To see the other types of publications on this topic, follow the link: Zooplancton – Teneur en acides gras.

Journal articles on the topic 'Zooplancton – Teneur en acides gras'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 49 journal articles for your research on the topic 'Zooplancton – Teneur en acides gras.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse journal articles on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

Cherrad, Monique, and J. J. Lavaud. "Les acides gras des pépins dans le genre Vitis (Tournefort) L." OENO One 27, no. 2 (June 30, 1993): 123. http://dx.doi.org/10.20870/oeno-one.1993.27.2.1172.

Full text
Abstract:
<p style="text-align: justify;">La teneur en acides gras des pépins n'est pas la même pour les 4 groupes de vignes étudiées. Les pépins les plus riches sont ceux des vignes américaines, puis ceux des lambrusques et des vignes asiatiques et enfin ceux des variétés cultivées de<em> Vitis vinifera</em>. En revanche, les proportions des 4 principaux acides gras, palmitique, stéarique, oléique et linoléique, sont très comparables dans la plupart des cas étudiés. L'acide linoléique, largement prédominant, représente environ 73,5 p.cent de l'ensemble des acides gras. L'acide linolénique est toujours à l'état de traces.</p>
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

BAUCHART, D., D. DURAND, D. GRUFFAT-MOUTY, C. PIOT, B. GRAULET, Y. CHILLIARD, and J. F. HOCQUETTE. "Transport sanguin et métabolisme tissulaire des lipides chez le veau de boucherie. Effets du remplacement du suif par de l’huile de coprah dans l’aliment d’allaitement." INRAE Productions Animales 12, no. 4 (September 1, 1999): 273–85. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.4.3888.

Full text
Abstract:
Cet article décrit le transport sanguin et le métabolisme tissulaire des lipides chez le veau de boucherie recevant un aliment d’allaitement à base d’huile de coprah (riche en acides gras à chaîne moyenne) ou de suif (riche en acides gras longs saturés et insaturés). L’huile de coprah élève fortement la lipémie, notamment les teneurs en cholestérol et en phospholipides. Ses acides gras de type C12:0 et C14:0 sont transportés sélectivement dans les lipoprotéines riches en triglycérides (38 %) ou en cholestérol (44 %).Dans le foie, le captage des acides gras de l’huile de coprah entraîne une stéatose hépatique marquée, due à une teneur accrue en triglycérides (×18). Ceci s’expliquerait à la fois par une élongation des produits de l’oxydation des acides gras à chaîne moyenne (C12:0), par une oxydation plus faible et une estérification en triglycérides accrue des acides gras longs (C18:1n-9) et par une capacité de sécrétion des triglycérides faible et peu modulée. Le potentiel d’oxydation des acides gras dans les tissus musculaires et le potentiel lipogénique du tissu adipeux périrénal ne sont pas influencés par les acides gras alimentaires. En revanche, la composition en acides gras des tissus musculaires et adipeux est fortement marquée avec le régime coprah par l’accumulation du C12:0 et surtout du C14:0 (au détriment du C18:1 n-9) conduisant à élever le degré de saturation des acides gras des lipides de dépôt. En conclusion, l’emploi de l’huile de coprah comme seule source de matières grasses alimentaires n’est pas recommandée chez le veau de boucherie en raison de l’altération du métabolisme du foie (stéatose), de l’absence d’amélioration des performances de croissance et de la dépréciation de la qualité diététique de la viande pour le consommateur par le dépôt accru d’acides gras saturés à propriétés athérogènes.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

GONDRET, F. "La lipogenèse chez le lapin. Importance pour le contrôle de la teneur en lipides de la viande." INRAE Productions Animales 12, no. 4 (September 1, 1999): 301–9. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.4.3891.

Full text
Abstract:
La teneur en lipides d’un tissu est la résultante de plusieurs flux métaboliques (dépôt, synthèse, utilisation). Cet article présente les principales caractéristiques de la synthèse des lipides chez le lapin, dans le muscle comparativement aux tissus adipeux visibles et au foie. Le potentiel de synthèse de novo exprimé par le muscle augmente avec l’âge de l’animal, en parallèle à l’accumulation des triglycérides dans les adipocytes intramusculaires. L’activité des enzymes qui fournissent le NADPH nécessaire à la synthèse des acides gras est réduite si l’animal est soumis à une restriction alimentaire en fin d’engraissement, et ceci en parallèle avec une baisse de la teneur en lipides des muscles. A valeur énergétique égale, la nature des acides gras présents dans le régime alimentaire est sans incidence sur l’activité des enzymes de la lipogenèse, mais peut moduler la quantité et la nature des lipides intramusculaires. Des études ultérieures devront être conduites pour évaluer l’importance respective des différentes voies métaboliques dans la détermination de la teneur finale en lipides des muscles.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Kouakou, N’Goran David Vincent, Kouadio Frédéric Koffi, Cho Euphrasie Monique Angbo-Kouakou, Gningnini Alain Koné, Gouha Firmin Kouassi, Kouakou Ernest Amoikon, and Maryline Kouba. "Enrichissement en acides gras polyinsaturés oméga-3 du jaune d’œuf de cailles (Coturnix coturnix japonica) par les graines d’euphorbe (Euphorbia heterophylla)." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 70, no. 3 (March 15, 2018): 99. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31523.

Full text
Abstract:
L’alimentation des cailles (Coturnix coturnix japonica) dans les fermes ivoiriennes est basée principalement sur les aliments commerciaux de poules pondeuses. Cependant, cette pratique pourrait nuire à la qualité nutritionnelle des œufs. L’objectif de cette étude était de déterminer l’impact de cet aliment (régime témoin) ou de sa supplémentation avec 5 % de graines d’euphorbe (Euphorbia heterophylla) (régime R5) sur le profil en acides gras des jaunes d’œufs de 30 cailles de 172 ± 2 g durant 15 jours. Les résultats ont montré que le régime R5 ne modifiait pas les teneurs en acides gras saturés, en acides gras mono-insaturés et en acides gras polyinsaturés oméga-6 (AGPI n-6) (p > 0,05). Cependant, il a induit une amélioration de la teneur en acides gras polyinsaturés oméga-3 (AGPI n-3) (p < 0,05) qui était cinq fois plus élevée que celle du régime témoin. Les proportions des acides gras C18:3 n-3, C20:5 n-3 et C22:6 n-3 des jaunes d’œufs issus de R5 ont été multipliées respectivement par 17, 11 et 3. Par ailleurs, le rapport AGPI n-6 / AGPI n-3 était inférieur à 4. Ainsi, l’incorporation de 5 % de graines d’euphorbe dans l’aliment commercial de poules pondeuses a permis d’améliorer la qualité nutritionnelle des œufs de cailles.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

MORAND-FEHR, P., and G. TRAN. "La fraction lipidique des aliments et les corps gras utilisés en alimentation animale." INRAE Productions Animales 14, no. 5 (December 17, 2001): 285–302. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3753.

Full text
Abstract:
La fraction lipidique des fourrages et des aliments concentrés est généralement moins bien connue que leurs fractions glucidiques, protéiques et minérales. La teneur lipidique de ces aliments se mesure par le dosage de l’extrait éthéré selon deux procédés suivant qu’une hydrolyse à chaud est nécessaire ou non pour obtenir l’extraction la plus complète possible des lipides de l’aliment. Les fourrages ont une teneur en extrait éthéré de 2 à 12 % et un taux d’acide linolénique le plus souvent supérieur à 50 % des acides gras totaux. A mesure que la plante fourragère passe du stade jeune pousse au stade de maturité, les proportions des acides palmitique, stéarique et oléique augmentent alors que celle de l’acide linolénique diminue. L’article présente la composition en acides gras d’une vingtaine d’aliments concentrés parmi les plus utilisés en alimentation animale. Ces valeurs sont issues de quatre bases de données (AFZ, CVB, MAFF et Souci) et d’une synthèse bibliographique récente de Givens pour les huiles végétales. Les céréales et les graines protéagineuses ont des teneurs en extrait éthéré souvent assez faibles (1,2 à 2,2 %) sauf le maïs et les co-produits de meunerie, une proportion très élevée d’acide linoléique (plus de 50 % des acides gras totaux) et des proportions faibles d’acides gras saturés, dominé par l’acide palmitique. La composition en acides gras des graines oléagineuses est variable selon l’espèce. Les huiles et farines de poisson sont caractérisées par une proportion importante d’acides gras polyinsaturés contenant plus de 18 atomes de carbone. Les compositions lipidiques des graisses et farines issues d’animaux terrestres sont remarquables par leur richesse en acides saturés et leur très faible proportion d’acides polyinsaturés. Il existe une bonne concordance entre les valeurs des banques AFZ et CVB pour les céréales et les graines oléagineuses, et entre les valeurs AFZ, SOUCI et celles de Givens pour les huiles et les graisses animales. En revanche, la table MAFF présente quelques divergences avec les tables AFZ et CVB. Même si l’apparition des bases de données a permis d’accéder à une connaissance plus objective dans ce domaine, des progrès restent à faire sur les facteurs de variation des teneurs en extrait éthéré et de la composition en acides gras des aliments, ainsi que sur les proportions des acides gras mineurs et isomères des familles n-6 et n-3.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

SCHMIDELY, P., and D. SAUVANT. "Taux butyreux et composition de la matière grasse du lait chez les petits ruminants : effets de l’apport de matières grasses ou d’aliment concentré." INRAE Productions Animales 14, no. 5 (December 17, 2001): 337–54. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3760.

Full text
Abstract:
Une base de données sur les effets de l’apport d’aliment concentré ou de matières grasses a été constituée pour quantifier la réponse du taux butyreux et de la composition en acides gras du lait chez les petits ruminants. L’apport d’aliment concentré réduit le taux butyreux, de façon plus marquée en ration complète qu’en ration fourrage - concentré séparés. Dans ce dernier type de ration, la réponse de la matière grasse du lait est curvilinéaire, un ratio fourrage concentré 1:1 maximisant la matière grasse produite. Dans ces conditions, les proportions des AG courts et moyens du lait sont peu ou pas modifiées, celles des AG longs saturés et mono-insaturés de type cis sont fortement réduites au profit des formes mono-insaturées trans et de l’acide linoléique. L’apport de matières grasses non protégées augmente généralement le taux butyreux et la matière grasse produite, de façon comparable pour les matières grasses animales ou végétales. Avec des huiles végétales ou animales, ces réponses sont très variables en fonction de l’intensité des effets dépresseurs de ces matières grasses sur la synthèse des acides gras courts et moyens, et de l’accroissement des acides gras longs. Les teneurs en acide linoléique, linolénique et CLA du lait sont accrues par les graines ou l’huile de colza, mais de façon modeste. Les huiles de poisson non protégées n’accroissent que faiblement les teneurs en acides gras poly-insaturés du lait. L’utilisation de savons de calcium (huile de palme principalement) accroît le taux butyreux de façon plus marquée chez les brebis que chez les chèvres, alors que l’accroissement de la matière grasse est comparable entre les deux espèces pour des apports jusqu’à 150 g/j. Ils réduisent la teneur du lait en AG moyens, mais pas celle des acides gras courts, ni celle de l’acide palmitique ; inversement ils induisent une forte augmentation de la teneur en acide stéarique et surtout oléique. La protection de graines ou d’huile de poisson par encapsulation permet de limiter l’effet dépresseur observé sur les acides gras courts et moyens, avec une réduction de l’acide stéarique et oléique au profit des formes trans de cet acide. Dans ces conditions, le transfert des acides linoléique et linolénique est accru en fonction de la richesse des graines pour ces acides gras. Cette forme de protection constitue un moyen modérément efficace de transférer vers le lait les acides gras polyinsaturés des huiles de poisson, ou des CLA alimentaires. L’ensemble de ces résultats fait apparaître un manque de données expérimentales chez les petits ruminants sur les facteurs alimentaires permettant de maîtriser la composition de la MG du lait, en particulier en ce qui concerne les acides gras jouant un rôle potentiel sur la santé humaine.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

DOREAU, M., and Y. CHILLIARD. "Influence d’une supplémentation de la ration en lipides sur la qualité du lait chez la vache." INRAE Productions Animales 5, no. 2 (February 28, 1992): 103–11. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.2.4224.

Full text
Abstract:
L’enrichissement en matières grasses des rations est couramment pratiqué pour les vaches laitières fortes productrices. L’une des conséquences les plus fréquentes est la diminution de la teneur en protéines, et plus particulièrement en caséines du lait. Les causes en sont encore mal connues. Une partie de cet effet est liée à la dilution des protéines dans un volume accru de lait, car la sécrétion totale de protéines n’est que peu affectée. La diminution du taux protéique est beaucoup plus modérée au début de la lactation, où l’effet positif sur la production laitière est moins net, qu’après le pic de production. L’incorporation de matières grasses dans les rations a un effet très variable sur le taux butyreux, qui dépend du bilan entre l’augmentation des acides gras longs d’origine alimentaire et la réduction de la synthèse mammaire des acides gras à chaîne courte ou moyenne. La teneur en acides gras polyinsaturés dans le lait n’est presque jamais fortement modifiée, en raison de l’hydrogénation des lipides alimentaires dans le rumen. Seule la technique d’encapsulation des lipides dans une coque de protéines tannées protège les lipides alimentaires de l’hydrogénation ruminale. Certains types de suppléments lipidiques entraînent une détérioration de la valeur organoleptique des produits laitiers, en particulier par oxydation et rancissement.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

HERMIER, D. "Modifications du cholestérol et des acides gras de l’oeuf : bases physiologiques et nutritionnelles." INRAE Productions Animales 7, no. 4 (September 27, 1994): 245–52. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1994.7.4.4172.

Full text
Abstract:
Malgré sa valeur nutritionnelle élevée, l’oeuf de consommation souffre d’une image négative liée en particulier à sa forte teneur en cholestérol (250 mg/jaune), facteur de risque primaire de l’athérosclérose. Le cholestérol est indispensable au développement de l’embryon de poulet, et il est donc très difficile de diminuer la quantité présente dans l’oeuf, que ce soit par des moyens génétiques, nutritionnels ou phamacologiques : la réduction maximale observée ne dépasse pas 30%, ce qui ne suffit pas à faire de l’oeuf un aliment "inoffensif" aux yeux des médecins et des consommateurs. A l’inverse, la majorité des lipides de l’oeuf se compose d’esters d’acides gras, parmi lesquels les acides gras polyinsaturés jouent un rôle structural et métabolique indispensable à nombre de fonctions physiologiques : intégrité des membranes cellulaires (en particulier cérébrales), processus de coagulation et d’inflammation, prévention de l’athérosclérose. Certains de ces acides gras ne peuvent être synthétisés par l’organisme et doivent être fournis par l’alimentation. En intervenant sur le régime des poules, il est très facile d’enrichir leurs oeufs en acides gras polyinsaturés et même de moduler, à la demande, les proportions de ces différents acides gras (n-6/n-3), afin d’en faire un aliment de choix pour certaines catégories de sujets à risque tels que les nouveau-nés, ou les patients hypercholestérolémiques.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Cherrad, Monique, and J. J. Lavaud. "Comparaison de la teneur en acides gras des pépins de 24 cépages de Vitis vinifera L." OENO One 25, no. 1 (March 31, 1991): 51. http://dx.doi.org/10.20870/oeno-one.1991.25.1.1219.

Full text
Abstract:
<p style="text-align: justify;">Les teneurs en acides gras des pépins des 24 cépages étudiés peuvent être très différentes d'un cépage à l'autre. Par contre, les proportions en acide stéarique, palmitique, oléique et linoléique sont comparables dans la plupart des variétés. Le groupe des Grenaches et le Pinot noir font exception. L'intensité de la biosynthèse des acides gras des pépins n'apparaÎt en relation ni avec leur grosseur, ni avec la couleur des baies ou l'époque de maturité des raisins.</p>
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

LESSIRE, M. "Matières grasses alimentaires et composition lipidique des volailles." INRAE Productions Animales 14, no. 5 (December 17, 2001): 365–70. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3762.

Full text
Abstract:
Les viandes de volailles sont appréciées du consommateur et recommandées par les diététiciens parce qu’elles sont pauvres en lipides et malgré tout bien pourvues en acides gras insaturés. Selon les espèces aviaires, l’âge et le sexe, cette faible teneur en lipides est très relative et l’état d’adiposité peut aussi varier en fonction de nombreux critères liés à l’aliment. Les lipides ajoutés à l’aliment ont pour but principal d’accroître sa concentration énergétique, améliorant ainsi les performances de production. Leur incidence sur l’état d’engraissement des carcasses est mineure lorsque les équilibres nutritionnels et, en particulier, le rapport protéines sur énergie sont maintenus constants. Mais la nature des lipides ajoutés modifie de façon profonde celle des lipides corporels. Ainsi, il est possible d’adapter les profils des acides gras corporels des volailles, et du poulet en particulier, aux exigences de qualité des abattoirs et du consommateur. Cet article illustre les variations que peut présenter le profil en acides gras des tissus des volailles en relation avec les lipides ingérés.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

CLINQUART, A., C. BRUNDSEAUX, I. DUFRASNE, L. ISTASSE, and D. MICOL. "Utilisation des matières grasses chez les bovins à l’engraissement." INRAE Productions Animales 8, no. 1 (February 21, 1995): 29–42. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.1.4102.

Full text
Abstract:
L’incorporation de matière grasse dans les rations d’engraissement de bovins est une technique courante. Différents buts sont poursuivis : augmenter la teneur en énergie de la ration, faciliter la finition des animaux ou manipuler la teneur en acides gras insaturés de la graisse. L’incorporation des matières grasses se fait sous forme de graisses purifiées d’origine végétale ou animale ou sous forme de graines ou de fèves oléagineuses. Généralement, ces dernières subissent des traitements technologiques, avec comme conséquence, par exemple, une augmentation des acides gras à chaîne plus courte et saturés. Vu l’origine extrêmement variée des graisses utilisées, les effets observés chez les animaux sont parfois divergents. L’utilisation de graisses dans des rations d’engraissement a tendance à réduire l’intensité des fermentations dans le rumen et à les orienter vers une production plus importante d’acide propionique. Les données de la littérature indiquent que l’incorporation de matière grasse a tendance à réduire la digestibilité apparente de la matière sèche et de la matière organique et à augmenter la digestibilité de l’extrait éthéré. Les principaux effets sur les performances zootechniques sont une réduction de la durée d’engraissement, une augmentation des gains de poids, une réduction des ingestions, et par conséquent une amélioration de l’indice de consommation. Les auteurs signalent généralement une augmentation du poids des carcasses et du rendement à l’abattage. Les carcasses sont souvent plus grasses. La composition chimique de la viande et celle du muscle, c’est-à-dire de la viande maigre, ne semblent pas être modifiées. La supplémentation avec des graisses d’origine animale entraîne une diminution plus ou moins importante de la proportion des acides gras insaturés. A l’opposé, l’utilisation des graisses d’origine végétale se caractérise par une augmentation de la proportion des acides gras insaturés.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

FERLAY, A., B. GRAULET, and Y. CHILLIARD. "Maîtrise par l’alimentation des teneurs en acides gras et en composés vitaminiques du lait de vache." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (March 17, 2020): 177–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3146.

Full text
Abstract:
Après un rappel de l’origine digestive et métabolique des acides gras et des composés vitaminiques du lait, cet article relate l’effet des principaux facteurs alimentaires sur leur concentration. L’herbe pâturée, par rapport à des rations hivernales, diminue les teneurs du lait en acides gras saturés au profit des acides gras trans et polyinsaturés dont le C18:3n-3 et le CLA-c9t11. Les supplémentations des rations des vaches laitières en lin ou en colza augmentent les teneurs du lait en acides gras trans et légèrement en CLA-c9t11, à court terme et aussi à long terme. Le lin produit des laits plus riches en C18:3n-3 et plus pauvres en C18:1-c9 que le colza. Des réponses différentes existent en fonction de l’interaction entre la nature des fourrages, la teneur de la ration en amidon et le type d’oléagineux. Les tannins ou les huiles essentielles ont peu d’influence sur la composition en acides gras du lait. Hormis la vitamine B12 ,l’ensemble des vitamines dans le lait peut provenir des fourrages ou du concentré et/ou du complément minéral contenant les vitamines A, E et D3. Le ruminant peut également synthétiser les vitamines A, C, B3, et D à partir de précurseurs apportés dans la ration. Les vitamines B et K sont synthétisées par les bactéries ruminales. Les facteurs nutritionnels influençant les concentrations en vitamines dans le lait sont peu documentés, à l’exception de la vitamine A. L’alimentation est néanmoins un levier important permettant d’augmenter la qualité nutritionnelle du lait.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Le Guillou, Anne. "Réduction de la teneur en acides gras trans dans la technologie biscuitière." Cahiers de Nutrition et de Diététique 42, no. 5 (November 2007): 255–59. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-9960(07)73934-2.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

RULQUIN, H., C. HURTAUD, S. LEMOSQUET, and J. L. PEYRAUD. "Effet des nutriments énergétiques sur la production et la teneur en matière grasse du lait de vache." INRAE Productions Animales 20, no. 2 (June 7, 2007): 163–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.2.3448.

Full text
Abstract:
Les récents changements des données économiques concernant le marché et les possibilités de valorisation de la matière grasse laitière conduisent à penser qu’à l’avenir la production d’un lait un peu moins riche en matières grasses a de fortes chances d’être encouragée. Cela peut être atteint par le biais de la génétique et de la nutrition. Ce texte a pour objectif de faire l’état des connaissances sur les différents nutriments jouant sur le taux butyreux des laits et de quantifier les effets des acides acétique, butyrique et propionique, du glucose, de l’acide gras trans10 C18:1 et du trans10, cis12 CLA sur le taux butyreux et le rapport taux protéique sur taux butyreux. Les travaux des cinquante dernières années sont synthétisés dans six méta-analyses des données d’essais dans lesquels les précédents nutriments ont été apportés par perfusion digestive. L’efficacité à diminuer le taux butyreux est respectivement de - 5,71, - 2,99, - 87, et - 1467 g/kg par kilogramme de nutriment ajouté pour l’acide propionique, le glucose, le trans10 C18:1, et le trans10, cis12 CLA et de - 7,33 et - 2,20 g/kg par kilogramme de nutriment apporté en moins pour les acides butyrique et acétique. Les mécanismes mis en jeux dans ces réponses sont revus. Sur la base des variations de flux de nutriments mesurées à la suite d’une augmentation de 30 % de la proportion d’aliments concentrés, il ressort que les nutriments glucogéniques (acide propionique et glucose) expliqueraient 54 % de la chute du taux butyreux enregistrée, les acides gras trans10 (trans10 C18:1 et trans10, cis12 CLA) 34 % et les précurseurs (acide acétique et butyrique) des acides gras synthétisés «de novo» 21 %. Ce travail démontre que la chute de taux butyreux observée avec des changements de régime est multifactorielle. Une approche pluri-nutriments est proposée pour remplacer l’approche mono-nutriment jusqu’ici utilisée pour essayer de prédire les changements de taux butyreux en réponse à une modification de la composition des rations.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

SAUVANT, D. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 14, no. 5 (December 17, 2001): 283. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3752.

Full text
Abstract:
Différentes raisons nous ont amenés à consacrer ce numéro spécial de la revue Productions Animales aux matières grasses dans l’alimentation animale. L’équilibre lipides/protéines des produits animaux représente, depuis des décennies, un critère essentiel de leur qualité. L’objectif général des actions de sélection et des pratiques alimentaires a été de réduire le niveau d’engraissement des carcasses. Ces actions étaient confortées par le fait que des animaux plus maigres sont de meilleurs transformateurs des aliments. Dans le cas du lait, les objectifs étaient et sont différents dans la mesure où le mode de paiement à la qualité tend à favoriser la teneur en matières grasses du lait. Cependant, dans le cas des vaches laitières, compte tenu de l’excès relatif global des matières grasses par rapport aux protéines laitières, il a été nécessaire de mettre en place des quotas de production de matière grasse. L’intérêt des filières pour la qualité des lipides animaux n’est pas récent. Ainsi, des publications de près de 50 ans d’âge évoquent déjà l’usage de critères subjectifs d’évaluation de la "tenue" du gras des carcasses ainsi que de la "tartinabilité" du beurre. Les premières méthodes objectives d’évaluation de la qualité des lipides animaux (indices d’iode et d’estérification …) ont permis des approches plus rationnelles. Une accélération marquée du progrès est survenue dans les années 60 grâce à l’apparition des techniques de chromatographie en phase gazeuse qui ont permis de quantifier individuellement les proportions des différents acides gras au sein d’une même matière grasse. Les matières grasses animales sont ainsi apparues plus riches en acides gras saturés que les matières grasses végétales (graisses de coprah et de palmiste exclues) et plus pauvres en acides gras essentiels. Les études de nutrition et de physiopathologie humaine ont abouti à une critique de la teneur excessive des aliments en acides gras saturés. De ce fait, les lipides animaux ont eu mauvaise presse dans les milieux de la diététique. Les recherches ont permis de mieux connaître les causes de variation de la composition en acides gras des produits animaux. Il est ainsi apparu que les matières grasses des différentes espèces animales ne présentaient pas la même composition ni le même degré de saturation, celui-ci étant en particulier plus faible chez les monogastriques que chez les ruminants. Les investigations plus récentes ont permis de mieux connaître des acides gras restés longtemps moins connus car plus difficiles à mesurer dans les lipides animaux et qualifiés de mineurs. Il s’agit en particulier d’acides gras à molécules ramifiées ou bien de certains isomères désaturés de type trans alors que la plupart des aliments contiennent des acides gras désaturés de type cis. Certains de ces acides sont l’objet d’un intérêt récent et important en raison de leur probable impact favorable sur la physiologie humaine. C’est par exemple le cas des acides gras désaturés trans conjugués de l’acide linoléique, en particulier le CLA (conjugated linoleic acid) ou acide ruménique. Ce dernier nom vient du fait que cet acide est élaboré dans le rumen des ruminants et se retrouve essentiellement dans les lipides corporels ou laitiers de ces animaux. L’alimentation en matières grasses des animaux présente également un regain d’intérêt en raison des modifications des sources alimentaires disponibles. En effet, les événements récents, liés à l’ESB, qui ont perturbé les filières animales ont eu pour conséquence l’interdiction des farines et des matières grasses d’origine animale dans l’alimentation des animaux d’élevage terrestres. Celles-ci étaient utilisées depuis au moins un siècle dans certains régimes, des porcs et volailles en particulier, dans le but d’améliorer la valeur énergétique des rations et d’obtenir des matières grasses animales présentant une couleur plus appréciée (blanche), une meilleure tenue et surtout une moindre sensibilité à l’oxydation (charcuterie sèche …). La substitution des matières grasses animales par des matières grasses d’origine végétale soulève un certain nombre de problèmes, zootechniques et technologiques, qui sont évoqués dans ce document. Nous tenons à remercier très sincèrement tous nos collègues qui ont accepté de contribuer à la réalisation de ce document qui fait suite à une journée CAAA (Cycle Approfondi de l’Alimentation Animale) organisé le 4 mai 2000 sur le même thème à l’INAPG.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

CREVIEU-GABRIEL, I., and M. NACIRI. "Effet de l’alimentation sur les coccidioses chez le poulet." INRAE Productions Animales 14, no. 4 (August 17, 2001): 231–46. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.4.3746.

Full text
Abstract:
Depuis quelques années, les travaux sur l’utilisation de l’alimentation comme aide au contrôle des coccidioses ont été repris par plusieurs équipes après avoir été abandonnés avec l’introduction et le développement des anticoccidiens. L’alimentation peut intervenir aussi bien par ses constituants que par son mode de présentation, soit directement sur le développement parasitaire soit en renforçant les défenses de l’hôte ou en aidant à la guérison. Des produits naturels à action médicinale peuvent aussi avoir des effets bénéfiques.Ainsi, les acides gras n-3 ou l’artémisine agissent directement sur les coccidies en inhibant leur développement. Au contraire, les acides gras essentiels ou les vitamines B favorisent leur développement. L’incorporation de graines entières de céréales, en modifiant la physiologie digestive, entraîne des différences de développement des coccidies. Une teneur élevée de l’aliment en protéines, en induisant une augmentation des sécrétions pancréatiques, favorise la multiplication des parasites. En outre, certains composants alimentaires (fibres, produits lactés) agiraient en modifiant la flore intestinale. Les vitamines A, C ou K ou la bétaïne peuvent aider à la guérison en modifiant les effets néfastes causés par Eimeria sur la muqueuse intestinale. Enfin, certains composants alimentaires, comme les acides gras n-3, le sélénium, les vitamines C et E, le gamma-tocophérol ou le curcumin, et le mode d’alimentation, comme la restriction alimentaire, agissent sur le système immunitaire, modulant ainsi indirectement le développement parasitaire.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

NAU, F., Y. NYS, Y. YAMAKAWA, and S. REHAULT-GODBERT. "Intérêt nutritionnel de l’œuf en alimentation humaine." INRAE Productions Animales 23, no. 2 (April 10, 2011): 225–36. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.2.3303.

Full text
Abstract:
L’œuf est une source très digestible de protéines et de lipides qui contient par ailleurs une part importante des vitamines et minéraux nécessaires à l’Homme. La composition en acides aminés, équilibrée par rapport aux besoins de l’Homme, fait de l’œuf l’une des meilleures sources protéiques et les lipides de l’œuf fournissent des quantités importantes d’acides gras insaturés et de phospholipides. Les constituants majeurs de l’œuf sont relativement stables&nbsp;; ils dépendent essentiellement de la proportion de blanc et de jaune, elle-même largement influencée par l’âge de la poule. En revanche, la composition de l’œuf en acides gras, vitamines, minéraux et pigments peut fortement varier. La dépendance de ces éléments vis-à-vis de l’alimentation de la poule offre ainsi des opportunités d’enrichissement de l’œuf en constituants d’intérêt pour la santé humaine. Des études nutritionnelles ont par exemple démontré chez l’Homme l’impact positif de la consommation d’œufs enrichis en acides gras polyinsaturés&nbsp;; de même, la lutéine et la zéaxanthine de l’œuf sont particulièrement bien absorbés par l’organisme humain et biodisponibles pour la rétine. Le concept d’augmentation du risque cardio-vasculaire lié à la forte teneur de l’œuf en cholestérol est quant à lui clairement contredit par de nombreuses études épidémiologiques. Une limite à la consommation d’œuf réside finalement dans son pouvoir allergène, en particulier chez le jeune enfant.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
18

Soufleros, Evangelos H., and Alain Bertrand. "Les acides gras libres du vin; observations sur leur origine." OENO One 22, no. 4 (December 31, 1988): 251. http://dx.doi.org/10.20870/oeno-one.1988.22.4.1267.

Full text
Abstract:
<p style="text-align: justify;">L'addition d'écorces de levure ou de lies fraîches dans un milieu alcoolique entraîne une augmentation de la teneur en acides gras libres suivie d'une diminution progressive; les lies fraîches ne cèdent pratiquement pas d'acide palmitoléique, inhibiteur de l'activité malolactique.</p><p style="text-align: justify;">La teneur en acides gras libres augmente au cours de la macération des raisins rouges, mais elle est peu affectée par la macération préfermentaire des raisins blancs.</p><p style="text-align: justify;">Par ailleurs, les teneurs des vins en acides gras libres varient en fonction du cépage.</p><p style="text-align: justify;">+++</p><p style="text-align: justify;">This work deals with the free latty acids (C12 to C18:3) content of different mediums; these substances seem to have an activity on the alcoholic and the malotactic fermentations.</p><p style="text-align: justify;">ln a first step we have studied the influence of the addition to the medium of yeast ghosts and fresh yeast cells (lees).</p><p style="text-align: justify;">We have also determined free fatty acids in red wines (Merlot, Cabernet Sauvignon and Malbec) in function of the time of maceration (0 to 10 days) and in white wines (Semillon and Sauvignon blanc) in function of skin contact time (0 to 6 hours) and SO<sub>2</sub> which have been added, or not, to the medium belore skin contact.</p><p style="text-align: justify;">The free fatty acids were extracted from 20 ml of wine by three times 10 ml of dichloromethane ; the organic phase was concentrated under vacuum to 1 ml. The extract was analysed by gas chromatography with a capillary CP WAX 57 column from Chrompack (10 m x 0,22 mm); the chromotograph was equiped with a spitless system injector.</p><p style="text-align: justify;">The addition of yeast ghosts and fresh lees into an alcoholic medium causes a temporary increase of the free fatty acids followed by a constant decrease. However, the fresh lees do not give palmitoleic acid which is an inhibitor of the malolactic activity.</p><p style="text-align: justify;">The time of maceration plays a positive part on the free fatty acids content of the wine; this is more important for the red wines than for the white ones.</p><p style="text-align: justify;">The free fatty acids content of the wines changes according to the grape variety.</p>
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
19

BOICHARD, D., A. GOVIGNON-GION, H. LARROQUE, C. MAROTEAU, I. PALHIÈRE, G. TOSSER-KLOPP, R. RUPP, M. P. SANCHEZ, and M. BROCHARD. "Déterminisme génétique de la composition en acides gras et protéines du lait des ruminants, et potentialités de sélection." INRAE Productions Animales 27, no. 4 (October 21, 2014): 283–98. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.4.3074.

Full text
Abstract:
Cette étude présente les principaux résultats d’estimation de paramètres génétiques et de détection de QTL obtenus dans le cadre du programme PhénoFinlait sur les caractères de composition en Acides Gras (AG) et protéines du lait dans trois races bovines (Holstein, Montbéliarde et Normande), deux races ovines (Lacaune et Manech Tête Rousse) et deux races caprines (Alpine et Saanen). La composition du lait est estimée à partir de la spectrométrie dans le moyen infrarouge. Les paramètres génétiques sont estimés à partir des données de 102 000 contrôles laitiers de 22 000 vaches en première lactation, 67 000 contrôles de 20 000 brebis, et 45 000 contrôles de 13 700 chèvres. Ils sont très homogènes entre espèces et entre races. En revanche, ils dépendent beaucoup du mode d’expression des caractères, exprimés en proportion du lait ou de la matière. Exprimés en teneur dans le lait, les AG saturés présentent une héritabilité plus élevée que les insaturés chez les bovins et les ovins, mais l’écart est plus faible quand ils sont exprimés en teneur dans le gras. Chez les caprins, les estimations d’héritabilité sont plus élevées pour les caractères exprimés en teneur dans la matière grasse. Les mesures d’AG sont fortement corrélées entre stades de lactation, à l’exception du premier mois qui apparaît comme un caractère assez différent. Les corrélations génétiques sont positives entre AG saturés et entre AG insaturés. Entre AG saturés et insaturés, les corrélations sont positives pour les AG exprimés en teneur dans le lait mais négatives quand les AG sont exprimés en pourcentage de la matière grasse. Les AG saturés sont très fortement corrélés au taux butyreux du lait. Concernant les protéines, les estimations d’héritabilité sont très élevées pour la bêta-lactoglobuline, assez élevées pour les caséines, plus modérées pour l’alpha-lactalbumine. Concernant les corrélations, il existe une forte analogie entre AG et protéines. Ainsi, les caséines sont fortement corrélées entre elles et fortement liées au taux protéique. Leur corrélation avec les protéines sériques est positive quand les protéines sont exprimées en teneur dans le lait, mais très négatives quand elles sont exprimées en teneur dans les protéines. Les analyses de détection de QTL reposent sur les données de 7 800 vaches, 1 800 brebis et 2 300 chèvres génotypées avec des puces SNP pangénomiques. En moyenne, 9 QTL d’AG ont été détectés par caractère et par race bovine. Les QTL les plus importants ont été trouvés sur les chromosomes 14 (gène DGAT1), 5, 19, 27, 17, 11 et 13. On observe une forte co-localisation de QTL entre AG du même type, reflétant leur origine métabolique commune. Une fraction notable de ces QTL semble partagée entre races. 22 à 29 QTL sont détectés en moyenne pour chaque taux de protéine. Les plus significatifs se situent sur les chromosomes 6 (2 régions QTL, régions des gènes ABCG2 et des caséines), 11 (gène de la bêta-lactoglobuline) et 20 (gène GHR vers 32 Mb, mais aussi vers 58Mb). Le gène DGAT1 affecte également de nombreuses protéines exprimées en teneur dans le lait. Ces résultats indiquent que la composition fine du lait pourrait être modifiée par sélection, même si les grands équilibres entre composants peuvent difficilement être bouleversés. Il est ainsi possible d’augmenter la fraction de caséines dans les protéines. Il est aussi possible d’augmenter la fraction d’AG insaturés dans le lait, mais sans doute au prix d’une diminution du taux butyreux.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
20

PRACHE, S., B. AUROUSSEAU, M. THERIEZ, and M. RENERRE. "Les défauts de couleur du tissu adipeux sous-cutané des carcasses d’ovins." INRAE Productions Animales 3, no. 4 (October 10, 1990): 275–85. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.4.4386.

Full text
Abstract:
Les caractéristiques de couleur et de fermeté de 27 échantillons de tissu adipeux récoltés en abattoir (4 blancs, 4 jaunes, 19 brun-rouge) ont été décrites par différentes méthodes utilisables en abattoir ou en laboratoire (en particulier, la spectrocolorimétrie). Pour certains de ces échantillons, des informations concernant les conditions d’élevage des animaux ont pu être collectées. Les tissus adipeux blancs « de référence » étaient fermes et correspondaient à des agneaux produits essentiellement à l’herbe. Nous y avons trouvé une faible quantité de pigments héminiques, probablement de l’oxyhémoglobine résiduelle après saignée. Les tissus adipeux jaunes étaient colorés par des pigments héminiques, et par des pigments caroténoïdes et/ou de la bilirubine et présentaient des caractéristiques de fermeté assez proches de celles des tissus adipeux blancs. Les origines possibles de ces défauts de coloration sont présentées. Les tissus adipeux brun-rouge provenaient généralement d’animaux ayant reçu des rations riches en concentré. Ces tissus présentaient des défauts de fermeté dus à une diminution de leur teneur en lipides et à une modification de leur composition en acides gras. Le défaut de coloration a pu être attribué 1) à un effet du degré de fermeté du tissu adipeux sur la réflexion de la lumière, 2) à l’accumulation excessive de pigments héminiques. Celle-ci résulte de la fragilisation de la membrane des érythrocytes du fait des caractéristiques de composition en acides gras des phospholipides, 3) aux produits de la peroxydation des acides gras insaturés, elle même stimulée par ces pigments héminiques.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
21

MÉDALE, F., R. LE BOUCHER, M. DUPONT-NIVET, E. QUILLET, J. AUBIN, and S. PANSERAT. "Des aliments à base de végétaux pour les poissons d’élevage." INRAE Productions Animales 26, no. 4 (August 18, 2013): 303–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.4.3159.

Full text
Abstract:
L'aquaculture mondiale se développe (+ 8% par an) pour répondre à une demande croissante des consommateurs que les captures de pêche ne peuvent plus couvrir. Les besoins en aliments piscicoles et donc en matières premières s’accroissent, alors que les volumes de farines et huiles de poisson, ingrédients traditionnels des aliments aquacoles, ne peuvent augmenter. Selon les espèces, 80 à 95% de la farine de poisson peut être substituée par un mélange de sources protéiques végétales apportant les acides aminés indispensables en quantité suffisante pour couvrir les besoins des poissons. Au-delà de ce taux de remplacement, on observe une baisse de la consommation d'aliment, de l'efficience alimentaire et de la croissance, bien que les aliments contiennent les nutriments nécessaires aux poissons. Quant à l'huile de poisson, elle peut être remplacée jusqu’à 80 ou 100% par des huiles végétales sans effet délétère sur la croissanceet la santé des poissons, à condition que le régime apporte en quantité suffisante les acides gras essentiels à la couverture des besoins, qui diffèrent selon l'espèce : contrairement aux poissons marins, les salmonidés disposent en effet d’une relative capacité de synthèse d’acides gras longs polyinsaturés omega 3 à partir de l’acide linoléique. La conséquence majeure est une baisse de la teneur de ces acides gras dans la chair. Les recherches doivent se poursuivre pour affranchir encore davantage l'aquaculture des produits de la pêche, en choisissant des matières premières alternatives qui garantissent une production piscicole efficace, des produits de haute qualité et des impacts environnementaux limités.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
22

MOUROT, J., and B. LEBRET. "Modulation de la qualité de la viande de porc par l’alimentation." INRAE Productions Animales 22, no. 1 (February 14, 2009): 33–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.1.3330.

Full text
Abstract:
Parmi les facteurs d’élevage influençant la qualité de la viande chez le porc, l’alimentation joue un rôle central. Le niveau et le profil de distribution de la ration (restriction puis réalimentation) influencent la vitesse et la composition du gain de poids (protéines/lipides) aux niveaux corporel et tissulaire, et, donc, la composition de la carcasse et des tissus. La qualité sensorielle de la viande peut être ainsi modifiée, notamment via la teneur en lipides intramusculaires. L’équilibre entre les principaux nutriments, notamment les protéines et l’énergie de la ration, conditionnent également la vitesse et la nature des dépôts tissulaires, pouvant ainsi affecter la qualité sensorielle des viandes. La nutrition constitue un puissant levier pour modifier le profil lipidique des viandes porcines, la teneur en acides gras (polyinsaturés n-3 notamment), et par suite leur valeur nutritionnelle.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
23

LESSIRE, M. "Qualité des viandes de volaille : le rôle des matières grasses alimentaires." INRAE Productions Animales 8, no. 5 (October 24, 1995): 335–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.5.4147.

Full text
Abstract:
D’année en année, la consommation de viande de volaille va croissante en France au détriment des autres produits carnés. Cet engouement a pour raisons essentielles un prix resté modéré et la moindre teneur en lipides des viandes de volaille. Or, le poulet en particulier est devenu de plus en plus gras. L’objet de cet article est de préciser les facteurs d’origine alimentaire responsables de l’engraissement des oiseaux. L’augmentation du niveau énergétique de la ration, et surtout du rapport calories sur protéines accroissent beaucoup plus l’engraissement du poulet que la quantité des lipides ingérés. A l’inverse, la nature de ces lipides peut modifier profondément les profils en acides gras des dépôts adipeux et avoir ainsi un effet sur la stabilité et la qualité organoleptique et diététique du produit.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
24

CORINO, C., G. PASTORELLI, V. DOUARD, R. ROSSI, M. MUSELLA, and J. MOUROT. "L’acide linoléique conjugué en nutrition porcine." INRAE Productions Animales 19, no. 1 (March 12, 2006): 39–46. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2006.19.1.3479.

Full text
Abstract:
Les CLA ont plusieurs effets biologiques intéressants vis-à-vis de la santé&nbsp;: ils ont une propriété anticarcinogène, une activité anti-athérosclérose et antioxydante. Ils diminuent l’obésité et apparaissent comme un facteur capable de stimuler la réponse immunitaire. En nutrition porcine, l’influence sur les performances de croissance est limitée et on peut observer seulement un faible effet positif sur l’efficacité alimentaire. La composition corporelle et les paramètres de la qualité de la viande sont peu modifiés, l’adiposité apparaissant diminuée avec les CLA. La composition en acides gras (AG) du tissu adipeux et du muscle est modifiée par le traitement avec CLA : la teneur en AG saturés est augmentée et la teneur en AG monoinsaturés est diminuée. Les CLA sont retrouvés dans le muscle et dans le tissu adipeux des porcs en ayant ingéré. La quantité déposée dépend de la consommation journalière. Les CLA ont un important effet immunomodulatoire. Chez la truie alimentée avec un régime contenant des CLA, on peut observer dans le colostrum une concentration très élevée en IgG, IgM et IgA avec un effet positif sur l’immunité passive des porcelets et sur leur croissance. L’influence des CLA sur la composition en lipides du tissu adipeux peut être très importante d’un point de vue technologique pour le contenu plus élevé en acides gras saturés et d’un point de vue nutritionnel en raison de l’apport de CLA. De même l’effet immuno-modulatoire chez la truie pourra permettre de jouer un rôle intéressant vis-à-vis de l’immunité chez le porcelet.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
25

GONDRET, F., and J. F. HOCQUETTE. "La teneur en lipides de la viande : une balance métabolique complexe." INRAE Productions Animales 19, no. 5 (December 14, 2006): 327–38. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2006.19.5.3499.

Full text
Abstract:
La teneur en lipides intramusculaires est une composante importante de la qualité des produits carnés, et en particulier de leur acceptabilité sensorielle. Les facteurs susceptibles de modifier la quantité de lipides dans les muscles de l’animal au moment de son abattage sont multiples, parmi lesquels son génotype, son type sexuel, son âge et son alimentation. Cependant, les déterminismes métaboliques ou géniques de la teneur en lipides intramusculaires restent mal connus. Des travaux récents montrent que l’importance des flux de lipides dans le muscle et l’orientation d’une balance entre de nombreuses voies impliquées dans la lipogenèse des acides gras d’une part et leur oxydation d’autre part, seraient responsables de l’essentiel de la variabilité de la teneur en lipides intramusculaires durant la période postnatale. Les mécanismes précoces qui président au contrôle du nombre d’adipocytes intramusculaires (c’est-à-dire à la prolifération et différenciation cellulaires) seraient majoritairement à l’origine des différences de teneur en lipides intramusculaires en fonction du génotype de l’animal ou de la sélection génétique intra-race. Les approches à haut débit sans a priori, telles que la transcriptomique et la protéomique, devraient prochainement aboutir à l’identification de nouvelles cibles permettant le contrôle de la teneur en lipides intramusculaires, indépendamment de l’adiposité corporelle des animaux.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
26

Lavaud, J. J., and Jacques Bouard. "Influence de l'incision annulaire sur la qualité des pépins de raisin : conséquences sur leurs teneurs en lipides." OENO One 19, no. 2 (June 30, 1985): 63. http://dx.doi.org/10.20870/oeno-one.1985.19.2.1319.

Full text
Abstract:
<p style="text-align: justify;">Les incisions annulaires provoquent une modification de la teneur en acides gras totaux des pépins. Une augmentation se produit lorsque les grappes restent en relation avec l'extémité apicale du rameau, une diminution dans le cas contraire. Cette influence est très nette sur les lipides neutres où elle affecte seulement les acides palmitique et linoléique.</p><p style="text-align: justify;">+++</p><p style="text-align: justify;">The level of total fatty acids is modified by girdling. When clusters are in relationship with the apical end of the cane the level of total fatty acids increases, however it decreases when it is in relation with the base of the cane. This influence is very marked on neutral lipids, and it has an effect only on palmitic and linoleic acids.</p>
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
27

COULON, J. B., and A. PRIOLO. "La qualité sensorielle des produits laitiers et de la viande dépend des fourrages consommés par les animaux." INRAE Productions Animales 15, no. 5 (December 15, 2002): 333–42. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.5.3712.

Full text
Abstract:
La nature des fourrages ingérés par les ruminants est un des facteurs de variation de la qualité sensorielle des produits laitiers et de la viande. L’effet de ce facteur a été récemment mis en évidence, en particulier dans le cadre des produits d’Appelation d’Origine Contrôlée, pour lesquels l’alimentation des animaux constitue un élément important de liaison au terroir. Sur les fromages, la conservation de l’herbe sous forme d’ensilage ne semble pas entraîner, lorsqu’elle est réalisée dans de bonnes conditions, de modifications importantes des caractéristiques sensorielles, exception faite de la couleur, plus jaune avec l’ensilage. Les régimes à base d’herbe pâturée conduisent à des fromages dont la couleur, le goût et l’odeur sont plus intenses que ceux issus d’une alimentation hivernale à base d’herbe conservée sous forme de foin et d’ensilage. La composition botanique de l’herbe modifie aussi les caractéristiques sensorielles des fromages. Les écarts les plus importants concernent la texture et sont obtenus sur des fromages à pâte pressée cuite lorsque les vaches pâturent des prairies très diversifiées. Ces différences sensorielles peuvent être dues à des constituants du lait directement issus de l’alimentation. C’est le cas des carotènes, responsables de la couleur jaune des produits laitiers, et qui sont présents en grande quantité dans les fourrages verts. Elles peuvent aussi être liées à des constituants du lait produit par l’animal de manière différentielle selon l’alimentation offerte. C’est le cas de la teneur en plasmine du lait ou de la composition de ses matières grasses, qui peuvent modifier la texture du fromage. La viande des animaux finis à l’herbe est plus sombre et moins tendre que celle des animaux finis avec des régimes riches en concentrés. Cet effet pourrait être lié d’une part à une modification du pH ultime de la viande (pour la couleur), mais aussi à l’âge à l’abattage (plus avancé avec les régimes à base d’herbe), à l’état d’engraissement des carcasses et à la teneur en gras intramusculaire (plus élevés avec les régimes riches en concentrés), qui peuvent modifier à la fois la couleur et la tendreté des viandes. L’alimentation à l’herbe influence aussi la flaveur de la viande. Cet effet serait lié d’une part à l’interaction entre les acides gras à chaînes ramifiées (considérés comme responsables de la flaveur caractéristique de la viande ovine) et le scatole (issu de la dégradation du tryptophane) qui renforcerait la perception sensorielle des acides gras à chaînes ramifiées, et d’autre part à la teneur en acide linolénique. Les produits d’oxydation de cet acide sont en effet associés aux flaveurs spécifiques de la viande.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
28

Tenyang, Noël, Roger Ponka, and Hilaire Macaire Womeni. "Effect of local hot smoking on proximate composition, lipid oxidation, fatty acid profile and minerals content of Chrysichthys nigrodigitatus from Lake Maga in Cameroon." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 4 (August 17, 2020): 1124–27. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i4.5.

Full text
Abstract:
Fish with higher nutrient qualities can be used to solve malnutrition problems in Africa. So the aim of this study was to evaluate the effect of local smoking on proximate composition and lipid oxidation of Chrysichthys nigrodigitatus collected in Cameroon. The proximate composition was assessed using standard methods while lipid quality assessment was based on the determination of biochemical indexes. A change on fatty acid composition was evaluated by gas chromatography while minerals composition was evaluated by spectrophotometer. On nutritional point of view, raw fish have high protein, lipid and ash contents (51.87, 37.48 and 8.55 g/100 g dry weight respectively). Unsaturated fatty acid may be up to 57% of the total fatty acids. Raw C. nigrodigitatus contain reasonable amount of minerals. Smoking process increased ash and lipid content while proteins and moisture contents are reduced in these fish. The iodine value of C. nigrodigitatus was reduced while acid, peroxide and TOTOX values increased during smoking. The marked decrease of polyunsaturated fatty acids was noted during processing. Mineral contents were affected by smoking process. Calcium, magnesium, potassium, sodium, manganese and iron contents increased significantly. In conclusion, hot smoking enhances nutrients content of C. nigrodigitatus while significant reduction in lipid quality was recorded.Keywords: Chrysichthys nigrodigitatus, smoking process, nutritional value, lipid oxidation, mineral contents. Frence Title; Effet du fumage traditionnel sur la composition chimique, l’état d’oxydation des lipides, la composition en acide gras et la teneur en minéraux de Chrysichthys nigrodigitatus du Lac Maga au Cameroun Le Poisson est l’une des sources d’éléments nutritifs de qualité pouvant contribuer à prévenir la malnutrition en Afrique. Ce travail s’est donné pour objectif d’évaluer l’effet du fumage traditionnel sur la composition chimique et l’état d’oxydation des lipides de Chrysichthys nigrodigitatus provenant du Lac Maga au Cameroun. Les méthodes standards ont été utilisées pour la détermination de la composition chimique, la mesure de l’état d’oxydation des lipides par des indices chimiques, la composition en acides gras par chromatographie en phase gazeuse et les minéraux par spectrophotométrie. Du point de vue nutritionnel, ce poisson frais contient respectivement 51,87 ; 37,48 and 8,55 g/100 g de matière sèches de protéines, lipides et cendres. Il contient également 57% d’acides gras insaturés et une quantité raisonnable de minéraux. Le traitement de fumage provoque une augmentation de la teneur en cendres et en lipides. Par contre la teneur en eau et en protéines diminuent. L’indice d’iode baisse tandis que les indices d’acide, de peroxyde et de TBARs augmentent. Une diminution du taux d’acides gras polyinsaturés est observée. Les minéraux sont également affectés au cours du fumage. Le traitement de fumage améliore la teneur en nutriments de C. nigrodigitatus, par contre réduit la qualité lipidique de celui-ci. Mots clés : Chrysichthys nigrodigitatus, fumage, valeur nutritionnelle, oxydation des lipides, teneur en minéraux.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
29

COMBES, S. "Valeur nutritionnelle de la viande de lapin." INRAE Productions Animales 17, no. 5 (October 5, 2004): 373–83. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.5.3610.

Full text
Abstract:
Les aliments pour l’homme, outre leurs aspects nutritionnels de couverture des besoins, ont acquis depuis peu une valeur santé. Face à ce phénomène, de nouveaux besoins de connaissances concernant les constituants des aliments sont apparus. Cet article a pour objet de montrer les points forts et les lacunes dans les connaissances relatives à la valeur nutritionnelle de la viande de lapin. 50 publications ont été sélectionnées. Pour des lapins aux âges et poids commerciaux d’abattage, les teneurs en protéines (21 + 1,5 % de viande fraîche), eau (72,5 + 2,5 % de viande fraîche) et minéraux totaux (1,2 + 0,1 % de viande fraîche) sont similaires dans les différents travaux et ne nécessitent pas d’autres investigations. Les principales causes de variations de la teneur en lipides (5 + 3,3 % de viande fraîche) sont connues et bien décrites (région anatomique et alimentation principalement). La viande de lapin est pauvre en sodium (49 mg/100 g) mais riche en phosphore (277 mg/100 g). Les teneurs en certains éléments tels le fer (1,4 mg/100 g), le cuivre ou le sélénium ne sont pas suffisamment bien établies. Par ailleurs les teneurs d’autres oligo-éléments n’ont à notre connaissance jamais été évaluées. Enfin, les données disponibles semblent indiquer que la viande de lapin montre un profil global en vitamines proche de celui observé chez le poulet. Il est cependant nécessaire de confirmer ces observations. La viande de lapin présente une teneur en cholestérol relativement basse comparativement aux autres viandes de 59 mg/100g et un ratio en acides gras oméga 6 / oméga 3 avantageux de 5,9. L’équilibre en acide gras de la viande de lapin, animal monogastrique et herbivore, montre par ailleurs une remarquable plasticité en fonction de l’équilibre en acide gras de la ration.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
30

Ndrianaivo, Elia N., Louisette Razanamparany, and J. P. Bergé. "Amélioration de la qualité du poisson fumé/séché, aliment accessible pour tous à Madagascar." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 67, no. 3 (June 30, 2015): 107. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10171.

Full text
Abstract:
Madagascar produit 5 900 tonnes de poissons fumés/séchés par an. Ces produits riches en protéines et à prix abordable se conservent facilement à température ambiante. Les poissons fumés/séchés sont prisés par la population malgache à faible revenu mais restent encore mal connus des consommateurs. De plus, l’infestation par les insectes entrave la conservation de ces produits. L’étude a eu pour but d’évaluer les caractéristiques de ces poissons, puis d’améliorer les méthodes ancestrales de fabrication et de conservation.Les analyses physico-chimiques et biochimiques ont été effec­tuées par des méthodes usuelles de dosage des composants ali­mentaires (tableau I). Une chromatographie en phase gazeuse a permis d’établir les profils acides aminés et acides gras des échantillons. Un jury spécialisé dans les produits halieutiques a participé aux analyses sensorielles.Le poisson fumé/séché contient moins de 10 p. 100 d’eau, per­mettant une conservation de 60 jours à température ambiante. Cet aliment riche en protéines (> 55 p. 100) (tableau I) renferme des teneurs élevées en acides aminés essentiels (entre 19 et 23 p. 100) (tableau II). Source de lipides (16 à 22 p. 100), il com­prend des acides gras insaturés, comme les acides oléique, lino­léique et arachidonique. Il s’oxyde toutefois facilement (indice totox : 181) ce qui influe sur les caractéristiques sensorielles : odeur rance, un peu aigre. L’odeur de fumée est peu intense car la teneur en phénols totaux est faible (0,2 à 1,1 mg/100 g) (4). Après cuisson, une odeur et une saveur caractéristiques de poulet se développent. Ces produits sont parfois riches en hydro­carbures aromatiques polycycliques (HAP), comme le benzopy­rène, nocifs pour l’homme (tableau III) (2). Les teneurs mesurées ici allaient jusqu’à 7 μg/kg, valeur bien supérieure à la limite recommandée de 2 μg/kg. D’autre part, ces produits pouvaient être infestés par des insectes.Des matériels pilotes, une tente solaire et un fumoir métallique, ont été construits et testés (1, 6). La tente solaire a limité l’in­festation par les insectes et le fumoir a permis de concentrer la fumée, contribuant à un fumage plus intense (9,4 mg/100 g de phénols totaux) et à une diminution de la teneur en HAP (réduite à 0,5 μg/kg) grâce à une meilleure maîtrise de la pyro­lyse (tableau III) (5). L’odeur et le goût de poulet étaient toujours présents avec une odeur de fumée plus accentuée. L’odeur rance a été atténuée. Un salage à 8 p. 100 a favorisé la conservation du produit en limitant la prolifération des insectes (3). Le poisson fumé/séché a gardé ses qualités nutritionnelles, ses caractéris­tiques organoleptiques ont été améliorées et la toxicité a été fortement réduite. L’utilisation d’autres matériels de séchage et de stockage permettant de lutter contre l’infestation des insectes est envisageable.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
31

BAS, P., and D. SAUVANT. "Variations de la composition des dépôts lipidiques chez les bovins." INRAE Productions Animales 14, no. 5 (December 19, 2001): 311–22. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3755.

Full text
Abstract:
La teneur et le profil des acides gras (AG) des dépôts adipeux et des muscles influencent la qualité de la viande. Les principales causes de variation de la composition des lipides de ces dépôts ont été étudiées chez les bovins par méta-analyse des données publiées. Le taux de lipides intramusculaires est influencé par le génotype et par le niveau d’ingestion d’énergie. L’accroissement des teneurs en lipides intramusculaires est presque exclusivement constitué de triglycérides (TG). La teneur en phospholipides (PL) varie peu pour un type de muscle donné. Les TG sont plus riches en AG monoinsaturés (AGMI) et en AG saturés (AGS) (TG / PL = 1,9 - 1,3 - 4,5 - 1,2 et 1,1 pour les AGMI - AGS - C14:0 - C16:0 et C18:0, respectivement) mais plus pauvres en AG polyinsaturés (TG / PL : environ 1/15 pour les AGPI) que les PL. Avec des rations contenant des aliments concentrés non supplémentés en matières grasses, les dépôts adipeux et les muscles présentent des teneurs plus faibles en C18:0 et en C18:3 mais plus élevées en C18:1 qu’avec des rations constituées uniquement de fourrage. En outre, dans les lipides intramusculaires, le rapport des AGPI n-6/n-3 est plus élevé avec des aliments concentrés qu’avec du fourrage. Excepté les huiles de palme et les graines de coton, les matières grasses végétales réduisent les teneurs en AGS dans les dépôts adipeux par rapport aux matières grasses d’origine animale. Les graines de lin et de carthame induisent les teneurs en AGPI les plus élevées dans les dépôts adipeux et le lin induit les teneurs les plus élevées en C18:3 dans les muscles. Dans les muscles, les teneurs en C18:2 sont peu influencées par la nature de la matière grasse ajoutée à la ration lorsque celle-ci n’est pas protégée. Les huiles de poisson diminuent les teneurs en C18:0 des muscles et augmentent les teneurs en AGPI à longue chaîne de la série n-3. Une supplémentation de la ration en matières grasses a un effet différent sur la composition en acides gras des triglycérides et des phospholipides des muscles selon la proportion relative des différentes classes de lipides.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
32

Guesnet, Philippe, Nicole Combe, Gérard Ailhaud, and Jean-Marc Alessandri. "La teneur en acides gras polyinsaturés du lait maternel : un marqueur biologique fiable du niveau de consommation des populations." Oléagineux, Corps gras, Lipides 16, no. 1 (January 2009): 1–3. http://dx.doi.org/10.1051/ocl.2009.0240.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
33

LEBRET, B., and J. MOUROT. "Caractéristiques et qualité des tissus adipeux chez le porc. Facteurs de variation non génétiques." INRAE Productions Animales 11, no. 2 (July 2, 2020): 131–43. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1998.11.2.3925.

Full text
Abstract:
En production porcine, la réduction de l’adiposité des carcasses au profit de la teneur en maigre obtenue par l’amélioration génétique et l’évolution des conditions d’élevage, a entraîné l’apparition de défauts de qualité des tissus adipeux. La qualité de ces tissus ne peut guère être améliorée par les technologies de transformation, elle dépend des caractéristiques des tissus à l’abattage, celles-ci étant déterminées par les conditions d’élevage des animaux en interaction avec leur type génétique. Les composantes nutritionnelle, organoleptique et technologique de la qualité des tissus adipeux sont fonction de leur composition chimique&nbsp;: teneurs en lipides et en eau, importance de la trame conjonctive, et de la nature des acides gras constitutifs des lipides. Ainsi, tout facteur intrinsèque ou extrinsèque à l’animal entraînant une variation de composition du tissu adipeux modifie en conséquence la qualité de ce tissu. La composition du tissu adipeux varie selon la localisation anatomique, l’adiposité globale de la carcasse et le type sexuel. Parmi les facteurs d’élevage, l’alimentation, en particulier la nature des acides gras ingérés, la supplémentation du régime alimentaire en vitamine E ou en minéraux, l’administration de promoteurs de croissance (hormone de croissance, béta-agonistes) ainsi que la température d’élevage influencent les propriétés de la fraction adipeuse de la carcasse. Les effets des facteurs d’élevage sur les caractéristiques des tissus adipeux du porc et leurs relations avec la qualité sont relativement bien établis. La maîtrise de la qualité des tissus adipeux est donc maintenant accessible, et ne dépend plus que de l’importance relative accordée à la qualité dans les coûts de production, au sein de la filière porcine.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
34

BERDAGUE, J. L., R. JEUNET, R. GRAPPIN, and G. DUBOZ. "Affinage et qualité du Gruyère de Comté. III. Fermentation lactique et teneur en acides gras volatils des fromages de Comté." Le Lait 67, no. 2 (1987): 249–63. http://dx.doi.org/10.1051/lait:1987215.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
35

Aufrère, J., and D. Graviou. "Utilisation de la spectrométrie dans le proche infrarouge pour estimer la teneur en acides gras volatils du jus de rumen." CrossRef Listing Of Deleted DOIs 43, no. 3 (1994): 250. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19940317.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
36

Aufrère, J., and D. Graviou. "Utilisation de la spectrométrie dans le proche infrarouge pour estimer la teneur en acides gras volatils du jus de rumen." Annales de Zootechnie 43, no. 3 (1994): 250. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19940317.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
37

Médale, Françoise. "Teneur en lipides et composition en acides gras de la chair de poissons issus de la pêche et de l’élevage." Cahiers de Nutrition et de Diététique 44, no. 4 (September 2009): 173–81. http://dx.doi.org/10.1016/j.cnd.2009.04.002.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
38

CHILLIARD, Y., A. FERLAY, and M. DOREAU. "Contrôle de la qualité nutritionnelle des matières grasses du lait par l’alimentation des vaches laitières : acides gras trans, polyinsaturés, acide linoléique conjugué." INRAE Productions Animales 14, no. 5 (December 17, 2001): 323–35. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3758.

Full text
Abstract:
Après un rappel des voies métaboliques et des flux de nutriments qui concourent à la lipogenèse mammaire, cet article est consacré aux principaux effets de l’alimentation sur la composition en acides gras (AG) du lait de ruminant, en particulier les AG polyinsaturés, les AG monoinsaturés trans et l’acide linoléique conjugué (CLA). Les principaux facteurs alimentaires étudiés sont la nature des fourrages (dont l’herbe pâturée), le suif, protégé ou non, et la supplémentation des rations avec des huiles végétales ou marines (poisson ou algues), protégées ou non. La supplémentation en suif augmente la sécrétion d’acide oléique. La teneur du lait en C18:2 est comprise entre 2 et 3 % avec les rations non supplémentées en lipides, elle n’est augmentée que de 1,5 point lors d’un apport de graines ou d’huiles riches en C18:2, en raison d’une hydrogénation ruminale poussée. Les rations à base d’herbe (riches en C18:3) augmentent légèrement (0,5 à 1 point) la proportion de C18:3 dans le lait par rapport aux rations à base d’ensilage de maïs. La graine de lin permet un accroissement d’environ 0,3 point. La teneur en C20:5 (EPA) et en C22:6 (DHA) est accrue jusqu’à 0,5 % des AG totaux par l’addition d’huiles marines à la ration. Le taux butyreux du lait peut être fortement diminué par les régimes pauvres en fibres et riches en céréales et/ou par l’administration d’huiles marines ou végétales riches en AG insaturés. Les C18:1 trans, notamment les C18:1 trans 11 et trans 10, mais aussi le trans 10, cis 12 CLA, pourraient jouer un rôle dans cette diminution en inhibant la lipogenèse mammaire. Les régimes alimentaires augmentant les proportions des CLA et des C18:1 trans dans le lait sont ceux qui apportent des précurseurs lipidiques pour la formation de ces AG, ou qui modifient l’activité microbienne associée à l’hydrogénation ruminale des AG polyinsaturés ou l’activité de la désaturase mammaire. L’influence de l’alimentation sur les différents isomères du C18:1 et du CLA du lait a été peu étudiée.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
39

BOCQUIER, F., and G. CAJA. "Production et composition du lait de brebis : effets de l’alimentation." INRAE Productions Animales 14, no. 2 (April 16, 2001): 129–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.2.3734.

Full text
Abstract:
Le niveau d’alimentation est un des facteurs d’élevage qui affecte la production et la composition du lait chez la brebis laitière. La production laitière augmente avec le niveau d’alimentation et inversement, alors que les effets sur la composition du lait sont moins nets. Le taux butyreux du lait est généralement corrélé négativement au bilan énergétique des brebis, alors que le taux protéique est corrélé positivement avec celui-ci : un niveau d’alimentation élevé diminue généralement la teneur en matières grasses du lait et augmente légèrement la teneur en protéines. La distribution de grandes quantités de concentrés, qui est un moyen simple d’augmenter l’apport d’énergie dans la ration, risque de provoquer une chute des taux butyreux et protéique et, secondairement, entraîne une réorientation des flux d’énergie vers le dépôt de gras corporel. Lorsque la brebis n’a pas atteint son potentiel de production, l’augmentation de la teneur protéique de la ration augmente la production de protéines du lait, mais sans modification du taux protéique du lait. L’utilisation de certains nutriments tels que les matières grasses ou les acides aminés protégés semble intéressante comme moyen d’accroître les teneurs en matières grasses et/ou protéiques du lait, mais peu d’expériences ont été effectuées sur brebis laitières et l’intérêt de ces nutriments est encore mal connu. Dans les conditions pratiques d’élevage de brebis laitières, généralement alimentées en groupes, les effets de l’alimentation sont souvent masqués par d’autres facteurs d’élevage connus pour modifier eux-mêmes la composition du lait. Il est donc nécessaire de prendre en compte la variabilité individuelle (stade de lactation notamment) pour définir la stratégie d’alimentation qui permette de maîtriser la composition du lait collecté.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
40

Ollivier, Christophe, Th Stonestreet, Françoise Larue, and Denis Dubourdieu. "Incidence de la composition colloïdale des moûts blancs sur leur fermentescibilité." OENO One 21, no. 1 (March 31, 1987): 59. http://dx.doi.org/10.20870/oeno-one.1987.21.1.1272.

Full text
Abstract:
<p style="text-align: justify;">La composition colloïdale des moûts, c'est-à-dire les macromolécules solubles et les « bourbes fines », joue un rôle déterminant sur le développement et le terme de la fermentation alcoolique en vinification en blanc sec. La fixation des acides gras par les « bourbes fines » permet l'interprétation partielle du phénomène. Ces résultants montrent qu'il conviendrait, dans la pratique, d'accorder une plus grande attention à la turbidité des moûts débourbés ainsi qu'à leur teneur en macromolécules.</p><p style="text-align: justify;">+++</p><p style="text-align: justify;">Must colloïdal composition, ie soluble macromolecules and « racking light sediments » play an important role on the development and the finishing fermentation in white wine vinification. The fatty acids fixed on the « racking light sediments » allow to explain partially this phenomenon. These results show that it would be convenient, in practical conditions, to pay a greater attention on the turbidity of racked musts and on their macromolecule contents.</p>
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
41

BRUNSCHWIG, P., C. HURTAUD, Y. CHILLIARD, and F. GLASSER. "L’apport de lin dans la ration des vaches laitières : Effets sur la production, la composition du lait et des produits laitiers, les émissions de méthane et les performances de reproduction." INRAE Productions Animales 23, no. 4 (November 14, 2010): 307–18. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.4.3310.

Full text
Abstract:
La supplémentation en lin des rations des vaches laitières est une pratique qui se développe, avec pour objectifs l’amélioration de la qualité nutritionnelle du lait et la diminution des rejets de méthane. En effet, la recherche de laits moins riches en Acides Gras (AG) saturés et avec un rapport plus faible entre acide linoléique et acide linolénique, incite à utiliser des aliments riches en acides gras polyinsaturés (et en particulier en acide alpha-linolénique C18:3 n-3) pour corriger des rations insuffisamment riches en cet AGPI. Parmi les aliments des vaches laitières, le lin est un aliment particulièrement riche en C18:3 n-3. La diminution des rejets de gaz à effet de serre (dont le méthane) est également une préoccupation actuelle des filières animales. De nombreux essais de supplémentation en lin, sous différentes formes, ont été publiés ces dernières années, et les données disponibles permettent de tirer des conclusions sur ces effets attendus. Le présent article fait le point sur les disponibilités en lin et sur les différentes formes d’apport dans les rations. Les effets du lin sur la production laitière, sur la composition du lait et des produits laitiers, la production de méthane et la reproduction sont passés en revue. L’analyse des effets sur le lait s’appuie sur 41 essais zootechniques publiés. La culture de lin oléagineux est peu importante en France. L’approvisionnement est fait dans des pays européens et au Canada. Les variétés présentent des teneurs variables en acide alpha-linolénique. L’introduction de lin dans la ration diminue un peu la quantité de MS ingérée mais ne modifie en général pas la production laitière (volumes et taux). La teneur du lait en AG saturés diminue et le pourcentage en C18:1-trans est augmenté, et ce d’autant plus que l’apport de lipides se fait sous forme non protégée (graines extrudées, huile) et avec des rations riches en amidon (pour les AG trans). La teneur en C18:2 n-6 n’est en moyenne pas modifiée, sauf par l’apport d’huile. La proportion en C18:3 n-3 du lait est multipliée en moyenne par 2 ou 3 pour les formes pratiques les plus efficaces (graines aplaties, farine), et peut atteindre jusqu’à 1,4% des AG du lait avec ce type de supplémentations. Il n’apparaît pas d’effet dose de lipides apportée pour le C18:2 n-6 et le C18:3 n-3, alors qu’il en existe un pour les C18:1-trans. Le beurre et les fromages ont la même composition en AG que le lait dont ils proviennent. Les qualités organoleptiques de beurres et fromages ne sont pas modifiées par l’addition de lin dans la ration. Différents effets sont cités dans la bibliographie pour expliquer une augmentation potentielle de la fertilité, qui reste à confirmer. La production ruminale de méthane est diminuée par l’ajout de lin dans la ration. En conclusion, l’ajout de lin à la ration des vaches laitières a des effets analogues à ceux d’introduction d’herbe dans le régime fourrager, à l’exception d’une teneur en AG trans supérieure.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
42

Bouziane, MN, J. Prost, and J. Belleville. "Effets de la teneur en protéines du régime sur le transport plasmatique des acides gras essentiels par les VLDL chez le rat en croissance." Reproduction Nutrition Développement 31, no. 3 (1991): 293. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19910314.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
43

Kouakou, N’Goran David Vincent, Seydou Ba Mohamed Coulibaly, Cho Euphrasie Monique Angbo-Kouakou, Yélèhi Diane Ahongo, Nogbou Emmanuel Assidjo, and Maryline Kouba. "Viande de lapin (Oryctolagus cuniculus L.) enrichie en oméga 3 avec un aliment contenant de l’euphorbe (Euphorbia heterophylla L.)." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 72, no. 3 (October 7, 2019): 107. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31779.

Full text
Abstract:
Euphorbia heterophylla est une adventice dont les feuilles et les tiges peuvent constituer 70 % de l’alimentation des lapins (Oryctolagus cuniculus L.). Par ailleurs, sa teneur en acide-linolénique (ALA, C18:3 n-3) (56 % des acides gras totaux) est proche de celle du lin (Linum usitatissimum). Afin de contribuer à un meilleur équilibre nutritionnel des populations, l’effet de la durée de la supplémentation d’un régime alimentaire à base de granulé (MOD0) par les feuilles et les tiges de cette adventice sur les teneurs en acide linoléique (LA, C18:2 n-6) et en ALA des muscles semimembranosus, longissimus dorsi et du tissu adipeux périrénal des lapins en croissance a été étudié. Le régime témoin (MOD0) a été supplémenté par 50 % de matière sèche d’euphorbe de la naissance a trois mois d’âge (MOD90) ou par 50 % de matière sèche d’euphorbe seulement durant un mois entre 61 et 91 jours d’âge (MOD30). Les ratios LA/ALA étaient de 9,8, 2,1 et 1,5 dans le muscle semimembranosus, de 11,8, 4,6 et 2,1 dans le longissimus dorsi, et de 8,6, 2,0 et 1,0 dans le tissu adipeux perirenal, respectivement pour MOD0, MOD30 et MOD90 (p < 0,001). La durée de la supplémentation d’au moins 30 jours par l’euphorbe a eu un impact positif sur les ratios LA/ALA qui ont été conformes à la recommandation internationale (≤ 5) pour la nutrition humaine. En conclusion, la supplémentation appropriée des régimes de lapins par l’euphorbe, dans les régions ou elle abonde, sera bénéfique pour la santé humaine.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
44

BESLE, J. M., and J. P. JOUANY. "La biomasse pariétale des fourrages et sa valorisation par les herbivores." INRAE Productions Animales 3, no. 1 (February 3, 1990): 39–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.1.4359.

Full text
Abstract:
Au sein de la biomasse végétale, les composés à teneur élevée en parois constituent une source d’aliments que seuls les herbivores peuvent utiliser. Parmi les herbivores, le Ruminant a été de loin le plus étudié. Les processus de dégradation anaérobie des composés lignocellulosiques dans le rumen mettent en jeu le rôle spécifique des micro-organismes (bactéries, protozoaires, champignons). Les produits du métabolisme microbien sont directement utilisés par l’animal hôte comme source d’énergie (acides gras volatils) ou comme principal fournisseur d’acides aminés (protéines microbiennes synthétisées dans le rumen) ou de vitamines (vitamines B). La teneur en lignine élevée de certains fourrages est cause d’une médiocre dégradation par les micro-organismes du tube digestif. Il est possible d’améliorer leur utilisation par trois moyens. Les traitements technologiques sont très nombreux mais seuls ceux aux alcalis, surtout à l’ammoniac, et, dans certains cas le broyage et les traitements hydrothermiques sont économiquement rentables et se développent dans la pratique. Les procédés aux moisissures blanches doivent encore être développés. Les autres traitements chimiques (oxydants, SO2), physiques (irradiation) et biologiques (enzymes, bactéries apportant des nutriments), ne sont pas suffisamment rentables. Les améliorations apportées par les meilleurs traitements ne permettent pas cependant de dépasser une digestibilité de 0,5 - 0,6 pour les résidus très lignifiés. Les recherches futures doivent développer d’autres voies tout en perfectionnant (efficacité, économie) les procédés actuels. L’optimisation de l’activité microbienne dans le rumen peut être atteinte en fournissant aux microbes les nutriments dont ils ont besoin. En outre, l’emploi du génie génétique ouvre des perspectives dans l’amélioration de la production d’enzymes microbiennes particulièrement efficaces à l’égard des parois ou en permettant le développement de certaines activités microbiennes dans des conditions de milieu peu favorables (cellulolyse en milieu de pH faible). L’optimisation des fermentations peut être atteinte en choisissant le type d’herbivore dont les caractéristiques morphologiques et physiologiques des réservoirs de fermentation sont optimisées, en premier lieu par leur position (rumen ou gros intestin) puis en sélectionnant divers critères (capacité, temps de séjour des aliments, répartition des phases liquides et solides, ...). Cette approche est d’un intérêt considérable pour les pays qui s’orientent vers un système d’utilisation des résidus très lignifiés de l’agriculture.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
45

CHILLIARD, Y. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 12, no. 4 (September 1, 1999): 247. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.4.3884.

Full text
Abstract:
La synthèse des lipides est une composante importante de l’efficacité et de la qualité des productions animales : - des produits de qualité (viande, lait, oeufs, foie gras, ...) doivent être adaptés aux demandes - parfois contradictoires - des transformateurs et des consommateurs, tant pour leur teneur en lipides que pour la composition de ceux-ci (classes de lipides - cholestérol notamment - et leur composition en acides gras - saturés, polyinsaturés, trans...) qui peuvent modifier leurs caractéristiques technologiques, organoleptiques et diététiques ; - une production efficace suppose d’assurer une production minimale de lipides, en raison de leurs effets positifs sur la qualité, tout en évitant une production excessive qui peut nuire à la qualité et se traduire par un gaspillage énergétique du fait du dépôt ou de la sécrétion de lipides animaux peu valorisables ; - l’adaptation des animaux à des périodes de sous-nutrition physiologique (fin de gestation, début de lactation ...) ou économique (économie d’aliments coûteux) suppose que les réserves lipidiques corporelles mobilisées soient ensuite reconstituées efficacement. Compte tenu de ces enjeux importants pour les différentes filières de production et de la diversité des problématiques de recherche rencontrés pour les différentes espèces domestiques élevées en France, un programme a été mis en place à l’INRA, de 1994 à 1998, à l’initiative de F. Grosclaude et de la Direction Scientifique des Productions Animales. Outre les avancées significatives des méthodes d’étude (notamment utilisation des outils moléculaires), et des connaissances mécanistiques et pratiques qui émergent de cet ensemble de travaux, il faut souligner la dynamique induite par ce programme, avec un développement important de collaborations entre équipes travaillant dans des sites géographiques différents et sur des espèces, des situations physiologiques et des types de produits très variés. Ces travaux ont fait l’objet d’un symposium satellite "Lipogenèse chez les animaux domestiques" dans le cadre des 3èmes journées franco-britanniques de Nutrition (AFN-NS-SNDLF) qui ont eu lieu à Nancy du 30 septembre au 2 octobre 1998. Le présent ouvrage regroupe sept articles d’équipes de l’INRA, qui replacent leurs résultats récents dans le cadre des connaissances disponibles sur la lipogenèse chez huit espèces domestiques (poissons, oiseaux, mammifères monogastriques et ruminants) et onze types de production (viande, oeufs, foie gras, races spécialisées ...). En outre, un texte prospectif de synthèse préparé par R.G. Vernon et al (Hannah Research Institute, Ecosse) compare les animaux domestiques, les rongeurs et l’Homme, et présente les récentes évolutions des recherches sur les mécanismes régulant les voies lipogéniques de différents tissus (muscle, foie, tissu adipeux et glande mammaire).
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
46

Moletta, R. "Contrôle et conduite des digesteurs anaérobies." Revue des sciences de l'eau 2, no. 2 (April 12, 2005): 265–93. http://dx.doi.org/10.7202/705031ar.

Full text
Abstract:
L'utilisation de la digestion anaérobie comme outil de dépollution présente de nombreux intérêts. la méconnaissance du processus a conduit à des incidents de fonctionnement qui ont induit une méfiance vis-à-vis du processus et une résistance à son implantation. Les connaissances acquises ces quinze dernières années sur la digestion anaérobie ont permis de définir la nature des paramètres à contrôler pour surveiller l'écosystème et leurs plages de valeurs à respecter pour que le processus fonctionne bien. Les paramètres sont de deux types : ceux qui vérifient que les conditions de fonctionnement imposées soient bien réalisées (comme les débits de liquide, la température, la concentration en DCO de l'alimentation) et ceux qui permettent de contrôler l'état biologique de l'écosystème (le pH, la teneur en H2 dans tes gaz, la concentration en acides gras volatils...). Les variations de certains de ces paramètres sont directement couplées à la modification du fonctionnement des microorganismes, d'autres ne sont que les résultats de la variation d'autres paramètres et n'ont donc pas la même importance pour exprimer les variations observées dans l'écosystème microbien. Ces paramètres peuvent dans la plupart des cas, être mesurés de manière simple par des capteurs, ce qui permet d'envisager des contrôles en ligne et une conduite optimale de ces procédés. Ceci doit permettre de meilleures performances, en fonctionnement plus stable du procédé, notamment lors des surcharges organiques. Le choix d'un (ou plusieurs) paramètres de contrôle doit répondre à certains critères, comme un temps de réponse court avec un maximum de variation. Après l'introduction d'une surcharge organique sur un filtre anaérobie de laboratoire, adapté sur vinasse de vin, nous avons comparé les variations de ces différents paramètres. La pression partielle en H2 et le débit de gaz sont détectés rapidement avec une variation d'amplitude de 50 pour H2 et de 4 à 5 pour le débit. Dans la phase Liquide, les variations de pH et la teneur en carbone organique total apparaissent plus tardivement. Lorsque les paramètres de contrôle atteignent des valeurs critiques, il est nécessaire d'engager des actions pour ramener l'écosystème microbien vers un fonctionnement normal. Celles-ci sont principalement, la diminution ou l'arrêt du débit d'alimentation ou l'addition d'une base. La nature et l'amplitude de ces actions sont définies à partir d'algorithmes de types boîte noire ou par des modèles plus structurés. Actuellement la commande adaptative fait l'objet de recherches importantes. C'est à travers ces algorithmes que se situe l'introduction des critères de conduite optimale.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
47

Bourkhiss, M., M. Lachkar, A. Ouakil, A. Farah, and B. Bourkhiss. "Caractérisation physicochimique de l’huile de carthame (Carthamus tinctorius) produite dans le Sud-Est marocain." Phytothérapie, 2021. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2021-0287.

Full text
Abstract:
L’introduction du carthame dans la région de Goulmima (Sud-Est marocain), et son exploitation en tant que plante oléagineuse à fort rendement lipidique et riche en acides gras polyinsaturés, est récente et à une échelle très réduite. Cette étude a pour but de contribuer à la valorisation de l’huile de cette plante par la détermination de son potentiel de rendement, de sa composition en acides gras et de ses caractéristiques physicochimiques. Le rendement en grains est de 2 360 kg/ha, et la teneur en huile obtenue par pressage à froid, exprimée en pourcentage de matière sèche, est de 30,7 %. L’analyse des acides gras montre que l’acide linoléique est l’acide principal, avec un taux de 78,30 %. Les teneurs en acide palmitique, acide stéarique et en acide oléique sont respectivement de 6,76, 4,67 et 9,95 %. Les autres acides gras sont à l’état de traces. L’évaluation des paramètres physicochimiques a révélé une valeur de densité relative de 0,924 ; un degré d’acidité de 0,65 % en acide oléique, un indice de peroxyde de l’ordre de 10,25 meq d’O2/kg d’huile et des indices d’extinction spécifique de l’ordre de 2,34 et 0,63 aux longueurs d’onde de 232 et 270 nm respectivement. L’huile de carthame présente donc des propriétés biochimiques et physicochimiques qui en font une huile d’avenir.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
48

"THE EFFECTS OF DIFFERENT DIETS ON THE FATTY ACID PROFILE OF THE FAIRY SHRIMP CHIROCEPHALUS RUFFOI COTTARELLI & MURA, 1984 (BRANCHIOPODA, ANOSTRACA)." Crustaceana 72, no. 6 (1999): 567–79. http://dx.doi.org/10.1163/156854099503618.

Full text
Abstract:
AbstractNauplii of the anostracan Chirocephalus ruffoi were grown until sexual maturity under standard laboratory conditions (18 +/- 1 C; 12L/12D; 1600 lux light intensity) and fed ad libitum once a day on either an alga (Selenastrum capricornutum), baker's yeast, or a formulated diet. Both parents and cysts, as well as feeds were analysed for their fatty acid profiles and compared with wild adults and cysts. Significant differences (P < 0:05) were recorded among the different treatments. As far as total lipid content is concerned, a correlation was found between feeds and adult shrimps as well as between the latter and the cysts they produced during the different feeding tests. Significant differences (P < 0:05) were also recorded from a qualitative point of view. The results obtained provided evidence that the fatty acid profile of both fairy shrimps and cysts can be manipulated in order to improve their nutritional effectiveness, as it was previously shown in the case of the brine shrimp Artemia (Millamena et al., 1988; Lavens et al., 1989; Navarro & Amat, 1992) and of two other freshwater anostracan species (Mura et al., 1997a). Des nauplii de l'anostrace Chirocephalus ruffoi ont ete eleves jusqu'a maturite sexuelle dans des conditions standard de laboratoire (18 +/- 1 C, 12L/12D, 1600 lux d'intensite lumineuse) et nourris a volonte une fois par jour, soit avec une algue (Selenastrum capricornutum), soit avec de la levure de biere, soit avec une formule composee. Les adultes et les oeufs de duree, ainsi que les aliments, ont ete ensuite analyses quant a leur teneur et composition en acides gras et compares aux adultes et aux oeufs de duree sauvages. Des differences significatives (P < 0,05) ont ete notees suivant les differents traitements. En ce qui concerne le contenu total en lipides, une correlation a ete trouvee entre les aliments et les adultes ainsi qu'entre ces derniers et les oeufs de duree qu'ils produisent au cours des differents tests de nutrition. Des differences significatives (P < 0,05) ont ete observees d'un point de vue qualitatif. Les resultats obtenus mettent en evidence que le profil d'acides gras a la fois des anostraces et de leurs oeufs peut etre manipule dans le but d'ameliorer l'efficacite de la nutrition, comme il avait ete montre dans le cas d' Artemia (cf. Millamena et al., 1988; Lavens et al., 1989; Navarro & Amat, 1992) et de deux autres especes d'anostraces des eaux douces (Mura et al., 1997a).
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
49

Babayemi, O. J., and A. A. Adebayo. "Assessment of nutritive value of selectively grazed forbs by cattle in communal grazing land of Ido Local Government Area, Oyo state, Nigeria." Nigerian Journal of Animal Production 47, no. 5 (December 31, 2020). http://dx.doi.org/10.51791/njap.v47i5.1264.

Full text
Abstract:
Forbs subsidize to nutrients pool of cattle grazing heterogeneous native land. They have sustainability potential to balance nutrients deficiency of tropical grasses that dominate unimproved grazing land. Therefore, selectively grazed forbs by cattle were evaluated with respect to their nutritive value and forage quality indices. Forbs selectively grazed were determined for their chemical composition (g/100g DM), metabolisable energy (ME, MJ/Kg DM) and in-vitro organic matter digestibility (IVOMD %) using Near Infra-Red Spectroscopy (NIRS). In vitro gas production at 24 h incubation, Organic Matter Digestibility (OMD) and Short Chain Fatty Acids (SCFA) were assessed. The Relative Feed Value (RFV) and Relative Forage Quality (RFQ) of the forbs were estimated using standard procedure. Data were analysed using descriptive statistics. Forbs selectively grazed by cattle were; Euphorbia heterophylus, Platosoma africanum, Ipomea triloba, Altherathania sessilis, Sida cordifolia, Tithonia diversifolia, Boerhavia diffusa, Sida acuta, Tridax procumbens, Talinum fruticosum, Phyllanthus amarus, Aspilla africana, Acalypa fimbriata and Euphorbia hirta. Crude Protein (CP) content ranged from 9.30% in A. sessilis to 28.69% in P. Africana. The CP values differed significantly (p<0.05) amongst the forb species. The ME ranged from 6.18 in T diversifolia to 8.99 in T procumbence while, IVOMD ranged from 48.29 in A. fimbriata to 65.67 in T. diversifolia showing that the grazed forbs differed significantly (p<0.05) from each other. OMD differed significantly (p<0.05) among the forbs while, SCFA did not differ (p>0.05). RFV and RFQ ranged from 85.63 to 66.48 and 66.48 60 217.89 in A. sessilis and T diversifolia, respectively. The findings from this study revealed forbs are enriched in nutrients, have the potential to supply requested nutrients to grazing cattle because of their great forage quality indices and high degradability. Les Forbs subventionnent le 'pool' de nutriments du bétail paissant sur des terres indigenes hétérogènes. Ils ont un potentiel de durabilité pour équilibrer les carences en nutriments des herbes tropicales qui dominent les pâturages non améliorés. Par conséquent, les plantes broutées sélectivement par les bovins ont été évaluées en fonction de leur valeur nutritive et des indices de qualité du fourrage. Les plantes broutées de manière sélective ont été déterminées pour leur composition chimique (g / 100 g MS), leur énergie métabolisable (EM, MJ / Kg MS) et leur digestibilité in vitro de la matière organique (in-vitro organicmatterdigestibility – le 'IVOMD'%) à l'aide de la spectroscopie proche infrarouge (SPIR). La production de gaz in vitro à 24 h d'incubation, la digestibilité de la matière organique (DMO) et les acides gras à chaîne courte (Le Short Chain FattyAcids- le SCFA) ont été évalués. La valeur relative de l'alimentation (VRA) et la qualité relative du fourrage (QRF) des fourrages ont été estimées en utilisant la procédure standard. Les données ont été analysées à l'aide de statistiques descriptives. Forbs broutés sélectivement par le bétail étaient ;Euphorbiaheterophylus, Platosomaafricanum, Ipomeatriloba, Altherathaniasessilis, Sida cordifolia, Tithoniadiversifolia, Boerhavia diffusa, Sida acuta, Tridaxprocumbens, Talinumfruticosum, Phyllanthus amarus, Aspillaafricorbana, Acalypafimbriata et Euphorbana. La teneur en protéines brutes (CP) variait de 9.30% chez A. sessilis à 28.69% chez P. Africana. Les valeurs de CP diffèrent significativement (p <0.05) parmi les espèces interdites. Le ME variait de 6.18 dans T diversifolia à 8.99 dans T procumbence tandis que l'IVOMD variait de 48.29 dans A. fimbriata à 65.67 dans T. diversifolia montrant que les plantes broutées différaient significativement (p <0.05) les unes des autres. DMO différait significativement (p <0.05) parmi les forbs tandis quele'SCFA' ne différait pas (p> 0.05). La VRA et la QRF allaient de 85.63 à 66.48 et 66.48 60 217.89 chez A. sessilis et T diversifolia, respectivement. Les résultats de cette étude ont révélé que les plantes herbacées sont enrichies en nutriments et elles ont le potentiel de fournir les nutriments requis aux bovins de pâturage en raison de leurs excellents indices de qualité fourragère et de leur haute dégradabilité.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography