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Journal articles on the topic 'Personnage romanesque'

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ERTEM, Tuna. "George Sand, Personnage Romanesque?" Journal of Turkish Studies 8, Volume 8 Issue 10 (January 1, 2013): 287. http://dx.doi.org/10.7827/turkishstudies.5935.

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Roy, Yannick. "La marionnette et le personnage." Études françaises 41, no. 1 (May 5, 2005): 79–88. http://dx.doi.org/10.7202/010847ar.

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Abstract:
Résumé Les discours dont le roman fait l’objet sont souvent marqués par une certaine ambivalence et semblent souligner tantôt le caractère critique d’un art qui vise essentiellement à découvrir une vérité, tantôt la frivolité d’un genre qui, réduit à l’essentiel, relèverait essentiellement du potin. On peut évidemment distinguer, à l’intérieur de l’ensemble vaste et touffu que désigne le mot « roman », les oeuvres « sérieuses » de celles qui ne visent qu’à divertir le lecteur en le berçant d’illusions ou en flattant sa vanité ; mais cette distinction est peut-être plus fragile qu’il n’y paraît de prime abord. L’ambivalence du roman ne se laisse pas résoudre aussi facilement que le laisse entendre René Girard, par exemple, quand il sépare la « vérité romanesque » du « mensonge romantique », et on peut même considérer cette ambivalence comme la condition nécessaire de l’humour romanesque, en rappelant la célèbre définition bergsonienne du rire suivant laquelle on rirait du « mécanique plaqué sur du vivant ». Si le personnage romanesque est comique, c’est parce qu’il se présente à la fois comme un pantin sans vie, conformément à la « vérité romanesque », et comme un être vivant, ce qui suppose un reste d’illusion romantique.
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3

Wiswanathan, Jacqueline. "L’un(e) dort, l’autre pas : la scène de la veille dans les scénarios et quelques romans de Réjean Ducharme." Articles divers 5, no. 1-2 (February 28, 2011): 189–209. http://dx.doi.org/10.7202/1001013ar.

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Abstract:
Les séquences finales des scénarios de Ducharme présentent une similitude frappante : chacune réunit un personnage éveillé et un personnage endormi. Dans cet article, nous analysons la signification de cette scène emblématique que nous rapprochons ensuite de scènes semblables dans l’oeuvre romanesque. Si la scène de la veille occupe une place aussi importante dans les scénarios, c’est qu’en plus de concrétiser des rapports affectifs fondamentaux entre les personnages, elle se prête particulièrement à une représentation cinématogtaphique. Par cette analyse, nous espérons démontrer que le scénario est, tout autant que le roman ou le théâtre, profondément révélateur du monde imaginaire d’un écrivain.
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Daunais, Isabelle. "Le personnage et ses qualités." Études françaises 41, no. 1 (May 5, 2005): 9–25. http://dx.doi.org/10.7202/010842ar.

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Abstract:
Résumé Si le personnage de roman peut être défini comme celui qui, en quittant le monde mythique de l’épopée, a rompu avec l’idée de destin, cette idée ne s’est pour autant pas effacée de sa mémoire et continue de le guider tout au long de ses aventures, comme un repère qui à la fois entretient ses illusions et détermine, par contraste ou effet-repoussoir, le territoire d’infinies possibilités qui est le sien. Mais au fur et à mesure que l’idée de destin, à force d’appartenir à un monde révolu, s’estompe et s’amoindrit, c’est face à une autre borne que le personnage romanesque doit contenir le domaine de son action : l’apparition d’un monde indifférencié où toute entreprise et toute existence cesseraient d’être singulières devient en effet l’horizon contre lequel le personnage doit se défendre s’il veut poursuivre son aventure. C’est par ses capacités à se maintenir entre ces deux rives — du destin et d’un monde indifférencié —, qui sont aussi ses deux écueils, que le personnage romanesque peut être défini.
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5

Biron, Michel. "La compassion comme valeur romanesque : l’exemple de Marie-Claire Blais." Études françaises 46, no. 1 (May 27, 2010): 27–39. http://dx.doi.org/10.7202/039814ar.

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Abstract:
Cet article propose une lecture comparée des romans Une saison dans la vie d’Emmanuel (1965) et Soifs (1995) de Marie-Claire Blais. Autant le premier est marqué par l’ironie et le rire du personnage de Jean Le Maigre, autant le second se caractérise par une compassion généralisée à l’égard de personnages qui ont en commun d’être des marginaux. La compassion devient une valeur romanesque non pas seulement comme thème, mais aussi comme principe de composition. Au-delà du seul cas de Marie-Claire Blais, un tel déplacement paraît symptomatique d’un changement plus général qui tient à la fonction réparatrice ou rédemptrice que le romancier contemporain assume de plus en plus ouvertement.
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6

Ndiaye, Christiane. "Paternités sans frontières dans quelques romans haïtiens contemporains." Études françaises 52, no. 1 (March 9, 2016): 107–24. http://dx.doi.org/10.7202/1035544ar.

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Abstract:
La perception générale du personnage du père dans le roman des Caraïbes est qu’il est surtout absent, sinon de caractère autoritaire ou irresponsable. S’agit-il d’une image peu fondée, faute d’études d’envergure ou l’imaginaire littéraire du père est-il en voie de transformation ? L’étude porte sur trois romans haïtiens récents où la figure du père prend des contours autres qui semblent signaler un renouveau dans l’imaginaire romanesque du père. En effet, dans Kool-Klub de Kettly Mars, les comportements « classiques » du père sont disqualifiés au profit d’un père moderne, attentif, attentionné et responsable. Chez Évelyne Trouillot, dans Absences sans frontières, un personnage analogue apparaît qui, malgré son absence, se consacre entièrement à veiller au bien-être de sa fille. Personnage plus insolite, l’inspecteur Azémar des polars de Gary Victor s’avère néanmoins être un père animé par des principes profondément humains. Ainsi, nous assistons à ce qui semble être une transformation du paysage social dans l’imaginaire romanesque haïtien : ce sont les mères qui sont absentes et les pères qui font l’objet d’une idéalisation aux accents didactiques.
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Montaner Sánchez, Lucía. "Los diferentes «tiempos» en Bourrasque de Hélène Lenoir." Çédille 7 (April 1, 2011): 204. http://dx.doi.org/10.21071/ced.v7i.5463.

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Abstract:
Hélène Lenoir présente dans Bourrasque, le premier de ses romans, une vision du temps particulière et caractéristique de son univers romanesque. A travers différentes techniques stylistiques, le temps abstrait et chronologique de l’histoire se transforme en temps expérimenté et vécu par le personnage principal. Dans Bourrasque le temps se manifeste en tant qu’expérience personnelle d’un personnage qui réfléchit à propos de son passé (mémoire), qui observe le présent (vision) et qui pense le futur (projection).
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8

Jubinville, Yves. "Trajectoire du romanesque : la scène sous le charme du roman (Diderot, Stanislavski, Pirandello)." Dossier — Théâtre/Roman : rencontres du livre et de la scène, no. 33 (May 6, 2010): 46–60. http://dx.doi.org/10.7202/041521ar.

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Abstract:
Notre hypothèse est qu’à travers trois « textes de théâtre » traversés par la référence romanesque s’élabore le récit d’un nouvel imaginaire théâtral dont l’intrigue aurait pris naissance au XVIIIe siècle pour se conclure au XXe. Le premier épisode, celui de Diderot, décrit la rencontre d’un auteur et d’un spectateur dans un cadre qui s’apparente à celui de la lecture solitaire; il s’agit du roman liminaire composé de la Préface et des Entretiens sur le Fils naturel. Le second épisode, signé Stanislavski, développe l’idée que le jeu de l’acteur repose sur sa capacité à s’inscrire dans le double mouvement narratif de sa propre vie et celui de son personnage. La formation de l’acteur, ouvrage mythique imprégné de l’atmosphère du XIXe siècle, n’est pas seulement un roman dialogué; fidèle à l’enseignement de l’auteur, le texte se compose des récits-leçons qui constituent la base de la création du personnage. Le dernier enfin, dû à Pirandello, parle de la mise en scène comme tentative d’adapter aux dimensions de la scène un matériau étranger au théâtre. Ces Six personnages en quête d’auteur, laissés en rade par un romancier désabusé, posent une énigme au Directeur, qui se voit forcé de repenser son rôle. Trois textes-clés d’une modernité théâtrale en devenir : trois moyens pour mesurer le degré de pénétration de l’esprit du roman au coeur d’une nouvelle vision du théâtre.
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Garand, Caroline. "D’une scène à l’autre : Sade comme personnage." Dossier — Sade au théâtre : la scène et l’obscène, no. 41 (May 7, 2010): 63–82. http://dx.doi.org/10.7202/041671ar.

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Abstract:
Résumé Entre 1920 et 2007, plus de trente oeuvres théâtrales jouées ou publiées mettent en scène le marquis de Sade en tant que personnage. Ces oeuvres sont ici mises en relation les unes avec les autres afin de déterminer à quel point le genre théâtral, par opposition au genre romanesque apparemment plus libre, impose une ou des façons de faire dans la représentation de la figure historique du marquis.
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Surmonte, Emilia. "Figure historique et personnage romanesque, J.-Y. Laurichesse (dir.)." Studi Francesi, no. 181 (LXI | I) (March 1, 2017): 182–83. http://dx.doi.org/10.4000/studifrancesi.6936.

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Régnier, Christian. "Histoire des anévrismes (2) - Un personnage de fiction romanesque." Archives des Maladies du Coeur et des Vaisseaux - Pratique 2004, no. 133 (November 2004): 46. http://dx.doi.org/10.1016/s1261-694x(04)73458-6.

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Prévost, Maxime. "Arsène Lupin hors jeu." Études littéraires 44, no. 1 (September 25, 2013): 41–54. http://dx.doi.org/10.7202/1018464ar.

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Abstract:
Résumé En 1905, Maurice Leblanc relève le défi de l’éditeur Pierre Lafitte, acceptant de créer pour le périodique Je sais tout un personnage incarnant les qualités nationales et pouvant servir de locomotive à la revue, comme le faisait Sherlock Holmes pour The Strand. Implicitement, l’éditeur l’invitait ainsi à créer un personnage qui exercerait sur le lectorat français le même ascendant que le célèbre limier de Baker Street sur celui de la Grande-Bretagne. Défi relevé et mission accomplie, Maurice Leblanc, tout comme Conan Doyle, se trouve captif de son succès : l’auteur qui aspirait à devenir le successeur de Maupassant et la gloire du naturalisme tardif se verra contraint, pour répondre aux demandes du public, de créer sans cesse de nouvelles aventures d’Arsène Lupin, personnage mille fois mis à mort, mille et une fois né de ses cendres. Pour Maurice Leblanc et son personnage, l’aventure n’est pas une possibilité, mais une nécessité. Pierre Bayard nomme « complexe de Holmes » cette propension qu’ont les créateurs de mythes à se sentir fragilisés, voire menacés, par leurs créatures. Pendant la Grande Guerre, ce complexe mène Leblanc à créer une trilogie romanesque, constituée de L’Éclat d’obus (1916), du Triangle d’or (1918) et de L’Île aux trente cercueils (1919), trilogie marquée par la quasi-absence de son héros, lequel cède le pas à d’autres personnages auxquels la possibilité de l’aventure sera offerte, mais comme à contrecoeur : Arsène Lupin, qui ne met jamais sa propre vie en jeu et, intervenant comme un Deus ex machina, n’intègre jamais véritablement le fil de l’aventure, jette cependant une ombre démesurée sur les autres personnages du cycle, notamment sur le Paul Delroze de L’Éclat d’obus, le Patrice Belval du Triangle d’or et le Stéphane Maroux de L’Île aux trente cercueils, auxquels échappe la gloire complète de la geste héroïque. Cet article cherche à comprendre pourquoi Maurice Leblanc soustrait Arsène Lupin à l’aventure, sans pour autant doter ses autres personnages des mêmes possibilités d’action.
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Gruffat, Sabine. "Le Ragotin de Scarron ou la vitalité du comique de répétition." Études littéraires 38, no. 2-3 (September 5, 2007): 115–26. http://dx.doi.org/10.7202/016348ar.

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Abstract:
Résumé Le parti pris burlesque du Roman comique est signalé par le personnage de Ragotin qui réunit tous les types du comique de répétition décrits par Henri Bergson : le diable à ressort, le pantin, l’effet boule de neige. Cet anti-héros se situe au coeur des enjeux esthétiques et éthiques de l’oeuvre. Sa mécanisation permet à Scarron de dénoncer tous les comportements rigides, l’absence de distance critique et d’humour. La parodie devient aussi une façon de contester le raidissement du genre romanesque et de traduire une aspiration à la liberté. Paradoxalement, ce personnage répétitif révèlerait la vitalité d’une oeuvre expérimentale.
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Bénard, Johanne. "Silence, tropisme et stéréotype chez Nathalie Sarraute." Dossier — Théâtre/Roman : rencontres du livre et de la scène, no. 33 (May 6, 2010): 78–90. http://dx.doi.org/10.7202/041523ar.

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Abstract:
La première question qui se pose lorsque l’on aborde le théâtre de Nathalie Sarraute est celle de la transition qui s’est opérée de l’oeuvre romanesque à l’oeuvre dramatique. Comment l’écrivaine fait-elle passer le tropisme dans le dialogue, la sous-conversation dans la conversation? Peut-elle alors éviter les schèmes et catégories de l’imaginaire social? Je me propose ici d’examiner ce problème par le biais d’une analyse comparative de deux textes présentant une thématique semblable : la pièce Le silence (1964), dans laquelle le personnage qui se tait est un homme, et un texte de Tropismes (1939), au centre duquel on trouve un personnage de femme silencieux.
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Biron, Michel. "L’intérêt romanesque de la banlieue chez Michael Delisle." Études littéraires 45, no. 2 (March 4, 2015): 41–50. http://dx.doi.org/10.7202/1028975ar.

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Abstract:
Roman de la banlieue, Dée (2002) de Michael Delisle propose un portrait particulièrement poignant et dur d’une jeune femme dépressive, vivant dans un nouveau développement à Longueuil, sur la Rive-Sud de Montréal. Rien de romanesque n’arrive à ce personnage qui cependant incarne la misère d’un monde « déconflictualisé » (au sens de Marcel Gauchet) où l’individu n’a même plus le désir de se révolter contre la société. La souffrance n’est pas fixée et dramatisée par quelque événement tragique, mais diluée dans une série de minuscules tragédies qui révèlent l’insurmontable désarroi de l’être.
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Dumont, François. "L’arpenteur et le navigateur : les ambiguïtés d’un essai romanesque." Dossier 28, no. 2 (June 17, 2003): 98–108. http://dx.doi.org/10.7202/006599ar.

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Abstract:
Résumé L’arpenteur et le navigateur, texte d’une conférence prononcée par Monique LaRue en 1996, a donné lieu à diverses réactions polémiques dans des revues et des journaux, mais n’a pas été lu en tant que texte littéraire. C’est ce que le présent article tente de faire, en faisant ressortir deux ambiguïtés fondamentales : le recours à une poétique romanesque de l’essai non régie par la fiction et une configuration de l’objet « littérature nationale » déterminée par le point de vue d’un « personnage ».
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Goulemot, Jean M. "Du lit et de la fable dans le roman érotique." Études françaises 32, no. 2 (March 15, 2006): 7–17. http://dx.doi.org/10.7202/036021ar.

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Abstract:
Résumé Le lit romanesque, celui de Diderot, de Marivaux ou de Laclos, suppose un type de voyeurisme particulier chez le personnage, chez le narrateur et chez le lecteur. À la fois lieu et objet, ce lit est plus qu'un thème pour un type plus ou moins légitimé de roman ; il est aussi le révélateur des mécanismes de sa «fable», de son fonctionnement comme narration spécifique.
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Lascar, Alex. "La courtisane romantique (1830-1850) : solitude et ambiguïté d'un personnage romanesque." Revue d'histoire littéraire de la France 101, no. 4 (2001): 1193. http://dx.doi.org/10.3917/rhlf.014.1193.

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Paraschas, S. "La Revelation inachevee: le personnage a l'epreuve de la verite romanesque." French Studies 68, no. 2 (April 1, 2014): 271–72. http://dx.doi.org/10.1093/fs/knu021.

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RIZZUTO, LILIANA. "UN ROMAN « NÉ DANS SA PROPRE NÉGATION »." Dossier 44, no. 1 (February 22, 2019): 27–38. http://dx.doi.org/10.7202/1056361ar.

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Abstract:
Cet article examine le maillage des considérations religieuses et littéraires dans le roman Angéline de Montbrun de Laure Conan. Privilégiant une lecture proche du texte, il s’intéresse spécifiquement à la manière dont le roman sert le discours religieux, l’encadre, le motive, lui donne force d’exemple, et, inversement, à la façon dont le religieux sert le roman. L’auteure décrit ainsi comment la perte des illusions qui succède à l’éveil spirituel du personnage central d’Angéline devient, paradoxalement, le déclencheur de sa quête romanesque.
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Samson, Véronique. "« [L]a vie ne se rejoignait pas à elle-même »." Études littéraires 44, no. 1 (September 25, 2013): 119–30. http://dx.doi.org/10.7202/1018470ar.

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Abstract:
Résumé Si la première moitié du XXe siècle pense l’aventure romanesque comme une prolifération des possibles, la seconde verrait apparaître les limites de cette conception héritée de Jacques Rivière. En prenant comme cas de figure Un balcon en forêt (1958), le dernier roman de Julien Gracq, cette étude suggère que l’expérience de la « drôle de guerre » aura engendré, au coeur de la carrière littéraire de l’écrivain, une crise toute paradoxale, issue du désir de maintenir les possibles ouverts pour son personnage dans un monde devenu inhabitable.
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Kim-Bernard, Kyeongmi. "Esthétique culinaire dans vi de Kim Thúy." Voix Plurielles 15, no. 1 (May 3, 2018): 169–79. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v15i1.1762.

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Abstract:
Cet article examine, dans une perspective thématique, les images culinaires propres à Kim Thúy dans son plus récent roman vi, sorti en 2016. Dans ce livre, l’écrivaine québécoise d’origine vietnamienne exploite en profondeur ces images afin de tisser les axes principaux de la quête identitaire de la narratrice éponyme, qui se déroule dans plusieurs villes : Québec, Montréal, Saïgon, Hanoï, etc. À travers cette étude je tente de démontrer comment les images culinaires peuvent devenir des moyens efficaces quant aux affirmations culturelles et identitaires d’un personnage romanesque.
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Biron, Michel. "L’effacement du personnage contemporain : l’exemple de Michel Houellebecq." Études françaises 41, no. 1 (May 5, 2005): 27–41. http://dx.doi.org/10.7202/010843ar.

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Abstract:
Résumé Cet article examine le rapport que l’individu entretient avec la société dans le roman contemporain. Comme le suggèrent les romans de Michel Houellebecq, le personnage contemporain ne se définit plus par le combat qu’il mène dans un monde opposé à ses désirs, comme ce fut le cas dans la tradition réaliste, mais par un combat d’un autre type en vertu duquel l’individu contemporain ne cesse de retomber en lui-même, de s’affaisser dans sa stérile lucidité. Mais comment cet individu triste et dépressif peut-il devenir un héros romanesque ? Houellebecq pose explicitement cette question et propose d’élargir le domaine de la lutte à tous les domaines de la vie humaine en décrivant les moindres rapports affectifs sur le modèle d’une vaste compétition sociale. À ce jeu toutefois, le seul combat possible est celui de l’effacement de soi. Chaque personnage de Houellebecq finit ainsi par disparaître sans laisser de traces, au milieu de la nuit et au plus près du néant, comme une dernière protestation contre le vide de l’existence.
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Boucher, François-Emmanuël. "La justification paradoxale du terrorisme dans l’imaginaire romanesque : le cas de Doris Lessing." Études littéraires 46, no. 3 (April 11, 2017): 107–19. http://dx.doi.org/10.7202/1039384ar.

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Abstract:
La question incontournable qui préside aux études sur le terrorisme est celle de savoir comment et pourquoi un être humain en vient à considérer nécessaire, essentiel, pour ne pas dire acceptable, des actions extrêmes, dont les conséquences irréversibles sont, par la nature même des actes en question, sanguinaires et destructrices. Répondre à cette question ne va évidemment pas de soi. Le terrorisme est un phénomène polymorphe, dont l’imprécision du terme même est lourdement polémique, sans négliger le fait qu’il revêt des formes multiples autant dans la longue durée que dans des contextes différents à une même époque déterminée. Même si aucun modèle explicatif ne semble apte à rendre compte de la diversité du phénomène, il reste que la question de savoir comment on en arrive là, comment on se convertit à la terreur, demeure pertinente. La Terroriste (paru sous le titre The Good Terrorist en 1985) de Doris Lessing met justement en scène les actions d’une terroriste de manière à montrer non la vérité du terrorisme en lui-même, mais les croyances d’un personnage en lien avec des agissements précis. Comment l’auteure parvient-elle à justifier de manière convaincante, aux yeux du lecteur mais aussi aux yeux des autres personnages à l’intérieur du récit, non pas tant des actions qui produisent la destruction mais le cheminement qui préside à son exercice ? La question sur laquelle repose mon analyse est la suivante : comment la fiction arrive-t-elle à rendre vraisemblable une telle pratique de la terreur ?
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Mbondobari, Sylvère. "Esthétique, politique et éthique du personnage : le métis dans l’oeuvre romanesque d’Henri Lopes." Études littéraires africaines, no. 45 (September 27, 2018): 69–84. http://dx.doi.org/10.7202/1051613ar.

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Abstract:
Le métis est non seulement au fondement de l’écriture d’Henri Lopes, il fait partie de son être. Il est le lieu où s’observent les mécanismes les plus subtils de la société moderne. Malédiction ou élection, le métis est une figure de l’entre-deux qui navigue entre les continents, fait vaciller nos certitudes et permet d’interroger notre être-au-monde. Le présent article entend étudier la figure du métis à partir d’un triple rapport avec l’histoire, avec la société coloniale et postcoloniale et avec la littérature.
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Cedrini-Henriot, Marie-Claude. "Pierre Laforgue, «“Jeter sur la scène un personnage romanesque”: les avatars de Vautrin»." Studi Francesi, no. 142 (XLVIII | I) (July 1, 2004): 210. http://dx.doi.org/10.4000/studifrancesi.40933.

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Kanga, Konan Arsène. "Parcours, auteurs et sujets migrants: Fatou Diome et Abdourahman Waberi." Non Plus 6, no. 11 (March 27, 2018): 141–53. http://dx.doi.org/10.11606/issn.2316-3976.v6i11p141-153.

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Abstract:
L’identité narrative se fait nouvelle naissance qui pourrait disposer l’auteur et le sujet migrants au menu de différentes réflexions sur la narration. Le déploiement de ses actions, de son parcours mémoriel pousse ainsi le sujet migrant à organiser le jeu narratif. Sa capacité à exposer les traces de sa mobilité et à montrer la réalité de son statut social en l’état, le connecte à différentes formes de l’expression, de l’écriture métafictionnelle à partir desquelles il déroule tout le tissu narratif. En le qualifiant de sujet migrant, le personnage devient ici d’abord un objet de regards. Il irradie, par son seul rapport au monde, les consciences sensibles à sa cause. Suivant les configurations de l’identité narrative, suggérées par Paul Ricœur[1], les écritures migrantes font figurer au cœur de la narration romanesque postmoderne des référents dans le texte mais en même temps dans un réseau culturel. Fatou Diome et Abdourahman Waberi interprètent ainsi cette catégorisation du personnage sous le sceau de leurs propres expériences. [1] Paul Ricœur voit l’identité narrative comme une « interprétation de soi » qui devient récit. Ainsi, la connexion entre l’auteur et le personnage montre, par l’étroitesse du rapprochement, l’expression d’une même histoire. RICOEUR, P. Temps et récit. Paris : Seuil, 1985.
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Malkin, Shira. "Tableau et coup de théâtre." Études littéraires 35, no. 2-3 (February 22, 2005): 107–22. http://dx.doi.org/10.7202/010528ar.

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Abstract:
Résumé Alors qu’elle écrit de front pour le roman et pour le théâtre dans le but de créer des fictions attendrissantes, George Sand emploie dans son roman Adriani (1853) les techniques du tableau et du coup de théâtre qu’elle emprunte au drame bourgeois inventé par Diderot et perfectionné par Sedaine. Marquée pour un temps par l’esthétique du pathétique que prisait le public du Second Empire, Sand en problématise les enjeux idéologiques, surtout en ce qui concerne le personnage féminin en état de crise. Alliant plusieurs modes de représentations dans l’espace même du roman, Sand en reproduit les codes pour ensuite proposer une autre finalité romanesque pour le sujet éploré.
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Perko, Gregor. "Les je gigognes du roman célinien." Linguistica 48, no. 1 (December 29, 2008): 73–82. http://dx.doi.org/10.4312/linguistica.48.1.73-82.

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Abstract:
Le présent article se penchera sur des aspects narratologiques des trois derniers romans de l’écrivain français Louis-Ferdinand Céline (1894–1961), d’un château l’autre (1957), nord (1960) et rigodon (publication posthume en 1964). Les romans, que la tradition critique solidement établie réunit en trilogie allemande,1 présentent l’aboutissement des recherches poétiques de l’écrivain tant au niveau du style qu’au niveau des techniques narratives. L’analyse qui s’appuiera pour l’essentiel sur le modèle narratologique de Gérard Genette (Genette 1972, 1983) se centrera sur différentes valeurs du je célinien : – je comme instance(s) narrative(s),– je comme foyer(s) de perception,– je comme personnage(s) romanesque(s).
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Georges, Hani. "Les enjeux sémiotiques de la perception dans L’Étranger d’Albert Camus." Çédille 12 (April 1, 2016): 140. http://dx.doi.org/10.21071/ced.v12i.5618.

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Abstract:
Considéré comme l’incarnation romanesque des idées de son auteur, L’Étranger nous met face à l’absurde à travers le personnage problématique de Meursault, souvent étudié et commenté en tant que sujet de cette attitude philosophique. Or,comme l’absurde présuppose une relation entre l’homme et le monde ,il se trouve ainsi immanquablement lié à la perception: une expérience sensible fonde alors le discours du roman tout en instituant Meursault en tant que sujet percevant/énonçant. Nous ferons appel aux ressources qu’offre la sémiotique du discours dans sa version phénoménologique pour analyser le parcours perceptif de Meursault et surtout pour examiner sous un jour nouveau la question de l’absurde camusien.
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Allard, Nicolas. "Mamadou Ould Dahmed, Le Héros monstrueux, une lecture psychanalytique du personnage romanesque de Stendhal." Studi Francesi, no. 180 (LX | III) (December 1, 2016): 539–40. http://dx.doi.org/10.4000/studifrancesi.5366.

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Porter, Laurence M. "La révélation inachevée: le personnage à l’épreuve de la vérité romanesque par Yannick Roy." French Review 86, no. 6 (2013): 1273–74. http://dx.doi.org/10.1353/tfr.2013.0153.

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Lacroix, Denis, and Sathya Rao. "« La grande épinettière » d’Alex Michelet : une lecture postcoloniale." Articles, essais 24, no. 1-2 (February 3, 2014): 15–39. http://dx.doi.org/10.7202/1021928ar.

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Abstract:
Récit composé par Alex Michelet (1886-1979) à l’aube de sa vie, « La grande épinettière » raconte l’histoire d’une jeune institutrice d’ascendance française, Jeanne, qui se trouve affectée dans un petit village de l’Ouest canadien au tournant des années 1915-1920. En apparence anodin, ce récit inédit est remarquable à plusieurs égards : 1) il propose une description précise de la francophonie albertaine que l’auteur connaît bien pour avoir vécu en Alberta entre 1915-1919; 2) à travers le personnage de Jeanne, ce roman met en scène le conflit identitaire – éminemment actuel – qui tiraille les Français de la deuxième génération vivant dans l’Ouest; 3) à la différence des récits traditionnels de pionniers (Durieux, Giscard, Maturié), qui font état du combat épique contre la nature, « La grande épinettière » se focalise sur l’intériorité des personnages (qui apparaît alors dans toute sa complexité). De fait, c’est toute l’esthétique romanesque qui s’en trouve modifiée et n’a plus grand-chose à voir avec les récits coloniaux de pionniers. L’objet de cet article est d’explorer ces trois axes de lecture tout en réfléchissant en filigrane à la question de l’héritage laissée par la présence française dans l’Ouest canadien en général et en Alberta en particulier.
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Gleize, Joëlle. "Dynamiques du montage : vers une adhésion sensible." Tangence, no. 112 (May 23, 2017): 47–62. http://dx.doi.org/10.7202/1039905ar.

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Abstract:
Le personnage du journaliste dans Le jardin des Plantes (1997), figuration romanesque ambivalente d’un rapport au lecteur, me fournit ici un point de départ pour observer les modèles de lecture que propose Simon dans la fiction et dans ses conférences, et pour interroger ainsi la lisibilité du montage dans ses dernières oeuvres, où l’adhésion sensible prend une place grandissante. Il s’agit toujours de faire percevoir la composition et ses harmoniques, mais en les rendant visibles, et en pariant pour cela sur les effets du montage. Dans Le jardin des Plantes et dans Le tramway (2001), le blanc des intervalles donne à voir, à interroger et à ressentir l’implicite qui surgit de ces liaisons et déliaisons.
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Bélisle, Mathieu. "Le rire perplexe." Études françaises 47, no. 2 (August 23, 2011): 101–8. http://dx.doi.org/10.7202/1005652ar.

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Abstract:
L’étude de l’histoire du roman montre que, au contraire de la plupart des propositions théoriques formulées par les philosophes, le rieur n’est jamais séparé de son objet. Le personnage romanesque qui rit ou prend conscience de la nature risible de sa vie se trouve toujours engagé par le fait que cela même qui fait l’objet de son rire ne lui est pas indifférent, qu’il le concerne toujours de quelque manière, et qu’il ne peut donc pas jouir pleinement de la distance comme le ferait un spectateur devant une représentation comique. Il est lui-même partie prenante de ce théâtre, de cette vie qui se veut théâtre. C’est pourquoi le rire que le personnage fait entendre, qui d’ailleurs est peut-être le rire découvert par le roman, ou le mieux représenté par lui, n’est jamais un rire « plein », univoque — comme le rire de la farce ou le rire de l’extase —, mais un rire hésitant, double, qui ne manque jamais de souligner l’écart entre la pensée et l’agir, entre le désir de se détacher du monde pour se mieux comprendre et le besoin irrémédiable d’y vivre. C’est à cette découverte que nous convie, de manière exemplaire, Belle du Seigneur d’Albert Cohen.
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Denis, Benoît. "Roquentin et les types sans importance sociale." Études françaises 33, no. 3 (March 15, 2006): 105–19. http://dx.doi.org/10.7202/036084ar.

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Abstract:
Résumé La Nausée expose la découverte que fait Antoine Roquentin de la contingence fondamentale de l'existence. Cette notion philosophique, qui se veut universelle, se trouve pourtant interrogée dans le roman à travers le prisme d'une catégorie sociologique curieuse, celle des « types sans importance sociale », dont le meilleur représentant est le personnage de l'Autodidacte. La présence de ce groupe social étrange et mal défini peut être rapportée, et par là mieux comprise, à un intertexte romanesque de l'entre-deux-guerres qui va, grosso modo, de Duhamel à Camus : y apparaît un personnage paradoxal, incarnation à la fois pathétique et héroïque d'une médiocritié sociologique et par suite existentielle, qui a tous les traits du type sans importance sociale. A la fois ridicule et sublime, il voit en dernière instance le drame de son existence se condenser sur la problématique de l'autodidaxie : redevable d'une expérience existentielle ultime, il est de quelque manière incapable de communiquer dans les formes requises la vision du monde qui en découle. Et tout se passe dans La Nausée comme si Roquentin prêtait sa voix à cette masse informe et aphasique des types sans importance sociale.
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Bulté, Marie. "L’enfant-soldat : la puissance d’un témoin." Voix Plurielles 11, no. 2 (December 3, 2014): 82–91. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v11i2.1103.

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Abstract:
L’enfant-soldat, qu’il soit victime ou bourreau, bourreau et victime, resterait donc l’infans, celui qui ne peut parler et encore moins témoigner. C’est pourtant bien le choix qu’opère la littérature et ce, dès Allah n’est pas obligé (2000) de l’Ivoirien Ahmadou Kourouma. Ce roman qui inaugure l’entrée de l’enfant-soldat dans la fiction romanesque africaine francophone , fait d’emblée, comme nous le verrons, de son personnage Birahima, qui a entre dix et douze ans, un témoin. Ce statut inaugural trouve une permanence dans les romans francophones et notamment dans deux œuvres de romanciers camerounais : Tarmac des hirondelles (2007) de Georges Yémy, revenant sur le parcours d’enfant-soldat de Muna, un enfant albinos âgé de treize ans, et Les aubes écarlates (2009) de Léonora Miano, avec le personnage d’Epa, n’ayant pas atteint l’âge légal d’enrôlement de dix-huit ans. Il s’agira alors d’analyser, dans ces trois romans, la manière dont la fiction, par des dispositifs narratifs variés, permet d’appréhender l’enfant-soldat comme une figure de témoin et opère ainsi un renversement de paradigme en libérant l’enfant combattant à la fois de son statut de victime paroxystique et de bourreau sanguinaire.
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Raoul, Valérie. "Cette autre-moi : hantise du double disparu dans le journal fictif féminin, de Conan à Monette et Noël." Dossier 22, no. 1 (August 29, 2006): 38–54. http://dx.doi.org/10.7202/201278ar.

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Abstract:
Résumé La théorie du double comme technique romanesque, le Doppelgànger, s'est concentrée surtout sur les doubles masculins. Trois romans québécois écrits par des femmes - Angéline de Montbrun, de Laure Conan, Le Double Suspect, de Madeleine Monette et Babel, prise deux, de Francine Noël - fournissent des exemples d'un type de double féminin particulier. Il s'agit d'une femme aimée, qui est décédée en laissant un modèle d'écriture que la narratrice-personnage du roman prolonge dans ses propres écrits, au risque de se confondre avec ce double disparu. Dans les trois cas, ce phénomène se distingue du double masculin traditionnel par un rapport de collaboration et de solidarité avec l'autre-moi, qui contraste avec le schéma masculin de la destruction du double en faveur de la préservation du moi unique.
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Hobbs, Sandra. "Une assassine pas comme les autres : violence sexuelle, amérindianité et écoterrorisme dans Le sang de l’or de Louise Leblanc." Voix Plurielles 17, no. 1 (April 27, 2020): 63–77. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v17i1.2471.

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Abstract:
La femme qui tue dérange de façon particulière les normes sociales : les femmes nourrissent, soutiennent, compatissent… la violence leur est habituellement étrangère. Celle qui enlève la vie à un autre est donc encore plus « monstrueuse » (Gilbert) que son homologue masculin. Diverses théories orientent l’étude de la femme meurtrière – soit qu’elle cherche à devenir plus masculine, qu’elle réagit à une situation intenable ou qu’elle se démarque d’une norme qui s’applique aux femmes d’une certaine race ou classe sociale (Irwin et Pasko). Dans le cas de la représentation romanesque du meurtre féminin au Québec, on peut constater un certain écart par rapport à la réalité (Gilbert), dans le sens que la violence au féminin prend un essor dans le livre, qui est sans rapport aux statistiques de la société canadienne ou québécoise. Le roman que nous avons retenu pour cette étude – Le sang de l’or de Louise Leblanc (1989) – met en vedette une meurtrière, ce qui devrait alors choquer le lecteur. Nous verrons que dans ce roman, par contre, le portrait hautement stéréotypé du personnage principal amérindien rend la violence du personnage moins surprenante. Qu’en est-il au juste du meurtre au féminin quand la criminelle est aussi amérindienne? Nous élucidons ce sujet en tenant compte des questions de territorialité, d’histoire coloniale et d’écoterrorisme, sans perdre de vue le discours féministe qui informe le récit. De fait, tout en ayant recours à des tropes coloniaux qui remontent au dix-neuvième siècle, voire plus loin, Leblanc crée un personnage qui attire la sympathie du lecteur. En tant que jeune femme victime de violence sexuelle, Kiji est en droit de se défendre; sa défense de l’environnement justifie davantage son geste. En dépit de ces facteurs atténuants, elle demeure un personnage équivoque en raison de sa correspondance au stéréotype littéraire de l’Amérindien dans la littérature québécoise. Mots clés : autochtone, colonie de peuplement, stéréotype, éco-terrorisme, violence sexuelle
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Dusaillant-Fernandes, Valérie. "Comment résister à l’imposture ? Des voix engagées au cœur de la tourmente." ALTERNATIVE FRANCOPHONE 2, no. 1 (November 6, 2017): 56–74. http://dx.doi.org/10.29173/af29338.

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Abstract:
C’est sous la forme romanesque qu’Ousmane Diarra, écrivain contemporain et bibliothécaire à l’Institut français du Mali, dénonce l’invasion d’islamistes radicaux dans son pays natal, de même que leurs méthodes d’asservissement et de contrôle (endoctrinement, violence verbale et physique, humiliation, destruction des corps). Écrit en réaction aux événements de 2013 au Mali, La Route des clameurs (2014) met en scène un jeune garçon, Bassy, dont la vie quotidienne bascule, lorsque le « Calife Mabu Maba dit Fieffé Ranson Kattar Ibn Ahmad Almorbidonne et sa horde de Morbidonnes ramassés dans les caniveaux » imposent leur nouvel ordre religieux (La Route des clameurs 19). Ainsi, dans les onze chapitres qui composent ce conte romanesque, l’enfant-narrateur, enrôlé de force dans le djihad, raconte ce qu’il a vécu, vu ou entendu, rapportant aussi les paroles d’autres personnages, notamment celles de son père. En nous basant sur les théories bakhtiniennes sur la polyphonie et la voix de l’auteur dans le roman, nous allons nous intéresser non seulement à la parole libérée de cet enfant-narrateur au patronyme inconnu, mais aussi à la voix de son père, un artiste-peintre fier et bravant l’ennemi fanatique par la création artistique. Si ces voix narratives se font entendre à l’intérieur du roman, une autre voix – celle de l’auteur implicite –, dissimulée dans les voix du jeune garçon et du père, a toute sa place. En effet, l’écrivain malien s’efface devant le langage de l’enfant pour se libérer de son trop-plein de douleur face à l’instrumentalisation des enfants et à la dislocation des familles, s’engageant ensuite, tout en tenant ses distances, dans une résistance à l’intolérance et à l’obscurantisme par l’entremise du personnage du père. Ce collage de voix et de perspectives suscite tantôt du dégoût, tantôt de la compassion. Finalement, par ces procédés narratifs et énonciatifs, Ousmane Diarra pousse-t-il le lecteur à prendre part à sa démarche scripturale en le conviant à « dire non à l’imposture » ?
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Bérubé, Renald. "L’écrivain comme journaliste sportif (ou vice versa) : The sportswriter de Richard Ford." Études littéraires 28, no. 2 (April 12, 2005): 81–94. http://dx.doi.org/10.7202/501123ar.

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Abstract:
Ex-jeune écrivain prometteur devenu journaliste sportif douze ans auparavant, Frank Bascombe, qui a grandi dans le Sud des États-Unis, est le narrateur et le personnage principal de The Sportswriter (1986) de Richard Ford. Le temps du roman est bref : trois jours, allant du vendredi saint à Pâques, en avril 1984. Si le roman est écrit au présent, le temps de l'écriture, lui, se situe entre ces trois jours et l'épilogue, en septembre de la même année. Minimaliste grand format, Bascombe pose sans cesse des questions touchant l'écriture et la communication : pourquoi a-t-il choisi l'écriture sportive plutôt que l'écriture romanesque ? Cette question ellemême mène à deux autres : pourquoi cette volonté d'écrire toujours au présent ? Pourquoi ce goût de la description méticuleuse des simples faits quotidiens alors que le sport et le journalisme sportif constituent des lieux privilégiés de la communication spectaculaire et nostalgique ?
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Rousseau, Phillip. "Une anthropologie quichottienne? Note sur l’extravagance et la pige littéraire1." Anthropologie et Sociétés 28, no. 3 (September 12, 2005): 205–19. http://dx.doi.org/10.7202/011290ar.

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Abstract:
Résumé Don Quichotte (le célèbre personnage de Cervantès) souffrit d’avoir trop lu de romans de chevalerie ce qui altéra profondément sa perception de la réalité. En s’appuyant sur cette figure romanesque extravagante, cette brève note exploratoire à pour but d’entamer la réflexion sur certaines implications et problématiques propres à une pratique appelée ici pige littéraire. Cette pratique, consistant à puiser dans le corpus littéraire des manières de voir, percevoir et concevoir le monde, est abordée à l’aide de trois exemples choisis dans des oeuvres récentes de James A. Boon, Vincent Crapanzano et Michael Taussig. En tissant une analogie entre cette pratique et l’ouvrage de Cervantès, cet article survole certains de ces aspects tout en soulevant quelques questions : Certains anthropologues souffrent-ils du syndrome de Quichotte? Lisent-ils trop de romans? Font-ils un usage abusif de ceux-ci dans leurs travaux? Cette fascination pour la littérature fausse-t-elle conséquemment leur perception de la réalité (ou l’altère-t-elle simplement)?
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Arseneau, Isabelle. "Au pied de la lettre. La mise en soupçon du romanesque dans L’Enchanteur de René Barjavel." Tangence, no. 110 (December 23, 2016): 59–79. http://dx.doi.org/10.7202/1038498ar.

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Abstract:
Avec L’Enchanteur, René Barjavel participe au renouvellement du mythe de Merlin dans la littérature française du xxe siècle. Cette réappropriation, qui paraît en 1984, n’a cependant suscité que très peu de commentaires. Il est assez peu risqué de supposer que ce désintérêt de la critique tient à l’apparente volonté du romancier de renouer avec les chimères et les frivolités des « vieux romans » avec lesquelles a cherché à rompre le roman « moderne ». Notre relecture de L’Enchanteur veut plutôt montrer comment son auteur est resté fidèle aux leçons des romans, déjà critiques, du Moyen Âge, où le prophète apparaît très tôt comme l’occasion d’un commentaire métatextuel sur les limites et la puissance de la parole et de l’écriture. Le personnage de l’enfant, dont le regard émerveillé aurait pu fournir au romancier du xxe siècle l’occasion de réenchanter le monde du roman, provoque au contraire une mise à plat des mystères de la langue. Le prosaïsme du discours enfantin a d’ailleurs tôt fait de contaminer le narrateur qui ne se laisse jamais oublier et qui, par des jeux de métalepses savamment orchestrés, force une mise à nue des stratégies d’écriture du romancier. Contre toute attente, on voit alors le roman romanesque procéder à son propre examen et rejoindre les rangs du roman critique.
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Bouvet, Rachel. "Ailleurs, au Mexique : topographie géopoétique d’Ourania de J.-M.G. Le Clézio." Convergences francophones 3, no. 1 (December 23, 2016): 56–70. http://dx.doi.org/10.29173/cf374.

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Abstract:
Cet article examine la représentation de l’ailleurs à partir d’une perspective géopoétique et propose une analyse topographique du roman Ourania de J.M.G. Le Clézio. L’ailleurs n’y est pas pensé en termes d’énonciation ou à partir du genre viatique, comme cela se fait souvent, mais bien à partir des rapports entre littérature et géographie. La curiosité du narrateur, un géographe français parti faire des relevés pédologiques au Mexique, n’a d’égale que sa propension à passer d’un monde à un autre monde : du réel à l’imaginaire, de la terre au ciel en passant par un village utopique, « fait de songes ». Son discours, quant à lui, a pour effet d’inscrire le personnage dans la lignée des géographes et des aventuriers ayant la « passion du monde ». Pour connaître son parcours, en grande partie occulté, il est nécessaire de se pencher au-delà des frontières du récit et de s’intéresser à la carte et à l’itinéraire présentés en annexe. Ainsi, se met en place un exercice de topographie romanesque, qui met en évidence les échos entre toponymes, hydronymes, patronymes et prénoms. Un chassé-croisé marqué par l’intensification du rapport entre le lieu et l’écriture, par l’entremêlement du géographique et du linguistique.
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Anwar Hénawi, Nader. "Recherche intitulée " Le personnage romanesque dans Le sermon sur la chute de Rome de Jérôme Ferrari: du héros à l'anti-héros"." مجلة الآداب والعلوم الإنسانیة 90, no. 2 (January 1, 2020): 928–53. http://dx.doi.org/10.21608/fjhj.2020.93597.

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Gourg, Marianne. "Autour du personnage de la Boiteuse (les Démons) : quelques réflexions sur l'utilisation du folklore et du mythe dans la forme romanesque." Revue des études slaves 60, no. 1 (1988): 159–68. http://dx.doi.org/10.3406/slave.1988.5728.

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Quintin, Jacques. "Aline Giroux, Du personnage romanesque au sujet moral. La littérature comme autre de la philosophie. Montréal, Éditions Liber, 2012, 208 p." Laval théologique et philosophique 69, no. 2 (2013): 408. http://dx.doi.org/10.7202/1022503ar.

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Vanden Abeele, Sophie. "La nouvelle Ève ou l’« esprit de liberté » féminin dans la fiction romanesque de Marie d’Agoult (1842-1847)." Tangence, no. 94 (May 13, 2011): 45–60. http://dx.doi.org/10.7202/1003489ar.

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Abstract:
Si pour George Sand, son mentor en littérature, le roman exprime « le cri de la femme contre la tyrannie de l’homme », pour Marie d’Agoult il révèle surtout une forme de tyrannie plus globale qui est celle de la société contre les faibles et les marginaux. Reprenant les formes et les codes du roman féminin de la monarchie de Juillet, la romancière en exploite la typologie et les thématiques pour élargir la perspective. La femme chez Marie d’Agoult n’est pas seulement une victime des institutions masculines qu’incarnent le père, le mari et l’amant ou le prêtre : ses héroïnes, rompant avec le cadre social pour vivre en marge, rejoignent les autres marginaux que sont les artistes — avec lesquels elles partagent une prescience de la vérité et de la justice —, les faibles et les opprimés que sont les pauvres et les ouvriers — pour lesquels cette prescience leur donne compassion et esprit de charité. La destinée féminine illustre en effet ce que cette romancière républicaine appelle « la grande voix du malheur ». Progressiste, elle fait de la femme un personnage emblématique dont elle raconte l’itinéraire sacrificiel à travers une symbolique de rédemption qui réinvestit les modèles iconiques féminins (Béatrix, Niobé ou Ondine). Aussi ses textes sont-ils une réécriture de la doxa contemporaine sur la femme : ils montrent qu’il en va d’une réévaluation des notions de devoir et de loi morale qui permette de repenser le fondement idéologique de la société postrévolutionnaire qu’est l’idéal de liberté.
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Dion, Robert. "Présences d’Octobre." Dossier 41, no. 1 (November 10, 2015): 87–100. http://dx.doi.org/10.7202/1033961ar.

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Abstract:
Parmi les ouvrages littéraires québécois publiés ces dernières années à propos d’événements historiques marquants, il en est deux, particulièrement intéressants, qui portent sur la crise d’Octobre 1970. Le premier, Le personnage secondaire de Carl Leblanc (2006), ressortit à l’essai-fiction, et le second, La constellation du Lynx de Louis Hamelin (2010), au roman d’enquête. À travers ces deux ouvrages qui optent pour des stratégies discursives éminemment différentes, mais qui ont en commun de revisiter au présent un épisode traumatique de l’histoire nationale (relativement) récente, il s’agit de voir comment la littérature entend interroger les fictions de l’historiographie pour, à la fois, lui contester le monopole de la mémoire et lui opposer d’autres formes de discours telles que le témoignage et le documentaire, d’une part, et la fiction romanesque, de l’autre. Nous avons ainsi voulu vérifier s’il est vrai que, comme l’a écrit à propos du roman d’Hamelin un critique plutôt complaisant, la crise d’Octobre « a tellement traumatisé notre conscience collective que seule la lunette de la fiction peut nous en faire découvrir la vérité cachée, l’essence qu’obscurciraient toute exactitude anecdotique, tout sensationnalisme lié à des noms véritables » (Michel Lapierre, « Louis Hamelin et les étoiles d’Octobre », Le Devoir, 25 septembre 2010).
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Hemmerlé, Marie-Aude. "Figures du double dans e de Daniel Danis." Pratiques & travaux, no. 45 (August 25, 2010): 175–87. http://dx.doi.org/10.7202/044280ar.

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Abstract:
Le double est un motif récurrent dans la dramaturgie québécoise des quarante dernières années. Il apparaît de différentes façons : la démultiplication des lieux, des personnages et des intrigues, la choralité, le dédoublement d’un personnage ou d’une situation, la gémellité, le théâtre dans le théâtre, l’hybridité des genres théâtraux et romanesques. Il est présent à tous les niveaux de lecture, qu’il s’agisse du fond ou de la forme. Je propose de discuter et d’analyser ce postulat en m’appuyant sur e de Daniel Danis. Cette pièce reprend ce motif tout en le renouvelant de manière originale et singulière. Pour étayer mon analyse, je m’appuierai sur l’étude de la structure de la pièce, l’entrelacement générique, et interrogerai en particulier le personnage de J’il.
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