modulent la remobilisation et le transport de la neige par le vent et d’autre part accélèrent la fonte durant les redoux. Ainsi, la présence d’arbustes au sein du manteau neigeux peut affecter les propriétés physiques et optiques de la neige, altérant encore davantage l’albédo de la surface affectée. Enfin, les branches ensevelies dans la neige peuvent également influencer le budget radiatif en absorbant les rayons lumineux car ceux-ci pénètrent généralement à plus de 10 cm de profondeur dans le manteau neigeux. Pour étudier et quantifier les interactions entre la neige, les arbustes et la lumière, nous avons récolté un jeu de données unique qui compare des manteaux neigeux avec et sans arbustes. Pour tous les sites échantillonnés, nous avons mesuré l’albédo spectral in situ et les profils de propriétés physiques de la neige ainsi que d’irradiance. Nous avons récolté ces données dans le bas Arctique, à Umiujaq, Nord du Québec, Canada (56° N, 76° W), au cours de plusieurs campagnes de terrain d’automne et d’hiver. En nous basant sur les données obtenues ainsi que des données de taille et de distribution verticale de branches d’arbustes, nous avons développé et validé une paramétrisation simple mais efficace permettant de modéliser l’albédo de surfaces hétérogènes composées de neige et d’arbustes. Cette nouvelle paramétrisation nous a permis de modéliser l’albédo avec une erreur inférieure à 3 %. Elle peut être utilisée de manière prédictive et est facile à intégrer aux modèles de système terre. L’albédo ainsi modélisé nous a permis d’élucider des processus importants des interactions entre la neige, les arbustes et la lumière. Nous avons trouvé que la réduction de l’albédo par les branches qui dépassent du manteau neigeux dépend de la longueur d’ondes considérée. Tôt durant la saison nivale, les branches diminuent l’albedo de 55 % à 500 nm et 18 % à 1000 nm. En revanche, l’effet des branches sur les propriétés physiques de la neige n’étaient pas suffisamment importants pour affecter l’albédo, sauf lors d’évènements climatiques extrêmes comme les blizzards ou les épisodes de chaleur. Nos résultats suggèrent que l’impact direct de l’assombrissement par les branches est largement supérieur aux effets indirects causés par les changements des propriétés physiques de la neige. Cependant, ces derniers pourraient gagner en importance si les évènements climatiques extrêmes devenaient plus fréquents au fur et à mesure que le réchauffement de l’Arctique s’intensifie. Finalement, nous montrons que l’impact des branches ensevelies sous la neige se traduit surtout par une augmentation de la fonte durant les épisodes de chaleur ainsi que par une intensification des processus métamorphiques tôt dans la saison. Cependant ces impacts étaient extrêmement localisés et restreints à l’environnement très proche des branches. Pour cette raison, il a été difficile de quantifier l’impact des branches ensevelies sur le budget radiatif terrestre, d’autant plus que les concentrations de carbone suie élevées (185 ng g⁻¹) dans le manteau neigeux d’Umiujaq ont accentué l’incertitude quant à l’effet relatif de ces deux processus sur l’albédo. Finalement, comme notre paramétrisation pour modéliser l’albédo a été développée sur la base de données provenant d’un seul site, nous croyons qu’il serait nécessaire de la tester de manière plus générale, avec des données provenant d’autres endroits. De cette manière, elle pourrait ensuite être intégrée aux modèles de surface continentale, ce qui permettrait d’inclure un effet réaliste de l’arbustation actuelle et future de l’Arctique sur les scénarios climatiques locaux et globaux.
Arctic warming is causing an expansion of deciduous shrubs in the Arctic tundra biome. By modifying albedo, shrubs affect the temperature of the atmosphere, snowpack and permafrost, potentially increasing permafrost thawing and snow melting, and forming a powerful feedback to global warming. The most prominent impact of shrubs is a reduction of surface albedo when dark branches protrude above the bright snow surface. Additionally, complex snow-shrub interactions modify snow redistribution during windy conditions and increase snowmelt rates during warm spells. Thus, snow over shrub-covered tundra may have different physical and optical properties, leading to further modification of surface albedo. Finally, shrub branches buried in snow may still have an impact on the radiation budget because they can absorb light rays which generally penetrate deeper than 10 cm into the snowpack. To study and quantify the snow-shrub-light interactions, we collected a unique dataset comparing snowpacks with and without shrubs. For every site sampled, we measured in situ spectral albedo (400–1080 nm) and recorded snow physical properties and irradiance profiles. These data were acquired in a low Arctic site near Umiujaq, Northern Quebec, Canada (56° N, 76° W), during several field campaigns in autumn and winter. Based on these field data and a dataset of branch sizes and vertical distribution, a simple yet accurate parameterization for modeling albedo of mixed snow-shrub surfaces was developed and validated. This new parameterization had an accuracy of 3 %, can be used in a predictive way, and is easy to implement in earth system models. We uncovered important insights on snow-shrub-light interactions. Surface darkening by protruding branches was wavelength-dependent, and decreased albedo early in the snow season by 55 % at 500 nm and 18 % at 1000 nm. Changes in snow physical properties that were significant enough to impact albedo only occurred in conjunction with extreme weather events like after blizzards or during warm spells. Thus, the direct impact of darkening from shrubs likely dominates over the indirect impact from changes in snow physical properties, however the latter may gain in importance if extreme weather events become more frequent as Arctic warming progresses. The impact of buried branches was very localized, increasing snow melting during warm spells and enhancing snow metamorphic processes early in the season in the direct vicinity of branches. However, quantifying the impact of buried branches on the radiation budget was challenging due to their highly localized effect and because of high black carbon concentrations in the snowpack at our study site, which reached 185 ng g-1. We suggest that future research test the parameterization developed here more broadly, as this study was based on data from just one study site. The parametrization can then be implemented into land surface models, allowing for reliable estimates of the effect of current and projected Arctic shrubification on global and regional warming.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Dulormne, Maguy. "Analyse du fonctionnement carboné, hydrique et azoté d'un système agroforestier tropical, légumineuse arbustive-herbe : discussion de l'"effet ombrage" créé par la culture dominante." Paris 11, 2001. http://www.theses.fr/2001PA112127.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

David, Fernand. "Evolutions de la limite supérieure des arbres dans les Alpes françaises du nord depuis la fin des temps glaciaires." Aix-Marseille 3, 1993. http://www.theses.fr/1993AIX30045.

Full text
Abstract:
Les etapes majeures de la dynamique vegetale au cours des 15 derniers millenaires sont presentees en soulignant le role des differents facteurs geographiques, climatiques et historiques. L'etude est basee sur le choix de 17 petits lacs et tourbieres regulierement etages entre 340 m et 2370 m dans une aire restreinte (50 km60 km), incluant l'extremite septentrionale du massif de belledonne, le massif de la vanoise et le massif de beaufort, et secundo sur l'association de l'etude pollinique des sediments (dont 30 niveaux ont fait l'objet de datages #1#4c), et d'une recherche de macrorestes. Cette approche methodologique a permis de montrer: l'effet precoce de l'altitude sur la dynamique vegetale des le dryas ancien; la sur-representation des pins au-dessus de 1330 m et l'absence de macrorestes au-dessus de 1000 m, infirmant l'existence d'une pinede d'altitude pendant l'optimum climatique tardiglaciaire; la variabilite de l'enregistrement de la pejoration climatique du dryas recent en fonction de l'altitude, soulignee par le developpement a basse altitude des aulnes (alnus glutinosa et alnus incana). Cette decouverte implique une reinterpretation des diagrammes polliniques de basse altitude des regions voisines et une correction du schema de repartition paleogeographique du genre alnus; le developpement optimal de betula au debut de l'atlantique entre 1500 m et 1800 m et la presence de pinus aux altitudes superieures et dans les sites internes a partir de l'atlantique; la mise en place recente (subatlantique) de l'etagement actuel de la vegetation resultant d'une substitution d'abies et de pinus respectivement par picea et larix. Au total, l'etude des variations locales de la dynamique vegetale a l'echelle du massif s'impose avant toute comparaison entre regions. Dans cette optique, le datage des macrorestes vegetaux terrestres par a. M. S. Presentant le double avantage de dater la presence effective d'une espece et de minimiser les distorsions liees au datage de sediment, doit etre preconise
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Roosen, Sylvie. "Des "Plaines des Promesses" aux solitudes du "bush" (Nord-Est australien) : affirmations identitaires dans une région vide d'hommes." Paris 4, 2001. http://www.theses.fr/2001PA040197.

Full text
Abstract:
Alors que le multiculturalisme de la société urbaine australienne est largement mis en avant dans les images diffusées hors du pays, le caractère biculturel de la brousse est souvent gommé : on l'imagine aborigène ou non aborigène. Or l'histoire des paysages dans la région du golfe de Carpentarie montre que le "bush" résulte d'un ensemble complexe de pratiques de l'espace aboutissant à la superposition d'un "bush" à la fois aborigène, pastoral et minier. L'étude des journaux des explorateurs éclaire la genèse du paysage actuel matérialisée par l'arrivée des éleveurs dans les "PLaines des Promesses" dès 1864. Par la suite, la succession des fronts pionniers organise progressivement l'espace en y excluant les Aborigènes. Mais depuis vingt ans, l'évolution favorable de leur statut dans la société remodèle le partage géographique de la brousse en redessinant le "bush" aborigène. Grâce aux nouvelles lois foncières des années 1990, les trois "bush" deviennent encore plus étroitement imbriqués
Even though the multiculturalism of the Australian urban society diffused overseas, the bicultural aspect of the bush is often forgotten : the Australian bush is whether Aboriginal, whether non-Aboriginal. .
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Rivoal, Annabelle. "Caractérisation des formations arbustives méditerranéennes pour l'amélioration de la prévision de la pollution à l'ozone." Aix-Marseille 1, 2010. http://theses.univ-amu.fr.lama.univ-amu.fr/2010AIX11028.pdf.

Full text
Abstract:
Les composés organiques volatils biogènes (COVb), majoritairement émis par la végétation, favorisent la pollution à l’ozone en présence d’oxydes d’azote (NOx). En région PACA, les formations arbustives méditerranéennes (ou matorrals) occupent une grande surface et sont fortement émettrices de COVb. Cependant, elles étaient mal décrites dans le modèle CHIMERE qui sert à la prédiction de la pollution à l’ozone. L’objectif de ce travail a été d’améliorer leur prise en compte en s’intéressant aux principaux paramètres de la modélisation des émissions de COVb : la répartition des espèces, leurs biomasses foliaires et leurs facteurs d’émission. D’abord, la composition floristique des matorrals a été étudiée in-situ, afin d’établir une typologie basée sur les espèces dominantes qui a servi de référence pour cartographier les matorrals par classifications supervisées d’images satellites. Ensuite, des méthodes non destructives d’estimation de la biomasse foliaire ont été mises au point afin d’obtenir les estimations ponctuelles nécessaires à la réalisation de cartes de variabilité spatiale de la biomasse foliaire des principales espèces. Par ailleurs, à partir d’une synthèse bibliographique et de mesures in-situ des émissions de COVb, il a été possible d’améliorer les facteurs d’émission des principales espèces arbustives, mais également de montrer que la saison et le type de substrat influencent les émissions de monoterpènes de Cistus monspeliensis, une espèce arbustive très répandue en région méditerranéenne. Enfin, nous avons testé l’influence de données affinées pour les matorrals, pour la prévision des émissions de COVb et de la pollution à l’ozone avec le modèle CHIMERE. Les améliorations apportées induisent une augmentation des émissions de COVb (+6 à +10%), qui se répercute sur la production d’ozone (+2 à +8%). L’utilisation d’une formation type par département semble donner des résultats similaires à ceux qui sont obtenus en prenant en compte une variation kilométrique des matorrals. La présence de NOx étant indispensable pour la production d’ozone, la variation de la concentration d’ozone est donc essentiellement observée dans la zone Berre-Aix-Marseille
Biogenic volatile organic compounds (BVOC), mainly emitted by vegetation, contribute to ozone pollution in presence of nitrogen oxides (NOx). In the PACA region, shrublands cover large areas and are strong BVOC emitter. However, they were poorly accounted in the chemistry-transport model CHIMERE used for ozone pollution forecast. This study aims to improve their integration in CHIMERE through three main components: the spatial distribution of the main shrub species and of their foliar biomasses and updated of emission factor. First, species composition of shrubland was studied in order to derive a typology based on dominant species. This typology was used to map shrublands using supervised classifications of remote sensing data. Second, non-destructive methods for foliar biomass estimation were defined. Local estimations of foliar biomass were carried out and used to map the main species biomass spatial variability. Then, emission data available in literature were reviewed and summarized in order to improve emission factor data. Besides, measurement carried out on field showed significant season and soil effect on monoterpene emissions of Cistus monspeliensis, a widespread shrub in Mediterranean area. Finally, the effect of shrubland refinement in BVOC emissions and ozone forecast was test in CHIMERE. It appears that shrubland refinement lead to increase of BVOC emission (+6 to +10%) resulting in increased ozone production (+2 to +8%). One shrubland per administrative department seems to give similar results to those obtained using a gridded variability of shrublands at 1Km scale. COVb need to be mixed with NOx to produce ozone, therefore the variation of ozone level is mainly observed in the Berre-Aix-Marseille area
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Osorio, Barahona Rodomiro. "Conséquences biologiques des variations du climat, de l'intensité de la coupe mécanique et du pâturage sur deux espèces arbustives de la région aride du Chili." Montpellier 2, 1989. http://www.theses.fr/1989MON20089.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Denis, Marie-Pier. "Expansion des arbustes et pollen : étude palynologique des sédiments lacustres récents de la région de la rivière Boniface, Nunavik." Thesis, Université Laval, 2013. http://www.theses.ulaval.ca/2013/29964/29964.pdf.

Full text
Abstract:
L’analyse de photographies de la région de la rivière Boniface (Nunavik) a montré une forte expansion du couvert arbustif entre 1957 et 2008. L’objectif principal de ce projet était de déterminer si cette expansion est observable dans les assemblages polliniques récents des sédiments lacustres de cette région. Pour ce faire, une analyse pollinique à fine résolution temporelle a été effectuée sur les sédiments de deux lacs. Les pourcentages polliniques du bouleau glanduleux, la principale espèce responsable de la densification du couvert arbustif, sont plus élevés dans les sédiments récents de ces lacs. De plus, les influx polliniques calculés à l’aide de la datation au 210Pb montrent une augmentation des genres Betula et Alnus depuis environ 1975. Ces influx polliniques doivent toutefois être interprétés avec prudence en raison de difficultés liées à l’élaboration de la chronologie des sédiments. L’analyse pollinique à fine résolution semble néanmoins permettre de détecter l’expansion récente des arbustes.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Dumais, Catherine. "ANALYSE DE LA PERFORMANCE DES ESPÈCES ARBUSTIVES LE LONG D'UN GRADIENT ALTITUDINAL DANS LE PARC NATIONAL DE LA GASPÉSIE." Thesis, Université Laval, 2011. http://www.theses.ulaval.ca/2011/27650/27650.pdf.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Gobin, Rémy. "Contribution relative de la végétation du sous-bois dans la consommation en eau des placettes forestières soumises aux changements de climat et de pratiques." Thesis, Orléans, 2014. http://www.theses.fr/2014ORLE2070/document.

Full text
Abstract:
Avec l'augmentation des sécheresses dans les forêts tempérées, la gestion sylvicole envisage de réduire la densité des peuplements adultes pour limiter le déficit hydrique. Cependant, la réduction de la canopée arborée augmente le rayonnement dans le sous-bois et permet le développement de la strate herbacée monopoliste. Nos objectifs étaient de caractériser l'évapotranspiration (ETu) de 4 herbacées monopolistes (Molinia caerulea, Calluna vulgaris, Pteridium aquilinum and Rubus sp.) et de quantifier leur impact sur la teneur en eau du sol (SWC) dans des peuplements de Quercus petraea. L’ETu des quatre herbacées cultivées en pot a été quantifiée en conditions semi-contrôlées caractérisées par deux niveaux d’éclairement relatif et 3 niveaux de SWC. In situ, le SWC, le microclimat et l’ETu de P. aquilinum et M. caerulea ont été mesurés sur 20 dispositifs dans les peuplements forestiers de Q. petraea présentant un gradient croissant de LAI. Chaque dispositif était subdivisé en 2 placettes, l’une était désherbée et l'autre enherbée. M. caerulea et C. vulgaris ont une faible régulation de leur ETu alors que P. aquilinum et Rubus sp. ont une stratégie conservatrice face au stress hydrique. SWC diminue plus rapidement quand le LAI de la strate herbacée augmente, ce qui est directement lié à l’ouverture du couvert arboré avec une valeur seuil de LAI de la strate arborée à 2-3, sous laquelle la contribution de la strate herbacée à l’évapotranspiration du peuplement pourrait compenser la diminution de celle de la strate arborée.Ces résultats montrent la nécessité de considérer la végétation du sous-bois dans la gestion sylvicole notamment lorsque la ressource hydrique est limitante. Ainsi, la réduction de la densité de la strate arborée doit être un compromis entre la réduction de la surface foliaire des arbres pour réduire l’ET, et le maintien d’une densité suffisante de la strate arborée pour limiter la croissance et l'ETu de la végétation du sous-bois
In the context of ongoing increase of drought in temperate forests, forest managers consider the reduction of stand density to limit soil water depletion. The reduction of tree canopy density increases light below canopy and allows the development of monopolistic understorey vegetation. Our objectives were to characterize the evapotranspiration (ETu) of common understorey plants (Molinia caerulea, Calluna vulgaris, Pteridium aquilinum and Rubus sp.) and to quantify their impacts on soil water content (SWC) in mature oak stands (Quercus petraea).A first experiment was set up in a greenhouse where the 4 understorey species were potted and subjected to 2 levels of light transmittance and 3 levels of SWC. Microclimate and ETu were monitored. A second experiment was carried out on 20 plots (10 with M. caerulea and 10 with P. aquilinum) in oak stands with contrasted LAI. On each plot, two circular areas were set up, one weeded and the other untouched. SWC, microclimate and ETu were monitored.M. caerulea and C. vulgaris are more water spenders, whereas P. aquilinum and Rubus sp. are more water savers under water stress. Soil water depletion was faster with increasing understorey vegetation LAI, which was directly linked to tree canopy opening with a threshold of tree LAI of 2-3 below which the understorey contribution could offset the reduction of tree ET. The experimentations showed that the relative contribution of understory vegetation in the ecosystem water balance is significant, and depends on SWC and on the understorey species identity. These results show the necessity to consider understorey vegetation in forest management when water availability is an issue. Lower tree canopy density could increase the understorey ETu and soil water stress for trees. From a management perspective, thinning should be designed as a compromise between the reduction of tree leaf area to reduce ET, and maintaining sufficient tree canopy to restrict the growth and ETu of understorey vegetation
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Sarrazin, François. "Méthodes comparées d'analyse aérienne pour la classification de la végétation en toundra arbustive, territoire du Yukon." Thesis, University of Ottawa (Canada), 1987. http://hdl.handle.net/10393/5375.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
More sources

Books on the topic "Zones de végétation arbustive"

1

Lalonde, Sophie. Milieux humides du lac Saint-Pierre: Évolution temporelle. Montréal, Qué: Centre Saint-Laurent, Conservation de l'environnement, Environnement Canada, 1996.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Létourneau, Guy. Marais, marécages et herbiers le long du Saint-Laurent. Montréal, Qué: Centre Saint-Laurent, Conservation de l'environnement, Environnement Canada, 1996.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Létourneau, Guy. Milieux humides du Saguenay, de l'estuaire et du golfe du Saint-Laurent et de la baie des Chaleurs. Montréal, Qué: Centre Saint-Laurent, Conservation de l'environnement, Environnement Canada, 1996.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Létourneau, Guy. Cartographie des marais, marécages et herbiers aquatiques le long du Saint-Laurent par télédétection aéroportée. Montréal, Qué: Centre Saint-Laurent, Conservation de l'environnement, Environnement Canada, 1996.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Vegetation of the earth and ecological systems of the geo-biosphere. 3rd ed. Berlin: Springer-Verlag, 1985.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography