Journal articles on the topic 'Frontières – Afrique'

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Dalberto, Séverine Awenengo. "Frontières et indépendances en Afrique subsaharienne." Afrique contemporaine 235, no. 3 (2010): 73. http://dx.doi.org/10.3917/afco.235.0073.

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Bouquet, Christian. "L’artificialité des frontières en Afrique subsaharienne." Les Cahiers d’Outre-Mer 56, no. 222 (April 1, 2003): 181–98. http://dx.doi.org/10.4000/com.870.

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3

Galmot, Caroline. "En Afrique, des frontières de l'Europe." La pensée de midi N° 10, no. 2 (August 1, 2003): 31–39. http://dx.doi.org/10.3917/lpm.010.0031.

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Grätz, Tilo. "Les frontières de l'orpaillage en Afrique occidentale." Autrepart 30, no. 2 (2004): 135. http://dx.doi.org/10.3917/autr.030.0135.

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Bernard, Eric. "Internet et ses frontières en Afrique de l'Ouest." Annales de Géographie 114, no. 645 (2005): 550–63. http://dx.doi.org/10.3406/geo.2005.21246.

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Bernard, Éric. "Internet et ses frontières en Afrique de l'Ouest." Annales de géographie 645, no. 5 (2005): 550. http://dx.doi.org/10.3917/ag.645.0550.

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7

Hofman, Lucile, and Patrick Plane. "Électricité en Afrique et performance productive." Articles 77, no. 3 (February 5, 2009): 385–408. http://dx.doi.org/10.7202/602357ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Au milieu des années quatre-vingt, les sociétés africaines d’électricité se sont engagées dans des programmes de réforme ayant pour objet d’améliorer leur efficience productive. Douze de ces réseaux sont étudiés dans cet article. Des frontières de production paramétriques sont d’abord estimées sur données de panel. La société ivoirienne, dont la privatisation a été effectuée en 1990, révèle que cette réforme institutionnelle a aidé à accroître la performance productive tandis que le même résultat a été difficile à obtenir lorsque l’opérateur est resté totalement public. Une analyse plus détaillée du cas ivoirien est ensuite réalisée en considérant des frontières de type DEA. Des indices de Malmquist non paramétriques sont calculés. Ils prennent en compte les dimensions économiques et sociales de l’activité du service public. L’output multiple est notamment mesuré par l’électricité produite (kWh) et le nombre de consommateurs. Une diminution de la productivité totale des facteurs (PTF) est mise en évidence, dont l’effet est principalement imputé au mouvement de l’efficience technique. On conclut sur le rôle potentiel de la régulation publique pour faciliter la compatibilité entre l’accès au service universel et l’objectif de profit.
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Sevry, Jean. "Des frontières mouvantes : oralités et littératures en Afrique australe." Cahiers d’études africaines 35, no. 140 (1995): 839–71. http://dx.doi.org/10.3406/cea.1995.1882.

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Mfewou, Abdoulay, Hervé Tchekote, and Josephine Lemouogue. "Frontières Et Dynamiques Socio-Spatiales En Afrique : Une Analyse À Partir Des Frontières Sud- Camerounaises." European Scientific Journal, ESJ 14, no. 5 (February 28, 2018): 285. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2018.v14n5p285.

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Abstract:
This article focuses on the openness and socio-economic dynamics associated with the meeting of different communities from many inland territories of Africa: on the borders of South Cameroon, northern Equatorial Guinea and North of Gabon, attracted by the oil windfall. The study illustrates the effectiveness of "living together" in this vast sub-region. It shows how development is based on the organization of trade that is not simply based on the differences between national systems, but on the establishment of South- South relations. While the challenges based on planning on these cross-border spaces is indispensable, local elected representatives are trying to set-up networking arrangements for cross-border communities. Border management makes it possible to ensure security, counter-threats to people and economic prosperity. The construction of a motorable high-way and the implementation of treaties on the opening of borders signed between the States since the 16th of March 1994 deemed at facilitating the free movement of economic actors, while many still consider the arrival of foreigners in these Eldorado as an invasion.
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Gu-konu, Emmanuel yema. "Les frontières en Afrique de l'Ouest, sources et lieux d'information." Hommes et Migrations 1160, no. 1 (1992): 23–27. http://dx.doi.org/10.3406/homig.1992.1930.

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Ayimpam, Sylvie. "Mobilités, circulations et frontières. Migrations, mobilités et développement en Afrique." Anthropologie & développement, no. 51 (December 1, 2020): 193–95. http://dx.doi.org/10.4000/anthropodev.1068.

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Nordman, Daniel. "De Quelques Catégories de la Science Géographique Frontière, région et hinterland en Afrique du Nord (19e et 20e siècles)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 52, no. 5 (October 1997): 969–86. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1997.279614.

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Abstract:
Les développements qui suivent, éléments d'un chantier en cours sur les représentations de la géographie dite coloniale, au 19e et au 20e siècle, et au Maghreb*, supposent que l'on admette, à titre provisoire au moins et comme hypothèse de travail, que les frontières ne sont pas, ou n'ont pas été exclusivement, celles qu'édifient pour elles-mêmes les populations des confins lorsqu'elles choisissent des modèles de comportement économique, social ou culturel, lorsqu'elles édifient leur identité régionale, lorsqu'elles vivent, en un mot, leur sentiment d'appartenance territoriale et plus particulièrement leur situation frontalière. D'autres ont élaboré ces configurations, qu'il s'agisse des géographes ou des administrations, ou encore des milieux coloniaux. Pour avoir été imposées de l'extérieur, ces constructions n'en ont pas moins eu des effets durables. Elles sont un fait d'histoire et leurs empreintes doivent être exactement retracées. Elles constituent une variété particulière de catégories géographiques, comme la frontière, la région, l'hinterland. Certaines d'entre elles ont une histoire spécifique, souvent ancienne et même pluriséculaire : c'est le cas de la notion de frontière ; d'autres, comme la deuxième, se sont définies plus lentement sans doute, plus discrètement, avant d'envahir, au 20e siècle, toute une littérature géographique ; la dernière est propre à l'histoire et à la géographie africaines.
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Dejugnat, Yann. "Aux frontières du monde: voyage d'Abû Hamîd al-Gharnâtî revisité." Chronos 26 (March 23, 2019): 53–83. http://dx.doi.org/10.31377/chr.v26i0.416.

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Abû Hâmid al-Gharnâtî (m. 565/1169-70) fut sans conteste un des voyageurs musulmans les plus étonnants. « Type achevé du 'globe-trotteur' (rahhâl) occidental » (Lévi-ProvençaI 1960), il arpenta pendant plus d'un demi-siècle le Dâr al-lslâm, du Maghreb à l' Asie centrale et de l'Égypte au Caucase, mais surtout, comme l'a souligné Bernard Lewis, il fut le seul voyageur musulman, entre le IVe/Xe siècle où vécut Ibrâhîm ibn Ya'qûb et le IXe/XVe où furent rédigés les premiers rapports ottomans, à s'être aventuré en Europe, continent qui apparaissait beaucoup plus exotique et mystérieux aux yeux d ' un musulman du Moyen Âge que I 'Inde, la Chine ou même encore I ' Afrique tropicale (Lewis 1984 : 92).
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Brett, Peter, and Raphaël Botiveau. "Cause Lawyerssans frontières : juristes sud-africains et judiciarisation du politique en Afrique australe." Politique africaine 138, no. 2 (2015): 93. http://dx.doi.org/10.3917/polaf.138.0093.

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Debrie, Jean. "Géohistoire d'un tracé technique : frontières et réseaux en Afrique de l'ouest continentale « francophone »." Flux 70, no. 4 (2007): 49. http://dx.doi.org/10.3917/flux.070.0049.

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Sakho, Pape. "Marginalisation et enclavement en Afrique de l’Ouest :l’« espace des trois frontières » sénégalais." Espace populations sociétés, no. 2005/1 (January 1, 2005): 163–68. http://dx.doi.org/10.4000/eps.2787.

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Dawoulé Kouassi, Eméline. "Absence de recours, le veuvage dans le patriarcat." Ambigua: Revista de Investigaciones sobre Género y Estudios Culturales, no. 7 (December 14, 2020): 229–48. http://dx.doi.org/10.46661/ambigua.4931.

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Abstract:
Cet article se propose d’étudier le veuvage des femmes en Afrique comme une forme de violence symbolique, sociale, domestique et sexuelle, à partir de la littérature africaine d’expression hispanophone et francophone. Il étudie plus précisément la représentation des violences contre les femmes depuis une perspective artistique, culturelle et littéraire. Il ne fait pas l’impasse sur les facteurs et les causes socioculturelles des violences faites aux femmes en Afrique. Il montre comment la littérature dialogue autour de la problématique de la violence contre les femmes veuves et du changement social, c’est-à-dire entre vulnérabilité et subversion. L’étude de ce dialogue implique l’analyse des œuvres romanesques Ekomo (2008) de l’écrivaine équato-guinéenne María Nsue Angüe et Co-épouses Et Co-veuves (2015) de la centrafricaine Adrienne Yabouza. On s’intéressera également au positionnement de ces écrivaines dans le champ littéraire africain face aux dichotomies sexistes et à la connivence qui existe entre le droit coutumier et le droit civil, à leur engagement pour d’écrire la situation des veuves en Afrique dans un système patriarcal. Les personnages victimes de violence [les femmes veuves] sont mis en exergue à travers une fictionnalisation explicite des réalités socioculturelles, politiques. Celle-ci montre comment à l’aide de procédés stylistiques et narratifs la littérature est un outil privilégié pour repousser les frontières de sexe et contribue à la visibilisation d’une situation de violence qui est occultée
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Capitant, Sylvie. "L’interdisciplinarité comme indiscipline." Anthropologie et Sociétés 37, no. 1 (June 6, 2013): 117–36. http://dx.doi.org/10.7202/1016150ar.

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Abstract:
La pratique interdisciplinaire est une pratique quotidienne du chercheur qui le conduit à cheminer par des contre-allées, à prendre de la distance par rapport à son corpus disciplinaire de référence et à interroger la fragilité des frontières. Cela demande parfois de l’indiscipline et suscite des moments de frilosité scientifique. Cet article soutient ce cheminement indiscipliné en revenant sur trois actes d’indisciplinarité menés au cours d’une recherche sur les médias au Burkina Faso et qui se sont avérés d’une grande portée : remise en cause de la relégation à la périphérie de la sociologie de la communication de l’étude des médias en Afrique ; adoption d’une méthode anthropologique et recours à la sociolinguistique pour faire parler les matériaux de recherche.
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Bonjean, Catherine Araujo, and Stéphanie Brunelin. "Le commerce agricole en Afrique de l'Ouest et du Centre : les frontières sont-elles abolies ?" Revue d'économie du développement 21, no. 1 (2013): 5. http://dx.doi.org/10.3917/edd.271.0005.

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Bede, Damien. "La nouvelle en Afrique noire francophone : un genre atypique aux frontières des autres formes narratives." Présence Africaine 167-168, no. 1 (2003): 312. http://dx.doi.org/10.3917/presa.167.0312.

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Bekelynck, Anne. "Le rôle des entreprises privées dans la lutte contre le VIH/sida en Côte d’Ivoire : des vecteurs d’une utopie sociale aux partenaires d’une action publique." Partie 2 — Les frontières de la politisation, no. 72 (November 4, 2014): 129–49. http://dx.doi.org/10.7202/1027210ar.

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Abstract:
En Côte d’Ivoire, certaines grandes entreprises privées ont mis sur pied, dès la fin des années 1990, des programmes d’accès aux traitements antirétroviraux (ARV) pour leurs salariés. L’article se propose d’analyser les frontières de la politisation de ces initiatives privées dans la lutte contre le VIH/sida. Si la prise en charge de la santé des travailleurs par les entreprises privées n’est pas nouvelle en Afrique, le VIH/sida a introduit une rupture. L’intervention massive de la coopération internationale autour de cette épidémie a enjoint aux États d’intégrer de manière inédite le secteur privé dans les politiques nationales, tout en créant un « marché du sida » local, et en procurant un fort écho médiatique à des entreprises soucieuses de développer leur capital symbolique. Si les entreprises privées ont pu jouer un rôle décisif dans la promotion de l’« utopie » de l’accès aux ARV dans le Sud aux débuts de l’épidémie, leur inclusion inédite au sein d’une action publique a dilué leur rôle et leur pouvoir de transgression sociale.
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Ayoade, G. O., and I. G. Adeyemi. "Exposé général sur la peste porcine africaine." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 56, no. 3-4 (March 1, 2003): 129. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9853.

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La peste porcine africaine (PPA) est une maladie virale très grave en extension et menaçant le développement des productions porcines dans le monde entier. Le virus est un déoxyribovirus cytoplasmique de symétrie icosahédrique de la famille des Asfarviridae. C’est une arbovirus (transmis par les tiques) et c’est le seul arbovirus contenant de l’ADN. Les suidés sauvages d’Afrique, principalement le phacochère et le potamochère, sont les vertébrés à l’origine de la PPA. Les porcs domestiques sont infectés par les tiques (Ornithodoros moubata) ou par contacts directs avec des porcs sauvages. Des transmissions transstadiales et transovariennes ont lieu chez les tiques. Récemment, la PPA a causé une morbidité et une mortalité élevées chez les porcs domestiques au Nigeria et dans d’autres pays de l’Afrique de l’Ouest, considérés auparavant comme étant indemnes de la maladie. Aucune voie de protection vaccinale n’a été mise au point à ce jour. La protection réside dans des mesures sanitaires avec abattage et des mesures d’accompagnement, quarantaine stricte des porcs et des produits issus des élevages aux frontières, moyens nécessaires pour limiter les foyers de PPA en Afrique, notamment en Afrique de l’Ouest. Une meilleure connaissance de la maladie, la cuisson des eaux grasses dans l’alimentation des porcs, ainsi que des mesures de contrôle des porcs en divagation sont devenues les priorités dans l’éradication de la PPA. Les recherches sur un vaccin doivent être intensifiées. Les services gouvernementaux doivent améliorer les voies de diagnostic de terrain et de laboratoire, ainsi que les méthodes et réseaux d’informations, la PPA étant une maladie à déclaration obligatoire.
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Schaffer, Simon. "Les cérémonies de la mesure." Annales. Histoire, Sciences Sociales 70, no. 02 (June 2015): 409–35. http://dx.doi.org/10.1353/ahs.2015.0051.

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Résumé Longtemps, les pratiques de la mesure ont été prises comme des techniques autorisées qui traversent particulièrement bien et facilement les frontières culturelles, des techniques prises aussi comme un signe et une cause de la prédominance apparente des modes occidentales des sciences. L’attention aux rituels de la mesure et à l’émergence des formes de savoir qui accompagnaient la mesure, les sciences de métrologie notamment, aide à remettre en cause ces présupposés. On peut utiliser des récits du commerce silencieux, souvent situés en Afrique occidentale, et des histoires des origines rituelles de la mesure, développées par l’anthropologie et par l’histoire conjecturelle, pour sonder comment les pratiques de la mesure voyageaient et se transformaient. En particulier, les recherches de Marc Bloch, historien éminent des cérémonies et du pouvoir, peuvent aider à éclairer les rapports entre la géographie historique de la métrologie et l’étendue des sciences. Sa brillante analyse du rituel royal des anneaux magiques et de sa fortune donne un exemple et un précédent importants des épisodes cérémoniels et culturellement considérables dans l’histoire longue de la science de la mesure.
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Aubréville, André, and Ilona Bossanyi. "A Charter for Nature Protection in Tropical Africa." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 323, no. 323 (January 7, 2015): 65. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.323.a31245.

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Abstract:
Lors de la Conférence sur la Conservation de la faune et de la flore à Bukavu (26-31 octobre 1953), une délégation française a présenté une recommandation, adop- tée à l’unanimité, en faveur d’une poli- tique générale de protection de la nature en Afrique. La Convention de Londres de 1933, réservée à la « conservation de la faune et de la flore à l’état naturel », appa- raît en effet insuffisante. La conservation de quelques espèces animales ou végé- tales, et la constitution de parcs nationaux et de réserves naturelles ne constituent en effet qu’un point particulier d’une pro- tection de la Nature qui doit s’étendre à la protection du milieu dans lequel vit l’humanité africaine. Il s’agit de protéger la couverture végétale spontanée, protec- trice des eaux et des sols. Celle-ci recouvre les forêts mais aussi les « brousses » in- déterminées. Une convention spécifique à l’Afrique se justifie parce que la nature africaine est différente et plus gravement menacée que d’autres. Elle l’est par le ca- ractère extrême de son climat, mais aussi par les feux de brousse et l’agriculture sur brûlis, qui font vivre une population sous-alimentée. La savanisation, l’appau- vrissement et l’érosion des sols, la déser- tification y progressent. Une politique de protection commune à tous les territoires africains est devenue indispensable pour assurer cette protection, comme elle l’est tout autant pour lutter contre les épidé- mies. L’Afrique est un tout qui ne connaît pas de frontières, mais rassemble des régions naturelles interagissant au plan climatique. Au-delà d’une Charte pour la protection de la nature en Afrique, il s’agit toutefois bien de la protection des popula- tions africaines, lesquelles ne doivent ce- pendant pas être soumises à un planisme scientifique qui ignorerait leurs pratiques coutumières.Résumé adapté par la rédaction de la revue.
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Derive, Jean. "SÉVRY Jean, Des frontières mouvantes : oralité et littérature en Afrique australe, Cahiers d’études africaines 140, xxxv-4, 1995, pp. 839-871." Études littéraires africaines, no. 1 (1996): 69. http://dx.doi.org/10.7202/1042702ar.

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Cilliers, Jeanne, and Erik Green. "The Land–Labour Hypothesis in a Settler Economy: Wealth, Labour and Household Composition on the South African Frontier." International Review of Social History 63, no. 2 (August 2018): 239–71. http://dx.doi.org/10.1017/s0020859018000317.

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AbstractTraditional frontier literature identifies a positive correlation between land availability and fertility. A common explanation is that the demand for child labour is higher in newly established frontier regions compared to older, more densely populated farming regions. In this paper, we contribute to the debate by analysing the relationship between household composition and land availability in a closing frontier region, i.e. the Graaff-Reinet district in South Africa’s Cape Colony from 1798–1828. We show that the number of children in farming households increased with frontier closure, while the presence of non-family labourers decreased over time. Contrasting with the classic interpretation, we explain this by acknowledging that the demand for family labour was not a function of its marginal productivity and that farmers reacted differently to diminishing land availability depending on their wealth. Poorer households, which made up the majority of this frontier population, responded to shrinking land availability by employing relatively more family labour, while the wealthiest group invested in strengthening market access.TRANSLATED ABSTRACTS FRENCH – GERMAN – SPANISHJeanne Cilliers et Erik Green. L’hypothèse sur la disponibilité de terres et la main d’œuvre dans une économie de colons: richesse, main d’œuvre et composition du ménage à la frontière sud-africaine.La littérature traditionnelle de la frontière identifie une corrélation positive entre la disponibilité de terres et la fertilité. Une explication courante est que la demande de travail des enfants est supérieure dans les régions frontalières nouvellement établies, par comparaison avec d’anciennes régions agricoles plus densément peuplées. Dans cet article, nous contribuons au débat en analysant la relation entre la composition du ménage et la disponibilité de terres dans une région frontalière en train de fermer, le district de Graaff-Reinert dans la Colonie du Cap en Afrique du Sud, entre 1798 et 1828. Les auteurs montrent que le nombre des enfants dans les ménages agricoles augmenta avec la fermeture des frontières, tandis que la présence d’ouvriers agricoles non familiaux déclina au fil des ans. Contrairement à l’interprétation classique, nous expliquons ce phénomène en reconnaissant que la demande de travailleurs familiaux ne dépendit pas de sa productivité marginale, et que les exploitants agricoles réagirent différemment selon leur richesse à la disponibilité de terres diminuante. Les foyers plus pauvres, qui constituaient la majorité de cette population frontalière, répondirent à la disponibilité de terres déclinante en employant relativement plus de main d’œuvre familiale, tandis que le groupe le plus riche investit dans le renforcement de l’accès au marché.Traduction: Christine Plard
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Nagelschmidt, Martin. "Les relations internationales des Länder allemands et 679 l'évolution du système fédéral dans l'Union européenne : le cas du Bade-Wurtemberg." Études internationales 30, no. 4 (April 12, 2005): 679–99. http://dx.doi.org/10.7202/704084ar.

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Abstract:
On remarque que les relations internationales des Länder allemands (états fédérés allemands) se sont, dans une grande mesure, différenciées et diversifiées au cours de ces quelque vingt dernières années. Sur le plan des relations supranationales qui s'inscrivent dans le contexte de l'intégration européenne, les Länder ont acquis, en matière de prise de décision au sein de l'Union, des droits de participation considérables dans le processus législatif de la République fédérale. Ils ont également développé des moyens directs de négociation et de représentation à Bruxelles. Sur le plan des relations transnationales, ils ont modifié des régimes déjà existants et ont amorcé de nouvelles formes de coopération interrégionale et internationale qui ont contribué au processus d'intégration européenne. Si l'on regarde au-delà des frontières de l'Union européenne, on remarque qu'ils ont établi des relations internationales bilatérales avec des gouvernements des pays d'Europe centrale et d'Europe de l'Est, avec de nombreux pays en voie de développement en Asie, en Afrique et en Amérique du Sud ainsi qu'avec leurs partenaires aux États-Unis et en Asie de l'Est. Le cas du Bade-Wurtemberg montre que ce processus de différenciation et de complexification des institutions peut mener à une adaptation fructueuse des Länder à la mondialisation. C'est grâce à l'aspect coopératif du système fédéral allemand que les Länder sont en mesure d'agir de la sorte.
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Bourbier, Lucas, Guillaume Cornu, Alexandre Pennec, Christine Brognoli, and Valéry Gond. "Estimation à grande échelle de l'ouverture du couvert forestier en Afrique centrale à l'aide de données de télédétection." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 315, no. 315 (March 1, 2013): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.315.a20537.

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Abstract:
Les activités humaines en forêt humide tropicale sont à l'origine de perturbations et de dégradations du fait de leur mitage du couvert forestier. Des capacités permettant de mesurer l'étendue des dégâts sont indispensables au calcul des émissions de carbone dans le cadre des programmes Redd+ (Réduction des émissions dues à la déforestation et la dégradation des forêts). La télédétection est un outil puissant pour le recueil de ce type d'information (concernant, par exemple, l'exploitation forestière ou minière ou les projets d'infrastructure). Différentes techniques sont mises en ¿uvre pour identifier et quantifier l'ouverture du couvert forestier. Il s'agit ici de les compléter en comparant l'ouverture passée et actuelle du couvert forestier afin de documenter le renouvellement des écosystèmes suite aux opérations d'exploitation forestière. Cet article présente une approche mettant en ¿uvre une chaîne de traitement semi-automatisée adaptée à l'imagerie Landsat. En post-traitement, l'information portant sur l'ouverture de la canopée est extraite à l'aide d'algorithmes spécifiques. Un index spatial, calibré sur des données radiométriques à basse résolution, indique les taux d'ouverture passés et actuels. Ce procédé fournit des estimations de la dégradation forestière permettant de décrire les données de télédétection à basse résolution (issues de Modis, par exemple) utilisées pour la cartographie terrestre. Ces estimations sont alors croisées avec des cartes de couverture terrestre afin de distinguer des catégories forestières actuelles. Cet outil a été développé dans le cadre du projet CoForChange, dont l'objectif global est de prévoir l'évolution du couvert forestier et de la distribution des essences dans le Bassin du Congo liée aux changements globaux, et de développer des outils d'aide à la décision. Cet article présente un exemple en grandeur et en temps réels, situé dans la forêt humide aux frontières de la République centrafriquaine, de la République du Congo et du Cameroun, analysé année par année à l'aide de trente années d'archives Landsat.
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Rey, Pascal, and Marie Mazalto. "Quand le développement des territoires miniers brouille les frontières entre les secteurs public et privé. Cas du secteur minier en Afrique de l'Ouest." Mondes en développement 189, no. 1 (2020): 81. http://dx.doi.org/10.3917/med.189.0081.

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Ibáñez, José Javier Ruiz, and Gaetano Sabatini. "Alliés, voisins et ennemis du roi d’Espagne: La puissante faiblesse de la Monarchie hispanique (1580-1620)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 75, no. 1 (March 2020): 41–72. http://dx.doi.org/10.1017/ahss.2020.117.

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Abstract:
Alliés, voisins et ennemis du roi d’Espagne: La puissante faiblesse de la Monarchie hispanique (1580-1620)À la fin du xvie siècle, le roi d’Espagne et sa monarchie occupent aux yeux de l’Europe une position de prééminence. Non seulement de petits États, mais de nombreux mouvements insurrectionnels réclament son aide militaire et financière pour combattre leurs ennemis locaux et éviter d’être absorbés par leurs voisins. La Monarchie hispanique accroît alors sa capacité d’intervention en dehors de ses frontières, avec la possibilité d’incorporer de nouveaux territoires, tant en Europe qu’en Asie ou en Afrique ; à tout le moins, le pouvoir ibérique s’invite dans la politique intérieure de ces États, devenant un acteur supplémentaire de la scène politique locale. Cette sensation d’hégémonie est telle qu’elle nourrit en retour un puissant rejet : à de nombreux points du globe, jouer sur ce sentiment anti-espagnol devient un élément clef pour délégitimer des rivaux politiques et étayer les prétentions des vainqueurs dans les conflits civils de la fin du xvie siècle et du début du xviie siècle. Il faut dire que, dans une certaine mesure, l’hégémonie espagnole relevait d’un mirage : elle ne correspondait pas aux forces réelles du roi d’Espagne, mais plutôt à une image surévaluée du pouvoir de celui-ci, véhiculée par ceux qui placèrent en lui leurs espoirs ou leurs craintes. Analyser cette discordance entre représentation et réalité nous permet de comprendre, d’une part, comment la prédominance politique se fonde, pour partie, sur un imaginaire et des intérêts partagés, et, d’autre part, que son succès et son échec dépendent largement des illusions, des frustrations et des attentes divergentes qu’elle suscitait.
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Keller, Tait. "Aux marges écologiques de la belligérance." Annales. Histoire, Sciences Sociales 71, no. 01 (March 2016): 65–85. http://dx.doi.org/10.1353/ahs.2016.0056.

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Abstract:
Résumé Cet article est une première exploration de l’histoire environnementale de la Première Guerre mondiale et suggère de nouvelles approches susceptibles de modifier notre compréhension du conflit. Bien que les terres agricoles ravagées, les arbres calcinés et les bourbiers soient des images iconiques de la Première Guerre mondiale, les chercheurs ont souvent eu tendance à négliger la place et le rôle de la nature dans le conflit. Pourtant, ce n’est qu’en prenant en compte l’environnement que nous pouvons pleinement comprendre le traumatisme de la guerre et appréhender la façon dont ce conflit, en particulier, a façonné de manière durable les dimensions les plus élémentaires de l’existence humaine. Les armées de la Première Guerre mondiale étaient des entités à la fois sociales et biologiques qui dépendaient d’une « écologie militaire » de l’extraction, de la production et de l’approvisionnement en vivres et en énergie. Pour nourrir les soldats et faire fonctionner les machines, les États belligérants réquisitionnèrent de la nourriture et du carburant dans l’ensemble de la biosphère, contribuant ainsi à étendre la portée écologique de la guerre bien au-delà du front de l’Ouest. L’étude des différentes façons dont la guerre a transformé la périphérie (modification de l’écologie des maladies en Afrique coloniale, extraction de l’étain en Asie du Sud-Est et production alimentaire en Amérique latine) permet de montrer que les frontières de la belligérance étaient très étendues. Ces trois régions illustrent également les différentes façons dont la préparation et la conduite du conflit ont modifié les sociétés et le milieu naturel. Se pencher sur Première Guerre mondiale en adoptant une perspective environnementale permet de mettre en lumière sa dimension planétaire. La « catastrophe fondatrice » du XXe siècle, pour reprendre l’expression de George Kennan, a accéléré des changements environnementaux amorcés au siècle précédent et fait apparaître certaines tendances – production militaro-industrielle, persécutions et exploitation de l’environnement – qui définiront le XXesiècle.
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Faleye, Olukayode A. "Regional integration from “below” in West Africa: A study of transboundary town-twinning of Idiroko (Nigeria) and Igolo (Benin)." Regions and Cohesion 6, no. 3 (December 1, 2016): 1–19. http://dx.doi.org/10.3167/reco.2016.060301.

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Abstract:
[Full article is in English]English: This article examines the phenomenon of town-twinning between Idiroko (Nigeria) and Igolo (Benin). While transboundary town twinning is the integration of settlements across distinct state territories—an emerging pattern of borderland urban evolution—this seems to be a new impact of the colonially determined borders in West Africa. Despite the challenges posed by the partition of West African culture areas, town twinning has more recently turned into an established form of regional integration based on a “bottom-up” rather than “top-down” approach in the region. Using qualitative methodology based on descriptive analysis of oral interviews, government records, geographical data, as well as diverse literature, this paper uncovers the role of “borderlanders” in negotiating borders through increased non-state transnational sociospatial cooperation and networking. Apart from altering the traditional state-centric territoriality, this new development may entail broader economic and socio-political implications in the region.Spanish: Este artículo examina el hermanamiento de las ciudades de Idiroko (Nigeria) e Igolo (Benin). Mientras que el hermanamiento de ciudades transfronterizas es la integración de asentamientos más allá de los distintos territorios estatales—un patrón emergente en la evolución urbana de las regiones fronterizas—esto parece ser un nuevo impacto en las fronteras colonizadas en África Occidental. A pesar de los retos de la división cultural en África Occidental, el hermanamiento de ciudades se ha convertido recientemente en una forma de integración regional con enfoque “de abajo hacia arriba” más que “de arriba hacia abajo.” Empleando una metodología cualitativa basada en un análisis de entrevistas orales, archivos gubernamentales, datos geográfi cos y una literatura diversa, este artículo revela el rol de las regiones fronterizas en negociaciones transfronterizas de cooperación y de formación de redes socio-espaciales no estatales. Además de alterar la territorialidad tradicional centrada en el estado, este nuevo desarrollo puede generar implicaciones económicas y socio-políticas más amplias en la región.French: Cet article examine le phénomène des villes jumelles d’Idiroko (Nigéria) et d’Igloo (Bénin). Alors que les villes jumelles transfrontalières sont le résultat de l’intégration d’implantations au-delà de territoires étatiques distincts -un schéma émergeant d’évolution urbaine en région frontalière-, ce cas semble être un nouvel impact des frontières déterminées par la colonisation en Afrique de l’Est. Malgré les défi s posés par la partition des aires culturelles de l’Afrique de l’Est, les villes jumelles se sont converties plus récemment en une forme établie d’intégration régionale fondée sur une approche régionale de bas en haut plutôt que de haut en bas. À partir de l’’usage d’une méthodologie qualitative basée sur une analyse descriptive d’entretiens, d’archives gouvernementales, de données géographiques ainsi que sur une littérature diverse, cet article met à jour le rôle des régions frontalières dans la négociation des frontières à travers la coopération et la formation de réseaux socio-spatiaux trans nationaux non étatiques. En plus de modifier la territorialité traditionnelle centrée sur l’État, ce fait nouveau peut entraîner des implications économiques et socio-politiques plus larges dans la région.
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Goeury, David. "Ceuta–Bab Sebta (Espagne–Maroc), le SARS-Cov-2 comme accélérateur de la reconfiguration frontalière." Borders in Globalization Review 2, no. 1 (December 15, 2020): 50–53. http://dx.doi.org/10.18357/bigr21202019862.

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Abstract:
La frontière Ceuta-Bab Sebta est un point de tension récurrent entre les autorités marocaines et espagnoles. Cette enclave espagnole en Afrique est devenue l’un des points d’entrée des migrations clandestines en Europe mais aussi d’un commerce atypique au Maroc. La crise du SARS-CoV-2 a constitué une opportunité pour les autorités marocaines pour mettre fin au commerce atypique aux dépens des transfrontaliers marocains.
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Batchom1, Paul Elvic. "La guerre civile « transfrontalière » : note introductive et provisoire sur les fortunes contemporaines de la guerre civile." Note de recherche 35, no. 1 (March 24, 2016): 103–23. http://dx.doi.org/10.7202/1035794ar.

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Abstract:
La littérature consacrée à la guerre a souvent clivé les types de guerres entre celles dites classiques et celles dites civiles. Cette dernière catégorie se fonde sur son théâtre qui est le territoire d’un État et l’opposition entre un gouvernement et un groupe rebelle. Quoique consacrée, cette dichotomie ne résiste plus à l’épreuve des types de menaces nouvelles qui voient le jour ; notamment en Afrique où des groupes rebelles, encouragés par les solidarités transfrontalières claniques, ethniques, culturelles et autres, en font une ressource dans la guerre contre plusieurs gouvernements à la fois. L’insurrection de Boko Haram à la frontière camerouno-nigériane rend raison de cette logique. Cette réflexion vise à remettre en question la pertinence de la catégorie guerre civile souvent fortement liée au territoire d’un État, et à inviter à une analyse des fortunes contemporaines de la guerre civile.
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Marfaing, Laurence. "Zekeria Ould and Ahmed Salem (eds), Les Trajectoires d'un état-frontière: espaces, évolution politique et transformations sociales en Mauritanie. Dakar: Conseil pour le Développement de la Recherche en Sciences Sociales en Afrique – CODESRIA (FCFA 10,000 – 2 86978 136 9). 2004, 342 pp." Africa 77, no. 4 (November 2007): 612–13. http://dx.doi.org/10.3366/afr.2007.77.4.612.

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MENG, Jin. "Le développement et l’intégration régionale en Afrique, une dimension dans les coopérations sino-africaines." Revue Internationale des Francophonies, no. 2 (April 11, 2018). http://dx.doi.org/10.35562/rif.538.

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Abstract:
Les frontières, en tant que partie intégrante des États-nations, occupent une place importante dans leur formation. Les États africains en construction sont confrontés en même temps aux défis de la mondialisation, caractérisée par l’affaiblissement des frontières et l’intensification des mouvements transnationaux. Ces derniers, vus comme moteurs du développement, sont facilités par l’intégration régionale. L’implication des pays émergents dans la régionalisation africaine modifie la nature des interactions entre les pays africains et les acteurs extérieurs. L’exemple de la coopération sino-africaine nous permet d’observer les spécificités des visions et approches chinoises concernant les enjeux du développement et l’intégration régionale.
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Diallo, Mohamadou Mountaga. "Frontières et activités marchandes en Afrique de l’Ouest : logiques d’acteurs et fonctionnement scalaire." Territoire en mouvement, no. 29 (February 15, 2016). http://dx.doi.org/10.4000/tem.3253.

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Bikongo, Pauline Solange Mevah. "Le triptyque uti possidetis, titre et effectivités dans la délimitation des frontières par le juge international en Afrique." European Scientific Journal ESJ 17, no. 6 (February 28, 2021). http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n6p29.

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Abstract:
Si l’indépendance a été un défi fondamental pour l’Afrique hier et qu’aujourd’hui le développement économique ou l’émergence sonne comme un impératif catégorique, il existe un autre défi et non des moindres, celui de la pacification de l’Afrique qui, depuis les indépendances, brille justement par des foyers interminables de crises. Mais il est de notoriété publique que l’une des causes de ces crises est la revendication des territoires par les Etats, car les frontières ont, pour la plupart, été mal définies au moment du partage du gâteau orchestré par la non moins célèbre Conférence de Berlin. Pour sauver les meubles, et en conformité avec les principes des Nations Unies auxquels tous les Etats africains avaient adhéré, notamment le principe de non recours à la force dans les relations internationales et le principe de règlement pacifique des différends internationaux, les Etats africains ont eu recours au juge international pour régler leurs différends frontaliers. Dans son office, le juge, qu’il soit de la CIJ ou d’un tribunal arbitral, a très souvent fondé sa décision sur l’un des trois éléments majeurs que sont le titre juridique, les effectivités et l’uti possidetis. Si les deux premiers éléments sont des classiques sur lesquels le juge international a toujours fondé ses décisions en matière frontalière, l’uti possidetis en tant que principe général de droit, consacré aussi bien par la Charte de l’OUA que celle UA, semble être l’élément de référence devant orienter la décision du juge. Cependant, à bien scruter la jurisprudence internationale, il ressort que le juge fait usage de ces trois concepts dans la délimitation des frontières en Afrique, au point qu’ils paraissent dans une imbrication trinitaire.
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Magrin, Géraud. "En attendant le centenaire… Introduction au dossier Afrique, 50 ans d’indépendance. Territoires, frontières, identités et développement." EchoGéo, no. 13 (September 20, 2010). http://dx.doi.org/10.4000/echogeo.12113.

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Vernet, Thomas. "Porosité des frontières spatiales, ambiguïté des frontières identitaires : le cas des cités-États swahili de l’archipel de Lamu (vers 1600-1800)." Afriques, no. 01 (April 21, 2010). http://dx.doi.org/10.4000/afriques.513.

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Seignobos, Robin. "La frontière entre le bilād al-islām et le bilād al-Nūba : enjeux et ambiguïtés d’une frontière immobile (VIIe-XIIe." Afriques, no. 02 (November 29, 2010). http://dx.doi.org/10.4000/afriques.800.

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Deirdre, Meintel. "Ethnicité." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.095.

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Abstract:
Le concept d’ethnicité est le sujet d’une vaste littérature qui a bénéficié des contributions d’auteurs issus de différentes disciplines, dont la sociologie, l’histoire, la science politique et la démographie. Nous faisons ici une revue sélective des ouvrages anthropologiques qui ont marqué le domaine. Le concept d’ethnicité en sciences sociales est généralement attribué au sociologue Max Weber (1921, 1971). Le sociologue allemand conçoit l’ethnicité comme une construction sociale; c'est-à-dire, comme le produit de rapports sociaux. De nos jours, l’approche constructiviste de l’ethnicité prédomine à travers toutes les sciences sociales, y compris l’anthropologie. C’est l’anthropologue Frederik Barth (1969) qui a théorisé l’aspect processuel de l’ethnicité, et ce, en lien avec l’ethnographie des relations intergroupes. Son approche se distingue en ce qu’elle problématise l’émergence de groupes ethniques et leur durabilité dans le temps. Comme l’a écrit Robin Cohen (1978 : 389), « l’ethnicité n’a pas d’existence en dehors des relations interethniques » (notre traduction). Avant d’aller plus loin, précisons certains des termes utilisés ici. « Ethnicité » englobe non seulement l’identité ethnique, mais aussi les modèles culturels qui caractérisent le groupe – certains d’entre eux servant à le délimiter –, les associations, institutions sociales, activités collectives et intérêts communs (Meintel 1993). À l’instar de Fischer (1986), nous ajoutons que l’ethnicité englobe aussi la mémoire, soit la quête des individus et des collectivités de traditions qui servent à développer une vision du futur. Bref, l’ethnicité concerne non seulement le passé, mais aussi le présent et l’avenir. Dans l’optique de Fischer, l’ethnicité n’est pas qu’une forme de distinction sociale, ou un élément de hiérarchisation : elle représente également une gamme de ressources symboliques. L’intérêt pour l’ethnicité en anthropologie doit beaucoup aux recherches en Afrique, notamment celles menées par l’École de Manchester dans les villes où les travailleurs migrants demeuraient. Dans leur optique, ces villes et les villages d’origine constituaient un seul champ social. Dans un vocabulaire centré sur le « tribalisme », des chercheurs britanniques liés à cette école, dont Godfrey et Monica Wilson, Max Gluckman, J. Clyde Mitchell et Elizabeth Colson parmi d’autres, ont développé le Rhodes Livingstone Institute, institut dédié à l’étude des cultures du nord de la Rhodésie (aujourd’hui la Zambie). Ces chercheurs étudiaient les transformations sociales et culturelles des paysans devenus travailleurs urbains. Dans ce contexte de contact intergroupes, les identités ethniques sont devenues prééminentes. Leur nouvelle importance dans les relations sociales des citadins s’illustre par la danse Kalela (Mitchell 1956). Ce rituel hebdomadaire d’invention urbaine où les danseurs mettaient en scène la diversité ethnique et des figures urbaines (médecin, infirmière, etc.). Ici, l’identité tribale (les danseurs provenaient du groupe Bisa) était réinventée comme une forme d’ethnicité urbaine (retribalisation dans les termes de Mitchell). Par ailleurs, Mitchell a développé un schéma de relations urbaines tripartite : relations personnelles, structurelles et « catégoriques ». Tandis que les relations structurelles étaient largement encadrées par les rôles fixes des participants (par exemple, ainé/cadet, patron/ouvrier), les relations « catégoriques » (categorical relationships) concernaient les relations ponctuelles et superficielles; par exemple, au marché, dans les foules urbaines (Mitchell 1966) et largement gouvernées par des stéréotypes ethniques, pas forcément négatifs (1966). Plus tard, Jean-Loup Amselle (1990) a soulevé la question du rôle du colonialisme dans la création de frontières artificielles entre les sociétés africaines. S’appuyant sur ses recherches auprès de plusieurs groupes maliens, notamment les Malinkés, les Peuls et les Bambaras, l’ethnologue propose, plutôt que de considérer les sociétés africaines comme des entités étanches où coïncident cultures, langues et frontières politiques et sociales, de les définir comme une « chaîne de sociétés » caractérisée par un « syncrétisme originaire ». Dans la même veine, Lee Drummond concevait les sociétés des Caraïbes comme un « continuum culturel » caractérisé par une hybridation incessante, perspective qu’il appliqua par la suite à la société pluriethnique de Montréal (1982). Bien que la diversité ethnique (et religieuse) soit le sujet de grands débats sociaux, les études ethnographiques sur les relations interethniques n’abondent pas. Celle de Gerd Baumann (1996) fait exception, l’anthropologue ayant étudié les discours identitaires des habitants d’un district de Londres très diversifié et densément peuplé. Sa monographie illustre bien la fluidité des identités, des discours et des pratiques à l’égard de l’ethnicité. La labilité des frontières ethniques, pour ne pas mentionner la variabilité de marqueurs qui les définissent est illustrée par l’identité « québécoise » au Québec, définie largement par la langue maternelle française, tandis qu’auparavant, les habitants de la province se considéraient plutôt comme Canadiens français, catégorie définie principalement par la confession catholique. Cette mutabilité des frontières et des marqueurs soulève la question de la légitimité des identités et des revendications de droits ou de ressources articulées dans le cadre de ce que plusieurs dénomment « la politique identitaire ». Ces enjeux sont au cœur des travaux d’anthropologues comme James Clifford (2000), parmi d’autres. Clifford se penche sur plusieurs sociétés autochtones, dont les Kanaks de Nouvelle-Calédonie et les Nisga’a de la Colombie-Britannique, pour critiquer la tendance de certains anthropologues (par exemple, Kuper 2003) à considérer les discours identitaires de groupes indigènes comme « essentialistes » et leurs pratiques culturelles adaptatives comme « inventées ». L’auteur affirme par ailleurs que les luttes de groupes subalternes obligent les anthropologues à revoir la notion de « tradition » et à la concevoir non pas comme un corpus culturel figé, mais plutôt comme une gamme de ressources qui sont constamment remaniées. Les sociétés indigènes ne représentent pas, évidemment, des « minorités ethniques » comme les groupes immigrants (Eriksen 1993); au Canada, le terme « Premières Nations » connote leur statut distinct. Cependant, on constate certaines similitudes entre les enjeux identitaires et politiques des peuples autochtones et les minorités ethniques (Cipolla 2017), à plus fort raison compte tenu du fait que la majorité des autochtones au Canada et au Québec vivent en dehors des réserves. Par exemple, les diasporas, telles que Clifford (1994) les présente, concernent les Juifs et les Arméniens mais aussi des peuples amérindiens forcés à quitter leurs territoires (Clifford 2007). Les études anthropologiques de l’ethnicité ont pris une nouvelle tournure avec les travaux de Nina Glick Schiller et ses collègues (Glick Schiller, Basch et Blanc-Szanton 1992) sur la transnationalité. Dans cette optique, l’ethnicité des groupes immigrants est abordée non seulement en rapport avec un territoire particulier (quartier, ville, etc.), mais aussi en lien avec le pays d’origine des migrants et d’autres régions du monde où se trouvent des personnes du même groupe. Les nombreuses études en sciences sociales influencées par ce courant révèlent les dimensions politiques et économiques des réseaux transnationaux des migrants, tout en montrant que la transnationalité ne concerne pas tous les migrants de manière égale. Enfin, le « champ social » où se construit l’ethnicité s’étend désormais au-delà des frontières nationales. Dans les années récentes, nombreux chercheurs ont préféré parler de diversité plutôt que d’ethnicité, pour englober des critères tels que la religion, la l’orientation sexuelle, etc. Comme d’autres le reconnaissent, la diversité n’est pas un concept rigoureux (Kraus date) ; certains considèrent la diversité comme l’angle mort du racisme (CJF) puisqu’elle peut occulter les inégalités entre groupes ethniques. La sociologue Danielle Juteau (2018, p. 38) insiste sur pertinence de l’ethnicité de nos jours pour développer une perspective critique sur la diversité, puisque « son approche relationnelle et constructiviste, souvent matérialiste et transversale, en éclaire diverses facettes » de la diversité. Nous avons eu l’occasion de constater la création de nouvelles catégories ethniques, notamment celle d’ « Arabes » pour désigner les musulmans du Moyen-Orient, repris par des jeunes musulmans eux-mêmes pour s’identifier (Meintel 2018, p. 6-7). L’ethnicité nous semble toujours actuelle comme outil conceptuel pour mieux comprendre les relations intergroupes et les inégalités qui les caractérisent.
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"Les classes moyennes en Afrique, nouvelle frontière du développement pour les investisseurs privés ?" Afrique contemporaine 244, no. 4 (2012): 126. http://dx.doi.org/10.3917/afco.244.0126.

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Gerlach, Neil A. "Visualizing Ebola: Hazmat Suite Imagery, the Press, and the Production of Biosecurity." Canadian Journal of Communication 44, no. 2 (June 27, 2019). http://dx.doi.org/10.22230/cjc.2019v44n2a3341.

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Abstract:
Background Examining press coverage of the Ebola outbreak in West Africa in 2014, this article analyzes the work of the hazmat suit as a visual signifier of disease.Analysis Hazmat imagery from Africa operated to make the disease visible, both “othering” it and contributing to fantasies of containment. In American imagery, the suit became a figure of biosecurity and reassurance, while also connoting the prospect of American “diseaseability.”Conclusion and implications African hazmat imagery reinforced pre-existing schema for understanding Ebola within a news category while American imagery straddled the boundary between the geography of disease fear and the imagined immunological community, potentially destabilizing press narratives of reassurance.Contexte Par l’intermédiaire de la couverture journalistique de l’épidémie Ébola en Afrique de l’Ouest en 2014, cet article analyse les combinaisons Hazmat en tant que signifiants visuels de maladie. Analyse La combinaison Hazmat a servi de métonymie pour représenter la maladie en Afrique, la rendant « autre » et contribuant à l’espoir qu’elle puisse être limitable. Au États-Unis, la combinaison a symbolisé biosécurité et rassurance tout en soulevant l’idée que cette épidémie pourrait atteindre les États-Unis.Conclusion et implications Pour la compréhension d’Ébola, l’imagerie Hazmat provenant de l’Afrique renforce certains schémas préexistants correspondant à des cadres journalistiques particuliers. En même temps, l’imaginaire américain brouille la frontière entre la peur d’une maladie franchissant ses confins géographiques et la confiance en la communauté immunologique, brouillage potentiellement déstabilisateur pour les médias se voulant rassurants envers leurs publics.
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Couture, Jean-Simon. "Multiculturalisme." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.047.

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Abstract:
Durant plus d’un siècle, la culture a été l’une des notions les plus en vogue en anthropologie. Malgré la diversité épistémologique qui la sous-tend, il est un trait qui rassemble les diverses définitions de la culture, celui de la considérer comme une entité isolée et comme un organisme social cohérent en soi. À partir des années 1980, tous les concepts holistes de la culture ont été la cible d’une critique en partie justifiée. On leur reprochait de considérer les cultures comme des phénomènes propres à une seule société, selon le principe une société, une culture. Cherchant à considérer le caractère pluriel des sociétés contemporaines, on a recouru à plusieurs expressions comme, par exemple, multiculturalisme, communication interculturelle et identités transculturelles. Les préfixes multi-, inter- et trans- ont en commun une certaine affinité mais aussi des connotations diverses. Ces trois préfixes servent à construire des notions utilisées soit dans un contexte descriptif et par conséquent, analytique, soit dans un cadre prescriptif et donc normatif. Toutefois la distinction entre ce qui est et ce qui devrait être n’est pas clairement définie. C’est pourquoi, d’une part, on se trouve face à un mélange d’interprétations scientifiques, et d’autre part, de raisonnements appréciatifs et de jugements de valeur. C’est ainsi que l’analyse scientifique tend à se confondre et à se brouiller avec les programmes politiques, à quoi il convient d’ajouter des vues idéologiques utopiques. L’approfondissement de la notion de multiculturalisme fera foi d’exemple. Qu’est-ce que peut vouloir signifier le terme de multiculturalisme? Ce terme, de même que le préfixe multi tendent en fait à souligner l’importance aussi bien des différences culturelles que des frontières qui s’y rattachent. Ainsi, avec la notion de multiculturalisme on met en évidence la séparation des collectivités entre elles, y compris du point de vue spatial. Le terme de multiculturalisme possède une orientation plus relativiste, communautariste et parfois ségrégationniste ainsi qu’un caractère plutôt additif et moins relationnel comparativement à des notions telles que celles d’interculturalité et de transculturel (Taylor, 1992; Kymlicka, 1995 Modood, 2002). Les préfixes inter ou trans seraient considérés comme plus dynamiques, ouverts et processuels. Et pourtant le concept de multiculturalisme continue à être utilisé par des chercheurs, des politiciens, des intellectuels ou par de véritables producteurs d’identité, dans les pays où la différence culturelle est considérée comme un enrichissement social et surtout comme une donnée de fait, acceptée pragmatiquement comme telle le ou encore, là où elle fait l’objet d’un véritable culte. En raison de la grande hétérogénéité entre les divers types de multiculturalisme, il semble judicieux de se pencher sur ce qu’est le multiculturalisme en analysant des situations que l’on peut observer dans certaines sociétés où il fait partie des discussions quotidiennes et dans lesquelles le terme est opérationnel. Nous avons choisi trois cas exemplaires ne faisant pourtant pas partie des cas considérés comme classiques et par conséquent les mieux connus. Il s’agit de l’Allemagne, de la Suisse et de la Malaisie. En Allemagne, nation qui se considère comme historiquement monoethnique, le terme de Multikulturalismus, conçu lors de l’arrivée d’un nombre important d’immigrés de l’Europe du Sud suite à la Deuxième Guerre, a joui d’une grande popularité entre les années 970 et 1990. Aujourd’hui le terme de Multikulturalismus a mauvaise réputation. La mauvaise connotation actuelle du terme est attribuable au projet socio-culturel nommé MultiKulti. Ce projet dont le centre a été Francfort et Berlin (alors Berlin Ouest), où la concentration d’immigrants était particulièrement haute, s’est fait remarquer par ses bonnes intentions, mais surtout par le dilettantisme qui y a présidé. Ce qui a fini par discréditer toute conception politique future de multiculturalisme au sein d’une nation très fière depuis toujours de son homogénéité culturelle. La société allemande n’a jamais été sensible à la diversité culturelle, mais ce que l’on appelait le MultiKulti était fondé sur une idée plutôt vague de coexistence harmonieuse et spontanée entre des cultures fort diverses au quotidien. Le MultiKulti était donc destiné à échouer en raison de la négligence même avec laquelle il avait été pensé dans ce contexte. C’est pourquoi le multiculturalisme inhérent au projet d’une société MultiKulti finit par évoquer en Allemagne le spectre de sociétés parallèles, à savoir l’existence de communautés ethnoculturelles séparées qui vivent sur le territoire national dans des quartiers urbains ethniquement homogènes. Un scénario de ce genre, considéré comme une calamité, a réveillé les fantasmes du sinistre passé national-socialiste. C’est pour cette raison qu’actuellement, le multiculturalisme est rejeté aussi bien par le monde politique que par une grande partie de la société. Ainsi, c’est le concept d’intégration, comme forme d’assimilation souple, qui domine maintenant. En Suisse, le terme de multiculturalisme jouit d’une réputation bien meilleure. La société nationale, avec sa variété culturelle, la tolérance qui règne entre les communautés linguistiques et confessionnelles, la stabilité fondée sur le consensus et sur l’accord, est conçue et perçue comme une forme particulière de société multiculturelle. La Suisse est donc une communauté imaginée dont la multiculturalité est historiquement fixée et sera, à partir de 1848, constitutionnellement définie, reconnue et partiellement modifiée. Dans le cas de la Suisse on peut parler d’un multiculturalisme constitutionnel fondé sur la représentation que le peuple suisse s’est forgée au sujet de ses communautés culturelles (les Völkerschaften) diverses et séparées par les frontières cantonales. La société suisse est bien consciente et fière de ses différences culturelles, légalement reconnues et définies par le principe dit de territorialité selon lequel la diversité est cultivée et fortement mise en évidence. Will Kymlicka a raison lorsqu’il affirme que les Suisses cultivent un sentiment de loyauté envers leur État confédéré précisément parce que celui-ci garantit d’importants droits à la différence et reconnaît clairement des délimitations culturelles relatives à la langue et à la confession (Kymlicka 1995). Le sentiment d’unité interne à la société suisse est à mettre en rapport avec les politiques de reconnaissance de l’altérité qui se basent paradoxalement sur la conscience que le pays est une coalition de résistances réciproques dues aux différences linguistiques et religieuses au niveau cantonal. Cette conscience différentialiste a eu pour conséquence la pratique du power sharing (partage de pouvoir) qui fait que la Suisse est devenue un exemple de démocratie consociative (Lijphart 1977). Ce système politique ne coïncide pas avec le modèle classique de la démocratie libérale car pour affaiblir les résistances des cantons il est nécessaire de recourir au niveau fédéral à de vastes coalitions qui tiennent compte de l’équilibre entre les communautés cantonales et neutralisent la dialectique entre majorité et opposition. Il convient d’ajouter que les étrangers et les immigrés non citoyens sont exclus des pratiques politiques du multiculturalisme helvétique. La condition première pour participer est l’intégration, à savoir une forme plus légère d’assimilation, puis l’obtention de la nationalité. Le régime colonial britannique et dans une moindre mesure le régime hollandais, ont créé en Afrique, en Amérique, en Océanie mais surtout en Asie des sociétés appelées plural societies (Furnivall 1944) en raison de leur forte diversité ethnoculturelle. Dans ces sociétés, les communautés semblent mener volontairement des existences parallèles, les contacts culturels n’ayant lieu que sporadiquement avec les autres composantes de la société. Le multiculturalisme constitue un instrument politique et social indispensable pour garantir la reconnaissance et le respect réciproque des différences ethno-culturelles à l’intérieur d’un État souverain portant la marque d’une telle complexité. C’est le cas de la Malaisie où vivent ensemble et pacifiquement, mais non sans tensions permanentes, une dizaine de communautés ethnoculturelles parmi lesquelles on trouve, pour les plus nombreuses, les Malais, les Chinois et les Indiens. Dans ce pays on a créé des représentations et des stratégies d’action concrètes visant à mettre au point une forme spécifique de multiculturalisme qui continuerait à garantir la paix sociale et la prospérité économique. Mentionnons parmi celles-là : -La doctrine de l’harmonie de la nation (rukun negara) fondée sur l’idée de l’« unité dans la diversité ». Cette construction idéologique possède une forte valeur symbolique surtout lorsque naissent des tensions entre les communautés. -Au quotidien, la référence à un principe consensuel d’« unité dans la séparation ». Les diverses communautés tendent à vivre volontairement dans des milieux sociaux séparés mais non ségrégés. -La commémoration du grave conflit interethnique entre Malais et Chinois du 13 mai 1969. Ces faits sont devenus le mythe national négatif, à savoir quelque chose qui ne doit plus se reproduire. -Un régime politique fondé sur le consociativisme ethnique. Le gouvernement fédéral et celui des États particuliers sont formés de grandes coalitions auxquelles participent les divers partis ethniques. -La politique de discrimination positive pour les Malais qui sont la communauté ethnique la plus faible économiquement. Ces mesures sont acceptées tacitement de la part des Chinois et des Indiens (quoique non sans résistance). -Enfin, le projet, à travers le programme One Malaysia, de créer dans le futur une société plus unie, même si elle reste fondée sur le multiculturalisme. Du point de vue socioéconomique et politique, la Malaisie peut se considérer aujourd’hui, malgré des limites évidentes, comme une histoire à succès, un succès dû paradoxalement à cette forme particulière de multiculturalisme. Le multiculturalisme n’est pas une stratégie universalisable (voir le cas de l’Allemagne) pas plus qu’il n’est réductible à un modèle unique (voir le cas de la Suisse et de la Malaisie). Nous sommes plutôt face à un ensemble de solutions fort variées dans leur manière de gérer la diversité dans des sociétés ethniquement et culturellement plurielles. Une théorie générale du multiculturalisme est peut-être trop ambitieuse; l’analyse comparative qui en fait voir les défauts et les difficultés, mais aussi certains avantages importants est en revanche enrichissante.
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Mitonga, Honoré Kabwebwe. "La Pauvreté - Déterminant Majeur Et Conséquence De L’Épidémie Du Vih/Sida Dans Une Contrée Frontalière En Afrique Australe Cas De La Frontière De Kasumbalesa (République Démocratique Du Congo – Zambie) (Poverty - Major Determinant and Consequence of the HIV/AIDS at a Border in Southern Africa - Case of Kasumbalesa Border Post (Democratic Republic of Congo - Zambia))." SSRN Electronic Journal, 2012. http://dx.doi.org/10.2139/ssrn.2033055.

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Hébert, Martin. "Paix." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.088.

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Abstract:
Une préoccupation pour la réalisation empirique de la paix traverse le discours disciplinaire anthropologique. Ses racines sont profondes et multiples, mais convergent en un ensemble de questions situées à l’intersection entre la recherche de terrain, la philosophie politique et l’engagement pratique. A-t-il déjà existé des sociétés humaines vivant en paix? Quelles sont les conditions permettant, ou ayant permis, l’existence de cette paix? Est-il possible d’entrevoir un chemin vers la paix pour les sociétés contemporaines? On comprendra rapidement que ces questions sont indissociables de la définition même donnée au concept de paix. Intuitivement, nous pouvons comprendre la paix comme un « souhaitable » individuel et collectif. Bien entendu, une telle formulation est insatisfaisante pour l’analyse ou pour guider l’action. Mais avant de la préciser davantage il faut prendre la mesure de la puissance de la notion de paix en tant que référent vide, en tant que réceptacle dans lequel ont été versées les aspirations les plus diverses. La quête de la « paix » a été invoquée pour justifier tant les actions nobles que les actions exécrables de l’histoire. Ce constat pourrait facilement mener à penser que le terme est peu utile dans le cadre d’une discussion sérieuse portant sur les finalités humaines. Cependant, c’est justement le caractère polysémique du mot « paix », doublé du fort investissement normatif dont il fait l’objet, qui lui donnent sa prégnance politique. Comme n’importe quelle autre notion, celle de paix est l’enjeu de luttes de sens. Mais définir la « paix », c’est définir le domaine du souhaitable, du possible, du raisonnable; c’est intervenir directement sur l’horizon des aspirations humaines. Il n’est donc guère surprenant que les tentatives visant à fixer le sens de ce mot soient abondantes, souvent contradictoires entre elles et généralement convaincues de leur légitimité. L’ethnographie participe de diverses manières au travail de définition de la paix. Par exemple, l’ethnographie a joué – et semble parfois tentée de continuer de jouer – un rôle important dans la reproduction du paradigme édénique. Dans cette conception, la paix est comprise à la fois comme une absence de violence interpersonnelle et une régulation harmonieuse des conflits dans la société. Les représentations idylliques de telles sociétés dites « en paix » (Howell et Willis 1989) témoignent d’une tentation dans certains écrits ethnographiques d’idéaliser des sociétés traditionnelles, précoloniales, ou en résistance. Elles participent d’un travail de critique très ancien qui s’opère par contraste, procédé par lequel l’ « Autre » ethnographique est posé comme l’antithèse d’un monde (moderne, capitaliste, colonial, écocide, patriarcal, etc.) dénoncé comme aliéné et violent. L’anthropologie a souvent été prise à partie pour avoir employé une telle stratégie discursive opposant les « sociétés en paix » aux sociétés mortifères. Il faut noter, cependant, que ces remontrances participent elles aussi à la lutte de sens dont l’enjeu est la définition de la notion de paix. Les apologues du colonialisme, par exemple, utilisaient leur propre stratégie de critique par contraste : les lumineux principes (euro-centriques, libéraux, entrepreneuriaux) supposément aux fondements de la prospérité universelle viendraient supplanter les « ténèbres » locales dans ce que Victor Hugo (1885) a décrit comme la « grande marche tranquille vers l’harmonie, la fraternité et la paix » que serait pour lui l’entreprise coloniale en Afrique. Nous glissons ici dans une autre définition de la « paix » ayant joué un rôle important dans l’histoire de l’anthropologie, soit la pacification. Ici, la paix n’est pas un état observable dans les sociétés ethnographiées, mais plutôt un résultat à produire par une intervention politique, incluant militaire. La naïveté de la « grande marche tranquille » d’une Histoire par laquelle l’humanité cheminerait inéluctablement vers une convergence dans des valeurs euro-centriques communes se dissipe ici. Elle fait place à des positions qui établissent leur autorité énonciative en se présentant comme « réalistes », c’est-à-dire qu’elles rejettent l’image édénique de la paix et se rangent à l’idée que la violence est le fondement du politique. Dans cette perspective, la définition de la paix serait la prérogative de ceux qui peuvent l’imposer. La « paix » se confond alors avec l’ordre, avec la répression des conflits sociaux et, surtout, avec un acte de prestidigitation sémantique par lequel les violences faisant avancer les ambitions hégémoniques cessent d’être vues comme violences. Elles deviennent des opérations, des interventions, des mesures, voire des politiques entreprises au nom de la « paix sociale ». On le sait, l’anthropologie a fait plus que sa part pour faciliter les pacifications coloniales. Par son rôle dans des politiques nationales telles l’indigénisme assimilationniste, elle a également contribué à des « projets de société » visant l’unification de populations hétérogènes sous l’égide du nationalisme, du capitalisme et de la docilité aux institutions dominantes. Après la seconde guerre mondiale, il n’a pas non plus manqué d’anthropologues prêtes et prêts à s’associer aux entreprises de pacification/stabilisation par le développement et par l’intégration de populations marginales à l’économie de marché. Dans la plupart des cas, l’anthropologie a été instrumentalisée pour réduire le recours à la violence physique directe dans les entreprises de pacification, proposant des approches moins onéreuses et plus « culturellement adaptées » pour atteindre les mêmes objectifs d’imposition d’un ordre exogène à des sociétés subalternes. Un point tournant dans la critique de la pacification a été le dévoilement de l’existence du projet Camelot dans la seconde moitié des années 1960 (Horowitz 1967). Cette vaste opération mise sur pied par le gouvernement américain visait à engager des spécialistes des sciences sociales pour trouver des moyens d’influencer les comportements électoraux en Amérique latine. Cette initiative visait à faire passer à l’ère de la technocratie les stratégies « civiles » de pacification coloniales développées en Afrique dans les années 20-30 et en Indochine dans les années 50. Outre la dénonciation par les anthropologues nord-américains et européens de cette collusion entre les sciences sociales et impérialisme qui s’est encore illustrée dans le sud-est asiatique pendant la guerre du Vietnam (Current Anthropology 1968), la réponse critique face au dévoilement du projet Camelot fut, notamment, de déclencher une réflexion profonde en anthropologie sur la frontière entre la paix et la guerre. Même si le recours à la manipulation psychologique, économique, politique, et diplomatique n’impliquait pas nécessairement, en lui-même, de violence physique directe il devenait impératif de théoriser les effets de violence produits par cette stratégie (Les Temps Modernes 1970-1971). Si l’idée que certaines « paix » imposées peuvent être éminemment violentes fut recodifiée et diffusée par des chercheurs du Nord à la fin des années 1960, elle était déjà bien en circulation au Sud. Frantz Fanon (1952) mobilisait le concept d’aliénation pour désigner les effets des violences symboliques, épistémologiques et culturelles des systèmes coloniaux. Gustavo Guttiérez (1971), impliqué dans le développement de la théologie de la libération en Amérique latine, parlait pour sa part de « violence institutionnalisée » dans les systèmes sociaux inéquitables. Sous leur forme la plus pernicieuse ces violences ne dépendaient plus d’une application constante de force physique directe, mais s’appuyaient sur une « naturalisation » de la domination. Dans ce contexte, il devenait clair que la notion de paix demandait une profonde révision et exigeait des outils permettant de faire la distinction entre la pacification aliénante et une paix fondée sur la justice sociale. Travaillant à cette fin, Johan Galtung (1969) proposa de faire la différence entre la paix « négative » et la paix dite « positive ». La première renvoie à l’absence de violence physique directe. Elle est une condition considérée comme nécessaire mais de toute évidence non suffisante à une paix significative. Déjà, des enjeux définitionnels importants peuvent être soulevés ici. Une société en paix doit-elle éliminer les sports violents? Les rituels violents? Les représentations artistiques de la violence? Qu’en est-il de la violence physique directe envers les non-humains? (Hébert 2006) La paix positive est une notion plus large, pouvant être rapprochée de celle de justice sociale. Les anthropologues ont tenté de la définir de manière inductive en proposant des études empiriques de deux types. Dans un premier temps, il s’est agi de définir diverses formes de violences autres que physique et directe (telles les violences structurelles, symboliques, épistémiques, ontologiques, etc.) et poser la paix positive comme le résultat de leur élimination. Par contre, les limites de cette « sombre anthropologie » (Ortner 2016) ont appelé des recherches complémentaires, plutôt centrées sur la capacité humaine à imaginer et instituer de nouvelles formes sociales dépassant les violences perçues dans les formes passées. L’idée d’une paix stable, définitive et hors de l’histoire – en d’autres mots édénique – disparaît ici. Elle est remplacée par des processus instituants, constamment examinés à l’aune de définitions de la violence qui, elles-mêmes, sont en transformation constante. La définition de la paix demeure l’enjeu de luttes de sens. Ces dernières se résolvent nécessairement dans des rapports politiques concrets, situés historiquement et sujets à changement. Les travaux anthropologiques ne font pas exception et sont pleinement engagés dans la production politique de ces définitions. Mais l’anthropologie de la paix participe également de la réflexivité que nous pouvons avoir tant face aux définitions cristallisées dans nos institutions que face à celles qui se proposent des les remplacer.

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