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Béland, François, Anne Lemay, and Ginette Lavoie. "Les urgences psychiatriques dans un contexte de sectorisation." Santé mentale au Québec 18, no. 1 (September 11, 2007): 227–50. http://dx.doi.org/10.7202/032257ar.

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Анотація:
RÉSUMÉ La psychiatrie de secteur est une réalité du système de soins psychiatriques dans la région de Montréal depuis une quinzaine d'années. Dans un milieu urbain dense, où les limites territoriales des secteurs sont étrangères au lieux d'habitation, la sectorisation peut poser de graves problèmes d'accès. Par ailleurs, dans la mesure où la distribution des services de santé mentale sur un territoire suit les principaux axes de la circulation urbaine, la sectorisation peut être la consécration d'un état de fait, son succès étant alors garanti par la force des choses. L'accès aux services d'urgence psychiatrique dans un territoire sectorisé de l'île Jésus est examiné à l'aide des données des archives des hôpitaux Sacré-Coeur et Cité de la Santé. Les données démontrent que les patients ayant une affection psychiatrique se présentent au service d'urgence de l'hôpital de leur secteur. Les habitudes d'utilisation de ces patients des services d'urgence ne sont pas différentes de celles des utilisateurs de tous les types de soins, psychiatriques ou non, pour quelques raisons que ce soit. Cependant, il y a un effet de halo du lieu d'utilisation des services psychiatriques sectorisés sur les services psychiatriques non sectorisés. L'effet de la sectorisation sur l'utilisation des services et leur accès est donc complexe.
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Si Ahmed, L. L., and M. Delcoustal. "Trace mnésique de l’intervention médico-psychologique réalisée aux urgences après une intoxication médicamenteuse volontaire (IMV) et adhésion à la prise en charge ultérieure." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 655–56. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.033.

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IntroductionLes services d’urgences des hôpitaux généraux sont devenus au fil des années un des lieux du soin médico-psychologique en France [1]. En effet, près de 180 000 tentatives de suicides y sont prises en charge chaque année [2]. Il s’agit souvent pour ces patients suicidants du premier contact avec les soins psychiatriques. Les objectifs de notre travail étaient d’étudier le souvenir de cette Prise en charge Médico-Psychologique (PMP) initiale et sa relation avec la qualité de l’adhésion à la PMP ultérieure.Patients et méthodeLes suicidants ayant réalisé une IMV étaient inclus dans une étude prospective descriptive réalisée aux urgences du CHU de Poitiers au printemps 2013. L’évaluation du souvenir était recueillie par contact téléphonique entre le 7e et le 12e jour suivant l’IMV. L’évaluation de l’adhésion à la PMP ultérieure était réalisée par contact téléphonique avec le référent des soins psychiques du patient à 2 mois de l’IMV, sur des critères d’alliance thérapeutique et d’observance médicamenteuse.RésultatsTrente-sept patients ont été inclus, en majorité des femmes (60 %). L’âge médian était de 36 ans. Plus d’un quart présentaient une altération ou une absence de souvenir de la PMP réalisée aux urgences après leur IMV. Cette altération était reliée à l’existence d’une intentionnalité suicidaire (p < 0,02) et à une surveillance par monitorage (p < 0,007), témoin du caractère de gravité de l’IMV. Près de la moitié des patients présentaient une faible adhésion à la PMP ultérieure. L’adhésion à la PMP ultérieure n’était pas reliée à la qualité du souvenir de la PMP réalisée aux urgences.ConclusionL’altération ou l’absence de souvenir de la PMP réalisée aux urgences après une IMV pose la question du délai à respecter entre le geste suicidaire et l’intervention initiale de l’équipe psychiatrique. Par ailleurs, l’absence de relation entre le souvenir de la PMP réalisée aux urgences et l’adhésion à la PMP ultérieure nous incite à rechercher les autres leviers de l’adhésion aux soins chez les patients suicidants.
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Bachrach, Leona L. "L’état des hôpitaux psychiatriques publics aux États-Unis en 1996." Santé mentale au Québec 22, no. 2 (September 11, 2007): 33–52. http://dx.doi.org/10.7202/032414ar.

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RÉSUMÉ Objectifs : Cette revue analytique a pour objectif de mettre à jour les écrits précédents de l'auteure sur la place des hôpitaux psychiatriques publics dans l'éventail des services pour personnes souffrant de troubles mentaux chroniques, et de fournir une perspective à la prochaine génération de planificateurs des services. Méthodes : les résultats et les commentaires sont organisés autour de quatre grandes questions. 1) Quel est actuellement le point de vue dominant au sein des hôpitaux psychiatriques publics, et comment se compare-t-il à celui qui prévalait au cours de la première moitié du siècle? 2) Quel genre d'individus a tendance à être desservi par ces hôpitaux aujourd'hui ? 3) Quel a été le sort des personnes qui n'ont plus accès aux services des hôpitaux psychiatriques d'État ? 4) Quel serait un rôle approprié de l'hôpital psychiatrique au sein d'un dispositif de soins incertain et en constante évolution ? Résultats et conclusions : les hôpitaux psychiatriques varient dans la composition de leur population, le contenu de leurs services et la qualité générale de leurs soins. Bien qu'ils aient été remplacés à certains endroits par des structures à orientation plus communautaire, ils continuent en général, à cause de leur caractère multifonctionnel, d'occuper une place centrale dans les systèmes de soins. Des efforts soutenus s'avèrent nécessaires afin d'intégrer les hôpitaux psychiatriques publics comme partenaire à part entière au sein de ces systèmes.
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Barnard-Thompson, Kathleen. "L’avenir des hôpitaux psychiatriques en Ontario." Santé mentale au Québec 22, no. 2 (September 11, 2007): 53–70. http://dx.doi.org/10.7202/032415ar.

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RÉSUMÉ Cet article passe en revue les rôles précédents et actuels de l'hôpital psychiatrique et s'interroge sur l'avenir de ces hôpitaux en Ontario. Actuellement et pour le proche avenir, le ministère de la Santé y possède et administre 10 hôpitaux psychiatriques, chacun desservant une population de 250 000 à plus de 3 millions. Outre l'expertise clinique, les hôpitaux psychiatriques ontariens contribuent grandement à l'enseignement et à la recherche. Le mouvement provincial de réforme en santé mentale revendique un transfert des ressources vers la communauté et une réduction des hôpitaux psychiatriques d'ici l'an 2003. En réaction aux pressions fiscales, en 1996, une législation établissait la Commission de restructuration des services en santé (CRSS), une corporation autonome ayant les pouvoirs de restructurer et reconstruire les services de santé en Ontario. La CRSS a jusqu'à maintenant recommandé la fermeture de quatre hôpitaux psychiatriques d'ici 1999 et l'intégration de leurs services au sein d'autres établissements médicaux. Bien que le système de soins en santé mentale ait besoin d'être rééquilibré, la précipitation engendrée par l'urgence fiscale de fermer les hôpitaux a créé au sein de ces établissements une atmosphère de crise pour le personnel et les patients. Il est peu probable que les ressources communautaires nécessaires seront en place pour accueillir ces changements. Les plans de restructuration fixent un échéancier irréaliste et semblent aussi sous-estimer l'importance du rôle joué par ces hôpitaux dans l'enseignement, la recherche, l'avancement des traitements cliniques et la réadaptation des malades sévèrement atteints. Il se pourrait qu'à long terme, l'intégration des services et la fermeture de ces hôpitaux résultent en un meilleur accès à des services qui soient davantage proches des petites communautés et en une déstigmatisation du malade mental. Toutefois, sans un contrôle serré et un leadership approprié, cela pourrait mener à une diminution de la recherche, de la formation et de la qualité des soins.
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Meloche, Monique. "Enfermer la folie." Santé mentale au Québec 6, no. 2 (June 13, 2006): 16–26. http://dx.doi.org/10.7202/030099ar.

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En Nouvelle-France, la folie a initialement été considérée selon les traditions européennes : les lunatiques doivent être exclus, mis hors de la vue. Très tôt, une distinction a été faite entre la fonction de protection, attribuée aux hôpitaux généraux et plus tard aux asiles, et la fonction de traitement entreprise à l’Hôtel-Dieu (mettant dans l’ombre le rôle joué par les hôpitaux généraux au 20e siècle). En 1960, le changement des concepts dans les champs de l’étiologie et du traitement de la maladie mentale, la largeur des hôpitaux mentaux et la transformation de la société du Québec de rural à urbain a accéléré la réorganisation des services psychiatriques, sans élément de risque d’exclusion du malade mental. Cet article décrit aussi brièvement les hôpitaux psychiatriques et leur dépendance au début des années 60 au Québec.
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Wanger, Karen. "Emergency medical services controversies in British Columbia." CJEM 2, no. 01 (January 2000): 36–38. http://dx.doi.org/10.1017/s1481803500004450.

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RÉSUMÉ: L’encombrement des salles d’urgence a atteint un niveau de crise et les retombées s’étendent au-delà des murs des hôpitaux. De plus en plus, le personnel des urgences surchargées utilise la tactique du «détournement des ambulances», obligeant les préposés aux SMU à se diriger vers le prochain établissement adéquat. Comme de plus en plus d’hôpitaux ont recours au détournement, les patients s’accumulent dans les établissements qui les acceptent jusqu’à ce que ceux-ci débordent également. Finalement, plus personne n’accepte de patients et les préposés aux SMU doivent attendre avec leurs patients dans les corridors de l’urgence qu’une civière se libère. En raison de cette situation, il y a moins d’ambulances disponibles pour répondre aux appels 911. Le principal mandat d’un service pré-hospitalier est de prodiguer des soins sur les lieux de l’incident et non dans les corridors d’une urgence et il est inacceptable qu’une pénurie de lits à l’urgence entraîne des retards de réponse au 911. La plupart des gens sont d’accord pour dire qu’il est inacceptable que des patients malades aient à attendre dans les corridors de l’urgence pour des civières inexistantes; cependant, même si cette situation est dangereuse, elle l’est moins que le fait d’obliger ces mêmes patients à attendre indûment à la maison l’arrivée des SMU. Les hôpitaux devraient peut-être prendre un engagement moral d’accepter les patients peu importe la situation d’encombrement, puis d’assigner les ressources nécessaires pour les soigner; ou les services ambulanciers devraient peut-être embaucher et former du personnel pour traiter les patients dans les corridors des urgences. Quelle que soit l’approche adoptée, les hôpitaux et les préposés aux SMU doivent cesser de s’imputer mutuellement la responsabilité du problème et travailler à trouver des solutions.
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Beecham, Jennifer, and Alain Lesage. "Leçons britanniques d’un transfert de ressources : le système de dotation par patient." Santé mentale au Québec 22, no. 2 (September 11, 2007): 170–94. http://dx.doi.org/10.7202/032421ar.

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RÉSUMÉ Les « dots » ou système de dotation par patient peuvent être définies comme des sommes globales ou des subventions récurrentes, que les autorités de la santé se donnent entre elles ou versent aux autorités locales ou aux organismes sans but lucratif, pour les soins prodigués dans la communauté, plutôt que dans un hôpital, aux personnes souffrant de troubles mentaux graves et persistants. Cet article décrit comment les dots et d'autres processus ont été élaborés en Angleterre afin d'encourager la fermeture d'hôpitaux psychiatriques. Le contexte de ce financement des soins (avant les réformes engendrées par le National Health Service et le Community Care Act de 1990) montre certaines similitudes avec les dispositions en cours au Québec. Les auteurs résument une évaluation au long cours du programme de redéploiement dans deux hôpitaux psychiatriques de Londres qui ont fermé, afin d'examiner le type de services utilisés dans la communauté par d'anciens patients de ces hôpitaux et comparer les coûts de l'hôpital à ceux des soins communautaires. Après avoir quitté l'hôpital, les patients doivent recourir à d'autres services sociaux et de santé ; tout développement des soins communautaires pour ces patients doit à tout le moins refléter ceux fournis en milieu hospitalier. On examine dans quelle mesure la dotation par patient peut être appliquée au Québec pour réduire davantage les séjours de longue durée dans les hôpitaux. À certains égards, les systèmes britanniques et québécois se ressemblent, mais il existe aussi des différences organisationnelles et politiques. Il ne serait pas raisonnable de transférer en bloc le système anglais au Québec, mais d'importants aspects de son implantation et de ses procédures peuvent servir à guider le développement de mécanismes de financement au Québec en vue du transfert de ressources de l'hôpital vers des services dans la communauté.
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Foggin, Peter M. "La localisation des services d’urgence psychiatrique sur l’île de Montréal." Santé mentale au Québec 7, no. 1 (June 13, 2006): 75–87. http://dx.doi.org/10.7202/030126ar.

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Résumé La validité du choix du facteur «géographique» comme principe d'organisation des services de soins psychiatriques d'urgence est étudiée à partir d'une analyse de la littérature scientifique d'une part et d'une analyse des données montréalaises d'autre part. Les auteurs ne s'entendant pas sur l'importance à accorder au facteur géographique de la distance entre le consommateur et les services fournis, cette recherche tente de vérifier deux hypothèses : 1) il y a une réponse structurée à l'offre des services d'urgence psychiatrique des hôpitaux de Montréal et 2) la répartition géographique des usagers qui se présentent à ces services est liée à trois variables dont la plus importante est la distance spatiale entre le patient et la ressource d'urgence la plus proche. L'étude tend à confirmer ces deux hypothèses.
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Fortier, Jean, Marie-France Thibaudeau, and Paule Campeau. "Les personnes itinérantes souffrant de troubles mentaux graves et persistants à Montréal : profil, services d’urgence psychiatriques et nouvelles interventions." Nouvelles pratiques sociales 11, no. 1 (January 28, 2008): 43–68. http://dx.doi.org/10.7202/301423ar.

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Résumé Cet article rend compte des principaux résultats d'un projet du CLSC des Faubourgs1 portant sur l'intervention auprès des personnes itinérantes souffrant de troubles mentaux graves et persistants. Le projet comporte deux volets : une recherche qui décrit les personnes itinérantes fréquentant les urgences psychiatriques de garde à Montréal et les services qui leur sont dispensés et un projet pilote d'intervention auprès d'un échantillon de la population. La première partie de l'article présente les résultats de la recherche et aborde la question de l'accessibilité de la population aux services psychiatriques et les multiples difficultés reliées, d'une part, aux personnes, à leur maladie, à leurs conditions de vie et à leur résistance aux soins et, d'autre part, à l'organisation des services du réseau de la santé et des services sociaux et à l'existence de ressources dans la communauté pour cette population. La deuxième partie de l'article décrit et évalue sommairement une expérimentation de suivi systématique individuel (case management) et s'intéresse à la question de l'approche d'intervention à privilégier auprès de la population compte tenu de ce qui précède.
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Lortie, Gilles. "Bilan de l’intégration des services de psychiatrie dans les hôpitaux généraux. Témoignage après dix ans d’absence." Santé mentale au Québec 12, no. 2 (June 5, 2006): 158–73. http://dx.doi.org/10.7202/030408ar.

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Résumé L'auteur résume ici l'évolution des services psychiatriques dans la province et à Montréal jusqu'en 1977. Il décrit ensuite ce qui a été développé dans le réseau depuis cette date et de qu'il a pu observer au cours de visites effectuées dans certains centres hospitaliers de courte durée au cours de l'automne 1986, à la demande du Comité Harnois. Il a constaté, entre autres, que les projets mis de l'avant au moment des réformes Bédard et Castonguay auraient été éventuellement réalisés dans l'espoir sinon dans la lettre et que l'intégration de l'ensemble de la psychiatrie dans les C.H.C.D. était en voie d'être complétée.
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Warner, Richard, and Peter Huxley. "Psychopathologie et qualité de vie chez les personnes ayant des troubles mentaux : comparaison d’échantillons pris en Angleterre et aux États-Unis." Santé mentale au Québec 18, no. 2 (September 11, 2007): 75–86. http://dx.doi.org/10.7202/032272ar.

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RÉSUMÉ Soixante-neuf personnes ayant des troubles mentaux, traitées dans le cadre d'un système rigoureux de soutien communautaire à Boulder au Colorado, ont été évaluées à l'aide des mêmes mesures de psychopathologie et de qualité de vie que celles utilisées pour l'évaluation de personnes similaires traitées dans des services hospitaliers et communautaires à Manchester, en Angleterre. La psychopathologie était plus grande dans l'échantillon de Boulder. Toutefois, sur le plan de la qualité de vie, les résultats des patients étatsuniens n'étaient pas moins bons que ceux des patients anglais. Nous examinons ici la relation entre ces conclusions, les systèmes de soins et la disponibilité des lits dans les hôpitaux psychiatriques.
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Kisely, Steve, and Alain Lesage. "Services de santé mentale en Australie." Santé mentale au Québec 39, no. 1 (July 10, 2014): 195–208. http://dx.doi.org/10.7202/1025914ar.

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Depuis 1992, quatre stratégies en santé mentale se sont succédé avec pour buts de promouvoir la santé mentale, d’augmenter la qualité des services et de forger une approche cohérente concernant la réforme du système de santé mentale dans tous les États et territoires australiens. Ces cycles systématiques de planification ont permis le passage d’un système dominé par les hôpitaux psychiatriques à un système de services dans la communauté. Les budgets en santé mentale se sont accrus, mais se sont réduits avant de s’accroître avec un ambitieux programme d’accès équitable à la psychothérapie, fondé sur un paiement à l’acte des psychologues après une référence des médecins de famille. Plus récemment, le développement de services pour les jeunes psychotiques a soulevé des craintes d’abandon des patients plus âgés et de réduction des budgets, d’autant plus qu’avec un excès de mortalité de ces derniers, la discrimination des services n’est pas résolue. Il demeure une disparité pour les peuples autochtones. La création récente d’une commission de la santé mentale marque un rôle accru de la participation des usagers et familles, de même qu’une surveillance indépendante continue de la performance du système de santé mentale australien.
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McFaull, SR, M. Frechette, and R. Skinner. "Surveillance aux services d'urgence des blessures associées aux lits superposés : Système canadien hospitalier d'information et de recherche en prévention des traumatismes (SCHIRPT), 1990-2009." Maladies chroniques et blessures au Canada 33, no. 1 (December 2012): 44–53. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.33.1.05f.

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Introduction Pour des raisons d'espace, bien des ménages utilisent des lits superposés. La hauteur et l'aménagement de ces lits peuvent présenter un risque de chute et d'étranglement, en particulier pour les jeunes enfants. La présente étude visait principalement à décrire les blessures associées aux lits superposés signalées au Système canadien hospitalier d'information et de recherche en prévention des traumatismes (SCHIRPT) pour la période 1990-2009. Méthodologie Le SCHIRPT est un système de surveillance des blessures et des intoxications en place dans les services d'urgence de plusieurs hôpitaux d'un bout à l'autre du Canada, soit 11 hôpitaux pédiatriques et 4 hôpitaux généraux. Les codes de produits du SCHIRPT et les descriptions fournies ont été utilisés pour extraire les données nécessaires. Résultats Au cours de cette période de surveillance de 20 ans, 6 002 personnes se sont présentées aux services d'urgence d'hôpitaux canadiens pour des blessures associées à des lits superposés. Dans l'ensemble, la fréquence des blessures liées aux lits superposés signalées dans le SCHIRPT est demeurée relativement stable, la variation du taux annuel moyen se situant à -1,2 % (-1,8 % à -0,5 %). Plus de 90 % des blessures associées au lit du haut étaient attribuables à des chutes; les enfants de 3 à 5 ans constituaient le groupe le plus fréquemment en cause (471,2 cas enregistrés dans le SCHIRPT pour 100 000). Conclusion Les services des urgences au Canada continuent de recevoir des enfants présentant des blessures associées aux lits superposés, dont bon nombre sont des lésions importantes. Les mesures de prévention des blessures devraient être axées sur les enfants de moins de 6 ans.
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Pechillon, E. "Questions juridiques posées par la place du consentement en psychiatrie : premier bilan de la réforme législative." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 631–32. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.137.

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Le principe du consentement aux soins est un principe fondamental du droit de santé dont la mise en œuvre est problématique dans les services de psychiatrie.La loi du 5 juillet 2011 relative aux droits à la protection des personnes faisant l’objet de soins psychiatriques et aux modalités de leur prise en charge, ainsi que sa modification résultant de la loi du 27 septembre 2013 obligent à s’intéresser à la place du consentement du patient. Sous la pression conjuguée de la Cour européenne des droits de l’homme et du Conseil constitutionnel, le Parlement français a été contraint de faire évoluer le droit applicable dans les hôpitaux psychiatriques. Plus qu’un simple toilettage législatif, ce nouvel ensemble normatif modifie les relations entre le malade (disposant de droits fondamentaux), la police administrative (chargée d’agir préventivement afin de protéger l’ordre public), le service public hospitalier (seul capable de dresser un diagnostic fiable et de mettre en œuvre des soins adaptés à l’état des patients) et la justice (garante des libertés fondamentales). Cette modification partielle du Code la santé publique ne résout pas l’ensemble des faiblesses du droit passé. Elle conduit même à créer de nouvelles difficultés juridiques et pratiques. L’exemple du programme de soins est sans doute le plus symptomatique. Il n’est malheureusement pas le seul.
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Fourcade, A., and P. Durieux. "Mise en place d'une démarche d'audit qualité des services d'accueil des urgences à l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris." Réanimation Urgences 9, no. 3 (May 2000): 162–68. http://dx.doi.org/10.1016/s1164-6756(00)90001-x.

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Brousse, G. "Les nouvelles drogues de synthèse aux urgences : aspects épidémiologiques et cliniques, principes de prise en charge." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S60. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.166.

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L’apparition et le développement de nouveaux produits de synthèse (NPS) constitue un défi pour la médecine d’urgence. En effet, en dehors des situations d’intoxications les plus courantes (alcool, benzodiazépines…), les services de médecine d’urgence sont de plus en plus fréquemment confrontés à de nouvelles manifestations toxiques aiguës dont les signes cliniques peuvent être très hétérogènes. Les médecins urgentistes sont généralement vigilants pour repérer un tableau évocateur d’un syndrome d’origine toxique ou toxidrome. Même s’il n’est pas spécifique, il représente le tableau caractéristique d’une intoxication, qui peut être variable selon la prise combinée de substances, ou de leurs produits de coupe, ou par la survenue de complications . Après un bref état des lieux sur l’épidémiologie de ces phénomènes aux urgences, nous proposons d’explorer les signes cliniques évocateurs des intoxications aux NPS qu’ils s’agissent en particulier des cannabinoïdes et cathinones de synthèse . Il s’agira par la suite de faire le point sur les réponses mises en place par les services d’urgences en ce qui concerne le repérage, l’enquête clinique et toxicologique et la prise en charge. Nous évoquerons enfin les modalités spécifiques d’interventions addictologiques et psychiatriques que ces nouvelles consommation impliquent en termes de soins et de préventions.
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LeBel, Marie, and Catherine Rheault. "To be ou ne pas être." Articles, no. 9 (February 26, 2018): 16–35. http://dx.doi.org/10.7202/1043494ar.

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Des hôpitaux psychiatriques ont été fermés assez récemment – à la fin des années 1970 et même au début des années 1980 – dans toutes les régions rurales de l’Ontario. Le cas particulier du Northeastern Psychiatric Hospital de Timmins, qui offrait des services en français, a inspiré la présente étude. Ce centre a été fermé brusquement et sans préavis en 1976 et le processus de désinstitutionnalisation ne s’est pas accompagné, dans sa dernière phase, de l’établissement de nouvelles structures d’accueil et de soins adaptées pour remplacer les anciennes. Nous nous sommes demandé si une telle fermeture, faite sans préavis et sans qu’aient été mis en place des services communautaires de remplacement, était survenue ailleurs dans la province. On aura compris que la question linguistique, la situation périphérique des communautés et la triple stigmatisation des sujets de l’étude (langue minoritaire, santé mentale et situation en périphérie des centres) sont autant d’éléments qui participent à la problématique. Cet article puise à de nombreux entretiens effectués auprès de fournisseurs de soins, d’infirmières, de conseillers, de psychologues et de travailleurs sociaux qui ont travaillé dans les services de santé mentale de la région entre les années 1960 et aujourd’hui.
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Nasfi, A., and I. Le Pennec. "Description un jour donné d’une population de patients vieillissants issus de psychiatrie accueillis dans une USLD." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 624. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.115.

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L’USLD La Roseraie, accueille depuis 2004 des patients vieillissants issus des services de l’EPS Maison Blanche et d’autres hôpitaux psychiatriques parisiens.Une photographie un jour donné de la population présente en juillet 2014 montre :– 50 patients avec un âge moyen de 66,5 ans ;– 56 % de femmes et 54 % d’hommes ;– provenance des patients : 28 (M-Blanche) ; 8 (Ste Anne) ; 6 (de Ville Evrard) ; 5 (l’ASM13) et 1 de Perray Vaucluse et 2 d’autres hôpitaux ;– les diagnostics : 36 psychoses chroniques dont 20 schizophrénie ; les 14 autres se répartissent en psychoses infantiles, troubles bipolaires, etc. ;– 36 patients ont un entourage dont la moitié est très présente ;– 17 décompensations ont été présentées par 10 patients (dont 7 psychoses) avec en moyenne 1 à 4 séjours de rupture ; les 40 autres sont stabilisés grâce au suivi mis en place mais 17 patients seulement sur les 32 qui le nécessiteraient ont un suivi régulier ;– 49 patients ont des comorbidités. elles touchent les sphères neurologique, cardiovasculaire, orthopédique, endocrinologique, digestive, oncologique… ;– des troubles cognitifs sont présents dans 54 % des cas dont 22 % sont sévères.Au total, l’âge moyen de cette population est moins élevé que dans une USLD « classique » mais elle présente aussi des comorbidités. La présence des proches permet de retrouver dans un lieu de vie plus serein qu’en psychiatrie aiguë, des relations perdues pendant les périodes de crise. Le binôme gériatre-psychiatre est indispensable pour optimiser les prises en charge. La place du psychiatre est prépondérante pour le suivi, la diminution des retours dans les services d’origine et pour le maintien du lien avec les équipes référentes. Des pistes de travail sont envisagées pour améliorer l’accueil et prévenir les retours définitifs en psychiatrie.
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Benabbas, M., and O. Benelmouloud. "Évaluations des traitements de la schizophrénie à travers une enquête auprès des psychiatres de l’Est Algérien…" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 100. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.267.

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Évaluer l’adéquation entre les pratiques de prescription en conditions réelles et les recommandations internationales pour des sujets schizophrènes. Bien qu’il n’existe pas de définition consensuelle du traitement de la schizophrénie. Nous avons mesuré au moyen d’une enquête d’opinion le consensus des psychiatres algériens sur leur pratique quotidienne du traitement de la schizophrénie et leurs habitudes de traitements et enfin les résultats obtenus. Il était demandé aux psychiatres de remplir une fiche sur laquelle sont mentionnés les différents tableaux cliniques de la schizophrénie qu’ils reçoivent ; les traitements prescris en première intention, pourquoi la préférence pour tel produit et non pas l’autre, à partir de quel moment ils jugent de la résistance au traitement, changent-ils de traitements ou orientent-ils vers les hôpitaux psychiatriques, quantifier la compliance et l’observance du malade pour tel ou tel produit (résultats sous forme de pourcentage). L’enquête touche au premier lieu les psychiatres exerçant dans le privé et ceux des centres intermédiaires en santé mentale. Dans un deuxième temps, elle s’élargira à ceux exerçant dans le secteur public, les établissements hospitaliers spécialisés et les services de psychiatrie hospitalo-universitaire.
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Yanay, Uri, and Sharon Benjamin. "The role of social workers in disasters." International Social Work 48, no. 3 (May 2005): 263–76. http://dx.doi.org/10.1177/0020872805051704.

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English During city emergencies, Jerusalem municipality social workers are assigned to the disaster site, and with them hospitals, police services, the forensic institute and notification units form the Jerusalem Emergency Team (JET). Using formal and informal ties, social workers establish a professional, closely-knit helping network. Disasters happen everywhere. Social workers should be trained to deal with relief work and its traumatic outcomes. French Pendant les urgences en ville, des travailleurs sociaux municipaux a© Jérusalem - l'équipe de secours de Jérusalem (JET) - sont envoyés aux endroits sinistrés, aux hôpitaux, aux services de la police, aux départements médico-légal. En s'appuyant sur des liens formels et informels, les travailleurs sociaux établissent un réseau étroit d'aide professionnel. Les désastres se produisent partout. Les travailleurs sociaux devraient être formés pour travailler dans ce genre de situation. Spanish Durante las emergencias urbanas, los trabajadores sociales de la municipalidad de Jerusalem fueron asignados a los lugares de desastres, hospitales, servicios de policía, el instituto forense y las unidades de notificación, formando el Equipo de Emergencia de Jerusalem (JET). Utilizando vínculos formales e informales, los trabajadores sociales establecen una red profesional de ayuda. Los desastres ocurren en cualquier lugar. Los trabajadores sociales deben ser entrenados para tratar con el trabajo de socorro y sus resultados traumáticos.
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Travers, D. "La psychiatrie en 2084 ? Intégrée aux services de médecine-chirurgie-obstétrique !" European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 633. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.141.

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L’histoire est répétition, celle de la psychiatrie n’y échappe pas. Après la scission historique d’avec la neurologie dans la seconde partie du XXe siècle et la Grande Guerre de la psychopathologie contre la neurobiologie dont cette séparation était un avatar, la discipline s’est progressivement rapprochée du médecine-chirurgie-obstétrique (MCO) pour finalement s’y réintégrer totalement en 2084. Les intérêts et limites de ce remariage sont multiples et seront exposés.Le modèle de santé a radicalement changé. Peu se souviennent de l’enveloppe globale qui finançait les hôpitaux psychiatriques, tous connaissent la tarification à l’activité, les mouvements permanents imposés des tarifs qui surlignent les tendances et imposent réflexion et parfois adaptation. Le développement de l’ambulatoire et sa priorisation absolue (rappelons qu’il ne reste que 5 % des soins en hospitalier, tant en médecine qu’en chirurgie) ont considérablement modifié la manière d’appréhender la pathologie, de son évaluation à son traitement. La recherche des crédits ciblés, la déclinaison unifiée MCO des programmes régionaux de santé, l’attractivité de la discipline sur le territoire sont entre autre devenus le quotidien des chefs de pôle de psychiatrie et des directeurs délégués à leurs pôles.Sur un plan scientifique, l’essor des connaissances sur tout le XXIe siècle, le développement prioritaire de la recherche et de l’innovation technique, l’essor des dispositifs implantables ont accéléré la fusion de la psychiatrie et du MCO, achevant sa mutation et son plein développement en médecine personnalisée, à partir des endophénotypes multiples que le DSM VII a intégrés avec le succès et le tollé que l’on sait dans ses schémas thérapeutiques.Globalement, la pénétrance forte d’une représentation très médicalisée de la psychiatrie dans le grand public et les médias a considérablement fait évoluer les mentalités et les représentations de ce type de pathologies.
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Alezrah, C., M. Fraigneau, Y. Verger, C. Palix, and C. Girod. "Une expérience d’équipe mobile en psychiatrie générale." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 83. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.222.

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L’Équipe Mobile d’Argelès Psychiatrique (EMAP) a vu le jour le 1er septembre 2011. Elle a été financée dans un cadre expérimental, par l’Agence Régionale de Santé du Languedoc-Roussillon. Le projet s’inscrivait dans les travaux du Conseil Local de Santé Mentale (CLSM) d’Argelès-sur-Mer (66700). Il faisait suite à plusieurs constats. Pour de multiples raisons, et notamment du fait de l’augmentation considérable des soins ambulatoires, le nombre des visites à domicile a régulièrement diminué ces dernières années et s’est progressivement recentré sur le suivi de patients connus. D’autre part, il existe un nombre d’hospitalisation d’office historiquement bien plus élevé dans les Pyrénées Orientales que la moyenne nationale (88 hospitalisations d’office pour 100 000 habitants âgés de 20 ans et plus dans les PO contre 25 pour 100 000 habitants au niveau national en 2007. Ce nombre était de 83 pour notre secteur géographique). Les représentants des usagers et des familles étaient très en demande d’interventions rapides dans la communauté. Cette attente faisait écho à celle d’un grand nombre des partenaires du réseau sanitaire (médecins généralistes) mais également social ou médicosocial pour évaluer certaines situations orientées par défaut vers le service des urgences psychiatriques au centre hospitalier de Perpignan. Malgré les efforts de communication et d’information entrepris de longue date, il était noté, dans la pratique quotidienne, l’insuffisance des liens avec les services municipaux, la police, la gendarmerie, les pompiers et parfois les services sociaux pour prévenir les situations de crise. Enfin, l’existence d’une Équipe Mobile Psychiatrie Précarité rattachée au service depuis une quinzaine d’années permettait de s’appuyer sur une expérience déjà solide. Par opposition à notre EMPP qui est intersectorielle, l’EMAP s’est inscrite d’emblée dans une dimension sectorielle, rattachée à part entière à un CMP desservant un territoire de 40 000 habitants. Il s’agit d’une équipe rapidement mobilisable, à la demande des patients, des familles ou des différents partenaires du champ médical, social et judiciaire pour anticiper et évaluer les situations de crise de nature psychiatrique. Au-delà de l’évaluation, elle organise, si besoin, les soins de la manière la plus adaptée. Cette équipe spécialisée, pluridisciplinaire, va :– développer les relations de réseau entre des acteurs pouvant recevoir les mêmes publics mais se connaissant peu ;– intervenir sur signalement pour évaluer les situations de crise susceptibles de relever de réponses psychiatriques ou, ce qui est préférable, pouvant les anticiper.L’expérience des deux premières années de fonctionnement permet de retenir un bilan intéressant, notamment la diminution très sensible des hospitalisations en SDRE sur l’aire géographique desservie et une complémentarité naturelle avec l’activité de CMP classique. Ce bilan sera détaillé dans cette publication.
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Piarroux, R., F. Batteux, S. Rebaudet, and P. Y. Boelle. "Les indicateurs d’alerte et de surveillance de la Covid-19." Annales françaises de médecine d’urgence 10, no. 4-5 (September 2020): 333–39. http://dx.doi.org/10.3166/afmu-2020-0277.

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Face à la crise sanitaire provoquée par la pandémie de Covid-19 en France, Santé publique France a mis en place un système de surveillance évolutif fondé sur des définitions de cas possible, probable et confirmé. Le décompte quotidien se limite cependant aux cas confirmés par reverse transcriptase polymerase chain reaction ou sérologie SARS-CoV-2 (actuellement via la plateforme SI-DEP), aux cas hospitalisés (via le Système d’information pour le suivi des victimes d’attentats) et aux décès hospitaliers par Covid-19. Ce suivi de la circulation virale est forcément non exhaustif, et l’estimation de l’incidence est complétée par d’autres indicateurs comme les appels au 15, les recours à SOS Médecins, les passages dans les services d’accueil des urgences, les consultations de médecine de ville via le réseau Sentinelle. Le suivi de la mortalité non hospitalière s’est heurté aux délais de transmission des certificats de décès et au manque de diagnostic fiable. Seule la létalité hospitalière a pu être mesurée de manière fiable. Moyennant un certain nombre de précautions statistiques et d’hypothèses de travail, les modèles ont permis d’anticiper l’évolution de l’épidémie à partir de deux indicateurs essentiels : le ratio de reproduction R et le temps de doublement épidémique. En Île-de-France, l’Assistance publique– Hôpitaux de Paris a complété ce tableau de bord grâce à son entrepôt de données de santé et a ainsi pu modéliser de manière fine le parcours de soins des patients. L’ensemble de ces indicateurs a été essentiel pour assurer une planification de la réponse à la crise.
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Dallay, C., F. Chabaud, and A. Delbreil. "Insécurité des soignants face à la violence des patients : état des lieux et facteurs prédisposants ; résultats d’une enquête transversale, multicentrique menée en unité psychiatrique fermée et aux urgences." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S146. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.292.

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La violence constitue une problématique importante dans notre système de soins. Cette violence est un phénomène complexe qui résulte de l’intrication de plusieurs facteurs étiologiques, variant selon le type de violence rencontré. L’objectif de ce travail était d’identifier des facteurs en lien avec la survenue d’évènements violents dans les soins hospitaliers, le vécu des soignants et leurs impacts. La méthode comportait une enquête transversale, multicentrique (CHU de Toulouse et Poitiers), multi-sites (urgences psychiatriques et somatiques, services fermés de psychiatrie) auprès des personnels volontaires infirmiers et aides soignants. L’auto-questionnaire comportait les caractéristiques individuelles des soignants, dont l’échelle MBI (évaluation de l’épuisement professionnel), les variables d’organisation du travail (score de Pression Temporelle, score d’Incertitude validés par Presst-Next), la partie interactionnelle dont l’échelle IRI d’empathie. L’analyse descriptive et comparative des données selon le niveau de violence précédait une régression logistique du risque de violence déclarée en fonction des variables indépendantes retenues. Le taux de réponse était de 58,1 %, 150 questionnaires furent validés et traités. Les résultats révèlent que la fréquence de confrontation à la violence et le sentiment d’insécurité au travail sont élevés chez les soignants interrogés. L’épuisement professionnel, la pression temporelle, les horaires de travail sont associés à une violence élevée. La dimension cognitive PT (Prise de perspective) de l’empathie est associée à une réduction du risque de violence déclarée. Ces résultats révèlent ainsi que l’empathie dans les soins prévient la survenue d’évènements de violence. En revanche, la pression au travail, l’épuisement professionnel et la sympathie semblent constituer des facteurs de risque par l’altération de la relation soignants-soignés.ConclusionCes résultats suggèrent la nécessité d’améliorer les conditions de travail, de prévenir l’apparition d’un épuisement professionnel et de préserver l’empathie clinique chez les soignants. Ces actions pourraient contribuer à prévenir la violence interactionnelle dans les soins par l’amélioration de la relation thérapeutique.
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Gantayet, Arpita, Pamela Mathura, Alexis Fong-Leboeuf, Natalie McMurtry, Julie Zhang, Finlay A. McAlister, and Narmin Kassam. "High-Users of Acute Care in a Teaching Hospital: A Retrospective Chart Review and Survey of Primary Care Physicians." Canadian Journal of General Internal Medicine 15, no. 3 (August 27, 2020): 28–42. http://dx.doi.org/10.22374/cjgim.v15i3.363.

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PurposeTo characterize high-users (HUs) of inpatient units, obtain insights from their primary care physicians (PCPs) and identify factors that can be modified to reduce resource use. MethodThe study design included retrospective chart reviews of high-user patients and qualitative surveys of their PCPs. HUs were defined as adults with 3 or more admissions to an index tertiary teaching hospital in Edmonton as well as a cumulative length of stay (cLOS) greater than 30 days at any hospital in the province of Alberta, between September 1, 2015 and September 30, 2016. The charts of HUs were reviewed to assess demographics, admitting and consulting services, medical profile, social profile, community supports, and scores on pre-existing risk-stratification tools to identify patient factors that might be characteristic of HUs. Additionally, a survey comprising 12 multiple-choice and 8 short-answer questions was faxed to their PCPs to assess HU attitudes and behaviors and collect recommendations to prevent high use of acute care. ResultsOf 125 HUs (median 62 years old, 5 admissions, cLOS 49 days, 14 emergency department (ED) visits, 10 medications), 74% lived at home, 86% had a PCP, 56% received homecare pre-admission and 34% had at least one critical care admission. HUs accounted for 2474 admissions or ED visits (median 14, IQR 10-22) at all sites in the year studied; 41% of their 1605 ED visits and 21% of their 869 admissions were at other hospitals. Their most prevalent comorbidities were hypertension, depression, and diabetes. 49 responses were received to 114 faxed surveys (43% response rate). Only 14 of 49 responding PCPs suggested interventions to address ED revisits and readmissions; PCPs most frequently cited living conditions and lack of social supports as key causative factors.ConclusionsWe have characterized high-user patients and discussed PCP perspectives and strategies to optimize their healthcare use. Resume ObjetCaractériser les grands utilisateurs (HU) des unités d’hospitalisation, obtenir des informations de leurs médecins de soins primaires (PCP) et identifier les facteurs qui peuvent être modifiés pour réduire l’utilisation des ressources. MéthodeLa conception de l’étude comprenait des examens rétrospectifs de dossiers de patients très utilisateurs et des enquêtes qualitatives sur leurs PPC. Les UH ont été définis comme des adultes ayant été admis à trois reprises ou plus dans un hôpital universitaire tertiaire d’Edmonton et dont la durée de séjour cumulée (DSC) est supérieure à 30 jours dans n’importe quel hôpital de la province de l’Alberta, entre le 1er septembre 2015 et le 30 septembre 2016. Les tableaux des HU ont été examinés afin d’évaluer les données démographiques, les services d’admission et de consultation, le profil médical, le profil social, les soutiens communautaires et les scores des outils de stratification des risques préexistants afin d’identifier les facteurs des patients qui pourraient être caractéristiques des HU. En outre, une enquête comprenant 12 questions à choix multiple et 8 questions à réponse courte a été envoyée par fax à leurs PCP afin d’évaluer les attitudes et les comportements des HU et de recueillir des recommandations pour prévenir un recours élevé aux soins de courte durée. RésultatsSur 125 HU (âge médian 62 ans, 5 admissions, cLOS 49 jours, 14 visites aux urgences, 10 médicaments), 74 % vivaient à domicile, 86 % avaient un PCP, 56 % recevaient des soins à domicile avant leur admission et 34 % avaient au moins une admission en soins intensifs. Les HU ont représenté 2474 admissions ou visites aux urgences (médiane 14, IQR 10-22) dans tous les sites au cours de l’année étudiée ; 41% de leurs 1605 visites aux urgences et 21% de leurs 869 admissions se sont faites dans d’autres hôpitaux. Leurs comorbidités les plus fréquentes étaient l’hypertension, la dépression et le diabète. 49 réponses ont été reçues pour 114 enquêtes envoyées par fax (taux de réponse de 43 %). Seuls 14 des 49 PCP ayant répondu ont suggéré des interventions pour remédier aux problèmes des visites aux urgences et des réadmissions; les PCP ont le plus souvent cité les conditions de vie et le manque de soutien social comme principaux facteurs de causalité. ConclusionsNous avons caractérisé les patients grands utilisateurs et discuté des perspectives et des stratégies de la PCP pour optimiser leur utilisation des soins de santé.
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Delforge, J., S. Sovaila, L. Alix, A. Didon, O. Steichen, B. Ranque, A. Froissart, et al. "Caractéristiques des patients admis en médecine interne dans 18 hôpitaux français en aval des urgences et organisation de ces services : enquête transversale de la SNFMI (groupe d’étude SiFMI) en 2015." La Revue de Médecine Interne, November 2020. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2020.09.001.

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