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Статті в журналах з теми "Marginaux – Brésil – Bahia (Brésil ; État)":

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Cortado, Thomas Jacques. "Maison." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.131.

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Анотація:
Le champ sémantique de la maison imprègne nos perceptions individuelles et collectives du monde comme peu d’autres. Il suffit de songer à la distinction très marquée entre house et home en anglais, si difficile à retranscrire dans nos langues latines, ou encore aux usages politiques de l’expression « chez nous » en français. Ce champ renvoie à des lieux souvent riches d’affects, de mémoires et de désirs, qui nous définissent en propre et orientent nos perceptions du temps et de l’espace. Ils font d’ailleurs la matière des poètes, peintres et autres artistes. À cet égard, lorsque nous perdons notre maison, nous ne nous retrouvons pas seulement privés d’un bien utile et échangeable, d’un « logement », nous voyons aussi s’effacer une partie de nous-mêmes et le centre à partir duquel s’organise notre existence quotidienne. En dépit de sa densité, les anthropologues ont d’abord rabattu le thème de la maison sur ceux de la famille et de la culture matérielle. Pour Lewis H. Morgan, la forme de l’espace domestique ne fait qu’épouser un certain type d’organisation familiale; elle en est, pour ainsi dire, le révélateur (1877). À la « hutte » des « sauvages » correspond donc la famille consanguine, qui autorise le mariage entre cousins, alors qu’à la « maison commune » des « barbares » correspond la famille patriarcale, autoritaire et polygame. Les « maisons unifamiliales » de l’Occident contemporain renvoient à la famille nucléaire, fondement de la « civilisation ». Quant aux anthropologues davantage intéressés par l’architecture et les artefacts domestiques, leurs analyses consistent souvent à expliquer leur genèse en accord avec une vision évolutionniste du progrès technique ou par des facteurs géographiques. On aurait pu s’attendre à ce que l’invention de l’ethnographie par Bronislaw Malinowski ouvre de nouvelles perspectives. Avec elle, c’est en effet un certain rapport à la maison qui se met à définir le métier d’anthropologue, celui-là même qu’exemplifie la célèbre représentation de ce dernier sous sa tente, immortalisée dans la première planche photographique des Argonautes du Pacifique occidental. Pour autant, la maison reste un objet secondaire par rapport à l’organisation de la vie familiale, le vrai principe de la société. Elle est avant tout le lieu où le couple choisit de résider après le mariage et ce choix se plie à certaines « règles », dont on peut assez facilement faire l’inventaire, grâce aux liens de filiation entre les membres du couple et les autres résidents (Murdock 1949). On parlera, par exemple, de résidence « matrilocale » quand le couple emménage chez les parents de l’épouse, « patrilocale » dans le cas inverse. Quant aux sociétés occidentales, où le couple forme habituellement un nouveau ménage, on parlera de résidence « néolocale ». La critique de ces règles permet, dans les années 1950 et 1960, d’étendre la réflexion sur la maison. Face aux difficultés concrètes que pose leur identification, Ward Goodenough suggère d’abandonner les taxinomies qui « n’existent que dans la tête des anthropologues » et de « déterminer quels sont, de fait, les choix résidentiels que les membres de la société étudiée peuvent faire au sein de leur milieu socioculturel particulier » (1956 : 29). Autrement dit, plutôt que de partir d’un inventaire théorique, il faut commencer par l’étude des catégories natives impliquées dans les choix résidentiels. La seconde critique est de Meyer Fortes, qui formule le concept de « groupe domestique », « unité qui contrôle et assure l’entretien de la maison (householding and housekeeping unit), organisée de façon à offrir à ses membres les ressources matérielles et culturelles nécessaires à leur conservation et à leur éducation » (1962 : 8). Le groupe domestique, à l’instar des organismes vivants, connaît un « cycle de développement ». En Europe du sud, par exemple, les enfants quittent le domicile parental lorsqu’ils se marient, mais y reviennent en cas de rupture conjugale ou de chômage prolongé ; âgés, les parents souvent cherchent à habiter près de leurs enfants. En conséquence, « les modèles de résidence sont la cristallisation, à un moment donné, d’un processus de développement » (Fortes 1962 : 5), et non l’application statique de règles abstraites. La maison n’est donc pas seulement le lieu où réside la famille, elle est nécessaire à l’accomplissement de tâches indispensables à la reproduction physique et morale des individus, telles que manger, dormir ou assurer l’éducation des nouvelles générations (Bender 1967). Cette conception du groupe domestique rejoint celle qu’avait formulée Frédéric Le Play un siècle auparavant : pour l’ingénieur français, il fallait placer la maison au centre de l’organisation familiale, par la défense de l’autorité paternelle et la transmission de la propriété à un héritier unique, de façon à garantir la stabilité de l’ordre social (1864). Elle exerce de fait une influence considérable sur les historiens de la famille, en particulier ceux du Cambridge Group for the History of Population and Social Structure, dirigé par Peter Laslett (1972), et sur les anthropologues (Netting, Wilk & Arnould 1984), notamment les marxistes (Sahlins 1976). En Amérique latine, de nombreuses enquêtes menées dans les années 1960 et 1970 mettent en évidence l’importance des réseaux d’entraide, attirant ainsi l’attention sur le rôle essentiel du voisinage (Lewis 1959, Lomnitz 1975). La recherche féministe explore quant à elle le caractère genré de la répartition des tâches au sein du groupe domestique, que recoupe souvent la distinction entre le public et le privé : à la « maîtresse de maison » en charge des tâches ménagères s’oppose le « chef de famille » qui apporte le pain quotidien (Yanagisako 1979). Un tel découpage contribue à invisibiliser le travail féminin (di Leonardo 1987). On remarquera néanmoins que la théorie du groupe domestique pense la maison à partir de fonctions établies par avance : ce sont elles qui orientent l’intérêt des anthropologues, plus que la maison en elle-même. C’est à Claude Lévi-Strauss que l’on doit la tentative la plus systématique de penser la maison comme un principe producteur de la société (1984 ; 2004). Celui-ci prend pour point de départ l’organisation sociale de l’aristocratie kwakiutl (Amérique du Nord), telle qu’elle avait été étudiée par Franz Boas : parce qu’elle présentait des traits à la fois matrilinéaires et patrilinéaires, parce qu’elle ne respectait pas toujours le principe d’exogamie, celle-ci défiait les théories classiques de la parenté. Lévi-Strauss propose de résoudre le problème en substituant le groupe d’unifiliation, tenu pour être au fondement des sociétés dites traditionnelles, par celui de « maison », au sens où l’on parlait de « maison noble » au Moyen Âge. La maison désigne ainsi une « personne morale détentrice d’un domaine, qui se perpétue par transmission de son nom, de sa fortune et de ses titres en ligne réelle ou fictive » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Plus que les règles de parenté, ce sont les « rapports de pouvoir » entre ces « personnes morales » qui déterminent les formes du mariage et de la filiation : celles-ci peuvent donc varier en accord avec les équilibres politiques. Lévi-Strauss va ensuite généraliser son analyse à un vaste ensemble de sociétés apparemment cognatiques, qu’il baptise « sociétés à maison ». Celles-ci se situeraient dans une phase intermédiaire de l’évolution historique, « dans un état de la structure où les intérêts politiques et économiques tend[ent] à envahir le champ social » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Très discuté par les spécialistes des sociétés concernées, ce modèle a eu la grande vertu de libérer l’imagination des anthropologues. Critiquant son évolutionnisme sous-jacent, Janet Carsten et Stephen Hugh-Jones (1995) proposent toutefois d’approfondir la démarche de Lévi-Strauss, en considérant la maison comme un véritable « fait social total ». L’architecture, par exemple, ne relève pas que d’une anthropologie des techniques : celle de la maison kabyle, analysée par Pierre Bourdieu, met en évidence un « microcosme organisé selon les mêmes oppositions et mêmes homologies qui ordonnent tout l’univers » (1972 : 71), un parallélisme que l’on retrouve dans de nombreux autres contextes socioculturels (Hamberger 2010). Fondamentalement, la maison relève d’une anthropologie du corps. Dans son enquête sur la parenté en Malaisie, Carsten souligne le rôle joué par la cuisine ou le foyer, en permettant la circulation des substances qui assurent la production et la reproduction des corps (alimentation, lait maternel, sang) et leur mise en relation, ce que Carsten appelle la « relationalité » (relatedness) (1995). Fait dynamique plutôt que statique, la maison nous met directement au contact des processus qui forment et reforment nos relations et notre personne : son étude permet donc de dépasser la critique culturaliste des travaux sur la parenté; elle nous montre la parenté en train de se faire. Il convient aussi de ne pas réduire la maison à ses murs : celle-ci le plus souvent existe au sein d’un réseau. Les enquêtes menées par Émile Lebris et ses collègues sur l’organisation de l’espace dans les villes d’Afrique francophone proposent ainsi le concept de « système résidentiel » pour désigner « un ensemble articulé de lieux de résidences (unités d’habitation) des membres d’une famille étendue ou élargie » (Le Bris 1985 : 25). Ils distinguent notamment entre les systèmes « centripètes », « de concentration en un même lieu d’un segment de lignage, d’une famille élargie ou composée » et les systèmes « centrifuges », de « segmentation d’un groupe familial dont les fragments s’installent en plusieurs unités résidentielles plus ou moins proches les unes des autres, mais qui tissent entre elles des liens étroits » (Le Bris 1985 : 25). Examinant les projets et réseaux que mobilise la construction d’une maison dans les quartiers noirs de la Bahia au Brésil, les circulations quotidiennes de personnes et d’objets entre unités domestiques ainsi que les rituels et fêtes de famille, Louis Marcelin en déduit lui aussi que la maison « n’est pas une entité isolée, repliée sur elle-même. La maison n’existe que dans le contexte d’un réseau d’unités domestiques. Elle est pensée et vécue en interrelation avec d’autres maisons qui participent à sa construction – au sens symbolique et concret. Elle fait partie d’une configuration » (Marcelin 1999 : 37). À la différence de Lebris, toutefois, Marcelin part des expériences individuelles et des catégories socioculturelles propres à la société étudiée : une « maison », c’est avant tout ce que les personnes identifient comme tel, et qui ne correspond pas nécessairement à l’image idéale que l’on se fait de cette dernière en Occident. « La configuration de maisons rend compte d’un espace aux frontières paradoxalement floues (pour l'observateur) et nettes (pour les agents) dans lequel se déroule un processus perpétuel de création et de recréation de liens (réseaux) de coopération et d'échange entre des entités autonomes (les maisons) » (Marcelin 1996 : 133). La découverte de ces configurations a ouvert un champ de recherche actuellement des plus dynamiques, « la nouvelle anthropologie de la maison » (Cortado à paraître). Cette « nouvelle anthropologie » montre notamment que les configurations de maisons ne sont pas l’apanage des pauvres, puisqu’elles organisent aussi le quotidien des élites, que ce soit dans les quartiers bourgeois de Porto au Portugal (Pina-Cabral 2014) ou ceux de Santiago au Chili (Araos 2016) – elles ne sont donc pas réductibles à de simples « stratégies de survie ». Quoiqu’elles se construisent souvent à l’échelle d’une parcelle ou d’un quartier (Cortado 2019), ces configurations peuvent très bien se déployer à un niveau transnational, comme c’est le cas au sein de la diaspora haïtienne (Handerson à paraître) ou parmi les noirs marrons qui habitent à la frontière entre la Guyane et le Suriname (Léobal 2019). Ces configurations prennent toutefois des formes très différentes, en accord avec les règles de filiation, bien sûr (Pina-Cabral 2014), mais aussi les pratiques religieuses (Dalmaso 2018), le droit à la propriété (Márquez 2014) ou l’organisation politique locale – la fidélité au chef, par exemple, est au fondement de ce que David Webster appelle les « vicinalités » (vicinality), ces regroupements de maisons qu’il a pu observer chez les Chopes au sud du Mozambique (Webster 2009). Des configurations surgissent même en l’absence de liens familiaux, sur la base de l’entraide locale, par exemple (Motta 2013). Enfin, il convient de souligner que de telles configurations ne sont pas, loin de là, harmonieuses, mais qu’elles sont généralement traversées de conflits plus ou moins ouverts. Dans la Bahia, les configurations de maisons, dit Marcelin, mettent en jeu une « structure de tension entre hiérarchie et autonomie, entre collectivisme et individualisme » (Marcelin 1999 : 38). En tant que « fait social total », dynamique et relationnel, l’anthropologie de la maison ne saurait pourtant se restreindre à celle de l’organisation familiale. L’étude des matérialités domestiques (architecture, mobilier, décoration) nous permet par exemple d’accéder aux dimensions esthétiques, narratives et politiques de grands processus historiques, que ce soit la formation de la classe moyenne en Occident (Miller 2001) ou la consolidation des bidonvilles dans le Sud global (Cavalcanti 2012). Elle nous invite à penser différents degrés de la maison, de la tente dans les camps de réfugiés ou de travailleurs immigrés à la maison en dur (Abourahme 2014, Guedes 2017), en passant par la maison mobile (Leivestad 2018) : pas tout à fait des maisons, ces formes d’habitat n’en continuent pas moins de se définir par rapport à une certaine « idée de la maison » (Douglas 1991). La maison relève aussi d’une anthropologie de la politique. En effet, la maison est une construction idéologique, l’objet de discours politiquement orientés qui visent, par exemple, à assoir l’autorité du père sur la famille (Sabbean 1990) ou à « moraliser » les classes laborieuses (Rabinow 1995). Elle est également la cible et le socle des nombreuses technologiques politiques qui organisent notre quotidien : la « gouvernementalisation » des sociétés contemporaines se confond en partie avec la pénétration du foyer par les appareils de pouvoir (Foucault 2004); la « pacification » des populations indigènes passe bien souvent par leur sédentarisation (Comaroff & Comaroff 1992). Enfin, la maison relève d’une anthropologie de l’économie. La production domestique constitue bien sûr un objet de première importance, qui bénéficie aujourd’hui d’un regain d’intérêt. Florence Weber et Sybille Gollac parlent ainsi de « maisonnée » pour désigner les collectifs de travail domestique fondés sur l’attachement à une maison – par exemple, un groupe de frères et sœurs qui s’occupent ensemble d’un parent âgé ou qui œuvrent à la préservation de la maison familiale (Weber 2002, Gollac 2003). Dans la tradition du substantialisme, d’autres anthropologues partent aujourd’hui de la maison pour analyser notre rapport concret à l’économie, la circulation des flux monétaires, par exemple, et ainsi critiquer les représentations dominantes, notamment celles qui conçoivent l’économie comme un champ autonome et séparé (Gudeman et Riviera 1990; Motta 2013) – il ne faut pas oublier que le grec oikonomia désignait à l’origine le bon gouvernement de la maison, une conception qui aujourd’hui encore organise les pratiques quotidiennes (De l’Estoile 2014). Cycles de vie, organisation du travail domestique, formes de domination, identités de genre, solidarités locales, rituels et cosmovisions, techniques et production du corps, circulation des objets et des personnes, droits de propriété, appropriations de l’espace, perceptions du temps, idéologies, technologies politiques, flux monétaires… Le thème de la maison s’avère d’une formidable richesse empirique et théorique, et par-là même une porte d’entrée privilégiée à de nombreuses questions qui préoccupent l’anthropologie contemporaine.

Дисертації з теми "Marginaux – Brésil – Bahia (Brésil ; État)":

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Filho, Antonio Nery Alves. "La vie dans la marginalité ou la mort dans l'institution : étude sur quatre groupes d'enfants et d'adolescents vivant de la rue à Salvador de Bahia (Brésil)." Lyon 2, 1993. http://www.theses.fr/1993LYO2A001.

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Palmiero, Martine. "Travail, citoyenneté active et processus de socialisation : l'exemple du budget participatif de Vitoria da Conquista (Bahia - Brésil)." Toulouse 2, 2010. http://www.theses.fr/2010TOU20098.

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Анотація:
Le contexte de crise qui touche les sociétés modernes industrialisées depuis les années 1980, a suscité une controverse théorique qui divise la société et la communauté scientifique quant à la place et à la valeur centrale du travail en matière de socialisation et d’accès à la citoyenneté. Notre recherche vise à démontrer que le travail n’est pas le seul facteur de socialisation des adultes et que d’autres activités peuvent produire des effets de socialisation. Dans le cadre d’une approche systémique des conduites du sujet, nous voulons montrer qu’une citoyenneté active peut avoir des effets comparables à ceux du travail sur l’intégration (activités hors travail, soutien social) et la personnalisation des sujets (estime de soi, attitude affective à l’égard du futur, projets). Notre étude a été réalisée au Brésil dans une ville de l’état de Bahia, Vitória da Conquista, qui a mis en place en 1997 un dispositif de budget participatif. Elle s’appuie sur la passation d’un questionnaire administré à 214 sujets. Les résultats montrent qu’une citoyenneté active peut non seulement avoir des effets de socialisation comparables à ceux du travail mais aussi atténuer et même inverser les conséquences négatives du chômage sur certaines dimensions de la socialisation
The crisis context that has affected modern industrialized societies since the 1980s, has given rise to a theoretical controversy that divides the scientific community concerning the place and central value of work in socialisation and access to citizenship. Our research aims to demonstrate that work is not the only factor for the socialisation of the adult population and that other activities may produce socialising effects. Within a systemic approach of subjects’ conduct, we wish to demonstrate that active citizenship may produce effects comparable to those of work in relation to the integration (activities outside work, social support) and the personalisation of subjects (self-esteem, affective attitude in relation to the future, projects). Our study was conducted in Brazil, in a town of the state of Bahia, Vitória da Conquista, which set up a participative budget in 1997. The study is based on a questionnaire of 214 subjects. The results show that active citizenship may not only produce socializing effects comparable to those of work but also reduce and even reverse the negative consequences that unemployment has on certain dimensions of socialisation
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Pacheco, de Almeida José Antonio. "Le sertâo sisalier de Bahia-Brésil : analyse d'images spot pour une typologie dynamique de l'utilisation des terres (1986-1993)." Toulouse 2, 1996. http://www.theses.fr/1996TOU20044.

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Анотація:
Ce travail a pour objectif d'etablir un diagnostic du changement dans l'utilisation des terres, a partir de trois series de donnees spot teledetectees entre 1986 et 1993, periode-cle de mutation du sertao sisalier de l'etat de bahia, au coeur du nordeste semi-aride bresilien. L'equilibre relatif entre boeuf, sisal et caatinga qui existait depuis les annees 1930, s'est rompu dans les annees 1980. Conjointement au defrichement de la caatinga, on assiste a l'abandon partiel de la culture sisaliere,qu'elle soit traditionnelle ou industrielle au profit de l'espace pastoral, temoin du developpement de l'elevage extensif. Apres caracterisation des reponses radiometriques des differents modalites de couverture du sol, l'interpretation visuelle des images multitemporelles monocanal a permis de jeter les bases d'une typologie thematico-dynamique dont la representation spatiale est assuree par des classifications supervisees, operees sur l'ensemble des canaux bruts des trois images. Les principaux changements intervenus entre 1986 et 1993 sont ainsi identifies et estimes quantitativement
This study's objective is to set up a diagnostic about the transfer in lands using, from three multispectral serial spot datas, teledetected from 1986 to 1993, keyperiod for the bahia's sisaliar sertao, in the middle of the brazilian nordeste. The comparative stability between cow, sisal and caatinga, that had been realised for decades, was broken in the years 1980. In the same time, we can notice the progressive clearing of the caatinga land and the partially neglected sisal culture, as traditional or industrial one, which were replaced by pasture land. This is the result of the expansive breeding developpement. After having caracterized the radiometric answers of the different soil modalities, the visual interpretation of the monocanal multidate images permited to lay the foundation of the lands occupation use dynamism typology, whose spatial representation is attempt with supervised classifications aplied to the nine avalable canals. So, for the santa luz district, the principal transfering occurrencies have been identified and quantitatively valued
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Nóvoa, Jorge Luis Bezerra. "Le Brésil dans le développement inégal du capitalisme : le cas de Bahia." Paris 7, 1985. http://www.theses.fr/1985PA070016.

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Sousa, Fernando Henrique de. "O jogo de atores e a multiterritorialidade." Paris 1, 2011. http://www.theses.fr/2011PA010603.

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Cette étude est centrée sur le jeu des acteurs et la multiterritorialité comme clés de lecture et de compréhension de l'occupation touristico-immobilière qui s'est produite sur le Littoral Nord de l'État de Bahia, dans le Nordeste du Brésil tout au long des années 2000. Il a été mis en œuvre une proposition d'investigation comprenant un ample relevé d'analyses secondaires, des entretiens avec les principaux acteurs, la participation à des manifestations et à des comités institutionnels afin d'effectuer une analyse de l'interaction entre ces acteurs, une analyse approfondie des documents concernant les projets gouvernementaux d'expansion du réseau urbain du Littoral Nord de Bahia et de l'infrastructure s'y rapportant, l'analyse de séries d'images satellites historiques, l'organisation de données cartographiques de l'occupation, ainsi que des observations de terrain et des analyses du paysage appuyées par des enregistrements réalisés avec des ressources multimédias telles que photos, vidéos et enregistrements audio entre les années 2005 et 2010. Il a été finalement présenté les contextes et les scénarios de situations-problèmes dans le cadre desquelles les acteurs territoriaux ont réalisé leurs discussions, leurs négociations et leurs accords avec, à la clé, des décisions qui ont débouché sur la conformation territoriale dans laquelle, en 2010, le secteur touristico-immobilier lié au marché de capitaux se montrait de grande importance et, en même temps, générateur de fortes contradictions et de défis certains quant à la qualité de vie des différentes populations, tout autant touristes que résidents locaux.
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Labaig, Henrique. "Les associations du monde paysan : vers une nouvelle construction territoriale de l'agriculture familiale au Brésil : l'exemple du Cerrado." Toulouse 2, 2003. http://www.theses.fr/2003TOU20027.

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Ce travail de doctorat s'attache à montrer que les nouvelles politiques publiques au Brésil en faveur de l'agriculture familiale ne sont pas qu'un renforcement des relations sociales antérieures mais qu'elles s'articulent à une transformation profonde du rural et de la relation de l'Etat à la paysannerie. Une première partie présente une étude historique du processus de développement agricole et de la constitution d'une paysannerie au Brésil. Le processus de modernisation est analysé pour le cas de la région du Cerrado et le municipe de Rio Verde (Etat du Goiás) montre que la coopérative a été l'instrument de cette modernisation et de la marginalisation des exploitations familiales. La seconde partie montre que les politiques publiques en faveur de l'agriculture familiale depuis 1995 sont en mesure de produire un nouveau type de rural grâce au mouvement associatif qui ne peut être résumé à un simple instrument opportuniste de captation de ressources provenant de l'Etat par des réseaux de clientèle. La démonstration s'appuie sur l'analyse des associations et des stratégies des exploitations de deux localités agraires : les municipes de Correntina dans l'état de Bahia et de Orizona dans l'état du Goiás
This PhD research intent to demonstrate that the new policies in Brazil in direction of family farms don't are only the reinforcement of previous social relations but that they correspond with a deep transformation of rural societies and of the relationship between State and peasantry. The first part presents an historical study of the development process of agriculture and of the constitution of a peasantry in Brazil. The process of modernization is analysed in the case of the Cerrados area and in particular the municipe of Rio Verde (Goiás state) and it shows that the cooperative has been the instrument of this modernisation and of the marginalisation of family farms. The second part shows that public policies in direction of family farming since 1995 are able to produce a new type of rural thanks to the associative movement that can't be summarised into a mere opportunist instrument of resource captivation from the state by clientelistic networks. The demonstration is based on the analysis of associations and farms strategies in two municipes of the states of Bahia and Goiás: Correntina and Orizona
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Freitas, Antonio Fernando Guereirro de. "Au Brésil : deux Régions de Bahia (1896-1937)." Paris 4, 1992. http://www.theses.fr/1992PA040143.

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Cette thèse étudie la formation de deux régions - la région du Sertao du fleuve Sao Francisco et la région cacaoyère - situées à l'état de Bahia, Brésil, dans la période 1896-1937. La première région était consacrée à la production de plusieurs denrées, tandis que la seconde, plus spécialisée, était consacrée à la monoculture du cacao. Dans la période étudiée, en plus des intérêts privés, l'état a joué un rôle important en ce qui concerne la définition des caractéristiques des deux régions. La politique de l'état eut une influence décisive dans deux sens et en deux temps : dans la première année, celle de 1896, elle contribua au processus de régionalisation ; et autour de 1937, cette politique viendrait redéfinir l'espace économique des deux régions
This thesis investigates the process of formation for two economic regions Sao Francisco and cacaoeira in the state of Bahia, Brazil, between 1896 and 1937. The former had its economy based on the production of a wide range of merchandises while the latter had always strengthened the monoculture of cocoa. During this period, and apart from private interests, the state played an important role in the shaping of these characteristics. The policies that were adopted had a considerable effect on their development in two different ways: in the first year of the period under study by helping to reinforce regionalization, and by the end of the period by contributing to redesign the geographical spaces
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Araujo, Ubiratan Castro de. "Le politique et l'économique dans une société esclavagiste : Bahia, 1820 à 1889." Paris 4, 1992. http://www.theses.fr/1992PA040194.

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N'avaient pas été approfondies les conjonctures strictement politiques qui expliquent deux réalités de l'économie sucrière de la province brésilienne de Bahia : le sursaut du sucre des années 1820-1855, malgré l'entêtement des maitres de moulin à maintenir les structures anciennes d'exploitation avec main d'œuvre servile et peu de progrès dans les méthodes de culture de la canne ou la fabrication des sucres d'une part, et, d'autre part, la déconfiture économique de la région à partir de la fin des années cinquante. Or, après l'expulsion des commerçants portugais en 1823, les alliances politiques des maitres des moulins à sucre du Reconvaco avec les commerçants de Salvador issus du même groupe social qu' eux, mais qui les dominent économiquement et politiquement, ont su vaincre rebellions esclaves et apathie des forces de progrès du petit peuple bahianais. La période de l'indépendance brésilienne et celle de l'abolition de l'esclavage offrent un intérêt tout particulier pour cette étude du politique et de l'économique de la Bahia du vingtième siècle
Two strictly political circumstances that explain two realities of the sugar economy in the Brazilian province of Bahia have not yet been deeply analyzed : on the one hand, the sudden burst of the sugar during the years 1820-1855, despite the stubbornness of the sugar planters in maintaining old exploitation structures using servile manpower and little progress in cultivation methods of the sugar cane or in the production of sugar and, on the other, the region’s economics collapse from the end of the 50's on. Thus, after the expulsion of the Portuguese tradesmen in 1823 the political alliances between the sugar planters of the Reconcavo and the tradesmen of Salvador, descendants from the same social group although politically and economically controlled them, succeeded in overcoming the slave rebellions and the apathy of the progressive forces of the lower classes of the bahianese population. The period of the Brazilian independence and that of the slavery abolition are interesting to study the politics and the economy of Bahia in the nineteenth-century
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Da, Silva Gomes Andrea. "Dynamique du système agraire de la région cacaoyère de l'Etat de Bahia, Brésil." Paris, AgroParisTech, 2007. http://www.theses.fr/2007AGPT0007.

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Анотація:
Le système agraire de la région cacaoyère de l´État de Bahia, Brésil, a été l´objet d´importantes transformations, qui ont résulté d´une grave crise socio-économique. Cette crise a débuté fin des années quatre-vingt et sa cause principale fut le déclin de la monoculture cacaoyère, activité économique dominante de la région jusqu´au début des années quatre-vingt-dix. Parmi les transformations qui se sont produites dans la région, on note la migration de la main d´oeuvre rurale vers les villes les plus proches, une augmentation de la pauvreté rurale et urbaine, l´apparition de nouvelles formes d´organisation du travail et de production dans l´agriculture, des innovations technologiques et une augmentation du déboisement. Face à ce scénario régional, notre recherche a pour objectif de contribuer à la compréhension de la dynamique du système agraire de la région étudiée, du point de vue économique et social. Nous avons ainsi élaboré un modèle de dynamique de systèmes basé sur les données de notre recherche sur le terrain dans une micro-région cacaoyère, en particulier dans les municipalités de Itajuípe et Coaraci. Le modèle a été conçu de façon à mettre en évidence les relations existantes entre les investissements réalisés dans les exploitations cacaoyères, la création d´emplois agricoles, les modes de faire-valoir, les revenus des exploitants, la structure foncière et les types d´exploitations agricoles. Les différents systèmes de culture et/ou élevage mis en oeuvre sont liés à ce dernier facteur, compte tenu des différents types de main-d’oeuvre. À partir de l´interaction de différents sous-modèles, nous avons construit un modèle de développement régional. Celui-ci montre divers scénarios d´évolution pour le système agraire régional et montre quelles pourraient être les politiques publiques qui favorisent un développement agricole durable de la région
The cocoa growing region of Bahia State, Brazil has been experiencing important transformations in its agrarian system as a consequence of a grave socioecomical crisis. Initiated in the last 80s years, this crisis was principally caused by the decline of cocoa cultivation, the dominant economic activity in the region until the 90s. Some of the resulting transformations occurring in the region are: the exodus of rural labor force to the nearest cities, increased rural and urban poverty, the appearance of new forms of work organization and agricultural production systems, technological innovations and increased deforestation. In light of this regional scenario, our research aimed to contribute to the understanding of the agricultural system dynamic of the studied region, with an economic and social approach. A dynamic pattern system was created based on field research performed in a cocoa growing micro-region, in the municipalities of Itajuípe and Coaraci. The model shows relations between agricultural investments in cocoa farms, agricultural employment generation, land tenure, labor force employment (sharecroppers or wage-workers), agrarian structure and productive unit typology. This last factor is related to the adoption of different cropping and animal raising systems in addition to different types of workers. From the interaction of the distinct sub-models, a regional development model was constructed. Several scenarios for the regional agrarian system were shown and public policy proposals that promote agricultural development intervention were made
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Vatin, Xavier. "Etude comparative de différentes nations de candomblé à Bahia, Brésil." Paris, EHESS, 2001. http://www.theses.fr/2001EHES0223.

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Анотація:
Les études concernant le candomblé, ses rites et ses musiques, ont jusqu'ici été effectuées sous forme de monographies, presque exclusivement consacréesà la nation Ketu, dans sa version orthodoxe. Ainsi, on a longtemps considéré que les traditions Yoruba et Fon, à l'origine du modèle Jêje-Nagô, avaient influencé de manière unilatérale les candomblés de Bahia. Au cours de ce travail comparatif, consacré aux nations Ketu, Jêje, Angola et au culte des caboclos, il est apparu qu'existent entre ces nations des constantes et des divergences, ainsi qu'un nombre considérable d'empr. Nts et d'influences réciproques. La comparaison a porté sur : le panthéon, la communauté religieuse. Le processus initiatique, les relations de la musique et de la possession, la performance rituelle, le contexte linguistique, les répertoires musicaux (chants et formules rythmiques). En ce qui concerne la musique, qui tient une place centrale dans la pratique rituelle, les nations possédent des répertoires vocaux distincts, mais qui s'interpénètrent de deux manières différentes ( par emprunt conscient ou par hybridation), attestant divers degrés de métissage musical. L'approche comparative met en évidence la nécessité d'appréhender les nations de candomblé - et plus largement, les cultes afrogbrésiliens - comme les éments d'un continuum et non comme des entités religieuses autonomes. D'une partchaque culte est le fruit d'interpénétrations profondes et multiples, d'autre part, la circulation des individus au sein de ces cultes est incessante. La bahianité, dans laquelle évoluent les auteurs de notre enquête et qu'ils recomposent chaque jour, semble relever d'une logique de la complémentarité. Au sein du continuum, les oppositions qui peuvent sembler les plus radicales, les parcours les plus hétérodoxes, s'inscrivent pourtant dans une continuité culturelle, rituelle, religieuse. Cette étude comparative devrait être étendue à d'autres cultes afro-brésiliens et afro-américains.

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